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|| Identité du personnage ||

~ Nom : Taseua (ou littéralement ‘œil du tigre’ en laotien)
~ Prénom : Kei
~ Âge : 18 ans
~ Nationalité : Nippo-laotien
~ Groupe : Les touristes & étrangers
~ Statut et activité dans la vie : Étudiant et serveur le week-end (pour arrondir les fins de mois)
~ Orientation sexuelle : À première vue il est hétérosexuel, quoique...

|| En savoir plus ? ||

~ Histoire :


Connaissez-vous le Laos? Vous savez, ce petit pays dans le sud de l’Asie, coincé entre la Thaïlande, le Viêtnam, la Chine et le Cambodge? C’est, paraît-il, le pays d’Asie avec le plus d’ethnies différentes. Il faut dire que vu son emplacement, ce n’est pas non plus étonnant, sans compter l’invasion japonaise dans les années cinquante qui certainement a joué sur ce grand métissage. Qu’importe, tout cela n’est pas le plus important dans notre histoire. À vrai dire, ce paragraphe n’a servi qu’à vous évoquer ce petit pays dans lequel tout commença…

1970. Ce jour-ci au Laos était un jour en pleine période de moisson. Imaginez alors le temps de chien que ce devait être, à pleuvoir des cordes tous les jours. Et puis une maison. Une grande maison avec des murs pour protéger ses habitants et plusieurs chambres, assez aisée donc au Laos. À l’étage, une jeune femme de tout juste vingt ans, enceinte. Son ventre est assez gros et on devine bien qu’elle est sur le point d’accoucher. Son conjoint n’est pas loin avec leur petite fille, quand soudain, des contractions. Situation assez banale, mise à part qu’un heureux évènement allait arriver. Ainsi, après une bonne petite heure de douleur, l’enfant était là. Encore une petite fille, d’ailleurs. C’était amusant comme elle avait l’air de ressembler à sa mère, comme avait dit le père en la voyant. Par ailleurs, c’est lui qui choisit son prénom: Vanhfon. En français, ‘jour de pluie’. C’est vrai, ça manquait un peu d’originalité vu les circonstances de cette naissance, mais qu’importe, au Laos on donne en quelque sorte à son enfant le prénom qu’on veut. Alors voilà. Maintenant vous savez comment est née la seconde enfant de la famille Taseua.

La famille Taseua, vous savez, était assez riche, mais pour en arriver à là il faut aussi avouer que les parents s’étaient démenés. Ils n’étaient même pas souvent au foyer à cause de cela et c’étaient donc des nourrices qui s’occupaient de leurs enfants. Et en parlant d’enfant, lorsque Vanhfon eut fêté ses seize ans, elle avait déjà quatre petits frères et sœurs. À seize ans, Vanhfon était aussi devenue une très jolie jeune fille, mais avec son caractère imposant, bien peu de garçons osaient s’en attirer les faveurs, et tant mieux puisque justement elle avait la tête bien ailleurs qu’aux futilités de l’amour. Elle, elle avait juste l’envie de réussir sa vie, aller ailleurs, voyager, pas à se trouver un mari qui la planterait là, au Laos pour toute sa vie. Ce n’était pas qu’elle n’aimait pas son pays, au contraire absolument pas, elle en était même fière, mais elle avait simplement besoin de changement. Quoiqu’un peu de lassitude la prenait aussi certainement. À toujours vivre avec des nourrices, elle aurait préféré profiter plus souvent de ses parents et c’était peut-être inconsciemment cette idée qui la poussait à vouloir changer d’air. Oublier ça. Oublier à quel point l’argent ne pouvait pas toujours faire le bonheur des familles. Ainsi, lorsque Vanhfon eut atteint ses vingt ans, ayant assez souvent parlé de ses désirs de voyage à son père, ces parents décidèrent de l’envoyer ailleurs afin de lui faire plaisir d’une part, et d’une autre de lui donner la chance de réussir sa vie car il faut l’avouer, le Laos n’est pas un pays très moderne et avancé. Voilà comment Vanhfon atterrit donc au Japon…



Vanhfon ne parlait ni anglais, ni japonais. Difficile alors de s’intégrer rapidement à ce nouveau pays dans lequel on l’avait brusquement plongée. Mais qu’importe, il y aurait bien un moment où elle s’adapterait à cette nouvelle culture et à cette nouvelle langue. De toute manière, elle avait toujours su apprendre assez vite. De plus, tout l’argent dont elle aurait besoin serait envoyé par les soins de ses parents, de ce côté-là elle n’aurait donc pas à s’inquiéter de quoi que ce soit.

Le petit appartement de Vanhfon était situé à Tokyo, c’est-à-dire dans la capitale même de l’île nipponne, loin de la campagne dans laquelle elle avait l’habitude de vivre auparavant. Au Laos, en plus de leur grande maison à Vientiane, ses parents avaient une maison au bord de l’eau. C’était une maison sur piliers, sans murs. La nuit, on était même obligé de dormir sous des moustiquaires pour éviter de se faire piquer dans son sommeil par on ne sait quelle bestiole, mais ce n’était rien de bien gênant. Au contraire, la jeune fille adorait cette maison, plus encore que l’autre. Durant les périodes de moisson elle aimait y aller et dormir là-bas. Même si ce n’était pas tout à fait confortable, étrangement, Vanhfon avait toujours adoré le silence serein de la nature qui s’y trouvait. À Tokyo, ce n’était pas du tout ça, mais vu ce que ses parents avaient fait pour elle, elle ne pouvait pas se permettre de s’en plaindre. D’ailleurs, sa vie au Japon ne fut pas des pires. Ce furent même les meilleures années de sa vite. En effet, bien vite, Vanhfon avait su se faire des amis, et même un petit ami.

La jeune femme appréciait de faire un tour dans une maison de thé après les cours. Elle y restait souvent une bonne demie heure, et même toute une heure lorsqu’il pleuvait, car elle prenait à ces moments-là le temps d’observer la pluie tandis qu’elle buvait. Ça lui rappelait toujours le Laos. Petite pointe de nostalgie qui la faisait chaque fois sourire. Puis un jour, un jeune garçon, de quatre ans son cadet, l’avait abordée en remarquant qu’une jolie fille comme elle était seule. C’était un de ces jolis garçons qui aurait fait tomber plus d’une fille à l’époque si ce n’est encore maintenant. C’est vrai, il était mignon et à l’instant même où elle en avait fait la rencontre, Vanhfon l’avait trouvé non seulement tout à fait charmant, mais aussi très charismatique. Après ce jour-là, ils prirent par ailleurs l’habitude de se voir presque tous les soirs, jusqu’à ce que leur relation devienne de plus en plus intime. Certes il était plus jeune qu’elle, ce qui était mal vu au Japon, mais elle s’en moquait tout autant que lui, et d’une certaine manière, Vanhfon ne faisait même pas sa petite vingtaine d’année. Vous savez, c’est étrange comme elle n’a jamais pu oublier son visage. De même, elle n’a jamais pu oublier cette dernière nuit qu’elle avait pu passer avec lui.

Soir d’hiver. Vanhfon avait invité son petit ami chez elle. Personne n’était au courant de la vérité de leur relation, mais beaucoup devaient probablement s’en douter. Ce devait faire maintenant près de deux mois qu’ils se voyaient, et ils avaient décidé de faire le grand pas ensemble. Elle se souvient encore de la douceur avec laquelle il avait pu la traiter à ce moment-là, elle se souvient aussi de cette première fois comme si c’était hier, et de leur rapport comme si ça avait été le meilleur de toute sa vie. Peut-être parce que lui elle l’avait véritablement aimé, contrairement à ceux qui suivirent. En effet, ce garçon fut aussi celui qui lui brisa le cœur quelques jours à peine après qu’ils aient couché ensemble. Le pire dans tout ça, c’était qu’elle était tombée enceinte. Vanhfon aurait toujours voulu le lui dire, mais après ce soir-là, elle n’eut plus jamais de ses nouvelles sans qu’elle ne sache pourquoi. Il l’avait simplement lâchement abandonnée là, avec ce gosse. Quel salop. Et pourtant, elle l’aime toujours, cet homme. Naïveté, quand tu nous tiens…



Vanhfon avait maintenant vingt et un ans. Son amant, lui, devait en avoir dix-sept, mais qu’importe, elle n’arrivait plus à le contacter, et lui ne faisait rien non plus pour. Cependant elle pensait toujours à lui. Et le jour de la naissance de leur fils, elle le réclama même. L’accouchement, en plus de cela, avait été terriblement long, presque insupportable. Un évènement de sa vie qu’elle ne voudrait certainement pas recommencer même s’il avait su lui apporter un grand bonheur. En effet, Vanhfon venait d’avoir un fils. Sur l’instant, en le voyant, elle s’était exclamée que c’était dommage qu’il ne soit pas une fille, qu’elle aurait préféré ça, mais qu’au moins, ça lui donnerait l’occasion de lui donner un prénom proche de celui de son père, en souvenir de lui. Et pour cause, l’enfant fut nommé Kei. Un joli bébé dont elle prendrait soin comme de la prunelle de ses yeux.

Si vous saviez l’éducation qu’a pu recevoir Kei. Certes celle-ci fut bonne. Vanhfon lui apprit les bonnes manières, à parler, à marcher, à lire et à écrire, bref, tout ce qu’un enfant nécessite pour pouvoir bien s’intégrer socialement. Mais derrière tout ça, elle avait dépeint sur lui cet esprit quelque peu dérangé depuis qu’elle avait été abandonnée par l’homme qu’elle avait osé juger comme son âme sœur. Et pour preuve, elle qui avait désiré une fille, sans doute parce qu’un fils lui rappelait trop cet homme, s’était mise en tête de le traiter comme telle. Étrange symptôme, cela est vrai. En réalité, lorsqu’elle baladait son enfant, elle l’habillait parfois d’une jolie petite robe, faisant alors croire aux passants qu’elle était la mère d’une adorable et jolie petite fille. Quoi de mieux pour perturber la future personnalité de l’enfant?



À présent que vous a été contée la vie de la très jolie Vanhfon Taseua, de sa naissance jusqu’à l’accouchement de son seul et unique enfant, nous allons vous conter celle du véritable personnage central de toute cette histoire: Kei Taseua, son fils.

Né à Tokyo, capitale du Japon, un joli jour d’été, Kei fut dés sa naissance un enfant très calme. Lorsqu’il était bébé, on ne pouvait pas prétendre qu’il était tout à fait perturbant. Rares étaient les nuits où il dérangeait énormément sa mère, et même, il ne pleurait pas souvent pour un bébé. De ce fait, Vanhfon avait parfois pu croire qu’il était malade, mais chaque fois les médecins ne remarquaient rien d’anormal chez lui. Non, c’était simplement sa nature d’être étrangement trop calme malgré son âge. Mais à quoi bon s’en plaindre? Un bébé comme lui, bien des mères en rêveraient! Ensuite, quand Kei devint un enfant, ce fut sans doute à partir de cette période qu’il commença réellement à forger sa personnalité actuelle.

Comme raconté précédemment, Vanhfon avait pour habitude de travestir son fils. Ainsi, lorsque celui-ci devint un petit garçon, à peine âgé de sept ans, il appréciait déjà de faire les boutiques avec elle et d’essayer, une fois rentré à la maison, les maquillages qu’elle pouvait acheter. De même il priait souvent sa mère pour qu’elle lui achète de petites robes ou même de jolies jupes. Souvent, celle-ci se devait de refuser lorsqu’elle remarquait les regards étranges des passants ou des caissières face aux demandes étranges de son fils. À vrai dire, pour un petit garçon qu’on a toujours habitué à porter des robes, ce genre d’accoutrement lui semble plus que normal. Cependant, lorsqu’il arriva à l’école et que ses camarades de classe furent au courant de ses tendances déplacées, n’imaginez même pas les moqueries dont il pu vite souffrir. En effet, de la petite école, Kei n’a que de très mauvais souvenirs. Lui qui était un enfant très calme et posé n’était pas non plus très violent et se faisait assez facilement marcher sur les pieds. Aujourd’hui il lui serait encore impossible de compter le nombre de fois où il a pu être mis de côté par ses camarades, ou le nombre de fois où il a pu être enfermé dans les toilettes, sous prétexte que les fous se doivent d’être séquestrés. Néanmoins, si un chose est sûre, c’est qu’après avoir quitté la petite école, Kei n’évoqua plus jamais ses habitudes de travestissement, ce qui n’empêcha pourtant pas qu’il continue.

Kei était devenu un adolescent. Il était fin, et beaucoup de personnes avaient déjà pu lui faire la remarque qu’il avait une carrure assez féminine, ce qui réjouissait d’une certaine part sa mère. C’était aussi un très joli garçon et qui plaisait souvent aux filles. Sans doute était-ce aussi dû à sa personnalité très influencée par la féminité de sa mère qu’il semblait si agréable aux yeux de ces demoiselles. Effectivement, des garçons plus ouverts aux idées et aux goûts féminins que Kei étaient durs à trouver. Franchement, combien de filles ne rêvent pas d’un homme capable de faire du shopping avec elle sans la prier de rentrer un quart d’heure après? Et combien ne rêvent pas d’en avoir un capable de la comprendre, même dans ses histoires d’amour ou d’amitié? Très peu. Voilà pourquoi Kei plaisait franchement à la gente féminine, ce dont il n’abusait pas par ailleurs. En fait, c’était un garçon assez réservé, sans doute à cause de ses mauvais rapports avec ses camarades de classe lorsqu’il était enfant. Mais il n’était pas non plus complètement reclus, rassurez-vous. Cependant, ce caractère assez réservé avait tendance à trop facilement briser la moindre de ses relations. Ainsi, jamais Kei n’en eut une véritablement stable. À vrai dire, à quatorze ans, il ne se souciait pas non plus beaucoup de ses relations amoureuses. Ce qui le préoccupait le plus à cet âge-là fut son père. Cet homme dont il ne connaissait rien et dont sa mère refusait trop souvent de lui parler. Elle n’avait même pas su daigner lui dévoiler son prénom. D’ailleurs, ce manque de paternité ne tarda pas à jouer sur lui.

Si les relations amoureuses de Kei ne tenaient jamais, c’était aussi parce qu’il avait trop souvent tendance à parler de son père à ses petites amies, ce qu’elles n’appréciaient plus beaucoup à partir d’un certain temps, puisqu’il se plaignait chaque fois de ne pas le connaître, et ne cessait de mettre en valeur leurs pères à elles, presque comme s’il idolâtrait alors cette image paternelle. Ce dérangement psychologique, un peu trop marqué, participait aussi à son caractère renfermé. Cette sensation de manque, qui pousse à se morfondre à se couper du reste du monde. Vanhfon l’avait remarqué, et malgré tous ses efforts, elle n’avait jamais su retirer de la tête de son fils cette obstination à retrouver un jour son géniteur, jusqu’au point où elle ne décida même pas de s’opposer à lui le jour où il décida de partir à sa recherche…

Depuis deux ans, Kei avait de plus en plus développé cette étrange obsession pour son père. De lui-même, il s’était mis à enquêter sur son sujet, sans pourtant connaître son nom. Inutile de demander par quels moyens il avait réussi à réunir tant d’informations sur cet homme qui lui était inconnu après tout juste deux petites années. En réalité, les moyens qu’il avait utilisés pour cela n’avaient pas toujours été des plus saints, bien que les pistons y avaient joué aussi. Des connaissances au Japon, Kei en avait obtenu énormément même si elles n’étaient pas toujours fiables. Ces connaissances, par ailleurs, il ne les avait pas toujours faites sous son vrai nom, ni sous sa véritable personnalité. Souvenez-vous donc de son enfance, lorsque sa mère le travestissait en jolie petite fille. Et bien à seize, dix-sept ou dix-huit ans, imaginez maintenant la jolie femme que cela pourrait obtenir. En effet, afin de pouvoir se glisser partout, puisque tout endroit n’est pas aussi facilement accessible pour les hommes que pour les femmes, Kei avait finit par se créer une seconde personnalité féminine, baptisée Megumi. Une demoiselle sulfureuse aux cheveux noirs et légèrement ondulés, et aux lèvres assez pulpeuses toujours repassées par un rouge à lèvre rouge. Un homme si bien déguisé en femme que n’importe qui s’y laisserait méprendre, sans aucune exception, notamment les hommes, sans compter que sa voix est quant à elle déjà assez claire pour ne pas paraître trop masculine. Cependant, jamais Vanhfon ne fut au courant de l’existence de cette demoiselle, et bien heureusement, car n’imaginez pas le choc qu’elle risquerait d’avoir à cette nouvelle. Non, justement, celle-ci se rendait heureuse chaque fois que son fils pouvait découvrir quelque chose de nouveau sur cet homme qu’elle avait tant aimé. Une information sur les lieux qu’il avait pu fréquenter après avoir disparu, une information sur des gens qu’il avait pu aussi côtoyer... N’importe quoi sur son sujet la poussait chaque fois un peu plus à finalement aider son fils dans ses recherches plutôt que de le stopper. Voilà donc pourquoi elle avait fini par ne plus du tout s’opposer à lui.

Enfin, en 2009, Kei, grâce à de nouvelles informations, a pu apprendre que son père s’en est allé aux Etats-Unis. Depuis combien de temps il l’ignore, mais il s’en fout. Tant que celui-ci est là-bas, c’est tout ce qui l’importe. Et d’ailleurs, il fut même prêt à tout abandonner au Japon, même sa mère, pour partir aux Etats-Unis, plus prêt de son géniteur tant désiré. Il a même été jusqu'à améliorer un peu plus son anglais pour cela, bien que son petit accent est toujours présent.

À présent vous savez tout. Des origines de Kei jusqu’à celles de son goût pour le travestissement, ainsi que ce qui a pu le mener jusque dans cette Grosse Pomme qu’on appelle New York. De sa vie actuelle, si vous désirez en savoir un peu plus, vous n’aurez plus qu’à faire sa connaissance.



~ Relations : Que dire des relations de Kei? Pour commencer, à propos de ses relations amoureuses, comme il l’a été dit dans sa biographie, celles-ci n’ont jamais su être véritablement stables. La plus longue a dû durer près d’un mois et demi. C’était avec une fille un peu dérangée elle aussi, bien que de façon moins intense que lui. Cette fille fut aussi celle avec laquelle Kei a connu sa première relation sexuelle, à l’âge de quinze ans. C’est assez jeune, mais après elle, Kei n’a pas eu beaucoup de relations sexuelles, et bien qu’il lui est mainte fois arrivé de séduire ou de se faire séduire par des hommes sous la personnalité de Megumi, il n’a jamais eu de relation avec ces derniers, donc aucune relation homosexuelle. Enfin, vis-à-vis des relations amicales de Kei, il n’en a pas non plus connu une tonne. Certes il a eu des amis, mais depuis qu’il a développé cette obsession pour son père, il en a perdu énormément, et pire encore depuis qu’il est parti aux Etats-Unis, il les a tous abandonnés. Ainsi, ses relations amicales ne furent jamais plus fructueuses que ses relations amoureuses, en effet. Cependant, ça ne l’empêchera pas de se faire de véritables amis à New York, surtout que son obsession semble de moins en moins appuyée depuis qu’il est ici, peut-être parce qu’il sait qu’il se rapproche de plus en plus de son père.


~Physique : Si seulement vous saviez le nombre de fois où Kei a pu se faire séduire par les hommes, et cela même par des hétérosexuels. Étonnant, n’est-ce pas? Mais avec un physique comme le sien, pire qu'androgyne lorsque notre garçon se travestit, il ne pouvait pas non plus en être autrement…

D’une taille moyenne pour les femmes mais petite pour les hommes, Kei mesure environ un mètre soixante huit. Ainsi, comparé à bien des new-yorkais, il est clair et net qu’il semble minuscule et vulnérable, bien que cela ne soit en réalité pas vrai. Ce n’est pas parce qu’on n’entre pas dans la moyenne de taille des américains que l’on est si faible. Par ailleurs, lorsque Kei se travestit, c’est assez amusant comme les hommes peuvent brutalement sembler plus polis et chaleureux avec lui. Comme toujours, à la vue d’une jolie femme, ces derniers peuvent être capables de n’importe quoi et tant mieux, tant que cela ne va pas dans l’excès ou la perversion. Quoi? Notre petit Taseua se travestir? Si, si vous avez bien entendu. Grâce à sa silhouette fine et féminine, Kei est capable de très facilement se faire passer pour une femme et à vrai dire, jamais personne n’a déjà pu cerner son petit jeu. Tout le monde y croit dur comme fer, et les hommes comme les femmes! D'une certaine manière, rien qu’en tant qu’être de sexe masculin, notre garçon a déjà une apparence efféminée, alors ce n’est pas non plus difficile d’en jouer, voilà tout!

Certes, il n’y a pas que le corps de Kei dans tout son ensemble, qui semble féminin. Son visage en lui-même y joue énormément, fin et long comme celui d’une femme. Quant à sa bouche qui, il faut l’avouer est assez pulpeuse, il ne suffit qu’à y ajouter une touche de rouge à lèvre pour la rendre plus que tentante aux yeux de la gente masculine. Son nez, quoiqu’un peu trop large, donne à son visage par sa forme droite et légèrement plate un petit air enfantin et tout à fait charmant à notre garçon, placé bien au milieu sous ses jolis yeux bridés dessinés en amande et à l’iris aussi sombre que les ténèbres. N’oublions pas non plus qu’il s’épile les sourcils - comme beaucoup de japonais me direz-vous - et que cette preuve de coquetterie montre à quel point Kei prend soin de lui telle une femme, même si de nos jours l’esthétique devient de plus en plus accessible aux hommes. Ensuite, ses cheveux sont mi-longs et châtains mais coiffés d'une façon presque typiquement masculine, seul défaut que l'on prêterait à sa féminité. Cependant, lorsque Kei se travestit, il se coiffe toujours d'une longue perruque noire et ondulée qui descend jusqu'au-dessous de ses épaules. Avouons-le maintenant, n'est-il pas un joli garçon? Ou bien une jolie fille?


~ Caractère : La personnalité de Kei est assez complexe. D’ordinaire renfermé, il a plus ou moins du mal à s’ouvrir aux gens, cela dépend de la situation dans laquelle il les rencontre, mais aussi de la personnalité qu’ils reflètent car, malheureusement, notre garçon a la mauvaise tendance à trop se fier aux apparences premières des gens plutôt qu’à chercher à les connaître pour savoir s’il pourrait s’entendre avec eux ou non. De même, il lui arrive de marcher par intérêt dans ses connaissances, et donc à ne pas s’attacher à ces dernières et à ne développer aucun sentiment vis-à-vis de celles-ci. De toute manière, Kei a du mal à faire confiance en les gens et de même, peine à exprimer ses sentiments. Par ailleurs, il tente toujours d’afficher cette image de garçon froid et distant lorsqu’il se sent en danger ou en mauvaise compagnie, comme pour cacher sa propre faiblesse. Mais lorsqu’il se sent bien et en sécurité, il est capable de devenir plus chaleureux et sociable. Encore une fois, ça dépend de ses humeurs. Néanmoins, il faut savoir que Kei est une personne de confiance. Vous pouvez lui confier n’importe quel secret, même les pires du monde, il sera capable de les garder quitte à devoir contenir les moindres sentiments et émotions en lui-même. N’imaginez pas non plus par là qu’il ne vous vendra pas si vous avez tué quelqu’un, bien que cela dépendra de l’importance qu’il y accordera ou non. En plus de tout ça, Kei n’est pas un violent bien qu’il puisse être parfois agressif, et généralement, ce genre d’excès quand ils arrivent peuvent être très surprenants venant de lui. Enfin, pour en venir à sa seconde personnalité qu’est Megumi, cette fameuse femme sulfureuse et même fatale, prête à tout pour séduire si l’homme en question peut lui apporter quelques intérêts, celle-ci est largement opposée à Kei. Tout d’abord, elle est assez joueuse et moins sauvage que lui. De même, elle est plus agressive, semblable à une tigresse qui ne se laisse pas facilement faire et refuse de se faire marcher sur les pieds. Il lui arrive aussi parfois de se montrer comme dominante, n’appréciant pas beaucoup d’être soumise. C’est étrange, mais il semblerait que cette image totalement inversée de ce qu’il est vraiment est une façon de refouler le mal que sa mère a pu subir lorsqu’elle a été abandonnée, et comme une façon d’éviter d’être comme elle, femme trop naïve et trop faible pour avoir daigné oublier le père de son enfant, ou même pour se venger de lui. Néanmoins, la revanche n’est pas ce que Kei cherche à faire vis-à-vis de son père, il a au contraire une certaine affection pour cet homme.


~ Définition de l'enfer pour le personnage : L’enfer. Pourquoi est-ce que ça ne pourrait pas exister? Comme d’habitude on se rend toujours plus compte des mauvais moments de notre vie que des meilleurs, et de ce fait nous avons chaque fois tendance à plus être déçus que satisfaits. Pourtant ça ne devrait pas non plus signifier qu’en remarquant principalement le mal, nous devrions juger la vie si fade et insignifiante comme l’on ose dire que ‘la vie est un enfer’. Voilà le point de vue de Kei. L’enfer comme le paradis n’existe pas. Ce ne sont que de pures inventions de l’homme. De plus, il est athée, alors à quoi bon croire à ce monde d’en bas?


~ Définition du paradis pour le personnage : Le paradis n’est qu’une utopie, un fantasme, un mythe, une légende, etc. En un autre terme, le paradis n’est pour Kei qu’une idiotie de plus inventée par l’homme. Rien n’est jamais parfait comme rien n’est jamais pire que tout. Le monde est ainsi, tout est équilibré et il n’y a jamais plus de l’un que de l’autre, mis à part peut-être durant certaines périodes plus ou moins sombres ou illuminées. Inutile, donc, de parler de paradis avec notre jeune homme car vous risqueriez nettement d’être en désaccord avec lui, lui qui trouve que les gens qui osent croire au paradis sont des insouciants plus que naïfs.


~ Taux de criminalité et pourquoi : 50% -> Kei n’est pas le genre de garçon violent, loin de là. Très doux et affectueux en général, il peut cependant très vite se rebiffer si on cherche à lui faire du mal, en tout cas lorsque celui-ci est physique. En effet, notre garçon ne se défend que trop peu lorsque c’est psychologiquement qu’il est blessé. Il aura même plutôt tendance à tout contenir en lui-même et à ne rien dire. De ce fait, lorsque quelque chose l’énerve vraiment, c’est sans doute toute une colère accumulée qui éclate, et à ces moments-là, il est vrai que Kei peut brusquement devenir plus violent qu’à ses habitudes. Cependant, il faut noter qu’il use plus souvent d’agressivité sous la personnalité de Megumi que sous la sienne. Sans doute est-ce dû à cette image de femme fatale et de tigresse qu’il lui donne.

|| Le joueur et le hors-jeu ||

~ Prénom/Pseudo : Noodle =)
~ Age : 17…
~ Votre avis sur New York, The Dark Side : AHAHAH, c’est une blague! x]
~ Où avez-vous connu le forum ? Par l’une de ses admin’
~ Niveau de RP : Certainement plus que le nombre minimum de ligne imposé >__<
~ Exemple de RP :

Spoiler:

~ Connexion : 3/7
~ Code du règlement :

Spoiler:

~ Célébrité sur l'avatar : Saotome Taichi
~ Multicompte : Arf, non pas si vite, honey![/list]

BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE =DDDD
Ahlala, toi, je t'aime <3
Merci de ton inscription ma Nood' <3
Bon courage pour ta fiche.
Quand elle sera bien entamée ou finie, j'ajouterai le lien avec Keitaro x]

Bienvenue sur le forum. Ca y est les niaks nous envahissent, fallait s'y attendre avec LV comme piquet de propagande x)

Eh oh, c'pas ma faute, c'est Aberlin ! >_______<"

Ah mais si c'est berlingo ça change tout !

D'ailleurs je le dis ici et par avance mais un délai est accordé à Kei x]
Enfin, dans le sens où comme elle me l'a dit via MSN, et qu'elle le redira sûrement ici, elle risque de mettre plus de deux semaines à faire sa fiche.

Bienvenue !!!

Merci beaucoup à vous trois!!! =D
Et merci beaucoup aussi pour le délai =)

Muahahah, je t'aime aussi L-V!!

Aaaaah, et désolée de vous apporter un yeux-bridés de plus dans la Grosse Pomme, tu m'en veux, Cash? é___è (au fait, Cash = Dax???)

Je ne t'en veux pas, c'est juste que mon perso n'en est pas à sa première vie et qu'à l'époque ou il vivait à Las Vegas il était un chasseur de niaks invétéré ^^

(of course =))

Est-ce que ça signifie que j'en ai à craindre pour les petites fesses de Kei? x]

(Yeeeaaaah, I'm the best! xD *sort*)

Peut-être ^^
Bonne chance pour la suite de ta fiche.

Kei Taseua a écrit:

Muahahah, je t'aime aussi L-V!!

Wow <3
On se marie quand ? =D XD

Allez, bon courage pour ta fiche -et ton dossier sur le kabuki aussi- T.T'"

bienvenue parmi nous

Bienvenue sur le forum
Amuse toi bien et bonne chance pour ta fiche.

Bienvenue

Merci encore à vous trois pour votre bienvenue ^^

Et merci à Cash pour la fiche =P

Pour L-V... bah écoute, on se marie dés que tu veux, mais je te laisse faire tous les préparatifs alors xD
(et merci aussi pour le dossier =) )


Bon, voilà sinon pour tout le monde, je pense avoir terminé ma fiche, à moins que vous y voyez quelque chose à changer, n'hésitez pas ^^ (en plus la fin de l'histoire est carrément à chier, manque brutal de créativité X__X)

J'vais m'occuper d'ta validation <3

Et on se marie quand t'as fini ton dossier et passé ton bac, en attendant je fais la bringue, moi ! XD

EDIT : J'fais ça tout à l'heure, et n'oublie pas d'aller signer le règlement x)

Oki doki Mrs!! ^^

Arf le règlement oui j'oubliais X__X Merci!!! ^^"

Moi j'dis pas bienvenue ...
Tu t'es mariée avec Svenn... Okay
Pas tout le quartier bordel x)
Et ta femme ?

>w<

*Sors*

Finalement Bienvenue

Roh, à peine arrivée, si je comprends bien, LV est déjà pas mal marié(e) xD

Désolée Evie! >___<
En tout cas merci pour la bienvenue!! =D

J'aurais tendance à dire que le taux de criminalité de Kei est un peu haut, mais d'après ce que je connais de ton personnage, ça va x)

Envoie moi un MP pour me dire si tu veux que j'ajoute ton perso au PV correspondant x]

Et fiche validée, très belle fiche, d'ailleurs (j'en attendais pas moins de toi, ma Nood' x))
Bon jeu ! =)