Feat "James FRANCO" (c) Jackspirit

_« Damon Macchiavelli »_ _____ This is who I am _____ ▬ Nom ; Macchiavelli ▬ Prénom(s) ; Damon ▬ Surnom(s) ; Mandragola (Mandragore en Italien) ▬ Âge ; 27ans ▬ Nationalité ; Américaine, Origine Italienne (Florence) ▬ Groupe ; Cityzen ▬ Statut et activité dans la vie ; Avocat, Tueur en série ▬ Orientation sexuelle ; Fantasque

_____ Wanna know more ? _____

▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;

Apocalypse - Jesper Kyd

▬ Relations ;

Les relations du dérangé s'avèrent variées et diverses. L'homme entretien une sibylline accointance, peu dissimulée, avec les malfrats de New York à l'origine italienne et sicilienne. Tout ceci reste très professionnel, mais au vue des origines de Damon, on ne peut empêcher le coté familial s'immiscer à ce dit professionnalisme. Malicieux, il garde aussi quelques rapports avec les gitans. Ces personnes sont dotés de multiples qualités, faisant alors ombres à leurs défauts stéréotypés. Une deuxième relation importante dans l'univers de l'Italien. Celle qu'il entretien avec les femmes. Un mélange d'ambiguïté, de tendresse, de fureur et de réglementation, rend la "relation homme-femme" encore plus énigmatique qu'elle ne l'est au départ. Il fait point la différence entre ses collègues et ses amantes. Pour lui la femme est un gouffre, toute la misère du monde se déverse en elle.Il respecte et adore seulement les femmes qui le mérite, selon lui. Les catins, gourgandines, et michetonneuses sont donc à proscrire . Il a quelques connaissances, avec qui il entretien un certain respect, mais une estime guère approfondie. Le trentenaire préfère garder son intimité pour les femmes, et sa confiance à lui seul. Si tout de fois, une réelle amitié se forge entre Damon et une personne, cette relation sera aussi sacrée que sincère. Face à ses amis, l'homme se montre jovial, compatissant et à l'écoute. N'étant pas très axé sur la palabre affectif, si la personne est réceptive face aux comportement de l'avocat, elle pourra connaitre le degré d'affection qu'il détient à son égard, si toutefois cela arrive.

▬ Physique ;

Damon hérite du physique assez typé du basané latino. Son visage serein et suave pourrait en déstabiliser plus d'une. En effet, comment se douter que derrière ce minois visant la perfection, se cache un tueur en série. L'italien dispose de pommettes belles et légèrement creuses, formant un visage élancé jusqu'à son menton qui semble plus ou moins en pointe. Son nez semble assez petit et se finit comme son menton, s'additionnant parfaitement avec son faciès. Un sourire parfois malicieux peut alors s'installer sur les lippes du psychotique, éclaircissant sa frimousse trop souvent froide. Ses yeux de jais, ont hérité de la même couleur que ses cheveux tantôt courts, tantôt mis-longs, où Damon se plait à les coiffer en une brosse énergique. Son corps reste aussi élancé que son visage, mais ce qui ne l'empêche pas d'être doté d'une bonne musculature. La Mandragola dispose d'abdominaux fort bien dessinés laissant apparaître huit cubes musculaire convexes et saillants. Ses bras sembles être les moins comblés, et assez étirés. Ses pectoraux quand à eux, sont divinement bien séparés et creusés, prenant la totalité du buste de Damon. Ses jambes, à n'en pas finir, reste tout aussi musclées que la partie supérieure de son corps d'athlète et lui permettent d'atteindre une vélocité plus qu'acceptable. Devant avoisiner les un mètre quatre-vingt pour soixante-dix kilos, il fait partie des normes physiques masculines. Quand à ses habits, Macchiavelli se pare avec des vêtements plutôt sobre et classe. Un bas de costume en guise de pantalon, une chemise, des mocassins, et un chapeau vient parfois lui orner le crâne.

▬ Caractère ;

Le dénommé Macchiavelli Damon est doté d'un psychisme aussi énigmatique qu'atypique. Nonchalant et placide à souhait, l'homme parait peu sociable aux premiers abords. Tout ceux qui le connaisse, voit souvent en lui quelque chose de beau ou bon, aimable et jovial. Mais ce n'est qu'une abstraction de lui même. C'est une illusion de la sociabilité, l'avocat est en réalité absent psychiquement parlant. Extérieurement il peut paraitre humaniste et ouvert d'esprit, mais intérieurement c'est tout autre. Homophobe, misogyne à souhait, conformiste, il s'avère que Damon est un homme dans son infinie stéréotypie. Élitiste, il pense que certaines personnes tel que lui, sont au-dessus des autres, et devrait être en droit à de plus grandes responsabilités. Matérialiste et quelque peu narcissique, l'italien prend grand soin de lui et de ses biens. Il se complait à acheter ce qui y a de meilleurs et est un grand pratiquant de la consommation ostentatoire. Il prête une intention toute particulière pour ses vêtements, n'achetant que des parures de marque. Grand amateur de musique, il a goût prononcé pour la pop et la pop rock des années quatre-vingt. Damon fait partie de la caste des Yuppies de New York. Il va dans des restaurants qui sont toujours complet pour le bas peuple et participe à des soirées luxuriantes entre personnes de son acabit. Psychotique à n'en plus douter, sa colère a à présent, dépassée les limites de la normalité. Une furie meurtrière le possède et le noie dans des flots sanguinaires, depuis à présent une demi-dizaines d'années. Mais cela fait à peine un an qu'il laisse cours à la libre imagination de sa ire. Même si ce trouble psychologique date depuis son enfance, il s'est passé quelque chose dont même Damon ignore, qui l'a transformer en un tueur avide de sang. L'avidité, une émotion dont l'homme ressent encore l'âpre sensation. Comme tout être humain, l'avocat est fait de chairs, de peaux, de cheveux et d'os, mais il ne dispose d'aucuns sentiments perceptible, si ce n'est l'avidité, comme susnommé, et le dégout. S'avérant extrêmement sadique, lorsqu'il vint à être hanté par ses nuits sanglantes, l'homme est poussé à un degré de barbarisme effroyable. Étant friand de sexe, il peut exprimer sa violence et ses fantaisies belliqueuses, durant un acte sexuel. Il peut tout aussi rester sobre avec des femmes, qui mérite le respect selon lui. Ses colères se manifeste souvent par une jalousie ou une moquerie à son égard. Ne supportant pas que quelqu'un soit perçus meilleurs que lui, il peut en transpirer et en trembler, tellement la situation lui sera irritante. Il déprécie fortement qu'on porte atteinte à ses connaissances ou à ses compétences, et si il peut encore se retenir de tuer quelqu'un sur place, il ce peut qu'il trouve un moment plus propice pour laver le déshonneur qu'une personne lui aurait faite, en lui écharpant la tête avec une hache. Damon est avant tout quelqu'un de malin, même si il agit sous le coup de la colère, il a en son esprit, une réflexion illimitée et tel un bon avocat qu'il est, il sait faire les bons choix. Macchiavelli n'a rien du tueur en série type, il n'a pas de préférence coté victime et tue souvent aveuglément même si la plus part de ses meurtres ont été pour l'instant commis sur des mendiants. Enfin si on l'appel la Mandragola, c'est pour faire référence à sa psychologie si insaisissable. Comme la mandragore, certains lui attribut des fonctions bénéfiques, d'autres, néfastes...

▬ La plus grande honte du personnage ;

Ce fut la première fois que Damon ne put se contrôler à tant soit peu et dû laisser cours à ses envies de meurtre sur un inconnu, mais qui n'était point sans importance socialement et professionnellement. Après lui avoir broyer le crâne avec une barre de fer, l'avocat fouilla dans les affaires du macchabée pour s'apercevoir qu'il était Trader à Wall Street. Après quelques minutes de réflexions, le tueur décida d'envoyer le corps inerte dans la mer. Une annonce de disparition à été faite dans les journaux, et les annonces de quelques témoins ont réussi à localiser la zone du meurtre. Même si Damon a réussit à ne laisser aucun indices, il reste quelques peu anxieux.

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;

L'enfer serait de se faire repérer et saisir par les autorités. Pour le moment il ne craint pas grand chose. Mais ses pulsions meurtrières commence à le consumer de plus en plus. Qu'arrivera t-il une fois qu'il ne pourra plus se retenir? Il n'est qu'à un fil de basculer de l'avocat au psychopathe. Il ne se fait pas de dessin, une fois arrêté c'est soit la prison pour une centaine d'années ou l'injection létale. Et Damon s'aime trop pour voir son existence s'arrêter si promptement...

▬ Définition du paradis pour le personnage ;

Sa joie la plus grande? Être la personne la plus originale et respectable qu'il soit. En effet Damon a horreur de la concurrence, et de savoir que plus personne ne pourrait arriver à ses chevilles, serait la quintessence de l'allégresse. Il est tout à fait normal pour un être aussi superficiel et matérialiste comme lui, que de vouloir régner sur le monde. Il rêve aussi que son cabinet soit encore plus respecté. C'est cela qui caractérise les perdants et les gagnants. Les gagnants voudront toujours plus de ce qu'ils ont, ils voudront ce qui leurs revient de droit, même si ce qui leur revient, n'est autre que le monde.

▬ Crimes déjà commis ;

Inconnu

- Mise à mort de quatre SDF
- Mise à mort d'un Trader à Wall-Street
- Acte de violence, viols et taillades sur quelques prostituées
- Acte de torture sur ses victimes

Connu

- Entretien avec des membres de la Cosa Nostra
- Consommation de cocaïne

_____ Behind the screen ? A player ! _____

▬ Prénom ou pseudo ; Jack
▬ Âge ; 18ans
▬ Où avez-vous connu le forum ; hihi
▬ Exemple de RP ;

Spoiler:

▬ Connexion ; 5/7
▬ Code du règlement ;

Spoiler:

▬ Avez vous signé le règlement ; [x]OUI ; [] NON
▬ Célébrité sur l'avatar ; James Franco
▬ Multicompte(s) ; Yes my lord !
▬ Un dernier truc à dire ? ; - Le caca des oiseaux, c'est caca. Faut pas manger ! (Kadoc)
- C'est pas faux. (Perceval)

▬ Histoire ;




CHAPITRE I

« Car la force est juste quand elle est nécessaire »



Florence, une des villes de la renaissance, il fut un temps. C'est ici que vécut la famille Macchiavelli sur plusieurs générations. Le membre le plus connus reste le théoricien et penseur de la guerre et de la politique, Niccolo Macchiavelli, qui vécut entre le quinzième et seizième siècle. Aujourd'hui il est impossible de savoir qui est la véritable descendance de ce génie de la politique, qui fut l'un des premiers concepteurs de la république. Surtout que le double "C" à Macchiavelli a été supprimé afin de donner Machiavelli, pour une raison typographique selon les historiens. D'un père médecin et d'une mère au foyer, Damon naquit dans un univers adapté à une enfance saine. Un paternel protecteur et une maternel attentionnée. Le bambin vint au monde un soir d'hiver à l'hôpital S. Maria Nuova. Avec le métier de son père, l'enfant reçus une très bonne éducation et un sens morale respectable. Seulement, quelque chose faisait défaut au psychisme du jeune garçon. D'un naturel colérique et belliqueux, celui-ci exprimait trop violemment son mécontentement face à quelque chose qui le déplaisait. Rentrant dans des rages folles, les parents du garçon vinrent à être convoqués par l'établissement scolaire lorsque Damon eu envoyé un enfant de son age à l'hôpital juste parce que ce dernier avait selon le jeune Macchiavelli, des chaussures plus enviables que les siennes. Ne savant que faire, ses parents eurent tout de même trouver une solution hasardeuse mais plus ou moins efficace. Lorsque Damon était épris de ses ardentes colères, celui-ci était dépourvut de tout ses biens. Punition radical, qui métamorphosa le gamin. On avait beau être haut comme trois pomme, à cet age on apprenait très vite. Et il avait donc compris très que si il voulait garder les jouets, les biens, et autres, qu'on lui offrait, il devait cesser impérativement ses colères. C'est ainsi que Damon devint un véritable zombie. On pouvait passer de bons moments avec le garçon, échanger des rires, des pleurs. Mais consciemment, il n'était tout simplement pas là. C'était une carapace morne et placide qui s'était installé sur l'esprit et le corps de l'enfant. Une entité insipide et vide de sentiments et de sensations. Si vous le touchiez vous pouviez y sentir tout ce qui y a de plus charnel chez un être humain, mais l'âme était absente. L'éducation et l'instruction de cet être se poursuivit ainsi, dans les lois de la religion et de la bien-pensance. Catholique, comme la plus part des Italiens, Damon reçus toute les connaissances mystiques chrétiennes qu'un enfant reçois lors d'un enseignement en école privée. Il fut tout de même envoyé auprès d'un spécialiste, pour comprendre son comportement parfois extrêmement froid. Le psychologue, aussi doué puisse-t-il être, dû se résoudre à abandonné les séances, ne tirant rien de constructif avec le patient. Ses études, quand à elles, sont d'une réussite déconcertante. Frôlant la perfection, Damon s'offre un excellent parcours scolaire, et un futur professionnel très prometteur. Malheureusement du coté privé et familial, tout ne se passe pas pour le mieux. Le géniteur se fait de plus en plus absent, et la génitrice de plus en plus songeuse...




CHAPITRE II

« Mieux vaut régner en Enfer que servir au Paradis »



A l'approche de la majorité, Damon eu son bac, et ses parents décidèrent de divorcer. Quoi de plus normal lorsqu'on s'aperçoit que son mari nous ai trompé durant une dizaine d'années. Ayant plus de quinze ans, le jeune homme choisis de rester vivre avec son père. Son adolescence fut très enrichissante sur les relations humaines, pour son esprit. Il en apprit beaucoup sur les femmes, la luxure, l'argent... Il se fit très vite ses propres idées, aussi stoïque puissent-elles être. Des principes aussi froid que son cœur, c'est ainsi que durant l'adolescence, Damon est devenu une créature que l'homme a inconsciemment chercher à être durant toute son existence. Une entité ne ressentant que des émotions bonnes pour lui même, et néfastes pour les autres. Étant conscient d'avoir hérité d'une plastique apollinienne, l'italien a vite profité de sa beauté pour se jouer des femmes et des sentiments humains, créant une forme de misogynie envers certaines jeunes filles. C'est après le divorce de ses parents, que Damon partit aux États-Unis avec son père. Il avait choisit de partir avec son géniteur pour la simple et triste raison qu'il ne voyait rien d'instructif à rester avec une fainéante et une écervelée qui n'avait jamais eu l'intelligence de bouger son séant pour trouver un emploi, telle que sa mère. Après ça, il ne revit plus jamais florence ainsi que celle qui lui avait donné la vie. Il poursuivit ses études à Harvard. Des études de droit afin de commencer une carrière d'avocat. Durant ses études qu'il trouvait plus passionnante que les précédentes, il avait trouvé sa voie, et il était facile de le percevoir tellement il excellait en la matière. Il trouva sans difficulté un cabinet de renommée multinationale, logé à New York, avec lequel il allait avoir ses premières expériences professionnels. Damon était toujours le même jusqu'à ce qu'il comprenne qu'il gagnait à présent suffisamment d'argent, pour avoir tout les biens qu'il souhaitait. Alors quelque chose d'horrible se produisit en lui. La colère trop longtemps étouffée sous le poids du matérialisme se mit à muter. Une rage sanguinaire s'était incrusté dans le psychisme du nouvel avocat. Et il fallait à présent s'en remettre aux temps, pour savoir quand est-ce que la mentalité de Damon allait sombrer. Puis sont père périt. D'une rupture de l'anévrisme. Une mort si soudaine qui n'affecta guère l'italien. A présent conscient, l'avocat sait qu'il n'a plus rien d'un être humain. C'est devenu une bête, assoiffée d'argents, de pouvoirs, et bientôt de meurtres. Il ne fallut pas longtemps pour que Damon se face un nom à New York. Il décida alors d'être son propre patron, et ouvrit lui même son cabinet, avec comme seul employé, une secrétaire. Travaillant à sa solde, l'homme âgé à présent de plus d'une vingtaine d'année, gagne encore plus d'argents et de renommées. Et plus il gagne d'argents et de renommées, plus sa furie sanglante se manifeste. A tel point qu'il n'apprécie plus de voir des personnes étant plus aisé que lui. Et il en est de même avec ceux qui ne travail pas et/ou qui sont pauvres. La jalousie et le mépris, deux sentiments principales qui font émaner sa colère belliqueuse et hostile. A présent, l'homme se rend aux endroits les plus huppé de la Grosse Pomme, en compagnie des personnes les plus influentes de la ville. Mais le soir, dans un total oubli de lui même, il laisse cours à ses envies psychopathes, et commence à tuer, étrangler, égorger, dépecer... Il est à présent rendu à cinq meurtres. Que des hommes, mais les femmes ne devraient pas tarder. Surtout qu'il est connu pour son avide envie de sexe, chez les sociétés de proxénétisme.

Re-welcome mister.
Bon courage avec cette nouvelle fifiche.