« Am I too lost to be saved ? » Svetlana A. – 100 %

Feat "Kate BECKINSALE"

(c) Bedshaped
_« Svetlana Dmitrievna ARMYANSKAÏA »_

_____ This is who I am _____

Je suis née à Ispahan, la ville que l’on se représente comme le paradis coranique, en été 1987. Certes mon nom n’a rien de persan, mais si c’est là bas que j’ai vu le jour, c’est parce que mon père, Dmitri Anatolevitch Armyanski y était ambassadeur d’Union soviétique. Ma mère en revanche est à 100% autochtone puisqu’elle est l’unique fille issue du mariage entre le dernier Shah et sa seconde épouse Soraya.(*)
De nationalité russe, je n’ai jamais oublié que je porte en moi des racines iraniennes, même si elles ne sont pas prépondérantes. On peut dire que je suis un drôle de mélange n’est-ce pas ?
En tout cas, du haut de mes 23 ans, j’ai ici – à New-York – un statut assez étrange : ressortissante russe, bientôt diplômée en Histoire & journalisme à NYU et meurtrière. En fait, je souffre de dédoublement de la personnalité.
Mon orientation sexuelle ? Nord-Ouest. Non plus sérieusement, après avoir oscillé entre les deux bords et bien… je peux dire que j’aime les hommes.

_____ Wanna know more ? _____

▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;

▬ La plus grande honte du personnage ;
C’est affreux à dire, mais ce dont j’ai profondément honte c’est de mon pays. De ce qu’il est devenu aux mains de ses dirigeants. Un champ de bataille perpétuel, le Caucase est une de ses plaies béantes que personne ne semble pouvoir soigner. Et le sort des personnes défavorisées dans les régions reculées, celles qui n’ont que leur jardin pour leur permettre de survivre. Ou bien les orphelins qui sont maltraité dans des locaux vétustes et parfois insalubres mais que surtout on ne veut pas laisser adopter par des étrangers. Ou alors ces soldats disparus dont les familles n’ont aucune nouvelles et qui ne peuvent pas faire leur deuil. Des institutions rouillées jusqu’à la moelle.
Et la liste est encore longue. Mais personne ne veut voir la réalité en face.

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
Ils appellent ça des « centres de rééducation » mais c’est un pur cauchemar. En franchissant la grille de ces propriétés, on fait un bond de cinquante ans en arrière. C’est un peu les Hp pour opposants politiques avec leur « Loubianka ». Tous les éducateurs sont un peu des Béria, c'est-à-dire des tortionnaires sans scrupules & sans âme.
Sous des airs de centres pour jeunes à problème, ou qui posent problème, c’est à mi chemin entre une maison de redressement et des énormes machines à laver le cerveau. Les pensionnaires y subissent toutes sortes de traitements pas forcément légaux, mais personne n’a son mot à dire. C’est à peine croyable.

▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Une Russie débarrassée de ses tyrans. Idéaliste n’est-ce pas ? Presque surréaliste. Mais puisque sur cette terre le paradis n’existe pas, il est permis d’espérer. Et s’il est permis d’espérer, il est demandé à tous d’œuvrer pour. Par n’importe quels moyens. Ceux qui ont tracé la route et qui ont donné leur vie pour cette cause ne doivent surtout pas avoir été sacrifiés pour rien.
Plus accessible – et encore – l’idée de reprendre une vie normale, là où je l’avais quitté ce mois de mai 2004.

▬ Taux de criminalité et pourquoi ;
25%. J’ai tué plusieurs personnes. C’est ce qu’on m’a dit en tout cas. Aussi fou que ça puisse paraître, je ne m’en souviens jamais, mais j’ai remarqué à plusieurs reprises avoir du sang sur mes vêtements ou sur les mains.
Je ne suis pas une adepte de la violence gratuite, mes crimes ne sont jamais prémédiés, juste commis sous l’emprise de mon autre personnalité. C’est sans doute pour ça que je n’en garde jamais de souvenirs précis.

_____ Behind the screen ? A player ! _____

▬ Prénom ou pseudo ;Valou
▬ Âge ; 20 printemps
▬ Où avez-vous connu le forum ;Par mon prof de philo. XD
▬ Exemple de RP ;
Spoiler:

▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7)5 à 6/7 mais je pense Rp principalement les jeudi, & WE.
▬ Code du règlement ;
Spoiler:
▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement)
▬ Célébrité sur l'avatar ;Kate Beckinsale
▬ Multicompte(s) ;Yop (a).. DC d'Alex.
▬ Un dernier truc à dire ? ;Buvons un coup ma serpette est perdue...

(*) Pour éviter tout malentendu, même si c'est un détail, je sais qu'il n'y en a PAS eu..

Histoire ;

« L’enfant se laisse vivre, l’adolescent attend de vivre.. »

Citation :: Après neuf mois d’attente, Dmitri Anatolievitch Armyanski et son épouse Dina Pahlavi sont heureux de vous annoncer l’arrivée de Svetlana.

Ce 13 juin 1987, à 14h40.

Vous êtes conviés à une petite fête en l’honneur de Svetlana et de ses heureux parents, le samedi 24 juin, à l’Ambassade de Russie à Ispahan.

C’est agrémenté d’une photo de moi que ce faire-part fut envoyé aux quelques amis de mes parents dans les heures qui ont suivi mon arrivée au monde.
Je n’avais pas encore vécu une semaine pleine que déjà une vingtaine de familles me connaissaient déjà.
Mon enfance s’est déroulée de la manière la plus normale et la plus banale qui soit. Enfin, banale, peut-être pas car tous les enfants n’ont pas la chance d’avoir leur deux parents et tous ne sont pas nés dans un milieu comme on dit « favorisé. »

Petite fille gaie et ouverte, choyée par des parents aimants, j’ai été bavarde et sociable durant ce que je me rappelle de mon enfance même si mon caractère était plutôt atypique par rapport aux autres petites filles que j’ai pu croiser. Lorsqu’elles préféraient jouer aux poupées bien au chaud dans leurs chambres, on me trouvait sur les terrains de foot à courir parmi les garçons et à me dépenser parfois un peu plus que de raison. Une petite pile électrique oui, si on veut.
Quand je suis entrée à l’école primaire, j’ai d’abord été le bouc émissaire… allez savoir pourquoi. Les jeunes enfants sont souvent cruels et choisissent un souffre-douleur sans raisons apparentes. Et puis j’avais une carrure de crevette alors forcément ça ne m’a pas facilité les choses. Pas si grande, frêle j’étais pour ainsi dire mal partie.
Néanmoins avec mon caractère j’ai réussi à les « convertir ». J’ai appris à me faire apprécier, sinon respecter.
Avec les années ça ne s’est pas arrangé... Disons que j’ai une tendance à être ultra déterminée, à savoir ce que je veux et je pense avoir développé une certaine capacité à faire comprendre aux autres qu’il vaut mieux ne pas me marcher sur les pieds.
A l’école, au collège, je n’avais jamais flirté avec l’excellence et ce n’est qu’au lycée que j’ai su ce qui m’intéressait vraiment. Très tôt j’ai commencé à aimer lire les revues « sérieuses » trouvant celles que lisaient les autres filles ennuyeuses à mourir. Je dois avouer qu’avoir un père ambassadeur & une mère éditrice m’a en quelque sorte formatée.
C’est le journal indépendant Новая газета qui fit naître en moi cette vocation de journaliste, malgré tous les risques que cela pouvait comporter.
Ce n’est que plus tard que les choses ont dégénéré et que ma vie n’a plus été la même.

C’est une rencontre qui a été le phénomène déclencheur de ma ferveur militante. J’ai eu le privilège de rencontrer cette femme que je considère comme mon idole, Anna Politkovskaïa.
Une femme qui n’avait pas peur de dire les choses et qui malheureusement l’a payé de sa vie.
C’est suite à une discussion avec elle que j’ai compris les enjeux de ce métier et croyez moi ils ne sont pas seulement d’informer le grand public de ce qui se passe sous leurs yeux dans leur propre pays. Il s’agit de tenter de rétablir un ordre dans ce chaos, réveiller un peuple devenu amorphe et manipulé par une classe dirigeante trop préoccupée à se maintenir qu’à servir les intérêts de ceux qui l’ont mise au pouvoir. Ou plutôt qui ont assistés à leur prise de pouvoir.

L’année de mes 17 ans, à lors que je commençais à devenir une jeune femme séduisante, j’ai commencé à m’engager dans un mouvement de jeunes militants, une sorte d’association qui lors de ses différentes réunions tentait de construire les plans d’une situation politique plus stable et plus saine. Quelques manifestations en place publique mais sans aucune dégradation de matériel, rien de condamnable normalement. Eh bien il faut croire que désapprouver publiquement le gouvernement et lui demander des comptes est un acte répréhensible.
C’est en avril 2004, le 28 je crois, que les ennuis ont commencé. Une intervention de la police, et voila les ingrédients pour un aller simple en enfer.
Ne manque au tableau qu’un simulacre de procès dont la minute officielle fut aussi peu soucieuse de la vérité que destinée à mettre aux oubliettes des étudiants un peu trop avides de changements.

Citation :: Minute du procès.
(..)Que la Cour déclare les citoyens Sergueï Nikolaevitch Kaminski, Ivan Mikhaïlovitch Kouraguine et Svetlana Dmitrievna Armyanskaïa coupables d’association et de formation d’un groupuscule réactionnaire et révolutionnaire ainsi que de tentative de coup d’Etat.

C’est bien avec cette minute grotesque et au trait grossi que nous fûmes envoyés dans les centres de redressement que tout le monde craignait tant et croyait disparus avec l’Union Soviétique. Pourquoi nous trois en particulier ? Personne ne le saura jamais. Il y a dans ce pays beaucoup de choses que personne ne saura jamais.

« When the violence causes silence, we must be mistaken... »

Tomsk, à partir de mai 2004.

J’avais toujours eu une vie relativement facile et agréable, j’allais connaître le pire endroit sur terre. Le « centre d’isolement de Tomsk ».. où j’avais été condamnée à passer deux ans.
La ville en elle-même était peu accueillante, perdu dans la grisaille comme assommée par un brouillard constant. Il pleuvait lorsque le convoi qui nous y acheminait atteint sa destination. C’est avant de franchir la grille de cet établissement austère que je revis pour la dernière fois mes deux compères.
A ce jour encore je ne sais ce qu’il est advenu d’eux. Il y avait dans ce « centre » une aile pour les hommes et une autre pour les femmes et tout était conçu pour que les détenus de celles-ci ne soient jamais en contact. Au fond d’une cour, une tour s’élevait en macabre majesté. Celle réservée à ceux qui étaient devenus des larves, ceux qui avaient été trop faible pour résister aux traitements prodigués. Entre ceux qui sortaient du centre – ceux qui en sortaient sur leurs deux jambes et ceux qui sortaient les pieds devant confondus – et ceux qui étaient relégués au bâtiment C, c’était ainsi que de nouvelles places se libéraient. Car la règle d’or de ce centre était qu’aucun de ses pensionnaires ne soit avec quelqu’un d’autre dans sa « chambre ».

Tout dans ce centre est en réalité fait pour anéantir les jeunes citoyens aux velléités de rébellion à l’égard de l’ordre établi. Le processus infernal commence avec un entretien avec le directeur ou son adjoint.
Le dossier des pensionnaires leur a été transmis par le juge et il connaît les cas individuellement. Cet entretien est une étape obligatoire et il a lieu après que chacun ait pris ses quartiers. Pour ma part ce fut avant le premier des sept cent trente dîner que j’allais prendre dans ce lieu vétuste et insalubre. Je fus conduite par une des surveillantes de l’aile des femmes, une de ces femmes dont on se demande si elles ne sont pas des hommes qui s’ignorent et qui ont l’amabilité d’une porte de prison, jusqu’à la pièce où siégeait en maître le directeur des lieux.
Cette pièce était peu éclairée, juste une lampe sur un bureau et dont le faisceau ne couvrait que la table et une chaise vide, celle où j’allais devoir prendre place.

« Svetlana Dmitrievna Armyanskaïa… Tu es la fille de notre ambassadeur en Iran n’est-ce pas. » Un « Oui. » sec et franc fut la réponse à cette première question.
« Et pourquoi es tu ici ? Tu pourrais faire des choses tellement plus intéressantes… »
« Pour avoir exprimé une opinion. »
« Ha oui … Ce n’est pas ce qui est inscrit dans ton dossier. »
« Ce dossier est faux. »Avais-je répondu comme si c'était la chose la plus évidente du monde. C’était la phrase de trop. il s’est à lors levé, a contourné son bureau et m’a giflée. « Petite idiote. Crois-tu la justice fédérale capable d’inventer une chose aussi grave ? »
« Oui. »
« Tu es une forte tête. Mais tu n’es pas la première… Nous réussirons à te mater, comme les autres. »

Et c’est ainsi que commençai le séjour en Enfer. Les surveillants avaient tous les droits et ceux qui ne faisaient pas leur mea culpa, ils leurs rendaient la vie plus que difficile.
Les journées étaient toutes les mêmes, construite selon le même processus d’encerclement mental. Pour cela tous les moyens étaient bons, même les moins recommandables. Il fallait rendre les « pensionnaires » malléables, les faire devenir des êtres totalement « repentis » on se serait cru au temps des grandes Purges. Lever à 7h, petit déjeuner une demie-heure après dans une salle surveillée par un petit régiment de surveillants. Aucune discussion n’était tolérée durant les repas. Les horaires étaient cadrés, de 8h à 12h travaux d’intérêt général : corvée de chiotte, épluchage de patates ou autres besognes. Des tâches qui demandaient le moins possible de réfléchir. Même les loisirs étaient règlementés et nous n’avions accès à une salle « libre » qu’une heure par jour. Il y avait une télévision qui recevait tout au plus 4 chaînes. La télécommande était devenue un symbole de pouvoir et de liberté qui était souvent au centre de disputes entre les « pensionnaires ».
L’après midi était consacré à ce qu’ils appelaient la « rééducation civique ». Une thérapie de groupe où chacun était censé reconnaître ses fautes et ses crimes et où un instructeur spécialement formaté se chargeait de rabâcher qu’accorder sa confiance au gouvernement était la clé pour une vie meilleure.
Je me souviens encore du compte-rendu qu’avait dressé à mon sujet la surveillante générale.

Citation :: Armyanskaïa est une pensionnaire totalement perverse, réfractaire à toute rédemption et représentant un danger pour le bon fonctionnement de cet Institut. Il ne faut à aucun prix qu’elle contamine les autres à l’aide de son esprit vil et réactionnaire.

Ce rapport me valu d’être surveillée de deux fois plus près que les autres et les entretiens chez le directeur se firent plus nombreux. Ils voulaient me faire entrer dans le rang. Et ils allaient y arriver. Les séances « pédagogiques » se sont avéré comporter des attouchements sordides et du formatage intensif digne d NKVD lui-même. Entre autres, la désorientation sensorielle : quelques heures passées dans la solitude la plus profonde dans une pièce totalement obscure. L’on y perd toute notion du temps et parfois même la raison.
Dans ces moments je me raccrochais à mes souvenirs, à toutes les pensées heureuses qui avaient pu traverser mon esprit. Mais cela n’a marché qu’un temps. J’ai peu à peu fait connaissance avec une autre Svetlana. Une autre que moi que je ne connaissais pas et qui allait peu à peu prendre le contrôle de mon esprit.

Et puis de semaines en semaines, au gré des séances collectives et privées, à force de sévices en tous genres, depuis la privation de repas jusqu’à la souillure ultime et irréversible, en passant par les périodes d’isolation, la vivacité chevillée au corps que j’avais en entrant me quitta peu à peu. L’autre Svetlana prit une place toujours plus importante dans mon esprit.
Il m’arrivait de rester des heures durant, prostrée dans ma chambre, recroquevillée sur moi-même, le regard perdu dans le vaque, ou bien au contraire cédant à des accès de colère où je sentais naître en moi, sans que je ne puisse rien y faire, des pulsions de mort. Mais pas à mon encontre. Des envies de meurtres.
Et puis cela s’évanouissait aussitôt.

Coupée du monde extérieur, ou si faiblement reliée à lui, tout encourageait la folie ou poussait au suicide. Nous avons perdu beaucoup de camarades et cela entamait un peu plus le moral général.

Lorsqu’on m’a annoncée que j’avais purgé ma peine et que j’étais libre, je n’ai pas réagi, pensant que c’était encore une de leurs supercheries. Je ne savais plus combien de temps j’avais passé enre ces murs. Le décompte que j’avais entamé, je l’avais perdu il y a bien longtemps.
C’est ma mère qui est venue me chercher à la descente du train à Moscou. C’est par elle que j’ai appris que mon père avait été muté au fin fond du monde… les mutations. Tout le monde sait que cela peut être aussi bien une récompense qu’une punition. Le deuxième cas est plus fréquent.

Voyant l’état quasi léthargique dans lequel j’étais, ma mère a remué Terre et Ciel pour m’envoyer voir un des meilleurs psychiatres.. Aux Etats Unis.
Apparemment, il avait étudié beaucoup de cas dans mon genre et ses statistiques étaient éclatantes. Presque tous ceux qui étaient passés par ses soins avaient pu réapprendre à vivre normalement.
Particulièrement les sujets jeunes. J’avais 19 ans, presque vingt. Le chemin allait être long mais l’espoir était permis.

J’ai passé quatre années dans un état de relative instabilité… Mon autre personnalité avait cette emprise sur moi.
Se confronter à une vie banale, dans une société aussi sauvage que celle de New-York où malgré les apparences règne une importante criminalité.
Je ne saurais dire comment ni pourquoi, mais les moments où je n’étais plus réellement moi-même m’ont fait commettre plusieurs bavures dont je ne gardais après coup aucun souvenir. Il m’est arrivé plusieurs fois de remarquer sur mes vêtements ou mes chaussures des traces de sang à lors que je ne m’étais nullement blessée.

Si aujourd’hui j’ai l’apparence d’une jeune femme tout à fait normale, l’autre moi n’a pas été totalement maîtrisée.
Depuis l’année dernière, j’ai essayé de reprendre des études. Toujours le journalisme, cette vocation qui ne m’avait pas quittée…
J’ignore ce que sera demain, mais ce qui est sur, c’est qu’il ne pourra jamais être pire qu’hier.

Bonsoir et bienvenue sur TDS ! Bon courage pour ta fiche aussi et n'hésite pas à contacter le staff si tu as des questions ou des problèmes dans la confection de ta fiche.

Merci à vous deux pour votre accueil ^^ Je vais essayer de boucler ma fiche ce Week-end.

Bienvenue

Bon courage pour ta présentation Wink

Merci beaucoup Very Happy

(re) Mercii :vole:

Bienvenue && bonne chance pour ta fiche

Merciii =D

mais le manche, mais le manche. buvons un coup ma serpette est perdue, mais le manche est revenuuu.

ALLEZ EN O !

Bovo' z'o co... *sort*

RE- 8D

... mo sorpoto pordo.. Mo lo mocho mo lo mochooo xD
*sort aussi *

Je te souhaite à nouveau la bienvenue parmi nous <3

Très bon choix d'avatar.

Double merci <3

J'ai pas du le voir la première fois, mais : t'as connu le fow par ton prof de philo ? *INTRIGUEE* o_O

Re-bienvenue en tous cas, bon choix d'avatar Wink

Re-bienvenuuuue 8D
j'adore le prénom <3
Et tu connais le toutim, bon courage pour ta fiche i tou, i tou...

(j'suis tellement claquée que j'allais te souhaiter bon anniv' au lieu de bon courage Oô)

Bienvenue,
et bon courage pour ta fiche = )

Jsuis prof de philo now ? xD
Ma choute t'as remis ça.. Voilà t'es contente t'as quémandé jte répond XD

RE-BIENVENUUUE !

@ Lizzie : C'est ton autre "moi" xDD
*sort*
Wai j'ai remis ça. J'ai osé !

@ Sunday : Re- mercii Very Happy

No problem pour le DP Wink

Personnellement, je pense que c'est à toi de choisir, mais le plus "logique" avec ce nom et le fait que Svetlana n'a pas toujours vécu aux USA me semble être le groupe des étrangers. Après, si tu préfères les hors-la-loi ou les étudiants, à toi de voir Wink

» Lost in Roxboro
» LOST-REVERSED
» (altan) ✯ Innocence isn't lost, it's stolen [Délai jusqu'au 23/03]
» Lost In The Echo
» Billie Spencer . I'm a nightmare, I'm a lost cause that what they always say.

« Am I too lost to be saved ? » Svetlana A. – 100 %

« Am I too lost to be saved ? » Svetlana A. – 100 %

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