-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Partagez
 

 MAXWELL C. ♣ See what I see

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 16:24


_« Maxwell CALAVARY »_

« [Il] a quelque chose que les autres [hommes] n'ont pas, une sorte de solitude intérieure qui ne demande même pas à être comblée. [Toutes] les [femmes] voudraient s'y essayer. [Il] a raison de ne pas les laisser s'approcher. [Aucune] n'y parviendrait. »


Feat Christian BALE
MAXWELL C. ♣ See what I see 122cgfd
© CRISTALLINE
      _____ This is who I am _____

    Trente-quatre ans. Américain. Hétérosexuel. Présentateur TV. Orphelin. Quatre fois divorcé. Né un 11 septembre. A Las Vegas. Abhorré par les uns. Adoré par les autres.
    Des informations génériques pour ne pas dire que Maxwell est avant tout un « self-made-man », un homme s'étant construit de A à Z sans avoir à mettre un genou à terre, à transiger avec les uns, à négocier avec les autres, s'étant détaché du commun du mortel pour marquer le monde de sa propre emprunte, de sa marque cinglante d'amertume, de revanche et de franchise, un homme pareil à une voix enorgueillie d'expériences et d'observations toutes plus tranchantes les uns que les autres. Maxwell est autant un antihéros tragique qu'un simple mégalomane en puissance ; un maître de télécommunication et un simple pervers décadent d'orgueil et de rancune ; le roi de la rumeur comme le défenseur de la vérité ; le chaud, le froid, il éveille le commentaire, l'interrogation, la subversion, la conversation. Athée, religieux, pratiquant, abstinent, il dit ce qu'il pense, pense ce qu'il dit. Sans tabou. Sans retenue. Sans égard et sans délicatesse. Maxwell est la crainte de la censure comme une simple attraction, un électron libre et l'esclave du regard d'autrui. Moqueur, sarcastique, cynique, froid, solitaire, autarcique, lunatique, exigeant, entier, catégorique.
    Il est l'auteur de répliques assassines, le révélateur des secrets et intimes convictions, il fait et défait bien des réputations, réjouit le citoyen lambda et annihile les codes sociaux véhiculés par les plus adulés. Maxwell a construit un empire autour d'une personnalité insatiable, cannibale, vindicative, colérique et facétieuse, un jeu de prédateur redoutable à la seule force des mots et de l'esprit, comme une mauvaise guerre qu'il gagnerait des lèvres. Comme tous ces hommes qui, n'ayant jamais rien possédé, n'ont rien à perdre, Maxwell Calavary est hostile comme un kamikaze... même s'il ne frappe qu'une fois, nul ne s'en relèvera plus que lui.

    « Ma seconde femme disait de moi que j'étais comme un mauvais roman dont on adorait la forme mais dont on détestait le fond en priant pourtant, tout du long de sa lecture, que la forme parut moins agréable pour un fond moins amer. Elle était... d'une naïveté terriblement sublime ; les gens, toujours, se réfugient derrière les apparences ; les individus ne changent pas, nous grattons seulement davantage le vernis propret de leur existence ; à quoi bon leur faire perdre ce temps précieux ? révélons l'obscur visage derrière l'immaculé masque de nombreuses années de défiance. Puisque la société s'obstine à se couvrir des cendres de la désillusion, j'ai résolu de balayer l'encens dont on nous couvre et de craqueler la surface insipide vissé à nos regards pour en effacer les faux semblants, maquillage du monde, que rien ne puisse dissimuler la misère de chacun.
    Le mensonge est, bien sûr, un art formidable... mais rien ne vaut la passion salvatrice de la vérité. Et pourquoi ? Mais parce qu'à construire tout un monde sur un agencement soigneux de subterfuges additionnés , une vérité - une seule contre des milliers de mensonges - peut ruiner ces années d'efforts. Pourquoi, dans ce cas, tant s'obstinent-ils à mentir quand, comme je le fais, l'unique vérité, la plus froide et la plus tranchante, a toutes les violences conjuguées, toutes les victoires et cette amertume que, de toute façon, on ne saurait contrer ? La réponse est : le jugement. La raison s'appelle le jugement. Ce terrifiant regard posé sur soi. Ils détestent tous qu'on sache plutôt qu'on croit. Vous détestez que je sache plutôt que je crois ; vous détestez ce voisin qui vous a vu levé la main sur votre femme, cet inconnu qui a surpris vos cinq à sept avec le meilleur ami de l'homme à qui vous aviez promis une vie entière de dévotion, cet enfant qui dégrade son nom dans le vice et la débauche, ces amies qui parjurent votre prison dorée avec leurs libertés oisives, ces souvenirs, pareils à des lames, qui vous prennent à la gorge à l'évocation d'un simple fait divers, ce reflet insidieux chaque jour, ce miroir qui ne vous quitte pas, ces vitrines, ces fenêtres, jusqu'à l'aluminium, ces iris posées sur vous qui, d'un mot, pourraient transcender vos secrets... et savoir.

    Vous détestez que l'on sache, ça oui, mais vous aimez savoir.
    Alors, ce soir encore, efforçons-nous de déceler la vérité chez notre précieux invité... jusqu'au prochain, celui-là qui, à cet instant et en même temps que vous, veut savoir, tout savoir, et cela même en détestant l'idée que, bientôt, il pourrait être celui que l'on sait. »


    Introduction à l'émission du 14 avril 200#
La plus grande honte du personnage •
Contrairement à tout ce que l'on peut attendre de lui, ce n'est pas de la manière infecte dont il traite les gens qui lui fait honte, pas plus que la perspective d'avoir dû évincer beaucoup de monde dans son ascension, ou même de se servir d'autrui pour son propre compte, tout ça ne lui fait - pour ainsi dire - ni chaud ni froid. La seule chose qui transige avec son orgueil et qu'il n'admettra jamais, c'est la soigneusement dissimulée existence d'un jeune garçon de quelques huit années révolues pour qui il nourrit de rares sentiments ; Maxwell, l'homme de pierre, solitaire, insatiable et spécialement apathique, a enfanté ce qu'il ne peut reconnaître à la face du monde, Soren. La raison en est simple : il l'a abandonné.
Le garçon, issu d'une union clandestine, fût arraché au sein de sa mère par Maxwell lui-même qui la méprisait cent fois trop pour lui laisser le fruit de son propre sang. Il balaya la loi et arrangea son insertion dans le foyer d'un couple qu'il conditionna à cet effet. Parce qu'il entretient cet enfant depuis sa naissance à l'image d'un anonyme bienfaiteur, parce que Maxwell connaît la rudesse d'une enfance orpheline et marginale, parce qu'il ne peut supporter l'idée que sa chair et son sang puisse l'affecter comme être affecté par ce qu'il est, Maxwell ne peut revendiquer cet enfant comme le sien. Pour autant, c'est un bâtard qu'il aime, un fils illégitime dont il cultive l'évolution, l'apprentissage et le devenir.


Définition de l'enfer pour le personnage •
Parions peu, parions bien, Maxwell n'abhorre jamais rien davantage que ce qui, par réciproque, saurait défaire ce qui forme, à ce jour, ses victoires.
D'abord, l'anonymat. Il a réussi, il est reconnu, en mal ou en bien important peu. Le fait qu'il soit médiatisé n'est pas le plus important. Pour lui, ce qui compte plus que tout, c'est le fait de dénoter dans le paysage, de ne pas être un banal orphelin à l'avenir brisé, incapable, assisté, digne de pitié. S'il devait retourner à un état où il serait incapable de rien que de mener une vie fade, sans contrôle et sans regard, il y a tout à parier qu'il glisserait la froideur du canon d'un révolver sur sa tempe pour en presser la détente. Maxwell vit pour et par le regard des autres, a besoin, dans son esprit nombriliste, de se retrouver dans les iris de tous ceux qu'ils côtoient, et encore plus dans celles de ceux qu'il critique, et même lynche. Ne plus s'y retrouver serait tout bonnement de la torture, du poison.
Ensuite, la censure. Sociale, politique ou intime. Maxwell en est à un stade où il peut dire absolument tout ce qu'il pense des individus qu'il côtoie sans avoir à s'excuser, sans être passé au filtre, sans devoir se rabaisser devant ces gens qu'il méprise pour ce statut bien trop pompeux pour ce qu'ils sont finalement. Cette liberté de pouvoir s'exprimer, de pouvoir mettre des mots exacts sur sa pensée, c'est un statut qu'il a acquis avec difficulté et c'est, à cette heure, l'une des choses les plus précieuses dont il dispose. Dans un pays tout sauf démocratique à bien des égards, ce pouvoir de communication - et même de télécommunication - fait de lui une sorte de demi-dieu, un messie et même un gourou, un être capable de ramener ceux que l'on croit hors de portée à leur état de simples êtres humains, exactement comme y aspirent des milliers - et même des millions - d'anonymes derrière leur poste de télévision.


Définition du paradis pour le personnage •
Donnez à Maxwell Cavalary un public et une cible - et, à plus forte raison, plusieurs - et vous faites de lui un homme comblé. L'effet n'en est que décuplé lorsque le tout survient sur un plateau de télévision sous les objectifs de dizaines de caméras, à destination de millions de téléspectateurs. C'est un homme de grand écoute, séducteur comme pas deux, il sait parler aux gens, il sait comme les amener à penser d'une façon et pas d'une autre, comme manipuler ls attitudes et réactions humaines jusqu'à démultiplier ses possibilités de distraction. Dans ces cas-là, Maxwell est exactement comme un gamin à qui l'on remet des tas de jouets dont il peut faire absolument tout ce qu'il veut. Il a cette manière d'utiliser son auditoire, de dire les choses pour en amener d'autres, de poser des questions pour obtenir d'autres réponses, et surtout de dire ce que tout le monde veut entendre.
Il aime prendre des victoires, les arracher, et complaire autrui dans sa défaite. En tant que sorte de mâle alpha, Maxwell n'aime rien davantage que rabaisser ses rivaux, hommes ou femmes, et être le sujet de l'adoration comme de la haine. Parce que c'est l'indifférence qu'il ne supporte pas, la moindre attention lui suffit. Détruire une réputation, obtenir des faveurs, se construire des débiteurs, cultiver le mystère d'autrui pour le balayer d'un vif rai de lumière... Maxwell est fourbe et, en tant que tel, rien n'a davantage la saveur du Paradis que le succès d'une de ses fourberies.


Crimes déjà commis •
Blanc comme neige. Immaculé. Innocent jusqu'au bout des ongles. Et beaucoup savent comme c'est rageant de n'avoir rien à déterrer à son sujet, aucun méfait, aucune malversation, pas même des relations qui, quoi que louches, sauraient affectées son image. Rien. Casier vierge. Zéro pointé. C'est en faisant de la transparence son credo, et du secret un art muet entre ses mains, que Maxwell en est capable, à ce jour, de faire sortir les cadavres des placards pour tout à chacun... sans qu'on en puisse lui rendre la pareille de la sorte.


Dernière édition par Maxwell Calavary le Dim 18 Avr - 16:19, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 16:25

    _____ Wanna know more ? _____

Une chanson pour commencer cette présentation ? • Rape me ▬ Nirvana

Tu n'auras pas d'autre Dieu que moi.
...sauf si tu es assez narcissique pour rivaliser.

Le talon frappa le sol lambrissé d'un bruit atténué qui fût désagréable à mon oreille. Cette discrétion, quelle injure. Quand j'entrais en un lieu, j'aimais à ce que nul ne l'ignorât et la raison en était simple : l'essentiel de l'impression qu'on laissait aux individus se jouait dans l'introduction que l'on faisait de soi. Dérisoire, pensez-vous, mais voyez comme je m'en allais vous faire mentir par la seule intervention de ce jeune homme, là, encore posté derrière son écran d'ordinateur qui, ne m'ayant pas vu arriver, allait se voir passer le savon de sa vie. Mon rôle dans tout cela n'était pas de le dispenser, mais de le provoquer.
MAXWELL C. On téléphone. On prend rendez-vous. Et ça n'empêche personne de vous recevoir comme le dernier des parias, lâchai-je dans un soupir excessif. Je dois peut être prévenir que je suis arrivé, aussi ?
EVAN J. Mr Cavalary ? fit-il en levant les yeux vers moi, quittant précipitamment son siège pour venir à ma rencontre. Je... enfin, vous n'étiez pas attendu avant...
MAXWELL C. Peut être devrais-je repartir. Est-ce ce que vous suggérez ?
Il s'en défendit immédiatement comme si, de son seul silence, les foudres de tous les dieux auraient pu s'abattre sur lui. Ce fût désopilant. Très franchement. Inspirer cette crainte avait quelque chose de simplement grisant ; je n'avais rien à envier au dernier des junkies de ce bon vieux New-York. Cela dit, le poisson que je visais n'était pas cet insignifiant ; si faible, si aisé, profondément futile et distrayant l'espace d'une ou deux secondes, au plus. Celui que je venais chercher jusqu'en ces lieux méritaient mes soins les plus précieux et les plus suspicieux.

Je fus d'ailleurs introduit dans son bureau quelques minutes ensuite, trouvant encore à me plaindre de l'accueil que l'on m'avait servi dès mes premiers instants en ces lieux. J'insistais, face à mon interlocuteur grisonnant, sur le caractère tout bonnement offensant de cette intromission qui aurait, je le lui assurais, tôt fait de rendre hostiles les négociations à venir. L'homme trapu fustigea son assistant pour mon bon plaisir, cherchant de toute évidence à satisfaire mon appétit carnassier ; je ne finis pas tant cet appétit dans ce cirque grotesque que dans la mise en scène volontiers méprisable que mon hôte me servit comme si j'avais été assez naïf pour me sustenter d'un lynchage dans l'intime d'un bureau.
Je lui fis part de cette observation qui glaça son visage disgracieux et le rendit défensif. Cette position me le rendit sympathique, suffisamment pour que je pris la peine d'échanger quelques banalités en m'installant dans le fauteuil jouxtant son bureau. J'aurais tout à fait pu prendre place dans la chaise prévu à l'effet de ces entrevues, mais j'aimais mieux l'idée de faire ce territoire mien pour quelques minutes. Ce fût suffisant pour rendre mon interlocuteur que d'autant plus farouche.
PATRICK M. Je suis un homme très affairé, Mr Cavalary. J'imagine que vous comprenez le temps que me demandent mes aspirations de sénateur.
MAXWELL C. Absolument, claquai-je de mes lèvres l'une contre l'autre. Aussi ne vous ferai-je pas perdre votre temps, et vous le mien. Acceptez une bonne fois pour toute mon invitation. Vous n'êtes jamais qu'un idéaliste que le bon peuple new-yorkais méprise. Vous n'avez rien à perdre.
PATRICK M. ▬ Sauf votre respect, je n'ai pas connu beaucoup de politiques ayant survécu aux opposants nés de vos fosses aux lions.
MAXWELL C. Mais, Mr le Sénateur, fis-je volontiers couler de mes lèvres mielleuses, qui, en vue de son succès, n'a pas dû, pour l'obtention de partisans, se faire des opposants ?
Trois semaines plus tard...
Les objectifs des caméras se détachèrent du joufflu visage de mon invité pour dessiner mes traits qui, d'ailleurs à cette heure, revêtaient quelque chose baignant entre l'indignation et la satisfaction. Je n'avais aucun regard pour eux, toute mon attention volontairement concentrée sur l'homme gardant toute sa prestance ; la seule chose qui l'aurait trahi était les quelques tressaillements qu'il avait à chaque fois que je prenais la parole... et c'était une indication que j'avais été divulgué au directeur de plateau lors de la dernière coupure pub afin qu'aucune caméra ne le manqua plus.
MAXWELL C. Vous reconnaissez donc que, en plus d'être incompétent pour le poste de sénateur auquel vous prétendez, vous fraudez financièrement par le biais de votre statut de magistrat ? l'interrogeai-je sans le moindre détour. Je vous rappelle, Mr Mayfield, que vos réponses sont enregistrées et diffusées sans montage ni censure, insistai-je très volontiers.
PATRICK M. ▬ Ce que vous insinuez là est de la pure diffamation !
MAXWELL C. Autant pour moi, dans ce cas. J'avais cru, et le public aussi visiblement, que vous veniez d'admettre que vous n'aviez aucune formation, que votre statut ne provenait que de la réputation de votre illustre famille et que, pourtant, ils n'étaient pas à l'origine des sommes astronomiques que vous mettiez à votre usage dans cette campagne sénatorial... Mais repassons donc les images, afin d'en être tout à fait certains, voulez-vous ?
Il dut bien faire face à la réalité quand le moindre écran du plateau se mit à rediffuser les images prises en caméra quelques minutes plus tôt. Il n'y avait besoin d'aucun montage. Aucune malversation. C'était de la pure retransmission. Du simple étalage de vérité. Et je gageais précisément maintenant que cette seule vérité, si diffamante pouvait-elle être à certains égards, saurait convaincre que les new-yorkais étaient les plus fondés du monde à ne pas propulser Patrick Mayfield au poste de sénateur. Voilà que je venais de m'en assurer.
Tu ne commettras pas d’adultère.
...parce que ça ne t'apportera que des emmerdes.

La gorge sèche, je faisais défiler les différentes photographies devant mes yeux. Un petit brun d'un mètre trente dînait sur celle-ci, jouait avec des enfants de son âge sur la suivante, et souriait, insouciant, sur une autre. Chacune m'évoquait quelque chose de douloureux, quelque chose de manqué, et m'inspirait pourtant une fierté immense, comme une bonne action qu'on ne pouvait oublier - non pas parce qu'elle était mieux qu'aucune autre mais simplement parce qu'elle était la seule. C'était là tout l'effet que me faisait de voir un fils, un enfant, le mien, vivre une vie que je ne partageais pas, une vie que je ne caressais même des yeux qu'à la faveur de quelques clichés volés. Arrachés à son inattention. Il était si jeune, il ne se rendait pas compte. Il ne se rendrait jamais compte, et c'était aussi bien.

Je finis par me pencher sur mon bureau et fis demander mon invité. Le temps qu'il pénétrât dans la pièce, je gagnai l'adjacente, recouverte sur les quatre murs par des séries monstrueuses de livres et de pellicules. Sur le pupitre à droite de la porte, je rangeai chaque image dans un dossier apposé du nombre « 2006 » ; celui-ci trouva sa place dans le fond d'un coffre fort, au-dessus d'une dizaine d'autres, devant lesquels je remis le faux fond. Au devant encore, je replaçai chaque document qui me parut, au demeurant, bien moins importants. Le tout fût refermé et scellé.
Je ne revins qu'ensuite et pris place derrière mon bureau. Je ne cherchai pas le moins du monde à dévisager mon interlocuteur et, me connaissant, il ne força pas la moindre civilité. Il me fit un compte-rendu détaillé des quatre dernières semaines, spécifiant absolument tous les détails susceptibles de m'intéresser. Il eut fini en moins de dix minutes. Il s'avérait toujours concis avec moi ; je n'en demandais jamais plus.
MAXWELL C. Je vous remercie, Adrien. Au fait, ne vous inquiétez pas pour le dernier transfert, il n'apparaîtra pas sur vos relevés.
ADRIEN V. Êtes-vous certain de ne pas vouloir lui dire la vérité ? balaya-t-il ma remarque.
Comme je ne lui répondis pas, il n'insista pas. Il savait fort bien que je ne tenais pas ce qu'il l'apprenne, à ce qui n'était rien d'autre que mon fils apprenne son ascendance. C'était important pour lui, c'était important pour moi. Qu'il se tienne dans l'ignorance de la putain qui l'avait enfanté. Catherine, mon infidélité. Perfide britannique que j'avais renvoyée à sa mère patrie à la naissance de Soren. Soren Cavalary. Même l'idée seule sonnait faux à mes oreilles. Non, décidément, cet enfant n'était jamais mieux que chez les Vandell, Adrien et Monica. Soren Vandell. Ce garçon avait un avenir. Tant que je ne m'en mêlais pas, il en avait un.
Il se leva pour me quitter sans un mot de plus. Il ne nous en fallait pas davantage. Je ne traitais avec lui que de manière formelle. Pour autant, je l'arrêtai dans son geste.
MAXWELL C. Adrien, le rappelai-je (et il se retourna comme s'il n'avait attendu que cela). Quand je vous ai confié Soren, à Monica et vous, je me suis promis que je n'aurai jamais à le regretter. Et je ne vais pas le regretter, n'est-ce pas ?
ADRIEN V. Vous n'avez pas besoin de me menacer, Maxwell. Pas après tout ce que vous avez fait pour ma femme. Vous le savez.
MAXWELL C. Je ne vous menaçais pas. J'ai simplement cru de mon devoir de vous rappeler que votre seul devoir était le considérer comme votre propre fils... et moi comme votre débiteur. Cet enfant et moi ne sommes pas liés.
Et il se contenta d'acquiescer. J'eus une rare sympathie pour lui et le laissai partir sans un mot de plus. Il dut me saluer mais je m'étais déjà penché sur quelques feuilles éparses jonchant la surface de mon bureau. Je ne pouvais penser à Soren qu'une heure par jour, au plus. Le restant du temps, il me fallait être concentré. Le restant du temps, il me fallait être froid et apathique. Le restant du temps, il me fallait être Maxwell Cavalary.


Dernière édition par Maxwell Calavary le Sam 17 Avr - 21:51, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 16:26

Tu ne tueras point.
...physiquement, s'entend.

Comme l'émission durait depuis quarante-cinq minutes maintenant, je me savais dans un créneau à ne manquer sous aucun prétexte. L'audience se jouait précisément dans ces quelques secondes où, profitant d'un flottement, le téléspectateur se lassait et trouvait encore plus confortable de s'adonner à quelques divertissements familiaux, aussi nommés disputes, rapports fraternels avec nez cassé à la clef et diverses divergences sur la répartition des tâches, bref.. de l'ennui en lingots d'or, quelque chose auquel je mourrais d'envie de les arracher - et eux aussi, sans même le savoir. Dans ces conditions, il était temps de délaisser les menues distractions de quelques attaques déguisées pour s'ébrouer un moment dans les révélations scandaleuses... et rien qu'un peu exagérées pour le bonheur du petit écran.
MAXWELL C. C'est, en effet, un succès absolument fulgurant, approuvai-je, jovial, en le sentant sur ses gardes. D'autant plus quand on voit le jeu d'acteur formidable que vous servez aux minettes américaines, finis-je par asséner tandis que les écrans entamaient de diffuser un extrait du long métrage dont il était question. Aussi ai-je une question : qu'est-ce que ça vous fait d'être le futur Robert Pattinson ?
ZACHARY P. Avec Marcus, (le réalisateur) nous nous sommes efforcés de distancer le héros mystérieux idole des filles, me répondit-il sereinement.
MAXWELL C. C'est, effectivement, ce que l'on remarque en voyant la troupe adolescente de quinze-seize ans ameutée aux portes de l'immeuble de la chaîne.
Parce qu'il avait eu l'esprit de réfléchir à la question avant que je n'ai pu la poser, je n'avais pris aucun gant. Cela prouvait qu'il était un adversaire acceptable et qu'il ne lâcherait pas si facilement l'affaire ; pour autant, sa réponse, au demeurant préparée, me laissait un goût de faille dans laquelle je mourrais d'envie de m'enfoncer. Ainsi présentais-je la diffusion de quelques images qui présentèrent le tournage du film, Zachary Pitts régulièrement au premier plan, au bras d'une partenaire différente à chaque nouvelle séquence. Sitôt l'interview reprise, je relançai :
MAXWELL C. A vingt-cinq ans, vous avez déjà connu le lit d'à peu près tous les continents, dis-je plutôt que je ne le demandai. On dit que c'est papa néo nazi qui n'est pas content. Alors ?
ZACHARY P. Je... ne vois pas le rapport, s'efforça-t-il d'articuler.
MAXWELL C. Avec la couleur politique de votre père ? fis-je ingénu. C'est qu'un célèbre périodique californien - dont on ne fera pas la publicité, glissai-je d'un sourire exagérément hypocrite, a révélé votre appartenance à son... lobby ? fis-je volontiers exprès d'hésiter.
ZACHARY P. Je ne suis pas un néo nazi, répliqua-t-il froidement.
Je n'eus rien à ajouter que les écrans se mirent à afficher les images d'une sorte de mini reportage qui reprenait des extraits de l'article en question, superposés par des photographies explicites, ainsi qu'un extrait vidéo remontant à quelques deux ans, où la majeure partie des clichés montraient Zachary sous des bannières rouge sang, croix gammées imprimées à l'appui. La dernière photographie le montrait, triomphant, un portrait d'Adolf Hitler entre les mains... sous les murmures d'indignation des spectateurs présents sur le plateau.
MAXWELL C. C'était il y a longtemps. C'est absolument typique des journalistes de vouloir salir la réputation d'acteurs montants en déterrant des appartenances révolues, n'est-ce pas ? repris-je en le voyant approuver d'un regard sombre, et même se détendre un rien - naïf. Donc vous n'avez pas rompu avec votre petite amie parce qu'elle était indochinoise ?
ZACHARY P. Comment sav... Non ! se reprit-il en réalisant enfin. Ce... ça n'a rien à voir, et ça ne vous regarde pas.
MAXWELL C. Donc votre père s'est retrouvé dans une superbe cellule du côté de Boston pour une visite préliminaire en vue d'une incarcération pour crimes racistes... et non parce qu'il vous avait frappé en découvrant le harem multinational constitué au gré de vos pérégrinations d'acteur montant ? l'interrogeai-je d'un sourire excessivement satisfait.
Rien qu'à la manière dont il avait de me dévisager, je le sentais prêt à me sauter à la gorge ; mais il ne l'aurait jamais fait. D'abord parce qu'il jouait son restant d'image devant des millions de téléspectateurs... et aussi, un peu, sans doute, pour les trois hommes absolument baraqués situés à moins de cinq mètres de lui, prêts à le maîtriser au moindre mouvement pour mon costume impeccable. Aussi dut-il laisser ses nerfs s'anéantir sans pouvoir tout à fait exprimer sa colère. Il ne me fallut plus que reprendre de moi-même, son silence valant toutes les condamnations.
MAXWELL C. Les États-Unis sont une nation démocratique, tout à chacun est libre de faire ce qu'il veut. Mais, avec un père violent... c'est la sympathie du public que vous êtes en train de gagner.
ZACHARY P. Ne parlez plus de mon père, ok ? enragea-t-il. C'est un vétéran du Vietnam, il m'a élevé seul, emmerdé par tous les aspirants noirs de cette putain d'armée, et lui, au moins, il a compris ce que États-Unis signifiaient pour les vrais blancs de ce pays !
MAXWELL C. Tout est dit, souris-je de toutes mes dents en signifiant par là la fin de cette - redoutable et délicieuse - émission.
Tu ne convoiteras rien de ce qui appartient à ton prochain.
...mais, à la limite, tu lui emprunteras jusqu'à mieux.

En s'éclipsant de la vaste réception sur les talons de celui qui se revendiquait comme mon employeur, mes pensées étaient encore fort acquises à la délicieuse Anja Malkovski ; lui offrir tout ce qu'elle voulait sur un plateau d'argent ne me réjouissait pas tant que la perspective qu'elle n'en refusât rien, pas le moindre détail. Je me sentais progresser auprès d'elle avec une facilité si excessive que c'en était presque décevant. J'avais convoité bien des femmes, des qui, même, ne m'étaient ni accessibles ni destinées, mais, par quatre fois, j'étais parvenu à faire d'elles miennes et m'étais octroyé leur plus pur essence, l'essentiel de ce qu'elles étaient, jusqu'à n'en plus vouloir. Anja était... un diamant brut qui ne demandait qu'à être serti par mes mains, mes lèvres, et chacun de mes soins. La seule idée de sa bouche rougeoyante de lascivité m'évoquait les plus vives passions. Il me tardait, Anja Malkovski, si seulement vous saviez...

Nous finîmes par pénétrer dans son bureau, où il m'invita à m'asseoir. J'acceptai volontiers le verre qu'il me proposa en m'installant. Il entama les habituelles banalités qui, pour tout dire, m'exaspéraient si bien que je ne m'en cachais pas un seul instant ; il s'obstinait, le bougre ! Fort bien, s'il en voulait pour son argent, je n'allais pas le servir qu'aux confins d'un plateau de télévision.
MAXWELL C. Mon coiffeur va bien, mon chien est mort et je n'ai pas touché une femme depuis huit jours et quatorze heures. Donc ?
JACKSON F. Excusez-moi, Maxwell, baragouina-t-il en hésitant visiblement à croire comme à ne rien croire de ce que je venais de dire. Vous aimez en venir au fait, certes. Nous avons reçu quelques courriers relativement inquiétants, comme vous savez. Je me demandais...
MAXWELL C. Allons, Jackson ! Il y a au moins deux-cents cinquante personnes qui ont d'excellentes raisons de m'en vouloir, sans compter les membres de familles et autres proches. Demandez donc depuis Miss "je-ne-suis-bonne-qu'à-croiser-et-décroiser-les-jambes-sauf-le-dimanche-jour-du-Seigneur-donc-voies-impénétrables" America jusqu'à ce pourri gâté d'Hammond, si cela vous amuse...
Pourquoi Joy Da Silva et Raphaël Hammond m'étaient venus en premier à l'esprit ? Des évènements en quelques sortes marquants, d'autant plus pour cette première m'ayant fait perdre la face durant un temps préjudiciable. Quoi qu'il en soit, le propos demeurait égal ; si je pouvais aisément compter mes amis, j'avais abdiqué depuis longtemps l'idée de dénombrer mes ennemis. En outre, quelques courriers incendiaires - et souvent anonymes - ne faisaient absolument pas peur. Pour preuve, et par affront, il me prenait même régulièrement d'en aller lire quelques uns durant l'émission, afin de rappeler que, précisément, il existait des gens qui, à mon inverse, étaient incapables d'admettre leur propos en public. Qu'on m'accuse de diffamer après cela.

En attendant, Jackson Fitzgerald - en qualité de nom d'emprunt - me fit la grâce de changer de sujet. Bienveillant petit bonhomme. Il avait toute mon arrogance, croyez-le bien. Et peut être une part de mon amitié aussi. Oui, certainement... cette amitié que je réservais spécifiquement à ces individus qui, naïvement, pensaient se servir de mon potentiel alors que, finalement, c'était moi qui usais de leur grandeur pour me grandir à mon tour. A un moment où un autre, j'en finissais par les surplomber, et ce avant même qu'ils ne s'en soient aperçus, ou l'aient seulement soupçonné. C'était ainsi que Jackson ne voyait encore rien venir de ma récente acquisition d'un vaste immeuble, futur support de ma propre chaîne télévisuelle... sombre crétin. Sympathique marionnette. Distrayante un temps.
MAXWELL C. Il ne faut s'inquiéter de rien. Tout est au mieux. La seule chose qui pèse sur nous, Jackson, c'est cette montée de criminalité excessive qui nous vole les meilleurs sujets à subversion, ricanai-je doucement.
JACKSON F. Ce n'est pas amusant, Maxwell, dit-il, réprobateur.
MAXWELL C. Vous avez raison... que les new-yorkais se distraient davantage devant le Journal Télévisé, ça n'est pas bon pour nous, approuvai-je d'un sourire facétieux en engloutissant le restant de mon verre.


Dernière édition par Maxwell Calavary le Dim 18 Avr - 16:17, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 16:26

    _____ Behind the screen ? A player ! _____

Prénom ou pseudo • Les gens aiment me siffler, terriblement. Mais, pour les autres, Damian sera l'idéal.Âge • Je crains d'avoir la frivolité d'un ado de treize ans et l'amertume d'un homme de soixante-dix.Où avez-vous connu le forum • En chemin entre le sol et le ventre (nan, ça n'est pas au bordel, essaie encore).

Exemple de RP •
Spoiler:

Connexion • Sauf exceptions (partiels), multiquotidienne.
Code du règlement •
Spoiler:
Avez vous signé le règlement • [x]OUI ; [x] NON ...pas encore, forcez-moi pour voir.
Célébrité sur l'avatar • Christian Bale
Multicompte(s) • Maxwell va déjà s'avérer difficile à gérer à lui seul... donc non.
Un dernier truc à dire ? • Est-ce que les répliques à la Achmed sont acceptés, à la mesure de « Je rigole, je ne tuerai pas de juifs ; je leur lancerai un centime et les regarderai se battre jusqu'à la mort. Oui, j'ai fait la même chose avec deux prêtres catholiques en leur donnant un petit garçon !... et le vainqueur devait combattre Michael Jackson ! » ?... sans quoi je vais devoir d'ores et déjà démissionner, je le crains, Maxwell ne va pas faire dans la dentelle avec moi.


Dernière édition par Maxwell Calavary le Dim 18 Avr - 16:31, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 16:33

Un Maxwell à la bonne heure ! Ou pas. xD

Bienvenue sur NY-TDS, ce PV particulièrement piquant était attendu. Je valide ton code ce dernier étant bon Wink

Bonne continuation pour ta fiche !

EDIT : Achmmeeeeeeeeeeed <333 Pas touche à MJ pauvre cloche ! gun
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 17:25

Bonjour et bienvenue sur TDS.
Maxwell, mon PV préféré après Preston.
Qu'à cela ne tienne, fais à ta convenance, je l'ai créé pour qu'il flirt avec tout ce que le politiquement correct désapprouve, aussi les remarques les plus grinçantes seront-elles excusées à partir du moment où elles restent cadrées par les contours du RP. Pour ce qui est du flood, on évitera de lancer des pièces aux juifs, je ne veux pas d'émeute x))

Ceci étant dit, bon courage pour ta fiche.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 17:27

BIenvenuuuue !!!

Excellent choix de PV, Maxwell est super ! x)
EDIT PAR CASH : SAUTÉ, sale poulet !

(Perso, si les répliques sont DANS le RP, c'est accepté, en dehors non, surtout pas Wink Si c'est le perso qui les dit, les pense, les vit en RP, oui, sinon c'est non Wink)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 17:30

    Yeaaah, Maxwell.
    (dément ce PV.)

    Bienvenue c:

    EDIT :

    Cash Systol a écrit:
    Pour ce qui est du flood, on évitera de lancer des pièces aux juifs, je ne veux pas d'émeute x))

    *sifflote*
    Je ne me sens pas visé : D


Dernière édition par Hamm O. Grey le Sam 17 Avr - 17:40, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 17:35

Nan, sérieux ? Si c'est hors RP, ça n'est pas accepté ?... je n'aurais pas deviné, ça, tiens. Mais dans quel monde suis-je en train de vivre pour croire que la censure n'existe pas et que l'on peut rire d'absolument tout sans crainte d'être vilipendé pour quelques obscures crimes sectaires ?! *reprend son souffle*
En RPgiste consciencieux, je m'y soumets donc. C'était un simple test pour mesurer votre degré de résistance... excessivement bas, je vois. Allez, je vous aime quand même (a).

Je vous remercie tous les quatre de l'accueil. Je vais tâcher d'être à la hauteur de l'image que vous semblez vous faire de Maxwell... j'attaque la falaise de suite, merci. Arrow
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 17:43

* Revient avec un sourire crémeux *

S'il est évident que nous ne tolérons pas les blagues racistes ou homophobes hors RP par principe de survie ( ForumActif se ferait une joie de nous foutre à la porte, n'en doutez pas mes amis ...), sache, mon mignon, que cela ne m'empêchera pas de te répondre d'aller te faire foutre ou de fermer ta gueule quand l'envie m'en prendra Very Happy

* Lui lance une tape sur les fesses *
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 18:00

Viens donc, viens donc ! J'aime déjà ça... clap


(Absolument sérieusement maintenant, il est entendu que j'ai pris l'exemple le plus polémique possible afin que les répliques octroyées à Maxwell par la suite n'en paraissent tout de suite que plus acceptables... c'est tellement plus distrayant, ainsi.)
Sur ce, je retourne à ma fiche.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 18:01

Puis bon, faut distinguer l'humour des vraies pensées et paroles, mais Forumactif doit pas être très sensible à l'humour, voilà pourquoi on fait très attention là dessus ^^"
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 18:12

Oui, en effet... j'ai connu plus réceptif à l'humour - surtout noir - que FA. Il a comme qui dirait des objets coincés dans des lieux improbables. *dit ça, dit rien*

:pape:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 20:37

Bienvenue parmi nous !! J'adore ce que tu as déja écris !
Et puis Bale quoi (L).. :aime:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 20:50

Christian Bale! *Bave*

Honnêtement super perso!!! J'aime beaucoup le début de ta présentation Smile Oh seigneur je suis comblé moi dans les derniers jours. Aaron, Heath et Christian. Tout pour me faire plaisir. *-* Je suis vraiment dans un trip Dark Knight!!! M'enfin Bonne chance pour le reste de ta fiche Smile
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 21:56

Merci à tous les deux. Je m'essaie au maître Cavalary... attention à la casse. Et je dois bien avouer que Christian Bale lui donne un je-ne-sais-quoi d'adéquat.







ET EN DIRECT-LIVE DEPUIS CAVALARY TV SHOW :
Je progresse, je progresse... je suis aux deux tiers de ma présentation !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeSam 17 Avr - 22:25

Excellent... Je sens que je vais beaucoup rire en lisant tes rps. A la bonne heure, ça m'occupera.

Bon courage, pour la fiche, hein. J'sens que tu n'en n'auras pas beaucoup besoin pour tes futures répliques. Hum hum.

Ah, et oui, bien sur : Bienvenue :jap:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeDim 18 Avr - 15:43

Christian Bale ! ♥️

*Bave bave bave bave ...*

Bienvenue sur NY-TDS ♥️ Wink
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeDim 18 Avr - 15:47

    Christian Bale, où LE charisme du cinéma du XXIème siècle. Ce type est tout simplement le digne successeur d'Al Pacino, Christopher Walken, et j'en passe...

    Comme certains membres, je dois avouer que ce personnage qu'est Maxwell, ne me laisse pas indifférent.

    Bonne chance pour la fin de ta fiche. ^^
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeDim 18 Avr - 16:19

Merci à tous les trois, quel accueil.

Et maintenant...


EN DIRECT LIVE DEPUIS LE CAVALARY TV SHOW :
J'ai achevé ma présentation !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeDim 18 Avr - 16:19

Je m'attelle à la lecture d'ici quelque minute guy !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeDim 18 Avr - 16:22

J'entends bien, pourfendeur des bonnes mœurs.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeDim 18 Avr - 16:31

Bienvenue! (pour ma part je surkiffe la fiche)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitimeDim 18 Avr - 17:08

Présentation parfaite en tout point - sourit Maxwell, ce compliment se fait rare - je m'empresse de te valider et de te dire bon vent, je ne pense pas qu'il aura besoin de souffler fort pour te porter loin Wink
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





MAXWELL C. ♣ See what I see Empty
MessageSujet: Re: MAXWELL C. ♣ See what I see   MAXWELL C. ♣ See what I see I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

MAXWELL C. ♣ See what I see

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
New York - The Dark Side :: Archives présentations-