Jilly Widdletown ; Haut les mains, peau de lapin ! • UC

(c) Misery Angel
Jillhean Widdletown
« Jouer avec le feu, c'est risquer de se brûler les ailes. »

|| IDENTITE DU PERSONNAGE ||

« Qui suis-je ? Ce serait assez marrant de voir votre tête si je vous disais que je m'appelle Betty Boop et que je vis à Central Park. Sauf que là, c'est sérieux. Je m'appelle Jillhean Widdletown, mais tout le monde m'appelle Jilly, c'est plus court. Je suis née le seize février 1983, à Seattle, mais mes parents ont déménagés peu de temps après ma naissance à Manhattan. J'ai donc vingt-cinq ans, si vous savez à peu près compter. J'ai fait des études de journalisme, mais j'ai préféré me tourner vers un autre domaine beaucoup plus amusant : combattre le crime. Parce qu'ici, à la Grosse Pomme, y'a pas mal de malfrats crapuleux qui mériteraient que je les envoie en taule. Mon vrai métier est détective privée, c'est du moins ce qui est marqué sur ma carte de visite. L'affaire la plus excitante que j'ai eue était un vol de bijoux. La plupart du temps, on me contacte pour des disparitions de chiens ou de chats (ce qui commence à m'agacer, ça c'est une affaire de débutant, c'est plus pour moi) ou encore mieux (laissez moi rire), certaines femmes me demandent de suivre leur mari car elles ont des soupçons sur leur fidélité. A côté de ça, je suis réceptionniste à mi-temps au New York Marriot, hôtel luxueux par excellence.

Est-ce qu'on doit parler de la famille, aussi ? Je peux vos décrire en quelques mots ma famille : riche, hypocrite et dissoute. Mon père, Bernie Widdletown, est un homme d'affaires névrosé mais chaleureux, et ma mère une fille de bonne famille un peu trop crispée. A dix-neuf ans, je leur ai claqué la porte au nez, du coup, ils ne m'envoient plus d'argent tous les mois, comme ils le font pour mon frère aîné. Mon frère, James Widdletown, est un scientifique. Quand nous étions petit, il était marrant, mais maintenant, il est vétérinaire dans le Queens et il est fiancé à une fille adorable mais avec de grosses lunettes et qui parlent tout le temps de bouquins scientifiques. Moi, je ne lis que des romans policiers, ça me fait rêver et parfois, ça m'inspire. Je suis resté en contact avec James, et je vais le voir à son cabinet souvent mais on n'est pas vraiment du même monde. Car ceux qui s'imaginent que tout les détectives privées portent une parka beige et un chapeau qui leur recouvre à moitié les yeux, c'est pas vraiment ça. Moi je suis plutôt du genre excentrique dans le métier. On me dit souvent que je ne suis pas assez sérieuse, mais je peux vous assurer que quand il le faut, je le suis. J'aime vivre, j'aime mon métier et je tombe souvent amoureuse d'un mauvais garçon. Je suis sorti avec un trafiquant d'armes quand j'avais vingt-ans, un truc pas franchement avouable pour une détective privée. Je préfère, de toute façon, élucider des meurtres sanglants. Mais je n'ai jamais été assez intéressée par l'école pour pouvoir me permettre de devenir expert, comme dans la série, vous voyez ?

A part ça, je vis dans un appartement trois pièces du Queens, qui me sert aussi de bureau pour le travail. J'ai un perroquet, Roméo, qui sait dire " Salut ! " et " A ta santé ! ", ce qui est déjà pas mal. Il sait dire mon prénom aussi. J'ai aussi un chat, Venceslas, un chat de gouttière noir (pas salissant, comme ça). Oui, j'aime assez les animaux. »

|| EN SAVOIR PLUS ? ||

- HISTOIRE - POST SUIVANT

- Définition de l'enfer pour le personnage : L'enfer, Jilly se l'imagine comme le gouffre d'un volcan, avec un espèce de lutin géant rouge, avec des cornes, un trident, une queue fourchue et un sourire malicieux. Elle s'imagine aussi des flammes partout, des âmes en peine qui se lamentent. En fait, Jilly se l'imagine comme ça, mais elle ne croit pas vraiment à ces choses là. Son pire cauchemar, ce serait de ne pas réussir dans le milieu de la lutte contre le crime et de devoir travailler comme secrétaire dans le cabinet de vétérinaire de son frère (il lui a proposé, parce qu'il pense qu'elle ne percera pas).

- Définition du paradis pour le personnage : Le paradis ? Là haut, sur les nuages, avec un grand portail en or à l'entrée et plein d'anges avec des ailes, des bisounours et des gens heureux partout ? Un peu facile comme vision des choses, mais comme pour l'enfer, si le paradis existe, alors pour elle ce serait comme ça. Jilly rêve de tomber sur un gros coup, de mettre des gros méchants derrière les barreaux et d'être enfin reconnu comme étant une excellente détective. Et si elle pouvait trouver un homme bien, pour une fois, ce serait le bouquet.

- Taux de criminalité et pourquoi : 10/100. Jilly peut difficilement avoir plus, pour une détective privée, ça le ferait pas trop. J'ai mis 10/100 parce que la vilaine télécharge des films et des musiques illégalement.

|| LE JOUEUR ET LE HORS-JEU ||

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Bienvenue =D
Le code de préza est ok, j'ai édité ^.^
Merci de ton inscription et bon courage pour ta fiche =D

J'osais pas posté en premier, j'ai déjà gâché tellement de fiches Louis-kun x)

Bienvenue !

Jilly Hean is not my lover
Shes just a girl who claims that I am the one
But the kid is not my son

Désolée ca m'y a trop fait penser ..

Bienvenue sur NY-TDS miss Widdletown :vole: !

Wii > Tu vas sortir des blagues sur toutes les fiches ? Rolling Eyes

xDDD

Bienvenue Jilly, et bon courage pour ta fiche ! x)

Bienvenue

Bienvenue sur le forum et bon courage pour le reste de ta fiche.
N'oublie pas de signer le réglement si ce n'est pas déjà fait Wink

Nous sommes là si tu rencontres de problèmes.

Bienvenue

Bienvenue Susan =D

Merci tout le monde ^^
Par contre, j'ai oublié de réserver un post donc ma fiche va être coupée :s

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Jilly Widdletown ; Haut les mains, peau de lapin ! • UC ZD6

(c) Oh Tainted !
« Un pingouin, c'est un ange qu'on a oublié trop longtemps au frigo. »
M. Laubu

Jillhean ouvrit la porte du cabinet du Dr. James Widdletown. Elle portait sur son épaule droite son sac à main noir fourre-tout, sa main tenait une affichette et de la gauche, elle tenait Roméo, son perroquet qui ne cessait de répéter : « A ta santé ! A ta santé ! ». Jillhean secoua légèrement sa cage pour passer dans l'embrasure de la porte et se dirigea vers le comptoir de la secrétaire. Elle avait coiffé ses cheveux avec un chignon, le genre vite fait bien fait, et son manteau rouge la tenait au chaud de l'hiver. Elle posa d'abord son sac, puis l'affichette et enfin, la cage de Roméo qui avait cessé de jacasser. Jillhean fit un grand sourire à la secrétaire et lui annonça d'une voix joyeuse tout en lui tendant l'affichette, qui présentait en gros plan la photo d'un setter irlandais :

JILLY ; « Bonjour Mary ! Si vous pouviez accrocher cette affiche sur le tableau d'annonce, la maîtresse de cet adorable setter, m'a demandé de retrouver son compagnon de toujours, qui a disparu depuis deux jours ! James est occupé avec un client ? »

Son ton avait viré sur l'ironie quand elle avait parlé du chien disparu. Elle en avait assez de devoir retrouver des chiens et des chats à longueur de journée. Ce n'était pas digne d'une vraie détective privée. Elle avait commencé son travail de détective privée à vingt-trois ans, soit deux ans plus tôt. Elle était venue voir son frère aîné, James, un vétérinaire, pour faire vacciner son cher perroquet Roméo. Mary prit l'affichette et partit la punaiser sur le tableau d'annonces du cabinet.

MARY ; « Bonjour, Jillhean. James est avec Mrs Clearwater, pour vacciner son cher Kiki. (elle rit), il n'y en a plus pour très longtemps. »

En effet, James sortit une ou deux minutes plus tard, suivit d'une Mrs Clearwater un peu hébétée et de son Kiki, un chihuahua blanc qu'elle portait dans un sac duveteux, « le petit sac à mon Kiki », comme elle disait. Jilly ne put s'empêcher de sourire en voyant l'accoutrement de la cliente : la vieille dame portait un chapeau duveteux, le genre russe. On aurait dit qu'elle avait un chat roulé en boule sur sa tête.

MRS CLEARWATER ; « Vous êtes sur, Docteur, que Kiki n'a pas eu trop mal ? Je déteste le faire vacciner, même si c'est pour son bien, ça me répugne de le voir japper. Kiki est très sensible, vous savez ! (elle aperçut Jillhean) Oh ! La petite Jillhean, on ne vous voit plus beaucoup ! Comment vont vos études de journalisme ? »
JILLY ; « J'ai arrêté il y a deux ans, Mrs Clearwater, je vous l'avais dit. Je suis détective privée, vous vous rappelez ? »

En effet, Jillhean avait commencé par des études de journalisme. Chasser le scoop du siècle, interviewer les gens, écrire des articles, ça lui plaisait. Mais finalement, lorsqu'elle avait eu son diplôme en poche, elle s'était rendue compte que rien ne valait le métier de détective privée. Elle avait vu un reportage sur ce métier, et ça l'avait tout de suite emballée. Mrs Clearwater se tut un instant, puis elle rit de bon coeur et ajouta avant de quitter les lieux :

MRS CLEARWATER ; « Ah ! Ah ! C'est vrai, je n'ai plus toute ma tête, en vieillissant, vous savez ! Je serais bien restée discuter, mais mon amie Susan m'attend pour prendre le thé ! Au revoir. Docteur, ne soyez pas surpris de me voir revenir vite, avec un hiver aussi rude, Kiki va sûrement attraper froid ! »
JAMES ; « Alors couvrez-le bien ! A bientôt, Mrs Clearwater. »

Elle était partit. Mrs Clearwater était depuis longtemps une cliente fidèle de James, puisqu'elle était une amie des Widdletown et qu'elle avait vu grandir James et Jillhean. Elle tutoyait toujours cette dernière, mais elle n'acceptait pas de le faire pour James, qui avait selon elle un poste important et qu'elle n'oserait jamais tutoyer le médecin de son Kiki. Dès que la cliente fut partie, Jillhean s'approcha de son frère, l'embrassa sur la joue et le serra brièvement dans ses bras. Ils avaient toujours été proches, malgré le fait que James ait toujours été le préféré des parents. Mrs et Mr Widdletown n'avait jamais vraiment accepté l'excentricité de leur cadette, et son travail scolaire "normal", alors qu'ils avaient à côté le fils prodige : un excellent écolier admis dans les meilleures écoles et qui faisait dans la simplicité et se laissait influencer par ses parents. Jillhean, elle, n'avait jamais accepté l'autorité de ses parents ni qu'ils essayent de lui dicter sa conduite. Mieux vaut n'obéir qu'à soit même, c'était toujours plus simple. Elle n'avait plus aucun contact avec ses parents depuis ses dix-neuf ans. Elle en avait aujourd'hui presque ving-cinq. Se brouiller avec ses parents avaient été un coup dur, mais Jillhean avait finit par s'y habituer. Il fallait bien se l'avouer, elle était mieux sans eux. Ses parents n'avaient jamais fait l'effort de faire le premier pas, trop content d'être débarasser de leur fille impétueuse. James avait toujours tenté de réconcilier sa soeur avec ses parents, en vain. Finalement, il avait abandonné - même s'il continuait de laisser échapper quelques allusions au sujet -, comprenant que ni ses parents ni sa soeur ne souhaitaient faire d'efforts. Il comprenait Jillhean, et aussi ses parents. Il n'avait jamais pu prendre parti, et être au milieu des deux partis ne lui faisait guère plaisir.

JAMES ; « Alors Jilly, comment vas ? »
JILLY ; « Bien, cher fils prodige des Widdletown. Comment vont les parents ? »
JAMES ; « Le fils prodige a du annoncer aux parents que leur petite Jilly n'était pas devenue journaliste mais détective privée. Notre chère mère a eu un petit malaise, rien de grave. »

C'était ironique, même si cela aurait été possible. Jilly soupira. James l'imita. Il attrapa la cage de Roméo et se dirigea à côté, dans la pièce où il examinait ses patients. Jillhean le suivit, en prenant son sac et en esquissant un petit sourire à l'attention de Mary, la gentille secrétaire.

ROMEO ; « Salut ! Salut ! A ta santé ! »
JAMES ; « Tu devrais lui apprendre des trucs plus intéressants, quand même. »
JILLY ; « Quand j'essaie de lui apprendre des trucs, il fait l'ignorant. Il répète des phrases que je dis, c'est tout. »

James sortit le perroquet de sa cage et demanda à sa soeur de le tenir le temps qu'il préparait la seringue. Jillhean s'exécuta. Roméo battait des ailes et croassait dans les aigus. Il devait sentir ce qui allait lui arriver.

JILLY ; « C'est intelligent quand même, un perroquet. »

JAMES ; « Bien sur. En général, ils ne s'attachent qu'à une seule personne, leur propriétaire, et lui restent fidèle à jamais. Et puis bien sur, quelques espèces peuvent parler. Alors, ton boulot ? »
JILLY ; « J'ai retrouvé un chien hier. J'ai prouvé à une femme que sa femme de ménage ne lui avait pas volé son précieux collier en diamant, mais qu'il était juste tombé entre le mur et la coiffeuse. Je m'attends à tes commentaires sur mes enquêtes, mais sache qu'un jour, je serais appelée à résoudre des affaires plus importantes. »

James s'abstint de tout commentaires. ll se disait juste qu'un jour, elle finirait par comprendre que détective privée, même si elle en rêvait, ce n'était pas pour elle. Heureusement qu'à coté, elle travaillait comme réceptionniste à mi-temps dans cet hôtel luxueux ... Le New York Marriot si sa mémoire était bonne. James s'avança vers le perroquet, qui commençait à s'agiter sérieusement, et il écarta quelques plumes avant de planter l'aiguille dans la chair de Roméo, qui croassa rageusement. James tamponna l'endroit avec du coton et fit signe à sa soeur qu'elle pouvait le remettre dans sa cage. Jillhean reposa Roméo sur son perchoir, qui restait désormais muet. Elle le contempla un instant, immobile. Elle aimait bien les animaux, si elle s'écoutait, elle aurait un zoo à la place d'un appartement. Elle s'était contentée d'un chat et d'un perroquet. Elle avait un jour acheté un cochon d'Inde mais il était mort au bout d'un an et finalement, il s'était révélé que cet animal était complètement inninteressant. Et puis Venceslas, le chat, avait maintes fois essayé de le manger.

JILLY ; « Il ne parle plus quand il est mécontent. Heureusement, dès qu'on sera à la maison, il sortira de son mutisme. »

James se demanda comment sa soeur supportait les croassements du perroquet. Mais Jilly s'y était habituée depuis longtemps, et le perroquet était devenu un fond sonore indispensable à sa concentration.

JAMES ; « Judith veut absolument t'inviter à diner pour qu'elle essaye une nouvelle recette qu'une amie à elle lui a passé. Tu n'as qu'à venir demain soir. »

Judith était la fiancée de James. Jillhean l'appréciait, malgré qu'elle ait des grosses lunettes et que son sujet préféré soit de parler de Proust, un auteur qu'elle adulait. A part ça, Judith était une fille simple et gentille, le genre pas chiante à cotoyer à la longue. De toute façon, James aussi aimait les auteurs français, son préféré était le grand Victor Hugo. Jillhean avait essayé de lire les Misérables, mais elle n'était pas allé plus loin que la page dix-huit. Non pas que ça ne l'intéressait pas, mais elle n'aimait pas trop ce genre de lecture qu'elle trouvait difficile. Elle préférait lire des livres policiers, c'était son dada si on peut dire.

JILLY ; « Super, j'y serais. Je dois y aller, une cliente vient pour m'apporter une photo de son chat dans un quart d'heure à peine et elle n'est pas du genre à attendre longtemps. A demain, alors. »

Jillhean emporta Roméo, salua Mary la secrétaire et quitta le cabinet de son frère. James la regarda s'éloigner. Elle courrait presque. Il appréhendait l'avenir de sa soeur. Elle était tellement têtue qu'elle n'acceptait aucun conseils, et que personne ne pouvait lui ordonner de cesser son activité de détective privée. Jillhean espérait qu'un jour, elle tombe sur une affaire sérieuse, qu'elle réussisse à la résoudre et qu'elle soit enfin reconnue comme une bonne détective privée, et non une gamine tout juste bonne à retrouver les animaux perdus des gens du coin ou encore, à suivre les époux infidèles pour rapporter des preuves à leur femme. C'était son quotidien, mais ça l'agacait, à la longue.

Bienvenue ! (quel joli patronyme!)

Bienvenue sur le forum !
N'oublies pas de terminé ta fiche Wink

ZOOEY ! Toi tu vas être mon amie x)

Bienvenue 8D

Cela fait 2 semaines que ta fiche a été commencée et elle n'a toujours pas été terminée...
On te laisse deux jours de plus pour la terminer, sinon c'est corbeille, à moins que tu aies besoin d'un délai.

WELCOOOOOOOOOOOOOOOOME (to the dark side hahaha)

Au passage, j'adore ton nom de personne derrière l'écran.
Crevette. Vraiment bien pensé. x)

Bienvenue pour la seconde fois, Crevette.
Pense à éditer ton titre (le "UC" en "terminé") pour faire venir les administrateurs ou modérateurs. x)

Je m'occupe de ta fiche poupée =)

EDIT: Fiche validée
Tu peux commencer à jouer en attendant qu'un admin te mette ton rang.
Et c'est pas bien de télécharger illégalement Rolling Eyes

Petite délinquante !

» La noirceur de sa peau, brulée par mes mots.

Jilly Widdletown ; Haut les mains, peau de lapin ! • UC

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