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| Sujet: « Rebecca Wentwood. » Dim 2 Aoû - 19:44 | |
Rebecca Wentwood. ~ Me, Myself and I, nothing else ~
|| Identité du personnage ||
~ Rebecca Wentwood, un prénom et un nom qui en fait baver plus d'un ... et je suis fière de les arborer tous deux depuis plus de 19 ans. Néanmoins, j'estime que je porte mieux le surnom Becca, it sounds more American. Autrement, j'étudie le droit à l'Université de New-York.. En conséquence, je fais partie du groupe des étudiants et compagnie. C'est idéal pour faire des rencontres, on peut trouver des tas de garçons riches et resplendissants de beauté jusqu'au bout des ongles, mais toujours est t-il que je suis célibataire depuis bientôt un an. Toutefois, ça ne fait rien, je me console dans la drogue, et ça n'est pas plus mal.
~ Je suis née un beau – enfin beau, c'est juste pour faire cliché, il pleuvait à saut ce jour-là, jour d'avril, le 4 très précisément, il y a maintenant dix-neuf ans. Mes parents ont choisi un seul prénom, contrairement à beaucoup d'autres, et ce fut Rebecca. Rebecca Wentwood. Ma famille avait prédit à mes géniteurs que j'aurai sûrement une grande influence sur mon entourage grâce à mon aisance financière due à mes antécédents, et ils ne se sont pas vraiment trompés. Venant de l'Upper east side, cela n'a rien de grandement étonnant, et étant donné la popularité de mes parents – ma mère est ce qu'on appelle une « grande dame des villes », et mon père est un avocat réputé dans toute « la Big Apple » – richissimes ... Je vis depuis toujours à New-York, que j'aime énormément, du moins le quartier de Manhattan, et pour rien au monde je ne quitterai cette ville, car c'est celle qui fait partie de mon coeur. Depuis ma plus tendre enfance, je n'ai jamais posé de problèmes à qui que ce soit, résultat d'une éducation parfaite. Que ce soit à l'école ou à la maison, avec mes amis ou mes petits amis, je n'ai jamais manqué de respect et est continuellement était adorable avec tout le monde, même avec les individus qui ne le méritaient pas réellement – une des conséquences de mon incroyable naïveté. Mais après tout, ne dit-on pas qu'il y a du bon en chaque personne ? Malgré ma joie de vivre passée, j'ai toujours souffert d'être fille unique. Mon père souvent occupé par ses fonctions était très rarement présent, et ma mère passait le plus claire de son temps à organiser des soirées somptueuses où j'étais conviée à me faire la plus discrète possible. J'imagine que le fait d'être devenue stérile l'a énormément affecté, elle qui désirait avoir une ribambelle de rejetons, néanmoins cette dernière ne l'a jamais ouvertement montré. Heureusement, il y a eu Blair. Blair Mindster, la célèbre fille bien aimée de la créatrice de mode la plus huppée de tout New-York, à ce qu'on dit. En permanence là l'une pour l'autre, et ce depuis toujours, nous nous quittons que très rarement. C'est beaucoup plus qu'une meilleure amie, elle est comme la sœur que je n'ai jamais eu, ma confidente, tout ce qui est de plus cher à mes yeux. Aussi peste soit-elle quelque fois, je l'aime à en perdre les mots. Je crois que ce qui nous unie le plus, c'est la confiance établie au fil des années, qui m'a d'ailleurs permis de lui livrer mon secret. La seule qui puisse me comprendre, c'est Blair et uniquement Blair, rien ni personne d'autre. J'ai l'impression de passer pour une fille asociale parfois, d'avoir qu'une seule amie alors que ce n'est pas du tout le cas. Blair a beau être la meilleure selon moi, je ne me suis pas réduite à la fréquenter uniquement ; j'ai quelques relations avec certaines danseuses de l'Aphrodisia – où je passe le plus clair de mon temps afin de me libérer de la souffrance que j'endure au plus profond de moi, lorsque je ne me drogue pas, ainsi que la patronne. Je fréquente également Raphaël Hammond, que j'ai connu par le biais de mes parents. Chic type ! Il est vrai que depuis ma « rébellion », ces derniers ont tendance à s'éloigner de moi, sûrement déçu de me voir tourner comme je le fais, tel que passer des heures la nuit dans des ruelles sombres et incongrues au lieu de me triturer à l'esprit à obtenir quelques millions de dollars pour des associations caritatives, me présenter en l'un de mes costumes de strip-teaseuses à une soirée pyjama innocente, et autres conneries du genre. J'aimerai tellement qu'ils comprennent ...
Assis tous deux sur le lit de l'hôtel, nous rigolions sans aucune raison, comme à notre habitude. Voilà un weekend de détente, le premier depuis des lustres. Et le dernier, sans pour autant que je le sache. Ce rituel de relâche, nous l'avions adopté voilà maintenant trois ans ; nous louions une chambre d'hôtel miteuse en fin de semaine, tous les deux mois environ et nous nous livrions aux plaisirs de la vie. Pas très orthodoxe d'avoir des rapports avec son meilleur ami vous me direz, mais je crois qu'entre nous, il y avait autre chose que de l'amitié, aussi forte soit-elle. Malheureusement, je me suis rendue compte que je l'aimais trop tard, et j'en meurs un peu plus chaque jour ... Ce jour-là, un détail différait ; des petits sachets remplis de poudre blanche étaient disposés sur la misérable table de chevets du côté d'Esteban. Je me rendis compte de cette particularité seulement deux bonnes heures après que nous soyons arrivés. Mes yeux filaient entre Esteban et les sachets contenant une substance douteuse, sans qu'il s'en aperçoive pour autant. Je finis tout de même par lui faire remarquer. Il me fit un sourire en coin et embrassa chaque centimètres carré de mon cou avant de descendre le long de ma poitrine, pour s'arrêter sur mon nombril. Il releva la tête et plongea ses prunelles d'un noir étincelant dans mon regard légérement inquiet, et déposa ses lèvres sur l'arrête de mon nez.
- « Ne t'en fais pas Becca, c'est juste de quoi s'amuser un plus. Tu verras ça va être fantastique. »
Je le lorgnais bizarrement, dubitative. Je n'aimais pas trop ce jeu, et je ne voyais pas pourquoi Esteban avait ramené de la drogue aujourd'hui, subitement. Je préférais m'en tenir à notre divertissement habituel, soit le sexe à l'état pur. On n'avait pas besoin de ça, me dis-je intérieurement.
- « Je vais prendre ma douche », déclarai-je sans oser le regarder, craignant sa réaction. - « Quoi déjà ? Tu vas pas me dire qu'on stoppe maintenant alors que ... mais enfin je ... attends ne va pas me dire que c'est ce que j'ai apporté qui t'a coupé ton appétit sexuel ? », répliqua t-il, pensant me faire rire sûrement avec son « appétit sexuel ».
Je ne lui répondit pas et me levai, sans un mots, arrachant brusquement ma main de la sienne. Me dirigeant vers la salle de bain, je ne me retournai pas, car de toute manière je savais qu'il finirait par me suivre. Je soupirai en ouvrant la porte et abandonnais la couverture que j'avais emportée sur moi dans un coin de l'étroite pièce, avant de m'engouffrer dans la douche. Je tentai de faire baisser la température de mon corps avec de l'eau à peine tiède, quand j'entendis le cliquetis de la porte qui s'ouvre. Je ne pris pas la peine de vérifier qui entrait car ça ne pouvait être qu'Esteban évidemment. Je ne réagis pas tandis qu'il m'enlaçait dans ses bras et déposait de doux baisers légers sur mon épaule gauche. Je me retournai et l'enlaçai à mon tour, l'eau ruisselant sur son torse. Il ferma le robinet d'eau chaude sans que je m'en aperçoive et hurlai de surprise quand une pluie d'eau gelée me martela le dos. J'entends encore son rire tonitruant sorti tout droit du coeur, dans ma tête. Je sortis à la hâte, les cheveux dégoulinant d'une eau glacée, et m'essuyai rapidement avec le t-shirt qu'Esteban avait laissé par terre. Grelottante de froid, je me hâtai d'aller chercher une culotte et un t-shirt dans la pièce jouxtant la salle de bains, la seule d'ailleurs. Ne trouvant pas de quoi vêtir au moins le haut de mes jambes dans mes affaires, je finis par dénicher un boxer d'Esteban que j'enfilai à toute vitesse et empruntai en même temps un de ses débardeurs noires à l'effigie des Pink Floyd.
- « Sexy, le boxer ... »
Je me retournai, découvrant un Esteban à croquer ; ses cheveux noirs relevés avec l'eau lui donnait un air ténébreux, limite rock'n'roll, et son torse nu me faisait craquer une fois de plus. Paré seulement avec une serviette (mais où l'avait-il trouvé ?) autour de sa taille, il me regardait avec un sourire en coin que je ne lui connaissais pas encore. Je le lui rendis, ajustant son haut trop grand pour moi. Mon emportement aux oubliettes, je m'assis à nouveau sur le lit, contemplant l'homme que j'aimais alors. Silhouette plutôt grande et musclée, peau matte s'alliant parfaitement avec la couleur noire de ses cheveux lisses et mi-longs, et des yeux d'un marron profond qui me déstabilisaient constamment lorsque je les rencontrai, tellement leur beauté me réduisait en cendres ; tel était en ce temps-là le physique incroyablement séduisant d'Esteban. Soupirant, je m'allongeai sur le ventre et essayai désespérément de trouver le sommeil, sans voir ce qu'il se tramait à seulement quelques mètres de moi.
Les yeux boursoufflés et écarquillés, je m'observai lentement dans le miroir piteux et usagé de la salle de bains. Overdose. Tentant de calmer ma respiration saccadée par mes sanglots, je jetai des regards apeurés vers le corps inerte d'Esteban, bleui par le poison qu'il s'était injecté en trop grande quantité. Ce ne pouvait tout simplement pas être la réalité ... pourquoi s'était-il drogué de la sorte ? Ne pouvait-il pas au moins attendre que je partage ce « moment fantastique et génial » avec lui ? Je ne saisissais pas les causes de son acte délibéré ... Suicide ? J'avais beaucoup de mal à imaginer Esteban se suicider avec de la drogue. Tout mon bonheur venait de s'évanouir en un court instant de répits. Allure de star, profil de mannequin, chevelure blonde resplendissante, sourire Freedent ... qui pourrait croire qu'avec ce physique, une personne ait pu contribue à la mort de son meilleur ami ? Frappant de mon poing le miroir qui renvoyait l'image douloureuse d'une inconnue, d'une meurtrière, je le brisai, m'entaillant en même temps la main. Je claquai la porte, pris un jean à moitié troué dans le tas de vêtements d'Esteban et m'enfuit en courant, les larmes aux yeux, seule. Ma main me faisait terriblement mal, mais ça ne valait rien à côté de la blessure de mon coeur, qui saignait abondamment, comme mes larmes maintenant. L'image défunte d'Esteban me hantait l'esprit, son rire retentissant encore dans mes oreilles et ses yeux ancrés dans les miens. Je pensais soudain à Blair, le seul fil qui me retenait dorénavant à la vie, ma seule raison de survivre dans ce monde ... que dirait-elle quand je lui apprendrai ce que j'ai fait ? Allais-je avoir des problèmes avec la justice ? Quand adviendrait-il du corps d'Esteban ? Je fus prise de remords de mettre échapper ainsi, néanmoins je savais que je ne supporterai pas de revoir sa peau froide une nouvelle fois. Il était mort. Mort. Ce mot trottait sur ma conscience, ayant énormément de mal à le rendre réel. Esteban Ribakk était mort, je ne le reverrai plus jamais. Jamais ...
~ Définition de l'enfer pour le personnage : En général, les personnes plus ou moins normales ont peur de petites choses banales comme les araignées, le noir, et autres insignifiances communes ... Évidemment, étant donné que je sors de la normalité, il faut que ma plus grande crainte soit quasi hallucinante et inexplicable. Comment réponderiez-vous à quelqu'un qui vous demande de quoi avez vous le plus peur, quand celle-ci est de voir un de vos amis faire une overdose d'héroïne devant vous ? Surtout que tout le monde, enfin je crois bien, sait que je me drogue moi-même. En effet, c'est une belle occasion, quant à se faire passer pour une pauvre fille complètement dérangée.
~ Définition du paradis pour le personnage : Le paradis, en ce qui me concerne, se définit en un seul et unique mot ; drogue. Quelle autre sensation fantastique équivaut à l'impression de planer au septième ciel ? Nothing, of course. Jamais au grand jamais je ne raterai une de mes séances de vol, car c'est le meilleur moyen, selon moi, d'être heureux au moins un - bref - instant. Tout oublier ... A l'instar d'une petite brindille de bien-être qui s'enflamme et s'éteint en un clin d'œil, avant qu'on est pu dire « Je me sens bien, aujourd'hui. Ça relève du miracle ! ».
~ Taux de criminalité et pourquoi : Quand bien même Blair se tue à me dire que je n'y suis pour rien, je me sens en partie responsable du décès d'Esteban. Ce qui équivaut à 20 % ... pour un homicide involontaire. Ainsi que quelques substances illicites par-ci, par-là, je dirai que mon taux de criminalité est égal à 28 sur 100.
|| Le joueur et le hors-jeu ||
~ Prénom/Pseudo : Anne-Line, mais tout le monde m'appelle Line. ~ Age : 16 ans ~ Votre avis sur New York, The Dark Side : Le contexte me plait beaucoup, et le design est très attrayant. ~ Où avez-vous connu le forum ? Pur hasard ... ~ Niveau de RP : (en lignes/pages word par post) Une page word environ. ~ Exemple de RP : - Spoiler:
Voir plus bas ~ Connexion : 7 jours sur 7 ~ Code du règlement : - Spoiler:
OK by Wii ~ Avez vous signé le règlement ? : C'est fait. ~ Célébrité sur l'avatar : Kate Moss ~ Multicompte : Négatif : )
Dernière édition par Rebecca Wentwood le Ven 7 Aoû - 21:45, édité 21 fois |
| | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » Dim 2 Aoû - 19:48 | |
Bienvenue sur NY- The Dark Side et merci de ton inscription.
Je te souhaite bon courage pour ta fiche, te rappelle que le staff est la pour t'aider si tu rencontres un problème quelconque et que tu peux toujours envoyer des MP à Blair pour plus de renseignements sur le personnage. |
| | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » Dim 2 Aoû - 21:22 | |
Kate...... *___*
Welcome ! Bon courage pour ta fiche. |
| | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » Mar 4 Aoû - 17:06 | |
Merci à vous deux |
| | | | | | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » Jeu 6 Aoû - 12:27 | |
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| | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » Jeu 6 Aoû - 17:46 | |
Bienvenue et bon courage pour ta fiche. . |
| | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » Jeu 6 Aoû - 23:15 | |
Merci *ALEXXX PETTYFER <3* |
| | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » Ven 7 Aoû - 21:43 | |
Désolée de faire un double-post mais j'ai fini ma fiche de présentation : ) Voici mon exemple de rp : - Spoiler:
Les mains dans les poches et le moral dans les chaussettes, je parcourais sans but les ruelles de Paris, observant discrètement les quelques personnes qui s'aventuraient dehors par ce temps pluvieux. Tous lorgnaient impoliement ma chevelure trempée et décolorée, et j'étais bien content de ne pas pouvoir entendre leur railleries faites à l'ami qui les accompagnaient, étant donné que j'avais emporté mon iPod. Je pourrai moi aussi critiquer celle qui s'était vêtue d'une robe rouge délavée avec des horribles baskets bleues, celui dont les lunettes étaient tordus, et l'autre dont le pantalon était trop petit et troué.Mais ma personne était dénuée de toute rudesse, je gardais mes pensées enfouies au fond de mon âme et mes regards noirs par la même occasion. Chacun est comme il le doit, je me fichais éperdumment de l'apparence du monde, tant que celui-ci n'est pas fringué comme un délinquant avide de rap. Rien que ce mot, si on peut appeler ça un mot, me fit frissonner de dégoût. Où s'en va la douce poésie qui caresse les tympans fragiles des jeunes gens ? Aux oubliettes. Du gâchis, rien que du gâchis. Je me demande bien comment réagirait ma petite-amie si je lui proposais de la sauter ce soir, sur un air de Sinik. Elle soupçonnerait probablement une portion d'alcool avalée au cours de la journée. Quoi que même bourré, je ne me permettrai jamais ce manque de respect total. L'idée de la qualifier de « meuf » me répugnait, alors lui proposer de « la sauter sur un air de Sinik » n 'en parlons pas. Certaines de mes connaissances feraient bien d'écouter Damien Saez de temps en temps. Le meilleur poète après Shakespeare, selon moi. Je m'imagine parfaitement proposer un morceau de chanson française au groupe que nous avons surnommer « Moi, ma meuf, mon rap » ; une chaîne en contreplaqué dans l'oeil droit, un coup de coûteau dans le dos et évidemment une jolie insulte en verlan dans la gueule .. « I’m in love with a fairytale, even though it hurts ‘Cause I don’t care if I loose my mind I’m already cursed »
Alexander Rybak. Un petit poète, comme dirait Sandra. Je n'étais pas totalement d'accord, mais je ne niais pas qu'il avait un certain talent, et quel violoniste ! J'étais accro à sa chanson depuis hier, je l'ai mise en mode répétition. En parlant de violoniste, j'en aperçevais un au coin de la rue. Sûrement un sans domicile fixe ... cette injustice me dégoûtait également. Après, on ose encore parler des droits de l'Homme. Je m'approchais de lui avec un sourire amical aux lèvres, et vidait la moitié de mon porte-feuille dans la tasse en carton vide qu'il avait posé à côté de lui. Je lus dans ses yeux un plaisir intense, et mon coeur se réchauffa soudainement. Vêtu de vieux haillons sales et dégoûtants, je dus me retenir de vomir à cause de l'odeur répugnante. Ses cheveux étaient gras, longs et abîmés ainsi que tout gris au niveau des racines. Il balbutiai, tentant de me remercier j'imagine, et je lui souhaitais une bonne soirée avant de partir, continuant ma route. Après dix bonnes minutes de marche, j'arrivais à destination. Je descendis deux à deux les marches qui menaient au métro, sortant un ticket violet de ma poche. Les sous-terrains étaient quasiment déserts, et j'en fus pas moins heureux. Cependant, les wagons semblaient bondés d'individus, et je priai pour que le prochain soit vide. Sur le pied de gare, je m'accoudais au mur carrelé de pavés blanc, pour la plupart tagués de marqueurs noirs aux insignes incompréhensibles. Je faisais face à une publicité pour le Schwepps, avec Nicole Kidman brandissant fièrement sa bouteille de sa main gauche.Pitoyablement lamentable.Je soupirais d'ennui, lorsque le bruit du train sur les rames se fit retentir dans toute la gare. Je tournai la tête à gauche et aperçu le premier wagon arriver. Vide. Il était vide. Je soupirais, de soulagement cette fois-ci, et montais sans me poser de question. Je m'assis sur une banquette quelconque, tout en contemplant le peu de personnes qui entraient. La sonnerie de fermeture résonna au sein du métro et le train démarra calmement. Un jeune homme encore debout tituba et faillit se ramasser s'il ne s'était pas retenu à la barre de fer. Je le regardais, amusé. Il dut sentir mes yeux posés sur lui car il se retourna et ... je reconnus Daniela Pochklovsky. Tout étonné, je la reluquais d'un air stupéfait. Elle sembla saisir mon incompréhension et ria de bon coeur.
« Tiens, ça faisait longtemps mon chou. Comment tu vas depuis le temps ? »
Je ne sus que répondre, pendant qu'elle s'installait à mes côtés, entièrement décontractée.
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| | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » Sam 8 Aoû - 0:20 | |
Jolie plume =)
Je garde le taux de criminalité à 20%, mon avis se rapproche de celui de Blair : Becca n'y est pour rien.
FICHE VALIDEE, bon jeu ! |
| | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » Sam 15 Aoû - 15:50 | |
Avec chais pas combien de retard...
BIENVENUE =D |
| | | | Sujet: Re: « Rebecca Wentwood. » | |
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