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Auteur | Message |
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| Sujet: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 9:52 | |
• PACEY CHRISTOPHER KANT •~ LES CHIENS NE FONT PAS DES CHATS ~
|| Identité du personnage ||
~ NOM : KANT ~ PRENOM : PACEY, CHRISTOPHER ~ SURNOM : Les amis et les membres de la famille de Pacey le surnomme Pace. Son pseudonyme d’artiste est PiC {se dit à la manière anglophone PC}. Pacey signe toutes ses œuvres sous ce pseudonyme. Il a choisi ce dernier pour sa résonance avec son prénom. ~ ÂGE : 26 ans ~ NATIONALITÉ : Américaine ~ GROUPE : Citizen ~ STATUT ET ACTIVITÉ DANS LA VIE : Artiste & Serveur ~ Diplômé des Beaux Arts de Los Angeles, Pacey tente depuis des années de vivre de son art. Il partage son temps entre ses œuvres (peintures, dessins et sculptures), et son travail de serveur dans un Starbucks Coffee. Afin de boucler des fins de mois difficiles, il arrive parfois à Pacey de faire une passe de temps en temps. Il paie d’ailleurs la moitié de son loyer en nature. ~ ORIENTATION SEXUELLE : C’est à l’adolescence que Pacey a découvert sa bisexualité. Si il apprécie les courbes féminines pour une nuit, il a toujours préféré la compagnie de la gente masculine. Il ne tombe amoureux que des hommes.
~ PHYSIQUE : A 26 ans, Pacey mesure exactement 1m83 pour un poids avoisinant les 72 kilos. Bien proportionné et légèrement musclé, c’est un jeune homme assez fin qui fait attention à son apparence. Il fait régulièrement du roller, de la course à pied et de la natation afin de garder la forme et la ligne. Son corps de jeune athlète sentant bon le sable chaud hawaïen est partiellement imberbe et totalement au niveau du torse. Pacey n’est pas un grand adepte du rasage régulier, ce qui explique la présente d'une petite barbe de trois jours. Il laisse souvent passer plusieurs jours, voir une semaine avant de se raser de nouveau. Beau blond aux yeux bleus-gris, Pacey possède un joli sourire franc et amical dont il n’est jamais avare. Celui-ci est constamment mit en valeur par de jolies fossettes qui apparaissent lorsqu’il sourit. Son regard pâle est le miroir de son âme et le reflet de ses émotions. Il brille rapidement de larmes lorsqu’il souffre et il s’assombrit aussi vite lorsqu’il se fâche. Doté d’un certain charme, Pacey ne laisse pas grand monde insensible. Son petit côté artiste rebelle attire souvent la convoitise. Il est également quelqu’un de très à l’aise avec son corps. Il sait bouger et le montre assez souvent sur une piste de danse ou devant un quelconque partenaire lors d’un petit striptease très privé. Enfin, Pacey possède tatoué au centre des omoplates une roue à huit branches, symbole de la roue karmique des hindous. Il possède également tatoué à l'intérieur de son poignet droit le symbole en sanskrit de l'Omkara. Côté vestimentaire, Pacey aime porter des jeans, des chemises et des tee-shirts de toutes sortes. Il ne suit pas particulièrement la mode. Il s’habille comme le commun des jeunes hommes de son âge, allant chiner ici et là ses fringues dans des boutiques comme H&M. Le week-end, il n’est pas rare de croiser Pacey couvert de peinture de la tête aux pieds. Il n’a pas peur de se salir, et se balader en rue couvert de tâches ne le dérange pas.
~ CARACTÈRE : Comme beaucoup d’artistes, Pacey est un être bien complexe. Sous ses sourires bienveillants (dont il n’est jamais avare) et sa joie de vivre se cache quelqu’un de torturer par de nombreux démons. Pacey est un jeune homme écorché vif qui pense beaucoup au sens de la vie et à la mort. Ses œuvres – parfois morbides – sont le reflet de ses émotions. Aussi loin que remonte sa mémoire, Pacey n’a jamais été réellement heureux. Selon lui et ses propres convictions, son âme n’était pas prête à se réincarner. Même s’il rit, passe de bon moment avec ses amis, et même s’il lui arrive d’aimer, il ne trouve aucun plaisir à exister. A ses yeux, sa vie est une succession de fardeaux parfois bien trop lourds à porter. Si tout s’arrêtait demain, il prendrait cela comme une délivrance. Trop lâche pour mettre fin à ses jours, Pacey ne doit sa survie qu’à son incroyable capacité à ne voir que ce qu’il veut bien. Même si ces démons sont là, le jeune homme est capable de les ignorer. Bon comédien, il peut faire croire à n’importe qui que tout va bien pour lui. Il n’aime pas partager sa peine avec autrui. Il est persuadé que personne ne pourrait jamais un jour réellement le comprendre. Pour continuer sur une lancée peu flatteuse, lorsqu’il est dans un mauvais jour, Pacey peut parfois être un jeune homme colérique, capricieux, arrogant et manipulateur. Il ne sombre dans la violence que lorsqu’on le cherche trop. Lorsqu’il sort de ses gonds, il devient une véritable tête de mule rancunière qui tente de gueuler toujours plus fort que son adversaire. Il n’hésite jamais à frapper là où ça fait mal et à utiliser tous les moyens (surtout la manipulation, le mensonge et la séduction) pour parvenir à ses fins. Pacey est déjà allé jusqu’à séduire la copine d’un de ses amis pour punir ce dernier. N’ayant aucun respect pour la pureté de son corps, il est capable de vendre ce dernier et d’utiliser ses atouts agréables pour avancer dans la vie. Régulièrement, Pacey éprouve le besoin de se « défoncer ». Sous ses faux air d’enfant sage se cache un junkie. Il gobe, sniffe et fume des tas de saloperies afin d’oublier pour quelques heures le malêtre qui le ronge. Lorsqu’il plane, il est ultracréatif. Ces plus belles œuvres sont le fruit de ses séances de défonce. Dépendant (même s’il s’en défend), Pacey va jusqu’à se prostituer pour une dose de poudre blanche. Heureusement, conscient de ses limites, il n’éprouve aucun besoin de se piquer à l’héroïne. Enfin, au-delà sa part d’obscurité qui ne fait surface qu’occasionnellement, Pacey reste un jeune homme agréable à fréquenter. C’est quelqu’un de sociable, d’accessible et de serviable. La compagnie de ses quelques amis est toujours un véritable plaisir pour lui. Il aime partager, discuter, traîner et flâner dans les jardins. Un peu trop bavard, il est capable d’assommer n’importe qui sous un flot de paroles. Qu’on ne se méprenne pas sur son compte, Pacey à un bon fond. Même s’il peut être un véritable emmerdeur lorsqu’il s’en donne la peine, il peut être également tout le contraire et être aussi généreux et altruiste qu’un saint. Tout dépend de la personne qu'il a en face de lui. En gros, Pacey fonctionne au feeling et à la tête du client !
~ TAUX DE CRIMINALITE ET POURQUOI : 15/100 Aussi loin qu’il s’en souvienne, la devise de Pacey a toujours été « la faim justifie les moyens ». Pour sauver ses fesses de ses nombreux ennuis, il est capable (et il le fait sans états d’âmes) de se prostituer, de vendre et de consommer des stupéfiants, et de voler à l’étalage. Pacey s’est déjà battu à la sortie d’un bar et il a plusieurs fois détérioré des biens publics (graffitis) au nom de l'art et de la liberté d'expression. Il n’a été arrêté par la police qu’une seule fois dans sa vie pour conduite en état d’ivresse.
~ DÉFINITION DU PARADIS : Outre le paradis artificiel créé par la drogue qu’il consomme, le vrai bonheur pour Pacey serait d’être reconnu en tant que véritable artiste. Il aimerait que ces œuvres s’exposent aux quatre coins du monde et qu’il puisse ne vivre que de celles-ci. Percer dans le milieu est son plus grand rêve. Niveau sentimental, le paradis de Pacey se trouverait forcément dans les bras d’un homme en qui il ferait une entière confiance et à côté de qui il cheminerait sur les chemins sinueux de la vie.
~ DÉFINITION DE L'ENFER : L’enfer ? Pacey trouve qu’il y est déjà. Sa vie n’a jamais réellement été merveilleuse depuis qu’il est né. Sa famille n’est pas très unie, il rame dans sa carrière et niveau sentimental, c’est la bérézina ! On pourrait difficilement faire pire, non ? Il ne manquerait plus qu’il ait des ennuis avec la justice pour couronner le tout et le conforter dans l’idée qu’il est réellement né pour payer son mauvais karma accumulé dans ces vies antérieures.
Dernière édition par Pacey C. Kant le Mer 15 Juil - 2:49, édité 29 fois |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 9:54 | |
|| En savoir encore plus ? || Si quelqu'un désir incarner un personnage (famille, amis, ex...) en rapport avec la vie de Pacey, n'hésitez pas à me contacter en MP
~ RELATIONS FAMILIALES : La famille est le sujet tabou par excellence pour Pacey. Ce dernier n’a pas eut une enfance des plus faciles. Il nourrit beaucoup de ressentiment pour certains membres de sa famille. Les Kant ne sont pas soudés et unis. Certains membres de cette famille ont tout simplement prit le large, tournant le dos aux autres. Pacey fait partie de ceux-là.
~ RELATIONS AMOUREUSES : Les relations amoureuses de Pacey se compte sur les doigts d’une main. Le jeune homme fait tellement peu confiance aux hommes qu’il n’arrive pas à s’attacher sentimentalement. Les quelques relations qu’il a eut n’ont jamais durée bien longtemps. Tantôt conflictuelles, tantôt sulfureuses, ses relations sont toujours catastrophiques. Peu d’hommes ont réussi à se faire au tempérament explosif et changeant de Pacey. Le seul qui mérite d’être cité dans cette catégorie et qui est resté plus d’un an avec le jeune homme est Deacon Moa, un séduisant hawaïen. Ils se sont rencontrés aux Beaux Arts à Los Angeles. Pacey était profondément amoureux de lui à une époque. Ils rompirent pour une idiotie. Pacey ne se souvient même plus de laquelle.
~ RELATIONS AMICALES : Très sociable et toujours premier à faire la fête, Pacey possède une petite bande d'amis chaleureux. Avec ces derniers, il sort en boite, fait des barbecues, participe à des virées à Atlantic City ou il traîne simplement. L’amitié est une chose qui compte énormément pour lui.
~ RELATIONS SEXUELLES : Il arrive très souvent à Pacey de s’envoyer en l’air avec le ou la première venue. Peu pudique et peu respectueux de son corps, il vend parfois sa chaire contre un peu d’argent. Une fois par mois, Pacey passe dans la chambre à coucher du propriétaire de son appart. Afin de baisser le prix de son loyer, le jeune homme accepte de coucher. Selon une étude, la prostitution occasionnelle est de plus en plus monnaie courante. La vie est devenue tellement difficile que tout est bon afin de boucler des fins de mois difficiles. Une chance pour Pacey, il a un cul à croquer ! Il connaît sa valeur alors il n’hésite pas à le vendre à très bon prix !
~ Pour mieux me comprendre, il faut avant tout s’intéresser à ma mère et à son parcourt. Elle s’appelait Michaëla Porter et elle n’a jamais été le genre de femme bien chanceuse en amour. Femme à la vertu douteuse, au diable au corps et aux cuisses facilement exploitables, elle n’a jamais eut la chance de trouver son prince charmant. Papillonneuse infidèle, elle se maria 3 fois et eut 7 enfants de 4 hommes différents. Le premier à venir au monde fut Dean. Maman n’avait que 15 ans à l’époque et cette naissance sonna le départ d’une très longue descente aux enfers. Lorsqu’il la su enceinte, le père de Dean, un vieux fermier du coin âgé de 41 ans à l’époque, prit la poudre d’escampette. Très conservateurs, mes grands-parents tournèrent également le dos à ma mère qui fut forcée de quitter sa petite ville du Colorado. Elle erra plusieurs années à travers les USA, vivant de petits boulots, de mendicité et quelques fois de menus larcins.
C’est durant son exil que maman croisa la route de mon père. De seize ans son aîné, celui-ci était policier et de ce que je m’en souviens, il l’avait arrêté pour mendicité. Tout de suite, il tomba sous son charme et il ne put la garder plus longtemps captive en cellule. Fou amoureux d’elle, papa sortit ma mère et mon frère de la précarité. Malgré leur grande différence d’âge, ils se marièrent à Las Vegas et ensemble, ils s’envolèrent vers Honolulu où papa avait décroché un poste dans le plus grand commissariat de la ville. Karen, Claudia et puis moi, nous vînmes au monde à Hawaï. Durant plusieurs années, avec mon frère et mes sœurs, nous vécûmes à Honolulu tranquillement. Sans aucune histoire.
Si une jolie harmonie s’était installée dans notre famille, hélas celui-ci ne dura pas longtemps. Suite à une intervention musclée lors d’un braquage de banque, papa décéda, touché en pleine trachée par une balle perdue. L’aide financière octroyée suite à sa mort n’aida pas ma mère à joindre les deux bouts. En quelques mois, nous passâmes d’une famille modeste à une famille pauvre. Cette année là, le père Noël en oublia même notre sapin. Malheureuse et désespérée, afin de joindre les deux bouts, maman commença à se prostituer après son travail, vendant ses courbes généreuses à des hommes peu scrupuleux. Cela dura quelques années. Les hommes défilaient un à un dans l’appartement, laissant derrière eux des liasses de billets verts. Entre temps, mon frère Mark vint au monde, fruit d’une de ses nombreuses relations éphémères. Ma mène ne su jamais qui était son père. Cela créera plus tard une véritable scission entre eux. Je ne sais pas pourquoi, mais maman avait toujours tendance à attirer les connards.
Durant l’année de mes 6 ans, grâce certainement à ses performances au lit, elle dégota un poste de secrétaire dans un cabinet d’avocat véreux. C’était le père du meilleur ami de Dean. Ce dernier accepta très mal que maman boss pour ce type. Dean se disputa avec elle et sur un coup de tête, après l’avoir appeler « la putain de service », il s’en alla. Je ne le revis plus jamais. Selon la rumeur, il serait légionnaire aujourd’hui. Maman fut à jamais anéantie par cette fugue.
Un an après, elle épousa Nick, son bel avocat véreux qui n’aimait d’elle que l’image qu’elle pouvait donner à son bras. Grâce à lui et à son argent, nous vécûmes aisément, goûtant à de nombreux délices. A l’école, on me décela un véritable don pour les arts, si bien que l’on me proposa par la suite d’intégrer un établissement artistique assez coûteux mais prestigieux. Hélas, je ne fis qu’un an là-bas car le mariage de maman tourna court. Après à peine un an de vie commune, mon beau-père s’éprit d’une jeunette à peine majeure. Il divorça, et maman perdit non seulement son 2e mari, mais également son job. De nouveau, la précarité frappa à la porte et celle-ci nous priva à tous de nos petits avantages. Afin de boucler les fins de mois difficiles, maman se remit à faire ce qu’elle faisait de mieux en ce monde : tapiner. C’est d’ailleurs en tapinant qu’elle rencontra celui qui allait devenir son troisième et dernier mari : Derreck Browne.
Autant le dire sans détour, je n’ai jamais aimé cet homme. Si d’apparence il dégageait un charme fou et qu’il possédait une bonne situation financière, dans son fort intérieur, Derreck n’était pas quelqu’un de bien. Une fois le mariage célébré, nous quittâmes Honolulu pour la Nouvelle Orléan, là où se trouvait sa société de pièces détachées et surtout ses deux fils. J’avais 11 ans à l’époque je crois et eux 14 et 17 ans. Très vite, Derreck fit des différences entre ses gosses et nous, ce qui ne plaisait pas beaucoup à ma mère. Leur relation se dégrada en quelques années. Je ne su exactement comment, ni même pourquoi, mais ce type violent et autoritaire tapa si fort dans l’œil de maman que cette dernière changea peu à peu de comportement. La femme fière, forte et indomptable qu’elle était devint une femme soumise et taiseuse. Maman alla jusqu’à accepter les coups et les injures de mon salopard de beau-père. Pourquoi acceptait-elle cela ? Etait-ce parce qu’elle en avait assez de ses échecs passés ? Ou parce qu’elle souhaitait nous offrir à mes sœurs, à Mark et à moi la vie que l’on méritaient ? Je ne le su jamais. Lorsque je tentais de lui demander pourquoi elle acceptait un tel traitement, elle me répondait qu’elle l’aimait et que lui aussi l’aimait… à sa manière. Je pense aujourd’hui qu’en réalité elle se punissait en restant avec lui. De son union avec Derreck, Cameron vint au monde et six ans plus tard se sera au tour de Bryan de pointer le bout de son nez.
Mes années lycée se passèrent dans un pensionnat loin de mon salopard de beau-père. Je ne le voyais que durant les vacances… et encore ! C’était lorsque je n’étais pas en colonie ou en long séjour chez l’une ou l’autre de mes sœurs. A cette époque, j’eus mes premiers flirts et mes premières expériences sexuelles avec des garçons. Ça me plaisait assez de m’abandonner aux bras virils de mes camarades de chambrée. En terminale, j’eus la chance de participer à un concours régional d’art plastique. Je suis arrivé premier, devant plus de 2000 élèves, ce qui m’ouvrit les portes du concours de l’Etat. Même si je n’eus que la troisième place, on m’offrit une bourse d’étude et une place aux Beaux Arts de Los Angeles. Devenir artiste était un rêve pour moi. Hélas, mon beau-père me mit des bâtons dans les roues. Artiste, c’était une profession de fainéant selon lui. Il exigea de ma part l’obéissance. Il voulait que je travail pour sa société de pièces détachées. Mais il n’en était pas question ! Suite à une grosse dispute où il ne se gêna pas pour me rouer de coups de ceinture, je fus chassé par mon beau-père. Encore une fois, ma mère ne fit rien.
Exilé à mon tour, je m’envolai pour Los Angeles, les Beaux Arts me tendant les bras. Là-bas, j’étudiai cinq années, jonglant entre mes cours et mon job d’étudiant dans un bar du centre ville. Ce fut les plus belles années de toute ma vie. Alcool, sexe et drogue à gogo. Selon mes professeurs, j’avais un avenir très prometteur dans la peinture. J’étais considéré comme un avangardiste par moment. Une fois les Beaux-Arts terminés, c’est à New York que je décidai d’essayer de percer. Après tout, la grosse pomme était un haut lieu de l’art contemporain et elle avait vue défilée Warhol, Harring, Basquiat, Mitchell… alors pourquoi pas Kant ? Hélas, le succès ne fut pas au rendez-vous. Je dû me trouver un job de serveur afin de payer mon loyer. Aujourd’hui, cela fait quelques années que j’habite New York et que je tente de vivre du mieux que je peux. Je n’ai plus de contact avec ma mère, ni avec certains membres de ma famille. Je suis très bien sans eux. La seule personne à qui je parle encore est ma sœur Claudia.
Dernière édition par Pacey C. Kant le Mer 15 Juil - 2:32, édité 21 fois |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 9:54 | |
|| Le joueur et le hors-jeu ||
~ PRÉNOM/PSEUDO : Pi ~ ÂGE : Majeure et vacinée ~ VOTRE AVIS SUR NEW YORK, THE DARK SIDE : ~ OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : Un de vos partenariats. ~ NIVEAU DE RP : 15 à 30 lignes selon l'importance de la réponse. ~ EXEMPLE DE RP :
- Spoiler:
HIER DANS LA NUIT BAPTIST HOSPITAL – MIAMI – FLORIDE - USA On aurait dis qu’elle dormait. Du moins, c’était l’impression que Jordan avait en la regardant ainsi allongée sur son lit d’hôpital. Elisabeth Goldberg se tenait immobile devant lui, reliée à plusieurs grosses machines qui comptaient la mesure dans des bips morbides. Assit à côté d’elle, Jordan tenait la frêle main de la vieille dame. Il n’arrivait pas à croire que son état de santé se soit détérioré aussi vite. Il ne l’avait pas vu venir. La voir si faible et si maigre lui faisait mal au cœur. Jordan lutait pour ne pas sangloter, mais en vint. Une larme, puis une autre et encore une autre s’écoula le long de ses joues, en silence.
Lorsque après de très longues minutes Elisabeth entrouvrit complètement les paupières, Jordan rapprocha son visage du sien, souriant comme il le pouvait afin de cacher sa peine. Il était inutile d’accabler d’avantage Elisabeth. Tout deux savait que la mort approchait.
▬ Vous m’avez fais peur, murmura Jordan en s’efforçant de sourire. ▬ C’est passé à deux doigts en effet, mon garçon, répondit la vieille femme d’une voix à peine audible. Tu ne devrais pas être ici. ▬ Où devrais-je être d’autre ? Ma place est à côté de ma grand-mère. Je me suis attaché à vous. ▬ En un an et demi, vous avez rendu ma vie merveilleuse, Joaquim et toi. Je ne pouvais espérer meilleure fin. Je suis triste de devoir vous laissez les garçons, mais mon corps ne suis plus. Que vas-tu faire une fois que je ne serais plus de ce monde ? Jordan secoua la tête, les larmes aux yeux. Il ne voulait pas penser au lendemain. ▬ Ne vous préoccupez pas de nous. ▬ Jordan, je veux savoir. Que comptes-tu faire lorsque je quitterais la terre ? D’une petite voix, il répondit : ▬ Je ne sais pas. ▬ Ce n’est pas une réponse qui m’aidera à partir en paix. Il réprima un sanglot et d’un revers de main, il s’essuya les yeux. ▬ Je ne peux pas vivre chez vous Elisabeth. La municipalité de la ville compte remettre en vente votre maison. Nous savons tous les deux que je ne peux réclamer légitimement la succession. Le mieux c’est de m’en aller sans faire de vague. Je suis venu du jour au lendemain. Je partirais du jour au lendemain. De toutes ses faibles forces, Elisabeth serra la main de Jordan. ▬ Je ne sais pas ce que tu t’évertues à fuir mon ange, mais de tout cœur je souhaite que tu lui échappe. ▬ Je suis désolé de vous avoir menti. ▬ C’était un doux mensonge comme j’aimerais en entendre tous les jours là où je vais.
D’un pas rapide et tout en buvant un café bien corsé acheté au Starbucks du coin, Jordan zigzaguait entre les passants. Cela faisait à peine une petite demi-heure qu’il avait quitté l’hôpital où il avait passé toute la nuit au chevet d’Elisabeth, sa grand-mère. Le jeune homme était éreinté. Il aurait tant voulu rentrer dormir, mais piquer un roupillon n’était hélas pas au programme pour l’instant. Jordan devait passer chez Bluenn recherché Joaquim, il devait aller faire quelques courses afin de remplir le frigo, et surtout, il devait se rendre chez le teinturier pour récupérer le tailleur bleu d’Elisabeth. Cette dernière lui avait fais promettre que si elle venait à mourir, il l’enterrerait dans cette tenue et pas une autre. Jordan trouvait la demande des plus morbides mais il s’y pliait, car les médecins ne donnait à Elisabeth qu’une poignée de jour à vivre.
Les yeux bouffis cachés derrière ses éternelles lunettes noires, les vêtements débraillés et une mine maussade affichée sur le visage, Jordan traversa la rue. A peine eut-il mit le pied sur le trottoir que déjà il se fit bousculé par une personne. Le choc ne fut pas tellement violement mais il fut assez brutal pour lui faire lâcher son gobelet de café qui se déversa dans la rigole, à côté de tomates bousillées. Jordan poussa un « merde ! » assez sec tout en se penchant automatiquement pour ramasser les achats répandus à ses pieds.
Lorsqu’il remarqua qui venait de le bousculer, le jeune homme fronça les sourcils sous ses lunettes de soleil. C’était bien sa veine ! De tous les habitants de cette ville, il fallait qu’il tombe exactement sur la seule personne qu’il ne voulait pas croiser aujourd’hui… ni un autre jour d’ailleurs. Jordan n’avait aucune envie de devoir encore une fois jouer au chat et à la souris avec elle. Il n’avait pas envie aujourd’hui de se chercher de fausses excuses pour l’éviter. Son esprit était ailleurs.
▬ Jordan ! Comment vas-tu, depuis le temps ? Il faut dire que ça fait un moment, quand même. ▬ Ouais, ça fait un moment comme tu dis ! Je ne t’aurais quasiment pas reconnu si tu ne m’avais pas foncé dessus comme une brute.
Il aida Jessalyn à ramasser ses affaires, fourrant un peu brutalement sa laitue dans le sac et par-dessus une brique de lait. Plus vite elle aurait récupérer ses achats, plus vite il aurait joué au gars faussement polis et plus vite chacun d’eux reprendraient leurs chemins respectifs à l'opposé et loin l'un de l'autre !
▬ Je pense que tu vas devoir t’acheter d’autres tomates. Elles ont une sales têtes les tiennes. ~ CONNEXION : 4/7 ~ CODE DU RÈGLEMENT : - Spoiler:
OK. By LV. ~ AVEZ-VOUS SIGNÉ LE RÈGLEMENT : Oui ~ CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR: Paul Walker ~ MULTICOMPTE : Aucun
Dernière édition par Pacey C. Green le Mer 15 Juil - 0:15, édité 9 fois |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 10:20 | |
Bienvenue ! x) Bon courage pour ta fiche Pacey (comme dans Dawson ^^) !! Ah bah tiens, c'est Ua qui va être content de voir un homme qui ne tombe amoureux que des hommes ^^ |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 10:27 | |
Merci jeune homme Et oui, comme dans Dawson (nous avons les même références on dirait XD) - Citation :
- Ah bah tiens, c'est Ua qui va être content de voir un homme qui ne tombe amoureux que des hommes ^^
C'est simplement pour réduire mes chances de me caser J'ai du mal avec les relations amoureuses standards |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 10:43 | |
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| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 11:32 | |
Toudoutou doudoudoudou I don't want to wait for our lives to be over, I want to know right now what will it be. I don't want to wait for our lives to be over, Will it be yes or will it be sorry ?
Bienvenue à toi hooo grand Pacey ! ^.^ |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 13:27 | |
* fout une claque à Eliott *
Tu piques pas mon smiley toi namého !
Bienvenue sur NY-TDS Pacey va bien Joey xD ?
Enjoy & Have fun ! |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 13:29 | |
Merci Et dire que j'hésitais avec Dewey... vous m'auriez charrier sur Malcolm ? |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 13:30 | |
Yes , no, maybe .. I don't know .. Can you repeat the question ??!!!!
xD
Tu as ta réponse ? |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 13:33 | |
You're not the boss of me now !!! Comme ça fait du bien d'avoir tous les même référence... (se remet à sa fiche avant de devoir décoller) |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 13:40 | |
Que des attardés mentaux ici :O
Bienvenue =D |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 13:42 | |
Obligée de ramener ta fraise toi xD
Et les attardés mentaux ils couchent pas avec le frère de leur mari au moins ! |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 13:45 | |
Bah ouai ! Dis que je te dérange aussi è____é
Bah écoutes... Chacun ses problèmes x) |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 15:06 | |
Bienvenue sur le forum et merci de ton inscription. L'avatar t'es désormais réservé pour une semaine Bon courage pour ta fiche et n'oublie pas de signer le réglement si ce n'est pas déjà fait. |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 15:14 | |
Oh un Lucas de OTH avec le nom d'un personnage de Dawson ! Que de références, mais non, mais non, je me moque pas *SBAFF*
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche en tout cas ! |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 15:55 | |
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il ne passe pas inaperçu mon p'tit Pacey Merci Cash Merci également aux chipies Bon, je décolle squatter ailleurs ! A dans quelques jours pour la fin Kiss les jeun's |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 16:31 | |
Bienvenue et bonne chance pour la fin! |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 16:45 | |
Urgh, CMM O.O Mais c'est la première fois que je vois un CMM bi O.O Chapeau ! XD
Bref, même si j'ai toujours détesté Dawson et OTH, bienvenue ^^ Amuse-toi bien ici, et bon courage pour la suite de ta fiche =) |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 17:04 | |
Bienvenue au royaume des malfrats l'artiste.. |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Sam 11 Juil - 18:03 | |
Miam ^^ Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Dim 12 Juil - 0:06 | |
Welcome bonhomme ^^ Bon courage. |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Dim 12 Juil - 1:02 | |
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche =D |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Lun 13 Juil - 17:55 | |
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| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • Mer 15 Juil - 2:19 | |
Merci à tous pour l'accueil ! Je pense avoir terminé |
| | | | Sujet: Re: • Pacey C. Kant • | |
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