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| | [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 10:21 | |
Identity Card Feat "Patrick WILSON"(c) Livanart |
▬ Nom ; Maćkowiak. Un nom tout droit tiré des hautes cours Polonaises. Evidemment, personne ne le sait, puisque contrairement à la majorité des pays, nos noms ne sont pas précédés d’une particule nobiliaire pour signaler notre appartenance à la noblesse. ▬ Prénom(s) ; Zenon. Le nom de mon père. Plus personne ne m’appelle comme ça depuis que j’en ai rayé les cinq lettres sur mon passeport. Désormais, c’est mon deuxième prénom qui est utilisé. Appelez-moi Helima. Simplement. ▬ Surnom(s) ; J’ai le droit à toute sorte de surnoms, en particulier depuis que j’ai mis les pieds sur le sol Américain. Personne ne sait prononcer mon prénom comme il se doit, et mes plus proches amis finissent pas l’interpréter à leur manière. « Zed » pour les plus téméraires, « Helie » reste le plus couramment employé. ▬ Âge ; Né le 24 Mai 1977, je viens de souffler ma 37ème bougie. ▬ Nationalité ; Je n’ai pas encore cherché à obtenir la nationalité Américaine. Bien que je sois définitivement ancré dans cette culture, je suis né en Pologne, de parents Polonais & Gallois. ▬ Groupe ; Touristes&Etrangers ▬ Statut et activité dans la vie ; Je suis Dieu. En tout cas, c’est comme ça que vous me percevez chaque fois que la vie de votre enfant ou de votre bébé est entre mes mains. Je suis chirurgien pédiatrique et obstétricien. Plus encore, je suis celui qui dira oui quand tout le monde vous dira non. J’accouche des femmes privilégiées, mais j’avorte bien d’avantages, sous les critiques et les regards odieux. On dit que ‘j’assassine’ des fœtus, mais je sauve l’honneur plus souvent qu’à mon tour. ▬ Orientation sexuelle ; Sorry guys, I'm straight
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
▬ Histoire ;
« Maćkowiak, tu t’en charges. »
Mon nom est terriblement écorché, mais sa simple évocation suffit à faire pâlir d’envie mes collègues. C’est moi, encore une fois, qui donnerait les ordres. Une routine satisfaisante qui m’a plutôt bien réussi. Un hôpital, c’est propre et rangé, en apparence. Mais ces immenses bâtiments sont en fait un huit clos dans lequel on se déteste tous, sans pouvoir le dire à haute voix. Plus l’on monte en grade, plus la compétition est féroce… Et plus je m’amuse. Je m’appelle Zenon Helima Maćkowiak, et je suis incontestablement le chirurgien le plus critiqué du Lennox.
1 - Je ne suis pas Américain. Bientôt 20 ans que je vis sur le sol des Etats-Unis, et je conserve ma nationalité Polonaise. Mon père, Zenon Maćkowiak, était Polonais. Il est mort le 11 Septembre 2001. Et oui, mon paternel, ce brillant neurochirurgien, a eu la malchance de se trouver à bord d’un des avions détournés pour venir s’exploser sur les tours jumelles. Il était en chemin pour donner une conférence exceptionnelle à l’Université de Baltimore. Mais avant ça, il avait décidé de faire une minuscule escale dans la grosse pomme histoire de rendre visite à l’une de ses maitresses. En fait, j’étais son prétexte préféré. Alors qu’il assurait ma mère - Gwendolyn Lloyd-Burton Maćkowiak – qu’il passait quelques jours avec leur fils ici présent, il n’avait pas besoin de m’en toucher un mot que je savais déjà quoi répondre chaque fois qu’elle téléphonait à mon appartement pour s’assurer qu’il ne mentait pas. Leur relation n’était basée que sur des mensonges qu’ils feignaient d’ignorer. Ils n’étaient plus que des étrangers l’un pour l’autre, et ne partageaient rien d’autre qu’un lit de temps en temps. Gwendolyn est Galloise. Elle est née dans une famille relativement pauvre, et n’avait pour elle que son extraordinaire beauté. Peau fine et claire comme la lune, petits yeux en amandes et longue tignasse blond-vénitien. C’est le hasard pur et simple qui la porta sur le chemin de mon père. Lui-même n’était pas vilain à regarder, je crois. Grand, de larges épaules et des yeux clairs soulignés par une chevelure brune, je suis le parfait métissage de ces deux êtres. Deux séduisants personnages, qui se brisèrent l’un contre l’autre. De leur union naquirent trois enfants. C’est vrai que je n’en parle jamais mais j’ai pour moi deux sœurs : Angelika et Zofia. Angelika l’ainée, Zofia la cadette. Je suis l’enfant de milieu, mais aussi le centre d’attention. Evidemment. Comme si le service trois pièces me conférait un pouvoir dominant, j’ai été placé sur un piédestal bancal.
- Spoiler:
2 - Je suis riche. Qu’on se le dise… Si l’argent ne fait pas le bonheur, il y contribue largement. Tout dépend où l’on place ses intérêts. Mon enfance a été saupoudrée de billets, au même titre que d’autres se voient ensevelis sous les dettes. Mes sœurs et moi-même avons été élevés par de multiples nourrices, dans un immense manoir polonais, très traditionnel. Nous avons hérités d’une éducation sévère mais néanmoins enrichissante. Avant l’âge de 10 ans, chacun de nous devait avoir obtenu un niveau Moyen 2 au conservatoire. J’étudiais le violon, Zofia le piano et Angelika le violoncelle. J’ai toujours adoré pratiquer de mon instrument. Comme pour beaucoup de musiciens, c’était là mon échappatoire quand je rentrais de l’internat. Je n’avais qu’à me laisser bercer par les mélodies comme Vivaldi, Paganini ou encore Chopin. Je n’ai jamais pris autant de plaisir à jouer que ce soir, lors d’un banquet organisé par mon père, Angelika et moi avons interprété les quatre saisons d’Antonio Vivaldi sous les regards admiratifs et parfois envieux de ses collègues. A cette époque déjà, j’étais convaincu d’être né pour être le meilleur. Je devais surpasser les enfants de mon âge pour attiser leur jalousie et leur convoitise. Plus on me haïssait, plus on me pointait du doigt, et plus je me sentais fort. Comme protégé par une armure invincible, et assis sur un trône d’ébène si lourd, si imposant… Qu’il aurait été sculpté mais jamais déplacé par la suite. Diplômé et accueillit par les félicitations du Jury à ma sortie du secondaire, j’ai été accepté et envoyé à l’Université Johns Hopkins de Baltimore. Prestigieuse école qui aura formé de grands noms de la médecine actuelle tels que George Minot et George Whipple, qui ont obtenu le Prix Nobel de Physiologie et de Médecine en 1934, Joseph Erlanger et Herbert Spencer Gasser celui de 1944, Daniel Nathans et Hamilton O. Smith celui de 1978, et enfin David H. Hubel et Torsten N. Wiesel. Ces noms ne vous disent rien ? A moi, ils parlent chaque jour. Quinze années sont nécessaires pour pouvoir se proclamer officiellement chirurgien. Et oui, autrement dit, j’ai quitté mon vulgaire statut d’étudiant et d’interne à l’âge de 33 ans. Déjà à cette époque, mon nom raisonnait dans de nombreux couloirs du Lennox. J’ai quitté Baltimore à 27 ans, et me suis installée à New York afin d’y clore les dernières années qui fermeront définitivement le chapitre de mes études. J’ai sauvé un gosse que l’on pensait perdu en tenant tête au chirurgien Chef de l’époque, et j’ai été propulsé vers le haut au rythme de mes exploits. Je sais, c’est profondément injuste. Je réussi du premier coup là où d’autres ont échoué toute leur vie. Je me moque de votre incompétence et me pavane avec mes grands airs. Cessez donc de chialer… Faites comme moi, méprisez-vous les uns les autres.
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3 - Je ne crois pas en Dieu. Et non. En fait, je trouve ça même carrément effrayant d’entendre mes collègues dire à leurs patients « ne vous inquiétez pas, il est entre les mains de Dieu. » Pardon ? Aux dernières nouvelles – et à moins que le Christ tout puissant se soit réincarné quelque part – ce n’est pas entre les mains de Dieu que vous vous placez, mais entre celles d’un individu tout ce qu’il y a de plus humain. Des os, des muscles, de la chair et des erreurs. Oui, des ERREURS. Tout être capable de penser est aussi capable de se tromper. C’est confortable de balancer toute responsabilité sur le dos d’un être suprême, unique, transcendant, universel, créateur unique de toutes choses, doté d'une perfection absolue, constituant le principe de salut pour l'humanité et qui se révèle dans le déroulement de l'histoire. J’ai vite réalisé que je prenais la forme d’un Dieu parmi tant d’autre pour la famille dont l’enfant est allongé sur ma table d’opération. Pour être honnête, j’adore cette sensation d’admiration qui jaillit dans ma figure comme une éjaculation mal calculée chaque fois que l’opération est un succès. Oui, je suis votre sauveur, embrassez-donc mes pieds mais pas trop longtemps, j’ai du travail. Paradoxalement, j’ai été élevé dans une ambiance très catholique. Mais je n’ai jamais compris pourquoi, mais j’ai toujours trouvé cela absurde. Aujourd’hui encore, j’ai été témoins de bien des horreurs, des injustices et des drames… Mais jamais aucun miracle. D’abord, qu’est-ce qu’un miracle ? « Un miracle désigne un fait extraordinaire, positif, non explicable scientifiquement. Il est vu comme surnaturel, attribué à une puissance divine et accompli soit directement, soit par l'intermédiaire d'un serviteur de cette divinité. Il s'agit d'une notion religieuse définie par rapport à la science. » AH ! Encore une notion religieuse voyez ! Quand un patient sort du coma, ce n’est pas parce que la science ne peut l’expliquer ou vous donner une date exacte de retour à la réalité que c’est un foutu miracle !! Ce mot va finir par me donner de l’urticaire, sérieusement. 15 ans à étudier comme un fou, et c’est toujours le même que l’on remercie en fin de compte. Merde !
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4 - Je baise vos femmes et vos filles. Je ne m’encombre pas d’enfants ingrats qui épuiseront mes économies et fumeront du crack sous mon propre porche en me traitant d’enculé chaque fois que je les enverrais dans leur chambre. Je dors seul quand j’en ai envie, et quand l’idée de m’étaler dans ce lit immense sans rencontrer la moindre gêne me sied. Je dors accompagné le reste du temps, jamais la même. En règle générale, je suis un amant doté de bonnes manières. A moins que vous ne soyez le genre paumée qui trouve en son partenaire le moyen de squatter quelques semaines, je ne renvoie personne dehors. Si Angelika – ma grande sœur, donc – désapprouve mon mode de vie, et si ma mère se permet de critiquer mes moindres faits et gestes, je m’en contente. J’adore les enfants… Mais pas trop longtemps. Angelika est mariée depuis l’âge de 22 ans à peu près, et elle a réussi à donner naissance à trois marmots : Lucas, Jack et Viktor. Trois petits mecs qui viennent de fêter respectivement leur septième, onzième et quatorzième bougie. Je suis un oncle comblé, voyez-vous. Mais l’idée même d’être père me donne la nausée. Trop de responsabilités, et sur le long terme. J’entends partout des montagnes de regrets et des histoires de divorces et de tromperies sans fin. De plus, je n’ai jamais eu un exemple de famille unie… Et je ne pense pas être capable de faire mieux que mes parents. Je me suis déjà posé, deux fois. J’ai essayé de combattre mes angoisses et mes craintes pour faire face à une réalité que je ne connaissais pas. Ça n’a pas fonctionné plus de quelques années, et j’ai blessé, trompé, humilié ces femmes qui méritaient tout le bonheur du Monde.
5 - Je pratique les avortements, que vous le vouliez ou non. Pas seulement parce que je ne crois pas en une loi divine et en votre Dieu. Prenez-moi pour un connard, un salaud, tout ce que vous voudrez, mais c’est ma façon à moi de militer en faveur des droits de la femme. A mes yeux, l‘avortement est un droit aussi indispensable qu’inaliénable. Quand les médecins tenteront de vous culpabiliser afin de vous faire changer d’avis, je serais là pour prendre découdre leur tissu de conneries. Un bébé ? Quel bébé ? Il n’y a pas le moindre bébé tant que la naissance ne parvient pas à son terme. Je sais ce que je risque en tapant du poing sur la table et en pratiquant mes opérations sur des fœtus de plus de 3 mois. Mais c’est plus fort que moi, et les esprits étriqués qui forment mon entourage professionnel me rendent complètement fou. Comment voulez-vous vivre sereinement dans un Monde où un pape vous assure encore que l’avortement et bien plus punissable qu’un viol ? Je me bas au sein même de mon service pour me charger de tous les cas qui arrivent jour après jour. De nos jours, on compte un avortement pour deux bébés. Autant vous dire que je n’ai pas de quoi chômer. Je privilégie les cas désespérés et difficiles. Immigrées sans papiers déjà atteintes de septicémie, bébé malade, viol, inceste… J’ai rencontré tous les cas de figures possibles et imaginables. Des plus fous au plus écœurants. J’ai refusé beaucoup de filles amenées de force par leur paternel ou leur frère. Je suis connu au-delà de New York pour mes convictions, et bien entendu… Critiqué. Plus encore, je subis régulièrement les attaques des plus endoctrinés. Quand ce ne sont pas des menaces écrites sur les murs de l’hôpital, ou des lettres anonymes envoyés à mon intention, ce sont de véritables tarés qui s’introduisent parfois dans le service avec une arme. L’année dernière, j’ai pris une balle dans l’estomac. Manque de bol, je travaille dans un hôpital. Avec du personnel donc, qualité pour stopper une hémorragie et m’opérer d’urgence. J’ai revu cet homme quelques mois plus tard, le jour de son procès. Il m’a souri, comme s’il s’adressait à un vieil ami. Comme si son bras avait été guidé par une force mystique, et que je n’avais désormais aucune raison de lui en vouloir. J’ai quitté la salle.
Vous savez tout. Je m’appelle Zenon Helima Maćkowiak, et je suis incontestablement le chirurgien le plus critiqué du Lennox.
Wanna know more ? ▬ Relations ;
Les relations… Pour évoquer ce point, il me faudrait avant tout évoquer quelqu'un. Gwendolyn Lloyd-Burton, ma mère, est une femme déçue par la vie. Elle pensait avoir échappé à la misère en épousant un homme riche, mais quand suite aux multiples tromperies et à l’absence de mon père – Zenon Maćkowiak – elle se rendit compte qu’elle ne serait plus jamais heureuse, elle déchanta. J’ai hérité d’une mère abusive et castratrice. Dominatrice, autoritaire, elle fait marcher son petit monde à la baguette. Frontalement ou de manière plus souterraine, façon main de fer dans un gant de velours, elle me rappelle à chaque instant qu’il n’y a qu’un maître à bord. Je n’ai jamais su si elle en avait conscience ou non, toujours est-il qu’aussi loin que remontent mes souvenirs, elle a toujours été en guerre avec les hommes. Son influence sur ma vie sentimentale actuelle est indéniable… Je le reconnais. Seulement voilà, je ne l’admettrai jamais. De la bouche de mes anciennes compagnes, vous entendrez plus ou moins le même refrain. « Helima a une attitude complètement paradoxale. On ne sait jamais sur quel pied danser, il ne sait pas ce qu’il veut. » Faux. Je sais que dans chacune des dames qui ont partagés mes nuits plus d’une fois, se trouvait une part de ma mère avec laquelle je pouvais jouer au dominant/dominé. Je fais du mal et chaque larme versée me donne la perverse sensation de blesser celle qui a fait de mon enfance un enfer. Tantôt avenant et irrésistible, il m’arrive de ressentir le besoin de me protéger. Dans ces cas-là, j’avance masqué, par prudence, et j’affiche une froideur dissuasive. En revanche, je suis l’ami fidèle, sans faille. Hommes ou femmes puisque, croyez-le ou non, mais je suis persuadé que l’amitié entre deux sexes opposés est possible. Si l’on arrive à passer outre ce moment où la question d’une relation sexuelle se pose, le tour est joué. Je suis capable de bien des sacrifices pour mes amis les plus chers… Et ils ne courent pas les rues. Non, je ne suis pas adepte des grandes bandes de potes que l’on échange tous les deux ans. J’ai en ma possession une petite grappe de personnes sur qui je sais que je peux compter jour et nuit, et inversement.
▬ Physique ;
« Cher journal. J’ai rencontré hier soir un type. Moi qui pensais que ces soirées mondaines n’étaient qu’un attroupement de fils à papa, celui-là m’a carrément tapé dans l’œil. Mes copines m’ont toujours dit de regarder les mains des hommes, pour me donner une idée de ce que l’on pouvait trouver dans le pantalon. Service trois pièces nickel, rien à redire. En plus, il a su s’en servir. Cher journal, je n’ai pas jouis comme ça depuis l’école primaire. Non, sérieusement, pas mal. Je ne suis pas une fille facile, on parlera d’exception. Et puis merde, avec ce divorce qui n’en finit pas, je ne regrette rien. Une fois n’est pas tromper, hein ? Je n’ai pas demandé son numéro, je suis sûr qu’il est du genre maqué avec des gosses. N’en parlons plus. Quand même… Il était grand, enfin, pas mal quoi. 1m80 je dirais, peut-être un tout petit peu plus. Des épaules larges parfaites pour se pendre à son cou. Son torse, mon Dieu ce torse… Des abdominaux à croquer, une peau douce – il s’était parfumé – et quel cul ! Bon, mais son visage alors… J’avais certainement trop bu, parce qu’il est flou. Un large front je crois, et un menton pointu. Un nez droit et un profil presque français finalement. Je suis dingue du type frenchy que veux-tu, c’est un peu comme le chocolat pour d’autres. Il avait un accent étrange aussi, du genre Russe ou Allemand. Polonais peut-être. Bah… Peu importe. C’est sa voix qui m’a crevée le cœur, et qui a eu raison de mes bonnes résolutions. Cher journal, je te parle d’une voix grave, profonde… Le genre qui t’obligerait à changer de culotte même s’il te demandait l’heure. Non, je ne regrette rien. » ▬ Caractère ;
J’ai été un enfant docile. Brisé, mais docile. J’écoutais en classe, je ne répondais pas à mes professeurs autrement qu’en donnant une bonne réponse. L’école privée pour gosses de riche dans laquelle mes parents m’avaient envoyé était en fait une arène. Les enfants étaient dressés pour survivre aux compétitions les plus féroces. Entre les cours, il n’était pas rare que la tête de Turc se voit dépouillée de tous ses vêtements et humiliée jusqu’à ce que son nom ne soit rayé de la liste. Ensuite, un autre était désigné. Hypocrisie, méchanceté gratuite, manipulation étaient les mots d’ordre… De quoi devenir de véritables figures politiques. J’ai tiré mon épingle du jeu en développant des techniques d’intimidations innovantes. En gros, j’étais celui qui guidait la meute et leur ordonnait de se mordre la queue jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un : moi-même. N’y voyez pas là la preuve d’un esprit malade. Il s’agissait de survie pure et simple. En me bataillant sur tous les fronts, je jouais au funambule et retenais mon souffle jusqu’à ce que, le diplôme en poche, je puisse quitter cet enfer. J’ai eu un excellent professeur en matière de manipulation : ma génitrice. Tout l’amour que je lui portais, elle le foulait du pied jour après jour jusqu’à ce qu’il s’épuise. Du moins, c’est ce que j’espérais. « Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal. » Que dire de plus, c’était de l’art. Plus je la haïssais, et plus je l’adorais. Figure d’autorité à l’extrême, son malheur a nourris mon adolescence comme un vin empoisonné. Aujourd’hui encore, je reste persuadé que je lui dois tout. Impossible de lui claquer la porte au nez ou de ne pas décrocher le téléphone lorsque son numéro apparait sans qu’un sentiment de culpabilité intense ne m’arrache la gueule. Je suis un jouet vivant dont elle ne se lassera jamais. La seule personne sur qui elle peut exercer son pouvoir et déverser sa frustration.
Je suis un homme dur… Dans le sens où je ne fais de cadeau à personne. Oh bien sûr, vous pouvez m’admirer pour de multiples raisons. Je sauve vos enfants, vos bébés. J’accouche et réanime vos bébés, pour que vous puissiez les serrer dans vos bras et jouir des courtes nuits qui rythmeront vos vies pour les années à venir. Mais je ne fais pas ça pour vous rendre le sourire ou vous entendre remercier votre foutu Dieu de m’avoir donné mes mains. J’aime mon métier, puisque je suis seul à décider si oui ou non je prends la responsabilité de vos vies. Suppliez-moi autant que vous le pourrez, mais si cette tumeur est trop grosse et que la mort est assurée, c’est à une agence de pompe funèbre qu’il faut vous adresser. Je n’ai pas la moindre compassion pour les familles, seuls les patients m’intéressent. C’est cette mentalité qui me propulsera bientôt comme Chirurgien-Chef, et non l’inverse. Dur mais juste, j’arrive à séparer ma vie professionnelle de ma vie personnelle, et je vomis volontiers sur les imbéciles incapables d’en faire autant. Tu veux vraiment savoir ce que je pense de ton divorce et de la perte de tes droits parentaux : je m’en tamponne l’oreille avec une babouche, pour rester polis. Vous l’aurez compris, je suis aussi franc que désagréable. Et oui, qui aime s’entendre dire ses quatre vérité, franchement ? Comptez sur moi pour n’épargner personne. Hautain, j’ai tendance à envoyer balader tout le monde d’un revers de main, à moins d’avoir une jolie paire de seins devant les yeux. Acteur misogyne, votre prince charmant ici présent aura tendance à reprendre sa forme initiale de vilaine grenouille dès que vous aurez eu l’erreur de retirer votre jupe.
L’amour ? Bien sûr que je suis tombé amoureux ! Me pensez-vous complètement insensible ? A l’inverse, je dirais – si je voulais être complètement franc – que je suis plus fragile que la moyenne des hommes. Chaque fois que je tombe amoureux (ce qui n’arrive pas tous les ans, rassurez-vous) je panique. Les quelques femmes dont j’ai été réellement épris possédaient plus ou moins le même profile. Des filles d’une gentillesse rare, et d’une douceur candide. Femme-enfants peut-être, terriblement mignonnes. Je les ai aimées, puis je les ai trompées, et elles m’ont quitté. On pourrait presque croire au sens de la vie.
▬ La plus grande honte du personnage ;
La honte… Un sentiment que j’ai ressentis trop souvent. Derrière ce masque d’irritabilité ou de dédain, je subis les assauts de la honte comme tout à chacun. Chaque fois que j’ai trompé les femmes que j’aimais, j’ai été ravagé par la culpabilité jusqu’à me perdre dans d’autres bras. Encore et encore, je baise comme on avale une cuillère de sirop. J’espère apaiser mon mal mais je ne fais qu’exacerber les choses. La fille me quitte, et je lis tout le dégoût que son entourage et sa famille me portent dans leurs yeux, quand le hasard me place sur leur chemin. C’est dur, mais mérité. L’angoisse me tenaille à chaque fois que j’essaye de me poser quelque part. J’étouffe et cette mère toxique qui revient et me lance toutes ses félicitations que je reçois comme des poignards. Elles ne méritaient pas ça. Aucune ne méritait que je la blesse, ni même que je pose mes mains sur elle. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
La solitude me sied bien. Je n’ai pas peur des autres non plus, puisque la plupart se contentent de la médiocrité. L’enfer ? Drôle d’idée. Ne dit-on pas que l’enfer est pavé de bonnes intentions ? Croyez-vous que ma mère souhaitait me faire du mal en agissant de la sorte ? Elle rêve nuit et jour d’être grand-mère histoire de combler un peu le trou béant affectif dont elle est victime. Par sa faute, voilà qui n’est pas prêt d’arriver… Encore faudrait-il que je sache me poser quelque part. L’enfer… Qu’est-ce qui pourrait me fait hérisser le poil rien que d’y penser ? Je suppose que l’idée qu’on me diagnostique un Parkinson alors que j’approche de l’apogée de ma carrière serait un coup du sort particulièrement sévère. Finalement, je pense avec objectivité que je préférerai la mort à l’incapacité d’exercer mon travail. Rassurez-vous, je connais des centaines de façons de m’ôter la vie proprement et sans souffrir. ▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Quand je pense au Paradis, un souvenir me revient toujours en mémoire. Ma réputation n’est pas sortie de nulle-part. Je ne suis pas « fils de » et je ne suis même pas né aux Etats-Unis. Peu de temps après mon arrivée au Lennox, j’ai été confronté à un dilemme. On avait diagnostiqué une tumeur en bas de la colonne d’un petit garçon d’à peine quatre ans. Malgré la chimiothérapie, le gamin ne s’en sortait pas et la tumeur refusait de dégrossir. Quand tous mes collègues ont refusé l’opération, la jugeant impossible, j’ai pris la responsabilité de le faire malgré mes chances minimes de réussite. J’ai risqué mon poste en allant à l’encontre du chirurgien-Chef, mais aujourd’hui ce petit garçon est en parfaite santé et revient me voir régulièrement pour des vérifications de routines. Plus que de la fierté, j’ai ressenti là une réelle rétribution d’années de travail acharné. Pourtant, j’en ai sauvé des vies depuis cet événement… Mais cet enfant symbolise ma première victoire face à ce monde dicté par des codes trop stricts, et mon ascension fabuleuse au-dessus du nid à vipères.
▬ Point faible du personnage ;
Mes deux points faibles culminants ont tendance à se battre régulièrement en duel. Entre ma mère et mon orgueil, je ne sais plus bien où donner de la tête. Des sentiments contradictoires m’assaillent chaque fois que Gwendolyn est à proximité. Je la hais, je souhaite qu’un bovin volant lui tombe sur la gueule puis je m’en veux terriblement et j’accepte toutes ses requêtes histoire de soulager ma conscience. Je ne peux pas envisager ma vie sans sa voix insupportable qui tantôt me rabaisse, et tantôt me tari d’éloges. Parfois, elle en vient aux mains et ne peux s’empêcher de me gifler ou de me blesser avec quelque chose. C’est plus fort qu’elle, je sais, mais je ne comprends pas. Ma mère est imprévisible, elle me fatigue. Mon orgueil quant à lui, a la fâcheuse tendance à me pousser dans des situations relativement inconfortable, et à me rendre impulsif. Je suis la victime de ma propre vanité, puisque je me noie dans le travail. J’ai un fervent besoin de reconnaissance. Je DOIS être le meilleur. Si j’apparais comme le second de quelque chose, je considère le tout comme un échec et je redouble d’effort au point de m’en faire sauter la cervelle. Ce n’est que très récemment que je m’en suis rendu compte, quand mon entourage a commencé à voir naître des enfants ici et là, tandis que je passais toutes mes nuits à l’hôpital… Ou avec dans mes bras une inconnue dont je ne connais même pas le nom. ▬ Point fort du personnage ;
Paradoxalement, mon point faible est aussi mon point fort. Mon orgueil aura forgé ma détermination. Déjà à l’école primaire, je ne supportais pas qu’un autre récolte les félicitations pour un demi-point supérieur à mon devoir. J’ai rapidement compris que pour obtenir une reconnaissance durable, pleurnicher ne servait à rien. Je n’ai jamais eu que faire des sucettes que l’on offrait aux meilleurs, mais je les collectionnais comme les premiers trophées de ma vie. Au lycée, j’ai acquis une avance considérable en comparaison à la moyenne des classes. J’avais pour moi la mémoire, la compréhension rapide et une méthodologie avancée. Si je m’apercevais que j’avais des lacunes en une matière, je me bornais à en répéter les exercices jusqu’à ce que le tout ne soit intégré en moi comme une part innée de mon esprit. Bien sûr, c’est en demeurant sous les feux des projecteurs que l’on attise la jalousie des cœurs les plus durs. Je me suis mordu la langue chaque fois que l’on jetait mon bureau par la fenêtre, ou que l’on éparpillait mes affaires un peu partout. Ils finiraient par payer, tôt ou tard. Quand je serais devenu le plus grand et quand mes poches seraient pleines de billets verts. Ce jour-là, ils me supplieront de les aider et c’est avec un sourire que je leur répondrais « Non ». N’essayez jamais de me doubler, encore aujourd’hui. Vous risquerez de vous y casser les dents. J’ai été conditionné toute ma vie pour demeurer sur le podium, je ne céderai ma place à personne et ce, au prix de tous les sacrifices. Allez donc vous noyer dans votre couple et vous encombrer d’enfants ingrats. Laissez-moi briller et représenter ce que vous n’atteindrez jamais. ▬ Casier judiciaire ;
Officiel : • Tapage nocturne • Excès de vitesse
Officieux : • Pratique des avortements illégaux
Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; Alice ou Livanart ▬ Âge ; 21 printemps ▬ Où avez-vous connu le forum ; le copain d'un ami de la soeur du cousin de la nièce du père du neveu de ma filleul qui m'en a parlé ▬ Connexion ; 7/7j ▬ Code du règlement ;
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OK par NOVAK ▬ Avez vous signé le règlement ; [x]OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ;
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« Je suis désolée d’avoir un cousin aussi envahissant. » Reina s’était lovée contre son amant, son visage enfouit sous sa longue chevelure, et la voix ensommeillée. « Je ne voulais pas que nos vacances se passent ainsi. Sincèrement. » Qui l’aurait souhaité ? Franchement ? Leon n’avait pas souhaité répondre, peut-être autant par flemme qu’à cause des nombreux doutes qui l’assaillaient. Cependant, il ne pouvait pas imaginer la cubaine épanouie dans leur situation actuelle. Quand un problème semblait se résoudre, un autre faisait surface. C’est comme ça que ça fonctionne oui, en général. Mais se retrouver confronter à une tête de gang mafieux n’a rien à voir avec de multiples réunions de travail organisées autour de Noël, ou une augmentation refusée. Le jeune homme était en proie à l’angoisse permanente, au point qu’il ne semblait plus se souvenir de la dernière fois qu’il s’était levé un matin sans avoir une boule dans l’estomac. L’arrivée du bébé était préoccupante, c’est vrai… Mais tout parent se retrouve confronté à cela. Par contre, devoir contrer les possibles plans machiavéliques du cousin Bernal, ça, c’était une autre paire de manche. Les vacances venaient à peine de commencer, qu’elles s’étaient déjà terminées pour le Thanatopracteur. Tandis que Reina dormait profondément dans ses bras, bercée par le souffle de son amant, ce dernier passa l’intégralité de sa nuit à tergiverser dans tous les sens. Son imagination vagabondait et plus les heures défilaient, plus les scénarios empiraient. Bientôt, il dût se contraindre à fermer les portes de son esprit, au moins le temps de remettre les pieds sur terre et d’éviter l’hyperventilation. Esteban avait tout prévu, jusqu’au moindre détail. Peut-être que ce bébé était bel et bien un accident… Mais peut-être avait-il envisagé la possibilité d’un tel pépin. Peut-être savait-il déjà qu’il s’agissait d’un garçon et qu’il verrait le jour dans quatre minuscules semaines. Son visage bronzé tenait une expression de suffisance écœurante. Leon n’avait pas réussi à l’effacer tant son ascendance lui avait brûlé les paupières. Putain. Et cette villa, bardée de caméras de surveillance… Que comptait-il en faire ? Surveiller leurs moindre faits et gestes d’accord, mais dans quel but ? S’assurer que sa cousine n’irait pas avorter dans la salle de bain ? Avec une aiguille à tricoter et une bassine d’eau chaude ? A moins que ce jeu n’ait été inspiré par un une idée bien plus perverse, et que cet homme aux larges épaules ne soit jamais rassasié du mal qu’il faisait à Reina.
Les journées suivantes passèrent sans une ombre quelconque au tableau. Le couple tentait dans un commun accord de faire abstraction à l’endroit où ils se trouvaient, pour passer leur temps sur la plage, ou dans la piscine. Plus les jours s’écoulaient, et plus la température grimpait pour atteindre des sommets. S’il n’était pas nu dans une étendue d’eau, Leon menaçait de tourner de l’œil toutes les deux heures. La chaleur ne l’avait jamais réussi, et ses origines ne l’aidaient pas d’avantage. Habitué aux hivers Nordiques, le danois avait une peau blanche sensible aux UV contrairement à la cubaine qui bronzait au point d’en devenir mâte. Cela tenait – aux yeux de son fiancé – de la sorcellerie pure et simple. Si Madame voulait vivre dans un pays pareille les années à venir, elle irait seule. Jamais, même avec la meilleure volonté du monde, Leon ne supporterait ça plus de 3 semaines dans l’année. C’était étouffant, fatiguant et parfois dégoutant. Il lui fallait changer de chemise deux fois par jour s’il ne voulait pas avoir l’impression de nager dedans. Sans compter les moustiques et autres insectes volants qui piquent sournoisement, et tournent autour des pots de confiture du matin. Rah ! La nuit par contre, la température était idéale. Alors que Reina enfilait une petite laine pour recouvrir ses épaules, le thanatopracteur se baladait en t-shirt et profitait des dernières heures qui le séparaient de la cagne du lendemain. La plupart du temps, ils allaient dîner au restaurant puis visitaient les rues de Cancùn, tombant parfois sur des animations de rues amusantes. Certaines boutiques restaient ouvertes tardivement, offrant à la capitale du tourisme des airs de souk.
La dernière nuit, le duo s’était décidé à parcourir une petite fête foraine, où des lampions flottaient un peu partout. Quand leurs pas les dirigèrent sur le chemin du retour, ils portaient tous les deux des sourires épanouies, les doigts entrelacés et des étoiles dans les yeux. Sur le chemin, Leon taquina plusieurs fois la cubaine, lui retirant sa glace des mains jusqu’à ce qu’elle daigne l’embrasser. Et c’est certainement pour cette raison qu’ils mirent plus d’une heure à parcourir deux petits kilomètres, avant de tomber de fatigue sur le lit immense qui leur avait été prêté. Emoustillé par leur soirée idyllique, le jeune homme tenta de convaincre sa maîtresse de leur accorder quelques instants de plaisir charnel, venant glisser son bras sous sa robe et caresser tendrement l’intérieur de ses cuisses… Mais elle ne céda pas sous l’œil électronique et attentif de la caméra. Il lui renvoya une moue désabusée et la titilla d’avantage, sans succès. Leurs lèvres se joignirent en un dernier baiser, puis le couple s’endormis… Bercé par le vent qui s’était levé dans les feuillages.
« Knock knock knock… » Une voix grave qui pénétra dans la villa silencieuse. « ¿Dónde están mis dos amantes favoritas? » Les paupières de Leon vibrèrent, mais son esprit refusa de s’éveiller d’avantage. Il se retourna sous les couvertures, sur le point de replonger dans un sommeil profond lorsqu’un liquide froid noya son visage. Arraché de ses songes en sursaut, il se redressa sans comprendre et tomba pratiquement nez à nez avec « Querido cuñado! » Esteban ?! L’homme se dressait devant l’immense fenêtre face au lit, les bras levé en l’air et un verre d’alcool dont il avait versé le contenu sur les amants dans la main droite. Deux autres hommes basanés se tenaient à ses côtés, des lunettes noires aux montures épaisses dissimulant leurs yeux. D’instinct, le danois intima à la future mère de rester dans ses bras, et il resserra son étreinte sans quitter son ‘beau-frère’ et bourreau du regard. Trois heures du matin… Bientôt quatre. Que diable foutait-il ici ?! N’avait-il pas quelques têtes à ratisser ? Ou de l’argent à compter ? Le cœur de Leon frappait si fort contre sa poitrine, que Reina ne devait avoir aucun mal à le sentir. Sourcils froncés, il attendait péniblement que la situation s’éclaire. Au même moment, un troisième type activa les lumières de la chambre, et se planta devant la porte qu’il avait soigneusement refermée.
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Dernière édition par Z. Helima Maćkowiak le Mar 28 Mai - 23:38, édité 15 fois |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 10:31 | |
Re²-Bienvenue sur le forum grande saucisse ! Chirurgien pédiatrique ... Mon Serbe inside se fend les côtes, sache-le Tu connais la chanson : le staff est la en cas de besoin, n'hésites pas, et bon courage pour la rédaction de cette fiche. |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
| Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 10:42 | |
Re-bienvenue ici, bon courage pour cette fiche avec ce nouveau perso |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 10:55 | |
Un petit partenariat Novak? et je te fais les avortements de tes copines -50% Merci Anja |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 11:07 | |
Oh tiens, un obstétricien, ça peut être utile ça (comment ça les miennes sont toutes ménopausées.) Encore bienvenuuuue |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 13:17 | |
Haaaan ! Il fait les accouchements aussi ? => Sache que s'il travaille au Lennox .... Rebienvenue en tout cas et bonne chance avec cette nouvelle fiche ! |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 14:28 | |
Re-bienvenue |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 14:50 | |
Oooh le putain de choix d'avatar! Je valide. Hinhin. Bonne chance pour cette nouvelle fiche |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 17:25 | |
Rebienvenue parmi nous |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 24 Mai - 20:43 | |
Ahah, ce titre Rebienvenue et bon courage pour la rédaction de ta fiche (: |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Sam 25 Mai - 1:14 | |
Merci touuuut le monde Eva - ouh... Ne me tente pas Et oui, je fais aussi les accouchements, quand je n'ai pas d'urgences ailleurs Bon, je rentre du taff, chémalpartouuut, demain je continue ma fifiche |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Sam 25 Mai - 1:18 | |
Moi je veux bien => |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Sam 25 Mai - 1:32 | |
*Helima inside* Je n'saurais jamais dire non à Sophia Myles |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Sam 25 Mai - 16:48 | |
HAON. Il est là le sexy boy Bon courage pour ta fiche *-* (et oublie pas, tu me dois un mariage.) |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Sam 25 Mai - 17:00 | |
- Spoiler:
Un mariage? T'as pas Poly pour ça? |
| | | Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
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| Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Jeu 30 Mai - 15:21 | |
Je m'occupe de lire ta fiche dans l'après-midi |
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| Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Jeu 30 Mai - 16:52 | |
Me revoilà et je te valide sans le moindre soucis. Il m'a l'air bien intéressant ce nouveau perso, je suis sûre qu'il risque de faire des remous à l'hôpital et chez les demoiselles ! Bon jeu, have fun |
| | | | Sujet: Re: [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. | |
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| | | | [TERMINE] Helima • Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. | |
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