| Sujet: [Terminé] Un coup de pied ou coup de poing ? • Stacey Fisher Mer 25 Juil - 15:34 | |
Identity Card Feat "Kate Mara"(c) Clumsy |
Stacey Cameron Fisher est âgée de 27 ans et est née le 30 octobre 1985. Elle est américaine et a passé toute sa vie à New York. Elle est policière et n’a pas d’ambition particulière quant à son avenir. Elle mesure 1m60. Elle a suivi des cours d’auto-défense et suit des cours de karaté présentement, tout en pensant à suivre des cours de boxe. Même quand elle ne travaille pas, elle vient en aide aux autres, se promenant dans les rues, jouant à la justicière pas forcément masquée. Elle habite dans un appartement à Brooklyn, mais passe beaucoup de temps chez son grand frère et chez sa petite sœur. On peut la voir courir dans les rues du quartier environ une demi-heure à tous les jours dans l’après-midi, puisqu’elle fait souvent les chiffres de soir. Elle est hétérosexuelle et célibataire.
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▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
▬ Histoire ; Stacey se réveilla en sursaut, son cœur battant la chamade, sa respiration était haletante. Sa tête retomba lourdement sur son oreiller quelque instant plus tard, refermant les yeux. Elle détestait ce rêve, qui ressemblait plus à un cauchemar qui était basé sur un souvenir. La fin de ce dernier était déformé. Il n’était pas conforme à la réalité. Heureusement. Cela ne s’était pas bien terminé, mais si ce cauchemar avait été vrai, cela aurait été encore pire. Elle n’aimait pas repenser à ça, même si tout avait été mieux par la suite. Plus de liberté, de choix, de sorties, d’amis, d’expériences. Elle n’en était pas revenue lorsqu’elle avait demandé à Erwan, son demi-frère, si elle pouvait sortir et qu’il avait dit oui. Ce qui n’était jamais arrivé avant, pas avec son père. Il avait toujours été bien sévère, mais avec la mort de leur mère, cela n’avait fait qu’augmenter. À l’époque elle n’avait pas cru cela possible du haut de ses douze ans. Tout ça parce qu’elle n’était pas un garçon. Sa mère était morte à cause de cela aussi. Elle avait eu Clara et elle était retombée enceinte, faisant une nouvelle fois une fausse-couche. Une hémorragie, encore plus grosse que les autres. L’ambulance n’avait pas été assez rapide. Le reste le fut. Elle ne garde qu’un souvenir flou des mois suivants la mort de sa mère. Son enterrement, le départ d’Erwan, les nouveaux pleurs qu’elle eut lorsqu’il partit, la sévérité grandissante de son père, la cuisine qu’il faisait qui n’était pas appétissante et qu’elle se mette à s’occuper de Clara, d’un peu plus d’un an, de plus en plus. Le jour quand elle était à l’école, il y avait une gardienne qui s’en occupait. Elle arrivait et cette dernière partait ensuite. Elle devait donc gérer Clara, ses devoirs et ses études. Son père ne l’aidait que rarement. Il la mettait dans son berceau et l’enlevait car elle était trop petite pour faire ça.
Durant quatre ans, ce fut comme ça. Elle lui apprit à parler, à marcher, à manger, à aller à la toilette. Tout ce que des parents auraient dû faire. Son père ne fit rien. À part acheter les meubles, la nourriture, les vêtements, les jouets… quand elle demandait. Ce qui lui avait toujours demandé beaucoup de courage. Elle continuait de gérer le lycée, les études, les devoirs ; elle en faisait aussi durant les pauses, le midi Elle n’avait pas d’activités parascolaires, n’avait pas vraiment d’amis. Elle était plutôt solitaire. Elle n’eut jamais de problème. Elle essayait de se faire la plus discrète possible et les rares fois où quelqu’un avait été chez elle pour étudier, les rumeurs sur la sévérité de son père se transmirent rapidement. On ne voulait pas le croiser. Certains lycéens le connaissaient déjà, il était le directeur d’un lycée privé et il les avaient fait renvoyer. Pourquoi elle, elle n’y allait pas ? Elle était une fille, elle ne méritait pas ce qu’il y avait de mieux. Peu importe ce qu’elle pouvait faire, elle n’avait pas la moindre attention de son père. Elle cumulait les bonnes notes, grâce à sa bonne mémoire, mais il ne l’encourageait jamais. Elle avait les cheveux courts, s’habillait d’une manière plutôt masculine, agissait en gars. Rien n’y faisait. Elle arrêta vers seize ans d’essayer de lui plaire. Clara prit sa décision à sa place sans le savoir. Ses cheveux étaient plus longs que d’habitudes, n’ayant pas le temps d’aller se les faire couper avec les révisions de fin d’année. Sa petite sœur lui dit qu’elle aimait ses cheveux plus longs que d’habitude, elle pouvait la coiffer comme ses poupées. Pas dans ses termes, mais c’était ce qu’elle voulait dire. Ses cheveux poussèrent et elle choisit des vêtements qu’elle aimait. Son père ne l’amenait pas magasiner, il lui donnait de l’argent et elle se débrouillait pour elle et Clara. Elles ne manquaient de rien, pour l’affection elles avaient l’une et l’autre. Il ne les battait pas, il parlait sur un ton froid, glacial, disant des mots qui faisaient mal. Quand il était à bout, il les forçait à aller dans leur chambre, les trainants (rares fois où il y avait un contact physique) ou encore dans le placard sous l’escalier. C’était souvent parce qu’elles riaient, s’amusaient, faisaient du bruit.
Lorsque Stacey demanda à son père si elle pouvait faire partie du comité organisateur du bal pour sa dernière année de lycée, elle fut surprise lorsqu’il dit oui. C’était pour qu’elle apprenne à avoir des responsabilités. Elle ne dit rien. Répliquer égalait être enfermée dans sa chambre, à sortir au minimum. Elle ne s’occupait pas de sa petite sœur depuis quelques années maintenant. Il s’occupa d’elle pendant qu’elle n’était pas là, rentrant plus tard que d’habitude certains soirs lorsqu’il était question d’organiser le bal. Et, le grand soir arriva. Elle resta une grande majorité de la soirée à servir les punchs. On l’invita à danser une fois, mais ça ne dura pas très longtemps. Elle ne savait pas danser. Après la soirée, elle appela son père pour lui dire qu’elle allait rentrer plus tard que prévu. Elle allait rester pour aider à nettoyer niveau boisson et nourriture. Il lui dit qu’il n’y avait pas le moindre problème.
«Stacey, tu vas me dire ce qui est arrivé. Tu peux prendre tout ton temps. » Toc. Toc. Toc. Toc. Stacey donnait des coups sur le pied de la table, reniflant de temps à autre. « Où… où est Clara ? Je dois la voir… rester avec elle. Elle doit dormir, il est tard. Elle est petite. » Elle regardait partout autour d’elle, essayant de la voir. « Elle va bien. On s’occupe d’elle. Dès que t’as fini d’expliquer ce qui est arrivé, vous allez être ensemble. » Stacey soupira, avala une mini gorgée d’eau, prit ensuite une grande inspiration, fermant les yeux. « C’était le bal du lycée. Je suis dans le comité organisateur. Je suis restée plus tard pour aider à nettoyer un peu… j’ai appelé papa et il a dit que je pouvais rester. Madame Murray est venue me reconduire. Il devait être 1 h 30. J’étais jamais rentrée aussi tard… je sors pas… euh… je suis rentrée, et papa m’attendait près de l’entrée. Il m’a parlé, c’était bizarre. Il disait que je devais pas rentrer aussi tard, que c’allait lui faire une mauvaise réputation, que je devais être plus sage, que je devais rester à la maison car j’étais une femme… je lui ai dit que je l’avais appelé. Il a dit que je mentais et il m’a frappé. Il avait jamais ça avant… je comprends pas. » Sa voix était devenue hystérique, pendant qu’elle touchait le côté de son visage blessé, grimaçant. « Prenez votre temps. » Et la policière lui tendit un mouchoir que la lycéenne prit. « J’ai… j’ai… perdu l’équilibre et je suis tombée sur la petite table avec la lampe. Elle s’est brisée. Je me suis retrouvée par terre… je suis vraiment obligée de continuer ? » Un hochement de tête lui répondit. « Il m’a pris par le bras et m’a relevé. Il m’a frappé encore et je suis encore tombée. Je… je sais plus si j’ai crié. Je… pensais pas qu’il ferait ça... j’ai reculé, ma robe est fichue à cause de la lampe… il s’est avancé, et il s’est arrêté. Clara lui a sauté dans le dos et il l’a jeté par terre. Ma petite sœur. Elle a rien fait. » Elle se remit à pleurer, reprenant lorsqu’elle se calma. « J’ai pris la petite table et je l’ai lancé sur papa. J’ai pris Clara dans mes bras et je suis sortie de la maison. Je me suis jetée dans la rue, y’avait une auto qui passait. Elle s’est arrêtée et je suis montrée dedans sans demander. Il a crié et… papa a frappé une vitre avec un bâton de golf. On a roulé. Et il est venu me reconduire ici. Je peux voir Clara maintenant ? »
Elle put aller la voir. Leur demi-frère fut ensuite appelé. Premier contact en cinq ans. Erwan les prit charge. Leur père était mort. Une crise cardiaque. Elle n’en fut pas très attristée. À trois, ils aménagèrent dans un appartement, et tout alla beaucoup mieux ensuite. Elles pouvaient rire, chanter, danser, sauter, faire du bruit sans problème ; pas trop non plus. Elle avait postulé à l’université de New York pour devenir professeur d’histoire par la suite. Si elle devait professeure, il lui paierait ses études. Il n’était plus là. Elle décida plutôt, après y avoir pensé durant quelques semaines, de postuler à l’académie de police. Elle n’avait pas passé beaucoup de temps au poste, mais elle avait regardé une fois qu’elle eut fini de dire ce qui était arrivé et que Clara s’était endormie sur ses genoux. Elle n’avait pas trouvé de mot pour décrire ce qu’elle avait ressenti, mais elle voulait faire ça. Il y avait aussi de la reconnaissance, de l’aide qu’on lui avait apporté. Elle voulait aussi aider. Il n’y eut pas de problème tant qu’à son nouveau choix de carrière. Il n’y avait pas de problème avec beaucoup de choses et c’était plutôt bizarre. Changeant, appréciable, mais bizarre. Elle ne savait pas trop quoi faire de cette liberté soudaine. Ainsi que de l’attention que lui donnait certains amis de son frère. Ce qui était nouveau. Ils ne craignaient pas son père. Comparativement à elle, même après qu’il soit mort. Son cauchemar commença environ six mois plus tard. Elle avait commencé à l’académie de police et avait depuis peu aussi commencé des cours d’auto-défense ainsi que des cours de conduite. Son rêve consistait à ce qu’elle avait vécu le soir du bal. Pareil. Jusqu’à la voiture. Dans son cauchemar, soit il n’y avait pas de voiture soit cette dernière n’arrivait plus à démarrer ensuite. Résultat : il tuait Clara en premier et c’était ensuite elle qui y passait, car elle n’arrivait plus à bouger. Elle n’était jamais morte dans son cauchemar, mais elle sentait les premiers coups.
Durant les années qui suivirent, Stacey ne fut pas que sage. Rien d’énorme, simplement quelques conneries qu’elle aurait dû faire avant. Juste pour tester et constater que même si elle avait pu les faire auparavant, elle n’en aurait pas fait autant que d’autres avaient pu en faire. Ses conneries consistèrent à renverser quelques poubelles ou encore à tagguer quelques murs. La première fois qu’elle toucha à l’alcool, ce fut lors de sa fête de dix-neuf ans, avec d’autres étudiants de sa classe. Sans entrer dans les détails, elle avait expliqué sa vie entre ses douze et dix-sept ans. On lui paya à boire… avec une fausse carte d’identité. Qui de mieux que des futurs policiers pour être capable d’en faire des bonnes ? Ils avaient appris à les débusquer, alors en faire était facile. Elle fut malade et eut le pire mal de tête de toute sa vie ensuite. Sans oublier les autres désagréments comme les sons, les nausées, qu’elle se sente faible… elle ne but pas durant un certain temps par la suite. On continua de lui faire faire d’autres premières expériences. Elle embrassa un garçon, une fille aussi même si sur ce point elle n’avait pas voulu. Mais, c’était ce que désirait la fêtée. Elle toucha aussi à la drogue, avec le frère d’un étudiant qui était avec elle dans la même année. Elle n’avait pas pu résister à son attrait mauvais garçon. Elle prit de l’ecstasy une fois. Elle n’y toucha plus ensuite. Elle n’avait pas aimé cette impression de perte de contrôle. Qu’elle pouvait faire n’importe quoi sans pudeur. Ce fut la même chose pour la cocaïne. Une seule fois. Ce ne fut pas la même chose avec la marijuana, qu’elle continue de fumer de temps à autre, cela aide à la détendre. Vers vingt ans, elle sortit avec un gars qui était dans son cours d’histoire au lycée. Il rompue après avoir couché avec elle. Classique. Sa première fois en bien des points. Premier amour, premier cœur brisé aussi.
Elle fut diplômée de l’académie de police, sans grande surprise, avec les notes qu’elle avait toujours eue ainsi que sa mémoire, elle fut bien placée. Malgré sa petite taille et le fait qu’elle avait du mal à plaquer et à garder en place les autres plus grands qu’elle généralement du temps, elle courait plutôt vite, grimpait facilement et se faufilait partout sans trop de problème. Elle eut aussi quelques problèmes avec sa colère. Avec le temps, elle avait découvert qu’elle pouvait se mettre en colère. Elle n’avait jamais voulu être le genre de policière impatiente, qui se mettait en colère lorsqu’on disait tout sauf ce qu’on voulait entendre, mais quelquefois, ça sort seul sans qu’elle ne puisse y faire quoi que ce soit. Elle se met en colère facilement, mais elle ne boude. Elle explose et tout va bien ensuite. Quand on la cherche, on la trouve, mais il faut tout de même la chercher un peu. Y’a des plus colériques qu’elle. Elle eut quelques problèmes avec son côté tête brûlée. Réfléchir avant d’agir est une bonne idée. Elle a eu peu de mal avec ça. Sinon, cela allait bien. Elle aime travailler en équipe, partager, elle n’est pas de mauvaise humeur et sait laisser ses problèmes chez elle. Elle est aussi douée avec les témoins, ayant du tact et de l’entregent.
Un an environ après avoir été diplômée, elle déménagea de chez Erwan afin de s’installer dans un trois pièces à Brooklyn. Elle y vit encore aujourd’hui. Sa vie sentimentale connue des hauts, des bas. Rien d’exceptionnel. Sa vie professionnelle en connu aussi, mais tout va assez bien. Elle fait des patrouilles, conduisant ou non, ne sachant jamais ce qui va arriver. Elle a déjà utilisé son arme, elle vise assez bien, mais n’a jamais tué personne, préférant toucher les genoux ou bien les doigts, ou tout autre endroit pas trop dangereux, mais vraiment douloureux. Aimant ce qu’elle fait, elle ne pense pas à grand-chose pour la suite. Il y a environ trois ans, en rentrant d’une soirée entre amis, elle entendit des cris provenir d’une ruelle. Elle s’y dirigea. Une femme se faisait attaquer par un type. Elle le cogna. La victime partie, mais pas l’agresseur qui se jeta sur elle. Elle ne se laissa pas faire, le frappant entre les jambes, se mettant ensuite à courir, loin. Depuis, elle sauve un peu n’importe qui quand elle ne travaille pas. Elle ne s’en sort pas toujours indemne, mais elle essaie de palier à ça. Elle a commencé des cours de karaté depuis peu. Ensuite ? Et bien, la suite est à écrire. ▬ La plus grande honte du personnage ; Ce dont Stacey a le plus honte ? Probablement d’avoir essayé la cocaïne et l’ecstasy pour un garçon. Elle trouve ça vraiment très puéril de sa part. Elle n’y touche plus, c’est déjà ça et n’en n’est pas devenue accro non plus. Cela aurait donc pu être pire. Sinon, on ne peut pas dire qu’elle est honte très facilement. Elle n’est pas gênée et assume ce qu’elle fait, alors la honte… peut-être lorsque durant quelque temps elle a essayé de se faire aimer de son père. Sauf que c’est loin maintenant. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; Revenir en arrière, durant les cinq années après la mort de sa mère. Revivre sous le joug de son père. Elle ne sait même pas ce qu’elle serait devenue si elle n’avait pas partie du comité organisateur du bal et qu’elle serait arrivée aussi tard. Sans revenir arrière, elle détesterait se retrouver sous les ordres de quelqu’un ressemblant à son père. Elle en a assez eu. Elle en reçoit pour son travail, mais c’est son travail. Dans sa vie personnelle se serait autre chose. ▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Des tonnes de chocolat et ne pas engraisser. Chacun à sa définition de paradis non ? Ça fait cliché, mais ça serait génial. Moins de cons aussi ça serait très bien. Gagner au loto. Sinon, plus personnellement, Stacey aimerait juste que tout aille bien, que tout puisse continuer comme ça. Du positif, du négatif, mais rien de trop négatif. Elle aime bien la vie qu’elle a depuis que son père est mort, et ne veut pas qu’elle change. ▬ Point faible du personnage ;
Son point faible ? Elle en a des tas. Sa petite sœur Clara, son demi-frère Erwan. On peut l’atteindre très facilement à ce sujet. Il y a aussi sa petite taille, elle sait de plus en plus se défendre, elle peut être rapide, mais elle est petite tout de même, ni même très forte. Elle est toujours triste lorsqu’elle voit un père qui aime sa fille, tout comme elle est encore plus énervée lorsque c’est un père qui maltraite sa fille. Elle est allergique aux poils de chiens et de chats. L’enfermer avec eux peut aider à toucher l’un de ses points faibles. Elle ne verrait plus rien et éternuerait. Pas de brigades canines pour elle. ▬ Point fort du personnage ;
Des points forts ? Elle en a plusieurs aussi. Être plus forte qu’elle en a l’air. Elle n’est pas du genre à s’effondrer facilement, à se sentir heurter pour rien, à bouder. Sa bonne mémoire l’aide autant dans sa vie professionnelle que personnelle. Tout comme son ouverture d’esprit et son organisation. Pour son travail, qu’elle paraisse jeune aide lorsqu’elle doit parler avec des enfants ou des adolescents. Elle est plutôt douée en cuisine, enfin, quand elle prend le temps de cuisiner. ▬ Casier judiciaire ;
• Renversement de quelques poubelles, graffitis sur quelques murs. Quelquefois les deux, il y a plus de dix ans ; officieux • Possession d’une fausse carte d’identité, ne l’a plus utilisé depuis qu’elle est majeure ; officieux • Consommation d’alcool en étant mineure ; officieux • Consommation de cocaïne une fois, d’ecstasy une fois, consommation de marijuana aléatoire ; officieux • Coups et blessures, dégradations de biens publics ; officieux ▬ Prénom ou pseudo ; Geneviève&co ▬ Âge ; 22 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; J’ai oublié ▬ Connexion ; 7/7 ? *bbaaff* ▬ Code du règlement ;
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OK par SIO ▬ Avez vous signé le règlement ; [x]OUI ; ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Le dernier que j’ai fait
Alexis [size=18]savait[/size ] très bien que la grand-mère réagirait à la phrase qu’elle dit à Dereck. C’était le but, mais la voir c’était encore mieux que de le savoir. Elle cacha un sourire de satisfaction, se contentant de passer la main dans ses cheveux. Son envie de sourire passa rapidement lorsque le jeune homme lui dit que ce n’était pas le bon moment. Elle le savait, mais il ne pouvait pas faire semblant pour faire suer sa grand-mère ? Enfin, pas juste semblant lui aurait aussi été. Mais il ne semblait pas vraiment être parti pour faire comme elle. Bon, Faire suer la grand-mère (en vente limitée) c’était son activité préférée depuis peu, peut-être pas celle de Dereck. Elle prit plus mal le fait que la grand-mère semblait être contente de ce qu’il venait de lui dire que ce qu’il lui dit justement. Elle pouvait faire la même chose, mais quand ça la concernait c’était nettement moins drôle. La grand-mère ouvrit la bouche… mais ne dit rien. Très bien. Car c’était Dereck qui venait de parler. La défendant, en quelque sorte. Elle adorait. Vraiment. Non pas le fait qu’il la défende, mais comment la vieille réagit. Encore ? S’il te plait ? (miracle, elle pensait à dire ce mot… pour une mauvaise raison, mais elle le pensait). Ils allaient en reparler plus tard. Non, tout de suite. Elle voulait les voir s’engueuler. Voir qui gagnerait. Et ensuite, elle s’adressa à elle. Elle s’en serait passée. Ou pas, tiens. Elle trouvait matière à jouer en fait.
Oh, génial. La grand-mère la prenait pour une prostituée. Charmant. Lex était vraiment très haute dans son estime. Elle ne se laissa pas abattre. Elle continua de rester stoïque, ne réagissant pas à ce qu’elle venait de dire. Enfin, pas sur le coup. Car elle ne put s’empêcher de parler. « Tu sembles être experte. T’as de l’expérience aussi dans ce domaine ? » lui demanda-t-elle, un sourire en coin apparaissant sur son visage. Sourire en coin très sarcastique et moqueur. Ou comment la traiter de pute à son tour sans vraiment le dire. Comme ce qui venait de lui être fait. Elle n’avait pas démenti à son propos, mais elle savait qu’elle ne l’était pas et c’était tout ce qui comptait non ? Peu lui importait ce qu’une vieille bique comme la grand-mère de Dereck (elle le plaignait) pensait d’elle. Si c’était elle qui l’avait élevé, ça pouvait expliquer certains points du comportement du jeune homme. Elle le plaignait de plus en plus. Elle ne l’avait pas le moins du monde écouter à propos du vouvoiement, de la politesse et des autres détails comme ça. Elle continuait de s’en foutre. Elle avait même de plus en plus envie de se montrer vraiment grossière. Esprit de contradiction ? Oui, c’était le cas. Bon, aller, elle ne pouvait pas faire une crise cardiaque pour qu’ils puissent avoir la paix ? Ça serait bien. Elle avait faim. Avec l’arrivée de la vieille, elle n’avait toujours pas mangé. Elle pouvait tout de même ne pas manger encore et attendre. En attendant, elle pouvait toujours savourer la réaction de la grand-mère à la phrase qu’elle avait dite. Ce serait déjà ça. Elle avait toujours son sourire sarcastique moqueur d’affiché. Dereck devrait être content, elle souriait… peut-être pas de la manière dont il préférait la voir sourire (ce qui n’arrivait pas souvent), mais c’était un sourire. Mieux que rien non ? ▬ Célébrité sur l'avatar ; Kate Mara ▬ Multicompte(s) ; Non aucun voyons et j’ai pas du tout eu l’autorisation par Barda ▬ Un dernier truc à dire ? ; Kawabunga
Dernière édition par Stacey Fisher le Sam 28 Juil - 5:17, édité 5 fois |
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