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| | Olympia C. Torrez (underco') | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 1:54 | |
Feat "Mona Johannesson"
(c) Lexy |
_« Olympia Calioppée TORRES »_
_____ This is who I am _____
▬ Nom ; Torres.▬ Prénom(s) ; Olympia Calioppée▬ Surnom(s) ; Olympia n'apprécie pas les surnoms que l'on a pu lui donner. Elle préfère être appelée par son prénom.▬ Âge ; 25 ans▬ Nationalité ; Américaine▬ Groupe ; Les hors-la-loi▬ Statut et activité dans la vie ; Tueuse à Gage *non, vous n'allez pas me saigner parce que ce n'est pas original *▬ Orientation sexuelle ; Hétéro.
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_____ Wanna know more ? _____
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; (L'utilisation d'un lecteur exportable n'est pas obligatoire, vous pouvez aussi nous citer le nom de l'artiste et celui de la chanson qui, selon vous, conviendrait bien à votre personnage.)
Endless Song ; Aaron. "I used to be someone happy You used to see that I'm friendly"
▬ Relations ; (5 lignes minimum - Relations amoureuses, amicales, sexuelles ... Ceci est une approche de la façon dont votre personnage se comporte avec autrui.)
"Je suis une personne qui a beaucoup de mal à s'intégrer dans un groupe. Je n'aime pas être entourée. J'ai la foule en horreur. C'est surement à cause du fait que j'ai beaucoup de mal à apprécier les gens. Je les trouve souvent trop naïfs ou bien trop pathétiques. C'est idiot et je le sais. Je ne regarde que la personne "extérieure" qui se trouve en face de moi, et n'essaye jamais de comprendre ce que cette même personne est réellement. En ce qui concerne mes relations amoureuses, j'ai tiré un trait dessus il y a maintenant quelques années. Je n'ai pas confiance en ces êtres dépourvu d'amour que sont les hommes. Je préfère me stopper à des relations purement amicales ou à la limite sexuelles. Vous l'avez donc compris, je ne suis pas une personne sentimentale. Certains pensent que je possède un "cœur de pierre". Je ne suis pas vraiment d'accord. Je ne rêve pas au prince charmant je l'avoue. Mais tout de même ... En ce qui concerne mes relations amicales, c'est compliqué. J'ai très peu d'amis, mais cela me convient parfaitement. Je pense que ceux qui se vantent d'être toujours accompagnés par un -vois plusieurs- amis sont des menteurs."
▬ Physique ; (5 lignes minimum)
"Je ne peux pas tout simplement vous donner une photo ? Oui, vous avez raison, je vais arrêter de faire de l'humour. Bon alors, question physique, je dois avouer ne pas avoir à me plaindre. Dame nature a été gentille avec moi et m'a accordée beaucoup de chose. Premièrement, je suis une femme assez grande, puisque je mesure exactement un mètre soixante-treize. Plus jeunes, on ne cessait de me répéter que j'avais les mêmes yeux que ma mère ; une couleur particulière : un mélange de bleu et de gris. Contre toute attente, je suis brune. Question coiffure, je n'aime pas m'attarder longtemps comme certaines femmes le font. De toute façon, personne n'est parfait et je ne suis pas adepte du 'je me maquille dix fois par jour, change de vêtements pour chaque repas et me recoiffe dès que je passe devant un miroir'. Questions de principes j'imagine. Mes parents ont toujours dit que j'avais des traits d'anges. Disons que je vais leurs faire plaisir en ne disant rien sur ce point. Puisque vous me posez cette question, je vais y répondre jusqu'au bout et parler un peu de mon style vestimentaire. Tout d'abord, il est -je pense- important de savoir que ma garde robe est composée de noire, de bleu foncé et de blanc. Les couleurs ne sont pas ma tasse de thé. Ah et j'oubliais : j'ai une collection impressionnante de chaussures. C'est tout ce que vous vouliez savoir ?"
▬ Caractère ; (15 lignes minimum)
"Est-ce une question piège ? En tout cas, c'est surement celle que j'aime le moins. Bref, puisqu'il faut vraiment y répondre, allons-y. Personnellement, je pense que ma plus grande qualité est ma détermination. Le monde est vaste, et quels que soient vos choix, de nouvelles possibilités s'ajoutent dès que vous mettez un pied devant l'autre. Je pense qu'il ne faut pas se dévier de son objectif principal et toujours continuer ce que l'on commence jusqu'à obtenir ce que l'on désire. Certains me disent hautaine. Soit. Je vais plutôt dire qu'il faut savoir se mettre en peu en avance certaines fois. Et puis, je ne suis pas non plus une de ces filles toujours en train de se vanter de tout leurs "exploits". Il est vrai que je suis légèrement égocentrique sur les bords et il peut m'arriver de me mettre un peu en avant afin d'arriver à mes fins. D'autre me trouve intelligente et réfléchie. Je ne m'avancerai pas sur le premier point, puisque je pense que c'est un sujet bien trop complexe et je n'ai pas l'envie de faire une thèse sur "qu'est ce que l'intelligence". Cependant, je suis réfléchie. J'ai toujours appris à réfléchir avant d'agir. Et ce car certaines actions sont irréversibles. L'orgueil ... un des sept péchés capitaux et très certainement mon plus grand défaut. Aimant bien me mettre en avant, être sous le feu des projecteurs, lorsque quelqu'un blesse mon orgueil, je ne peux que me mettre dans une colère noire. C'est d'ailleurs à cause de ça que je suis devenue ce que je suis en ce jour, du moins je pense. Contrairement à beaucoup, je ne crois pas aux rêves. S'ils se réalisent chez les autres, ça ne m'est jamais arrivé. Et il suffis de regarder par sa fenêtre pour voir que la vie est dégueulasse. Certains sont recouverts d'or alors que d'autres sont dans l'obligation de se vendre pour en obtenir -Tiens, c'est moi qui dis ça ?-. Alors pendant que l'on me juge pessimiste, je me dis raisonnable, observatrice peut être, mais surtout méfiante."
▬ La plus grande honte du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
"Ma plus grande honte ? Vous allez trouver ça totalement idiot, mais certaines fois, j'ai honte d'être née. Quand j'y repense, j'ai été abandonnée à ma naissance -ou du moins quelques mois plus tard d'après ce que j'ai pu comprendre- et je me dis souvent que je suis une erreur. Lorsque je vois tous ces petits enfants dans la rue, qui marchent avec leurs parents, qui sont aimés par leurs parents, je ne peux m'empêcher de m'imaginer à leurs places, et j'ai honte de ne pas être comme eux."
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
"L'enfer ? Retourner dans un orphelinat. Je sais que ça ne pourra plus arriver, mais lorsqu'il m'arrive de m'imaginer repassant cette porte qui s'est refermée derrière moi dans ma jeunesse, je me dis que je ne pourrai vivre pire. C'est une réaction quelque peu égoïste, sachant que beaucoup d'autres personnes ont vécu des choses beaucoup plus graves, je l'avoue."
▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
"Si je dis ne plus avoir rien à faire, foutre les pieds sous la table toute la journée et attendre que l'on me serve ce que je demande, ça compte ? Non sérieusement, je ne crois pas au paradis. Pour moi, c'est de la belle connerie inventé par des Hommes ayant beaucoup d'imagination. Enfin, bref. Sinon, comme beaucoup de monde, j'aimerai connaître la gloire éternelle. Ouais, ça serait pas mal."
▬ Taux de criminalité et pourquoi ;
Homicides volontaires ; complicité de meurtre ; quelques vols à main armée ; et quelques petites attaques sur les forces de l'ordre.
_____ Behind the screen ? A player ! _____
▬ Prénom ou pseudo ; Anaunisme ▬ Âge ; Quinze ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Sur forumactif si je me souviens bien ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Londres ; Angleterre. 18 janvier 2006 ; 14:34:19 h
Une jeune femme marchait lentement dans les rues grisâtres de la capitale Anglaise. Ses longs cheveux bruns tombaient en cascade sur ses épaules dénudées. Il pleuvait. Pourtant, elle n'était vêtue que d'une simple robe courte. La jeune femme semblait perdue. Personne ne la voyait passé. Personne n'y faisait attention. C'était comme si cette femme n'était qu'un fantôme, errant dans des rues qui étaient comme elle : mortes. Il y avait bien des gens autours d'elle : des habitants de Londres ; des touristes qui, malgré la pluie avaient osé sortir ; des travailleurs qui marchaient jusqu'à leurs bureaux respectifs pour terminer leurs journées. Seulement, elle, était invisible. Elle passa devant un petit stand qui lui aussi était seul au milieu de tous. Derrière le petit chariot de bois, un vieil homme aux cheveux blancs et aux traits abimés par le temps était assis. Ses yeux étaient d'un bleu pur, une de ses couleurs que l'on ne pensait jamais pouvoir voir. Un bleu qui ressemblait tant à celui de l'océan. « Il n'y a rien dans le lieu où tu veux te rendre petite. Seulement le néant. Tu sais, le noir, le vide. Tout ce dont les gens ont peur. Tu ne dois pas avancer plus, sinon toi aussi tu les rejoindra dans leur quête encensée. Les humains auront peur de toi, un jour. Mais la gloire éternelle est-elle plus importante que tout le reste ? Une belle jeune femme comme toi ne peut être un des monstres qu'ils sont. » Dit-il. La jeune femme se stoppa lorsqu'elle entendit les paroles prononcées par l'homme. Au début, elle cru qu'il était fou. Ensuite, que les phrases qu'il venait de prononcer ne lui était pas adressées. Mais le vieux plongea son regard dans celui de la jeune femme d'une telle façon qu'elle eut l'impression de n'être plus qu'un livre ouvert que l'on pouvait lire comme on le désirait, que l'on soit bon ou mauvais lecteur. Elle se senti vide, découverte. Comme si toute son intimité, toute son âme, tout ce qu'elle avait voulu cacher, oublier, tout ce qu'elle avait dit, tout ce qu'elle avait entendu pouvait être vu, entendu et compris par cet homme. « Qui êtes-vous ? » prononça-t-elle dans un souffle. Elle avait en effet parlé plus pour elle même que pour l'homme en face d'elle. « Celui qui aura tant bien que mal essayé de te convaincre. Mais tu es têtue petite et je sais que de toute façon, tu ne m'écouteras pas. C'est ainsi que tu vivras ta vie. Si Dieu a réellement voulu que tu deviennes ce que tu es sur le point de devenir, je ne peux m'y opposer. Ainsi va la vie, c'est ton destin. » Répondit-il. La jeune femme n'en revenait pas. Comment avait-il pu entendre la question qu'elle s'était posée ? Et ... que disait-il ? Ce qu'elle était devenue ? Plus troublée que jamais, mais surtout plus effrayée que jamais par de simples paroles, la femme prit la fuite. Elle couru, couru ... jusqu'à arriver devant chez elle. C'était une grande demeure au centre de Londres, construit dans un style ancien, mais tellement beau. La jeune femme poussa la lourde porte en bois et entra. Elle se dépêcha de monter les splendides escaliers qui habillaient l'entrée de la résidence, jusqu'à ce qu'elle se trouve devant une nouvelle porte en bois. Beaucoup plus petite cette fois ci. Le bois ancien avait été abimé. Elle tourna la tête à droite, puis à gauche afin de vérifier que personne ne la voyait avant d'entrer dans la pièce. A l'intérieure, il n'y avait que deux minuscules fenêtres, qui ne pouvaient s'ouvrir. Celles-ci étaient transpercées par de légers rayons de soleil, ce qui donnait à la pièce une atmosphère très spécial. Entre les deux fenêtres se trouvait une étagère massive remplie de livres. La jeune femme s'approcha et attrapa un de ces ouvrages. La couverture était marron et dorée. Il n'était pas très épais. Cependant, il était extrêmement précieux et beau. Elle l'ouvrit. Sur les pages jaunies par le temps, étaient écrits des phrases à l'aide de caractères marqués avec une magnifiques écriture :
.Dix-huit janvier 1988. Notre famille vient d'accueillir une nouvelle tête. C'est une fille. Nous avons décidé de l'appeler Elizabeth. Elizabeth Klarice Winston. N'est-ce pas magnifique comme nom ? Je suis certain qu'elle saura le porter avec beaucoup d'aisance et surtout avec beaucoup de grâce. Je sais que cette petite tête brune fera honneur à notre famille. Nous comptons beaucoup sur elle. Elle sera maintenant celle qui nous succèdera et qui portera notre nom jusqu'à la fin. De plus, nous savons que comme tout les autres avant elle, Elizabeth gagnera le cœur des gens, réussira sa vie comme, deviendra une personne très importante au sein de la société dans laquelle nous vivons, et bien évidemment restera célèbre, des siècles après son départ. Et pour cause, nous avons beaucoup d'espoir, et mon épouse et moi savons que notre nouvelle et unique fille vivra une gloire que tout le monde aimerait vivre : la gloire éternelle. Charles P. Winston.
Un discours bien prétentieux pensèrent certains le jours où il fut prononcé, devant toute les personnes qui furent invitées à fêter ce merveilleux jours avec la famille Winston. Mais Charles P. Winston était réputé pour être quelqu'un de prétentieux et le fait qu'il ai une fille n'arrangeait en rien les choses. Elizabeth posa alors le livre à terre. Une larme roula sur sa peau, le long de son visage avant de venir s'écraser au sol. Elle avait espéré pouvoir trouver une réponse à ce qu'elle avait entendu quelques heures auparavant. Elle pensait qu'en lisant ce livre -qui était présenté telle une œuvre de l'antiquité alors qu'il ne datait que du jour de sa naissance- elle arriverait à comprendre ce que lui avait dit le vieil homme. « ELIZABETH ! Les invités sont arrivés ! Dépêches-toi de descendre ! » Cria sa mère, persuadée que sa jeune enfant se trouvait dans sa chambre. C'est seulement à ce moment que la concernée se rendit compte de l'importance de ce jour. Elle sortit frénétiquement son portable de sa poche : dix-huit janvier. C'était le jour de son anniversaire. Elle allait fêter ses dix-huit ans. La jeune femme sortie de la pièce sans être vue et se dirigea dans sa chambre à une vitesse impressionnante. Elle se changea, se coiffa et se maquilla en un temps record, puis descendit dans le séjour, le sourire aux lèvres, comme si rien ne s'était passé.
Quelques heures plus tard. Elizabeth était sévèrement énervée. Jamais elle n'avait apprécié toutes ces soirées données par ses parents. Il n'y avait que des personnes qui passaient leur temps à se comparer aux autres, à s'exposer, à compter leur fortunes respectives, à boire, à fumer, à manger. La jeune femme était alors sortie de cet environnement bien trop envahissant à son gout. Elle se trouvait de nouveau dehors, et marchait, comme elle l'avait fait l'après midi même. Une petite musique étrange l'interpela. La jolie brune fronça les sourcils, surprise. Un homme avançait, poussant devant lui un chariot en bois. Il ne fallut pas longtemps à la demoiselle pour reconnaître le vil homme dont elle avait fait connaissance quelques heures plus tôt. « Encore vous ! Mais faut-il donc que mon destin soit de vous croiser lorsque je sors de chez moi ? » Cria la jeune femme à l'attention de l'inconnu. Celui-ci s'arrêta et tourna son visage. Son regard vint scruter celui d'Elizabeth, qui, tout à coup se senti très mal. « En effet, il se peut que ce soit ton destin petite. Mais ce n'est pas à moi d'en décider. Tu le sauras bien assez tôt ! » La demoiselle Winston voulu le prier de cesser de parler. Elle voulu lui dire que son monologue de servait à rien, qu'elle ne croyait pas à tout ce qu'il disait, mais elle ne pu le faire. Les yeux dans les yeux, un duel perdu d'avance commença. La sagesse, la réalité, contre une personne naïve qui ne sait ce qu'est la vie. Elizabeth su qu'il ne servait à rien de continuer à perdre son temps ici. D'un bon d'un seul, elle se retourna et traversa la route, sans faire attention à ce qui pourrait bien lui arriver. **************************************************************** Plus rien. Le noir. Le néant. Le bruit disparu. La douleur disparu. Les derniers battements d'un cœur qui ne pouvait fonctionner plus longtemps se firent ressentir. La terre n'existait plus aux yeux d'Elizabeth. Plus rien n'existait. Elle n'était plus rien. Elle n'aurait pas marqué les esprits comme l'avait espéré son père, comme elle l'avait espéré elle-même. Les légendes ne parleraient pas d'elle. Elle n'était plus. Il y eut un cris. Un cris perçant, un de ceux qui vous terrifient à des kilomètres. Un cris d'agonie. Un Hurlement. Un hurlement de douleur, qui laissait échapper toute une vie, bien que courte, mais entière : les douleurs, les joies, les mots, les pensées, les sentiments et les sensations. Tout ce qui avaient pu toucher Elizabeth Klarice Winston était en train de s'envoler avec elle pour effectuer un dernier voyage qui la mènerait dans un pays si lointain que personne n'a jamais pu y revenir. Les histoire le dise magnifique et merveilleux. Qui est le crétin qui a osé parlé de quelque chose qu'il n'a jamais vu ?! Puis, comme si le vent l'emportait avec lui, le cris se stoppa, et la jeune femme ferma les yeux, étendue au sol.
Plus tard, personne ne pu exactement dire quand, des yeux se rouvrirent. Elizabeth Klarice Winston était de nouveau quelque chose. Surement pas une personne humaine, mais un être vivant ... Enfin, vivant est un mot bien inapproprié pour qualifier ce qu'elle était devenue, mais elle était de nouveau. Elizabeth se releva. Elle se trouvait exactement au même endroit qu'au moment où elle était "décédée". Le temps était passé, pourtant personne ne l'avait vu. Comme si elle n'avait jamais existé. Un fantôme venu de l'au-delà ? A croire que les légendes disaient vrai !
En suite, tout se passa très vite. Les années passèrent. La jeune femme était maintenant devenue une démone forte et déterminée, et ce malgré son manque d'expérience. Elle fut une des personne présente lors de la prise d'otage. En réalité, elle faisait même parti des agresseurs.
"Ce jour ... celui qui a changé ma vie de Démon. Celui qui a changé le quotidien de nombreuses personnes. Certains se sont vus dotés de pouvoirs extraordinaires. D'autres ont simplement vu la mort. Mais tous, ont réellement ressenti une sensation qu'ils n'avaient jamais vraiment connu avant : la peur." Elizabeth K. Winston
Elizabeth marchait lentement dans le grand hall de la DWCS America : une silhouette élancée, de longs cheveux bruns, une peau pale et de grands yeux envoutant. La jeune femme était -comme tout les Démons- très charismatique. Mais les traits noirs qui surlignaient ses yeux n'étaient là que pour mettre en valeur cette dureté si particulière. Elle se déplaçait très rapidement parmi les otages assis à même le sol. Sa démarche était fluide, belle ... elle semblait voler. Son visage ne pu s'empêcher d'afficher un sourire radieux mais pourtant très sadique. Elle était fière d'elle, fière de ce qu'ils avaient fait. Une prise d'otage dans la banque la mieux sécurisée des Etats Unis, voir du monde. Qui l'eut crus ? La jeune Démone se dirigeait rapidement vers les couloirs qui se trouvaient derrière le hall afin de rejoindre ... une certaine personne. Elle stoppa sa marche lorsqu'elle aperçu l'objet de ses fantasmes : un Démon possédant une beauté hors du commun. Ses boucles blondes lui donnaient un air d'ange, alors que sa courte barbe de quelques lui donnait un côté rebelle et légèrement négligé qui faisait totalement fondre la jeune Elizabeth. Bien qu'elle soit déjà en couple avec un autre, elle ne pouvait s'empêcher de l'aimer lui : Shane W. Rusty. Certaines fois, la jolie brune se trouvait pathétique. Comme si elle ne pouvait pas simplement rompre avec son petit ami actuel ... Non. Elle ne pouvait pas. Et puis, certains disent que le gout de l'aventure, la peur que ce soit la dernière fois accentuait le plaisir. Une histoire d'amour à l'eau de rose ... tellement pathétique.
Son regard ne pouvait plus quitter les magnifiques yeux du Démon qui se trouvait en face d'elle. Mais aucuns des deux ne semblait parvenir à avancer, à bouger. Ils se trouvaient figés telles deux statues. Elizabeth fut la première à avancer. Elle vint se blottir contre le corps chaud de Shane. La distance qui séparait leurs deux visages était insignifiante, et Elizabeth pouvait sentir le souffle de son amant venir frapper sa peau. Sans plus attendre, Elizabeth vint poser ses lèvres sur celles du parfait Démon. Ce moment, la jeune femme aurait voulu qu'il ne s'arrête jamais. Si elle avait eut le pouvoir de stopper le temps, elle l'aurait fait. Lorsqu'elle stoppa ce baiser, la jeune femme le fit pour prendre la parole : « Qu'est ce qu'on fait comme connerie encore Shane ? Le jour de la prise d'otage, alors que n'importe qui peut débarquer d'une seconde à l'autre ! Si on se fait prendre, tu sais aussi bien que moi que nous sommes morts tout les deux. » Malheureusement, alors qu'elle venait de terminer son court monologue et que son amant s'apprêtait à répondre, un bruit interpela Elizabeth. La jeune femme s'avança lentement vers la porte qui menait dans les toilettes pour femmes, laissant Shane derrière elle. Elle poussa lentement la porte et aperçu une jeune femme. Ses longs cheveux bruns cachaient son visage. Mais pourtant, bien qu'elle se trouve dans une très mauvaise posture, elle semblait garder la tête haute et n'avait pas l'air de montrer d'éventuelles traces de ce que l'on nomme "la peur". « Que fais-tu ici ? Tu tentais de te cacher ? Comme si nous n'allions pas te trouver. Tu avais de l'espoir. Malheureusement pour toi, j'ai eut la permission de tuer les humains qui tentent de s'échapper ... ou de se cacher. » Elizabeth avait prononcé ces paroles en utilisant un ton sec et s'appétait déjà à utiliser son don afin de tuer lentement cette petite humaine insignifiante. Cependant, cette jeune femme ne semblait pas vouloir se laisser faire. En effet, elle ne mit pas longtemps pour répliquer : « Si tu me tue, je crie à qui veut l'entendre que tu viens d'embrasser … Shane ? C'est bien son nom ? » Le sourire sadique de la jeune Démone disparu en quelques secondes. Le plaisir laissa place à la colère. Les paroles de l'humaine était sincères et Elizabeth avait très bien compris qu'elle était parfaitement capable de mettre sa menace à exécution. Elle avait en effet touché un point très sensible ... Elizabeth ne pipa mot et attrapa seulement cette jeune humaine afin de la ramener dans le hall. Lorsqu'elle se retrouva en présence des autres otages, Elizabeth lâcha sa proie. « Je ne t'ai pas tué, mais si tu prononce un seul mot sur ce que tu as vu et que tu n'aurais pas du voir, je te préviens, je t'arrache les tripes. »
▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7)5 ou 6/7 ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK by Virgin ▬ Avez vous signé le règlement ; [x]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Célébrité sur l'avatar ; Mona Johannesson ▬ Multicompte(s) ; Nan. ▬ Un dernier truc à dire ? ;
Dernière édition par Olympia C. Torres le Jeu 15 Avr - 23:25, édité 12 fois |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 1:54 | |
Histoire :
12 janvier 1985 ; New York
La belle ville de New York était plongée sous le froid de l'hiver en ce mois de janvier. C'est dans un hôpital situé dans le Bronx que la petite Olympia a vu le jour. C'était une naissance comme toutes les autres ... ou presque. En effet, la jeune maman qui se trouvait allongée, un nourisson posé dans les bras était beaucoup trop jeune pour vivre ce genre d'histoire. Elle n'avait que seize ans et n'était surement pas en état d'enfanter. Bien quelle soit très jeune, la nouvelle maman voulu à tout prix garder cet enfant qui était le sien, cette petite poupée portant le doux nom d'Olympia. Elle serait ce petit être humain contre sa poitrine, comme si elle avait peur que quelqu'un lui enlève. Son regard reflétait le bonheur. C'était en réalité la première fois que la jeune femme était si heureuse. Bien évidemment, les membres de sa famille lui conseillèrent tout de suite de se débarrasser de ce petit ange brun. Sa mère vint même prédire qu'un enfant né d'une mère si jeune ne pouvait être que maudit. Selon elle, Olympia n'était qu'un facteur qui allait faire plonger sa petite fille chérie dans la débauche.
« Tu ne pourras t'occuper d'elle. Tu es beaucoup trop jeune. Et puis, il ne faut pas te voiler la face, nous n'avons pas l'argent pour s'occuper de cet enfant comme il le faudrait. Je t'en supplie, ne la garde pas. Tu ne peux pas te le permettre. Nous ne pourrons pas nous le permettre. Et puis, regarde-là ! Ce n'est qu'un enfant, tu pourras en avoir d'autres lorsque tu seras plus âgée, tu pourras enfanter de nouveau ... dans de meilleures conditions. »
C'était un discours bien franc, mais ô combien raisonnable. Comment une jeune fille de seize printemps, vivant dans une famille en manque cruel d'argent, encore plongée dans ses étude pourrait-elle parvenir à s'occuper d'un enfant ? Un discours qui finalement fût convaincant. Après de longes et intenses réflexions, la jeune maman prit la décision de « protéger sa fille ». Elle ne voulu pas utiliser le terme « d'abandon », le trouvant finalement bien trop représentatif de la situation présente. Olympia n'avait que quelques mois lorsqu'elle fut confié à un orphelinat se trouvant caché entre les ruelles du Bronx ; ce quartier qu'elle connait maintenant comme sa poche. Et pour cause, elle n'a cessé d'arpenter ces rues à la recherche de quelques instants de liberté alors qu'elle était jeune. La jolie brune passa son enfance dans cet orphelinat au milieu de beaucoup d'autres enfants. Trop d'enfants qui se trouvaient dans la même galère qu'elle, et qui au final n'en devenaient que plus matures et plus solidaires. Cependant, Olympia fut une exception. En effet, pendant que la plupart de ses semblables s'amusaient comme ils le pouvaient, elle préférait rester tranquillement dans son coin, se recroquevillant dans son esprits, débutant ainsi du duel avec ses pensés.
« Tu ne vas pas jouer avec les autres ? » Demandait souvent une des adultes qui s'occupaient de ces petits jeunes en manque d'affection. Son visage resta d'ailleurs gravé dans la mémoire d'Olympia. Elle ne connaissait pas son nom, mais serait capable de la reconnaitre entre mile aujourd'hui : un visage d'ange, reflétant la gentillesse. Deux grands yeux bleus éclairaient son visage rond entouré de longues mèches blondes. Elle n'était pas d'une beauté extraordinaire, mais possédait un charisme inégalable. A chaque fois qu'elle posait cette fameuse question à Olympia, cette dernière s'empressait de fixer son regard comme si elle tentait de lui prouver quelque chose, de se dévoiler aux yeux de cette perle rare. Et à chaque fois, elle répondait la même phrase : « Quelle importance. » Ces deux mots étaient toujours prononcés de la même façon, avec le même ton, comme s'ils sortaient de la bouche d'un robot programmé pour le dire. Elle était jeune mais faisait pourtant déjà preuve d'une grande intelligence. Contrairement à la plupart des autres enfants de l'orphelinat, Olympia ne rêvait pas de trouver une famille. Ne se souvenant pas de sa famille, elle avait totalement effacer cette notion de son esprit. Pour elle, la famille n'était qu'illusion, n'existait pas. Et lorsqu'elle entendait des jeunes personnes de son âge dire qu'il n'y avait rien de pire que de connaître sa famille puis de la perdre, elle ne cessait de répondre qu'elle, ne l'avait pas connu. Malgré la carapace qu'elle avait réussi à former au dessus d'elle, cela lui manquait. Il lui arrivait de croiser des enfants qui se promenaient avec leurs parents -lors de sorties organisée par cette jeune femme blonde qu'elle appréciait tant par exemple-, Olympia ne parvenait pas à retenir son élan de colère envers ses géniteurs, qui, selon elle n'avaient pas pensé à son bonheur en l'abandonnant ainsi. L'envie ... une sensation qu'elle avait tant ressenti et qu'elle aurait aimé ne jamais connaître.
Les années passèrent et la petite Olympia grandissait. L'enfant était maintenant devenue une belle jeune fille de seize ans. En vieillissant, son caractère avait beaucoup changé. Elle s'était endurcie, apprenant à se débrouiller par ses propres moyens et à oublier son malheur pour penser à son avenir. Comme beaucoup, elle rêvait de devenir célèbre, d'être reconnue, de vivre sa vie comme elle le souhaitait. Elle avait l'âge que sa mère avait lorsqu'elle vint au monde. L'orphelinat, elle voulait oublier, ne plus y penser, faire comme-ci elle n'y avait jamais vécu. C'est pourquoi elle prit la décision de quitter ce lieu qu'elle détestait plus que tout au monde. La seule pensée qui lui vint à l'esprit à cet instant décisif fut destinée à la seule personne qu'elle appréciait en ce lieu : celle qui s'était occupée d'elle. Cette femme blonde pour qui elle avait un énorme respect. Néanmoins, sa décision fut très vite prise. Elle décida d'attendre que l'aube se lève le lendemain matin afin de ne pas avoir à passer la nuit dehors. Comme prévu, lorsque le jour vint pointer le bout de son nez sur la belle ville de New York, Olympia se dépêcha de quitter le lieu dans lequel elle se trouvait pour aller vaguer dans les rues du Bronx à la recherche de sa liberté. Ayant toujours vécu dans cette partie de la ville, la jeune fille n'eut pas trop de mal à trouver son chemin. Le seul problème venait de sa motivation : elle avait quitté ce qui était pour elle l'enfer pour se jeter dans la gueule du fauve. Qu'allait-elle faire maintenant ? Elle n'avait que seize ans, n'avait aucune famille, aucune connaissance en dehors de l'orphelinat. Après avoir vogué une bonne demie heure dans les rues encore vides de la ville, elle songea à retourner d'où elle venait. Cependant, sa conscience lui empêcha. Elle était enfin libre de faire ce qu'elle désirait, devait-elle se laisser impressionner par la grandeur de la ville ? En réalité, ce n'était pas de cela qu'elle avait peur, mais elle était effrayé à l'idée de se contrôler elle-même. Elle n'avait pas d'argent. Elle devait trouver un petit boulot - tout en éliminant la prostitution, chose qu'elle ne supportait pas et qu'elle ne ferait pas même si sa vie en dépendait -.
Quelques mois plus tard; New York. Olympia avait trouvé un travail. Elle était maintenant serveuse dans un petit bar et vivait chez une de ses collègue qu'elle appréciait beaucoup. Cette dernière avait près de dix ans de plus que la jeune brune. Cette jeune femme se nommait Anastasia. Un prénom qui étrangement, lui allait très bien. Olympia le trouvait froid ... comme elle. Elle était d'une extrême gentillesse, mais ses longs cheveux noirs, sa peau blanche, ses yeux foncés toujours maquillés de noir et ses vêtements de couleurs foncées lui donnait un air d'héroïne de film. Malgré leur différence d'âge, les deux jeunes femmes se lièrent très vite d'amitié. Et pour la première fois de sa vie, Olympia connu un sentiment étrange : la confiance. Elle comprit très vite qu'Anastasia n'était pas une ennemie, mais une alliée et qu'elle pouvait avoir confiance en cette personne au caractère pourtant bien étrange. Cependant, tout changea très rapidement. Anastasia fut renvoyée du bar dans lequel elle travaillait. Apparemment, elle avait volé de l'argent en entrant dans le bureau du propriétaire qu'elle connaissait très bien. Ce dernier fut furieux. Olympia préféra ne pas se mêler de cette affaire et continua à travailler. Mais, sa meilleure amie ne pouvait que se résoudre à trouver un nouvel emploi. En effet, le petit salaire de serveuse d'Olympia n'était pas suffisant pour payer le loyer de l'appartement dans lequel les deux jeunes femmes vivaient. Le temps continua à passer, mais la relation qui s'était formée entre les deux colocataires devenait de plus en plus étrange. Anastasia prétendait aller travailler dans un petit magasin de vêtement, mais il s'avéra que ceci n'était qu'un énorme mensonge. C'est un beau matin d'été qu'Olympia découvrit ce qui se passait réellement. La jeune fille était en train de chercher les boucles d'oreilles que son amie lui avait offert quelques mois auparavant. Pensant les avoir peut-être mises dans les affaires de sa colocataire, elle chercha sa boite à bijoux et l'ouvrit. Quelle fut sa surprise lorsqu'elle trouva une liasse de billets verts pliés les uns contre les autres. Choquée, elle attendit patiemment le retour d'Anastasia. Lorsque celle-ci passa le porche de la porte, Olympia ne pu attendre -rongée par la curiosité, et une certaine forme de colère-. « Je peux savoir comment tu as réussi à trouver tout cet argent ? » Mais il n'y eut pas de réponse à cette question. La jeune femme à qui elle était adressée ne préféra pas répondre. L'expression de son visage changea. Ses joue devinrent rouges et la honte entreprit de se refléter dans ses yeux. « Prostitution ? Vente de drogue ? Les deux en même temps peut-être ? Je crois qu'au final je ne préfère pas savoir. »
« Quelqu'un a dit qu'on pouvait tuer le temps ou soi-même, que cela revenait au même*. Mais le temps, lui, passe et change le monde, change les gens, personne ne pourra rien y changer. J'avais dix neuf ans lorsque tout à commencé. Je vivais encore chez Anastasia. Malgré ses vingt-neuf ans, rien n'avait changé chez elle. Son travail ? Je ne voulais pas savoir, ni être mêlée à certaines choses qui n'étaient pas très nettes. De mon côté, le petit emploi de serveuse me convenait parfaitement. Le seul inconvénient se trouvait dans mes horaires. En effet, lorsque je terminais ma journée, la nuit était déjà tombée depuis bien longtemps sur la ville et je n'avais d'autres choix que rentrer à pied. Or il se trouve qu'un soir, j'ai eut le malheur d'arriver au mauvais endroit au mauvais moment : alors que je rentrais chez moi, j'entraperçus dans l'ombre d'une rue deux silhouettes. L'une semblait tenir l'autre. Puis il y eut un cris qui semblait être celui d'une femme. Je ne sais toujours pas ce qu'il s'est passé dans ma tête, mais j'ai voulu jouer l'héroïne et aider cette pauvre jeune femme, qui devait avoir à peu près le même âge que moi. Je me souviens avoir crié à l'homme qui était en train de l'agresser de la lâcher - comme si cela allait être convaincant -. L'homme me jeta un regard empli de colère. A ce moment, ma conscience me dictait de partir, mais je ne pouvais pas. Je n'avais seulement pas prévu que cet homme ne soit pas qu'un simple petit agresseur qui ne savait pas vraiment ce qu'il faisait. Et c'est lorsque je pu voir une arme dans sa main que je compris. Encore une fois, ma conscience me hurlait de courir, partir, oublier, mais mes jambes n'arrivaient pas à suivre cet ordre. Alors que l'homme était concentré sur moi - voulant éliminer un témoin je suppose - celle qu'il avait agressé eut un reflex qui me sauva surement la vie. Elle réussit - et je ne sais toujours pas comment, mais je n'ai pas vraiment fait attention à son geste, jusqu'à ce que je comprenne que j'avais une chance - à faire tomber l'arme que l'homme tenait dans les mains. Je me souviens m'être mise à courir, ne manquant pas de me tordre la cheville à plusieurs reprise - en effet, n'essayez pas de courir avec des talons aiguilles, ce n'est pas très facile - J'ai alors réussi à attraper le fameux objet tombé au sol. Et c'est sans réfléchir que j'ai appuyé sur la détente, visant l'agresseur. C'était la première fois que je touchais une arme, mais lorsque j'ai vu que je n'avais pas loupé ma cible, je me souviens avoir été "envoutée" par une sensation très étrange, mais que j'ai trouvé agréable. Les jours suivants ont été les plus horribles de ma vie. Mon esprit ne cessait de revoir cette scène, et j'étais partagée entre plusieurs pensées. A force d'y réfléchir, je me suis mise à penser que de toute façon, les gentils se faisaient toujours avoir, alors à quoi bon l'être ? C'est à ce moment là que j'ai pensé recommencer, à en faire mon métier. Le temps m'a permis cela. Certains se sentent bien lorsqu'ils sont au calme chez eux, moi je le suis lorsque j'ai une arme dans les mains. »
* Citation d'Elsa Triolet
Dernière édition par Olympia C. Torres le Ven 16 Avr - 12:11, édité 11 fois |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 6:08 | |
Bonjour et bienvenue sur TDS. Bon courage pour la confection de ta fiche, le staff est a ta disposition en cas de problèmes ou de question. |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 6:46 | |
welcome in NYC miss bon courage pour ta fiche. |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 9:39 | |
Welcome |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 10:50 | |
- Cash Systol a écrit:
- Bonjour et bienvenue sur TDS.
Bon courage pour la confection de ta fiche, le staff est a ta disposition en cas de problèmes ou de question. +1 parce que j'suis pressée XD Bon choix d'avatar |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 11:27 | |
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 12:08 | |
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| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 12:57 | |
Merci à tous ! Au passage, Cash Systol, j'adore ton rang *je sors*
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| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 18:43 | |
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| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 20:31 | |
Bienvenue sur NY-TDS ! Torres J'suis pas pour Liverpool mais j'adore ce joueur ! Ahem xDDD |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 22:09 | |
Merci 8D Euhh, je suis tellement pas douée, que j'ai réussi à faire une faute de frappe dans le titre de ma présentation , et sur le nom de mon perso en plus. Et bien sûr, je n'arrive pas à le modifier, c'est normal ? oO Ouais, je sais où est la sortie Enfin bref, j'ai terminé ma fiche. Par contre, je n'ai malheureusement pas d'exemple de RP, j'espère que ça ne vous dérange pas. Comme je l'ai expliqué, j'ai arrêté les RPG pendant pas mal de temps, je viens de m'y remettre et NY-TDS est le premier forum sur lequel je me suis inscrite depuis que j'ai repris. |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 23:02 | |
Je vais lire tout ça en attendant pour ce qui est de ton exemple de rp tu peux éventuellement y mettre un bout de ton histoire mais il faut impérativement compléter ce champ |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 23:07 | |
Arfff, bon je vais me débrouiller pour retrouver un ancien RP alors |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 23:23 | |
J'attends ton feu vert Miss |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 23:26 | |
Bon, voila, c'est une présentation sous la forme de RP, j'espère que ça ira |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Jeu 15 Avr - 23:31 | |
Ca ira tout à fait Miss ^^. Alors tout est okay dans ta présentation cependant même si e la manière dont Olympia est devenue tueuse à gages est plutôt explicite ca n'empêche qu'on ne le devient pas du jour au lendemain et j'aimerai avoir plus de détails concernant l'évolution du comportement d'Olympia pour qu'elle en arrive à ces extrêmes. |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Ven 16 Avr - 12:13 | |
Voila M'dame |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Ven 16 Avr - 12:43 | |
Bienvenue sur le forum : ) |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Ven 16 Avr - 13:00 | |
Merci |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Ven 16 Avr - 15:33 | |
Bienvenue parmi nous |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') Ven 16 Avr - 17:28 | |
Fiche validée Mademoiselle =) J'espère en savoir davantage sur le passé criminel d'Olympia dans tes RPs à venir ^^. Bon jeu parmi nous quoiqu'il en soit ! |
| | | | Sujet: Re: Olympia C. Torrez (underco') | |
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| | | | Olympia C. Torrez (underco') | |
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