| Sujet: Daniel Edward Ven 7 Mai - 20:42 | |
Feat "Hugh Dillon"
(c) Jules |
_« Daniel EDWARD »_
_____ This is who I am _____
Daniel, alias Dan' est un homme américain, il est également des origines américaines. John est un officier de police, membre de l'unité des interventions spéciales et du groupe d'interventions paramilitaire à New-York. L'homme est hétérosexuel.
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_____ Wanna know more ? _____
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
La chanson favorite que John aime écouter à longueur de journée est une vielle chanson des Rolling Stones, cette chanson est "She's Rainbow"
▬ Histoire ; L'aube pointait le bout de son nez, déjà, un homme, vêtu d'un T-Shirt et d'une pantalon de jogging courait, de la sueur coulait un peu de partout sur son corps et sur son visage, visage sur lequel la sueur se mélangé dans les traits crispés et fatigués du jeune homme. Tel un grand sportif, il s'était levé de très bonne heure, comme d'habitude et pour bien démarrer sa journée, il avait attaqué un jogging. Presque tout les matins, avant même de se rendre dans les locaux où il travaillait, il réalisait un entrainement des plus sommaires, de la course, et des mouvements d'articulations et de muscles. Ainsi la machine cardiaque du jeune homme était toujours en bonne forme, et il ne risquait pas de se faire mal au moindre effort physique lors d'une intervention. Robert avait toujours tenu un rythme physique plus ou moins élevé, il avait toujours entretenu son corps, le sport lui faisait du bien. Il stoppa enfin sa course, lorsqu'il s'arrêta devant une petite maison de ville, un pavillon sympathique. Il fouilla dans ses poches et en sortit un petit Ipod Nano, il pressa deux fois un bouton et ses oreilles furent remplies d'une des chansons favorites du jeune homme. Il se remit à courir par la même occasion, faisant de son mieux pour éviter les grands-mères promenant leurs chiens et les autres passants qui se levaient à des heures aussi matinales que lui. Après une demie-heure de plus, il arriva enfin devant chez lui, une petite maison semblable à bien d'autres, des petits pavillons de classe moyenne. Rob' marchait doucement dans la petite allée qui séparé son petit jardin en deux côtés marqués, le point commun entre les côtés étaient la coupe parfaite de la pelouse, sans être un jardinier, le jeune agent entrenait le petit bout de terrain devant chez lui. ruisselant encore de sueur, il déverouilla bien vite la porte de sa maison. A l'intérieur, un petit air frais le fouetta de plein fouet, il ne put s'empêcher de faire un petit sourire, rien de mieux que la fraicheur de sa maison après un effort physique. Dans quelques instants, il serait encore mieux, sous une douche à l'eau froide. Le peitt hall était baigné par une fraicheur naturelle et il était plongé dans un demi-noir, on y voyait juste assez. Il grimpa rapidement les escaliers qui lui faisait face, une fois au premier étage, il marcha trois devant lui, une porte était entrouverte. Il l'ouvrit, la salle de bain, décorée selon une charte très simple s'offrait à lui, en face de lui, un meuble à deux éviers, à côté de lui, une cabine douche. Il se mit nu rapidement, prenant soin de mettre ses vêtements sales dans la corbeille à linge. Cette maison, c'était un héritage de ses parents, l'un des cadeaux offerts à son admission à l'école militaire, son frère avait eu une maison semblable dans un autre quartier de la ville.
Quelques minutes plus tard, Daniel était lavé et il avait de nouveau enfilé des vêtements des plus simples, ces derniers étaient provisoires, dés qu'il serait dans les locaux du SWAT, il aurait la presque obligation de mettre sa tenue d'intervention, il devait se tenir prêt à partir en cas de soucis immédiat, la rapidité, voici l'un des mots clefs du parfait agent. Il se prépara rapidement, attrapant un sac de sport, il le remplit d'affaires propres et il quitta sa maison, après avoir avalé deux verres de soda à rabord. L'un de ses amis et collègues devait venir le prendre, ils se rendaient au travail ensemble, pas par soucis d'économie, simplement, ils avaient les mêmes horaires et ils se trouvaient dans la même équipe, aussi, ils étaient devenu très amis. Il n'attendit pas longtemps, avant qu'une voiture noire s'arrête devant lui, et que la vitre s'ouvre. Un homme blanc, plutôt grand était au volant, il déclinait un sourire et il prit la parole.
-T'attends quoi ? Monte, on va être en retard !
En souriant à son tour, Daniel se dirigea tout d'abord vers le coffre qu'il ouvrit et où il posa son sac de sport, puis, après l'avoir refermé, il se dirigea vers la portière avant du côté passager et s'installa. Son collègue prit de nouveau la parole.
-On n'est pas loin et ça roule pas mal, ce matin, ça va être tranquille, monsieur l'agent !
-J'espère qu'il va y avoir de l'action, c'était calme ces derniers jours !
Le conducteur ne parla plus, se concentrant sur la route, il faisait chauffer ses neurones, il devait absolument doubler la voiture de devant. Il le fit et très vite, au loin, les locaux du SWAT, bâtiment éminent du bloc des bâtiments de police se dessinait au loin. Les agents de police et les agents du SWAT ne s'entendaient pas spécialement bien et pourtant, ils devaient travailler côte à côte, dans deux bâtiments séparés mais très proches et les relations entre les deux étaient obligatoires pour une traque efficace de la criminalité. Après dix minutes de plus à rouler, la voiture se stoppa enfin dans le parking réservé.Edward sortit de la voiture, puis, il regarda son ami faire de même, ils prirent leurs affaires dans le coffre et se dirigèrent tout deux vers l'entrée. Ils ne virent que quelques collègues à qui ils dirent bonjour. Ils se dirigèrent rapidement vers la réception, un tableau indiquait l'Ordre du Jour, une surprise attendait, en parcourant le listing des yeux, ils purent voir que deux unité avaient un briefing commun, et cela n'arrivait pas souvent, en général, cela arrivait seulement sur les grosses interventions où le risque pouvait être élevé. Le briefing débutait dans pas longtemps, juste le temps de mettre la tenue d'intervention, l'arme attendrait sagement à l'armurerie. C'est avec hâte que les deux hommes partirent en direction des vestiaires.
En trois minutes, Daniel et son ami étaient équipés, un casque à la main, ils avaient sur eux la tenue règlementaire d'intervention de la brigade d'élite de la police. Un appel micro se fit alors entendre.
"L'unité deux et quatre doivent se rendre immédiatement en salle de briefing. Je répète, l'unité deux et quatre doivent immédiatement se rendre en salle de briefing."
Dan était déjà en marche pour cette dernière, très vite, il vit des collègues arrivaient de toutes parts, eux aussi, étaient convié. Il reconnu quelqu'uns d'entre eux, Un certain Herbert Dickson, un homme qui avait participé à de nombreuses interventions célèbres. Il salua de loin cet homme et quelques autres collègues et pénétra à l'intérieur de la salle de briefing numéro deux, la plus grande après la une. Dans la salle se trouvait déjà deux hommes en uniforme, et un troisième, vêtu en civil qui tripotait sans arrêt ses moustaches. Le plus âgé de tous, frappa dans ses mains et très vite, les bruits de fond ne firent qu'un souvenir, un silence de mort règnait dans la salle. Il se râcla la gorge et prit la parole d'une voix grave.
"Bien, débutons, nous n'avons pas beaucoup de temps à perdre en discours. Comme vous le savez, Powel Franz, ce criminel dont les médias ont tellement parlé le mois dernier doit se rendre au tribunal afin de témoigner contre certains barons de la drogue. Et c'est aujourd'hui qu'il doit rejoindre le tribunal afin qu'on entende ce qu'il a dire. Et votre mission sera de conduire Powel jusqu'au tribunal sans qu'il meurt. On se méfie notamment des groupes qui sont assez infulents pour le faire tuer ou le récuperer avant qu'il puisse arriver le tribunal. Pour vous expliquer le déroulement des opérations, je laisse la parole au superviseur. "
L'autre homme en uniforme prit la parole, tout en marchant un peu, l'homme qui venait de parler recula, laissant le superviseur parler à son tour.
"La situation est la suivante, nous ne savons pas si une attaque va avoir lieu mais nous supectons fortement un risque d'attentat quelque part pendant le trajet. Deux unités ont été mobilisés, deux 4x4 seront donc en circulation, tout deux sous escorte d'agents de polices de la ville de Trinity, un soutien aérien sera également apporté par un hélicoptère, piloté et armé par des tireurs d'élites. Le prisonnier sera chargé dans la cour intérieure de la prison dans l'un des deux 4x4, pour éviter que les journalistes voient dans lequel il sera. Le moins de personne au courant, ce sera le mieux."
L'homme avala sa salive et reprit la parole d'une voix plus rassurée.
"La route a été bloquée depuis ce matin, aussi la circulation sur tout le parcours sera dégagée, aucuns autres véhicules que ceux du SWAT et de la police seront autorisés à prendre les routes que nous utiliserons. Messieurs, bonne chance. Rendez vous directement à l'armurerie puis vous vous dirigez immédiatement vers le garage, vous restez avec votre unité."
Ces longs briefings étaient monnaie courante dans la vie du pauvre Daniel, en effet, ce dernier avait vécu de pareils briefings tout au long de sa vie, tout d'abord, lorsqu'il était enfant, dans l'école catholique où ses parents avaient inscrits leurs deux enfants. La sœur Marie Christine avait sermoné Daniel pendant plusieurs années parce qu'il avançait des théories pro-militaires.Ensuite à l'école militaire, Dan avait écouté des heures durant des discours, puis le temps de ses premières missions en Irak étaient arrivés et là, les briefings s'étaient montrés pires, ceux de l'unité d'interventions n'étaient pas moins pénibles mais au moins, ils étaient variés.
Son regard parcourait l'assemblé et ce dernier s'attarda sur une jeune femme, cette dernière était en tenue d'intervention également, voir une femme vêtue de la sorte entre ces murs était plutôt quelque chose de peu courant, c'était même la première fois. Daniel n'avait pas eu beaucoup de collègues femmes tout au long de sa carrière, lorsqu'il était encore dans l'armée, il avait pas vraiment eu l'occasion s' s'attarder sur ses relations amoureuses, bien au contraire, il avait laisser sa vie sentimentale totalement à part. Il ne conaissait plus les plaisirs d'une nuit d'amour depuis bien longtemps. Lorsqu'il avait décidé de s'engager dans l'unité d'intervention, après avoir perdu son frère en Irak, il n'avait pas eu beaucoup de temps à lui. Il consacrait sa vie au travail, depis qu'il avait pris la décision de s'engager de nouveau dans les forces armés, car il ne voulait pas sacrifier sa vie, celle de son frère, c'était déjà bien assez. Il avait montré des états de services irréprochables.
Daniel se leva, la mission qu'il devait réaliser serait l'une des plus instructives mais elle serait risquée, il était presque certain qu'un groupe tenterait d'attaquer le convoi pour récuperer la cible.Dan se dirigea rapidement vers l'amurerie au même étage et s'équipa, son arme de précision et son arme de point ainsi que sa matraque qu'il accrocha à la ceinture. Il prit ensuite l'ascenseur et descendit au sous-sol, autrement appelé le garage, une réelle agitation tourmentait les lieux, des agents couraient, certains avaient déjà leurs casques, d'autres marchaient en direction des deux véhicules.Joh' repéra son unité, dans la deuxième voiture. Il monta à l'arrière, à côté d'un homme du nom de Julien Rodriguez, à côté de ce dernier un homme que tout le monde nommait Stiewart. Devant, le chauffeur était Rico et le passager, un homme répondant au nom de Bil. Robert mit son casque sur les genoux et attendit quelques instants, que la voiture démarre. Une radio cracha quelques mots, l'autre voiture testait les appareils et la récéption était bonne. Chacun vérifia ensuite si le cannal de sa radio personnelle était bon. Le 4x4 blindé démarra ensuite. La lumière du jour tranchait parfaitement avec l'allumage aux néons du garage. A la sortie, quatre voitures de police attendaient, deux voitures se mirent devant et le premier 4x4 suivit, le deuxième également, les deux autres voitures fermaient le convoi. Des barrières retenaient déjà des journalistes et leurs appareils photos, Robert n'avait pas forcément envie d'apparaitre sur un des clichés, aussi, il s'empressa de mettre son casque, sa cagoule se serait pour plus tard. Après de longues minutes dans la voiture, à écouter les idioties de l'auto-radio et de quelques mauvais morceaux de musique, ils arrivaient enfin devant la prison, là, un mouvement de foule grandiose remplissait chaque côté des barrières, des journalistes, des civils, des curieux et des manifestants. Les quatre voitures de police stoppèrent leurs moteurs, elles n'étaient pas autorisées à rentrer dans la cour. Les deux 4x4 pénètrerent à l'intérieur, un bruit d'hélicoptère grandissait. Les agents sortirent rapidement des deux voitures et ils se placèrent de façon à que tout les côtés des 4x4 soient couverts. Un gardien, fusil à la main s'approcha du plus gradé des agents du SWAT et lui parla quelques instants, très vite, deux grilles s'ouvrirent et deux gardiens firent place, entre eux, un homme vêtu de orange, attaché. Le haut gradé du SWAT prit la parole.
"Mettez vos cagoules, il n'est pas question que ce salaud vous reconnaisse."
Daniel quitta rapidement son casque, enfila sa cagoule d'intervention et remit son casque par dessus. Le prisonnier était enfin là, il monterait dans le deuxième 4x4, un agent, Julien était envoyé dans le premier. Il relevait de Robert et de ses collègues de veiller sur le prisonnier pendant que le premier véhicule ouvrait la voie. Robert se dirigea de nouveau vers son véhicule, la cible était située au milieu des deux agents, il ne disait mot, il ne bougeait même pas, se contentant de cligner des yeux. La radio cracha de nouveau quelques mots et le convoi se mit en route, sortant de la prison, les flashs ne cessaient pas. Les voitures de police avaient prises leurs places de nouveau. Le cortège quitta la prison rapidement. Tout était calme, le prisonnier se tenait bien, et aucuns soucis n'avaient entachés la route, l'hélicoptère se tenait toujours à une distance respectable. Soudain, on entendit un bruit sourd et en regardant derrière,Dan vit quelque chose qui lui rappelait l'Irak, l'hélico venait d'exploser, des débrits avaient été propulsés un peu de partout. Très vite, le conducteur décrocha la radio, et cria dedans, avertissant la voiture de devant que les choses se gâtaient. Les deux voitures de police derrière s'étaient arrêtées, les agents étaient sorti, armes à la main, ils regardaient les environs. Le 4x4 où se tenait le prisonnier stoppa également sa course et très vite ce fut le cas des trois véhicules devant, les agents de police couraient vers leurs collègues et les agents du SWAT s'étaient regroupés. Le prisonnier était toujours à l'abri dans le véhicule. Le lieutenant s'approcha de ses hommes, en criant.
"Putain de merdre ! On est attaqués ! Miller et Dickson vous me mettez cette pourriture en sécurité, prenez les petites rues et conduisez moi ce truc au tribunal ! Les autres, vous vous séparez en binômes et vous me sécurisez tout ça !"
A peine avait-il finit de parler qu'il tomba au sol, personne ne compris sur le coup, ce n'est qu'en voyant le cadavre troué d'un impact dans la tête, que tous firent le rapprochement, le lieutenant venait d'être victime d'un tireur de précision, armé d'un puissant silencieux. Les agents de police avaient pris place derrière leurs voitures, à couvert. Les autres agents du SWAT venaient de faire la même chose, Daniel se dirigea vers le 4x4 où la cible se trouvait et le fit descendre d'une voix autoritaire, tous étaient à couvert derrières les véhicules, cependant, le lance-roquette qui avait détruit l'hélico ferait de même, si ils restaient ici. Le groupe de terroristes ne se trouvait plus très loin, une voiture chargée d'hommes s'était approchée. On entendait des voix.
"Mec, on le tue, même Powel, ce mec est un vendu ! "
"Le patron a était clair, on veut Powel vivant, il en a pas fini avec lui."
Des portières firent du bruit lorsque les hommes les ouvrirent pour mettre pied à terre, certains d'entre eux étaient armés de fusils automatiques, tous, avaient des armes. Dan fit signe à l'un des agents de police, il fallait agir d'une façon rapide, faire feu dans une coordination parfaite et réduire le groupe d'homme au néant avant que l'un d'eux ne fasse un autre meurtre. Les autres agents étaient du même avis. Lorsque l'agent de police arriva assez prêt de Edward , ce dernier lui confia le prisonnier, et il se dirigea vers le groupe d'intervention. Il murmura.
"On passe en dynamique, lorsque je ferme mon poing, on se lève et on tire ! "
Personne ne disait mot,Daniel compta mentalement dans sa tête jusqu'à trois, puis lorsqu'il fut sûr de lui, il vérifa que son arme était chargée, et il ferma la main. A ce moment, la tension qu'il ressentait était impressionnante, le risque de mourir était tellement excitant ! Le groupe se leva et tous en même temps, ils firent feux, les trois agents de police qui n'avaient pas la sécurité du prisonnier en charge firent de même et les hommes d'en face ne firent pas long feu, ils tombèrent presque les uns après les autres. Les agents se baissèrent ensuite, et après un certain temps, John se releva, des cadavres gisaient dans la rue, les quartiers étaient déserts, les curieux avaient pris la fuite, il ne restait personne. Daniel sortit son portable et composa le numéro des urgences.
"Ici, l'Agent Edward, matricule A55-789, à l'angle de la deuxième et troisième rue, une fusillade a éclatée, nous demandons deux ambulances dans plus brefs délais, six morts, je répète six morts."
Il n'attendit même pas la réponse, il fit signe à ses camarades.
"On conduit la cible à bon port quand même, la mission n'est pas terminée."
Le reste de la mission se passa plutôt bien, sans encombres, et Powel put témoigner comme il le fallait, cependant, dans cette mission, la ville avait perdu un héros, un lieutenant du SWAT. Deux heures après, John était nommé Sergent.
▬ La plus grande honte du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Lorsqu'on parle de honte, Daniel se cache bien de parler de ce qu'il a fait lors de l'une de ses missions en Irak, lorsqu'il était soldat en Irak. Alors qu'il se rendait en mission, ils ont reçu un ordre de massacrer les habitants d'un village où des bassistes avaient été repérés.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
L'enfer... Que peut-on appeler enfer après ce que Daniel a connu en tant que militaire, et maintenant en tant qu'agent de la brigade d'interventions spéciales ? Il a vécu des situations comparables au domaine de Satan, des prises d'otages, des enfants sacrifiés après l'échec de négociations.
▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Le paradis est une chose bien complexe à définir, pour Dan , le paradis serait une vie devant la télévision, à regarder le football américain à la télévision, bouteille de bierre à la main, casquette résevoir vissée sur la tête et une bande d'amis, criant contre l'équipe adverse et criant lors des essais. Ca, c'est un véritable paradis !
▬ Crimes déjà commis ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par voter personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel.)
Dan a déjà tué plusieurs personnes dans le cadre des interventions uniquement, lorsqu'il est sûr d'avoir reçu un Scorpion de la part des supérieurs, bien qu'il soit maintenant responsable d'une équipe.
_____ Behind the screen ? A player ! _____
▬ Prénom ou pseudo ;Yoann ▬ Âge ; Un petit vieux d'une vingtaine d'années ! ▬ Où avez-vous connu le forum ;Partenariat, il me semble. ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Le convoi glissait tranquillement dans la circulation matinale, les routes étaient dégagées au fur et à mesure par les motards de la police de Los Angeles. Robert était à l'arrière, à côté d'une fenêtre, à sa droite, le prisonnier cagoulé se tenait tranquillement, il n'ouvrait pas la bouche, il ne disait rien. De l'autre côté, une autre persnne était assise, un autre agent du SWAT, Robert l'avait déjà aperçu au Quartier Général mais ils ne s'étaient jamais vraiment parlés, cependant, aujourd'hui, ils se retrouvaient ensemble sur une mission qui promettait d'être calme. Comme un voyage organisé, sauf que les encadreurs étaient armés, escortés et qu'un hélico repassait en revue la circulation pour éviter tout problème de sécurité. Le convoi était pour le moment calme, le seul bruit que l'on pouvait entendre dans le véhicule blindé était les injures et les phrases que le conducteur, un certain McClod. Cet homme était très curieux, il ne cessait de faire des commentaires sur le travail des motards, ces derniers n'allaient pas assez vite à son goût, cependant, les motards comme les policiers du LADP mettaient tout en œuvre pour que cette mission soit réussie, eux aussi, étaient responsables en cas de problèmes, et eux aussi, ils risquaient leurs vies, bien que les agents de l'unité d'élite soient ceux qui étaient chargés du paquet à proprement dire. Sur cette mission, les deux Sierra étaient des agents dans un hélicoptère, en cas de problèmes au sol, ils devraient se stabiliser et l'hélicotpère serait exposé aux risques d'un éventuel fusil de précision ou d'une arme lourde. Robert vérifia que le prisonnier ne tentait rien d'un coup de tête donné en sa direction. Ce dernier était encore calme pour le moment, rien de dangeureux. Le convoi s'engageait maintenant sur le périphérique de la ville de Los Angeles, à cette heure, il devait être relativement peu encombré, de plus, afin de ne pas ralentir la vitesse des véhicules de la police, les motards et les voitures du LAPD continuaient le travail d'ouverture, redoublant même d'efforts afin de permettre au convoi de garder une allure convenable.
Le détenu qui était à bord du 4x4 s'agitait, il était de plus en plus pénible, il s'était pourtant montré calme jusqu'à maintenant, sentait-il que bientôt il serait impossible pour lui de se défiler, comme tout les criminels, ces derniers se défilaient, ils n'avaient pas même le courage d'assumer leurs actes. Des lâches. La cible se plaignait, il voulait boire, il ne voulait pas de cette cagoule, il disait qu'il avait chaud, et que par ce temps, il pouvait faire une attaque cardiaque et ainsi, il pouvait mourir. Il disait qu'il avait faim, il voulait manger immédiatement. Le ridicule monta jusqu'à un point presque comique, ce dernier, après n'avoir rien obtenu des agents du SWAT, proposa de l'argent à ces derniers, en effet, dans une tentative ultime, il proposa de payer 200 000$ aux agents si ces derniers le libérait. Malheureusement pour lui, cette proposition fut reçue par des rires moqueurs de la part de l'équipe. Robet ria lui aussi, il ne mangeait pas de ce pain là. Au bout d'un certain temps, le suspect devenait vraiement très pénible, ne cessant d'ouvrir la bouche, entre ces commentaires et ceux de McClod, la voiture était amplie d'un bruit grandissant et pénible. S'agitant vraiment trop, il manqua de couper ses liens, heureusement, il n'en eu pas l'occasion, au bout d'un certain temps, les deux recrues durent le calmer. La radio de Hewson fit entendre quelques paroles, le parcours semblait sans encombres, dans peu de temps, ils auraient terminés leur mission. Le lieutenant répondit à l'homme, ils continuaient et ils entraien een ville, le lieu de rendez-vous n'était plus très loin maintenant. Robert fixait toujours le paysage à travers la fenêtre. Alors que le convoi continuait, la voix reprit la parole dans la radio, une voix légèrement plus excitée. Du mouvement... Il y avait du mouvement, il fallait de route et vite d'après la voix.
Trop tard, le véhicule venait de s'engager, un motard fut emporté sous le choc. Une voiture de police, juste devant fut envoyée contre une cabine d'arrêt de bus, Robert n'eut pas le temps d'en voir plus, immédiatement, Hewson ouvrit la porte du véhicule, et descendit. Très vite, McClod retrouva son sérieux, manœuvra le camion de façon à ce que qu'ils soient un minimum à l'abris des véhicules qui ne cessaient d'arriver. Robert ouvrit la porte, et se mit à l'abris derrière le véhicule, ses collègues faisaient la même chose. Robert enclencha un chargeur dans son MP5, vérifa que le cran de sécurité n'était pas enclenché et se mit à faire feu, les agents du LADP et du SWAT se trouvaient tous à couverts, pour faire feu. Robert toucha quelques hommes, son collègue, qui se trouvait de l'autre côté du détenu lors du transport venait de lancer une grenade. McClod vint rejoindre Robert à l'arrière, les deux hommes firent de nouveau feu, ils se mirent ensuite à couvert. Et se levèrent de nouveau pour tirer. Robert vida rapidement son premier chargeur, après de nombreux tirs, il ouvrit une poche de son gilet tactique et en sortit un chargeur tout neuf qu'il mit à la place de l'ancien. Il se releva de nouveau et fit feu. Robert regarda le groupe, il se releva et il tira de nouveau, en se baissant, il s'exprima.
-On est dans de beaux draps !
Robert tira une rafale de plus en direction des véhicules qui abritaient les attaquants, les agents du SWAT et les agents de police étaient pris entre deux groupes de voitures qui bloquaient le passage à tout le monde, Robert et McClod luttaient à l'arrière pour contenir le flot de criminels, certains tombaient, morts au milieu des autres, qui eux continuaient à livrer combat, grattant quelques mètres de terrain. Robert mit son en arme en joue, visa et ouvrit le feu sur un petit groupe de trois personnes, ces dernières tombèrent. L'ex-GI se remit à l'abris derrière une caracasse de voiture, essuyant des tirs de fusil d'assaut. Robert tenta un mouvement de tête, mais il se remit à couvert, car d'autres tirs arrivaient sur sa position. Il changea radicalement de tactique, il détacha une grenade de son gilet tactique, fit sauter la goupille, et il la jetta, cette dernière explosa plus loin, il ne vit pas si cette dernière avait pu causer des morts. Il reprit son MP5 en main, et de nouveau, il tira quelques balles en direction de ses adversaires. McClod faisait de même, alternant position de couvert et position d'attaque, il ouvrait beaucoup moins la bouche en ce moment, ce dernier ne faisait presque aucuns commentaires, il se concentrait, tout comme les autres agents. Un agent de police arriva à côté d'eux, il ne prit pas la parole, mais il se mit à tirer rapidement, avec son arme de service. .
▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 7/7 ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK par Cahs ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Célébrité sur l'avatar ; Hugh Dillon ▬ Multicompte(s) ; Non ▬ Un dernier truc à dire ? ; BLABLABLA
Dernière édition par Daniel Edward le Sam 8 Mai - 10:24, édité 4 fois |
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