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| | { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Jeu 6 Aoû - 15:21 | |
A l i c e . R o s a r y . } "Je ne suis pas jolie, je suis pire." { I d e n t i t y .Je regrette fort de devoir le dire, mais l’histoire que vous allez lire ne contient rien de plaisant. Elle raconte la triste histoire d’une enfant qui eu toutes les déveines. Elle a beau être bien élevée charmante et intelligente, il ne lui arrive que des misères, de la première page à la dernière. Si vous aimez les histoires qui finissent bien, vous feriez mieux de ne pas suivre celle-ci. Car non seulement elle finit mal, mais encore elle commence mal, et tout y va mal d’un bout à l’autre. C’est que, dans la vie de la jeune Alice, bien loin du pays des merveilles me direz-vous, les choses avaient une nette tendance à aller toujours de travers. La voici donc qui fête aujourd’hui même son 18ème anniversaire, et sa 18ème année de miséricorde. Oh mais, suis-je bête, vous n’avez même pas idée de qui je suis en train de parlez. Par ici venez, approchez-vous. Tiens, la voilà, assise à une table d’un café, il semblerait bien que ce soit le matin. Elle lit ? Oh, Alice n’a pas besoin de grosses lunettes rondes pour lire, celles qui donnent l’air intelligent, car elle ne se contente pas d’en avoir l’air. Vous voyez comme la lumière du soleil, filtrée à travers la baie vitrée crasseuse, traverse ses cheveux et les font paraître que plus blonds ? Oh, ses longs cheveux blonds, elle aimait les voir bouclés mais ils étaient résolus à rester plats. Et ses yeux, vous avez vu ses yeux bleus, si joliment encadrés de longs cils ? Quel beau regard que celui d’Alice, pourtant il ne manque pas de jeter des éclairs à ses assaillants. Les gens lui disaient souvent qu’elle avait les yeux de son père. Ils disaient aussi, qu’en revanche, elle avait les lèvres de sa mère, douces et finement rosée. Et oui, Dieu sait qu’Alice Rosary était intelligente, maligne et fort bien faite de sa personne ; pourtant je suis persuadé qu’aucun d’entre vous n’aimerait être à sa place. Enfin vous le serez tout du moins quand vous aurez lu suite. Mais ne soyez pas trop pressés, très cher lecteur, car le récit des mésaventures d’Alice Rosary arrivera bien assez vite. { M o r e ?Cette histoire se passe à New York. Et pourtant on y croise des Crocodiles. Cette histoire parle des hommes, et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, Celles que nous ne serons jamais, cette que nous deviendrons peut-être. Cette histoire, c’est l’histoire d’un mensonge, Mais aussi une histoire d’amour, D’amitiés, de trahisons, d’argent, de rêves. Cette histoire est pleine de rires et de larmes. Cette histoire, c’est la vie.
La chance est un concept qui exprime la réalisation d'un évènement, bon ou mauvais, sans nécessairement qu'il y ait un lien de cause à effet entre le désir et sa réalisation, fut elle bonne ou mauvaise. Mais Alice Rosary n’avait jamais eu de chance. Vous me direz lecteur que la chance n’est bonne qu’aux superstitieux, ce qui est sans doute une remarque pertinente. Mais quand bien même, la jeune enfant en fut totalement dépourvu et ce dès sa naissance. Pourtant son père, Daniel Wallace était un homme brillant et ma foi bien sur lui, un commercial il me semble. Enfin un homme plein d’avenir en tout cas. Sa mère elle, Suzanne Rosary était une jeune australienne en quête du rêve américain, très belle si on en croit les quelques personnes qui l’ont connue. C’est d’ailleurs de ces quelques personnes qu’Alice pu se faire une petite idée de sa mère. Oh, je sens que votre curiosité est éveillée, mais ne soyez pas si impatients, attendez un peu que j’écrive la suite. Installés en province, ils mènent une vie calme et ont leur premier enfant, Tom Wallace. Petit garçon sans histoire, entré dans "un rang d’enfants tous très sages, dont les principaux passes temps sont le scoutisme et le bénévolat". Jusque là, lecteur, je dois avouer que tous se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais notez tout de même qu’Alice, notre jeune malchanceuse chronique, n’est pas encore mentionnée dans cette histoire qui ne fait que commencer. Quelques années plus tard, sept ans plus exactement, Suzanne Rosary tombe enceinte de son deuxième enfant, une fille lui dit-on. Malheureusement pour elle, la jeune Alice à peine née lui sera fatale. Oh non lecteur, je n’insinue pas qu’elle mourut, tout du moins pas physiquement. Non, ce que je veux dire c’est que Suzanne Rosary arrêta de vivre. Je ne sais pas si vous avez réussit à saisir cette infime différence qui pourtant est cruciale. Mais je crois que tout le monde est d’accord sur un point, le nouvel enfant né ne fut pas accueillit comme une bénédiction du ciel. Au fur et à mesure les années passaient, Alice grandit, insouciante. A 10 ans Tom est envoyé chez un psychanalyste pour avoir immolé leur chien. Sa mère est à l’hôpital. Alice grandit, insouciante. A 12 ans Tom fait son premier coma éthylique. Sa mère est à l’hôpital. Elle grandit, insouciante. A 13 ans Tom est envoyé en maison de correction pour coups et blessures sur sa petite sœur, Alice Rosary. Suzanne décède. A six ans à peine, Alice réalise.
A cette époque, alors que la famille, qui ne comptait plus que le père et la fille, aurait dû rester soudée, il s’arrêta de parler. Il ne dit plus un mot pendant deux ans. Deux années pendant lesquelles Alice, s’évertuant à parler encore et encore à son père, s’éleva plus ou moins toute seule. Puis durant 5 ans je crois, ils essayèrent de vivre les choses comme si de rien n’était : "Ca va ? – Oui très bien je n’ai aucun problème", pour finalement arrêter de se parler tout court. A 16 ans, la jeune Alice n’arrivait pas à être triste de la tragique tournure qu’avait prit sa vie. Elle se dit que c’était sans doute parce qu'à six ans elle n'avait pas bien saisit que quand on meurt c'est pour la vie, enfin façon de parler, lecteur. Et puis disons que le temps avait fait le reste. Le dixième anniversaire du naufrage de la famille Wallace, Daniel l’arrosa comme à son habitude. Alice, elle, franchit le perron de sa maison pour la toute dernière fois. Son père ne voulait pas être aidé, elle avouait ne plus avoir l'envie de le secourir. Elle ne voulait plus de cette routine d'un père alcoolique qui s'était installée au sein de la famille... De cette famille où ils n'étaient plus que deux.
Quand Alice mit pour la première fois les pieds à New York, elle eu la sensation de revivre. Elle était donc loin d’imaginer qu’elle courait à sa perte.
Le lycée ? Oh ça non lecteur, Alice n’avait jamais pu y aller. Sans diplôme, elle ne décrocha d’ailleurs qu’un petit boulot de serveuse qui ne lui suffisait qu’à peine pour boucler le mois. L’appartement dans lequel elle logeait n’était qu’une petite chambre sous les toits mais ce qui pouvait paraître invivables pour certains l’était tout à fait pour elle. Il ne lui fallut pas longtemps pour rencontrer quelqu’un. Oh lecteur, si vous saviez, je retournerai volontiers en arrière pour prévenir la jeune Alice du pétrin dans lequel elle se mettait. Alors peut-être qu’en suivant les conseils farfelus d’un narrateur avisé elle n’aurait pas décidé de suivre ce jeune homme dans le cercle sans fin dans lequel il allait la faire plonger. Tout commença par une lettre de licenciement pour limitation de budget. Elle arriva par la poste un matin de septembre, à l’aube de son dix-septième anniversaire. L’année qu’elle avait passée à travailler dans ce café n’avait pas suffit à garantir son poste, et vous vous doutez bien que, bien qu’elle ait arrêté de manger par économie, et ne trouvant pas d’autre job, elle ne mit que quelques semaines pour finir dans la rue. Elle finit donc par s’installer provisoirement chez ce jeune homme dont j’ai parlé plus haut, et dont le nom m’échappe encore. Peu importe.
Il suffit de voir ce qu’Alice était devenue en l’espace de quelques mois pour comprendre que la vie était mal faite. Car d’un quotidien de père alcoolique elle passa à celui d’un homme drogué. La cocaïne qu’elle avait finit par prendre la cribla bien vite de dette qu’elle dû rembourser auprès d’un homme, jusqu’à en avoir trop. Oui, c’est bien Alice que vous voyiez là bas, au coin de cette rue glauque, à peine éclairée d’un néon grésillant. Ce qu’elle fait ? Je ne sais pas si votre curiosité est malsaine au point de vouloir le savoir. Mais les bleus qui parsemaient son corps, et la voiture noire garée près d’elle vers laquelle elle se dirigeait, ne lui promettaient un avenir qui ne pouvait qu’être bien sombre.
Alice aurait aimée être sauvée, malgré tout. Elle ne voulait pas d’un homme qui lui promette la lune. Si Alice avait un jour réclamé l’impossible, elle aurait demandé quelque chose de bien moins futile que cette vulgaire boule blanchâtre dans le ciel. Elle aurait pu demander d’autres choses, insensées, comme la paix dans le monde, la beauté et la richesse, l’amour... Mais Alice, même en cherchant des millénaires ne trouverait rien qui, dans le futur, pourrait la contenter. Elle, elle aurait préféré revenir en arrière, faire que sa mère vive, que son frère reste quelqu’un de bien, que son père ne finisse pas comme il était devenu. Pour avoir une famille normale, et pas le semblant de paternité qu’elle s’était efforcée de maintenant des années durant. Pas cette idée de sa mère, qu’elle s’était faite à travers son journal. Sans tomber dans le mélodrame, Alice aurait voulut, idéalement, des choses que tout le monde avait sans s’en rendre compte. Mais elle ne pouvait que constater, dans un sourire pincé, que ce n’était pas le cas, et que même le plus acharné des chevaliers servants ne pourrait lui donner ce qu’elle souhaitait : une autre histoire. Celle d’Alice Rosary ne faisait que commencer, certes, mais bien mal ma foi, et elle s’évertuait visiblement à ne pas la rendre meilleure.
● Définition de l'enfer pour le personnage : L'enfer est en nous. Nous le portons au fond de nous-mêmes et nous le subissons chacun à notre manière. Alice, elle, le vit au quotidien. Ce peut-être des choses futiles, comme son café renversé sur la table crasseuse un matin, le talon de sa chaussure qui décide sans prévenir de casser, ou bien cette fichue voisine avec qui elle ne s’entendait vraiment pas. Mais l’enfer d’Alice était souvent bien plus grave, comme cet homme abominable à qui elle devra tenir compagnie cette nuit, cette maigreur qu’elle trouvait de plus en plus alarmante, ou cette addiction dont elle n’arrivait pas à se défaire. Et puis il y a la peur qui lui serrait le ventre, constamment. L’Enfer, c’est peut-être le vide qu’elle ressentait, debout dans la rue. Ou bien c’était de savoir qu’il était trop tard pour être sauvée maintenant. L’Enfer, c’était peut-être tout simplement d’avoir perdu l’espoir.
● Définition du paradis pour le personnage : Lieu de délices que l'on dit être le ciel et d'où nous arrivent aussi la pluie, la foudre, la grêle et les bombes. Alice Rosary a grandit trop vite, pour croire encore au père Noël, à la petite souris, ou au paradis. Elle ne peut que sourire face à ceux qui sont encore bercés de ces douces illusions. Car on a bien du mal à croire en quelque chose que l’on n’a jamais connu. Mais elle sait profiter des quelques moments agréables que lui offre la vie. Car si le paradis est au quotidien, ce serait sans doute pour elle l’espace de quelques instants. Un sourire apparaît à ses lèvres parfois, grâce à une musique, une odeur familière, un simple sourire. Ou tout simplement quand son esprit s’évade ailleurs, loin de New-York, quelques secondes.
● Détail pas si insignifiant que ça : Alice souffre de dyschromatopsie complète, elle ne voit donc qu'une seule couleur : le bleu.
● Groupe : Les " Cityzen".
● Taux de criminalité et pourquoi : 10%, Alice n'est pas une mauvaise fille. Au fond, elle ne fait qu'essayer de survivre, même si ça doit passer par la prostitution. Malheureusement, il y a la drogue, aussi. { P l a y e r & O f f . G a m e .~ Prénom/Pseudo : / ● Age : 20 ans. ● Votre avis sur New York, The Dark Side : J’aime beaucoup ! Il ne me manquait plus qu’une fille, après Johnny. ^^ ● Où avez-vous connu le forum ? Via un top site. ● Niveau de RP : Je vous laisse juger avec Jack ? ● Exemple de RP : Voir plus bas. ● Connexion : 5/7 toujours. ● Code du règlement : - Spoiler:
OK par Axel ● Avez vous signé le règlement ? : Oui ● Célébrité sur l'avatar : Gemma Ward. ● Multicompte : Yes, je suis Jack Malrown.
Dernière édition par Alice Rosary le Ven 7 Aoû - 1:43, édité 7 fois |
| | | | | | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Jeu 6 Aoû - 15:59 | |
C'est sûr ! Gemma est vraiment plus belle : ) Re-bienvenue ! Bonne chance pour ta fiche ! N'oublie pas d'aller signer le règlement. |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Jeu 6 Aoû - 16:38 | |
Estella =D Re bienvenue =D EVIE TON AVA' |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Jeu 6 Aoû - 17:37 | |
Disons que les trois se ressemblent beaucoup ! Mais je ne sais pas laquelle choisiiiiir ! ); Je veux faire euh...... Une prostituée malgré elle, comme dans Taxi Driver. <3
Hihihi ! en tout cas ça fait :
Gemma : II Estella : I
De toute manière j'ai choisis Gemma, elle a beaucoup plus de choix d'image !
Je (re)signerai le rêglement quand j'aurai terminée ma fiche ! |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Jeu 6 Aoû - 19:30 | |
Bienvenue. Très bel avatar même si je ne connais pas la célébrité dessus. ^^ |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Jeu 6 Aoû - 19:45 | |
Merci à toi ! ^^
C'est Gemma Ward. |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Jeu 6 Aoû - 20:41 | |
* Sort son portable et vote 2 : Estrella *
Re-Bienvenue à toi ! N'oublie pas de re-signer le réglement et de coller tout de même un exemple de RP (c'est pareil pour tout le monde, même pour les doubles comptes ^^)
Bon courage ! |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Ven 7 Aoû - 1:35 | |
Plus de place dans mon premier poste, je mets donc l'exemple de rp ici. (Il n'est pas terrible, mais bon.) ● Exemple de RP : - Spoiler:
"C'est comme ça que les grands journalistes se fringues...?"
Converse et tee-shirt bleu clair; voilà qui était assez drôle, j'aurais imaginé la tenue plus stricte, mais bon Benjamin Krayde est assez réputé pour ne pas se conformer aux idées reçues. Bref, il avait prit la peine de me causer, ce qui était déjà un exploit surhumain, sauf qu'il m'entretenait à propos de l'autre blonde dont je n'avais fichtrement rien à faire... Blondie, pas étonnant qu'avec un nom pareil elle vire vieille pouff acariâtre. J'hausse un sourcil, amusée.
"Fillette", voilà que ça recommence... Sans déconner les gens ne peuvent pas parler sans préjuger ? Je n'ai pas l'air à ce point d'une gamine quand même, je vais avoir 20 piges : majeur, vaccinée, et c'est pas parce que lui fait 5 ans de plus que son âge qu'il doit me parler comme à sa petite soeur..... J'ai bien envie de lui faire une remarque cinglante mais je me retiens. Bon ok, le simple fait que ce soit un célèbre journaliste pourrait faire que je m'écrase........
Ma fois, c'est avec un certain tact qu'il essayait de se débarrasser de moi. Va voir bidule il saura quoi faire, moi j'ai pas le temps, je travaille, blablablaaa... Mais bon, pour le moment je me contente d'écouter, surtout qu'il enchaîne direct sur la petite plaisanterie que j'ai faite juste avant, ajoutant (subtilement) qu'il avait tendance à déserter les locaux.
Ce fut la deuxième personne de la journée qui me planta devant ce foutu ascenseur. Etre stagiaire ici n'allait pas être de tout repos, c'était plutôt évident que dans le milieu pompeux des journalistes il était difficile de se faire une place, aussi minuscule soit-elle. Enfin bref, c'est d'un regard légèrement blasé que je regardais le jeune homme partir sans avoir pu lui répondre quoi que ce soit.
*A non pas cette fois mon gaillard !!*
"Dites Mister Krayde ! Non pas que je veuille insister, même si c'est le cas, mais..."
Je refuse d'être de nouveau abandonnée, mais finalement je ne dis rien. J'ai envie de jouer un peu. Ce sera sa punition pour être le second de la journée à vouloir me laisser seule ici.
"Non, en fait... Rien ! Merci encore !!"
Finalement, je prends la direction inverse de celle du jeune homme, sans doute parce qu'il était bien loin de se douter que mister Kyle (j'en ai conclu qu'il devait le chercher...) n'était pas du tout à l'endroit où il devrait être. Ainsi, je fis le chemin inverse que celui que j’empruntai à mon arrivée, cherchant du regard l'HOMME. Je fus forcée de constater que pas mal de monde se demandait ce que je pouvais bien foutre ici...
"Mr Petterson !"
Dis-je vers l'homme qui me tournait le dos lorsque j'ouvris la porte, il se tourna vers moi, interloqué. Sans doute devait-il se demander ce qu'une collégienne faisait dans ses bureaux ?
"Lily Lovering, enchantée, je suis ici pour le stage..."
Il se passa seulement quelques minutes avant que la porte ne se ré ouvre sur Benjamin. Je ne pu m'empêcher de sourire intérieurement. Finalement elle se démerdait plutôt bien la "fillette", non...?
"Merci ! Au revoir !"
Dis-je d'une voix assurée, avant de quitter la salle, n'accordant pas un regard au jeune homme que je dépassait. Puis, refermant la porte derrière moi, je soupirais.
*Et bien...! J'aurais du faire un stage dans une pizzeria s'aurait été moins éprouvant.*
Je décidais d'attendre que Benjamin sorte, même si cela mit plus de temps que j'avais songé. Après tout, pour le moment j n'avais aucun compte à rendre, aussi je pouvais tuer le temps ici comme bon me semblait !
"Tiens donc ? Comme on se retrouve... N'est-ce pas une agréable coïncidence ?"
Adossée au mur, je me redresse, lui renvoie un sourire franc, espérons qu'il soit bon joueur !
"J'avais oublié de vous dire : Si c'est Mr. Petterson que vous cherchez il n'est pas dans la direction que vous semblez vouloir prendre...!"
Ais-je réussis à marquer un point ? Encore heureux que j'ai eu de la veine en le croisant pendant mon périple avec la Blonde, le Kyle ! Plutôt fière de moi, je lève sur lui un regard assuré, lui adresse un sourire en coin.
*Si tu croyais pouvoir te débarrasser de moi aussi facilement mon petit père tu te gourre...*
Alors que je lui emboîte le pas, plus ou moins malgré lui, je jette un oeil curieux vers ce qu'il porte dans son sac. Un article ? Génial ! Sinon tant pi, peut-être était-il juste venu régler deux trois paperasse, même si ça avait un petit côté décevant.
"Quels sont les victimes cette fois ci ?"
Je demande l'air curieuse. Peut-être n'a t-il pas saisit ce que je lui disait, après tout il ne peut pas lire dans ma tête comme vous le faites. Mais venant de Benjamin Krayde, je doute que mes propos ne lui disent rien.
"Je viens donc de m'entretenir avec le big boss ! Ca s'est plutôt bien passé ! Devine ce qu'il m'a dit..."
Je sais bien qu'il s'en fiche, mais bon je n'ai pas envie de baisser les bras. Ma place ici, je me la ferais à grands coups de batte en aluminium s'il le faut !
(Imitant sa voix) "Tu n'as qu'à trouver quelqu'un qui t'apprendra les bases."
Je le dépasse, m'arrête juste devant lui, levant mon index pour le pointer du doigt. Ce sera toi ! Même si tu ne le veux pas, même si ça t'emmerde, je serais tellement scotchée à tes converses que je serais obligée d'apprendre des trucs, que tu le veuilles ou non.
"You !" <3
---------- Thank you Cash ! J'ai terminé ma fiche ! |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Ven 7 Aoû - 10:25 | |
GEMMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! Bienvenue, au fait ! ^^ En espérant que tu te plaise ici. |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Ven 7 Aoû - 11:34 | |
J'aime ce cri que tu as en me voyant. 8)
Thanks Eliott ! ^^ |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Sam 8 Aoû - 0:48 | |
Triste histoire tout ca.
Fiche Validée, bon jeu ! |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) Sam 15 Aoû - 15:55 | |
GEMMMMMAAAAAAAAAAAAAAAAAA Re-bienvenue =D |
| | | | Sujet: Re: { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) | |
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| | | | { Alice Rosary || Does it Wonderland ? (100%) | |
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