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| Sujet: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 4:09 | |
Franck Dorowsky ~ La nature fait les hommes semblables, la vie les rend différents ~ || Identité du personnage || ~ Nom : Dorowsky ~ Prénom : Franck ~ Surnom : J'apprécie moyennement les surnoms ~ Âge : 27 ans ~ Nationalité : Américaine ~ Groupe : l'Autorité ~ Statut et activité dans la vie : Je suis gardien de la paix à l'unité cynophile. Plus qu'un métier, c'est ma passion pour les chiens qui m'a amené à travailler avec un coéquipier canin. Drew n'est pas un banal chien de chenille qu'on m'a attribué, c'est véritablement mon compagnon de vie. Jeune malinois à la robe fauve, il déjà a su prouver sa valeur sur le terrain à de maintes reprises. En dehors du boulot, je donne un peu de mon temps libre à une structure d'aide aux plus démunis.~ Orientation sexuelle : A prédominance hétérosexuel, mais mon orientation n'est pas aussi tranchée qu'elle n'y paraît. ~ Histoire : Ma mère était peintre, mon père travaillait à la caserne. Elle l'avait vu pour la première fois par un matin d'été caniculaire, au Fenway Park de Boston. Son maillot des Red Sox littéralement trempé, il se dirigeait lentement vers la touche pour aller en prendre un autre. C'est là qu'elle l'aborda après le match. Ses coéquipiers l'entourant, elle s'était simplement contentée de lui tendre un billet avec son numéro de téléphone. «Passez-moi un coup de fil», Il l'avait appelé le soir même, tard.
- Je m'appelle Derek. - Je suis peintre. Je voudrais vous peindre. - Oh.... Me peindre moi ? Mais pourquoi ? - Parce que vous êtes beau.
Des années durant, le portrait de mon père resta accroché au mur en face du grand lit dans leur chambre. Ce tableau représentait toute leur vie, leur rencontre inhabituelle, leur flirt unique en son genre et l'amour coup de foudre tellement improbable de nos jours. C'est dans l'ombre de leur idylle que je passai toute mon enfance à rêver moi aussi à cet instant magique que serait l'amour. Pour au final ne connaître que la désillusion.
Mon père était un homme intègre aux mœurs pures. C'était sur cette qualité et sur son physique que reposaient leur couple. Car à dire vrai, ils n'avaient rien en commun, même huit ans après leur mariage. Ce fut un grave accident qui vint bouleverser nos vies tranquilles, un soir d'août. J'avais quinze ans. Il fut appelé tôt le matin pour une intervention sur un départ de feu dans un immeuble du secteur. Ce fut son équipe qui arriva la première sur les lieux et alors qu'ils s'affairaient à éteindre le feu, ils furent victime d'un effondrement et restèrent bloqués sous les décombres durant plusieurs heures avant qu'une autre équipe ne les remontent enveloppés dans des couvertures. Ma mère ne pleura pas à l'annonce de la nouvelle. Ce ne fut qu'au funérarium, quand elle souleva la pièce de toile et qu'elle vit le corps si beau de son mari méconnaissable qu'elle s'effondra en larmes. Pour ma part, quand mon tour fut venu d'écarter la couverture, je fus submergé d'une profonde tristesse mêlée à de l'admiration. Mon père était mort en voulant sauver des vies, c'était un héro.
Après ce jour, les tableaux de ma mère ne furent plus jamais les mêmes. Et personne d'autre qu'elle ne réussissait à comprendre la signification mystérieuse de ses œuvres. Moi je ne voulais d'ailleurs plus en entendre parler et plus les voir même, ils m'effrayaient. A part celui de mon père, magnifiquement réalisé, abandonné dans une pièce de la maison et dont je venais souvent rendre visite comme pour me recueillir.
Ma mère s'était mise à boire pour noyer ses peines. Un peu, puis beaucoup, jusqu'à ce qu'elle devienne dépendante de ce liquide ambré qui réchauffe puis sournoisement ronge petit à petit. Battu, insulté, je devins bientôt le réceptacle de toute cette colère qui l'habitait. Mais je n'étais pas dupe, ce n'était pas du à mon comportement fougueux ni à mes notes moyennes. La vérité dérangeante était qu'en grandissant je ressemblais traits pour traits à Papa. Dans une rage qui n'avait d'égale que sa folie, il lui arrivait de me cracher des horreurs à la figure avant que son martinet ne s'abatte finalement sur moi.
Après avoir séjourné un temps chez mon grand-père - le temps qu'elle se refasse une santé comme elle disait - nous habitions désormais dans le quartier de Back Bay. Ma mère venait de sortir de son centre de désintox' et avait repris son boulot même si elle était encore fragile. Ses tableaux recommençaient à se vendre, lentement mais régulièrement, leur prix grimpaient un peu chaque année. Car chaque année elle faisait une exposition dans une galerie plus grande et plus importante quand d'autres genres d'ennuis vinrent toquer à la porte. Un homme. Non je n'avais pas le béguin pour lui, mais ce malfrat avait réussi à envoûter ma pauvre mère avec ses beaux yeux noirs et ses allures de poète en dilettante. J'aurai du le foutre dehors le premier jour où ma mère me l'avait présenté. Mais comment aurai-je pu savoir, moi qui pensais naïvement que le bonheur retrouvé de ma mère la soulagerait de ses souffrances.
Un jour, alors qu'il s'essayait à diverses approches pour me soudoyer, je découvris enfin sa véritable nature. J'étais assis sur le canapé, occupé à regarder la rediffusion d'un match lorsqu'il m'aborda.
- Hé Petit. J'ai peut être la solution à ton problème d'argent.
Comme je ne lui accordais aucunement mon attention, il me balança un paquet sur les genoux, passablement irrité par mon manque de docilité.
- Tu vends ça pour moi et je te filerai $20 par sachet. Ça me semble honnête non ?
Pour toute réponse, j'éventrai son paquet tout en lui renvoyant au nez sa saloperie de poudre blanchâtre. Un sourire de satisfaction se dessina sur mes lèvres tandis que son visage se déforma par la colère qui gronda en lui. Mais malheureusement pour lui, je n'étais plus cet adolescent craintif de quinze ans et l'homme qui sommeillait en moi ne demandait qu'à en découdre.
Quand ma mère revint de son atelier, elle nous surpris en pleine altercation et s'interposa entre nous. Haletant mais pas exténué pour autant, je déblatérai avec violence contre ce maudit refourgueur de came qui s'était introduit dans nos vies jusqu'à ce qu'elle m'arrête pour clarifier la situation. Je ne lui apprenais rien, c'était d'ailleurs ainsi qu'ils s'étaient rencontrés. Je fus tellement abasourdi par la nouvelle que je capitula contre mon gré. J'étais dompté.
Progressivement, ma mère ne devint plus que le pâle reflet d'elle même. Elle n'était déjà plus cette mère aimante et raisonnable que j'avais connu mais elle développait des troubles que je ne lui connaissais pas. Sombre, asociale, indifférente à tout et anorexique, la détourner de sa nouvelle raison de vivre pouvait s'avérer être un jeu extrêmement dangereux tant elle devenait hystérique et incontrôlable en période de manque. Aux premiers coups d'œil l'on pouvait s'apercevoir de sa dépendance, elle était d'une maigreur atroce et possédait ce regard si vide qu'on les vrais junkis. Parfois mon beau-père l'aidait à décrocher et parfois il l'aidait à mieux se camer. Ils étaient devenus de vrais criminels, tous les deux, à courir pour se dégoter leurs doses. J'avais réellement l'impression de vivre dans un univers de fous et cette impression s'accentua quand mon beau-père m'approcha d'une toute autre manière. J'étais conscient que mon corps devenait celui d'un homme et sa vue avait l'air de drôlement lui plaire.
De plus en plus rebelle et violent en cours, je semblais moi aussi voué à cette vie de hors-la-loi. Mais avant qu'il n'en soit ainsi, que je sombre à mon tour dans la cocaïne et l'alcool, je décidai de prendre mon avenir en main. Pour mon père et pour la justice en laquelle j'ai toujours eu confiance.
Où étaient-ils donc ces jours heureux qu'elle m'avait promis ? Rien que des mensonges encore et encore... Il y a trop longtemps qu'elle m'avait abandonné à moi même, maintenant c'était à mon tour de lui rendre la monnaie de sa pièce. Je me rappelle encore très bien des derniers mots que j'eus échangé avec ma mère quand cette dernière était en état de m'écouter. Je lui avais annoncé sur un ton formel que je ne poursuivrais pas mes études à la fac et qu'à la place j'allais entrer à l'école de police parce que je vomissais les gens comme elle et que mon but dans la vie serait de combattre la criminalité sous toutes ses formes.
Dernière édition par Franck Dorowsky le Sam 18 Juil - 4:31, édité 3 fois |
| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 4:09 | |
~ Relations : J'ai coupé les ponts avec ma famille et plus particulièrement ma mère. Je ne veux pas savoir ce qui est advenu d'elle. Ce que je suis sûr, c'est que le pardon sera une chose que je ne lui accorderai pas de son vivant.~ Physique : Je suis incontestablement grand, mon mètre quatre-vingt-cinq fait que je dépasse fréquemment d'une tête mes interlocuteurs et pour vous dire vrai, ce n'est pas pour me déplaire. Pur adepte de la fonte, je possède une carrure de joueur de baseball : des épaules larges, un corps musculeux et une poitrine forte et carrée. Je pourrai, si je le voulais, enfiler ma cravate par la tête sans avoir à resserrer le nœud. Vous l'aurez donc compris, mon allure générale ne prête pas vraiment à vouloir me provoquer, pas plus qu'elle ne donne l'envie de jouer des poings avec moi sans bonne raison. De prime abord, il est vrai que j'intimide souvent avec mon expression renfrognée, mon parler franc et direct et ma voix grave qui roule comme un torrent pierreux. Mais ne vous arrêtez pas à cela, regardez de plus près. Ce qu'il y a de plus envoutant chez moi ce sont mes yeux, d’un bleu profond et intense qui savent captiver et où y voguent bien souvent mes émotions. Il en va de même pour mes sourires ultra-bright qui sont aussi rares que ravageurs. Pourtant la première impression ne joue pas en ma faveur, la seconde non plus d'ailleurs. J'ai l'art et la manière de froisser et de choquer les gens autour de moi, moi qui ne me formalise que très peu des bonnes manières. Cependant, je ne pense pas me tromper en affirmant que je plais aux femmes. Sans doute mon air ténébreux et mon aspect délibérément négligé qu'elles affectionnent tant. Rarement rasé, j'arbore des vêtements urbains et branchés qui quoique j'en dise, savent mettre mon corps en valeur. ~ Caractère : Fonceur de nature, je suis une vraie tête brûlée qui obéit à ses intuitions et dont l’impulsivité se révèle être toujours justifiée par des faits. Lorsque je prends une décision, il est rare que je revienne dessus car sur beaucoup de points, je me montre extrêmement rigide. Je suis également une personne déterminée, qui sait toujours ce qu’elle veut, ce qu’elle désire et qui a tendance à agir en conséquence pour l’obtenir. Qu'importe le temps ou les ressources que je dois y consacrer. Certains me qualifient de froid, d'autres d'amical, il n'en reste pas moins que je n’aime pas me dévoiler. Je ne parle que rarement de mon passé ou de choses qui me concernent de manière personnelle. Très réservé sur mes sentiments, j'ai tendance à me protéger derrière une solide carapace que je me suis forgé au fil du temps et des épreuves. Même mes proches ne savent pas bien qui je suis réellement réellement. S'ajoute à cela que je suis un brin soupçonneux, habitué à ne compter que sur moi-même, je n’accorde pas facilement ma confiance mais une fois acquise on peut compter sur moi, je suis d'une fidélité absolue envers mes amis. A savoir aussi que je suis une personne relativement franche et honnête. Les coups bas et la tromperie ne sont pas mes outils de prédilection. Lorsqu'une personne me déplaît ou semble me mettre au défi, je montre les crocs et généralement les remarques assassines fusent. Je suis pourtant d'une compagnie agréable, du moins quand je le désire, et les personnes me détestant sont rares car je sais me faire pardonner mes écarts. A vrai dire, je semble attirer la sympathie de tous ceux qui me rencontrent. Indéchiffrable, je peux être à la fois charmant et attentionné, pétillant et charmeur, autant que distant et détaché, rustre et insensible. Difficile donc de savoir quel homme se cache sous mon aspect sauvageon. Par ailleurs, j'ai le sang chaud et aussi un très mauvais caractère qu’il vaut mieux pour vous éviter d’éveiller. Le regard porte de prison qui glace le sang, vous ne voulez pas le voir ?Alors évitez de me manquer de respect, c’est la pire chose que vous pourriez faire. Ne vous fiez pas à ma tête de bon gars niais car je possède une excellente mémoire. Penser qu’après un petit laps de temps je vous aurai oublié, serait une regrettable erreur qui pourrait vous coûter plus cher que je ne le croyez.~ Définition de l'enfer pour le personnage : L'Enfer ? Mais regardez donc autour de vous. Nous y sommes déjà, c'est la Terre elle-même. Cette planète fatiguée et indignée où règne injustice et anarchie.. L'Enfer, c'est ici, l'Enfer, c'est nous. ~ Définition du paradis pour le personnage : Le paradis pour moi n'est qu'un lieu imaginaire et utopique. Un lieu intemporel empli de bonheur où les humains cohabiteraient enfin en paix et en harmonie avec la nature. Loin, très loin des contraintes et artifices du monde moderne.~ Taux de criminalité et pourquoi : Tout au plus 5%, car étant un agent des forces publiques je n'ai aucun antécédent judiciaire ni de lien avec le monde criminalisé. Mes rares entorses à la loi ne sont que de simples infractions au code de la route.|| Le joueur et le hors-jeu || ~ Prénom/Pseudo : Lily ~ Age : 20 ans ~ Votre avis sur New York, The Dark Side : Prometteur. J'ai tout de suite accroché au contexte. ~ Comment avez-vous connu le forum ? Par une amie ~ Niveau de RP : De 20 à 50 lignes ~ Exemple de RP : - Spoiler:
Le soleil était au rendez-vous en cette journée d'hiver même si le vent mordant gâchait un peu le beau temps devenu si rare en cette saison, mais qu'importe c'était une journée comme une autre pour mourir après tout. A bord d'une grosse fourgonnette grise métallisée j'étudiais les alentours pour m'assurer que ceux-ci étaient déserts. Après vérification, je m'enfonça un peu plus dans la zone portuaire et gara mon utilitaire devant un entrepôt, qui je le savais, n'était plus en activité.
Je sortis le premier et fila un coup de main à mon collègue pour extraire l'homme blessé du véhicule. A nous deux, nous le soulevèrent et le traînèrent au beau milieu de l'entrepôt. De là, Will, le grand black jeta durement l'indic au sol tandis que je revins sur mes pas afin de fermer les lourdes portes tout en vérifiant une dernière fois qu'aucun petit curieux n'avait assisté à la scène. L'allée retour ne m'avait guère pris plus d'une minute mais quand je refis surface William était déjà en train de s'acharner sur le pauvre type qui avait repris connaissance. Se débrouillant visiblement très bien tout seul, je m'adossai au mur et l'observai d'un œil indifférent faire son travail. Il n'y avait pas à dire on ne trouvait pas plus expérimenté que William pour les interrogatoires musclés. Pour ma part, cela faisait un bout de temps que je m'étais accoutumé à la vue du sang, aux cris et supplications des victimes et aux divers instruments contondants depuis que je faisais partie de l'organisation et c'était le cas pour nombre d'entre nous.
J'étais ravi qu'enfin la taupe fut débusquée, nos affaires allaient pouvoir retourner à la normale sans avoir les flics collés aux basques pour nous mettre des bâtons dans les roues. Mais avant d'avoir l'honneur de l'expédier ad padres, le boss voulait d'abord tirer quelques petites choses au clair avant de le congédier en bon et du forme comme tous traîtres de son espèce. L'information que nous devions lui soutirer de force était de savoir si oui ou non il avait communiqué depuis d'autres éléments compromettants sur notre compte.
Le spectacle commençait à me lasser, il fallait dire qu'il n'y avait pas grand suspens quand on connaissait déjà la fin de l'histoire. Cependant elle pouvait comporter deux variantes et mieux valait pour nous qu'il crache le morceau avant de quitter ce monde. Will dû arriver à la même conclusion que moi car légèrement à bout de nerf, il agrippa notre ancien camarade, le plaqua contre le mur à moins d'un mètre de moi et le menaça de lui crever l'œil s'il ne parlait pas. Pour donner plus d'impact à sa menace il appuya la lame contre sa joue juste un peu au dessous de son œil droit. L'homme ne coopéra pas mais sa respiration s'accéléra et il commença à hyperventiler quand la lame fut à quelques millimètres de son globe oculaire. Finalement tremblant comme une feuille il avoua en hurlant, explosant dans un élan de peur et de frustration, qu'il n'avait rien dit d'autre qu'on ne savait déjà. Je l'évalua un instant avant d'hocher lentement la tête, il était peu probable qu'il ai menti.
«Tu peux le descendre maintenant, on en tirera rien de plus» dis-je à l'attention de William d'une voix calme dénuée de toute émotion. Ce fut à cet instant que l'homme prit enfin conscience de ma présence, il me regarda d'un air horrifié et je vis dans ses yeux de l'incompréhension mêlée à de l'incertitude avant de n'y déchiffrer plus rien du tout. L'intonation venait de résonner avec puissance dans l'entrepôt et son corps s'effondra au sol dans un bruit sourd. Je conseilla à William de le poignarder de multiples coups au ventre s'il avait l'intention comme je le supposais de le balancer à la flotte. Ce n'était pas une tâche agréable mais si l'on désirait faire disparaître définitivement son corps, il ne fallait pas que son cadavre produise des gaz au moment de la putréfaction qui le remonteraient à coup sûr à la surface.
«Vas-y, je m'occupe de faire disparaître les traces ici»
Après un bref moment où je m'affairais à ma tâche, j'entendis le moteur démarrer m'indiquant que Will avait pour sa part terminée sa besogne. Alors que je fermais les portes de l'entrepôt à l'aide d'un lourd cadenas j'entendis une voix s'élever derrière moi me demandant si j'avais besoin d'aide.
Quoique surpris de ne pas avoir relevé plus tôt sa présence, je me retourna lentement vers le policier l'évaluant d'un imperceptible haussement de sourcils.
Instantanément je pris l'attitude d'un citoyen lambda outré et indigné par cette totale intrusion soudaine dans ma vie privée.
«Non, ça ne sera pas nécessaire Monsieur l'Agent, je viens de louer ce local pour entreposer des choses encombrantes. Je repassais juste pour le sécuriser un peu plus.» lui répondis-je d'une voix faussement aimable en plantant mon regard dans le sien.
~ Connexion : 4/7~ Code du règlement : - Spoiler:
Ok. EDIT BY EVIE
~ Avez vous signé le règlement ?: Oui ~ Célébrité sur l'avatar : Chris Evans ~ Multicompte : Non |
| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 4:37 | |
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| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 11:51 | |
Bienvenue !
Ce qu'est marrant sur NYTDS c'est que tous les personnages masculins du forum ne sont pas si hétéro que ça... x) |
| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 11:52 | |
BIENVENUE A TOI FRANCKY !!! ^.^ Bon choix d'avatar au passage.. haaaaaaa Chris... |
| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 11:58 | |
Ah oui <3 Son frère est gay cela étant dit |
| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 12:07 | |
Bienvenue n___n Je m'occupe de lire ta fiche ! |
| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 12:09 | |
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| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 12:18 | |
Fiche validé ! Tu peux commencer à jouer en attendant qu'un admin te rajoute à ton rang ! Amuse toi bien sur le forum =)) |
| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky Sam 18 Juil - 16:48 | |
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| | | | Sujet: Re: Franck Dorowsky | |
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