|
| | CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 11:25 | |
Feat "Lily COLE"
(c) Name'Less ♥ |
On dit que les apparences sont trompeuses. Cette petite introduction aurait bien pu être dictée par cette chère Chuck en personne, mais j'avoue que je n'ai que peu confiance en sa sincérité et que je connais que trop bien sa nature à sa déformer la réalité pour servir sa propre réputation. De son nom complet, Charlotte Machiavel Orson Foster, couramment appelée Chuck ou Mach'. Citoyenne de son état, Américaine de sa nationalité et de son origine, bien qu'elle revendique une semie-origine française du côté de sa mère. Du haut de ses vingt années d'existence, Chuck est officiellement étudiante dans les arts de la scène, excellant en danse classique, quotidiennement petite fille modèle. Officieusement, dépressive à temps plein et fêtarde mangeant de tous les bords, tout dépendra de son état d'ivresse.
|
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; (L'utilisation d'un lecteur exportable n'est pas obligatoire, vous pouvez aussi nous citer le nom de l'artiste et celui de la chanson qui, selon vous, conviendrait bien à votre personnage.)
Protect me d'un groupe se nommant Placebo, vous connaissez? Protège moi, protège moi. Protège moi de mes désirs. Un être tourné vers l'autodestruction de sa propre personne. Quoi de mieux que de telles paroles. Des paroles comme la douce supplication de la belle Charlotte, où sont le prince charmant et son cheval blanc? Ou plutôt la tapette et son petit poney. ▬ La plus grande honte du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Bien des personnes ignorent un tas de choses sur Chuck. On ne se cantonne qu'à ce qu'elle semble être, pourtant c'est la pourriture et la gangrène qui rongent l'âme de cette rouquine aux airs parfaits. Ceux qui savent font partis de ses proches, les rares personnes de confiance - et on ne cache pas la vérité, par rares personnes, j'entends « papa/maman » - les autres ont eu en échange de leur silence une jolie liasse de billets. Un tas de secret. Mais le pire de tout le voici: lors d'une petite soirée mondaine chez un camarade, la jeune Chuck vint à abuser de la boisson et d'autres substances pas très très légales. Une petite drague. Une petite conversation à l'horizontale, quoi de mieux pour faire connaissance? Les retombées furent d'un tout autre genre. C'est un séjour en France que Charlotte gagna, un petit voyage de famille fut-il dit au grand public. En réalité, cacher sa grossesse, grossesse qui ne fut pas interrompue par soucis d'éthique, bonne blague. Un père inconnu et polichinelle dans le tiroir. La grossesse menée à terme, l'enfant fut adopté. Histoire sans suites? Une parmi tant d'autres. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
La clinique et toute structure hospitalière dans ce même genre. Lui rappelant toujours trop de souvenirs, trop de délires morbides. Elle déteste les hôpitaux et pour rien au monde elle voudrait y aller, préférant mourir plutôt que d'aller aux services des urgences ou encore pour prendre le moindre médicaments. Sûrement cette période où elle était dopée aux anti-dépresseurs, des médicaments pour la concentration « phytothérapie, méthode thaïlandaise » disaient les parents pour justifier cette prise massive. Beau ramassis de conneries. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Un monde où tout le monde serait à ses pieds. Un monde où elle serait la petite reine, aussi bien à la faculté que dans le monde de la nuit. Un petit royaume régit par les lois impitoyables des potins, des modes et des marques hors de prix. Un endroit où tout le monde la regarde et la prend comme en exemple. Une petite reine tyrannique rêvant de supériorité dans un monde elle n'obtient tout seulement grâce à son nom et son argent. Comme il est difficile d'être Charlotte Foster. ▬ Point faible du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
Son manque de confiance en elle. Surprenant n'est-ce pas ? Elle n'en a pas l'air, mais Charlotte manque cruellement de confiance en elle. Quand il s'agit de croire en elle-même elle faillit. Sûrement pour ça qu'elle met à sa botte tout élève qu'elle croise, agissant comme une reine. Cherchant le regard des autres comme cherchant leur approbation et leurs compliments. Faites vaciller son pouvoir et la reine sera détrônée de sa tour d'ivoire, saurez-vous la faire chuter de très haut ? ▬ Point fort du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
Mach possède un énorme savoir. Loin de l'image de la belle fille n'ayant rien dans le cerveau. Tout l'inverse. Ses notes ont toujours été dans le niveau l'excellence. Elle a toujours beaucoup révisé, ou parfois un peu fraudé, même si elle ne l'avoue pas. Mais elle a toujours visé le meilleur, que ça soit dans les études, le niveau social, la réputation, la popularité. Et pour pouvoir, il faut savoir. C'est une règle de base. Sinon, comment aurait-elle pu intégrer la plus prestigieuse école des arts de la scène de New York? Talent et intelligence les enfants. ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel.)
Chuck est une parfaite petite oie blanche. Son casier est aussi vierge que....aussi vierge que vierge * ahem * Bien qu'en réalité, la belle ai bien des fois fraudés et dépasser les excès. Le pouvoir de Papa/Maman et des sous-sous judicieusement mis dans la po-poche sont les plus forts. Entre autre chose possession et consommation de stupéfiants, ivresse sur la voie publique....les fêtes qui tournent pas mal on y peut rien! Suivant ce trajet on a le tapage nocturne/diurne, dégradation des biens publics, outrage à agent de police.... Comment ça elle n'avait pas le droit de chauffer le policier en bas de chez elle?! Un homme en uniforme, elle ne pouvait pas résister. Ah oui aussi, du vol à l'étalage, simple paris stupide. Pas de besoin d'être klepto quand on a tout ce qu'on veut. ▬ Prénom ou pseudo ; Bad Wolf Bay _ Yvain chevalier au lion ▬ Âge ; L'âge de conduire, de boire, d'aller en prison... et tout le reste. Majeure et presque totalement vaccinée ▬ Où avez-vous connu le forum ; J'ai le bras long... MOUHAHAHA *out* ▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) Variable ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK by Jade. ▬ Avez vous signé le règlement ; [x]OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
- E. Mary Adler-Lawson a écrit:
BOOM-CRAC! Un impact. Puis des os qui se brisent comme le bois d'un cure dent. Et le sang qui s'écoule, mince fil le long de la tempe, tout contre sa nuque. Ploc. Ploc. Elle est brisée.
Aïe aïe aïe! Mais ça maaaaaaaaaaaaaal ! Ce n'est vraiment pas supportable. Ça fait trop trop trop mal. Ça cuit cette connerie. En plus c'est humide. Je sens que je saigne. Je garde mes yeux fermés. Même pas que je veux voir cette blessure. Elle doit être pas belle, elle doit être tout cracra et en plus je saigne. Non je refuse d'ouvrir les yeux ! Je refuse je refuse je refuse ! Puis le sang, ça me fait peur à moi. Puis puis puis, ça fait peur le sang. J'aime pas ça. Moi quand je vois du sang, ça me donne envie de.... de.... hummm. Je sais pas moi. La dernière fois que je me suis coupé le doigt je suis tombé dans les pommes et ça c'est définitivement pas cool ! Je sens que ça coule de mon genou, le long mon mollet. Beurk. Mais je saigne vachement en fait ! Je vais perdre tout mon sang ou quoi là ? Puis puis cette odeur. Cette odeur de plus en plus forte. On dirait de la rouille. L'odeur est tellement fortement, c'est si fort que j'ai l'impression que j'ai une fourchette oxydée dans la bouche. Ça me répugne. Beurk. Pourtant je pose mes mains sur la plaie, pour l'empêcher de couler à flot. Ca pique ça pique ! Et pis ça fait mal. En plus je me salis les doigts. Dans mes yeux c'est tout mouillé. Non, je refuse de pleurer dans un instant aussi critique. Non non non ! Je ne vais pas pleurer. Je suis plus une gamine voyons. Pourtant je fais l'erreur d'ouvrir les yeux. Et je vis cette affreuse plaie qui me saignait sur les doigts. Je me sentais tourner de l'œil en la voyant, avec cette odeur si forte. MARY - « MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN, criai-je dans un sanglot retenu au niveau de la gorge. » *** IZZIE - « Ma chérie. Il fallait faire attention Je tournais la tête pour ne pas voir la blessure que je m'étais faite. Ma mère avait commencé à sortir le matériel, les armes qu'étaient le coton de le désinfectant. Pour moi j'avais l'impression que c'était pire que la plus énorme des seringues. » MARY - « Mais c'est que j'ai pas fait exprès... puis je sais comment on s'y prend moi avec ces trucs. Les larmes commençaient à me monter aux yeux. Je sentais qu'elle allait me faire mal. Je sentais que ça allait faire super mal. Non je ne pleurerai pas promis promis juré pas craché ! Puis d'abord elle va pas me planter une grosse aiguille dans le genou.... » IZZIE - « Attention ça va piquer. » Un peu coup d'œil discret vers le meurtrier bout de coton imbibé par l'alcool. Ce vilain méchant bout de coton. Espèce de méchant vilain pas beau bout de coton caca proute ! Alors je le regardais s'approcher de ma blessure.... comme une sentence de mort. Je fermais les yeux d'un coup d'un seul. Pour ne pas voir le geste. Pour ne pas sentir ces picotements qui étaient parfaitement insoutenables. Je ne pouvais pas tenir le coup. Je l'attendais le moment. Je l'attendais ce moment ou le coton criminel allait me faire mal et me piquer la peau. Je sentais d'ailleurs le larmes me monter aux yeux. Je sentais aussi que mon nez commençait couler. Voilà que je commençais vraiment à pleurer. J'avais l'impression qu'attendre c'était au moins pire – voire même carrément plus pire – que d'avoir vraiment mal. Mais rien de rien. Je ne sentis rien. Pas dans le sens où le moment fatidique fut moins terrible que prévu, pas du tout. Dans le sens où le moment n'arriva jamais, rien du tout. Pendant un court instant j'avais même l'impression de ne plus être dans ma maison. J'avais l'impression d'être dans un tout autre endroit, mais toujours cette odeur, ce sang... Pourtant cet instant je refusais d'ouvrir les yeux, préférant rester dans le néant de mes paupières closes. Pourtant il y a eu cette voix. Cette voix que j'entendis comme dans un fond sonore. J'avais l'impression d'être enfermée dans un bulle hermétique et les sons n'arrivaient à m'atteindre que difficilement. D'ailleurs je ne pus pas entendre cette voix correctement, pas assez pour que je comprenne. Pourtant j'avais cette bizarre certitude que c'était à moi qu'elle s'adressait. Que cette voix m'appelait moi. Doucement mes yeux s'ouvrirent. Un désir de chercher une origine à cette voix. Qui est-ce qui pouvait m'appeler ? Qui est-ce qui avait envie de me remarquer ? Pourtant je ne fis face qu'à une chose, le noir. Une sorte d'univers complet noir. Noir et froid. Je n'aimais pas le noir. Mes bras se replièrent sur ma poitrine et un frisson me glaça littéralement le dos. J'avais l'impression qu'il faisait très froid d'un coup. Où est-ce que j'étais d'abord ? Pourquoi est-ce qu'il faisait tout noir ? Pourquoi est-ce que je n'avais pas une lampe de poche. Où était le haut et le bas ? La droite ? Et la gauche ? Je n'arrivais pas à savoir. Puis cette voix encore. Encore cette voix, un peu plus forte cette fois. D'où venait-elle? Je me retournai pour chercher. Mais rien à faire, vraiment rien à faire. Pourtant cette voix, elle me disait quelque chose. Comme si je la connaissais. Dans un effort, j'essayais de suivre le son de cette voix. Je me mis à courir, courir dans ce noir total. Mais j'arrivais à rien, mis à part m'essouffler pour rien. Mais ça venait de là pourtant... Puis un autre voix, des cris. La peur me souleva d'un coup. Qui c'était ça ? Je le connaissais lui aussi. Mais ça me faisait peur. Il faisait si noir.
EDDIE - « T'AS VU CE QUE TU M'AS FAIT FAIRE ?! NE L'APPROCHE PAS ! RECULE ! JAMAIS PLUS UNE VERMINE COMME TOI NE POSERA SES MAINS SUR ELLE ! » Ah oui c'est vrai. Je m'en souviens maintenant. Josh. Puis Eddie. Qui se battaient ou plutôt Eddie qui voulait tuer Joshua. La merde quoi. Oui oui je m'en souviens maintenant. Qu'est-ce qu'il s'était passé là ? C'était flou j'avais le global dans ma tête mais précisément. Allé, réfléchis Mary. Josh était là et il t'a dit ce choses et il est arrivé. Et après quoi ? La cheville. Puis je suis sauté le dos d'Eddie, dans un espoir vain de l'arrêter. Et …. le mur. Ma tête a cognée je crois. Et maintenant ? Et quoi maintenant ? Ils continuaient, c'était sûr à deux cents pour-cent. Allé. Réveille toi, réveille toi. Tu dois les arrêter. Réveille toi c'est important. Floc. Floc. Quelque chose d'humide sur ma tempe. Une douleur dans la cheville et au niveau de la poitrine. Une grande goulée d'oxygène passa dans mes poumons. Une grande inspiration que me valu une grande douleur aussi, deux pour le prix d'un. Sûrement des cotes fêlées, et autres contusions. Vu le choc que j'avais reçu ça ne m'étonnais pas vraiment. Je ne devais pas y faire attention. Je ne devais pas me fixer sur la douleur ou ça serait pire encore. Ma main se porta à mon crâne, qu'est-ce que j'avais mal. J'avais l'impression de sortir d'une fête carrément trop arrosée et que la bonne vieille gueule de bois me poursuivait avec son rire sadique. Aïe. La prochaine fois si je pourrais éviter le vol plané trajectoire plein mur ça serait cool. Juste qu'une fois je m'en prenne pas plein à la gueule. Mes doigts vinrent sur ma tempe essayer le sang qui s'écoulait, un peu trop d'ailleurs, c'était inquiétant. Mais je n'y fis même pas attention. Je faisais plutôt attention au fait que Josh et Eddie n'étaient plus là. Merde, il y a peine quelques secondes ils étaient devant moi à se crêper le chignon. Le temps m'avait semblé si court entre mon « évanouissement » et l'instant présent. Mais peut-être que ça avait été comme une sorte de rêve, le temps n'était pas très fiable. Je devais les retrouver. Enfin quand j'y pense vu le boucan qu'ils faisaient, on pourrait que c'était loin d'être un mission impossible. Bien qu'en vrai je mis quelques secondes à capter ce bruit et à réaliser que c'était eux. Mettons ça sur le compte du coup à la tête. Difficilement je m'appuyais sur le mur, histoire d'avoir un appui pour soulever ma carcasse. Je fermai d'un coup les yeux pour encaisser une vague de douleur. Mon corps me criait de me prendre dose d'anti-douleurs ou une bonne dose de vodka, au choix. Mais je ne pouvais pas me permettre ça. Je devais me bouger les fesses même si j'avais mal. Courage. Je me détachai du mur en grimaçant. Je devais me dépêcher et empêcher le pire. Je marchai rapidement, plus rapidement que ce que je pensais être capable. Ma démarche ressemblait à une petite course sautillante, je prenais sur moi, je prenais vraiment sur moi. J'arrivais très rapidement vers l'origine du boucan, vers le combat des deux hommes. Merde, c'était vraiment la grosse merde. Eddie était tout simplement impossible à arrêter dans sa furie. Je le sentais très bien, dans sa colère. Le raisonner aurait été tout bonnement inutile. D'ailleurs il pourrait même pas m'entendre alors ça aurait été totalement vain. Pourtant je devais faire quelque chose la tout de suite. Je devais trouver une manière pour que ça s'arrête et vite très vite. Un idée merde une idée! L'attaque arriva merde. Trop. Je n'eus pas le temps de penser. Mon corps bougea tout seul. Je me précipitai directement sur Josh. Je devais le dégager. Le je poussai brutalement par un bon gros coup d'épaule. J'y avais mis tout ce que j'avais de force ou plutôt tout ce qui me restait de force. Quand j'y pense c'était très bête comme geste. C'était même parfaitement suicidaire. Le plan était d'esquiver. Le plan était de partir de l'autre coté. Mais après après le coup que j'avais donné à Josh, je ne pouvais plus bouger. J'avoue les jambes en coton, j'avais mal de partout je restais totalement figée. J'étais tellement stupide. Le coup arriva, je le reçu sans m'en rendre compte. Ses griffes acérées qui pénétraient ma chair d'un geste sec et violent. Un énorme crac. Tout ce qui trouvait sur leurs passages fut transpercé, déchiré, brisé. Je n'avais pas cherché à éviter, je n'en avais même pas eu l'occasion. Pourtant j'eus le loisir de sentir mon thorax se faire transpercer de part en part. Je fermais les yeux et ouvris la bouche pour produire en râle de douleur sonore et grave. Le poumon. Le poumon était touché. Je le sentais bien, j'avais le souffle totalement coupé. Impossible de respirer pendant quelques secondes j'étais en détresse respiratoire intense. Mes poumons me brulaient. J'haletais en vain. Chaque respiration ratée était douloureuse, insoutenable. Mais alors que je ne pouvais plus respirer, il me retourna brutalement pour me plaquer contre un mur. Crac ! Nouveau crac sonore qui me résonna jusque dans les tempes. Le fêlures étaient devenues des fractures. Vu la douleur thoracique qui s'était multipliée, je savais très bien où elles étaient. Au moins ce choc eu un seul point positif, j'eus la légère impression que mon souffle était redevenu efficace. Enfin, tout est relatif. Je posais difficilement mes main sur son bras, celui qui était toujours en train de me transpercer. Je tentais de serrer mes mains autour de son bras massif, mais rien à faire. Tous mes muscles étaient en coton. J'avais l'impression de ne presque plus sentir mes mains. Je n'avais plus de sensation. Avais-je donc perdu tant de sang? Je relevais la tête vers lui et je commençai à articuler avec difficulté. MARY - « Je t'ai dit d'arrêter. Puis un gêne dans la gorge. Comme si elle était en train d'être obstruée. Réaction automatique du corps humain, la toux. Je toussa. Une fois puis deux. Erreur, la douleur dans mes poumons ne fit qu'empirer. Violente sensation qu'on me brulait les organes par l'intérieur et qu'en même temps ils étaient en train d'être perforer par un milliard d'aiguilles. Réveille toi Eddie. J'ai... mal. » Je continuai de tousser. Prise par des quintes de plus en plus violentes. Secouée par une douleur de plus en plus vive et destructrice. Je voulais hurler... je hurlais, de ton âme, je hurlais ma douleur qui devenait parfaitement insoutenable et inqualifiable. Une dernière quinte de toux sonna la fin. Je sentis quelque chose s'échapper de ma bouche et me couler le long de menton. Hésitante je vins essuyer d'un revers de main tremblant et mou à la fois. Rouge. Rouge écarlate. Je crachais mon sang. Je crachais mon sang. La douleur me secoua encore. La douleur, elle m'usait. Je perdais ce que j'avais de force. Je m'engoudissais totalement. Je commençai à perdre toutes les sensations dans mon corps, seule la douleur persistait. Mes paupières elles même commencèrent à devenir trop dur à rester ouvertes. Je fermais les yeux, sans résister. Alors c'était ça, mourir. C'était tellement bizarre. C'est quand même con avec les progrès de la médecine de crever à dix huit ans. Tant pis. J'étais fatiguée. J'étais tellement fatiguée je voulais fermer les yeux. Même si j'entendais des voix qui me crachaient de les garder ouvert, ou encore de rester. Des voix? Peut-être que je les avais imaginé ces voix. Peut être que ce n'était que le fruit d'un délire du à mon abondante perte de sang. Faites que ça finisse vite. Que je dorme pour toujours. Peut-être pourrai-je revoir ma mère et mon père. Dans le fond j'étais convaincu que c'était ce qui pouvait m'arriver de mieux, mourir jeune. Je cru voir Eddie avant de fermer les yeux. MARY - « Je suis fatiguée Eddie. Je te promets que je reviens. Mais maintenant laisse moi partir. Et le noir. » [HRP: j'espère que ça vous conviendra, sinon MP. Sur ce c'est fini pour moi, ça serait cool me sauver maintenant *out*] l'intégralité du rp ici ▬ Célébrité sur l'avatar ; Lily Cole ▬ Multicompte(s) ; Nop ^^ ▬ Un dernier truc à dire ? ; Chuck Norris, Chuck Bass, bon tous les jeux de mots sont fait avec mon prénom
Dernière édition par Chuck M. Foster le Mar 15 Mar - 17:48, édité 5 fois |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 11:27 | |
▬ Histoire ; (En 60 lignes minimum, pensez à ce que le caractère de votre personnage ressorte dans le récit, qu'il ne s'agisse pas d'une histoire qui ne nous apprend rien sur la façon d'être actuelle du perso.)bannière © Maya « Je pensais que vous pleuriez quand vous étiez tristes. »
Un. Je les détestais. Je les détestais comme personne au monde. À quoi pensaient-ils ? Que j'étais si bête que ça ? À quoi pensaient-ils ? Espéraient-ils que mon idiotie allait me permettre d'être aveugle. De passer l'éponge. Je n'étais pas bête. Moi j'ai tout vu d'abord. Je le voyais tous les jours. Parce que j'étais qu'une gosse ils pensaient que je ne pouvais pas comprendre ce qu'il se passait. Ils pensaient que j'allais regarder, sourire et demander un poney avec un foutu sourire niais ? Je comprenais très bien. C'était bien là le problème. Je comprenais tout. Je comprenais les choses. Je comprenais les choses alors que tout le monde faisait la sourde oreille. Est-ce qu'ils ne voyaient pas ce que moi je voyais ? Ou bien faisaient-ils exprès d'être complètement crétins ? Ils mentaient à eux-même. Moi pas..... Et c'était bien ça le problème. Moi je m'en rendais compte. Moi je voyais. Moi je voulais voir la vérité. Étais-je donc si stupide que ça pour ne pas faire comme tout le monde ? Les suivre et ne rien voir, ni entendre. Non. Je ne voulais pas. Jamais. Vous entendez jamais! Et deux. Mon dos sur la porte de la salle de bain, les yeux fermés si fort mes paupières auraient pu souder entre elles. Je résistai, je résistai de toutes mes forces pour ne pas craquer. Je résistai de tout mon possible pour ne pas totalement flancher. Pourtant, Dieu seul - encore faut-il admettre l'hypothèse que la Puissance Supérieure existe bien - lui seul pouvait savoir a quel point je voulais hurler, a quel point j'avais simplement envie de m'éffondrer. Je voulais enfin avoir la paix. Je voulais juste relâcher la pression. M'écrouler, marre d'être moi. Marre de cette image. Je voulais que tout implose, tout parte en fumée. Mon sourire faux. Mon image de petite fille modèle. Mes pensées, ma vie. Moi. Fi-fille souriante aux airs angéliques. Fi-fille adorable et studieuse, sage, la fierté de ses parents. Elle était belle l'image sur papier glacé. Belle, mais si fausse. Pourquoi étais-je la seule à m'en rendre compte ? Un vaste mensonge. Une farce qu'était devenue ma vie. Comme un goût amer qui est posé sur la langue, si désagréable, si insupportable, qui me filait la gerbe. Cette image fausse. Tellement belle à montrer au public. Savaient ce qu'il y avait derrière ? Le savaient-il ?! Bien sûr que non. Mes paupières tremblèrent, un sanglot étouffé dans ma gorge, une supplication qui s'éteint au fil du temps. Mes doigts passèrent sur mon visage, mes ongles rencontrant ma peau diaphane sans pour autant que je sente la moindre douleur. Des traces rouges vives restèrent. Marques d'une pseudo-scarification, d'un désir d'extérioriser la douleur. La douleur qu'était la mienne. Le sang perla sur mon visage, sans pour autant couler. Simple gouttes. Le numéro trois. Ils n'en avaient rien à foutre de moi en vrai. Ils voulaient juste que je puisse sourire. Sourire, oui. Mais pas ce genre de sourire franc et sincère, celui qui disait à quel point on était bien au dedans. Une risette, c'est tout ce qu'ils voulaient, dans le fond ils s'en foutaient totalement que je sois en train de crever de l'intérieur. Je me demandais parfois comment les autres faisaient pour être toujours si heureux. J'aurai aimé avoir un livre qui m'explique le comment du pourquoi de la chose. Moi je n'y arrivais plus. À croire que j'avais perdu le truc à force et que j'avais totalement oublié ce que ça faisait d'être joyeuse et rayonnante. Je supposais que je ne pouvais rien y faire. Les choses étaient ainsi. Puis, qui est-ce qui pouvait s'en soucier hein ? Mes amies ne s'en souciaient pas. Les professeurs non plus. Mes parents ? Mes parents aussi n'en avaient strictement rien à faire de moi. Je suppose que je n'étais que cette jolie chose qu'on montre au public mais qu'on range au tiroir une fois utilisée. Tant c'est beau et joli à regarder, le reste ils n'en avaient vraiment rien à cirer. Parfois j'avais l'impression que le personnel était plus attentif à ma personne. Terrible n'est-ce pas que des personnes engagées pour des sous-tâches comme le ménage ou la cuisine arrivent plus à se soucier de vous que vos parents. Parfois je les entendais parler entre eux. CRONA - « Cette fille est une peste en jupon. Jeune homme frêle chargé de la cuisine et des petits plats. »
DREA - « Allons bon, qu'est-ce que le petit tyran t'a fait ? »
CRONA - « Encore des désirs sans queue ni tête... Être aussi chiante c'est son âge ça ne devrait pas être permis. »
DREA - « Cette gosse est seule, t'as vu la gueule des parents, froids, sans coeurs. Cette petite se rattrape comme elle peut, elle se rattrape mal, mais elle n'a pas d'autres solutions. D'un côté personne l'aide à bien s'orienter. » C'était généralement comme ça. Dans le fond Crona était gentil et je l'aimais bien. Je faisais exprès de le taquiner et de ne pas être sympa. J'aimais lui en faire voir des vertes et des pas mures. Drea c'était différent. Andrea, dite Drea, une dame à la peau mate qui était plutôt.... qui rentrait dans l'archétype de la « mama ». Je me suis toujours demandé ce qu'elle fichait ici. Une sorte de femme à tout faire on va dire; qui venait souvent à me servir - entre autres - de baby-sitter. Je pouvais la considérer presque comme une figure plus maternelle que ma propre génitrice. C'était quand même grave de considérer quelqu'un n'ayant absolument rien en commun avec vous comme une pseudo-mère. Enfin pour ce que j'avais de commun avec mes parents, je pouvais presque dire que je faisais une bonne affaire. Toute façon, ça n'avait plus d'importance non ? Maintenant, ça ne comptait plus, plus rien de comptait. C'était fini. Enfin. J'avais perdu mon compte en cours de route. Combien de petites pilules avais-je avalé ? Cinq. Peut-être dix en fait. Je ne savais plus trop en fait. Les petites pilules qui servaient à dormir. Ma mère en prenait une tous les soirs. Je regardais le flacon que je tenais dans la main. Je tenais dans ma main, fermement. Pourtant, j'avais l'impression que mes doigts autour commençaient à devenir complètement mous. Comme si je me changeais en gros bol de gelée avec des jambes en guimauve. Un tremblement me secoua de la tête au pied. Je me sentais toute bizarre. Comme une douleur, mais elle semblait plus me faire du bien que du mal. Mes jambes se firent peu à peu hésitantes, vacillantes. Je glissai le long de la porte, jusqu'à toucher le sol de mes fesses. Je ne sentais plus rien, je ne ressentais plus rien. Pas la moindre sensation dans mon corps, ou si, elles m'arrivaient mais c'était comme si elles étaient atténuées. Tellement faibles, comme le son d'un faible écho d'un cri à l'autre bout du monde. Même mon cœur pulsait loin de moi, loin et lent, de plus en plus lent. Des coups sur la porte ? Était-ce ça ? Je n'en savais trop rien. Puis est-ce que c'était vraiment important ? Dans le fond... non, ça ne l'était plus.
***
CHUCK - « Toi tu ressembles pas à un docteur. » La première phrase que je lançais au Docteur Hallaway. Très sincèrement, je trouvais qu'il avait plutôt une tronche de guignol. Parait-il était bon docteur. Je supposais que mes parents avaient choisi le meilleur, celui avec le plus de diplômes et qu'ils lui avaient proposé de l'argent en plus pour que l'affaire puisse rester secrète. Une gamine qui essaye de suicider ça faisait toujours très mauvais genre. Pensez que je n'avais pas vraiment eut le choix. Je devais aller voir ce crétin et puis c'est tout. Mes parents ne voulaient que je retente l'expérience, très mauvais pour l'image. Vraiment très mauvais. Une fille qui de se suicidais c'était une fille détraquée dans sa tête, qu'est-ce que les gens penseraient-ils s'ils savaient que le couple Foster avait enfanté une fille complètement détraquée qui tente de mettre fin à ses jours ? C'était une des choses que ma génitrice m'avait dit. J'étais détraquée. Et c'était bien la raison qui m'emmenait chez « les fous » voir un docteur qui était probablement aussi fou que ces patients pour ne pas dire plus. Franchement j'espérais que ça allait vite passer, trente minutes et au plaisir de ne pas se revoir. Mais ce crétin était apparemment stupide. La « séance » avait commencé par un moment de fixette. Vas-y qu'on se regarde dans le blanc des yeux. Il attendait quoi ? Que je parle toute seule, que je lui dise tout ce que j'avais au fond de moi ? Eh ho p'tit gars, c'est pas tes rêves. À ma première phrase, la machine s'était mise en marche. Je le voyais prendre quelques notes sur son carnet. Stressant. Que pouvait-il bien écrire ? DR HALLAWAY - « Disons que je ne suis pas vraiment un vrai docteur. » CHUCK - « Donc vos diplômes sont le résultat d'une tricherie ? je le regardais méfiante. Sale gueule, discours bizarre. Autant dire que ma théorie du guignol était en train de se valider au fur et à mesure du temps qui s'écoulait. Son stylo couru une nouvelle fois sur le papier de carnet de notes. Cette fichue manie avait de quoi foutre en plein stress. Il leva le nez du carnet. » DR HALLAWAY - « Et à ton avis, je suis quel genre de docteur ? » CHUCK - « Le genre inutile. Nouvelles notes, putain qu'est-ce que c'était foutrement agaçant, mais qu'il les mange ses notes au lieu de me prendre la tête. » DR HALLAWAY - « Et tu es toujours sur la défensive comme ça ? » CHUCK - « J'vous demande pardon ? » DR HALLAWAY - « Agression. Acidité. Insupportable pour les autres. Rejet. On pourrait penser avoir à faire une immonde petite peste, mais c'est juste une manière de ses défendre. Mais contre quoi tu te défends ? » CHUCK - « ... Là, j'étais juste, scotchée. Autant dire qu'il m'avait coupé net le sifflet. Il m'avait foutu la première claque de toute ma vie. La première baffe qui me secoua totalement, au point de me poser de sérieuses questions. L'unique qui me retourna et me fit tant d'effet. Pourquoi lui, il avait vu ? Pourquoi un sombre crétin.... » DR HALLAWAY - « Pourtant, à treize ans... on ne connait rien de la vie. On n'a rien vu. On n'a pas besoin de se cacher de la vie. » CHUCK - « Manifestement Docteur vous n'avez jamais été une fille de treize ans. » Je le fixais encore. Il ne pouvait pas comprendre. Il ne pouvait faire que semblant de me comprendre. Sûrement ne pouvait-il pas imaginer la vie que j'avais menée. Les parents que j'avais... La sensation d'être là pour une existence physique. Le simple fait d'être une coquille aurait pu suffire. De dehors qu'est-ce que c'était beau; en dedans, qu'est-ce que c'était moche. Quand j'y pense, je me demandais ce qu'il se serait passé si je n'étais pas venue au monde. Pas grand-chose, rien du tout même. Je devais sûrement être le fruit d'un accident, un truc que l'on n'avait pas vraiment voulu et qui au final était plus une plaie. Ouais je devais sûrement être un accident de ce genre-là. Ou alors un adultère. J'en savais trop rien. Sûrement que ma présence ne changeait pas rien à leur vie, si, ça l'avait rendu un peu plus moche et par conséquent la mienne aussi. Ça expliquait les quelques gentillesses que ma mère m'avait dit... Une d'entre elle était que j'allais finir en Enfer, sans aucun doute.
« le pire a toujours plus d'influence »
Je m'étirais avec une certaine difficulté. Une douleur dans le dos. Toujours la même depuis un certain temps. Foutue nuit de merde. Foutu sommeil trop agité. Au moins je pouvais au moins me vanter de faire des nuits complètes. Depuis un certain temps je n'arrivais plus à dormir correctement. On avait dû me prescrire des somnifères. Sans avoir quelques remontrances de mes parents. Que je ne retente pas le diable comme il y a quelques années. Quand on tente de se suicider en avalant la moitié d'une boîte de somnifères à treize ans, ça peut laisser des traces. Pas vraiment celles qu'on pouvait penser dans mon cas. Rajoutez en plus des somnifères, d'autres dopes comme comme les antidépresseurs. On m'avait forcé à les prendre, je n'avais pas vraiment eu le choix quand j'y pense. J'avais commencé à en prendre suite à ma tentative. Mes parents m'avaient forcé, persuadés que ça irait mieux en me droguant jusqu'au fond des yeux. Vous parlez d'une solution. Dans les films, les parents se rapprochaient de leur progéniture, essayant de réparer les erreurs du passé. C'était sûrement pour ça que ce n'était que du cinéma, qu'en vrai ça ne se passait jamais comme ça. En tout cas, jamais pour moi il faut croire. Autant dire que je pouvais attendre la Saint-Glinglin pour voir un jour un embryon de remise en question naitre chez mes géniteurs. Je n'avais plus treize ans maintenant. Maintenant j'avais grandi. Enfin si on veut. Pouvait-on vraiment grandir un jour, si on avait personne pour nous indiquer comment le faire ? Sans personne pour nous dire ce qui est bien et ce qui est mal ? J'avais grandi toute seule, j'avais mûri sans qu'on m'y aide. J'avais avancé pas à pas sur un chemin plein de trous sans avoir le moindre GPS. Pensez que je m'étais déjà cassé la gueule. Je m'étais renforcée. J'avais trouvé de la force en montrant froide, en me montrant cruelle. Je montrais à tout le monde une façade de perfection glacée. Parfaite sur tous les points. Modèle d'éducation. Modèle de savoir vivre. Élève modèle dans les cours et dans la popularité. Je voulais que tous les yeux soient braqués sur moi. Qu'ils m'admirent j'adorais ça. J'aimais qu'ils me regardent qu'ils disent tant de bien sur moi. Je sentais que ça me donnait envie de conserver cette image de perfection. Chose que mes parents ne remarquaient pas. Après tout c'était normal pour une Foster... alors je me satisfaisais des autres. Mais entre la façade et la réalité... Grosse différence. Je m'étais construit ce masque. Sans défauts. Mais dans le fond, j'étais tout ce qu'il y avait de plus imparfait au monde. Je repoussais toujours plus loin mes limites en terme de perfection pour faire plaisir à mes parents, sûrement cet espoir vain de voir un jour leurs visages souriants. Dans le fond, en réalité, j'enchaînais les gaffes et les ratés. La pire remonte il y a un an... DREA - « Mademoiselle ? » CHUCK - « Entre Drea. » DREA - « Madame Foster vous demande au salon. Elle reçoit quelqu'un d'important. » CHUCK - « Madame ma mère attendra trente secondes, qu'elle ne me prenne pas le choux. Je vis Drea sourire quelques instants. Sûrement qu'elle pensait aussi tout au fond d'elle-même que ma mère méritait d'aller se faire voir chez tout nu. Je lui accordais un sourire amusé en retour. J'allais devoir me plier en quatre, encore une fois. »
***
KAEDEN - « Eh bien ma fille quelle paresse ! Je t'emmerde conasse. Je m'empressais de sourire avant de de m'excuser platement. » CHUCK - « Pardonnez moi mère, je n'ai pas encore bien récupéré du décalage horaire. » Tiens dans ta gueule. J'attendais que ma mère daigne faire les présentations pour que je puisse m'asseoir. Règle de politesse que ma très chère génitrice voulait absolument que j'ai. Ah, ça c'est sûr avec ses règles sur la bien-séance elle m'avait vraiment cassé littéralement les pieds et autres choses. Des règles de vie qui étaient soient disant élémentaires pour des personnes comme nous. Allez ce que « comme nous » voulait dire, même moi je n'ai jamais su à vrai dire et je n'ai jamais voulu savoir d'un côté. Enfin son éducation m'avait saoulée. Stricte, froide et dans les valeurs de la chrétienté. Je t'en foutrais du Bon Dieu moi. Pourtant, c'était à la lettre que j'avais suivi ces lois, ces règles du Bon Dieu. Ouais, jusqu'à que j'essaye d'en finir. Le suicide. Ceux qui décident de mettre volontairement fin à leurs jours iront en Enfer. À cette époque l'Enfer me semblait toujours plus sympathique que ce que je vivais. Je n'y croyais plus vraiment, je n'y avais jamais vraiment cru, à toutes ces sornettes. Pourtant, je continuais d'appliquer avec toujours autant d'applications. C'était sûrement ça qu'on voulait dire par « masochisme ». Puis un jour... Je souris à l'invitée de ma mère. Jamais vu de toute ma vie, mais étant donné ce que je savais, j'avais bien mon hypothèse sur le sujet. Un moment que ma mère la fréquentait, directrice de l'école des arts de la scène à New York. Dans le jargon traditionnel on appelait ça se faire pistonner. Présentations faites, je pris place à côté de ma mère. En tout cas elle semblait se réjouir sur notre voyage en France. Ouais, moi sur le coup je me réjouissais carrément moins à l'époque, ça ne me réjouis toujours pas d'ailleurs. Car oui, nous avions fats un petit séjour en France en famille... Vous pensez à ce genre vacances familiales et chaleureuses ? Ah, quelle blague je suis morte de rire. Non, ce n'était en rien un petit voyage pour le plaisir de passer un moment en famille. Exil serait plutôt le mot qui conviendrait le plus. Un an de séjour que j'avais eu. Normalement, la France j'adore, j'étais à moitié française... Mais là. Un exil d'une année, obligatoire. Tout ça par ma faute. La vérité était que j'étais loin d'être parfaite. La vérité était que lorsque le grand public dormait, moi je sortais. J'avais commencé à fréquenter peu à peu un monde qui vivait la nuit. Une population frénétique qui ne dormait jamais. J'y avais goûté et putain, qu'est-ce que j'avais aimé. Les petites fêtes mondaines, du champagne à flot. Qu'est-ce que c'était bon. Quel bon moyen de décompresser. J'étais tellement parfaite la journée, que le soir j'avais besoin de devenir le plus imparfaite possible. Besoin nécessaire pour que je reste saine d'esprit je ne savais pas trop. De la musique qui me résonnait dans les oreilles. De l'alcool qui coulait à flot dans ma gorge. Des pas de danse accomplis comme dans une sorte d'état second. L'extase à l'état pur. L'effet que pendant le temps d'une soirée on n'était plus soit-même, qu'on avait le droit de tout faire sans que cela ai la moindre conséquence. Un idéal. Je pouvais me lâcher sans craindre les remontrances de qui que ce soit. Dans ce monde où je pouvais vraiment m'afficher pour être moi et pas pour être ce semblant d'image que je ne supportais pas. Pas de répercutions... Ouais c'est que j'avais cru. Mais en fait, c'était bien trop beau pour être vrai. Lorsque le test vira positif, j'avais compris qu'il y avait toujours des conséquences à nos actes. Toujours. Une honte ? Bien sûr que j'étais morte de honte. Dans la merde, la mouise.... et tout ce que vous voulez pour dire que j'y étais vraiment jusqu'au cou, voire même que j'y étais totalement immergée. Déjà qu'en temps normal, annoncer à ses parents qu'on était en cloque à seize ans... Ce n'était pas très glorificateur. Je suppose que les autres auraient fait ça tête baissée. Imaginez que la fierté que je ressentais pour dire ça à mes parents, ou pas. Je vous recarde mes parents, hyper-conformistes, hyper-chrétiens, hyper-tirés aux quatre épingles. Alors leur annoncer ça. C'était l'erreur qui était à ne pas commettre. L'erreur dans mon parcours qui me valut une descente dans l'estime de mes géniteurs. Estime que je ne pensais déjà pas très haute, maintenant j'avais acquis la certitude qu'elle était plus basse que terre, directement dans la rôtisserie de Satan. Ce jour-là, je me pris une seconde claque. Cette claque fut bien plus physique. Je gardais la marque des cinq doigts sur la joue le temps de toute une journée. Une honte oui. J'étais la honte de la famille et plus rien, quoi que je fasse ou quoi je dise n'aurait pu le changer. C'était il y a un an. Je porte encore les traces. Les traces de foutu gosse. Car oui ce gosse, je l'ai expulsé. Avais-je eu le choix ? Non. Avais-je eu le droit de penser à l'avortement ? Bon dieu non ! C'était un meurtre, une faute de plus sur mon ardoise. La France fut le refuge de la honte. Cacher ce qu'il se passait. Le gosse serait adopté jamais il ne me connaitrait. Point final. Oui... c'était il y a un an déjà. CHUCK - « Mère ? Puis-je disposé ? J'aimerais pouvoir étudier quelques écrits que nous avons acheté en France. Mauvaise excuse ? Oui. Envie de partir en courant ? Encore plus. Mais je devais faire bonne figure. Sauver les meubles comme on disait. Je sauvais toujours le meubles. Il n'y avait plus que ça à sauver. » KAEDEN - « Tu peux disposer, annonça-t-elle sans m'accorder un regard. Je la détestais. Je saluais poliment l'invité avec un sourire angélique, hop-là, dans la poche. » MME MAXWELL - « En espérant vous voir rapidement dans nos rangs Miss Foster. » CHUCK - « Ça sera un honneur pour moi Madame, et le mot en français qui faisait toujours un petit effet inexplicable. Tournant les talons j'entendis les deux femmes glousser comme des dindes de luxe. Pitoyable. Je la détestais. Je les détestais. Je marchais vers ma chambre. Ne sachant pas vraiment quoi penser ou quoi ressentir. Tristesse ? Énervement ? Colère ? Dépression ? Tant de couleurs et de nuances sombres sur une palette de sentiments et autres émotions. Mais cette voix. » DREA - « Mademoiselle ? Je me stoppais net, je lui montrais mon dos. Tout ce qu'il y avait d'impoli. Mais sûrement la fierté, pas envie de montrer les larmes qui commençaient à couler de mes yeux. Fierté. Foutue fierté. » CHUCK - « Elle a oublié 'Drea. Cette chienne a oublié. » DREA - « Bon anniversaire Mademoiselle. Voilà. Vie de merde. »
« Le bonheur n’existe pas, c’est la souffrance qui fait une pause. »
Mal de tête, foutu mal de tête. Ça sonnait dans ma tête, ça résonnait. Et c'était parfaitement insupportable. Migraine migraine, migraine de merde. Je m'appuyais contre le rebord de l'évier. J'avais vraiment du mal ce matin. Vraiment beaucoup. Quoi que. En ce moment je n'étais vraiment pas au top de ma forme. Je faisais de mon mieux pour tenir le rythme. Les cours. Les sorties. Les cours. Les sorties. Très peu de sommeil. Oui mes forces avaient tendance à me lâcher. J'avais un coup de mou dans le genou. Je lâchai difficilement un long bâillement qui résonna dans ma boîte crânienne pendant au moins une minute, renforçant ma migraine matinale. Sans compter les nuits. On disait souvent qu'elles venaient à porter conseil. Mes nuits ressemblaient plus à.... à des hallucinations endormies. Bizarre comme concept n'est-ce pas ? Et parfois j'en avais la journée. J'avais commencé à développer une sorte de peur. En vrai je me posais une question qui m'inquiétait: « Charlotte, est-ce que tu hallucines, ou est-ce que tu es en train de dormir ? ». J'essayais ne rien laisser paraître mais pourtant... Pourtant la vie continuait point final. Aujourd'hui était comme tous les autres jours. Cette matinée commençait comme toutes les autres matinées. Le levé, le déjeuner et le rituel de la salle de bain. Je m'observais dans la glace un temps avant d'avaler mes cachets... Ce matin... je m'observais plus longtemps. Mon visage me semblait bizarre. Vraiment bizarre. Peut-être étais-je en train de rêver après tout. Peut-être que rien de ce matin n'avait été pas réel, que ça avait été le fruit de mon imagination et de me subconscient onirique. Je n'en savais trop rien. Faisons comme si je n'avais rien remarqué. Ce n'était pas réel. Tout était normal, tout était dans ma tête. Un truc dans ma tête qui ne va pas. J'ai pas assez dormi voilà et ça ira mieux demain. Je devais continuer et poursuivre ma journée comme d'habitude: parfaitement. Une journée parfaitement ennuyeuse, comme les autres. Je tendis le bras pour ouvrir la pharmacie et attraper les comprimés. Quatre en tout. Je ne savais même plus ce que je prenais en fait. C'était un comble non ? J'avalais des trucs dont je ne connaissais même pas l'utilité. DR HALLAWAY - « Jette-les ! » CHUCK - « Je... Je jetai un coup d'oeil dans la glace. Personne. Je me retournai, toujours personne. Pourtant, cette voix elle ne venait pas de nulle part ? Je l'avais entendu. » DR HALLAWAY - « Jette-les ! » CHUCK - « Pardon ? » C'était moi ... ou j'étais en train de parler à une voix qui n'existait pas ? C'était vraiment grave. Je parlais à quelque chose qui était produit par mon esprit. Je devenais complètement folle, c'était le début de la démence, la schizophrénie. Ça ou bien j'avais une grosse tumeur dans le crâne qui me faisait halluciner. J'étais totalement folle. Ça allait partir. Je fermais les yeux. Voilà. Je n'avais qu'à fermer les yeux et le souhaiter très fort et ça partirait. Oui c'était sûr. Je fermai ma main autour des comprimés. Je devais le penser très fort. Très très fort. Je respirai doucement, cherchant à trouver un certain self-control. L'utilité de la méthode ? J'avais quelques doutes. Je devais les jeter. Peut-être que c'était ça qui me faisait tant de mal. Dans le fond, je me demandais ce que ça faisait de ne pas être totalement dopée pour que mes parents aient l'impression de me contrôler. Un surtout dans l'avant-bras et les cachets étaient dans le fond de l'évier. Amen.
Dernière édition par Chuck M. Foster le Mar 15 Mar - 17:36, édité 19 fois |
| | | | | | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 12:11 | |
Raaaaaaah !!!!! Tu croyais vraiment que je te reconnaîtrais pas ?! *est morte de rire devant l'avatar et le prénom* L'exemple de RP t'as trompée !!! Bref, bienvenue ma chérie, et contente que tu te sois enfin inscrite ! (deux semaines à patienter, mpff) |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 12:37 | |
Ahhh, la fameuse ! x') Bienvenue à toi miss, et bon courage pour ta fiche ! (enfin ce qu'il te reste à en écrire !) |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 12:52 | |
Jade> Merki (l) Pour le code j'ai trop eu peur de me gourer, c'est que parfois je suis con comme un boulon En tout cas pour Lily, je suis totalement amoureuse d'elle, a cause d'une certaine personne que je ne citerai pas je te renvoie le compliment, parce que Keira :aime: Et pour le harcèlement.... si tu veux je peux te harceler sans avoir à poser de question (a) J'espère que la présentation sera à la hauteur. Alaina> Azy sale chienne j'te déteste ta rate :duel: Ben que veux-tu j'aime me faire désirer (a) Je sais que l'exemple de RP m'a trompé j'aurai du prendre un RP d'un perso que tu ne connais pas pour te tromper MOUHAHAHA Emilian> Merki "La fameuse", oh my dog. Serais-je aussi populaire que ça? Ou est-ce que la chienne était tellement excitée à la l'idée de me voir débarquer ici? |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 13:17 | |
Bienvenue! |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 14:24 | |
Bienvenue et bonne continuation |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 17:29 | |
Bienvenue parmi nous ! : D Bon courage pour le reste de ta fiche =) |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 19:33 | |
Jazz> Merki JOSHUA Delilah> Merki aussi Pando> Merki la boîte |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 20:01 | |
- Chuck M. Foster a écrit:
Emilian> Merki "La fameuse", oh my dog. Serais-je aussi populaire que ça? Ou est-ce que la chienne était tellement excitée à la l'idée de me voir débarquer ici? Quand même, quand même ! Si populaire que ça, faut pas déconner non plus... x') La deuxième hypothèse est la bonne ! (oh tiens, "la chienne", moi j'l'appelle "ma grosse bouse à barbe" x')) |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 20:36 | |
- Chuck M. Foster a écrit:
- En tout cas pour Lily, je suis totalement amoureuse d'elle, a cause d'une certaine personne que je ne citerai pas
C'est moi la certaine personne Mais vas-y ma Barbiche mange-merde, balance lui tout sur moi; sort même les squelettes du placard pendant que t'y es *se fait enlever par les hommes en blanc avant de flooder et de se faire gronder* |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 20:57 | |
Ah ! La fameuse copine qui devait s'inscrire par surprise, mais qui finalement l'a dis mais a pas dis sous quel pseudo à Alaina qui attendait -sbaff- Tu connais Chuck Vendetta ? *sors* Welcome sur TDS miss, bon courage pour le reste de ta fiche : D
|
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 21:39 | |
Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 21:52 | |
Emilian> zut moi qui pensais approcher de la célébrité *out* Alaina> Chut-chut laisse nous docn parler entre grandes personnes veux-tu ps: je t'aime et te méprise aussi Sidney> Vi la fameuse qui a fait genre que c'était pas elle mais qui s'est faite avoir comme une grosse buse Sinon OMG! RDJ! MONSIEUR ANTHONY EDWARD STARK (désolée déformation professionnelle ) Casey> Merki bien J'aime comment on est accueillis ici Ça fait terriblement plaisir |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 23 Fév - 22:26 | |
bwahaha toute façon il y a que moi pour piéger alaina *sens les chevilles enflée* déformation professionnelle excusée, les amis d'alaina sont mes ami et encore plus si ce sont des ennemis d'alaina -sbaff-
comment ? un modo dois montrer l'exemple et ne pas flooder dans une fiche ? d'accord... *sors en trainant des pieds* bon courage... encore.
|
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Lun 28 Fév - 1:15 | |
Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mer 9 Mar - 23:56 | |
Plus qu'un jour pour finir cette fiche, Miss ! A moins qu'elle le soit ? |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Jeu 10 Mar - 12:37 | |
Hmmmmm elle n'est pas du tout fini. J'avance à la vitesse d'un escargot Mais je vais prévenir ici, que ça va être compliqué de finir dans les délais, serait-il possible de ne mettre ma fiche en stand by. Parce que je connais pas mal de difficultés en ce moment, entre autres choses, je vais pas tarder à commencer un stage et je vais avoir des concours très important dans cinq jours... Donc voila voila ^^ Enfin si c'est possible. Je ferai de mon mieux pour terminer le plus rapidement possible. |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Jeu 10 Mar - 17:03 | |
On peut t'accorder un délai de dix jours si tu veux, tout le monde a une vie, c'est gentil de prévenir. |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Jeu 10 Mar - 19:42 | |
Je veux bien un petit délai de dix oui please (l) Ben prévenir sur le minimum... je sais très que c'est chiant de faire le nettoyage des fiches sur le forum et que les gens préviennent pas |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Ven 11 Mar - 18:34 | |
- Chuck M. Foster a écrit:
- Sinon OMG! RDJ! MONSIEUR ANTHONY EDWARD STARK (désolée déformation professionnelle
Ne pas oublier Sherlock, ne JAMAIS oublier Sherlock *zbaff*Bienvenue Miss Bonne chance pour ta fiche et bonne chance pour tes concours |
| | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] Mar 15 Mar - 17:51 | |
Merki Gwyneth (l) J'avoue, Il y a Sherlock aussi, le beau Sherlock (et le sexy-torride-moustachu Watson *sort*). Nan mais comme je suis admin sur un forum de Marvel, forcement je pensé à Tony Stark, déformations professionnelle oblige Sinon... je pense en avoir ENFIN fini avec cette fiche, le dernier paragraphe est pas top, j'espère que ça vous conviendra |
| | | | | | | | Sujet: Re: CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] | |
|
| | | | CMF || Les gens heureux n'ont pas de vie, ils s'emmerdent. [finiche] | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|