| Sujet: Jarvis Caleb McGooken ; un whisky ? Ven 22 Jan - 21:36 | |
Feat "David TENNANT"
(c) Nessaleth- Pea |
This is who I am
Jarvis Caleb McGooken est né le 3 avril 1975 à Perth, en Écosse. Il a donc actuellement 34 ans. On le surnomme Jarvo, ça ne le dérange pas. Dans la vie, il est médecin légiste. Quelle drôle d'idée, je ne vous le fais pas dire. C'est le genre de métier que personne ne veut faire. Et quand on en entend parler, on se dit toujours "il en faut !" Jarvis consacre donc la majeure partie de son temps à dialoguer avec la mort. Il vit à NYC depuis un an et n'a eut aucun mal à trouver du boulot étant donné qu'il a une bonne réputation. Orientation sexuelle : 100% hétéro même s'il faut quand même avouer que James Dean est un bel homme !
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Wanna know more ? ▬ Histoire ; (En 60 lignes minimum, pensez à ce que le caractère de votre personnage ressorte dans le récit, qu'il ne s'agisse pas d'une histoire qui ne nous apprend rien sur la façon d'être actuelle du perso.)
Je m'appelle Jarvis Caleb McGooken. Voici mon histoire. Enfin, ce que je veux bien vous en révéler.
Le mythique groupe des Sex Pistols se formait alors que je poussais mon premier cri, dans une richissime maternité de Perth, en Écosse. À l'époque, on pouvait pas encore voir à ma gueule que je viens de ce pays où il tombe comme à Gravelotte tous les jours. Pourtant, il suffit de m'écouter parler un peu pour se rendre compte que je viens du vieux continent. Cet accent que la plupart des gens trouvent ridicule, bah moi je l'aime bien. Ça me plait de rouler les « r ». Ça donne une touche exotique à ma personnalité. Comment ça vous connaissez pas les Pistols ? 1975, ça vous dit rien ? Oh et puis zut.
Mes parents ? Bon, alors, ils sont certainement les personnes pour lesquelles j'ai le moins de considérations dans ce bas-monde après la nourrice qui m'a collé aux basques durant toute la période où j'ai porté une grenouillère et des socquettes. Ils sont riches, grand bien leur fasse. Sur ce point, je ne leur ressemble en rien. Ils adorent enculer les mouches tandis que je cultive un « je m'en foutisme » assez aigu. Je sais que ça les a bien emmerdé pendant des années, jusqu'à ce que je devienne un adulte. Je gagne bien ma vie mais je n'aime pas le montrer. J'enterre régulièrement dans Central Park des butins, histoire d'assurer du travail pour les archéologues du futur.
Si j'ai fait des études ? Vous m'avez bien regardé ? Vous m'avez écouté jusqu'ici ? Est-ce que vous avez autre chose que des pellicules autour de votre crâne ? Faut que je vous fasse un dessin ? Je vous ai déjà dit que les études ont bouffé une grande partie de ma vie et que ce n'est pas forcément un souvenir agréable pour moi. Demandez-moi plutôt pourquoi j'ai choisi ce métier. Et cessez de hausser les épaules, ça m'énerve !
On ne devient pas médecin légiste par magie. C'est ce que mon supérieur m'a dit un jour. Alors quand je lui ai répondu que c'est une idée qui m'est venue par hasard quand j'avais dix-sept ans et que je découpais un steak, il m'a pris pour un fou. Pour moi il est évident que la plupart des gens préfèrent se conforter dans l'idée qu'ils ont une vocation. Et que c'est grâce – ou à cause – d'elle qu'ils font tel ou tel métier. Ce genre de considérations me passe au dessus, vous n'imaginez pas à quel point. Je suis médecin légiste depuis pas mal d'années et j'ai aujourd'hui infiniment plus de respect pour les mecs que je charcute jour et nuit que pour les êtres sans la moindre once d'humanité qui peuplent cette maudite planète. Je leur confie parfois des secrets mais leur absence de réponse me dépite rapidement. On ne peut pas tout avoir.
Vous voulez que je vous parle de mon enfance ? M'enfin vous voyez bien que cet entretien ne suit aucune logique chronologique non ? Mais pourquoi pas, si ça peut vous faire plaisir, alors allons-y.
Je n'aime pas mes parents. Je ne les ai jamais aimé. Et je ne les aimerai jamais. Ils ont pourtant sans doutes fait de leur mieux pour m'offrir une enfance et une adolescence dignes de ce nom. Malheureusement pour eux, ils n'ont pas donné la vie à un Charles-Henri-Ludovic JR., comme ils l'espéraient. Reprendre le flambeau de leur empire, non merci. Ils ont échoué là aussi. Ce n'est pas faute d'avoir essayé. Ils ont peu à peu perdu l'espoir qu'un jour je veuille à mon tour être richeet avoir du pouvoir sur qui que ce soit. J'ai toujours refusé leur argent. Même tout ce qu'ils avaient déjà placé sur un compte avant ma naissance. Une fois majeur, j'ai pris les devants et j'ai versé tout l'argent contenu sur ce compte à une association de quartier qui recyclait les bouchons de bouteilles en plastique pour construire une voiture écolo. Faudra que je pense à reprendre contact pour savoir où en est leur projet, depuis le temps.
Étant donné que j'ai étudié pendant douze ans, en ayant sauté une classe à l'école primaire (non pas parce que j'étais plus doué que les autres mais parce que mes parents avaient sorti le carnet de chèques pour négocier cela,) j'ai réellement commencé à vivre à vingt-neuf ans. Avant qu'on ne m'appelle – à tort – Tanguy, je dis pour ma défense que j'ai quitté le cocon familial à dix-huit ans. Aidé financièrement par une bonne vieille tante dont j'ai oublié le nom, j'ai pu voler à peu près de mes propres ailes. En réussissant de telles études, j'ai surpris tout le monde : mes parents (même s'ils ne l'ont pas dit), mes rares amis de l'époque et surtout moi-même. Jusqu'à l'obtention de mon diplôme, je pensais avoir un baobab dans la main.
J'habite New York depuis un an maintenant. J'ai migré vers les États-Unis pour vivre sous l'air Obama. Cet homme inspire vraiment le respect, vous ne trouvez pas ? Et puis j'en avais marre de l'Écosse. Certes c'est mon pays et je devrais en être fier. Ce n'est pas le cas, allez savoir pourquoi. Je vous en pose des questions moi ?
Quand je suis arrivé au pays de l'Oncle Sam, j'ai eu du mal à me faire comprendre. J'avais l'impression de parler chinois avec un accent néerlandais à des locuteurs natifs indiens intellectuellement diminués. Je sais que j'ai un accent de merde, mais quand même. D'ailleurs cela m'a valu quelques ennuis au travail. Quand on comprend estomac au lieu de poumon, ça pose certains problèmes à l'assistant qui s'emmêle les pinceaux par la même occasion. Heureusement mes collègues ont fini par s'y habituer. Avaient-ils vraiment le choix ?
New York c'est sympa comme une ville. Je peux m'y promener incognito. Personne à part mes collègues de travail ne sait quel métier j'exerce. Des amis vous dites ? Je n'en ai pas. Du moins, pas à ma connaissance. Je suis du genre à être assez solitaire. Je ne pense pas qu'il vaut mieux être seul que mal accompagné. Par nature, l'homme est grégaire. Et puis comme Diderot l'a dit à Rousseau : « Seul le méchant est seul. » Je ne crois pas être quelqu'un de méchant. Bordélique, cynique, mesquin, misogyne et maladroit, oui. Mais pas méchant. Notez par ailleurs que j'ai l'habitude d'arriver comme les carabiniers et que vous n'avez pas intérêt à me faire de reproche sur mon retard, au risque de me voir faire demi-tour. Chacun peut bien vivre à son rythme, non ?
Ma vie sentimentale ressemble au désert du Sahara depuis quelques temps. J'ai bien eu quelques aventures, mais j'étais trop soûl à ce moment-là pour m'en souvenir et vous donner les noms de mes victimes. Malgré ma tronche de cake il n'était pas rare que lors de soirée étudiantes, à l'époque où j'y participais encore, je finisse la soirée au lit avec une voire deux jeunes filles si elles étaient jumelles. Il n'y a pas de mal à se faire plaisir. À New York je n'ai pas souvent trouvé mon bonheur. À croire qu'ici, mon épouvantable accent n'est pas un allié pour séduire !
Mes centres d'intérêt ? Pfff, j'en ai aucune idée mec. Qui t'a refilé ces questions ? Et puis d'abord qu'est-ce que ça peut bien te foutre que j'aime la pêche à la ligne ou les donuts ? Comment ça on t'a forcé à me poser ces questions ? On t'a chopé par le scrotum pour t'obliger à les écrire ? Gosh, je compatis. Euh... J'aime les films vieux comme Hérode. Je parle des bons films, pas de ceux qui valent pas tripette. Sinon, j'aime pas manger. Boire ça me plaît bien, mais manger c'est pas mon délire. Vous croyez que j'entretiens ma silhouette de brindille en restant coincé entre deux portes pendant trente minutes tous les jours ?
Ça fait la rue Michel, j'en ai assez dit. Merci. Bonne journée à vous aussi.
Ah, j'allais oublier. Votre braguette est ouverte. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
L'enfer pour moi, ce serait que les gens arrêtent de mourir puisque je me retrouverais au chômage. On y pense pas assez souvent mais les gens comme moi ne peuvent pas vivre sans les morts. Ou alors on serait relégués au rang d'agents d'entretien. On nettoierait des salles vides du moindre cadavre, pour personne au final puisque les morgues seraient désertes. Non vraiment, pensez-y un jour, sans les morts je ne suis plus rien. Que voulez-vous faire avec un dîplome de douze ans d'études à part s'occuper de trancher et de découper des corps sans vie ? J'y ai déjà réfléchi mais je n'ai trouvé aucune réponse satisfaisante. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Le paradis, je n'y pense jamais. C'est l'un de ces lieux tellement abstraits dans mon esprit que j'y ferais figurer un pub écossais si je m'écoutais ! Sincèrement, je ne sais pas quoi répondre à cela. Si je faisais preuve d'un peu d'humanité, je dirais que j'aimerais ne pas détester mes parents. Mais je me fiche bien de cela maintenant que je suis grand. Vu mon âge plutôt avancé, il faudrait que je m'active et que je pense à assurer ma descendance. Donc le paradis, ce serait de trouver une femme pas trop chiante, de lui faire un gamin, de se marier, d'élever ce même gamin pendant un an, de divorcer et ensuite de les laisser dans la merde. Ouais, ça serait bien ça. ▬ Taux de criminalité et pourquoi ; (sur 100, immuable et explications. Soyons bien clairs, le taux de criminalité représente une sorte de casier judiciaire. Il se base donc sur des FAITS et non sur des suppositions. Ce n'est pas parce que votre personnage est un impulsif qu'il aurait 30 % de criminalité. Il faut les "mériter " ces %. Exemple de ce qui fait grimper les % : Agressions, vols, homicides, piratages, dégradations, manque de respect aux forces de l'ordre, casier judicaire, détention de drogues etc etc etc ...)
Euh, je dirais 10. D'abord parce que j'aime bien les chiffres ronds. Ensuite, parce que j'ai eu quelques petits soucis avec la justice, en Écosse. Je ne faisais pas partie des étudiants coincés. Et lors de soirée, je n'hésitais pas à me shooter à la marie-jeanne ou bien au LSD. Cela m'a valu quelques altercations avec la police. Rien de méchant, je vous assure. À part une fois peut-être, j'avais un peu trop bu. J'ai roté à la gueule d'un policeman qui n'a pas apprécié mon geste d'affection. J'ai passé vingt-quatre heures en garde à vue. Et j'ai dû payer une amende, bien sûr. Encore aujourd'hui il m'arrive fumer un joint, de temps en temps. Je ne fais de mal à personne !
Behind the screen ? A player !
▬ Prénom ou pseudo ; Olivier. ▬ Âge ; 129 / 3 - 1 / 2 - 5 + 4 ▬ Votre avis sur New York - The Dark Side ; tip top la main dans le froc ! ▬ Où avez-vous connu le forum ; j'ai le droit de pas m'en rappeler ? ▬ Niveau de RP ; (En lignes/par word par post) normal. ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Notre duo de choc, sous l'impulsion de Virgin la Vaillante, commençait son périple jusqu'au bâtiment annexe du MOMA. Tomas le Fourbe ne connaissant point le chemin, il laissa sa camarade les guider. Il était déjà venu plusieurs fois au musée mais n'avait, jusqu'à ce jour, jamais entendu parler de ces activités annexes organisées. Bien, il se couchera moins bête ce soir. Le trajet ne fut pas très long, ce qui l'étonna encore un peu plus. À croire qu'il n'ouvre pas assez les yeux lorsqu'il se promène dans les environs ! Pour la peine, il prit le temps d'observer attentivement la façade de l'immeuble. Quoique, il n'eut pas le temps de s'attarder puisque sa compagne d'un jour l'attira à l'intérieur de la bâtisse. Ils furent accueillis par un organisateur qui donnait déjà les consignes à une vingtaine d'autres jeunes personnes. Nos deux acolytes n'avait pas tout entendu mais qu'importe, ils ne risquaient pas de faire des bêtises. En principe.
Les autres personnes présentes dans la salle devaient être de la même génération que les deux jeunes gens. Bizarrement ; à croire qu'il n'y a que les jeunes adultes qui s'intéressent à l'art. Enfin, Tomas est un adulte tout court. À vingt-huit ans, il ne peut pas se permettre de se considérer encore comme étant un jeune homme ; bien qu'il ne fasse pas son âge, je vous l'accorde. Même s'il est vrai qu'il se comporte toujours un peu comme un gamin, sauf quand il est au travail. Le mois de vacances qu'il s'est vu accordé ne va sans doutes pas arranger les choses. Quoique, il pourrait tout plaquer et retourner à San Francisco. Non, mauvaise idée, il ne pourra sans doutes plus jamais vivre là-bas. En tous cas pas dans l'immédiat puisque cela réveillerait cette blessure qui commençait à peine à cicatriser. Afin que cette cicatrisation se passe au mieux, Tomas a, nul doute, besoin de soutien. Qu'importe la forme que celui-ci peut prendre mais la pire chose à faire pour lui est de s'isoler. C'est le meilleur moyen de replonger dans d'inombrables souvenirs. Il a beau faire le kéké devant Virgin, sa santé morale n'en est pas pour autant à son summum.
La jeune femme avait d'ailleurs un don assez particulier pour l'amuser. Même s'il est vrai qu'en théorie, dégrafer un soutien-gorge n'a rien d'amusant.. Il crut d'abord à une boutade. C'est vrai, jusqu'ici ils n'avaient pas fait preuve de beaucoup de sérieux et il pensait donc qu'elle continuait sur ce ton plaisantin. Mais quand il vit qu'elle rougit très rapidement, Tom' comprit qu'elle ne se moquait pas de lui et qu'elle était vraiment dans le besoin ! Qu'à cela ne tienne, il va bien sûr l'aider. Avant cela il ne put empêcher un rire de lui échapper. Conscient que cela ne permettait pas à Virgin de se sentir plus à l'aise, il se glissa derrière elle. Drôle de techinque pour aborder un garçon mais je veux bien t'aider ! Tomas s'apprêtait à passer ses mains sous le vêtement de la charmante demoiselle mais il se dit qu'il devait faire gaffe ; pas de geste brusque puisqu'il n'avait pas les mains très chaudes. Le chemin parcouru jusqu'ici les avait refroidi. De plus, il a à faire à une demoiselle qui est très sensible apparemment. L'effet produit par les mains froides de Tom' entrant en contact avec sa peau ne serait donc pas le bienvenu. Ne bouge plus.., lui sussura le jeune homme. Avec une habilité assez incroyable, il réussit en un rien de temps à réparer la mini catastrophe qui s'était produite sous le vêtement de Virgin. Tout cela sans toucher une seule fois sa peau, si ça pas la classe... Que voulez-vous, Tomas sait y faire avec les femmes. Et pas que pour les séduire. Il sait aussi leur faire plaisir, les surprendre, leur procurer d'intenses sensations etc. Tout en remettant doucement le vêtement de Virgin, il lui murmura à l'oreille : Je pourrai me vanter d'avoir vu ton dos avant tes pieds. Puis, il se pencha au dessus de son épaule ; il lui sourit puis se décala un peu en lui faisant un petit clin d'œil. À interpréter comme bon lui semble..
Il s'éloigna un peu pour se procurer une blouse blanche semblable à celles que portent les scientifiques et autres médecins. Il se demandait quelle autre surprise Virgin lui préparait. Même si elle n'avait pas fait exprès de dégrafer son soutien-gorge, avouez que ce genre d'incident n'est pas commun. ^^ À moins que je me trompe, faites-le moi savoir si c'est le cas, mesdemoiselles !
Tomas voulut faire bien. À savoir qu'en pensant à ce qu'il s'apprêtait à faire, il valait mieux se délester d'objets précieux, comme les bijoux par exemple. Il porta alors son pouce et son majeur à sa main gauche, dans l'envie de retirer son alliance. Mais il fut forcé de constater qu'il n'y avait pas la moindre bague à son annulaire gauche... Ceci le surprit tellement qu'il baissa les yeux pour pouvoir constater que, effectivement, son alliance n'était pas à son doigt. Depuis quelques temps, il ne la porte plus. Soudain, il eut envie de décliner l'invitation de Virgin, de remettre cela à une autre fois et d'aller s'enfermer chez lui pour ruminer. Mais il ne devait pas se laisser abattre. D'ailleurs il chassa cette idée de son esprit et secoua légèrement la tête. Il s'approcha de Virgin qui se risquait à une figure acrobatique pour pouvoir faire quelque chose à l'aide de ses pieds. L'Irlandais avait retroussé son jeans jusqu'au niveau de ses mollets à peu près, un peu plus haut même. Il s'était débarrassé de ses autres fringues, tels que son bonnet et sa veste.
Ça représente quoi ?, demanda-t-il ne se mettant à côté d'elle. Il rit sans même attendre sa réponse et se pencha pour tremper le bout de son index dans le pot de peinture le plus proche. Du rouge, bien voyant bien vivant, et sans plus attendre, il posa l'extrémité de son index sur le bout du nez de Virgin. Connaissant Tomas, cela finirait sans doutes par une géante bataille de peinture. Enfin, quand je dis géante, c'est juste entre eux deux quoi.. Tu sais que tu es encore plus charmante avec ce nez rouge ?! Oui, vous avez bien entendu le "encore plus charmante". Bref, il prit une chaise et s'assit à côté d'elle. C'était plus pratique pour peindre avec leurs pieds. Il trempa un orteils ou deux dans le pot le plus proche, du bleu cette fois-ci. Brrrr, la sensation était assez étrange mais pas désagréable. Tomas tira un peu la langue, faisant ainsi mine de se concentrer pour mimer une quelconque concentration. En fait, il s'amusa à poser son pied sur celui de Virgin. Comme ça, elle avait le dessus du pied bleu. Je vous l'ai dit, ça va virer au grand n'importe quoi...
Je t'en prie, continue, fais comme si j'étais pas là., dit-il en souriant, et tout en continuant bien sûr à mettre autant de peinture qu'il pouvait sur les pieds de Virgin. Plus loin, deux personnes qui semblaient être en couple avaient carrément tombé la veste pour se recouvrir le buste de peinture. Drôle d'idée, pensa-t-il ! Bref, il reporta son attention sur Virgin. Assieds-toi sur mes genoux si tu veux.
▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7). 7/7 pour la connexion, sans doutes un peu moins en ce qui concerne l'activité dans le jeu. ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK by Virgin ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Célébrité sur l'avatar ; David Tennant ▬ Multicompte(s) ; oh yeah.
Dernière édition par Jarvis C. McGooken le Ven 22 Jan - 22:42, édité 5 fois |
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