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PROFESSION : Détective au NYPD
Feuille de personnage ÂGE DU PERSONNAGE: 39 ans CASIER JUDICIAIRE: RANG DE CRIMINALITÉ: PETITE FRAPPE
Sujet: Détective Woodraugh à votre service Ven 18 Sep - 16:17
Carte d'identité
(c) Copyright
Nom Woodraugh Prénom(s) Raymond Surnom(s) Ray Âge 39 ans Nationalité Américain Groupe Autorité Statut et activité dans la vieRay à toujours été quelqu'un de loyal. Le genre de type avec le coeur à la bonne place et avec une bonne tête sur les épaules. Son père était policier et son grand-père l'était aussi. Une histoire de famille. Il y a quelques années, un événement à bouleversé la vie de Ray. Depuis, il a changé petit à petit, bouteilles après bouteilles, passant des anti-dépresseurs aux drogues non prescrites médicalement. Il s'est écarté du bon chemin, faisant affaire avec des criminels pour arriver à ses fins tout en travaillant comme détective au NYPD. Orientation sexuelle Hétérosexuel
Si vous manquez d'inspiration où si vous souhaitez étoffer vos idées en amont avant de vous lancer dans la rédaction de votre fiche, la partie d'aide à la création de personnage vous sera probablement utile, n'hésitez pas à y faire un tour.
Il était une fois...
Une chanson pour commencer cette présentation
The Brian Jonestown Massacre - Straight Up and Down
I never felt like I feel when i'm crying I don't care where I'm living Or i'm dieing
Histoire
Détective Woodraugh, un titre qui me conviendrait. Un titre qui m’irais bien si ce n’était de mon histoire et de mon destin. Je ne m’en fais plus trop maintenant, j’ai.. j’ai passé à autre chose aujourd’hui. Je continue de rouler comme je le fais depuis les 10 dernières années si ce n’est pas plus. Si seulement j’avais eu d’autres options, d’autres choix. Comme j’aurais plus être plus heureux, avoir une famille et une petite maison. Vivre un parfait bonheur. J’ai fais une croix là-dessus il y à fort longtemps maintenant. Je marche avec les criminels de cette ville, en plus de la corruption qui ravage la police de New York, spécialement au poste auquel je suis affecté. Ici c’est tout ou rien. On accepte les enveloppes ou on se fait tirer dans la tête. C’est le fonctionnement à Brooklyn. On marche droit avec les mauvaises personnes ou on ne vit plus assez longtemps pour dire que l’on à déjà marché.
Je suis né à Miami, mon père était flic et ma mère était enseignante dans une école spécialisé. Je suis le premier d’une lignée de quatre, un frère et deux sœurs. Je suis le seul qui a connu le soleil de Miami, deux ans après ma naissance nous avons déménagé dans le nord, à New York. C’était bien à l’époque, je n’ai rien à reprocher à mes parents pour le fils que je suis devenu. Je n’ai jamais été maltraité, je n’ai jamais manqué de rien et j’ai eu une éducation comme tout les enfants normaux des États-Unis. Je n’étais pas jaloux de mon frère et de mes sœurs. Nous vivions le parfait bonheur. Je n’ai pas grand chose à rapporter de mon adolescence, relations sexuelles, drogues et petit méfait par ici et par là, mais rien de trop anormal, après tout je devais faire gaffe, papa était un flic, et il menait la maison d’une main de fer.
Je suis entré à l’école de police après mes études secondaires. Je devais avoir 18 ou 19 ans selon la date. On me connaissait déjà là-bas, plusieurs amis à mon père étaient devenus instructeurs après leur carrière au NYPD. Eux ils savaient des choses que j’ignorais sur mon père. À cette époque je ne me doutais de rien, j’étais jeune, plein d’ambition et je respirais la vie. J’ai passé le cours au la main, bon sans être un génie sur papier, j’excellais sur le terrain. Il y a eu la cérémonie, qui a eu pour effet de faire pleurer ma mère et qui ma valu des félicitations de mon père. Mon frère est quand à lui devenu pompier, je ne lui parle plus beaucoup aujourd'hui et mes sœurs ont quittées New York pour devenir vétérinaires dans l'Oregon.
J’ai travaillé comme patrouilleur au New Jersey pendant 3 ans, jusqu’à mes 25 ans. J’ai été patrouilleur d’autoroute à Buffalo pendant près de 2 ans ensuite puis je suis retourné à New York, à Brooklyn. J’y suis resté depuis ce jour. Bref, à l’époque je croyais suivre les traces de mon père, j’avais raison mais pas de la manière dont j’imaginais. Là-bas je me suis vite rendu compte que c’était pas réglo et comme j’étais nouveau dans au poste 32 j’étais seul en patrouille. On éloignait donc les problèmes qu’ils devaient se dire. J’avais une copine aussi à l’époque, une belle brune aux yeux verts flamboyant, avec un visage d’ange et un esprit libre. On prévoyait fonder une famille, nous avions tout les deux 27 ans. Nous avions la vie pour nous et personne pouvait nous arrêter. Elle était mon carburant quotidien, je me souviens que j'avais hâte de finir mes quarts pour aller la rejoindre et juste être près d'elle.
La vie en a voulu autrement. Je l’ai retrouvé morte dans notre salon, assassinée. Violée, et mutilée. Mon cœur à fait un tour et mon souffle était coupé. C’est là que j’ai commencé à changer, quelque mois après je suis tombé dans l’alcoolisme, puis dans la drogue. Je n’avais qu’une seule idée et c’était de buter le ou les personnes responsable. C’est donc là que j’ai commencé à suivre les traces de mon père. C’est lui qui m’a approché avec le sujet en premier. Il m’a dit «mon garçon, personne à New York vont donner de l’attention à cette enquête, les flics s’en foutent, les journalistes s’en foutent, le maire s’en fou. Il n’y à que toi qui peut faire quelque chose. Il n’y à que toi-même que cela concerne et personne d’autre. Fait moi confiance, tu sais à qui parler pour ce genre de truc.»
Il avait raison, je savais qui aller voir, à qui demander le nom des truands. À qui je devrais rendre des comptes pour le restant de mes jours dans une entente mutuelle. Je suis donc aller dans un vieux bar, je me souviens plus si j’étais habillé en flic ou non, Francis McKay était au bar, un café devant lui. Je me suis approché et il m’a fait signe de m’avancer, il m’a glissé un papier et une photo. «Je sais à quel point c’est difficile Ray, ce que tu vis, souviens toi que nous sommes tous une grande famille ici, chacun prend soin de chacun dans le plus grand respect et la plus grande loyauté. Ce que tu vas en faire de ce tuyau ne regarde que toi. Je ne veux pas le savoir et au fond de toi-même tu ne veux pas le savoir aussi.» J’ai quitté le bar, j’en tremblais, la colère, la honte, le dégoût de tout cela, mais le désir de la vengeance était plus fort que moi. Mon père m’a ensuite garantie que la poste 32 était digne de confiance, que le directeur marchait main dans la main avec le gouverneur pour des opérations de constructions pas très légales, et d’autres truc de politiciens pourris jusqu’à la moelle. Moi j’avais juste une mission et je l’ai accomplis. J’ai retrouvé le mec, puis je lui ai fais sauvagement comprendre ma façon de penser, puis on a retrouvé le corps le lendemain. Cela m’a valu une promotion comme détective, le directeur avait un discours élogieux à mon endroit mais moi je ne broyais que du noir et aujourd’hui encore je ne peux pas m’empêcher de penser ce que j’ai dû faire pour essayer de m’enlever un poids des épaules, un poids qui est toujours là, un poids que j’apaise de différentes manières.
C’est comme ça que je suis devenu détective, depuis près de 10 ans maintenant.
...un héros/une héroïne
Caractère
Je suis pas le genre de gars qui aime parle de lui-même. Je ne sais jamais quoi dire sur moi. Les autres doivent plus le savoir que moi mais je peux faire une tentative, pour vous.
Je me considère comme quelqu’un de colérique, avec un tempérament assez court. Une tête brûlée, je vis chaque jour avec tout mes regrets mais j’accepte quand même qui je suis. Je ne peux pas faire autrement de toute manière, je suis enfoncé 200 mètres profonds dans la merde, dans ma merde et dans la merde que j’ai causé. Je suis vulgaire et je suis un être cruel, je n’ai pas beaucoup d’empathie pour l’être humain. Je suis capable de m’entendre avec certaines personnes encore, mais encore, c’est difficile. Je n’ai pas beaucoup d’amour-propre, ma propre santé peut en témoigner. J’ai déjà été quelqu’un de fier, de fort et déterminé, j’imagine que c’est qualités sont encore enfoui quelque part au fond de moi. De plus vous pouvez ajouter que je suis un alcoolique et que je fais l’usage de drogues.
Physique
Je suis quelqu’un de grand et costaud je dois faire dans le 1m90 et peser près de 83 kilos. Je ne suis pas le genre à aller à la salle de gym pour lever des poids, je suis légèrement gras du bide, dû à l’alcool je présume. Je ne suis pas vraiment en pleine forme, je fume et je bois beaucoup, je paraît un peu plus vieux que je le suis réellement, j’ai le teint foncé mais seulement de nature, je ne suis pas souvent dehors sauf pour mes enquêtes.
Je ne suis pas extravagant dans mes choix de vêtements, chemise avec veston sport et des jeans avec des bottes de genre western sans être des bottes de coybows.
Relations
Je ne m’entends pas très bien avec les gens en général, certaines personnes captent mon attention mais elles sont rares. Je ne suis pas facile d’approche, mais je m’en fou, je ne me cherche plus d’amis, je ne sais même pas si j’en ai déjà eux. Le fait d’être négatif ne doit pas jouer en ma faveur, mais j’ai tout de même des passions, oui encore. J’aime lire, je suis un lecteur assidu, en fait j’aime la culture en général.
J’ai un gros problème avec les têtes enflées. Celles qui prennent le dessus sur les autres et celles qui profites des faiblesses des autres. Malgré tout je suis quelqu’un de loyal, au travail comme dans mes relations, et dévoué à mon métier même si celui–ci est corrompu à l’os.
J’ai un léger problème avec les femmes, je ne suis pas capable de me trouver quelque chose de solide, j’imagine que ma dernière expérience m’a traumatisé, je ne pourrai pas dire, je ne suis pas psychologue. J’ai tendance à cacher mes émotions et je sais que cela ne plaît pas à tout le monde. Comme j’ai dis de toute manière, je ne cherche pas vraiment des amis, des personnes entrent et sortent de ma vie depuis toujours et puis je ne suis pas dans le bon milieu pour me faire des relations solides.
...avec plus de détails
Définition de l'enfer et du paradis pour le personnage
L’enfer? L’enfer c’est ici, l’enfer c’est le monde dans lequel on évolue vous et moi aujourd’hui. L’être humain est l’espèce animal la plus cruelle, la plus barbare. Il n’y a qu’à prendre par exemple les tueurs en séries. Puis la majorité du temps on accorde plus de temps aux tueurs, violeurs, bandits qu’aux victimes de ses crimes. L’enfer c’est la corruption dans laquelle je suis, laquelle je vois et je vie depuis, ce qui me semble, une éternité. L’enfer c’est les personnes qui ne sont pas loyales, qui sont prêtes à poignarder quelqu’un dans le dos pour ses propres intérêts. Mes remords, mes regrets, mes démons sont aussi l’enfer, il ne passe pas une journée sans que je pense à ma vie qui est en mille morceaux.
Le paradis? C’est quand je réussi à oublier tout cela, sois par la bouteille, les drogues ou la lecture, l’écriture et regarder un bon film au cinéma seul avec moi-même. Mais le paradis, pour moi c’est lorsque je réussi à faire disparaître, l’instant d’un moment tout les maux qui me rongent de l’intérieur et qui affecte mon extérieur.
Point faible et point fort du personnage
Je dirais que mon point fort est ma capacité à régler des enquêtes. Je suis un fin analyste, je ne peux pas quitter une scène de crime sans avoir, à 100%, vérifier tout les racoins de la pièce ou de l’endroit. Sans être Colombo on dit de moi que je suis un détective efficace, j’imagine que cela doit être vrai. Je suis quelqu’un de discret aussi, je m’impose seulement lorsque nécessaire et lorsque la situation le demande.
Mon point faible, vous l’aurez deviné. L’alcool, la cigarette et la drogue. Je n’ai rien à ajouter. J’ai déjà essayé d’arrêter, j’ai réussi pendant 30 jours, 30 petits jours seulement. Je ne tiens pas vraiment ma santé à coeur, je ne suis pas très bien avec moi-même et de faire en sorte d’oublier cela m’aide à garder la tête froide et continuer à vivre.
La plus grande honte du personnage
Moi-même. Je ne suis pas fier de moi. Pourtant j’ai toujours été quelqu’un de fier et de principes. Tout ça n’est qu’une illusion maintenant. J’ai honte de boire, j’ai honte de faire tout ce que je fais. La seule chose qui m’empêche de me trouver complètement pourri et sans âme est mon travail. Trouver des tueurs, des violeurs, rendre justice aux familles et les mettre devant moi au péril de ma propre santé mentale. J’imagine que le meurtre de ma copine de l’époque à un rôle à jouer dans cette culture de la justice, mais c’est tout. Si j’ai besoin d’aller voir les russes pour un tuyau je le fais. Si j’ai besoin d’aller voir les irlandais pour un tuyau je le fais. Si je travail avec d’autre poste sur une enquête, je les tiens loin des magouilles du miens et ça, ça me tue complètement mais rendu où je suis rendu, après 10 ans... 9 ans je ne sais plus.. je ne peux pas faire demi-tour.
Ma plus grande honte c’est moi, je le cache bien aux autres, mais au fond de moi-même je me dégoûte jusqu’au moindre détails. Je suis rendu habitué cependant, j’ai appris à faire le deuil de mon ancien moi, je suis capable de vivre avec cette honte aujourd’hui.
Casier judiciaire
Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.
Je n'ai aucun casier judiciaire. Quelques enquêtes contre moi et des poursuites mais aucunes d'elles n'ont fini par être conclu
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VousPseudo, âge, autres informations ? Ou vous voulez restez incognito ? Québécois de 23 ans. Où avez-vous connu le forum ? En cherchant pour un rpg policier sur Google! Connexion 5/7 Avez-vous signé le règlement ? Pour signer le règlement cliquez ici Exemple de RP Un autre forum policier sur lequel je jouais il y a quelques années!
Spoiler:
Il fume une clope, devant le building, il est là depuis une quinzaine de minutes, depuis le départ de Paul et la fusillade dans son loft. Un vrai merdier. Il décide finalement d’entrer, une type est à la réception, un gros black style sécurité. Lorsqu’il passe les deux grosses portes peinturées d’un faux or le black lui lance un regard anxieux, c’est vrai qu’un type qui entre le bras en sang n’est pas commun, quoique dans ce quartier de Chicago le sang doit être plus commun que l’eau. Bob s’avance vers lui, le type à le sourire difficile, les yeux rivés sur l’écorchure du bras gauche du motard. Sa respiration est difficile, comme si il avait un rhume, Bob hausse les sourcils, peu importe, il continue son chemin et s’arrête devant le comptoir du mec à la réception. «Comment puis-je vous aider monsieur?», sa voit tremble, une petite voix aïgu qui ne correspond pas avec la largeur du type en face du motard, une voix douce presque effeminée. «Un certain Doakes m’a demandé de venir chez lui.», il retrouve finalement ses repaires, sa voix revient comme avant et il reprend ses bonnes manières. Heureusement, mais un sentiment à l’intérieur de lui le déchire depuis le début de cette aventure, un sentiment qu’il à déjà ressenti, un sentiement qu’il doit combler, comme un fantasme ou une pulsion. Le même sentiement lorsqu’il devait tuer pour avancer. «...Monsieur? Appartement 15 au deuxième étage.», Bob cesse de fixer le téléphone et réplique d’un sourire au black. «Je vous remercis mon très cher.», il se dirige vers l’ascenseur et monte.
Il est surexcité. C’est l’hiver, le 31 décembre 1999. Il est dans un bar à Washington en pleine guerre contre les Triple Fighters. Les derniers jours ont été difficiles pour les Los Americanos, plusieurs morts, le quartier général de New York vandalisé mais aussi la mort d’un type qu’il avait bien aimé, un type qu’il a tué de ses propres mains. Robins, un nom qui résonnera dans sa tête pour longtemps, même si pour lui les problèmes étaient déjà affaire classé, tuer un policier est un crime grave aux États-Unis, sauf si les gros bonnets ont les pattes graissées. Il réfléchit devant son verre de bière vide, sa gorge est une terre arride, un petit remontant est tout ce qu’il veut, malgré son excitation, malgré le fait qu’il perd plusieurs hommes, malgré le fait qu’ils perdent la guerre à ce moment, malgré tout ces batailles perdues et un sombre désir de boire à en mourrir, Bob est heureux, un plan est en cours de route, le président des Triple Fighters, Bob doit le tuer, cette nuit même.
Lorsqu’il arrête de penser il se retrouve dans l’appartement de Doakes, pas trop miteux mais beaucoup trop bordélique. Des déchets partout, des poubelles tellement pleine qu’on dirait qu’elle en vomisse elles-mêmes, une odeur d’alcool imprégné de il ne sait où, bref une vraie porcherie. L’odeur de l’alcool lui fait venir des souvenirs en tête, surtout avec ce sentiement qui lui arrache des maux partout du corps, comme un courant électrique qui le traverse. Il enlève son veston et se dirige vers ce qui semble être la salle de bain, par chance il trouve une petite bouteille d’alcool, il nettoie bien la blessure et retire les morceaux de métal voyant, probablement les seuls. Il déchire sa belle chemise blanche et fait un garrot qu’il enroule autours de son bras, il retourne au salon en débardeur une clope au bec et dans un endroit qu’il ne connaît absolument pas. Il retire son pistolet d’entre ses reins et le dépose sur une table basse et cherche quelque chose dans l’appartement de son pote, une bonne dose, un relaxant.
Il quitte le bar, près de la nouvelle année, du vingt et unième siècle, d’une nouvelle ère. La même chose arrivera aux Triple Fighters. Bob retourne chez lui, enfile une tenue en toile noire, des gants bleues de chiurgien et un calibre douze coupé dans un sac qu’il dépose au sol. Deux ou trois rails plus tard il quitte son bordel et prend une vieille bagnole qu’ils ont volés à un membre des Triple Fighters, plan judicieux, le type n’allait certainement pas déclaré une voiture volé à la police, surtout en pleine guerre. Il roule vite malgré la merde blanche qui s’étend à perte de vue sur ce qui était du bitume il y a six mois, enfilant les clopes à une vitesse incroyable, l’effet de la coke. À la radio il entend du monde crier, le jour de l’an approche, cinq minutes, cinq petites minutes...
Il trouve enfin ce qu’il veut, il lui laissera de l’argent, tout de même, Bob n’est pas un trou du cul. Il apporte avec lui le genre de boîte dans laquelle la blanche est, il libère le canapé de tout ses occupants, dépose la boîte sur la table basse et s’assied sur le canapé, un nuage de fumé se libère de celui-ci de même qu’une odeur de clope et de cannabis. Assez pour étouffer le motard. Il prépare trois lignes qu’il aspire en moins de deux, il se relève trop vite, se cogne le genou sur la table, son pistolet tombe au sol, la boîte de coke aussi répendant tout son contenue sur le sol. «PUTAIN DE MERDE!», il se tient le genou en soupirant très fort, les yeux et le visage rouge et la veine du cou sur le point d’exploser.
Il arrive tout près de chez son homme. Deux minutes avant le décompte officiel en direct de New-York. Il sort de la voiture, prend son sac et s’approche de la maison ombragé et dans le noir malgré tout les autres maisons qui semblent être vivantes tellement il y a de fête du nouvel an. Il déroule la cagoule sur son visage, prend son coupé et entre à l’intérieur comme un pro. Silence radio à l’intérieur, aucun bruit, aucune lumière, aucune vie. Il monte au deuxième, du son s’échappe d’une chambre, de la lumière bleutée de télévision s’échappe d’une porte entre ouverte. Il jette un coup d’oeil à l’intérieur, une jeune femme dort, elle doit avoir dix-huit ou dix-neuf ans. Une belle fille la poitrine à l’air, la fille du président des Triple Fighters. La télévision allumée lui annonce que le décompte commence, 10...il quitte la chambre, 9...il se rend à une autre chambre, 8...une autre chambre, pas de lumière, une petite chambre, surement celle de son garçon, 7...il débouche finalement sur la dernière chambre, 6...il entre dans la chambre, Lou Jarvis est bel et bien là, avec sa femme, 5...il s’approche de la femme, 4...empoigne un couteau et lui tranche la gorge, 3...regarde le sang couler de la gorge de la femme, un sentiement lui prend, mélange de fantasme et de pulsion, il ne tient plus en place, 2...le président des Triple Fighters se réveil et il ne dit rien, ne fait rien, il comprend, 1...il tire, «BONNE ANNÉE!!», il quitte la chambre, devant lui les deux enfants du type, la fille nue et son garçon en chaise roulante...Le sentiement est encore plus fort, la soirée ne fait que commencer, la surprise se dessine faiblement sur son visage crispé par une pulsion meurtrière...
Alec entre chez lui d’un coup sec dans la porte, la surprise se dessine sur le visage du motard, blanc sous le nez et blanc sur le sol...
Célébrité sur l'avatar Colin Farrell
Code:
Nom de la célébrité ▬[i] Colin Farrell - Ray Woodraugh[/i]
Multicompte(s)Si oui, merci de nous dire de quel membre du staff vous avez eu l'accord de création de ce multi-compte. Nope! Un dernier truc à dire ?Bien hâte de commencer
Ray Woodraugh
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Sujet: Re: Détective Woodraugh à votre service Ven 18 Sep - 19:44
J'ai vraiment hâte de m'y mettre!
Kelly Weaver
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PROFESSION : Agent de sécurité
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Sujet: Re: Détective Woodraugh à votre service Ven 18 Sep - 19:47
Bienvenue mister. Bonne chance pour la suite.
Ray Woodraugh
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Sujet: Re: Détective Woodraugh à votre service Ven 18 Sep - 19:50
Merci beaucoup miss! Aussitôt validé, on se fait une partie de poker?
Nash Hewson
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PROFESSION : Pompier / Raffistole les criminels contre quelques billets ou doses
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Sujet: Re: Détective Woodraugh à votre service Ven 18 Sep - 20:20
Bienvenue !!!! Nash est prêt à partager quelques substances non prescrites par le corps médical en échange de quelques billets verts. On peut bien s'entendre ;-)
Bonne chance pour la fiche !
Ray Woodraugh
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Sujet: Re: Détective Woodraugh à votre service Ven 18 Sep - 20:25
J'en serais ravie! Et merci ;p!
Xiomara I. Alvarez
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Sujet: Re: Détective Woodraugh à votre service Ven 18 Sep - 20:52
Bienvenue parmi nous collègue !
Erika Stojanović
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Sujet: Re: Détective Woodraugh à votre service Ven 18 Sep - 20:52
Bienvenue sur le forum! Je vais faire du 2 en 1 du coup puisque ta fiche convient tout à fait pour la validation!
Bravo !
Tu es une future victime de la Fatalité
Sympathique fiche, la NYPD est ravie de compter un membre de plus dans ses rangs N'oublie pas de générer ton casier judiciaire dans ton Profil et d'y ajouter les informations de ton perso!