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| | BEATRIZ • faisons connaissance [100%] | |
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| Sujet: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 12:13 | |
■ Fiche sous forme de RPG Chargement en cours. 98% ▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀▀ 100% CREDIT A WOODY PEPPER | Beatriz Alonzo ▬
• Surnoms ▬ Connu également sous le nom de la Culebra, ce qui signifie la couleuvre en espagnol. • Âge : 23 ans • Profession ▬ Sans profession, déclaré comme étant chômeuse. Il faut savoir qu'elle dépend enormement de l'argent de son père, une sorte de Paris Hilton. • Etude ▬ Après avoir fait 2 ans pour devenir archéologue, elle arrête pour des raison qui sont des plus mystérieux. • Avatar ▬ Sienna Miller.
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++ — identité du personnage.
Beatriz Penelope Alfonzo. L’unique fille du Docteur Aldrid Alfonso. Mais aussi sa petite protégée, vous avez sans doute déjà entendu parler de moi, étant donné les maintes fois où j’ai été arrêté pour avoir pris le volant après une vilaine cuite. J’aurai pu m’arrêter là, jouer les filles à papa tout en défilant dans les rues avec mes sacs vuitton, mon maquillage hors de prix et je ne sais autre chose que les filles de mon milieu font. Mais je ne suis pas comme elles, et je ne supporterais pas que l’on me compare à Paris ou Britney. Ce que je cherche ? L’action. Mon hobby ? Me mettre dans des situations périlleuses, risquait ma vie. J’ai pris goût au risque, et depuis quelques temps, je participe à une radio pirate sous le nom de la Culebra, nous avons pour habitude de dénoncer la société qui nous entoure, nous avons aussi réussi à nous mettre la mafia à dos, ce qui nous oblige trop souvent à délocaliser notre stations pour ne pas nous faire attraper. C’est très flippant et excitant, je vous assure, et puis surtout que j’en croise souvent des mafieux lors de grandes soirées, mais ils ignorent ce que je fais, surtout que n’oublions pas que Aldrid Alfonso est bien souvent de mèches avec ces chers contrebandiers, qui pourrait soupçonné que sa chère petite fille, au dossier presque vierge, est « une traitresse ». Mis à part cela, je suis espagnol, d’où mon prénom très compliqué. Un prénom que ma mère a voulu que je porte. Je ne l’ai pas connu, elle est morte juste un peu après m’avoir donné la vie. Si cela vous intéresse, et bien je suis encore célibataire, ceci étant si vous connaissez un beau mâle prêt à me conquérir, je ne dis pas non. Je suis née à l’Hôpital John Hopkins, 8 rue l’avenue du président Kennedy. Ma mère avait été formelle pour aller accoucher là bas, c’est sur ce n’est pas comme l’hopital de Beverly Hills. C’était là bas que papa voulait que je vois le jour. Il avait tellement négocié pour avoir la meilleure chambre, mais comme d’habitude les femmes ont toujours le dernier mot. Lorsque mon père me parle d’Elena, ma mère, il est toujours très admiratif. Il parait que c’était un vrai petit clown, une bonne vivante aussi qui refusait de se plier aux règles de la société. Mon père m’a une fois dit, qu’ils s’étaient rencontrés dans le café où elle travaillait, « elle était magnifique », mais lorsque l’un des amis de mon père lui a mal parlé, elle ne s’est pas gênée pour le remettre à sa place. Le coup de foudre après. Par moment, je suis si désolé de ne l’avoir jamais connu, et puis papa est toujours aussi nostalgique à chaque fois qu’il en parle, il n’a jamais essayé de se remarier, ni même de fréquenter une autre fille, comme quoi malgré qu’elle soit à 10 pieds sous terre, il en est toujours aussi amoureux. Vous vous demandez sans doute de quoi elle est morte, et bien c’est simple, les médecins n’avait pas perçu son cancer de l’œsophage, conséquence l’infection a pris de l’ampleur, la fatigué et a fini par la tuer. J’avais 5 ans lorsqu’elle est partie. J’ai souvent du mal à me rappeler de son visage, seul les photos m’aident à garder la mémoire fraiche. Elle a fait promettre à mon père de très bien s’occuper de moi, de me donner le meilleur de lui-même et d’accepter tous mes choix. Il faut dire qu’il a très bien respecté cette volonté, combien de copain ont défilé à la maison, et malgré que tout au fond de lui par moment l’envie de les mettre à la porte lui donnait envie, et bien il ne l’a jamais fait. Aussi, j’ai fréquenté les meilleures écoles du territoire, et puis je n’ai jamais été contrainte à faire quelques choses. Je peux me venter d’avoir eu une vie paisible et facile. Même économiquement j’ai toujours été très bien assuré, avec mon père qui fait par moment des découvertes scientifiques bizarroïdes, il encaisse de la tune facilement. J’ai commencé à mes 16 ans à faire de la boxe thaïlandaise, étant un peu garçon manqué depuis mon plus jeune âge, j’ai été classé 3éme de la région. Ensuite, je me suis attaqué au judo, et puis j’ai fait un peu d’art martiaux mais ça ma rapidement gonflé. Je n’ai contrairement à beaucoup de fille de ma société rien avoir avec la danse et le bal de promo. La preuve je n’y suis même pas aller, à l’époque il faut dire que je n’étais pas spécialement jolie. Il y avait que mon papa qui trouvait que j’avais du potentiel, mais jusqu’à mes 18 ans je ne prenais pas du tout soins de moi. J’avais un horrible appareil dentaire, et puis mes cheveux étaient toujours en bataille, j’étais un peu la Uggly Betty du lycée. Et puis lorsque j’ai enfin été en âge de pouvoir aller en soirée, boire de l’alcool, me trémousser sur la piste jusqu’à pas-d’heure, j’ai fini par également me réveiller en vêtements. J’ai après le lycée fait des études d’archéologie. Comme ma mère. J’espérais découvrir de nouveaux sites, squelettes, momies aux USA. Mais j’ai fini par me rétracter lorsqu’avec deux autres amis, nous avons trouvé une nouvelle passion, l’antenne. Non pas la télévision, et je ne veux en aucun cas que l’on sache que c’est moi la Culebra. Autrement dit, la couleuvre. Celle qui critique haut et fort la mafia, non parce que se que je risque c’est bien trop gros pour que je daigne donner d’autre informations sur moi. Je les côtoie bien souvent, s’il apprenait que c’était moi la vilaine qui crache sur eux, ils me liquideront en moins de deux, tout en faisant en sorte de faire couler mon père avec eux. Lui aussi ignore mes activités, tout comme tout le monde. A cet heure, personne n’est suffisamment apte à connaître mon secret. « Vous êtes sur Pirate FM, ici Culebra à l’antenne nous venons d’écouter la nouvelle chanson de Madonna. A son âge, j’aurai plus été entrain de m’occuper de mes petits enfants qu’autre chose, mais passons. Alors Remy, tu as un nouveau scoop c’est ça?
« Hey oui, ma petite Culé – Encore des infos croustillant sur nos amis en costard cravate, gli mafiosi. Il paraitrait que…
« Non, non un peu de suspense ne ferait du mal à personne, d’ailleurs on a un coup de fil. « Bonjour, Bonjour. Qui est à l’antenne ? « Bonjour, je m’appelle Katie, et je suis raide dingue de votre emission. Avec mes copines on arrête pas de vous écouter. « C’est très gentil à toi miss. On te laisse à l’antenne, on a un autre appelle : Allo, Allo ?. « Bongiorno, perche vous dite dans votre station que les italiano sont tous des mafiosi.
Encore une flippe. Depuis quelques temps, nous n’arrêtions pas de recevoir des coup de fil dans le genre, et nous fume de nouveau obligé de tout éteindre de peur de nous faire repérer. Et de nouveau nous devions changé de numéro.
« Bea, c’est Roberto. » « Hey, ma Remy. Ça va ? » « Non, ça va pas. Je crois qu’on devrait arrêté avec Patricia tout ça, sérieux on se met dans un sacré merdier. » « Arrête de dire n’importe quoi, on en parle partout. C’est super. » « Non, c’est pas ça, mais on est même pas reconnu, et puis c’est méga dangereux. Encore toi, il y a ton père… » « Je t’interdis, de croire que je suis la plus en sécurité de nous trois. »
BIP. BIP. BIP, la jeune heritière ne supportait pas que ses amis la croient plus en sécurité sous prétexte que son père ayant les tunes puisse payer mes conneries. Et puis pour une fois que je me sentais bien au sein d’un groupe, autant ne pas me gâcher mon plaisir. Certes s’était dangereux, mais c’était justement ça qui plaisait, la peur d’en arriver à l’agonie. J’avais déjà dragué une fois un mafieux, mais ça n’étais pas allé plus loin. Avec Remy et Droups, nos surnoms sur l’antennes, on a tellement passé de bons moment, que voir le groupe se détruire me ferait tellement mal au cœur. Voila donc à quoi se résume ma petite vie, peu ordinaire. Tnatôt la fille d’un milliardaire aux innovations scientifiques surprenantes, tantôt la muse des mafieux. En leur chatouillant le museau je risque souvent gros, mais je suis prête à tout pour dénoncer les périples de la contrée. Et malgré que je n’ai jamais eu la chance de la connaître, je suis certaine que ma mère serait fière de moi, mon père m’avait une fois conté le fait qu’elle n’aimait pas fréquenter ces vilains monsieurs, et qu’elle lui avait confié que si ce n’était pas pour sa famille, elle aurait bien longtemps péri dans un combat contre mafieux. Au final, ce n’est pas les costards cravates qui l’ont privé de sa vie, mais cette fichu maladie.
Dernière édition par Beatriz Alonzo le Dim 17 Mai - 11:05, édité 8 fois |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 12:16 | |
Définition de l'enfer pour Beatriz :L’enfer c’est sans doute un cauchemar dont je ne m’en réveillerai jamais. Bon c’est sur en soit, je n’ai jamais connu de pire moment dans ma vie, si ce n’est le fait d’avoir perdu un match de boxe, avoir une mauvaise note. Et sans doute que si j’étais plus âgé le fait de voir ma mère partir vers d’autre cieux aurait été cauchemardesque, étant petite je n’en ai pas vraiment souffert. C’est sur, que si par contre mon père perdait toute sa fortune et décidait de rejoindre ma mère, ou l’on me pointera du doigt dans la rue parce que je serais devenue la nouvelle Amy Winehouse de Beverly Hills, ou si je finissais vieille fille, ça serait l’enfer pour moi. Mais en même temps je me dis, que tant que ces choses je ne les ai pas vécu, ça peut ne pas être aussi pire que je ne l’imagine. Ah oui, sinon autre chose, je suis claustrophobe, donc l’idée de pouvoir être enfermé dans un endroit clos et noir, rien que l’imaginait j’ai des nausées et je n’arrive plus à respirer. Du coup, j’ai l’impression d’être une petite chochotte, je sais que la torture et la famine existe, et c’est un petit truc de rien du tout qui me met en sueur. Définition du paradis pour Beatriz :La définition pour le paradis est plus simple. Du moins, mon papa étant très croyants dans la famille a toujours dit que ma mère nous attendait là bas. C’est un endroit tellement parfait. L’imaginer révèle de l’impossible. Là-bas, les méchantes personnes n’ont pas leur place. Tu peux avoir tout ce que tu veux. C’est sur, c’est un endroit très utopique, et il faut vraiment y croire pour pouvoir accéder. Aussi, il faut faire le bien. J’imagine que c’est un endroit ou les mauvaises herbes n’existent pas, tout le monde est vêtu d’une robe blanche et soyeuse. Le matin quand tu t’y réveille, tes cheveux sont déjà coiffés. Bon après c’est sur, que si ça se trouve ça n’existe pas, mais je préfère enlever cette thèse de ma tête. Au moins, ça me donne moins peur de la mort. Taux de criminalité et pourquoi :Une engagée comme elle ne peut pas avoir un taux de criminalité. Le 20% à sa place, de nature combattante elle est toujours à la recherche du danger, et pointer une arme sur quelqu’un n’est pas ce qui la dérangerait le plus. Mais pour l’instant elle ne l’a jamais fait. Quant à ses crochet droit, que dieu les bénisse. Il faut dire que les sports de combats que plus jeune elle a fait, lui ont servi à quelques choses. Cela dit, c’est sur que la première fois où elle serait emmener à tuer quelqu’un, cela risquerait (bien qu’elle pense le contraire) de la bouleverser et pas qu’un peu. Il faut dire qu’au-delà des apparences, et de sa haute estime d’elle-même, un petit cœur fragile subsiste. Si elle s’amuse à taquiner les criminels du pays, ce n’est certes pas seulement pour s’amuser. En effet, une part d’elle-même ne les a pas accepté, et ne supporte pas cette injustice de la loi du plus fort. Les autorités n’agissant pas très souvent, elle a trouvé moyens plus facile de dénoncer ces mouvements plus qu’illégales. En croisant les doigts bien sur, pour que ses nouveaux fans deviennent également de bons partisans. ▬ Prénom/ Surnom:Loveboyz ▬ Age:18 ans ▬ Votre avis sur New York, The Dark Side: J'aime ▬ Commentaire?:▬ Où avez-vous connu le forum ?:Sur Bazzart ▬ Niveau de RP: Assez bon ▬ Connexion:Très souvent, 6j/7 ▬ Code du règlement:- Spoiler:
Ok by Elixir
▬ Multicompte: Non c'est mon premier personnage
Dernière édition par Beatriz Alonzo le Dim 17 Mai - 10:40, édité 4 fois |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 12:17 | |
▬ Exemple de RP:- Spoiler:
Sacré petite. A l’heure qu’il est, elle était sans doute entrain d’en faire voir de toutes les couleurs à sa grand-mère. Une dame à la patiente très limitée d’ailleurs, et Cléo en avait fait les frais plus jeunes. Va savoir si elle ne la fait pas sortir de la maison, après une terrible crise de l’enfant. Mais, la maman grecque chassa cette image mauvaise de sa tête, sa mère était incapable de se mettre en colère contre sa petite fille. A vrai dire, elle lui vouait un amour plus profond qu’elle lui avait donné à elle enfant. Je ne dis pas non plus que Cléo était un enfant mal aimé, ce qui serait absurde surtout lorsqu’on voit la décoration du salon de ses parents qui ne tourne qu’autour de photos d’elle. Des photos parfois compromettante, comme celle sur la cheminée où elle devait avoir 5/6 ans, et était entrain de faire pipi derrière un arbre. Elle avait tenté de faire enlever cette photo, mais à chaque fois ses géniteurs la remettaient. Enfin, on les critique mais elle n’était pas mieux avec certains portraits de Sacha, qui pouvait lui en vouloir le jour où elle les sortirait pour le montrer à son futur copain. C’était donc ça être parent, attendre d’humilier son enfant avec des photos que l’on trouve mignonnes mais qui peuvent être audacieuses pour l’évolution de sa vie sociale. Bien, il n’était pas non plus exclus que la brune aux yeux bleus avait également vu les fesses rosées du jeune Haros à l’âge de leur petit trésor. Le jour, où sa maman le lui avait montré cela, il était mort de honte le pauvre.
Que de souvenirs ! Des souvenirs, qu’il était peut être temps d’archiver au lieu de continuer à se morfondre sur un futur inexistant. Cléo avait bien tôt compris qu’il fallait tourner la page, mais l’obstacle était bien plus facile à dire qu’à faire. Il y avait tellement de chose qui lui rappeler son premier amour. D’abord, le fait qu’elle soit revenue ici, la ville où tout s’était passé. Ensuite, elle ne pouvait s’empêcher d’être coupable lorsque la petite Sacha se mettait à poser des questions, à demander quand est ce que son papa allait revenir. D’autant plus qu’elle n’avait même pas le courage de le lui demander. C’était d’ailleurs bizarre le fait que là, maintenant, tout de suite, ils soient entrain de se parler face à face. Tandis qu’au fond d’elle, elle avait tellement de chose à se reprocher, mais également tellement de chose à lui dire. Elle avait reposé son regard bleuâtre sur lui. Il semblait d’ailleurs surpris du fait qu’elle n’avait pas cherché à retrouvé l’amour. Du moins, à ne pas l’avoir connu de nouveau. Elle bougea de droite à gauche la tête, avant de rajouter, aussi gênée que lui malgré que les raisons soient différentes :
« Difficile de te remplacer. »
Faut croire qu’aussitôt prononcer, aussitôt elle eut l’impression d’avoir été de nouveau stupide. Et le rose ne tarda pas à regagner ses joues quelques secondes, ce qui lui coûta un petit mouvement de tête vers la droite, histoire de ne pas avoir à faire au regard de son ex-copain-futur mari –premier amour – fiancé. Tant de mot pour ne décrire qu’une seule personne. Elle détestait le fait qu’il est toujours une aussi grande influence sur son comportement. A l’époque, il n’avait pas besoin de la bassiner beaucoup, pour arriver à savoir tout ce qu’elle avait dans la tête, ceux en toute innocence. Sans même chercher à savoir vraiment ce qu’il veut savoir, il arrive à avoir une réponse claire de la petite hypnotisée. Compliqué tout ça, j’en parlerai à mon professeur de philo. Elle avait reposé ses yeux qui avaient trouvé pour objective un enfant et son père un peu plus loin sur lui (ma phrase est longue désolé). Il conservait donc tous les chefs-d’œuvre de leur fille non-artiste. Elle avait presque envie de pleurer sur ce coup. C’était trop mignon, mais elle se retint. C’était également un truc de parent. Se sentir obligé de garder tout les cadeaux de son enfant, même s’ils méritent de se retrouver dans une corbeille. Malgré tout, elle tenta de rester la plus normale possible en finissant par dire :
« C’est tes gênes ça…Au faite, Il faut vraiment que tu passes. Je l’ai laissé avec ma mère là et je m’inquiète déjà de ce qu’elle peut lui faire faire là. »
Elle haussa un sourcil, en esquissant un petit sourire. Elle n’avait cela dit pas hérité des gênes passives de son père, à cause de son envie toujours de tout contrôler comme sa mère. En même temps, c’était à peut prés chez toutes les filles, hein ? Bref, elle se rendit compte qu’en effet elle ne lui avait jamais révélé ce qu’elle était devenue. A l’époque, elle lui disait qu’elle voulait faire sa propre galerie d’art, voyager dans le monde et ne sais quoi d’autre. Mais les temps change, et :
« Je suis modéliste. Ça n’est pas vraiment quelque chose que j’avais envisagée autrefois. Et toi ? Je peux t’appeler Docteur Haros ? »
Cléo se rappelait lorsqu’il disait que plus tard, il serait un grand médecin. Elle avait appris qu’il avait poursuit son rêve, chose qui l’avait rendu heureuse pour lui.
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| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 12:45 | |
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 12:57 | |
Welcome on NY-TDS Beatriz !
Enjoy & Have fun ^^ |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 13:09 | |
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| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 13:49 | |
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| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 13:50 | |
Bienvenue sur le forum et merci de ton inscription. Nous sommes là pour t'aiguiller si tu rencontres des problèmes pendant l'élaboration de ta fiche, n'hésite pas à nous faire signe, bonne chance. |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 14:11 | |
Bienvenue à toi et bonne continuation pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 14:23 | |
BIENVENUE ! Merci de ton inscription. Bon courage pour ta fiche =) |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Sam 16 Mai - 20:23 | |
Merci à tous |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Dim 17 Mai - 10:41 | |
Je crois avoir terminé |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Dim 17 Mai - 10:48 | |
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| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Dim 17 Mai - 11:23 | |
Merci |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Dim 17 Mai - 11:26 | |
C'est tout bon, présentation validée ! =D J'aime bien l'idée de la radio pirate et que personne ne sache qu'être est la Culebra, c'comme pour mon LV, personne ne sait qu'il hacke (à part Evie T.T"). Bref. J't'ajoute à ton groupe et tout et tout... Bon jeu ! =D |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Dim 17 Mai - 11:27 | |
J'ai oublié de te demander : Quel groupe ? T.T" |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Dim 17 Mai - 11:28 | |
Oh merci beaucoup Les Citizens |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] Dim 17 Mai - 11:29 | |
C'est bien ce qu'il me semblait. Je verrouille ta fiche et t'ajoute à ton groupe. =) |
| | | | Sujet: Re: BEATRIZ • faisons connaissance [100%] | |
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| | | | BEATRIZ • faisons connaissance [100%] | |
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