| Sujet: [TERMINÉE] It's me Mariooo Sam 26 Juil - 5:28 | |
Identity Card
Feat "Dean Geyer"(c) Charney |
▬Nom ; Mancera ▬Prénom(s) ; Stefano Paolino ▬Surnom(s) ; Il a bien un surnom, qu'il n'aime d'ailleurs pas lorsqu'on s'amuse à l'appeler ainsi. Un surnom qui le suit depuis sa toute jeune enfance, lui qui ne prenait pas la peine de marquer dans ses initiales son second prénom. Donnant le résultat de S. M., est sortit le surnom de Super Mario. Ce personnage de jeu vidéo qui non seulement partagent-ils leur nationalité mais tout aussi cette expression de ''Mamma mia'' . Vous pouvez aussi l'appeler Stef, de ce diminutif de Stefano.▬Âge ; 24 ans ▬Nationalité ; Étant née aux États-Unis, cela ne fait pas moins de lui un Italien de sang pur. Il a donc les deux nationalités, Américaine et Italienne. Tout comme a-t-il grandis et toujours gardé un peu de cet accent démontrant ses origines. Et il en devient d'autant plus évident lorsqu'il s'énerve ou se met en colère, son accent ressortant de plus belle. ▬Groupe ; Cityzen ▬Statut et activité dans la vie ; Il se pourrait qu’il ait un statut quelque peu différent d’un citoyen bien ordinaire vivant dans le train-train quotidien. Car son fameux train-train quotidien se compose d’une famille faisant partie de la mafia italienne. Il a abandonné les études supérieures ne se concentrer que sur sa passion des voitures. Il ne serait pas rare de le voir toujours le nez plongé dans un moteur si l’envie vous prend de le visiter. Autant à son petit boulot que chez lui. Où est Stefano? Dans le garage avec les voitures. Alors on devineras qu’il n’est pas un garagiste/mécanicien pour un rien. ▬Orientation sexuelle ; Tout le monde a sa chance avec lui. Bref, autant les hommes que les femmes. Toutefois il n'oserait jamais faire des avances ouvertement à un monsieur si papa est dans le coin.
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
▬ Histoire ;
On ne nait pas tous sur un lit de plumes, sous une teinte rosée. Parfois les teintes sont plus sombres, et le lit plus dur que d’autres. Pour ce qui est de sa propre histoire, il ne saurait quelle teinte lui donner. Changeante peut-être. Une histoire dont le tout début, ne fut pas si terrible que cela. Il n’était pas né dans le noir, mais plutôt dans la clarté, d’une union faite pour rester. Enfin, supposons-le, car n’est-ce pas l’image donné derrière le symbole du mariage? Dans le meilleur comme dans le pire, après tout. Remplis de hauts et de bas de moments plus sombres enfin éclairé. Quoi de plus normal, lorsque l’un des parents en question, à son rôle et sa place dans le monde de la mafia Italienne. La vie n’est certes pas des plus joyeuse et sans problèmes dans ce domaine. Rien qui ne puisse empêcher le couple, de signer ainsi le contrat d’une nouvelle parenté. La mère ayant déjà ce statu, il en fut tout autre pour le père. Il y avait certes, cet autre enfant, plus vieux, et plus grand, qui lui eut appris un peu les ficelles de ce qu’était un père. Mais il en fut d’autant plus lorsqu’il y eut sa chair et son sang entre ses bras, s’attachant au petit, bien plus qu’il ne l’aurait cru.
Stefano naquis donc, au sein d’une famille reconstitué, grandissant doucement dans l’inconscience de ce qui pouvait bien l’attendre. Dans cette grande ville, débordant d’action et de vie, que pouvait bien être New York. Et cette action s’étendant bien plus que dans l’atmosphère de la ville. Dans le cœur de sa demeure, nous ne pouvions pas dire qu’elle était bien tranquille. Toujours animé à sa manière, par ce petit bonhomme qui ne semblait pas être apte à se tenir debout à ne rien faire. Il récoltait toute l’attention, par une gaffe fait, ou par crainte de sa mère qu’il ne se blesse d’une quelconque manière. Et derrière tout ceci, se créait peu à peu cette pointe de jalousie, de haine, qui ne pouvait plus que grandir sous le regard de son grand demi-frère. Mais ce dernier ne disait rien, restant dans le silence, accumulant peu à peu ses émotions malsaines. Avant que le volcan n’explose après quelques années. Sans avertissement et l’explosion fut assez brutale. Cette image avec laquelle il avait grandis durant douze années, s’était vue détruite. Ce rêve d’avoir un grand frère transformé en cauchemar, et l’amour en peur...
Plutôt que de s’apitoyer sur son sort, il eut, malgré tout, appris à vivre avec ce changement. Dans la crainte et les pas mesurés, apprenant l’art du mensonge, des histoires inventés, pour que le secret reste par la peur du pire. Un changement peut-être, un peu plus grand que tout simplement physique, le poussant vers cet être qu’il était aujourd’hui, plus à fleur de peau, dont la patience n’existait pas. Car il va s’en dire qu’il fut usé à la corde, avec cette main levée. Il n’y a plus moyen de l’agacer, sans qu’il ne finisse par exploser. Devenu cette contradiction cherchant bagarre mais la fuyant lorsqu’elle se pointait. On chercha à comprendre cette nouvelle attitude, mais abandonnant, comprenant que le fils avait ainsi changé. Et qu’il faudrait apprendre à vivre avec cette facette de lui. Car ils avaient eu beau tenter, mais rien ne semblait y faire.
Et puis, il y avait bien ce moment de l’adolescence, qui ne venait pas aider sa cause. Il se transforma en réel petit monstre, qui se refusait d’écouter, et qui passait le plus clair de son temps hors de la maison, loin de la famille. Il lui arrivait de disparaître parfois pendant plusieurs jours, et lorsqu’il était là, il n’était pas toujours d’agréable compagnie. Allant de la provocation à ce petit air d’emmerdeur et ce avec un peu tout le monde. Un véritable savon entre les mains de son père, qui n’arrivait pas à mettre la main sur lui. Lui qui, tenait plus que tout, à lui montrer les ficelles de son métier, peu à peu. Mais bonne chance pour le retrouver, lui qui, était pris entre les courses de voitures, et les fêtes dont l’alcool et les substances étaient bien présente. Ou alors était-il tout simplement partit, s’emparer d’un engin à quatre roues qui n’était pas sien.
De ses vols et des courses, en sortit rapidement cette passion, alors qu’il fouillait, apprenant à connaître les pièces, et les machines. Son cercle d’ami l’aidant d’ailleurs à développer cet amour des voitures. Et cet amour ce transforma en besoin, qui lui permettait de vivre autrement, de s’occuper l’esprit d’une toute autre manière. Au grand regret, au grand refus de ses parents -certainement plus celui de son père-, il abandonna toute idée d’études supérieures, tenant son point, s’obstinant corps et âme pour faire ce dont il avait réellement envie. Le monde des affaires ne l’intéressait en aucun cas, toutes ces choses incluant de la buisness, des calculs, des plans compliqués et autres. Il était un véritable manuel, un artiste de ses voitures et autres engins. Et ce fut bel et bien ce chemin qu’il emprunta y restant toujours et encore en ce jour. Au final, il n’eut pas tant changé depuis le temps, restant cet être avec tout un caractère, se transformant en savon lorsque son père désir faire de lui son apprenti.
Wanna know more ? ▬ Relations ;
Ses relations sont parsemé de hauts et de bas. Et ce dans tous les domaines, autant amoureux qu’amical. Car Stefano ne sais pas. Il ne sait pas quand, ou à qui faire confiance. Tout comme ne sait-il pas comment véritablement aimer. Pris entre l’amour violent de son demi-frère, et l’amour de son père qui voit son travail dans sa soupe. Les exemples lui manquent, ne résultant que des histoires de cœur qui ne durent jamais bien longtemps. Car il faut savoir se montrer très patient, et savoir cohabiter avec le caractère de notre jeune homme aux touches bipolaires. Si la joie se fait sentir, la colère ou l’irritation peut arriver en une fraction de seconde. Parfois pour un rien, parfois pour un mot ou un geste mal placé. Il faut découvrir et apprivoiser ses limites, celles qu’il ne connaît pas vraiment. Il est un contraire à lui-même, aussi silencieux que bavard, aussi tranquille et dans sa bulle qu’extraverti. Tout dépendant de la situation et de ses envies du moment. Mais si une chose est bien certaine, c’est qu’il ne se gêne jamais pour vous les faires comprendre, ses fameuses envies.
▬ Physique ;
Notre Super Mario mesure dans les 1m70. Et nous pouvons dire qu’il n’aime pas son 5pied 5 pouces. Toute personne plus grande que lui, viendra piquer quelque peu son complexe de grandeur. Et certainement plus vivement si on ose le souligner ou pire s’en moquer. Ne soyez pas surpris si un poing vient se cogner dans votre abdomen à ce moment-là. D’une force qui ne manquera tout de même pas de vous faire mal d’ailleurs. Compte tenu qu’il est peut-être plutôt petit pour un homme, mais il a tout de même une certaine musculature. Bref, il n’est pas tant une échalote. Car il ne sera pas rare que vous le croisiez dans un gym à s’entraîner pour y garder la forme et non pas tant se cultiver à outrance. Pour ce qui est du reste, notre jeune homme est doté d’une chevelure chocolatée bien souvent tenue courte. Ainsi qu’une paire d’yeux dans le gris-bleu avec ces petites taches brun-dorées.
▬ Caractère ;
Comme toute personne, il a ses bons et ses mauvais côtés. Débutons par ces derniers. Vous l’aurez quelque peu compris, il a tout un caractère. Certain dirions qu’il est plutôt du genre bipolaire extrême, alors que d’autres vous dirions qu’il est un susceptible sans la moindre patience lorsqu’il en vient à lui. Si on l’agace, c’est à ses risques et périls. Il est tout de même capable d’endurer, mais lorsqu’il décide qu’il en a assez, il en sera d’autant plus évident. Tout d’abord car son accent se mettra à être d’autant plus accentué, s’en suivant des mots italiens fusant, et d’évidemment, le ton pour accompagner le tout. Mais par contre lui, lui eh bien il se croit avoir le droit d’agacer les gens, allant parfois jusqu’à en être baveux et provocateur lorsque l’envie lui prend. Pour bien le résumer, il n’est pas de ce genre de personne avec qui, il est aisé de vivre. Car on ne sait jamais à quoi s’attendre avec lui, à quelle facette de lui, qui peut se retourner d’un côté comme de l’autre en un coup de vent. Mais une chose est certaine avec lui, nous sommes toujours au courant de ses émotions. Lui qui à son grand malheur, se trouve à être un véritable petit livre ouvert pour la plupart de ses émotions. Il tente d’y remédier, mais ce n’est pas chose si aisé. Enfin, on l’aura deviné, la neutralité et l’impassibilité n’existe pas tant chez lui. Les parties de poker on oublie. Toutefois, lorsqu’il se prend à mentir, il en est tout autre.
Pour ce qui est de son bon côté, il se trouve que cette petit boule d’énergie qu’il fut, revient parfois se re-pointer le bout du nez. Sauf lorsqu’il se lève le matin, ou après un partie de jambe en l’air. Alors là, il se transforme en véritable dormeur, et paresseux. Autrement, il a une bonne charge de batterie. Il sera toujours partant pour tout comme pour rien, pas bien difficile sur ce point. De plus, il est celui qui seras toujours prêt à vous aider peu importe votre état d’urgence ou la gravité de votre besoin. Et il le faut bien, être serviable, lorsqu’on est garagiste. Les mots bah arrangez-vous n’existent pas. Il sera le premier à s’arrêter, s’il vous voit dans un mauvais pétrin sur le bord de la route. Ou alors s’il croise votre regard un peu perdu, il n’hésitera pas à simplement vous demander si tout va bien. Faisant de lui un être sans gêne, avec qui il est aisé d’approcher et de discuter. Il ne changera jamais de côté de rue si un passant se trouve dans son chemin. Et il le faut bien la ville est bourré de gens après tout. Pour ce qui est du reste, il n’est pas impossible que son côté un peu trop serviable, se voit être le fruit de manipulation s’il s’avère qu’il tombe entre de mauvaises mains. Un peu naïf, un peu innocent peut-être, notre Stefano…
▬ La plus grande honte du personnage ;
Un événement, un secret que jamais ne dévoilera-t-il. Il faut croire qu’un fameux soir, il y eu abus de certaine substance pas très légale. De celle qui, vous embrouille les sens, vous fait oublier la raison, votre cerveau en entièreté à dire vrai. Et la moindre idée sortant de cette imagination, peut être vachement tentante et faisable. Et dans son cas, plutôt étrange et farfelue. Le silence et la noirceur régnant, un petit creux se faisant, et voilà que notre jeune homme se retrouva à la cuisine. Il faut croire que la vue d’un melon aurait été à éviter. Car la suite des événements fut certainement la pire des hontes au petit matin lorsqu’il se réveilla aux côtés de ce fruit, avec sa chaire un peu présente dans son lit. Il eut vite compris le pourquoi en y voyant le trou présent. Il eut évidemment gardé le secret de cette nouvelle expérience, si l’on peut dire ainsi. Tout comme ne mange-t-il plus de ce fameux fruit.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
L’enfer, il le vit à l’imprévu, ne sachant jamais quand il le rencontrera. L’enfer, représente cet être, grand et fort, partageant qu’une partie de son sang. Relié par la mère, mâle et fière, son grand demi-frère ne représente pour lui rien de bon. Ce dernier habité des démons de l’envie, de la jalousie, de la haine, à l’égard du plus petit. Et ce depuis qu’il est tout jeune. Stefano le craint, lui et, les moments où il peut bien se retrouver seul avec lui. Les pires d’entre tous. Il ne sait jamais ce qui l’attend, un rien pouvant le provoquer. Autant ses silences, que ses paroles pourtant mesurés. Il ne sait jamais, quand ses poings et sa violence s’abattront sur lui, ni pourquoi, ni comment… La raison même de sa faiblesse, du pourquoi de la brutalité, peu importe sa nature, ne l’effraie plus qu’il ne le provoque.
▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Pour lui, le paradis se trouve loin. Loin de tout, loin de New York. Il rêve d’autres lieux, de voyager vers la tranquillité, vers ce qui n’est pas une ville grouillant de gens, de mouvements, d’actions qui ne puissent cesser. Il rêve de fuir les responsabilités pesantes que peu bien lui donner son père. Ce dernier souhaitant de lui, qu’il prenne sa relève lorsqu’il ne sera plus apte à être en service. Pour lui, le paradis se résume à un désir profond d’évasion. Avec un garage et de jolies voitures pas trop loin bien entendu.
▬ Point faible du personnage ;
Son point faible se trouve au niveau du toucher. Il n’aime pas qu’on le touche. Ou du moins, tout dépendant de la manière. La surprise ou la douceur n’est pas le problème. Mais dès que le tout deviens plus brutal et qu’on se met à le malmener un peu c’est bien là son point faible. Sa défense se voit rapidement brisée, et le voilà bien déstabilisé. Il semble être habité de se brin de panique, en oubliant presque comment se défendre comme il se doit, y allant des plus maladroitement. Mais il existe bien une raison expliquant tout ceci.
▬ Point fort du personnage ;
Le nombre de situation inconfortable rencontrés est sans le moindre doute incalculable. Et même de ces fois où il ne voulait que fuir, que par grand ennui, ou alors par besoin presque vital de se fondre parmi les murs pour pouvoir disparaître. Et la plupart du temps, papa est dans le coin, à vouloir lui montrer son métier, à vouloir qu’il y participe. Malgré tout, il trouve le moyen de complètement se couper de cet univers réel. Il se créer cette carapace, cette bulle, cette coupure lui permettant d’oublier la situation. Les mots n’atteignent plus ses oreilles, les connaissances dites, lui passant dans le tympan et s’évaporant dans l’instant même. Peut-être est-ce une façon bien à lui de se protéger, ou peut-être est-ce tout aussi bien lui se noyant dans le refus de la situation. Mais toujours est-il qu’il en reste son moyen d’évasion, son point fort pour se sortir, à sa façon, des situations dont il ne souhaite pas faire partit. La fuite aussi lui est toutefois une option. Disparaître en moins de deux et filer loin à toute vitesse.
▬ Casier judiciaire ;
Officiellement: Il a été arrêté pour possession de stupéfiants (mineur, consommation personnelle). Ainsi que pour conduite dangereuse et courses illégales. Mais heureusement pour lui papa lui a bien été utile pour parfois le sortir des merdes dans lesquels il fut plongées. Encore aujourd’hui, rien n’a bien changé. Il continu toujours autant de participer à des courses illégales, et à conduire à une vitesse folle et dangereusement sur les routes. Tout comme ne s’empêche-t-il pas ses consommations personnelles de temps à autres.
Officieusement: Possession d’armes blanches. Uniquement pour se défendre en cas de besoin, sait-on jamais. Ainsi que vol de voitures, autant pour se servir parmi les pièces, que pour les revendre.
Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; Pervy (a) ▬ Âge ; Majeur partout (enfin je crois ._.) ▬ Où avez-vous connu le forum ; En fouillant de forum en forum en forum en forum ▬ Connexion ; Passer pour passer peut-être 4 ou 3 jours par semaine. Sinon niveau rp plutôt que la fin de semaine pour le moment. ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK. Vu par Ian. ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Cette perspective de muscles, ne semblait certes, pas lui avoir traversé l’esprit. Un court éclat de réalisation passant tout de même dans son cerveau, puis un second de ce fait qu’il semblait se rendre compte que son doigt n’était plus tant libre qu’il le fut auparavant. Rien qui ne puisse l’empêcher de continuer ses dires, ignorant complètement la posture et que monsieur faisant son imposant gonflé. Il ne se rendrait effectivement, pas compte de grand-chose. Il se trouve qu’une certaine personne lui ferait réaliser et raviver la douleur de son corps. Il avait mal, déjà à la base, le simple fait d’avoir bougé son doigt lui ayant tiré un peu. Ce pourquoi il avait cessé, grimaçant même un brin.
Il n’était pas au bout de ses peines. Car à peine eut-il terminé ses mots, qu’il sentit des mains venir se déposer sous ses aisselles et le relever. L’art de le faire taire, oui. Enfin presque. Car si l’on n’eut pas entendu ce gémissement de douleur, ses traits empreints de douleur, et ses doigts qui s’accrochaient presque désespérément au vêtement de l’homme. Trop faible de corps et d’esprit, il ne se contenta que de cela. Alors qu’en d’autres circonstances, il se serait volontiers mangé son poing en pleine poire. Il se trouve que là, maintenant, il avait bien trop mal pour se faire. Sentant son cœur battre de partout, les élancements se calmant à peine, il cessa de bouger, se concentrant sur il ne savait trop quoi, pour se contenir. Mais les gémissements un peu continus qui sortirent de sa bouche, il ne put que les laisser aller. Le souffle un peu plus fort sous le coup, il trouva assez de force pour se plaindre autrement.
« Why did you… Do this….? It hurts…. »
S’il n’avait pas cet élan de larmes aux yeux pour venir appuyer. Qui disparurent rapidement, alors que le visage de Chase revenait. Lui, des comprimées, et un verre d’eau. À croire qu’il avait tout préparé. Il resta un peu méfiant, un peu grognon ou étais-ce boudeur? Alors que l’homme lui attrapait la mâchoire. Il avait retrouvé cette attitude un peu gamine et enfantine alors qu’il fronçait des sourcils, le repoussant quelque peu. Enfin émettre une pression serait plus approprié. Bah non, il ne voulait pas avaler ses trucs, ni rien qui venait de lui d’ailleurs. Tout simplement car il avait brutalement ravivé les moindres douleurs de son corps. Mais disons qu’il n’eut pas vraiment le choix. Il avait les comprimées en bouche et le verre aux lèvres après tout. Kenrick coopéra, malgré qu’il ait bien souhaité faire la tête dure. Et…Il avait de l’eau au visage maintenant. Oh charmant. De quoi le faire rapidement réagir. Entre ce sursaut et ce : « Heeyy ! » plus surpris que vexé. Il aurait bien souhaité lui balancer plus en termes de mots, mais se ravisa rapidement, fermant ce qui lui servait de bouche à l’ouïr de ce « Shut up… »
Il se tut, complètement. Oh mais il ne faisait qu’exécuter les demandes et ordres de monsieur. Et bon… Encore une fois, il n’aurait pas pu répondre. Il se crispait en sentant ses mains reprendre possession de lui, le soulevant, lui étirant sa peau, dont chacune de ses parcelles, de ses pores, semblait lui faire un mal. Et il n’y avait certes, pas que cela… Il s’accrocha, assez fortement, pour tenter un peu de se contenir. Dans cette pose qui pourrait laisser imaginer un koala peut-être. Il ressentait les étourdissements le reprendre, ses étoiles embrouillant sa vue, la chaleur désagréable des blessures venir le brûler un peu plus.
Mais enfin… Enfin… Il ne bougeait plus. Et se retrouvait en un endroit un peu plus confortable. Rien qui ne puisse encore aider son cas pour le moment. Il ne voyait plus, plus que des étoiles, que cette impression d’une chaîne aux ondes blanches, il entendrait un peu mal, le bruit de son cœur qui débattait dans ses tympans.
« Mais… Je dois aller m’entraîner pour un marathon dans une heure…. I can’t.... Ah oui pardon…. Shut up, yes… »
Il faut croire que son côté sarcastique était resté malgré tout. Et qu’il n’arrivait pas à complètement se taire non plus. Toutefois, ce fut bien ses derniers dires de la soirée. Il se sentait doucement partir, dans cette forme de transe, alors que les médicaments lui rentraient brutalement dans le corps. Lui qui n’avait pas l’habitude d’en prendre, son système s’en retrouvait assommé. Faisant en sorte qu’il ne sente plus ou moins le moment d’absence de l’homme. Ce qu’il eut le temps de remarquer par contre, fut bien cet élan de chaleur pas désagréable du tout qui vient se coller contrer lui. Entre le sommeil et l’éveil, il put remercier Chase d’un soupir face à ce petit bien être qu’il lui apportait, réchauffant le bloc de glace qu’il était. Qui lui permis d’être un peu mieux, plus confortable et apaisé. Et il ne fut pas long avant que l’on entende se souffle profond et lent d’un sommeil bien gagné. Les mots ayant traversé l’espace sans jamais se rendre à leur destinataire.
▬ Célébrité sur l'avatar ; Dean Geyer ▬ Multicompte(s) ; C'est une poupée-éée qui fait non, non, nooo-oon, non ▬ Un dernier truc à dire ? ; C'est une bonne question ._.
Dernière édition par Stefano P. Mancera le Dim 10 Aoû - 2:06, édité 24 fois |
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