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AVATAR : Stana Katic
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PROFESSION : Flic à la Criminelle
| Sujet: Erika Stojanović ▬ Once upon a crime ... (TERMINEE) Ven 6 Juin - 22:34 | |
Identity Card
Feat "Stana KATIC"(c) Athéna |
▬ Nom ; Stojanović [Prononcé "stoyanovitch"] ▬ Prénom(s) ; Erika ▬ Surnom(s) ; SMYB (Show me your boobs badge) par son ancien partenaire suite à un petit incident qu'elle ne vous racontera sûrement pas ! ▬ Âge ; 31 ans, elle est née en 1984 ▬ Nationalité ; Américaine puisqu'elle n'est pas née sur le sol serbe mais elle a la moitié de sa famille qui vit là-bas donc elle se considère malgré tout à moitié serbe. ▬ Groupe ; Autorités ▬ Statut et activité dans la vie ; Flic aux Stups pendant 7 ans, elle a demandé sa mutation après le retour au civil de son partenaire. Elle a démarré à la Criminelle il y a un mois de ça. Un domaine qui l'a toujours attirée. ▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
▬ Histoire ; (800 mots minimum.)
Née en 1984 à New York d’un père serbe et d’une mère américaine, Erika a toujours vécu dans la Grosse Pomme. Même si elle a à présent un autre point de vue sur la question, si on lui avait demandé il y a quelques années comment s’était déroulée son enfance, elle aurait sans doute répondu ‘comme toutes les autres’. Une enfance normale, jalonnée de découvertes, d’expériences, d’erreurs et d’apprentissage. Ses parents n’étaient pas exactement les parents idéaux mais elle les aimait tels qu’ils étaient. Son père l’emmenait un été sur deux en Serbie voir sa famille à Surdulica et ils avaient coutume de discuter en serbe depuis que la petite avait appris à parler. L’entendre l’appeler ‘отац’ à travers l’appartement faisait rayonner cet expatrié de longue date. C’était comme transmettre l’amour de sa terre à la génération suivante. Il la gâtait plus que de raison, dans la mesure de ses moyens. Sa mère en revanche était différente. Presque indifférente. Elle n’accordait que peu d’intérêt à leur famille. Cela n’empêchait pas Erika de l’aimer pour les rares fois où elle faisait montre d’un quelconque intérêt à son égard. Elle se disait que sa mère n’était peut-être pas faite pour être mère mais que c’était la sienne et qu’elle avait assez d’amour pour deux. Elle avait raisonné comme ça jusqu’à sa 16ème année.
Cette année-là tout sembla basculer. La police se présenta au domicile un dimanche matin, mandat en main. Ce fut le père d’Erika qui leur ouvrit. Ils entrèrent sans plus de cérémonie et déclarèrent avoir un ordre d’arrestation pour Jovan Stojanović. La jeune femme n’eut pas le temps de comprendre. Ils laissèrent à son père le temps de passer une tenue plus décente que son pyjama, ce en présence d’un agent tandis qu’Erika et sa mère étaient sous étroite surveillance dans la cuisine. Elle eut beau questionner les policiers présents, pas un n’accepta de répondre à propos du chef d’inculpation. Ils se contentèrent de l’ignorer et l’un d’eux la maintint fermement lorsqu’ils passèrent les menottes à son père et l’embarquèrent. Erika crut devenir folle ce jour-là. N’y comprenant rien, elle questionna sa mère après le départ de la voiture. Silencieuse depuis l’arrivée de la police, celle-ci se contenta de hausser les épaules et de sortir quelque chose comme ‘ils avaient leurs raisons de l’emmener’. Ce fut le premier élément déclencheur d’une longue saga de disputes, de portes claquées, de visites à la prison dans le dos de sa mère.
Tout ceci se solda un beau jour par le départ de sa mère. Erika avait 18 ans. Elle avait été diplômée la veille, ses amis et elle avaient fêté la fin du lycée toute la nuit et elle n’était rentrée qu’à l’aube. Lorsqu’elle se leva, elle trouva un post-it ridiculement seul sur la table de la cuisine. Sa mère la quittait. Erika diplômée et reçue à l’université de Droit de New York, elle n’avait plus rien à faire ici en tant que mère. Sa fille était autonome. Son père était toujours en prison alors la jeune fille décida de s’installer ailleurs. Elle n’avait pas de quoi entretenir leur grand appartement toute seule et si sa mère voulait le vendre, grand bien lui fasse. Elle n’avait plus de mauvais souvenirs ici que de bons. Elle dénicha une chambre sur le campus de l’université et après avoir expliqué sa situation, elle parvint à trouver un travail en tant que surveillante de la bibliothèque du campus qui lui permettrait de subvenir à ses besoins. Elle fit deux ans en faculté de Droit avant de se rendre compte que cela ne lui correspondait pas. Du moins pas vraiment. Elle avait soif de justice depuis ses 16 ans mais elle avait aussi besoin d’action. Elle ne supportait pas de passer son temps le nez dans les bouquins. Elle abandonna donc la faculté de Droit pour passer les tests d’entrée de l’école de Police. Elle fut reçue sans trop de mal et commença alors une nouvelle vie.
Elle rendait visite chaque semaine pratiquement à son père. Ni l’un ni l’autre n’avaient digéré, même après 5 années, le jugement qui avait été rendu. Elle ignorait comment s’y était prise sa mère pour trouver les preuves qui accableraient son père mais… elle les avait trouvées. Elle s’était couverte et Jovan avait été son bouclier en même temps que son bouc-émissaire. L’avocat commis d’office n’avait rien pu faire. Le père d’Erika avait pris 10 ans pour trafic de drogues. Il débutait sa 5ème année d’incarcération lorsqu’elle lui annonça qu’elle allait devenir flic. Bien qu’elle n’ait pas vraiment d’idée de grandeur en tête, son père la dissuada de le faire pour arrêter sa mère. Elle lui assura que ça n’était pas la raison. Elle avait juste soif de justice pour les prochains Jovan. Pour lui, elle arrivait trop tard.
La formation durait 4 ans. Son père fit un AVC à la fin de sa 2ème année. Hospitalisé et récupéré de justesse, il fit cependant les frais des ravages sur son cerveau. Les médecins lui diagnostiquèrent un syndrome de Capgras. La zone de son cerveau chargé de la reconnaissance des visages familiers avait littéralement grillé, il ne reconnut pas Erika lorsqu’il se réveilla et l’accusa même d’avoir pris l’apparence et la voix de sa fille. Convaincu qu’elle était une imposteur qui essayait de remplacer son unique enfant, il en devint vite violent et les médecins demandèrent à Erika de cesser de venir. Ils lui expliquèrent l’irréversibilité de la situation et malgré le soutien qu’ils lui apportèrent moralement pour encaisser le choc de cette nouvelle, elle mit plusieurs mois à accepter le fait que son père ne se souvenait plus vraiment d’elle et que c’était définitif.
Elle démarra en tant que bleue en 2008. Son père reparti en Serbie après que sa peine ait été réduite (compte tenu de la fragilité de son état de santé), elle se retrouva comme ‘seule à New York’. Du moins ce fut l’effet que cela lui fit pendant quelques temps. Elle s’en remit grâce aux quelques personnes avec qui elle avait noué une amitié lors de sa formation et avec qui elle gardait contact malgré le départ de certains. Pour son premier jour, elle fut placée sous la tutelle d’un gars des Stups. Il n’aimait pas s’occuper des nouveaux, était réputé pour être un râleur et un casse-couilles mais lorsqu’il vit Erika, il l’invita à le suivre. Ou plutôt il lui ordonna de le suivre, ‘elle et son joli cul’. Elle prit très mal le fait qu’il l’ait choisie parce qu’elle correspondait sexuellement à ses critères et pas parce qu’elle pouvait avoir du potentiel à révéler. Les mois qui suivirent, elle ne quitta pas Dexter d’une semelle et se démena à répondre à ses attentes professionnelles. Elle ne compta jamais ses heures au bureau, en patrouille, dans les archives… Elle avait appris l’obéissance à l’école de police, elle avait aussi appris par quels chemins tortueux devaient passer ceux qu’on appelait les bleus pour espérer approcher le poste de Detective et le respect de leurs aînés. Ce ne fut qu’après une année complète, alors qu’ils célébraient l’anniversaire de Dex, qu’elle se rendit compte qu’il ne lui avait jamais fait d’avances. Jamais. Pas même flirter. Peut-être avait-il reconnu sa valeur ou.. peut-être s’était-elle juste emportée injustement vis-à-vis de son propos. Quoiqu’il en soit, les enquêtes s’enchaînant et bien qu’elle n’ait pas toujours la possibilité d’accompagner son partenaire et mentor sur le terrain, Erika apprit à respecter Dexter, à apprendre de lui. Elle découvrit en lui un ami sincère et une épaule plus solide que le Mont Rushmore. Il la sortit plusieurs fois du pétrin dans lequel elle se mettait en tant que policière débutante et par égard pour sa fierté d’indépendante femme américaine, elle égalisa la balance 4 ou 5 fois en sa faveur.
2015 arriva, tant de choses s’étaient produites à New York depuis qu’Erika y vivait. A vrai dire, à part ses étés en Serbie et quelques voyages dans le monde organisés à l’occasion de vacances, elle n’avait jamais connu d’autres villes aussi bien que la Grosse Pomme. Elle baignait dans son chaos permanent, avait appris à s’y adapter. Quoiqu’il arrive. Pourtant lorsque Dex annonça son départ anticipé en retraite, le sol sembla s’ouvrir sous ses pieds. Son partenaire. Son frère d’armes. Son ami. Eut-il mieux valu qu’il soit mort ? Sans doute pas à ce point non plus mais la jeune femme éprouva malgré tout un nouveau sentiment de perte. Ils ne se disputèrent pas mais Erika lui cracha toute sa douleur au visage sans chercher à l’épargner. Il encaissa pendant plusieurs jours, sans rien dire, trop conscient sans doute du changement que cela annonçait pour elle. Elle finit par être à court de mots et retourna le voir pour s’excuser.
Le lendemain, elle demanda son transfert à la Criminelle. Elle avait toujours eu un attrait pour cette section lors de sa formation et avait même montré certaines dispositions qu’elle n’avait pas cherché à développer car son but était les Stups, les cartels de drogues et tout ce qui avait causé la chute de son père. Le fait que ça ait si bien collé avec son partenaire l’avait maintenue à flot en dépit du fait que son père et elle n’avaient plus eu aucun contact suite à son retour en Serbie. Dexter à la retraite, Erika n’était plus vraiment certaine d’être capable de faire ce travail toute seule. Elle ne se sentait pas capable de prendre un bleu avec elle et de le former à ce pourquoi Dex l’avait entraînée. Elle préférait utiliser son départ anticipé comme un tremplin vers une autre section, une autre vie, plutôt que de laisser son absence l’engloutir et la plonger dans les méandres d’un passé qui ne serait plus qu’un souvenir. Elle quitta donc les drogués et les dealers pour tendre les bras aux meurtriers et à leurs victimes.
Wanna know more ? ▬ Relations ; (60 mots minimum)
Erika n'est vraiment pas du genre associable, bien au contraire. Elle aime les rencontres. C'est aussi ce qui lui plait dans son boulot, bien qu'il s'agisse souvent d'enquêter sur la vie des gens et pas d'apprendre à faire ami-ami avec les suspects, ça lui permet de rencontrer du monde, de réussir de temps en temps à en aider certains en rétablissant la justice ou permettre à d'autres de retourner dans le droit chemin duquel ils s'étaient écartés. Elle n'a pas pour vocation de rendre tous les méchants gentils, elle n'a clairement pas une vision aussi binaire de l'espèce humaine mais elle fait de son mieux pour rendre justice aux victimes. Il ne faut cela dit pas s'attendre à devenir sa meilleure amie dès la première rencontre. Erika, de par son caractère mais aussi par déformation professionnelle, est quelqu'un qui a du mal à faire confiance de façon instinctive. Elle a besoin d'être convaincue par ce qu'elle a sous les yeux.
C'est pour ça que même avec ses amis, elle se surprend parfois à rester sur le qui-vive. Être flic c'est un peu comme être psy', quand on est passionné par ce qu'on fait, on a du mal à lâcher le boulot en rentrant à la maison. Les quelques rares amis sincères qu'elle a la taquinent assez avec ça pour qu'elle essaie de faire attention et de ne pas les vexer. Mais parfois c'est plus fort qu'elle. Malgré ce défaut qu'elle ne tente pas toujours de corriger (hé c'est quand même bien pratique au boulot !), Erika est décrite comme une amie en qui on peut avoir confiance pour peu qu'on n'ait pas commis un crime. Bien qu'elle ait un sens aigu de la loi, elle reste la tête brûlée qu'elle a toujours été étant petite et elle laisse volontiers profiter ses amis des avantages d'avoir quelqu'un de proche dans la police. Paradoxal sans doute, oui, mais qui ne l'est pas?
Pour finir, en amour, après quelques déconvenues comme un homme marié, un gay refoulé et d'autre surprises moins éclatantes, Erika préfère se concentrer sur autre chose. Le fait d'annoncer à un homme qu'on bosse dans la police engendre majoritairement deux réactions qui sont venues à bout de sa patience : soit ils paniquent, soit ils tiennent absolument à se faire passer les menottes. Dans un cas comme dans l'autre, ils ne passent même plus le seuil de sa porte. ▬ Physique ; (100 mots minimum)
Une perche. A 2cm d'une carrière de mannequinat diraient certains, bien que ça n'ait jamais été dans les plans d'Erika et qu'elle ne prenne pas ça pour un compliment. Son mètre 78 ne l'empêche pas de se percher sur des talons de temps en temps (rarement au boulot cela dit parce que c'est la merde pour courir après un suspect en fuite et si ça vous fait rire, vous n'avez qu'à tester !) mais elle préférera toujours une bonne paire de baskets dans lesquelles elle se sent bien. De morphologie plutôt mince, elle s'est tout de même étoffée au niveau des épaules, des cuisses et du ventre depuis qu'elle est dans la Police. Ceci évidemment en lien avec l'entraînement physique qu'elle s'astreint chaque jour pour garder la forme d'une part et être capable de maîtriser ses suspects de l'autre. N'allez pas croire qu'être une femme dans un boulot ancestralement masculin vous ouvre beaucoup de portes ; c'est à vous de les enfoncer une bonne fois pour toutes. Les quelques autres femmes de la NYPD et toutes les femmes exerçant un métier à la base réservé aux hommes vous le diront. Le respect des hommes, surtout quand il s'agit d'être leur égal, ça se mérite... Si l'on passe rapidement sur sa chevelure de brunette qu'elle a tendance à porter tantôt longue, tantôt courte, Erika a un visage somme toute agréable à regarder (du moins elle n'a jamais fait les frais de remarques désagréables à ce propos) avec deux yeux (bruns, noisettes, chocolats, tronc d'arbre.. choisissez le qualificatif qui vous plait le mieux !), un nez, une bouche et deux oreilles. L'attirail de base disons.
Le sujet a déjà été survolé rapidement mais vestimentairement parlant, Erika reste assez classique, voire même un peu masculine lorsqu'elle ne cherche pas vraiment à faire d'efforts (ou qu'elle est pressée). Sa garde-robe est du coup assez fournie en jeans, pantalons de couleur sombre et un peu moins en jupes et en robes. Cela ne l'empêche pas d'en enfiler lorsqu'elle prend le temps de sortir dîner avec quelqu'un ou que nécessité fait que l'élégance est de mise. Au poste, l'uniforme n'étant plus obligatoire lorsqu'on passe inspecteur, elle avait joyeusement abandonné le sien au placard mais son récent transfert à la Criminelle la verra peut-être ressortir ce merveilleux vêtement. Ou pas. ▬ Caractère ; (400 mots minimum)
Définir le caractère de quelqu'un n'est pas chose facile. On ne sait jamais ce que la vie nous prépare en coulisses et parfois, une personne, dont on pensait le tempérament coulé dans le béton, change brutalement, évolue, se transforme. Ce qu'on peut penser d'Erika aujourd'hui n'est pas ce que l'on a pu dire d'elle il y a quelques années avant que son père n'aille en prison. Et son caractère évoluera certainement encore dans les années à venir. On ne peut pas graver une personne dans le marbre. Pas tant que celle-ci est en vie.
Elle est forte. Pas nécessairement au sens physique du terme mais elle a toujours lutté contre ce qui pouvait lui tomber dessus. Elle n'est pas du genre à se laisser abattre par le premier obstacle qui survient sur son chemin. Cela ne fait pas d'elle une arrogante à qui rien n'arrive, loin de là, il lui arrive comme à tout le monde de trébucher, d'avoir envie de baisser les bras mais jusqu'à présent elle a toujours trouvé un moyen de rebondir, de se sortir de son trou et de ses problèmes et de les combattre un par un.
Elle est autonome depuis ses 18 ans et le fait qu'elle ait eu besoin de s'assumer si tôt lui a mis du plomb dans la tête. Matériellement parlant, elle a appris à se débrouiller, à composer avec peu et elle a cessé de croire que les cadeaux de son père tombaient du ciel ou du fond de son cœur. Ça l'a responsabilisée presque comme une adulte à l'âge où d'autres vivent encore grâce aux revenus de leurs parents. Elle n'a jamais fait étalage de cette différence mais ça l'a parfois amenée à juger plus sévèrement les autres étudiants, plus insouciants qu'elle sur la question de l'argent. A défaut de pouvoir blâmer ouvertement sa mère de la situation. Elle relativise un peu plus à ce sujet maintenant mais demeure malgré tout une certaine rancœur injustifiée envers ceux qui ont toujours eu la vie facile.
Sans être une hyperactive mais en lien avec son tempérament de combattante, Erika est une jeune femme qu'on qualifierait facilement d'énergique. Elle aime faire du sport, bouger, se dépenser, courir, se battre.. Elle ne se limite pas à un seul sport bien qu'elle pratique souvent seule. Le poste de police abritant une salle de sport où il est possible de s'entraîner sans payer de frais d'inscription, la jeune femme en use et en abuse. Avant son départ en retraite, Dexter et elle venaient souvent s'entraîner ici. Il lui apprenait à se battre de la même manière qu'il avait appris dans ses jeunes années. Pour lui, il était essentiel qu'elle sache se défendre si elle se faisait agresser au cours d'une enquête. Il n'en a pas fait une Bruce Lee des temps modernes mais Erika n'est plus sans défense lorsqu'il s'agit d'un corps-à-corps.
Bien qu'elle soit très portée sur l'humour et qu'elle adore manier le sarcasme, Erika n'est pas pourvue d'un excellent second degré. Prenant facilement la mouche, elle a tendance à répliquer vertement et à se retirer de la conversation lorsque celle-ci prend un tour qui lui échappe complètement. Elle n'est pas une maniaque du contrôle mais possède malgré tout des traits de comportement qui vont dans ce sens. C'est pourquoi il est toujours un peu difficile pour elle de travailler en équipe avec quelqu'un de nouveau ou qu'elle ne connait pas. La jeune femme a tendance à se confronter, à chercher 'qui a la plus grosse' (pour faire basique) afin de ne pas se contenter de suivre bêtement quelqu'un qui a clairement un comportement de suiveur et non pas de meneur, ou qui ne sait pas de quoi il parle. Même si cela s'apparente à une attitude qu'on pourrait qualifier de femme alpha, Erika n'est pas strictement dans ce cadre-là car bien qu'elle aime contrôler une situation par elle-même, bien qu'elle se fasse plus confiance à elle qu'aux autres et bien qu'elle ait dès le départ besoin de savoir qui est au-dessus de qui (ou qui est l'égal de qui), elle sait malgré cela suivre les ordres qu'on lui donne, ne pas les discuter (sauf s'ils lui paraissent vraiment aberrants) et faire son boulot comme on lui demande de le faire. D'ailleurs, gagner sa confiance est le bon moyen pour obtenir le meilleur d'elle.
C'est en effet quelqu'un qui a des choses à offrir, des capacités mais aussi de la douceur, de la gentillesse, de l'amitié. Elle est capable de tout donner pour ses amis, sa famille voire même ses collègues pour peu qu'elle n'ait pas le sentiment d'agir contre un mur. Et si elle est prête à tout donner, malheureusement, elle est aussi prompte à reprendre. La jeune femme a du mal à pardonner quelqu'un qui l'a fait souffrir. Le comportement de sa mère n'y est pas pour rien là-dedans bien sûr mais cela n'empêche.
C'est une femme qui parle peu d'elle au boulot. Pas parce qu'elle est particulièrement secrète mais parce que le boulot, c'est le boulot et le seul moyen de bien le faire et de laisser sa vie privée à l'entrée. Erika a compris ça très vite et a adopté ce fonctionnement-là depuis longtemps.
Il y aurait sans doute encore beaucoup à raconter sur Mlle Stojanović (mais il est tard et je suis fatiguée) mais voilà déjà les traits principaux qui caractérisent la jeune femme. ▬ La plus grande honte du personnage ; (En 60 mots minimum)
Elle est sortie avec un homme marié quand elle était en fac de droit. Marié et prof de Droit Constitutionnel. La relation n'a pas tenu évidemment, Erika ne supportait pas de passer pour la maîtresse de bas étage. Bien qu'elle se soit crue très maligne avant d'apprendre pour son mariage et qu'elle n'ait jamais autant apprécié les parties de jambes en l'air que lorsqu'elles se déroulaient dans son bureau, la jeune femme regrette amèrement cette relation. Pour elle, c'était comme venir mordre dans la tarte aux fraises de quelqu'un d'autre (et tout le monde sait que la tarte aux fraises, c'est sacré...) En bref, c'est une histoire dont elle évite de parler pour ne pas finir avec une étiquette accrochée au front. Peu importe la mention de l'étiquette. C'était une erreur, point barre. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En 60 mots minimum)
Retomber sur sa mère. New York est une grande ville et elle n'est probablement même plus sur le territoire américain depuis longtemps mais n'en ayant aucune assurance, Erika redoute toujours le moment où elle pourrait se confronter à la femme qui envoya son père en prison. C'est en partie de son fait si la jeune femme est flic aujourd'hui et bien que ça ne soit pas ça le problème, Erika est consciente de l'influence de sa mère sur son existence et sur ses décisions, à plusieurs niveaux d'ailleurs. Voilà pourquoi elle se méfie de potentielles retrouvailles. L'idée même de se retrouver face à elle la glace. A ressasser le passé, elle se revoit adolescente, cramponnée aux bras d'un flic, hurlant après son père qu'ils emmenaient loin d'elle. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En 60 mots minimum)
Rétablir un lien avec son père. Depuis son retour à Surdulica en Serbie, ils n'ont pas repris contact. Erika tâche de se persuader que c'est mieux comme ça, qu'il faut accepter une bonne fois pour toutes la maladie de son père et ne plus se retourner pour contempler le passé mais continuer d'avancer. Malgré tous ses efforts, son père lui manque, le fait qu'il ne l'ait pas vue grandir la fait souffrir et elle a parfois du mal avec le fait qu'il ne la reconnaisse plus du tout et la prenne même pour une imposteur. C'est une réaction courante chez les patients atteints du syndrome de Capgras mais le savoir n'atténue en rien la difficulté de vivre avec cette maladie. Ce serait donc pour elle une sorte de paradis que de retrouver son père. Même en étant plus vraiment sa fille. ▬ Point faible du personnage ; (En 60 mots minimum)
Outre le fait que s'en prendre à son père est le meilleur moyen de la faire sortir de ses gonds et se retrouver nez à nez avec sa mère celui de lui faire perdre ses moyens, Erika est du genre à protéger son partenaire quoiqu'il arrive. Bosser ensemble forge des liens et ce n'est pas Dexter qui dirait le contraire même s'il est à la retraite aujourd'hui. Que ce soit Dex ou celui/celle qu'on lui attribuera prochainement à la Crim', Erika en prendra soin. Ce qui est sans aucun doute le meilleur moyen de la faire plier. Ça et son père. Sa mère, elle, n'a qu'à se pointer pour rendre la jeune femme folle de rage et de douleur. La gueule remplie de questions. ▬ Point fort du personnage ; (En 60 mots minimum)
Elle est déterminée. C'est une femme d'action, elle ne supporte pas de rester assise à cogiter quand agir semble être la meilleure solution. Voilà sans doute ce qui fait sa force; sa capacité à réagir, à foncer quoiqu'il arrive. Il arrive évidemment que cette détermination l'emmène droit dans le mur et c'était d'autant plus vrai lorsqu'elle était une bleue. A présent qu'elle a un peu plus d'expérience, elle prend un peu plus le temps de la réflexion mais elle reste une fonceuse dans l'âme. Dexter n'avait de cesse de le répéter : quand elle a une idée en tête, elle l'a pas dans le c*l celle-là ! ▬ Casier judiciaire ;
Le casier d'Erika est vierge, conformément aux conditions d'inscription de l'école de Police de New York. Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; Talim ▬ Âge ; 22 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Oulah, ça fait tellement longtemps que je le connais que je ne saurai dire ! ▬ Connexion ; 1 à 2/7 en période de cours... Je préfère prévoir au pire parce que sur le forum où j'étais avant ça tenait à peu de choses près à ça. Je m'explique, je suis en médecine, j'ai fini ma 3ème année là donc si tout se passe bien, je passe externe l'an prochain et je ne sais absolument pas à quoi va ressembler mon emploi du temps (entre stage à l'hosto, EDs, révisions, examens.. le lot de tout étudiant quoi.). Du moins je sais que ça va être très chargé. Malgré cela, j'aimerais tenter le coup de me réinscrire sur un forum. Erika me trotte en tête depuis deux ans maintenant et je me décide enfin à retenter le coup parce que malgré toute la masse de boulot que je peux avoir dans l'année, toute la fatigue, tout le stress, je ne peux pas m'empêcher d'avoir besoin d'écrire de temps en temps et j'ai essayé seule, j'ai essayé en écrivant pour quelqu'un et je ne sais pas, ça ne marchait pas comme avant. Et en commençant sur un coup de tête la fiche d'Erika, pour lui laisser sa chance, c'est revenu comme en 40, j'ai pris mon pied à écrire tout ce qu'elle me racontait depuis 2 ans, j'ai changé des trucs, rajouté d'autres et.. voilà j'aimerais essayer. Même si ça ne dure qu'un été (ce que je n'espère pas, j'aimerais que ça marche quand même ) J'espère que ça ne vous pose pas de soucis si peu de présence dans l'année, si c'est le cas dites-le moi, je comprendrai tout à fait. Vraiment ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
Okay par Stacey ▬ Exemple de RP ;
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Tu me dis que rien ne sert, La parole ou le temps, Qu’il faudra une vie entière pour un jour faire semblant Elle se tenait là, face aux innombrables tombes impeccablement alignées, chacune surmontées de la même croix impersonnelle et froide. Le cimetière était vide hormis la présence de cette femme. Le vent, la grisaille et le froid avaient eu raison de toutes les volontés de pointer son nez dehors. Toutes sauf une. Emmitouflée dans un long manteau beige auquel elle avait rajouté une écharpe épaisse et blanche, la femme bravait le mauvais temps pour ne pas manquer son rendez-vous. Elle avait pris cette habitude il y a quelques années déjà lorsqu’elle s’était aperçu que se rendre dans cet endroit calme et tranquille où les gens parlaient peu et se contentaient d’ignorer leurs voisins était précisément ce dont elle avait le plus besoin. Et comme ça, elle avait presque l’impression d’être avec son mari. C’était son histoire qu’on avait enterrée là, au pied de cette croix qu’elle fixait du regard. Son corps ainsi que celui de tous les autres membres de l’équipage n’avaient jamais été retrouvés. Elle n’avait jamais été particulièrement chrétienne comme l’auraient désiré ses parents mais le fait de n’avoir aucun corps à enterrer l’avait malgré tout ébranlée. Par son métier de psychologue, elle était bien placée pour savoir quelle importance avait le travail du deuil dans la vie de quelqu’un et ce travail était freiné dès lors qu’il n’y avait pas de confrontation visuelle avec le défunt. Oh bien sûr, chacun avait eu les arguments pour tenter de consoler ces familles auxquelles on avait annoncé la funeste nouvelle. Mieux valait garder une bonne image du défunt. C’était mieux ainsi, cette vision aurait pu choquer les plus jeunes… Fadaises. Elle avait assez côtoyé la mort pour savoir qu’elle avait besoin de la voir, de la regarder droit dans les yeux pour comprendre. Pour accepter. Ne pas avoir de corps laissait toujours ce maigre et égoïste espoir que la personne était toujours en vie, quelque part. Mais Kate n’était pas assez naïve, peut-être trop vieille, pour se pencher sur cette version. Son mari était mort à la guerre. Point final. Elle aurait juste aimé voir ce qui restait de lui. Cette vision pouvait sembler directe et sans doute brutale mais elle n’avait jamais fait partie de ceux que la vie épargne de ses coups. Cela ne la rendait pas tragique ou même héroïque pour autant. La vie avait fait d’elle ce qu’elle était et peu importait que la mort de Jarod soit supposée être une énième leçon sur la poursuite du bonheur. Il était mort et elle devait apprendre à faire avec. Après 39 années passées sur cette Terre, elle savait, elle avait appris la fragilité du bonheur. Malgré toutes les raisons qui lui étaient données de le faire, Kate ne renonçait pas à être heureuse, pas même quand son mari n’était plus là pour partager cela avec elle. Il fallait juste… trouver le moyen. Sortir de la spirale infernale. Cela faisait quelques années à présent qu’il l’avait quittée et elle avait malgré ça toutes les peines du monde à assurer à sa famille qu’elle allait bien, qu’elle s’était raccrochée à une autre idée que cette profonde sensation d’abandon qu’elle ressentait lorsqu’elle contemplait le nom de Jarod Hawke gravé dans une pierre tombale. Ils avaient mis tant de temps à se trouver. C’était presque du gâchis. A quoi cela pouvait-il bien servir, l’amour ? Kate soupira. Deux longues traînées de vapeur s’échappèrent de ses narines pour se perdre dans l’air autour d’elle. Ses poings se crispèrent légèrement à l’intérieur de ses poches. Elle les desserra calmement en respirant profondément. Toujours cette aigreur, cette amertume. Ce besoin de rationaliser. Jarod n’avait cessé de le lui faire remarquer. Dès qu’elle s’apprêtait à souffrir, elle s’enfermait dans le rationnel, le scientifiquement prouvé. Une façon comme une autre de se protéger de ses sentiments et de ceux des autres. Jarod avait mis longtemps pour percer cette profonde et épaisse habitude qui l’entourait. Il n’avait pas réussi à la lui faire perdre, les habitudes sont bien trop tenaces, bien trop ancrées mais il était parvenu à force de gratter la surface du cœur de cette femme, à s’y faire une place et non des moindres. Si Kate avait cru à l’Amour comme y croit le cœur des femmes alors oui, elle aurait pu dire qu’elle était tombée amoureuse de Jarod. Il avait été le seul à privilégier de cette place et compte tenu des faits, il en resterait l’unique détenteur. Elle n’était pas contre les histoires sans lendemain, les relations qui ne mènent nulle part, les nombreux essais avant de trouver la perle rare mais pour ce qui était d’aimer à nouveau un homme comme elle avait aimé Jarod… Elle s’en sentait tout bonnement incapable. Ce n’était pas une question de fidélité bornée et aveugle à son défunt mari. Elle avait souffert de sa perte. Trop, peut-être, pour lui donner envie de renouveler l’expérience. Elle n’en était pas malheureuse pour autant. Pour l’instant, elle en était encore à apprendre à vivre sans lui. Le téléphone vibra dans sa poche et sous ses doigts. Elle le sortit pour connaître l’identité de celui ou celle qui l’appelait. Un léger sourire étira ses lèvres. Elle décrocha et parla la première, son regard quittant la tombe qu’elle avait sous les yeux. ▬ La lessive est dans le placard au-dessus de la machine, derrière l’assouplissant et les lingettes. Tu ne peux pas la rater, c’est marqué dessus en grand. » ▬ Comment tu sais que j’appelle pour ça ? » demanda son frère, suspicieux, au bout du fil.
Kate s’autorisa un soupir, levant les yeux au ciel comme s’il était en mesure de la voir à cet instant. ▬ Parce que chaque fois que tu reviens vivre à l’appart, le chat pique une crise existentielle et se met à pisser sur toutes tes fringues. »
Comment diable un chat pouvait-il se montrer aussi territorial ? A chaque fois, elle était de la revue pour désinfecter l’appartement et surtout le désodoriser autant que possible pendant plusieurs semaines. Ça n’était pas que la présence, pourtant sensée être ponctuelle et aléatoire mais malgré tout mensuelle, de son frère l’ennuie mais comme n’importe qui au monde, elle ne raffolait pas des tâches ménagères. Encore moins de celle qui impliquait une odeur épouvantable à s’en abraser les voies respiratoires. Le chat, ou Dragon de son petit nom, avait une fâcheuse tendance à se sentir envahi sitôt que Zach’, ou tout autre homme que Jarod en vérité, faisait l’affront de poser un orteil sur le seuil de l’appartement. Il avait toujours été comme ça. Du moins, depuis qu’il était avec Kate il avait toujours été comme ça car elle ne l’avait pas eu chaton. Elle n’avait même pas voulu de lui à la base. L’aménagement dans l’appartement s’était malgré tout fait avec lui étant donné que Dragon se trouvait déjà en lieu et place lorsque Jarod et elle avaient signé. A l’époque, il arborait déjà ses marques de guerrier qui le faisaient ressembler à tout sauf à un chat. A sa queue raccourcie, son oreille trouée et ses cicatrices sur les deux yeux ainsi que la babine droite, ce matador un peu trop orgueilleux y avait assorti quelques plaques soudainement dépourvues de poils ainsi qu’un boitement alternatif des deux pattes postérieures, séquelles d’une énième bagarre contre chats, chiens ou voisins. Épris de compassion pour cette loque miteuse, comme se plaisait à l’appeler Zach’, Jarod l’avait conduit plusieurs fois chez le vétérinaire. Enfin, plusieurs fois.. deux fois à vrai dire. Il était revenu avec les mains et le visage en sang, criblés de griffures plus ou moins profondes avec le chat maintenu d’une drôle de façon. Kate n’avait pas osé poser la question mais elle était certaine que Dragon n’avait jamais dépassé le stade de la salle d’attente. Encore aujourd’hui, l’air misérable de son mari franchissant le seuil de la porte avec le chat pratiquement ligoté des pattes à la queue par la laisse la faisait beaucoup rire. Ce chat portait bien son nom. ▬ T’as trouvé ? » ▬ Yep. Merci ! Tu rentres ce soir ? » demanda-t-il sans vraiment s’intéresser à la réponse. ▬ Faut que je fasse un saut à l’épicerie, j’ai quelques courses à faire mais sinon oui. »
Ils se saluèrent avant de raccrocher et le téléphone réintégra sa poche. Des courses à faire.. c’était peu dire comparé aux stocks qu’elle devait faire chaque fois que Zach faisait irruption chez elle. Il avait toujours été un excellent mangeur, cela lui avait d’ailleurs porté préjudice à l’adolescence car les kilos qu’il prenait ne se perdaient pas facilement ensuite. Il avait fini par se mettre au sport et sa période ‘bouboule’ était passée. Aujourd’hui, après une longue période sans se bouger, il s’y était remis une fois encore mais plus pour les mêmes raisons. Cela dit, il continuait de bouffer comme quinze et Kate qui n’avait jamais eu un très grand appétit était bien obligée de remplir ses placards pour cet estomac qui criait famine tout le temps. Entre les deux extrêmes, il y avait Teddy. Ni trop gourmande, ni trop difficile, la cadette avait ce qui se rapprochait le plus d’un appétit normal. La seule différence notable avec un être humain de base c’est qu’elle était capable de parler de l’aspect d’un ulcère ou d’une plaie ou encore d’un crachat qu’elle qualifierait de muco-purulent tout en dégustant sa pizza, ses huîtres ou tout autre repas. Ses études de médecine l’avaient blindée pour ce genre de choses et rien ne pouvait troubler son appétit. Ce qui n’était absolument pas le cas de Kate qui depuis toujours avait un estomac capricieux. Aussi des règles s’étaient rapidement instaurées à table et Kate était plutôt fière de voir que même majeurs et vaccinés, son petit frère et sa petite sœur lui obéissaient toujours aussi rapidement. Elle qui n’avait jamais été un modèle de vertu et de respect de l’autorité parentale. Leurs parents auraient sûrement eu leur mot à dire là-dessus d’ailleurs mais la jeune femme avait été soulagée au fil du temps de voir que Zach’ et Teddy ne lui infligeaient pas ce qu’elle avait elle-même fait subir à leurs parents. Zach’ avait eu sa période bien sûr et ça avait été difficile à gérer pour tout le monde, surtout pour Kate mais tout cela était.. pratiquement du passé. Revenant à son intention d’aller faire quelques provisions pour la venue de son frère, Kate eut un dernier regard pour la tombe à ses pieds puis elle quitta le cimetière sous un vent toujours aussi glacial auquel se rajouta un fin rideau de neige lorsqu’elle arriva à sa voiture. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Stana Katic ▬ Multicompte(s) ; Nope. ▬ Un dernier truc à dire ? ; Je l'ai fait ! Bordel de m*rde je l'ai fait ! Je me suis inscrite sur TDS !!! *out* (2 ans de sevrage, loin des forums, ça laisse des marques ... Désolée xD Et puis je tourne autour de votre forum depuis ... une éternité !)
Dernière édition par Erika Stojanović le Sam 7 Juin - 9:54, édité 2 fois |
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