Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste.
C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! Aux objets répugnants nous trouvons des appas ; Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas, Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.
Charles Beaudelaire. Les Fleurs du Mal.
Dernière édition par Hayden X. Konnors le Ven 5 Juin - 9:39, édité 11 fois
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Jeu 4 Juin - 15:27
╔══════════════╡Informations de base } ║ ║ n o m ; Konnors ║ p r é n o m ; Hayden. X ║ S u r n o m ; Mister X ╠═══════ ║ â g e ; 38 ans ║ s e x u a l i t é ; Hétérosexuel ║ n a t i o n a l i t é ; Britannique ║ m é t i e r ; Trafiquant d'oeuvres d'art. Illusionsite. ║ g r o u p e ; Hors la loi ╠═══════
╔══════════════╡Informations sur l'aspect physique } ║ ║► p h y s i q u e ; Un homme qui se dessine au loin, telle une ombre passagère. Un anonyme qu'on ne connaîtra jamais. On trottine à ses côtés, claudiquant certainement vers les immenses tours de verre où le boss nous attends. La réunion est datée pour 09h50. On a le temps. Un réverbère, puis la silhouette fantomatique du grand boulevard. Le Tex mex qui fait l'angle semble nous faire de l'œil mais qu'importe. Il attendra midi. On risque un coup d'œil vers ce passant singulier, qui dénote avec élégance dans le capharnaüm quotidien de New York City. De haute taille, il est vêtu à l'anglaise et sa démarche mesurée, franche, nous rappelle les vieux films de James Bond, avec Sean Connery au premier plan. Une barbe de trois jours pourtant, seule ombre au portrait britannique. Propre sur soi. Un teint qu'on devine pâle, sous le bronzage estival. Une main, à la fois forte et délicate, vient s'égarer dans la sombre chevelure, bien coiffée. Il a l'air d'un dandy. Ceux des films en noir et blanc qu'on allait voir autrefois, dans les cinémas de plein air, accompagné d'une jolie fille dont on voyait les cuisses.
Sa corpulence, fière et gourmande pourrait jouer en sa défaveur s'il ne l'assumait avec tant de classe. Personnage imparfait qui joue de ses défauts. Magicien qui ne compte que des atouts. Une bonne femme à chapeau trouble notre champ de vision, l'espace d'un instant. On allume une cigarette tout en enjambant le pont. Lorsqu'enfin la fille au cocker rattrape la petite vieille, on recouvre nos sens et notre objet d'art. Il fait un écart sur le côté. Nos yeux se mêlent et se démêlent. C'est à cet instant que j'entrevois tout à fait, l'être qui me surplombe, de toute son arrogance dument méritée. De beaux yeux noisette, qui brillent de cette aura cynique, propre aux adolescents revêches. Un coulis de suffisance, nappé d'une intelligence innée. C'est un regard savamment étudié, comme chacun de ses gestes, aussi infimes soient ils. L'homme m'intrigue tout autant que la mallette qu'il transporte avec une nonchalance feinte.
Il sort de sa poche – celle de son costard brun – une paire de lunettes de soleil, peut être destinée à me cacher les millions de secrets défendus qui sommeillent au fond de ses yeux troubles. Il tourne à droite. Dépité, je m'engage sur la cinquième avenue, regardant s'éloigner ce rayon de lune venu du nord. Venu d'on ne sait où. Son blazer lui sied parfaitement et je me surprends à l'envier, moi qui débourse des milliers dans des costumes tout juste passables. Il aurait pu se vêtir au secours populaire qu'il n'en aurait pas eu l'air moins important. Une minute s'écoule avant que son croquis ne disparaisse à jamais.
╔══════════════╡Informations sur la mentalité } ║ ║► c a r a c t è r e s ; m a r y _ Je n'ai jamais connu un homme si imbus de sa petite personne! c h a r l e s _ Reconnais tout de même qu'il marie le tout avec élégance, Mary.
La jeune femme éluda la remarque d'un haussement d'épaules, laissant couler le liquide brunâtre dans son verre de cristal. Âpre et amer, elle avait toujours su apprécier ce savant mélange. Sa concoction personnelle comme elle aimait à surnommer cette liqueur acide. Son mari, Charles était assis dans un canapé de chintz, fumant le cigare comme de coutume. Chacun ses addictions.
m a r y _ Certes. Je le conçois très cher, mais quelle arrogance. Je n'aime pas cette façon qu'il a de se faire voir tout en restant discret, en retrait de nos convives. C'est comme si – elle semblait chercher le mot approprié – Comme s'il était là en catimini et qu'il s'imprégnait de chacune de nos actions. c h a r l e s _ C'est le métier qui veut ça, chérie. Tu devrais le savoir mieux que quiconque. Je trouve pour ma part, qu'il a du potentiel et qu'il pourrait aller loin, si quelqu'un daignait l'introduire dans le bon cercle. m a r y _ Il ne se fera jamais à la vie new yorkaise. Ce besoin de tout contrôler. Cette hantise de l'échec … Les Ameriques sont bien trop grandes pour se minimiser à la portée d'un seul homme.
Le murmure des conversations filtraient du travers de la petite salle recluse. Le couple Roasenberg n'avait jamais été heureux en ménage. Ils ne s'en cachaient toutefois point, assenant avec volupté qu'ils s'entendaient sur leurs affaires communes. Par cela, on pouvait entrevoir mille sous entendus mais il n'en était pas moins, au demeurant, question d'argent. Ce soir pourtant, alors que leurs hôtes festoyaient dans le grand salon, le couple débattait des humeurs d'un nouveau lascar, que monsieur avait dégotté au petit bonheur la chance … Ou pas.
c h a r l e s _ Nous ne pouvons pas nous permettre de cracher sur de belles perspectives Mary … Dois je te rappeler combien tu as dépens … m a r y _ Très bien Charles - elle lui coupa la parole d'une voix sèche et sans appel – Fais en donc à ta guise, comme d'habitude. Mais ne me demande pas d'être d'accord avec toi. C'est un fort beau garçon, propre sur lui, élégant et cultivé. Il conviendrait parfaitement comme gigolos de ces dames. Mais ce n'est point un homme honnête en affaires. c h a r l e s _ Comment le sais tu ? m a r y _ Intuition féminine.
La conversation coupa court à cet instant même où la servante venait les informer du dessert. Les hôtes gagnèrent la table. Ils avaient l'habitude de recevoir et nul ne pu entrevoir ce gouffre qui s'était immiscé entre eux. Cruel jeux de manigances. Les dames de l'apparence. Échec et mat, on fait semblant. Et on le fait avec tact lorsqu'on s'appelle Roasenberg.
h a y d e n _ Désirez vous un peu de vin madame ?
Leurs regards se croisèrent et Mary comprit qu'elle avait raison. Elle comprit également que son mari ne se lasserait point du jeune homme. Pas tant que ce mister Konnors ne l'aurait point souhaité. Il tenait les rennes de la conversation comme il tenait les couilles de son mari. Un sourire cynique. Un regard plein de promesses. Ils se comprirent l'un l'autre et Hayden remplit son verre, en bon manipulateur qu'il avait toujours été. Pas d'effusions, les sentiments n'avaient point leur place dans la vie de cet homme. Madame était une femme de bonne nature, pleine de bon sens. Elle apprit bien vite que le monsieur avait de la suite dans les idées, qu'il ne laissait rien au hasard, et surtout, qu'ils n'étaient que des pions sur l'échequier de ces projets.
║► r e l a t i o n s ; Hayden n’est point homme de cœur. Les histoires passionnelles, il n’en a cure et les laisse volontiers aux poètes en dérive. Côté femmes, il est plutôt animal à satisfaire ses besoins primaires. Loin de se morfondre dans une cage de jalousie, il s’envole et bat des ailes, de nid en nid. Homme volage et sans attaches donc. Ce qui convient parfaitement à son tempérament calculateur. Sincèrement, il se voit mal vivre la routine d’un père de famille à quarante ans. Les femmes l’aiment et il les aime.
Côté amical, aucun port où ancrer son navire. Il préfère voguer en solitaire sur le tumultueux océan de sa manipulation. Les autres ne sont que des pions sur l’échequier de ses projets. Malhonnête, infidèle, il est du côté des gagnants. Ne jamais lui faire confiance pour quoi que ce soit … Telle est la règle d’or si vous ne souhaitez point finir encadré comme énième tableau de chasse. N’oubliez jamais que pour cet homme, tout a un prix. Même vous.
║► e n f e r ; L'enfer c'est les autres écrivait Sartre au début du siècle dernier. Un grand homme que ce monsieur qui su réduire à cette maxime l'implacable sentiment de solitude qu'éprouve Hayden au quotidien. La vie est un jeu où il vaut mieux être bon stratège. Pour notre dandy, les autres ne sont que des obstacles, des pions qui avancent leurs atouts, lui mettant des batons dans les roues. Toutefois, il a besoin de cela pour avancer, pour ne pas chanceler. Son esprit de compétition demeure omniprésent. Pour en revenir aux enfers, Hayden n'a pas de conception précise. Pas plus qu'il n'a de conception de la religion d'ailleurs. Ce dont il est certain toutefois, c'est que l'homme est un loup pour l'homme. Peut être qu'en fin de compte, c'est ça l'enfer ... La vie sur Terre. A moins que ce ne soit ce que les cathos apellent le purgatoire. La prise de conscience de notre misérable condition humaine. La certitude que quoi qu'on fasse, nous ne serons jamais tout puissants. ║► p a r a d i s ;
Dernière édition par Hayden X. Konnors le Dim 7 Juin - 14:22, édité 29 fois
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Jeu 4 Juin - 15:28
╔══════════════╡Hitorique de H a y d e n } ║ ║ h i s t o i r e ; ║ c r i m i n a l i t é ;
Dernière édition par Hayden X. Konnors le Ven 5 Juin - 9:45, édité 6 fois
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Jeu 4 Juin - 15:28
╔══════════════╡Informations sur Vous } ║ ║► p s e u d o ; Loü ║► â g e ; 19 ans ║► N.Y. D a r k s i d e ; Bon contexte ║► f o r u m ; Par hasard en surfant de fow en fow ║► n i v e a u R P ; Deux pages Word. Selon l'inspi. ║► E x e m p l e R P ;
Spoiler:
"Je ne sais pas, en vérité, pourquoi l'homme tient tant à la vie. Que trouve-t-il donc de si agréable dans cette insipide succession des nuits et des jours, de l'hiver et du printemps ?"
Combien de fois ais je ressassé ces pensées. Avant, quand tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes. Stupide philosophie adolescente dont j’étais si fière. A tout juste dix huit ans, on se pense invincible, on rêve la terre à nos pieds. On se laisse aller à de vils songes, qu’on suggère fort pertinents, mais qui ne sont en réalité que la preuve immatérielle de notre ignorance.
Hiver eternel. Beau paysage qui enveloppe mon âme d’une candeur angélique. Poétique décor que j’apprécierai peut être si le froid ne dévorait pas ce qu’il me reste d’humanité. Aquarelle d’aventures qui éclipse l’habitude, insipide, dans un relent de mort générale. Le grand chavirement, l’anéantissement total de notre triste quotidien. Devrais-je me réjouir de toucher enfin, du bout des doigts, ce que j’ai toujours souhaité connaître ? Dix neuf années d’existence à chercher en vain ce petit quelque chose qui mettrait à bas nos lamentables routines, sans remords. Sans aucun espoir de marche arrière. Et dés lors que je goûte enfin à ce met délicat, je voudrais que tout redevienne comme avant, petite lâche que je suis. J’idolâtre ma vie passée, tous ces moments que je ne découvrirais jamais. Je me raccroche à chaque souvenir perdu, comme un avare grignoterait les dernières miettes de son butin, parti en fumée. Tout s’envole. Les visages, les couleurs, les chansons. Tout ce qui me semblait insignifiant prend soudain tout son sens, toute son importance. Partout où mes yeux se posent, ce n’est qu’un vaste plateau de jeu, tout en noir et blanc. Jeu cruel, jeux de manigances. Jeu dans lequel je ne suis qu’un pion. Un pion qui rame sur le tapis rouge, espérant gagner un tour, empocher quelques heures de survie supplémentaires avant de ne lancer les dés de nouveau. Abject reflet de ma nouvelle réalité.
Une vague s’abat sur mon corps, déjà meurtri par les inlassables affluences marines. Une énième vague. La vague de trop, qui fait que je chavire de nouveau, contre les bras de Sawyer. Il me tient fermement toutefois et je m’agrippe à lui, de mes petites mains. Ces mains, cent fois entaillées par la roche et la glace, et dont il ne reste plus rien qu’un amas d’engelures qui me fait horriblement souffrir. Quoique le froid n’atténue ma douleur, engourdissant les membres. Bel anesthésiant naturel. Je voudrais tout lâcher, abandonner la partie mais je continue à m’accrocher à son bras, unique bouée de sauvetage dans l’immensité de ma solitude. Nous encaissons la vague de dos et je constate avec un faible sourire que l’affrontement fut moins hardi que je ne le craignais. J’ai si froid que j’en oublie d’avoir froid. Paradoxe auto conservateur de mon organisme. La tête toujours accolée contre son épaule, j’observe d’ailleurs son insatiable acharnement. Je suis épuisée. Sa chemise colle à ma peau, pauvres lambeaux humidifiés au goût de sel. Les eaux se rétractent et je serre les poings, dans une ultime tentative de résistance. J’ai tenu bond. J’inspire une bouffée d’oxygène et essuie mon visage trempée, d’un revers manche. Un instant de silence que nous respectons deux, avant que l’urgence de la situation ne nous revienne en tête.
s a w y e r _ On s’en est tirés haha … Je te l’avais dit.
Comment peut-il encore être d’humeur à plaisanter, à m’encourager. Il a bel et bien encaissé le plus gros de l’assaut et pourtant nulle trace de lassitude dans l’intonation de sa voix. La fatigue se lit sur son visage mais il tente de se composer une mine farouche. Je le considère un instant, perplexe. Ne serrait-il point un Titan ou autre créature chimérique de la même espèce. Moi-même, je ne sens plus mon corps. Pourtant, son expression victorieuse s’insinue en mon être pour me hisser au sommet de la victoire. J’esquisse un sourire, franc. Le premier depuis longtemps. Sourire qui se meut en fou rire, certainement du au stress. Je me sens vivante, malgré l’épuisement, la douleur, le froid. Je recouvre espoir et je voudrai le crier au monde entier. Courageuse, je desserre l’étau de mon étreinte et tente de tenir debout, par mes propres moyens. Je titube quelque peu avant de ne trouver appui contre la paroi glaciaire. Je passe une main dans mes cheveux, évasive, savourant silencieuse, l’improbable réussite de ce sauvetage express.
h a n n a _ Ouais, je me sens en pleine forme. Prête pour un marathon.
Hum … Si je suis encore capable de cynisme, c’est plutôt bon signe. Une note d’humour, aussi mauvais soit il me prouve que je suis de nouveau moi. Hanna Santa Maria, pommée dans les sous sols de la bibliothèque avec un vieux James Bond à l’ancienne qui vient de me sauver la vie. Le côté romanesque de la situation m’amuserait certainement si je n’étais point aussi chancelante. La tête me tourne et j’essuie un premier vertige. Il est grand temps que nous rentrions à la bibliothèque. Je le regarde interloquée et m’aperçoit soudain que j’ai perdu le nord.
h a n n a _ Heu … J’espère que tu es le Petit Poucet parce que je vois mal comment on va rentrer à la casa.
La question fut vite réglée. Sawyer m’entraîna par la main, me soutenant tant bien que mal lorsque je manquait de tomber. Il semblait avoir marqué le chemin, dieu sait comment, et ce fut sans encombre que nous parvinrent à l’embouchure du boyau de glace. Les escaliers menant à la bibliothèque semblaient couverts d’eau et le passage était difficile à en juger d’un coup d’œil. Des fils électrifiés s’étaient détachées de leurs gaines, venant s’emmêler dans l’eau pleine. Des gerbes d’étincelles jasaient de ci de là, nous dissuadant farouchement d’emprunter cette voie.
*Il faut trouver une solution et vite*
Tandis que je me faisais cette réflexion, la terre se mit à trembler sous nos pieds et nous chancelâmes à même le sol. Derrière nous, la glace, fragilisée par nos pas, venait de s’ébranler, bloquant le passage que nous venions d’emprunter. Désormais, nous n’avions plus le choix, il allait falloir trouver un moyen de traverser. Sawyer scrutait les lieux, comme s’il était à la recherche d’une nouvelle idée salvatrice. Mon pessimisme reprit le dessus, sans crier gare.
h a n n a _ On est coincés chef.
[HJ: Je suis désolée pour la première personne meuh je ne m'en suis rendue compte qu'à la fin de mon post et j'ai eu la flemme de tout réécrire lol. Je repasse en 3 ème au prochain Rp. Bises. H.]
║► c o n n e x i o n ; 6/7 jours ║► c o d e ; OK. By LV. ║► r e g l e m e n t ; Approuvé & Signé ║► a v a t a r ; Gerard Butler ║► m u l t i c o m p t e ; Nop Chef'
Dernière édition par Hayden X. Konnors le Ven 5 Juin - 10:01, édité 8 fois
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Jeu 4 Juin - 15:28
e.c
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Jeu 4 Juin - 15:54
Bienvenue sur le forum. Un début de fiche originale ... =)
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Jeu 4 Juin - 17:17
bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Jeu 4 Juin - 22:10
Bienvenue !
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Jeu 4 Juin - 22:12
Cash Systol a écrit:
Bienvenue sur le forum. Un début de fiche originale ... =)
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Bienvenue =)
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Jeu 4 Juin - 22:14
Bienvenue
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Ven 5 Juin - 4:13
Je connaissais pas ce poème de Baudelaire, mais encore une fois, pour ce superbe poète, WAW ! x)
Bienvenue, en tous cas x) Bon courage pour ta fiche et merci de ton inscription ! Et bon anniversaire (J'te l'ai dit sur la CB au moment où tu t'es déconnecté T.T")
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Ven 5 Juin - 8:59
Merci les ptits gens =) Oui ... Beaudelaire est ma source d'inspiration. Un grand maître en ce bas monde.
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Ven 19 Juin - 23:26
Dit à Beaudelaire de se secouer un peu alors ^^ si la fiche n'est pas finie pour demain c'est corbeille et tchao pantin
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c Dim 21 Juin - 12:44
Ciao pantin, justement.
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Sujet: Re: || h a y d e n _ e.c
|| h a y d e n _ e.c
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