Feat "Clémence POESY" (c) Herlujiwii

▬ Nom ; WHISE ▬ Prénom(s) ; Pandora Syriana ▬ Surnom(s) ; Pando' ▬ Âge ; 28 ans ▬ Nationalité ; Française ▬ Groupe ; Authorities ▬ Statut et activité dans la vie ; Profiler au NCIS. Elle fait partie de la police scientifique, mais son travail diffère, puisqu'elle peut-être comparée comme une psychologue, psychiatre. Pour simplifier, elle ne cherche pas tout à fait la même chose que les enquêteurs sur une scène de crime. Ma démarche c'est de comprendre pourquoi le criminel a agit comme ça. Comprendre, c'est son boulot. Dresser un portrait du criminel, essayer de savoir ce qui se passe dans la tête de l'assassin. Où sont ses limites, pourquoi a-t-il agit comme ça et non autrement ? Tout un tas d'indices qui lui permettront de connaître le tueur et de le reconnaître. & Célibataire assumée. ▬ Orientation sexuelle ; Bisexuelle

▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;

GOODBYE ; SR-71

▬ Relations ;

Affreusement froide, elle ne porte strictement aucun intérêt aux autres, en général. Pandora n'aime pas la compagnie la plupart du temps, elle préfère largement rentrer seule chez elle, rester seule au boulot, parler seule à son chien. D'ailleurs, ses amis sont souvent avertis qu'elle n'est pas comme les autres. Oui elle les aime, mais à sa façon. On prend un verre ? Ok, mais juste un verre. Son visage impassible et lasse n'inspire d'ailleurs aucune sympathie à son interlocuteur. Mais elle sait être une amie attentive, bien que souvent trop franche. Elle aime les gens simples, mais pas banals. Elle adule les esprits compliqués, les personnes captivantes et intéressantes... Mais ne le montrera jamais. Niveau relation amoureuse, pour faire rapide, Pandora couche si ça lui chante. Souvent sans lendemain, voilà belle lurette qu'elle ne cherche ni l'homme parfait, ni à fonder un foyer, avec mari, enfants et pourquoi pas un poisson rouge. S'encombrer d'un époux ? Devoir rester fidèle ? Ne plus obéir à ses vieilles lois de célibataire (lois plus masculines que féminines) ? Jamais. Alors, restons simple : vous ne l'intéressez pas.

▬ Physique ;

Dieu que le monde est plein de femmes splendides. Dieu que cette ville regorge de fausses blondasses à la poitrine surdéveloppée qui se trémoussent sur 15 centimètres de talons. Et puis au milieu de ce froufrou, de ce dégagement d'hormones en fusion et ces chuchotements de femmes en chaleur, on la retrouve. Fine, élégante et discrète, Pandora n'aime pas qu'on la remarque et donc, ne se fait pas remarquer. Il arrive bien qu'un regard perçant s'accroche à sa chevelure blonde, mais il est rare de découvrir la beauté de cette femme par hasard. Il faut plutôt le chercher. Pourtant Pandora a les atouts pour être une femme avec du monde sous son balcon : grande, musclée comme il faut, un visage peut-être un peu carré mais qui tient bien sur ses épaules. Un regard captivant, bleu ciel, avec des nuances infinies et des tâches plus foncées. Un sourire souvent inexistant, mais qui vaut le coup d'être vue. Mais ce n'est pas seulement son corps, c'est sa façon d'être. Ce regard qui pourrait être accueillant, on voit bien le bleu pétillant de joie, et bien on retrouve une froideur cassante, une impression de vide. C'est comme si elle ne vous voyait pas vraiment, vous passez au travers de son être sans même l'effleurer. Alors oui, peut-être qu'elle n'est pas la femme la plus belle, celle qui brille par son débordement d'énergie, elle n'a pas ces petits mouvements dragueurs et charmeurs qui font d'une femme une personne puissante. A-t-elle le regard noir des tueuses ? A-t-elle le talent des étudiantes ? Non et elle n'en veut absolument pas. Bien tranquille dans ses habits souvent gris ou bleu pâle, avec une once de maquillage, rien de provocant ni d'alarmant. Pour peu elle passerait inaperçu dans la foule.

Mais voyons. Même habillée d'un sac poubelle il restera toujours en elle une beauté naturelle non négligeable. Et même si elle n'aime pas qu'on la suive du regard, c'est toujours un atout d'avoir des arguments convaincants. Les hommes sont souvent basiques. Loin d'elle l'idée de pouvoir mettre tout le monde dans sa poche d'un battement de cils, seulement parfois ça sert d'avoir de quoi dévier un regard intentionné. Et quand il prend à Pandora l'envie de montrer au monde qu'elle n'est pas si banale que ça, autant vous dire que c'est relativement intéressant. Au fond de son armoire, sous une montagne de papier et de dossier, qui sait, peut-être y a t-il une robe moulante, une paire de chaussures à talons, une boîte de maquillage plus subtile. Et qui vous dit qu'elle n'a pas, tout au fond de sa poche, un sourire amusé et charmeur... Après tout, c'est humain de vouloir parfois montrer qui on est.

▬ Caractère ;

Sur les touches d'un piano, je suis le dièz noir qui sonne faux avec tous les accords.
Pour donner un effet dépressif.

Douce douce matinée sur New York. Simple matinée. Les gens se lèvent, se brossent les dents avant d'aller petit-déjeuner (logique quand tu nous tiens), bisou ma femme bisou mon gosse et hop on va s'arracher les méninges sur des casses-têtes débiles. Ou bien on s'appelle Pandora Syriana Whise. Dans ce cas-là, on ne se lève pas à 7h32 49 sec mais à 4h02 du matin, parce qu'on est victime d'insomnie ou parce que la matière grise est en manque d'énigme sans queue ni tête. Et vous, vous êtes le pauvre voisin du dessous qui entend toute la nuit les terribles talons de Mlle Whise, qui fait les 100 pas dans sa chambre, elle teste une expérience. Les limites de la fatigue. Plus sérieusement, Pandora est un peu le genre de fille décalée et à côté de la plaque. Pas loufoque, pas originale ou pétillante d'une joie naïve. Non, juste décalée. Calme, très calme, c'est une personne discrète et qui se garde bien de parler pour un oui ou un non. Elle ne parle que quand elle a quelque chose à dire, ce qui en soit est plutôt rare. Je disais donc, silencieuse mais pas timide. Surtout pas timide, puisque Pandora est une adepte de la franchise, de la petite phrase froide et bien placée pour clouer le bec d'un(e) inconnu(e). Asociable ? C'est fortement envisageable. Par définition elle n'aime pas les gens : qui racontent leurs vies, qui ont une vie banale, qui se rongent les ongles, qui font du bruit quand ils avalent leur café goût chaussette, ceux qui ont des chiens qui bavent, ceux qui portent le pantalon sous les aisselles ou ceux qui ont oubliés que les fesses doivent être recouvertes par un pantalon. Elle n'aime pas la glace parce que c'est froid, mais elle aime bien le chocolat qui sort du frigo. Elle n'aime pas quand on dérange son monde de célibataire, ni quand on vient fouiner dans ses affaires. Pandora n'aime pas parler d'elle. Elle n'aime pas quand vous parlez d'elle. Et elle aime encore moins quand vous parlez de vous. Bon, vous l'avez compris, elle n'aime pas grand chose. C'est comme ça, elle n'arrive pas à s'intégrer à cette société de déréglé du cerveau en manque constant de petites phrases comme Je suis désolée pour toi. Non, elle n'est pas désolée. Elle s'en fout que votre poisson rouge s'est désagrégé dans une eau chaude (bien que ça la ferait plutôt rire) ou, le must du must, que Ken vous a quitté pour sa Barbie. Elle aime les choses qui ne sont pas banales, elle aime quand c'est flou, quand on avance dans un brouillard impénétrable avec pour seul guide une tâche sombre. Ca tourne, se retourne, ça avance et recule. Mais au moins ça la passionne. Alors pour attirer son attention, il n'y a pas 36 moyens: on vous êtes un taré, ou vous êtes un silencieux. Un ou une, bien sûr.

Vous valez bien plus qu'au premier regard.
Mais le regard peut se satisfaire du reste.

Pourtant, Pandora est une personne qui peut se révéler plus passionnante qu'au premier abord. Je n'irais pas jusqu'à dire que sa froideur et son ironie ne sont qu'un masque qui dissimule une personne attentionnée et sensible. Oulà, surtout pas. Mais Pandora est simplement une personne qui a peur de mener une vie monotone, où les jours se confondent, où on oublie de mettre une petite croix sur le calendrier. Alors elle ne s'encombre pas des personnes qui ne rendent pas sa vie plus intéressante. Toujours silencieuse, il n'est pourtant pas rare de la voir dans un bar où assise seule sur un banc en pleine nuit. Pas dans une boîte de nuit où les gens se trémoussent, de frottent le fessard et consomment sans avoir d'argent. Elle préfère les bons vieux bars, où l'air empeste la fumée et où l'alcool est aussi imbuvable que du détartrant pour toilettes. Mais qui se cache donc derrière ces deux grandes perles bleues, derrière ces pupilles noires et glaciales ? Au final, peut-être juste une coquille qui se vide, fissurée au niveau de la poitrine, qui se laisse crever à petit feu. C'est tellement plus intéressant d'observer comment un animal se voit mourir, une mort rapide est justement trop rapide. Pas le temps d'analyser. Pas le temps de comprendre. Plus haut, je parlais du nombre de mots que Pandora sortait en une journée. Sachez surtout que ses conversations se font mentalement, par télépathie. Elle aime les êtres intelligents qui peuvent la comprendre en la fixant, elle aime aussi les personnes franches et elle adore les chieurs en tout genre. Parce qu'elle se fait petite, on peut se dire que c'est une personne influençable voir manipulable. Han han. Grosse erreur. Votre avis elle s'en fout, se faire manipuler elle ne connaît pas. Elle dévie très rarement de son chemin, et c'est souvent pour s'arrêter en bord de route, le temps de faire une petite pause. Mais elle ne vous suivra nul part. C'est bien ça le problème, c'est qu'elle ne suit personne. Et si un jour la personne qu'elle aime disparaît dans la nature, elle ne se rendra compte qu'elle tenait à elle seulement dans le vide qu'elle laissera. Au fond, oui, c'est peut-être une abrutie. Trop confiante, peut-être orgueilleuse. Mais comment confier sa vie à une personne, alors qu'on a déjà du mal à s'en occuper tout seul ?

Je suis tombée dans mon égo,
A quand la fin de la chute ?

▬ La plus grande honte du personnage ;

Jamais présente aux enterrements. Pourtant il y en a eut, dans sa vie. C'est un petit détail que Pandora se garde bien de dévoiler, et il y a de quoi. Avoir une sainte horreur des grosses boîtes en bois, c'est une chose, mais refuser tout contact durant la période de deuil, pas de dîner avec des tartines de caviar, ni de discours en pleurant. Juste un immense vide. Peut-être qu'au fond, Pandora a honte d'être ainsi : dénuée de tous sentiments humains, incapable de pleurer devant du monde.

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;

Certains prétendent n'avoir aucune peur. D'autres de ne craindre ni le feu, ni la mort, mais qui devant un chien enragé, se pissent dessus. Prétentieux, orgueilleux, gamins qui s'adorent, qui s'embrassent les muscles prohibants et noueux. Mais Pandora n'est pas sans peur. Qui peut donc prétendre ? Vous n'avez pas peur de la mort, vous restez pourtant en vie. Vous n'avez pas peur du feu, pourtant vous ne plongez pas votre main dedans. Logique logique, où es-tu ? Menteurs. Bande de menteurs. Pandora a peur de ne plus pouvoir réfléchir. Elle a peur de se retrouver avec sa vie autour d'elle, de n'être capable que de penser à son passé, de ne plus pouvoir avancer. Les pieds enchaînés, les mains liées, Pandora craint de stagner. Rester à un point, alors que le monde tourne et avance furieusement, voir l'horizon fuir devant elle. Et seule, perdue dans le passé, elle ne pourra ni hurler, ni revêtir son merveilleux visage de glace. Ne voir dans le miroir qu'un souvenir. Le monde noir & blanc, l'impression de déjà vu. Une scène passée sur répétition, l'habitude et l'ennui. Le cerveau lessivé par le temps, la fierté défoncée par l'oubli. Et tout se mêle et s'éloigne. Vivre dans le passé, ne plus pouvoir respirer.

▬ Définition du paradis pour le personnage ;

Définition terriblement vaste, pour Pandora. La notion de paradis lui est lointaine est abstraite. Elle n'a franchement aucune idée de ce qu'elle pourrait vouloir plus que tout. Un endroit tranquille, où on lui foutrait la paix, un endroit où elle pourrait réfléchir à toutes ces choses étranges, pouvoir disserter sur la complexité humaine. Mais non, ça n'existe pas ce genre de paradis. Elle n'a pas l'âme d'une aventurière, ne se sent pas prête à désirer un paradis aux plaines infinies et aux rivières tumultueuses. Le silence et le calme (émotionnel) lui suffirait amplement. Alors est-ce que tous les soirs en rentrant chez elle, dans son minuscule appartement, atteint-elle le paradis ? Parce qu'après tout, c'est si calme chez elle, si silencieux. Si on oublie la boule de poil qui lui sert de chien. Alors définition très abstraite. Mais bon pourquoi pas, oui... Pourquoi pas un brin d'amour pour éclairer cette vie ? Bien que célibataire assumée, il manque une touche d'amour dans ce tableau griseâtre. Un endroit calme, reposant, avec une personne qu'elle aime. Et la certitude de ne pas la perdre, encore.

▬ Point faible du personnage ;

Son passé. La personne qui sait ce qui lui est arrivé, c'est une personne qui a tous les pouvoirs sur elle. Aussi elle se garde bien de le dire, elle évite le sujet, préférant passer pour un miroir insensible plutôt que pour un vase fissuré. Ceux qui le connaissent de son plein grès sont ceux qu'elle considère comme innoffensif pour elle. Une personne puissante cherchant à lui nuire devrait aller vite fait regarder un peu ce qui s'est passé, il y a environ 4 ans. Ca ferait avancer le chmil blic. Je parlais de son extraoridnaire sang-froid, et bien quelqu'un qui fait allusion à son passé donnera un bon coup de pied à son mental de fer. Et elle perdra tous ses moyens, se ratatinera sur elle-même, fuiera, disparaîtra et s'emmuera dans son silence. Silence comparable à des hurlements d'effrois dans la nuit. Elle se laissera faire, ne pouvant plus faire la différence entre cette nuit, il y a 4 ans, et le jour présent. Se confondant dans ses pensées. Engloutit par l'eau noire de ses souvenirs. Et celui qui avait découvert la vérité, sera sûrement satisfait de se retrouver avec un chaton appeuré et pétrifié. C'est tellement plus facile à maîtriser.

▬ Point fort du personnage ;

Son sang froid, son mental d'acier. Parce que Pandora est capable de dominer tous ses sentiments, de remballer les larmes ou les cris et de se vêtir de son masque froid. Après tout, n'est-elle pas en contact quasi-permanent avec des fous et des tueurs ? Une personne sensible péterait un plomb, une personne sensée. Peut-on considérer ce sang froid et cette insensibilité comme une folie partielle ? Celle de ne plus savoir vivre dans la réalité, de ne plus ressentir comme cela devrait ? Il y a toujours un moment où l'on s'abandonne à ses instincts. Les fous iront tuer, violer, se passer les nerfs. Les gens normaux iront se bourrer, pleurer, sortir avec des amis ou faire une petite dépression. Pandora elle, respire un coup, ravale tout et tourne les talons. Essayer de la paniquer ? Peine perdue. Tenter de la rendre aimable et conscilliante ? C'est comme pisser dans un violon. Cet atout lui a permit de gravir les échelons à une vitesse effarante, abandonnant derrière elle ceux qui hurlent devant un corps mutilé, ceux qui vomissant devant des tripes répandus à terre. Ceux dont un fusible pète alors qu'on s'arrache les cheveux sur l'esprit sans logique d'un criminel dangereux. La pression, elle ne connaît pas. Restons calme. Zen. Le rond est un carré, le carré est un rond.

▬ Casier judiciaire ;

Mieux vaut être blanche colombe que petit voleur ridicule. Casier vide. Peut-être quelques petits accrochages avec des policiers pour diverses raisons (excès de vitesse, un peu trop d'alcool dans le sang, non respect de la priorité, ...). Mais rien qui ne puisse mériter un casier. Manque de respect à un supéreiru hiérarchique aussi.

▬ Prénom ou pseudo ; Belethya
▬ Âge ; 15 ans (enfin *-*)
▬ Où avez-vous connu le forum ; Par une amie
▬ Connexion ; 5/7 surtout les WE
▬ Code du règlement ;

Spoiler:

▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [ ] NON
▬ Exemple de RP ;

Spoiler:

▬ Célébrité sur l'avatar ; Clémence Poesy
▬ Multicompte(s) ; Non
▬ Un dernier truc à dire ? ; Je bave sur ce forum depuis un bout de temps *Q*

▬ Histoire ;

La salle était petite, avec une lumière néon au plafond. L'ambiance était froide, d'ailleurs il faisait froid. Manque de moyens de la part de la police ? A vrai dire Pandora ne s'intéressait pas plus que ça aux problèmes budgétaires. D'ailleurs elle ne s'intéressait pas aux problèmes des autres du tout. Pourtant elle avait été appelé, on l'avait demandé dans la salle d'interrogatoire. Alors elle était là, assise sur cette chaise en plastique, le dos en miette et avec une envie plutôt chiante de fumer. Elle soutenait avec lassitude le regard du gosse devant elle. Elle remarqua qu'il se rongeait les ongles, bougeait les jambes, regardait à droite à gauche. Peut-être s'attendait-il à ce qu'elle soit comme les autres : à hurler, à vouloir des réponses tout de suite maintenant. Pandora était assise devant lui, et si elle commençait à perdre patience, rien ne le prouvait. Elle le fixait.

pandora ▬ Pourquoi tu as tué cette femme ?

Le gosse lui jeta un semblant de regard noir. Elle ne releva pas, continuant sa fausse expression de froideur qui marchait de mieux en mieux. Aucun soupir d'ennui, aucun geste pouvant montrer qu'elle en avait marre. Elle roula doucement des épaules, et réitéra sa question.

• pandora ▬ Pourquoi tu as tué cette femme ?
  le gosse ▬ Parce que !

Elle ne répondit pas. C'était prévisible. A vrai dire elle savait déjà pourquoi, mais la procédure demandait des aveux complets et parfaits. Limite il demandait la signature du meurtrier. Pandora croisa le regard paniqué du garçon. Elle y lut la peur. Elle eut un instant pitié du gosse. Y'a de gens qui ne naissent pas toujours sous la bonne étoile.

P a r i s . 2 0 a n s p l u s t ô t .

Toc toc toc, ici la fausse bonne étoile. Je toque à la porte d'un appartement en banlieue parisienne, un appartement comme des centaines d'autres, appartenant à une classe moyenne. Personne ne répond, mais comme je suis une étoile, je rentre toute seule. Je me retrouve donc dans cette salle, il y règne une vague impression de vide et tristesse. Des hurlements d'enfants traversent le silence, alors je vais regarder ce qui se passe. Voilà 7 ans, le 28 juillet exactement, une petite fille est née, et je suis sa marraine la bonne étoile. Je veux voir si j'ai bien fais mon choix. Aujourd'hui, la petite fille est sensée avoir 7 ans, c'est son anniversaire. C'est un grand jour 7 ans non ? Je balaye le salon de ma douce lumière et aperçoit le couple d'enfants qui se bagarrent. Je maintiens mon regard sur les deux silhouettes acharnées et attends sagement que l'autorité parentale ramène sa science. Cela ne tarde guère. Dans le tourbillon de cheveux, des mains et de griffes, je n'arrive pas à distinguer ma petite Pandora de son frère. Lui, il est naît il y a 5 ans, donc il a 5 ans. Nous autres les étoiles, nous savons plein de choses. Par exemple, je sais que ce petit bout d'homme va mourir à l'âge de 16 ans, tué par une balle perdue lors d'un réglement de compte. Mais l'heure n'était pas encore aux funérailles. La mère pénétre dans le salon, une serviette entourée autour de sa poitrine. Elle dégouline d'eau et manqua de se casser la figure par terre. Elle reste un instant, les poings sur les hanches, à dévisager les deux monstres qui se battent. Elle ne sait pas où attraper pour les séparer. Elle plonge ses mains au pif, attrape les cheveux d'un enfant, le caleçon d'un autre. Sèchement elle tira de chaque côté : elle les sépare brillament. Moi j'applaudis, un vrai manager ! Le ton monte, ça se gâte. Je reconnais ma petite Pandora. Elle a l'arcade pleine de sang, son t-shirt ressemble à un vieux bout de tissu et elle renifle sans arrêt. Dans son regard bleu azure, on voit qu'elle se consièdre comme gagnante du combat. Dans sa main droite, la patte d'un ours en peluche. Paix à son âme. Les brides de conversation montent à mes oreilles illuminées.

maman ▬ Je m'en fiche qu'il t'ai piqué ton ours !
pandora ▬ Moi aussi je m'en fiche ! Je veux simplement qu'il me foute la paix !

Vocabulaire distingué. Le petit de 5 ans se met à pleurer en battant des jambes : après tout, sa mère le tient fermement à une vingtaine de centimètres du sol par le caleçon. Elle le repose en poussant un petit cri et le prend dans ses bras, pour le consoler. Elle lâche les cheveux de Pandora, soupire, parle.

maman ▬ Pour ton anniversaire, tu pourrais au moins faire un effort.
pandora ▬ Pour mon anniversaire, je ne compte pas faire d'effort. Papa arrive quand ?

Papa. Papa c'est la seule personne que Pandora aime. Elle l'aime plus que tout. C'est un homme d'un trentaine d'années, mais surtout Papa c'est quelqu'un qui raconte de splendides histoires qui font peur. Papa il travaille dans la police, il traque les méchants et combat l'injustice. Papa il a un costume de Zorro pour travailler. Enfin c'est ce qu'il dit à Pandora. Surtout, Papa il préfère Pandora au petit monstre de 5 ans. Et puis Maman elle le préfère lui, il est donc normal que Pandora préfère son père. Le téléphone de maman sonne, elle regarde le petit écran vert illuminé, hausse un sourcil. Elle décroche d'une voix incertaine. L'autre voix au bout du fil doit lui être familière, car elle se détend. Dans ses bras, le petit monstre tire la langue à Pandora. Pandora lui fait un doigt d'honneur. Le jeu est calmé, le petit frère est choqué. Maman pose le petit frère, elle se passe la main sur son visage. Elle devient pâle, murmure quelques mots. Ses yeux brillent bizarrement. Pandora l'observe en silence, elle essaye de comprendre la conversation, mais le petit frère lui tire les cheveux. Elle lui met une claque. Le jeu est calmé, petit frère s'en va pleurer. Maman raccroche. Regarde Pandora.

maman ▬ Chérie, je vais devoir partir. Je reviens d'ici une demie heure, peut-être une heure.
pandora ▬ D'accord. Papa rentre quand ?
maman ▬ Avec ton petit frère, vous pouvez regarder la télé.
pandora ▬ Cool. Papa rentre quand ?
maman ▬ Papa ne rentrera pas ce soir.

Pandora la regarde en silence. Au fond d'elle, elle comprend. Je suis une mauvaise bonne étoile. Je porte malheur. 7 ans, c'est moche comme âge. 7 ans, c'est dur comme âge. Surtout quand son père, déguisé ou pas, s'est fait tirer dessus. Surtout quand Papa ne rentrera pas ce soir, ni demain. Ni jamais. Pandora ne regardera pas la télé. Elle ira se coucher.

La salle d'interrogatoire avait chuté de plusieurs degrès. Le froid, l'ennui, les souvenirs. Pandora fixait le garçon sans vraiment le voir, son regard perdu dans le vague. L'ombre de ses pensées remplaçant celle du gamin. Elle passa sa main sur son visage et rejeta par la même occasion quelques mèches de cheveux en arrière. Elle jeta sur le gosse un regard qui en disait long sur ce qu'elle pensait. Qu'il était ridicule. Il enfonça la tête dans les épaules, grommela mais semblait enfin prêt à dire quelque chose de constructif. Un demi sourire naquit sur les lèvres de Pandora, un peu amer et désolé. Ben oui, il n'allait pas pouvoir s'en tirer comme ça, avec une révérence et une signature en bas à gauche. Au fond c'était un amateur. Ce n'était même pas un vrai tueur.

le gosse ▬ Fallait que je montre que je pouvais être un homme.
pandora ▬ Drôle de démonstration.
le gosse ▬ C'est parce que vous, vous vous baladez avec votre smoking à $200 !

Pandora haussa un sourcil. Elle se gratta pensivement la joue, se rappela de l'endroit où elle avait acheté ce tailleur qu'elle portait : aux puces, sûrement un d'occasion. Si son métier payait bien, elle dépensait tout en bouffe pour son petit chien. Mais ça, c'était une autre affaire, bien plus complexe que celle de ce crime banal.

le gosse ▬ Vous savez rien du monde d'en bas.
pandora ▬ J'ai pas pour habitude de porter des talons pourtant. Parles-moi de ce monde.
le gosse ▬ C'est pas un monde. C'est l'enfer.

Pandora voulut ajouter que c'était impossible, puisqu'il fallait être mort pour aller en Enfer. Mais elle se retint, jeta un coup d'oeil à la caméra qui les filmait et s'assit bien profond dans sa chaise. Elle dévisagea l'inconnu, mais comme il n'ajoutait rien, se sentit dans l'obligation de parler. Elle avait rarement autant parlé en une journée. Elle repassa sa main sur son visage, vieux réflexe qui commençait à trahir son ennui. En plus, elle voulait fumer. En plus, elle voulait rentrer chez elle, cette salle puait le mensonge, puait la mort. Elle puait les souvenirs. Elle puait le passé qu'elle arrivait si bien à fuir.

pandora ▬ Tu as tué cette femme. Oui, ou non ?

Il frissonna, baissa les yeux. Mais non merde, elle savait qu'elle était en train de le torturer. Elle le voyait dans son regard, elle aurait bien voulu arrêter ici l'agonie. Mais il fallait qu'il le dise. Et une fois que ce serait dit, ce serait finit. Il irait en prison. Et elle rentrerait chez elle.

N e w Y o r k . 4 a n s p l u s t ô t .

Vous vous souvenez de moi ? Je suis venue, il y a de ça 16 ans, faire un petit tour sur terre. Je voulais voir comment allait mon petit poulain, celle que j'avais bénis. Après avoir apprit la mort de son père, je suis retournée fisa dans le ciel, j'avais honte. Mes soeurs se sont moquées de moi, les étoiles c'est pas toujours sympas. Après tout, je débutais dans l'art de bénir les nouveaux-nés. Mais me revoilà sur terre, parce que je savais que Pandora allait soudainement se sentir seule, très seule. Peut-être aurait-elle besoin de son étoile. Je suis assise dans un gros fauteuil imitation velours rouge. L'appartement dans lequel je me trouve est luxueux, enfin ça se voit que les personnes qui y vivent ne sont pas en manque. Peut-être pas en train de mourir sous l'argent, mais tout de même, aisés. Le salon où je me trouve est spacieux, il y a des tableaux de nature morte aux murs, une table avec 4 chaises, un joli canapé en face du fauteuil où je suis assise et un superbe tapis. Il y a aussi une grande baie vitré qui donne sur la rue en dessous. La lune au dehors éclaire le monde. Ses doux rayons argentés filtrent l'air pollué de New York, évite les sources lumineuses et enseignes gigantesques pour McDo ou autres monstruosités comme ça. Mais les rayons de perdent, disparaissent peu à peu. Et c'est une faible lueur grise qui vient éclairer le tapis, juste devant mes pieds. Et puis aussi, le petit rayon s'est accroché aux yeux vide du cadavre devant moi. Je suis une étoile. Je ne comprends pas tout ce qui se passe sur terre, mais en tout cas, j'ai compris que lui, il était bon pour saluer ce bon vieux Jésus. Quelle chance. Voilà quelques temps que j'attendais ici, j'avais tout vu de mes illustres pupilles. L'homme mort travaillait à son bureau quand on a toqué à la porte. Il a ouvert la porte, on lui a tiré dessus. Un peu trop vite, car l'attaquant l'a loupé et lui a troué l'oreille. Le mort, qui était encore vivant, a hurlé et a reculé en titubant. L'attaquant lui a sauté dessus, ils ont roulés par terre et se sont battus. Ca m'a rappelé la bagarre entre Pandora et son petit frère. Maintenant, il y a cet homme mort sur le tapis, et l'attaquant qui appelle la police pour dire qu'il y a un homme mort dans l'appartement G18. Il a mit un mouchoir sur le téléphone pour pas qu'on reconnaisse sa voix. C'est débile, qui pourrait le connaître ? Il oublit de raccrocher, il a l'air pressé. Il fouille dans les affaires, il ne porte pas de gants. Il va se faire attraper et mourir en prison. Mais ça, c'est une autre histoire. C'est une étoile encore plus nulle que moi qui s'occupe de lui. Elle devrait un peu plus le surveiller. Il vole le porte-monnaie, des bijoux, un cadre avec une photo. Il se prend les pieds dans le tapis, trébuche, s'étale. Je vois des centaines de postillons voler dans l'air avant d'aller s'écraser sur le sol. En bas, on peut entendre des sirènes. Les voitures de police. L'homme se lève et s'enfuit en courant, laisse la porte ouverte.

Je n'ai plus qu'à attendre. Quelques minutes plus tard, les policiers arrivent. Il y en a un qui devient tout pâle. C'est vrai que c'est pas joli à voir, l'homme mort à le nez écrasé, le fuyard le lui a broyé avec le pied d'une lampe. Il a deux jolis trous dans le front, un dans l'oreille, il est taché de sang et sa jambe à prit un angle un peu amusant. Les policiers s'agitent, parlent au téléphone. Ils appellent plein de gens, moi je m'impatiente un peu. Elle arrive quand Pandora ? Les policiers ont vu les traces de chaussures du meurtrier. Il est vraiment nul. Soudain, un homme d'une plus grande importance arrive. Je le sais parce que tout le monde s'écarte à son passage. Il voit le corps et pousse un très long soupir. Il se tourne vers un de ses agents, murmure quelques mots d'un air dégoûté et attristé.

l'homme ▬ Appelez Pandora. Appelez Mlle Whise. Dites lui que Jake est mort.

Ah ! Enfin, on parle de Pandora. Les gens mettent d'étranges costumes blancs, pour ne rien abîmer. Ils mettent des banderoles jaunes pour empêcher les voisins d'entrer. Le temps que Pandora arrive, moi je vais vous dire qui est l'homme par terre. Lui, c'est le fiancé de Pandora. Ils se sont rencontrés il y a 5 ans, alors que Pandora fuyait l'enterrement de son petit frère. Pandora est tombée amoureuse de lui il y a seulement 3 ans, lui il l'a aimé dès le premier regard. Elle l'aime parce qu'il est simple, câlin, parce qu'il est gentil et ne ferait pas de mal à une mouche. Elle l'aime parce qu'il l'aime. Elle l'aime aussi parce qu'il a toujours respecté ses choix, surtout ceux concernant ses études. Après tout, on pourrait se demander si avec un tel métier, la jeune fille n'irait pas péter un plomb et devenir comme ses "patients" en deux trois mouvements. Mais il l'a vu, moi aussi je l'ai vu d'ailleurs : Pandora était faîte pour ces études de psychologie criminelle. Ce n'est peut-être pas un métier très original, il y avait du monde dans sa promo mais non, non elle n'imaginait pas faire un autre métier. Pourtant lui là, Jake, il aurait bien aimé qu'elle en fasse un autre. Il a bien essayé de lui montrer comme le monde de la médecine généraliste, la psychologie toute simple. Mais non. Pandora n'a jamais redoublé son année. Et si elle ne faisait pas partie des plus gratinés de sa promo, moi je sais parfaitement que dans ce regard bleu, il y a toujours une flamme timide de folie. Tous les fous ne sont pas de dangereux criminels. Toutes les folies ne s'assoment pas à coup de morphine. Il en existe des plus profondes, qui guident certains gestes. Cette folie, cette infime part de Pandora, elle lui avait dit de fuir chaque enterrement comme la peste. Je l'ai déjà pourtant, mais je me répéterai pour passer le temps : cette chère gamine n'a jamais mis les pieds à un enterrement. Même âgée de 7 ans, quand elle est descendue de la voiture devant le cimetierre, elle s'esn enfuie. A la mort de son frère, quand elle avait 19 ans, elle ne s'est même pas habillé noir pour le deuil. Elle n'est pas allée manger ces terribles tartines de caviars. Alors maintenant que Jake est mort, je me demande comment elle va réagir. Peut-être ne va-t-elle pas réagir. Elle sera juste un peu triste je pense.

Moi aussi je suis triste. Parce que bientôt Pandora va me renvoyer de mon emploi de bonne étoile. Il y a dans l'escalier un grand chahut. Je me tourne vers la porte. Alors je la revois. D'abord je ne vois qu'un éclair blond, furtif et violent. Puis, le monde s'écarte et je peux admirer comme elle a grandit. Elle est si belle. Elle fait encore quelques pas, l'homme de grande importance la bloque en lui attrapant l'épaule. Leurs regards se croisent, elle a les larmes aux yeux. Lui, il soupire et lui lâche l'épaule. Alors elle fait trois pas, exactement, et elle voit le corps de Jake. Son corps vacille, elle ne bouge plus, laisse son geste en suspend. Pandora. Elle fixe le regard vide de son unique amour, elle le fixe encore et encore. Elle observe avec effroi qu'il n'y a plus aucune gentillesse, aucune chaleur. Juste du vide. Elle se sent tomber, pas physiquement. Mais quelque chose en elle se brise, vole en éclat. Quelque chose n'existe plus, est mort en même temps que lui. Il y a dans la salle un grand silence, on s'attend tous à voir Pandora hurler et se mettre à pleurer. Au lieu de ça, elle redresse son buste, sort la tête des épaules et balaye d'un mouvement de cils les traces de larmes. D'un geste calme elle se tourne vers son ami policier. Il frissonne quand il voit son regard : c'est comme si elle s'était teintée de glace. Il a pitié d'elle.

pandora ▬ Fais ton travail.
l'homme ▬ Bien sûr.
pandora ▬ N'en parlons plus jamais.
l'homme ▬ Plus jamais.

Elle le remercie d'un pâle sourire, le dernier avant très très longtemps. Elle quitte la pièce, pourtant, au dernier moment, elle se tourne. Et alors je me rends compte qu'elle me regarde. Je vois son immense regard bleu qui me fixe avec haine. J'ai honte. Et je vois sur ses lèvres, s'articuler ces quelques mots Tu es virée. A quoi bon veiller sur une personne qui a tout perdu ? Son père est mort. Son frère est mort. Son fiancé est mort. Quand à sa mère, elle la préférerait limite morte. Il ne reste plus qu'elle. Et elle va se sentir seule. Très seule.

Pandora secoua la tête, l'esprit embrumé. Elle serrait si fort les poings que ses phalanges étaient devenues plus pâles que la mort. Elle serrait furieusement les dents. Un goût amer lui remontait le long de la gorge, emplissait sa bouche. Elle posa son regard brûlant sur le gosse. Parce que c'était un comme lui qui avait détruit sa vie. C'était un morveux qui n'avait pas encore essuyé la bave de son menton qui lui avait arraché tout ce qu'elle avait. Elle prit une profonde inspiration, et posa une ultime fois la question.

pandora ▬ Oui ou non ?
le gosse ▬ ... ... Oui.
pandora ▬ Pourquoi ?
le gosse ▬ ... ... Je sais pas.

Elle eut envie de lui cracher à la figure. Au lieu de ça, elle se détendit subitement et lâcha un soupir. Elle se leva du siège, se massa les tempes quelques secondes et enfila sa veste qui était accrochée à son dossier de chaise. Le gamin la regardait avec ahurissement, l'air de lui demander si c'était tout. Elle croisa un instant son regard, elle était redevenue aussi froide que du marbre. Elle fit quelques pas et vint poser sa main sur son épaule. Un sourire faux traversa ses lèvres.

pandora ▬ T'auras tout le temps de méditer vu où tu vas aller. Bonne soirée.

Elle rajusta sa veste, et quitta la pièce. La première fois qu'elle fit en refermant la porte derrière elle, c'est de faire un doigt d'honneur aux policiers qui avaient tout enregistré. La première chose qu'elle fit en sortant du bâtiment c'est d'allumer une cigarette. Et la première chose quand elle arriva chez elle ? Elle donna à manger à son chien.

Merci ! =D La seule petite question serait à propos de mon métier, savoir si c'est possible ou pas de l'avoir =) Comme c'est un peu vague et puis comme elle fait partie de la police scientifique, je voudrais savoir si ça ne pose pas de soucis (de hiérarachie par exemple).

Sinon ben je m'active pour cette fiche !
*vole discrètos le mouchoir*

Bienvneue sur TDS jeune fille !

Bon courage pour ta fiche .

Bienvenue miss ^^

Merci tout le monde !
Sérieux tu l'as rencontré ? =o ... Bon ben \o/ *encore plus contente qu'elle était libre sur ce forum o/*

Bon je comptais bien avancer ce soir jusqu'à ce que mon père me pique mon ordi --'
Donc + relations et j'ai mis le code aussi

Mdr x'D Super discret comme approche =') *pan*
Merci =D

Désolée du DP.

Fiche finie !
J'espère que la "mise en page" de l'histoire ne gênera pas Ö ! ...

Je vais lire tout ça jeune fille .

EDIT : Fiche très, très agréable à lire les autorités vont avoir un scré renfort à NY avec Pandora cela ne fait nul doute.

Je suis ravie de te valider dès à présent et te souhaite un bon jeu parmi nous <3