|
| | | Auteur | Message |
|---|
 |  Sujet: Svenn || Over !  Lun 4 Mai - 21:19 | |
|| Identité du personnage ||
■ Nom & Prénom : Svenn Zegers. Mon vrai nom étant tout autre mais je me garderais de le dévoiler à quiconque aussi longtemps que je le pourrais. Je suis en proie à une double identité. Au faite, pour info, avise toi de me donner un surnom qu'on se marre un peu. J'ai un sérieux besoin de distractions...
■ Nationalité : Russe d'origine mais ricaine sur mes papiers. J'ai pas mal de connaissances...
■ Date et lieu de naissance & Âge : J'ai vu le jour un dix huit août il y'a maintenant vingt trois longues années au beau milieu de nulle part dans l'Est de la grande Russie, vous savez, le coin bien paumé !
■ Orientation sexuelle : Macho et hétéro. L'emblême de la virilité. Et ouais, rien que ça.
■ Fonction & Job : Je suis chasseur et ça me couvre l'intégralité de mes vingt quatre heures journalières, pas le temps de taffer autrement qu'avec un flingue entre les mains. Puis les têtes des mafieux valent de l'or, j'ai largement de quoi subsister. Quand je pars en chasse, vu mon jeune âge, je me contente de me faire passer pour un simple étudiant. Je me casse pas les couilles et tout le monde gobe alors tant que ça roule...Entre nous, je suis même pas foutu de vous lâcher la table de multiplications sans devoir mettre trois plombes à m'appliquer à la tâche. Ah si, je peux vous filer la table de un en moins de deux si ça vous intéresse ?! Allez, 1X1, 1 ! 1X2, 2 ! Je sais, balaize le mec.
■ Spécialité(s) : Je n'aime pas me vanter ( c'est une blague ! ) mais je me débrouille plutôt bien dans pas mal de domaines, mes préférés étant indaignablement le tir et la torture. Je ne connais pas la définition du mot remord, ça me facilite grandement les choses. Moi ? Sadique ? Hey mec, c'est beau de rêver ! Je suis bien pire !
■ Rang : Je suis le bras droit du grand patron. Non, je déconne. Je dirais même malheureusement. J'ai toujours rêvé d'un brillant avenir alors cette putain de prime, croyez moi, ça se refuserait pas ! Mouais, de temps à autres j'ai encore l'impression de croire au père noël. Je suis rien d'autre qu'un larbin qui se contente de faire ce qu'on lui demande sans avoir son mot à dire. Un leurre situé au bas de la chaîne alimentaire qui se voit offrir le droit de profiter d'une petite séance de tortures de temps à autres. Mais merde quoi ! Et mon ambition là dedans, j'en fais quoi ? M'enfin, c'est soit je me la ferme et je m'éxecute ou alors le boss me fait zigouiller...Bref, j'attend mon augmentation !
Je ne suis pas sûr que mon auto biographie intéresse qui que ce soit et pour cause, elle n'a rien d'exhaltante. C'est une vie comme des centaines d'autres, elle ne possède pas cette touche d'originalité lui donnant plus d'intérêt que celle de mon cousin malfrat. J'aurais cinquante ans de plus dans les pattes, j'aurais certainement put en faire un film mais aujourd'hui, je ne pourrais même pas en faire un livre pour mioches. M'enfin, j'ai du temps à tuer alors autant le zigouiller de suite et vous déballer le récit de mon histoire. Hum, par où commençer...Tous ceux qui se sont un jour livrés à cette dure tâche qu'est l'écriture savent que le démarrage est toujours très difficile, c'est qu'il y'a tellement de choses à dire, des siècles de vie. Ok, en réalité il n'y en a que vingt trois mais j'ai vu tellement de trucs dans ma vie que j'ai l'impression d'en avoir vécu plus que l'avant dernière reine d'Angleterre. D'ailleurs, il est grand temps qu'elle climpse celle là. A ce train, on commençe à la croire increvable. Pauvres anglais...
Commençons donc par le commençement me direz-vous. Ouais, c'est vrai que c'est logique mais malheureusement impossible, cette partie de ma vie est une pièce d'un puzzle cinq mille pièces que j'ai depuis longtemps paumé dans mon bordel. Ah si vous saviez à quel point j'aimerais vous conter mes déboires sans avoir à me demander ce qui précédait la première ligne de mon récit...Ma vie a débuté il y'a plus de vingt ans mais je ne m'en souviens avec précision que d'une bonne quinzaine. C'est tellement cruel...Allez, assez rigolé, je vois bien que je vous enmerde avec mes conneries. Je suis donc né dans le lit miteux d'une habitation toute aussi miteuse plantée au beau milieu de nulle part. Vous connaissez la petite maison dans la prairie ? C'est exactement ça mais quelques centaines d'années plus tard. Ma mère m'a mise au monde avec un mois d'avance alors que mes parents étaient en visite chez de la famille paysanne. Déjà à cette époque mon ambition était foutue en l'air...Quelle poisse.
Huit ans plus tard, nous voilà en Amérique non loin de N-Y. Mon père nous a fait quitter la Russie pour affaires. Quelle merde...J'ai dû apprendre une langue étrangère en un temps record et je ne vous cache pas que j'ai dû trimer pour y arriver ! M'enfin, le résultat est qu'aujourd'hui je n'ai pas le moindre accent et que je me fond sans problème dans la masse américaine. A cette époque, je ne savais pas de quoi il s'agissait mais je maudissais cette putain d'activité qui lui prenait tout son temps ! Mon paternel n'était jamais là, à croire que sa vie de famille était moins importante que sa fichue carrière. Y'avait de quoi péter un câble mais ma mère parvenait toujours à relativiser. Elle s'est bien occupée de moi, une vrai maman poule. Ah ma mère elle était tout pour moi ! On roulait pas vraiment sur l'or mais je n'ai jamais manqué de rien. Elle a fait du mieux qu'elle pouvait pour me rendre la vie agréable et je dois bien avouer qu'elle ne s'est pas loupée. J'ai donc grandi avec l'amour d'une mère et l'abscence d'un père. Bref, un destin mélo dramatique quoi !
En ce temps là, j'étais un petit brundinet super sympa qui ne causait de tord à personne. Si, si, je vous jure ! Bon je vous l'accorde, c'est difficile à avaler, mais vous n'avez pas le choix, vous devez me croire sur parole * sort son bazooka * ! Non sans dec, j'étais à deux doigts de décrocher une auréole ! J'étais aimant, serviable, attentif, gentil et en plus de cette belle panoplie, je taffais comme un dingue à l'école, la maîtresse m'adorait. Remarque, c'était réciproque, elle avait une de ces paires de...! Aïe, souvenirs, souvenirs...Je divague, revenons donc à nos jolis petits méchouis. Bref, un toit sur la tête, de la bouffe sur la table à chaque repas, une mère attentionée et de la réussite, j'avais pas à me plaindre. Je peux même vous dire que j'avais une chouette vie. Ma russie natale me manquait un peu ainsi que le reste de ma famille mais je faisais avec puisque tout allait comme sur des roulettes (ouah l'expression de merde !). Allez, je vais tenter de faire pire : j'étais comme un poisson dans l'eau ! Si ça c'est pas de la réplique à deux balles...
Je continuai donc sur ma lançée d'adorable petit garçon jusqu'à mon adolescence. Là, ça commençait à se corser sérieux. Bé ouais, c'était le moment fatidique de la crise d'adolescence quoi. Mon père continuait de nous éviter alors en bon ado je le lui ai fait payer en faisant pas mal de conneries. Le problème c'est que malgré moi je faisais aussi souffrir ma mère...Je n'allais plus en cours, je rentrais souvent déchirer, je me barrais en douce pour rejoindre les potes en soirées, je dégomais quelques voitures, volais des trucs...Bref, le petit con par excellence qu'on avait envie de claquer. Je crois que je devais avoir aux alentours de quinze, peut-être même seize ans. Oh puis pour un an vous allez pas me faire chier hein ! Ne sachant plus quoi faire, ma mère s'est plainte à mon père qui malgré le chaos que je faisais régner à la maison me remarquait à peine et il s'est enfin décidé à se hisser dans le rôle du paternel. Il est venu me trouver alors que je traînais dans la rue avec ma bande du moment et m'a ramené de forçe à la maison. Il m'a choppé par le bras et m'a jeté dans le coffre ouvert de sa djeep sans la moindre retenue. Un vrai taré !
Cette soirée là, tout a basculé. Sur le chemin de la maison il a commençé à cafouiller quelques propos qui me paraissaient impossibles et incohérents. Il m'a dit que j'avais intérêt à me calmer ainsi qu'à faire preuve d'un plus de respect pour l'autorité si je voulais qu'il m'enseigne son savoir faire et que je reprenne un jour le flambeau. Perso, ses traces, j'en avais rien à foutre. Hors de question que je les suive, pour moi, mon père ne valait rien. Ce n'était qu'un pauvre type qui s'était détaché de sa famille et qui ne m'avait pas vu grandir. Il ne me connaissait pas, ne m'avait jamais réellement regardé et ne s'était jamais intéressé à ce que je faisais ni même à ce que j'aimais. J'étais simplement un goss qui vivait sous son toit. Seulement, il plaça le mot mafia dans l'une de ses phrases et me lâcha le nom de son boss. Il me répétait sans cesse qu'il était temps que je sache qui il était vraiment et que je devienne à mon tour membre à part entière de cette organisation dont je comprenais que dalle. Je me devais de partager leurs idéaux sans me poser de questions parce que nous avions les liens du sang. C'était d'ailleurs la seule chose qui nous unissait vraiment.
A quelques mètres de la maison, il me fit promettre de garder tout ça pour moi où ça risquait de dangeureusement partir en live. Ayant ras le cul de toutes ses conneries, je lui crachai à la figure tout un tas de saloperies comme quoi je n'avais aucune obligation, qu'il était tout pour moi sauf l'emblême du paternel. Je lui ai dit qu'il n'était qu'un inconnu que je haissais et me suis mis à lui déballer tout ce que je contenais depuis des années. Il s'est pris des reproches plein la gueule mais n'a rien dit. Il s'est contenté de me regarder quitter la voiture pour passer le pas de la porte de chez nous et a attendu que je claque celle ci pour se tirer avec la caisse; sûrement lécher les bottes de ce caïd qu'il semblait tant vénérer. Le pauvre, il me faisait presque pitié à se comporter comme un vulgaire chien de salon. Je m'appliquai donc à continuer ma vie sans me soucier de lui ni de ses dires. Me retrouver dans la peau du larbin ne me tentait pas vraiment, j'avais bien plus d'ambition. J'ai toujours eu plus d'ambition...Pour ça, fallait que je me remette sérieusement au boulot et que j'arrête de délirer comme un goss en manque d'activités. Je suis donc retourné en cours et j'ai passé le bac de justesse avec trois ans de retard. D'une, j'ai perdu un an de scolarité à cause de mon arrivée soudaine au USA et, de deux, avec mon option touriste dans l'éducation nationale dès le cap de la troisième passée, j'ai paumé deux ans d'études. J'allais pas m'apitoyer sur mon sort, je l'avais bien chercher. Ca me foutait simplement les boules de me retrouver à partager le quotidien de mômes immatures et dégénérés.
Il y'a deux ans, alors que j'étais en ville avec une amie, un ****** vînt détruire ma vie : on l'appellait le caïd. Quelques jours auparavant, mon père m'avait mis dans la tête qu'il était en danger. Il m'a dit qu'il avait soit disant trahi les siens et qu'il allait en payer les conséquences. S'arrêtant à cette version, je n'ai pas eu le droit à plus de détails. Seulement, j'aurais dû lui faire cracher ses paroles, ma mère serait encore saine et sauve si j'y avais prêté quelque attention...Je suis rentré vers vingt deux heures et je les ai retrouvé abattus d'une balle en pleine tête au milieu du salon. Pour moi, il n'y avait pas de doute, il s'agissait de pures éxécutions. Pas la peine de vous raconter dans quel état j'étais, je vous laisse imaginer les dégâts. Je n'aime pas évoquer cette douloureuse partie de ma vie alors on va passer la scène si vous le voulez bien. T'façon, vous n'avez pas le choix, c'est moi qui tient les rênes de l'histoire.
Suite à ça, j'ai décidé de venger la seule personne que j'ai réellement aimé au cours de ma misérable existence : ma mère, la femme de ma vie. Je l'ai vu partir trop tôt d'une façon vraiment dégueulasse et je me devais de lui rendre son honneur en abattant le chien qui lui avait fait ça. Je suis encore plus écoeuré quand je repense à la banalité de la chose. Dans ce genre d'organisation, c'est un quotidien. La vie n'a pas de prix exceptée celle qui nous est propre. On tue comme on respire. Et dire que mon père voulait m'y initier...Il aura quand même eu en partie ce qu'il voulait : son fils fini par prendre les armes et donc par lui ressembler malgré lui. Seulement, au lieu de tuer pour eux, je m'étais jurer que j'en ferais mes cibles. Ne pouvant y arriver tout seul et n'ayant jamais tenu un flingue, j'étais sacrément mal barré. Je savais me défendre et même plutôt bien mais le corps à corps ne me mènerait pas vers des chemins très très glorieux. J'ai donc enchaîné les heures dans les stands de tirs puis je me suis décidé à intégrer un gang de chasseurs qui sévissait à New York City.
Pour ne rien vous cacher, le recrutement a été difficile, je n'avais jamais descendu un mec de ma vie et je connaissais à peine ce monde dans lequel je venais de plonger. Mais j'étais haineux et ma rage s'était transformée en extrème détermination. Je défendais mes convictions avec acharnement et j'étais prometteur. Le boss s'en est rendu compte puisqu'il m'a laissé ma chance. Je suivais donc les traces de mon père : j'allais devenir un de ces rotweilleurs bien dressés qui se devaient de marcher au pas sans tenter de sortir du rang au risque de terminer comme lui, en boîte qu'il n'y avait plus qu'à jeter dans la gamelle. Mais j'étais un molosse qui jouait cependant double jeu. Tout comme un agent infiltré, je me cachais sous une solide couverture. Fils de russe pure souche et seul héritier d'un mafioso, avec un nom de famille tel que le mien, j'allais me faire éjecter de la scène direct. Chez les chasseurs, on embauche pas de mafiosios, on les passe à la trappe ! Je suis donc devenu Zegers, un mec ambitieux et déterminé qui se disait partager leurs idéaux.
Peu de temps après, j'achevais mon premier mec lors d'une sorte de mission test destinée à prouver ma valeur et ma motivation. Je le réussis avec brio ! Pour la première fois de ma vie, j'avais du sang sur les mains et étrangement, ça me plaisait bien. Je vais vous épargner la scène House of the death, je voudrais pas choquer les âmes trop sensibles. Tuer nous donne l'impression d'une supériorité très plaisante dont j'avais envie de regoûter. C'était si facile...Ce jour là, je me suis enfin révélé. Le véritable Svenn à vu le jour et pour rien au monde je changerais de peau.
[U.C]
Dernière édition par Svenn Zegers le Lun 4 Mai - 21:53, édité 5 fois |
|   | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Lun 4 Mai - 21:19 | |
Aujourd'hui, je vais pas vous mentir en vous disant que je me suis maudit, au contraire, j'aurais plutôt tendance à vous parler de ce que je suis capable de faire en vous déballant un " trop de la balle ! ". Ouais, j'aime ce que je fais tout comme j'aime les armes et la glace à la menthe aux pépites de chocolat. D'ailleurs, avant que je devienne chasseur de primes, je ne m'intéressais pas à grand chose excepté à la musique. J'ai toujours kiffé faire vibrer les cordes de ma guitare acoustique et sans me vanter, j'étais un as. Il suffisait que j'entende un morceau pour le reproduire. Si ça c'est pas un mec bourré de talent ! Dommage que le temps me manque, ça fait un baille que je n'ai pas entendu la moindre note. M'enfin, maintenant j'ai une autre passion, c'est la moto ! Les mecs, avec ça entre les pattes, vous vous sentez supers importants. Filer à 200 à l'heure sur les routes désertiques, y'a que ça de vrai ! Des putains de sensations !
Je suis également fan des jolies filles et avec mon physique de rêve (enfin, presque) j'en ai vu pas mal défiler dans mon lit. Et ouais, avec mon beau mètre quatre vingt deux et ma gueule d'ange aux yeux couleur noisette (han, c'est tellement poétique, vous ne trouvez pas ?), j'attire l'attention. D'autant plus que niveau musculature j'ai pas à me plaindre. Je suis loin de ressembler à Sharwzy mais je me défend pas mal. Je me suis tenté à la mode punk lors de ma crise d'adolescence et c'était pas une réussite alors maintenant je n'ai qu'une chose à dire : vive le naturel ! Le hic, c'est cette fichue cicatrice logée dans le bas du ventre. Un corps à corps avec un mafioso qui s'est mal terminé...Ne vous faite pas d'illusions, je suis intouchable et increvable ! C'était seulement une erreur de débutant que je ne compte plus reproduire. Je suis le meilleur ! Et apparement narcissique...
Bon, pour comprendre mon amour pour mon boulot et cerner le personnage géniallissime que je suis, faut passer pas la case résumé de mon caractère alors je vais devoir vous bassiner avec un petit monologue sur mon célèbre moi même. (J'en fais de trop là c'est ça ?)
Bien qu'il m'arrive d'être d'humeur festive et de prendre souvent les choses à la légère, je sais prendre mes responsabilités. Dans le cas contraire, je n'aurais rien à foutre ici. Dès que l'on parle boulot, le chasseur est aux commandes et il manie les manettes avec une belle habileté. Déterminé et doté d'un bouclier en béton armé, rien ne semble pouvoir l'atteindre. Certains iront jusqu'à vous dire qu'il a perdu cette humanité qui permettait de le différencier de ces meurtriers avides d'innocence. Il n'a pas de limites et ne connaît pas la définition du mot remord. Attention toutefois à ne pas trop accorder d'importance à ces "on dit", on est jamais à l'abri d'une surprise.
En mec intelligent et loin d'être suicidaire, je me plie face à la hiérarchie de mon clan et éxécute les ordres sans protester. Je me comporte en bon soldat, me contente de marcher au pas et m'en contenterais tant que je m'y sentirais à ma place. Il faut que j'atteigne mon objectif et je suis prêt à tout pour y parvenir. Je n'ai jamais eu pour habitude d'évoluer sous la contrainte et n'ai pas dans l'intention de la prendre. Si je ne crois pas en ce que je fais, je me casse, point barre. Ouais, certainement plus facile à dire qu'à faire hein ? Je sais ce que je fais et je sais ce que je veux. Je sais également ce que j'aime: la tune et les sensations de supériorité. Et c'est en compagnie de la délinquance (je ne l'ai pas mentionné mais bordel, qu'est ce qu'il m'a plut ce passage de ma vie !) puis des chasseurs que je l'ai trouvé. En bref, je ne suis pas un mauvais garçon, je suis bien pire.
Très réfléchi, je pense, peut-être même trop et dieu seul sait à quel point c'est crevant ! Chaque situation à sa solution et il n'est jamais bon de lançer l'assaut trop vite mis à part si la situation ne me laisse pas l'opportunité de réfléchir avant d'agir. Je n'ai pas le sang chaud. L'impulsivité, je ne connais pas, excepté si celui qui me fait face outrepasse ses limites avec insistance. J'ai beau avoir l'avantage de pouvoir garder mon calme en toutes cironstances, il y'a des frontières qu'il vaut mieux respecter et je ne suis pas à l'abri d'un coup de sang. Je suis tout de même humain. Je péfère de loin me prêter à l'usage intensif du sarcasme que de me casser la voix à tout va mais quand je me lâche, croyez-moi, ça peut faire mal. J'ai la réplique et je crois en la violence des mots. Je reste persuadé que la torture morale est bien plus douloureuse que la torture physique (mais bien moins drôle) et j'éprouve du plaisir à me hisser dans le rôle du bourreau. * rires sadiques *
Je suis également très fier et sûr de moi. Ayant confiance en ma personne ainsi qu'en mes compétences de "gros dur" et de bon tireur, rien ne m'arrête. Avec un flingue entre les mains, je suis intouchable. La mort ? Elle n'est même pas envisageable. Mourrir est un fait qui n'arrive qu'aux autres, c'est la conséquence d'une faiblesse dont je n'ai jamais fais preuve...Svenn l'intrépide ! Ben ouais, je me crois invincible, on m'a d'ailleurs dit plus d'une fois que c'est cette facette de ma personnalité qui me perdrait. Allez savoir !
Pour finir, je suis très égoïste. Aider les autres ne fait pas partie de mes attributions, j'ai bien assez à faire avec moi même. C'est du boulot ! Si je me fais preux chevalier c'est que la victime est apte à servir mes intérêts. Dans ce monde bouffé par la haine, la mort a son prix et c'est rien de le dire ! Je suis sans foi ni loi, un rottweiller loyal qui n'hésitera pas à sauter au coup de ceux qu'il classe dans la catégorie "ennemis". La culpabilité, je ne connaîs pas, cette petite voix censée nous dire si ce que l'on fait est bien ou mal, je ne l'entend plus. Je tue comme je respire et c'est devenue ma raison de vivre. Le seul moyen de s'assurer une sécurité est d'obtenir son billet d'entrée pour la classe "chasseurs". Alors, tu comprends mieux maintenant pourquoi je m'éclate avec ce boulot ? La vengeance est ce qu'il y'a de pire au monde. Elle transforme l'humanité et j'en ai fait les frais mais bordel, qu'est ce que j'aime ça ! Suffit de matter mon regard pour le comprendre _sourir sadique, ses yeux pétillent _Mes yeux sont un livre ouvert...
~ Définition de l'enfer pour le personnage : Tu kifferais que je sois terrifié à l'idée de me faire trouer comme une râpe à fromage hein ? Ben pas de bol, la mort, j'en ai rien à battre. Puis on doit tous crever un jour alors bon...Non moi ce qui me terrifie c'est de vieillir. L'enfer, c'est l'inutilité, n'avoir plus que la capacité à poser le derrière sur une chaise. Et encore, certains vieux ne sont même plus fichus de le lever. J'appréhende le premier cheveu blanc...
~ Définition du paradis pour le personnage : Ah le paradis...Là, je vois une île, une étendue d'eau chaude, salée et limpide, des coktails, des palmiers et des bikinis ! Des centaines de bikinis ! Sans zapper des millions de billets vert et quelques beaux joujoux à portée de mains : fusils à pompe, snipers, petits gabarits légers mais bien pratiques...Et pour finir, je visualise quelques mecs en costard couchés à mes pieds qui s'adressent à moi : " Boss ! ". L'est pas belle la vie ?
~ Taux de criminalité et pourquoi : Je pense atteindre les 100% sans problème non ? Bon, ok, j'arrête de la jouer marseillais et je vais m'arrêter sur un très bon 60%. Je n'ai que vingt trois ans, je ne peux malheueusement pas me vanter d'égaler les plus grands. Mais je compte bien y arriver !
|| Le joueur et le hors-jeu ||
~ Prénom/Pseudo : Kévin
~ Age : 19
~ Votre avis sur New York, The Dark Side : J'adore, j'adhère !
~ Où avez-vous connu le forum ? Je me baladais de liens en liens, le hasard a fait le reste.
~ Niveau de RP : Je m'adapte en fonction d'avec qui je joue. Effet camélon ^^
~ Exemple de RP : - Spoiler:
Le casque du baladeur me recouvrant les oreilles, je me délectais des voluptés que m'offrait le doux et merveilleux monde des rêves sur l'une des plages arrière de l'autobus. Je ne saurais vous dire depuis combien de temps nous avions quitté l'arrêt tellement l'aiguille de ma montre s'était amusée à faire des tours et des détours. Je venais d'un lieu bien lointain. Très lointain...L'obtention de mon diplôme acquise depuis peu, je m'apprêtais à pénétrer dans la vie active. Une place dans le monde magique de la photographie m'attendait avec impatience à Salt Lake City. Cette ville était encore à rayer dans ma liste des contrées à explorer mais peu m'importait, je m'égayais de cette quête d'aventure et d'inconnu bien que je laissais vingt quatre ans de vie bien remplie derrière moi. Sans regrets, j'avançais sans même me retourner, rêvant d'une existence nouvelle et palpitante...
Dans une affreuse symphonie de crissements accompagnée de sa chorale d'hurlements d'effroi, le véhicule cessa sa course avec brutalité, me tirant sèchement des délices de mes pensées. Mon baladeur en fit de même malgré la nouveauté des piles et termina donc sur le siège vide qui me tenait compagnie. J'entrepris de me lever afin de me lancer dans quelques investigations révélatrices du pourquoi d'un pareil arrêt lorsque mon esprit un tantinet paranoïaque cru s'informer d'une obscure présence de l'autre côté de la vitre. Les plaintes et questionnements des passagers s'effacèrent peu à peu jusqu'à disparaître, me laissant seul face à l'angoisse. Je plissai le regard et me rapprochai de cette transparence qui me séparait du monde extérieur. Seulement, nous nous noyions au fin fond d'un océan de brume. Le brouillard était tel que je ne l'avais jamais vu. Angoissant. Terrifiant. Opressant. Mon regard peinait à tenter de le transpercer. Et ce silence...Un funeste silence.
Alors que mon visage d'une pâleur extrême s'écrasait presque contre la vitre avec les traits significatifs d'une intense concentration, la jeune passagère qui voyageait derrière moi déposa la paume de sa main sur mon épaule sans prendre la peine de crier gare. Je sursautai en laissant malgré moi l'écho d'un cri effaré s'emparer du véhicule qui fut si tôt suivi d'une quinzaine de sons semblables auxquels s'ajoutait celui d'un choc sur le pare brise. Je relevai la tête, pointai mon regard écarquillé vers l'avant du bus puis restai figé. Une couleur rouge vif semblait déteindre sur mes iris. Du sang. Du sang partout. La vitre en était recouverte. A qui était-il ? Et surtout, qui détenait l'âme meurtrière qui avait engendré cette soudaine apparition ? Un asiatique empli de courage (et d'inconscience) pris l'initiative de se lever et vint se dresser près du chauffeur épouvanté. Il se tint très proche du pare brise. Trop proche. Beaucoup trop proche...Alors qu'il déposait sa main tout contre la vitre d'une attitude à la fois appeurée et intriguée, une force abstraite vînt le tirer violemment, brisant la façade cristalline en milliers de bribes. Il s'évanouit au milieu du brouillard, nous léguant une marre de sang accompagnée d'affreux éclats de voix traduisant toute sa souffrance. Le chauffeur et les voyageurs situés à l'avant de véhicule se replièrent à l'arrière dans un vacarme assourdissant, s'y pensant certainement plus en sécurité...
Les croyances étant bien différentes de la réalité, cette sécurité fut bien sûr illusoire. Alors que nous pensions que la bête s'en était allée, une secousse me fit décoller du siège; le véhicule venait de subir une vaine tentative de retournement. De nouveau, celui ci fut envahit de pleurs et d'hurlements traduisant une extrême terreur. Une vieille dame déposa la paume de sa main droite contre sa gauche. Fermant les yeux, elle se mit à implorer le tout Puissant de nous offrir sa grâce. Seulement, ses prières ne lui parvinrent pas à temps...Sans crier gare, la créature ou peut-être même toute une meute retournèrent l'autobus à plusieurs reprises, nous piégeant dans une spirale infernale. Je rejoignis alors leur monde, enveloppé d'une réconfortante obscurité : l'antre des ténèbres. Atroce agonie que mon coeur, battant à tout rompre, s'osbtinait à proroger...
~ Connexion : 7/7, un rp mini 1X/semaine
~ Code du règlement : - Spoiler:
OK. By Louis.
~ Célébrité sur l'avatar : Steven Strait
~ Multicompte : Négatif.
Dernière édition par Svenn Zegers le Lun 4 Mai - 21:53, édité 6 fois |
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Lun 4 Mai - 21:23 | |
Prem's ! 
Bienvenue ! |
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Lun 4 Mai - 21:48 | |
BIENVENUE ! Merci de ton inscription... Le code est bon, j'ai édité  Bon début de fiche (j'ai aps tout lu, encore), j'aime ton style d'écriture ! =D Préviens-nous quand ta fiche est terminée |
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Lun 4 Mai - 21:52 | |
Merci bien ! =) Etant donné que j'étais en train d'éditer en même temps, l'édit du code n'a pas marché Et fiche terminée. Ps : Nick, j'espère que tu m'as reconnu -_- |
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Lun 4 Mai - 21:55 | |
Okay, je vais voir ça de suite EDIT : QUel groupe, au fait ? Hors-la-loi ?
Dernière édition par Louis-Valentin Petit le Lun 4 Mai - 21:56, édité 1 fois |
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Lun 4 Mai - 21:56 | |
|
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Lun 4 Mai - 21:58 | |
- Svenn Zegers a écrit:
- Ps : Nick, j'espère que tu m'as reconnu -_-
Pas jusqu'à maintenant...
Luka-chouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu
*bisoutage et fuis avant de se faire gronder pa un admin* |
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Lun 4 Mai - 22:02 | |
- Louis-Valentin Petit a écrit:
EDIT : QUel groupe, au fait ? Hors-la-loi ? Plutôt deux fois qu'une ! Crevette, ah bah quand même ^^ |
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Lun 4 Mai - 23:52 | |
- Svenn Zegers a écrit:
Il suffisait que j'entende un morceau pour le reproduire. C'est ce qui s'appelle l'oreille absolue x) Ok pour le groupe =D Roh putain, j'ai surkeefé ta fiche :O Ca me fait flipper, parce que c'est là que je me rends compte que je parle comme un mec ;_; XD Bref. Fiche bien évidemment validée, bon jeu, bon flood ! |
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Mar 5 Mai - 5:00 | |
Bonne fiche, les diagonales que j'en ai lu m'ont fait bon effet.
Bienvenue sur le forum, bon jeu. |
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! Mar 5 Mai - 12:16 | |
|
| | | | | | Sujet: Re: Svenn || Over ! | |
|
| | | | |
| | Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|
