▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;

JULEE CRUISE ▬ Into the night.

▬ Histoire ;

Toussaint est née en 1968 dans le quartier historique de Storyville de la Nouvelle-Orléans en Louisiane, fille unique d'une créole d'origine congolaise et de son protecteur français. Issue d'un milieu plus que modeste, sa mère travaillait dans une petite épicerie de quartier qui évitait le racket grâce à son père, un repris de justice à peine sorti de prison; on racontait partout dans le quartier que Henry, son père, avait purgé une peine pour meurtre, ou pour viol... nul ne savait vraiment. Mais tous savait qu'il n'était pas un tendre, surtout sa femme et sa fille qui essuyaient ses coups de colère avec des larmes et des bleus. Une enfance chaotique qui s'enfonça un peu plus dans l'enfer alors que Toussaint grandit, attirant la convoitise d'un père souvent bien trop aviné pour se rendre compte de ce qu'il faisait. Ce fut un soir, alors qu'elle n'avait que treize ans, que Toussaint prit la fuite, le corps couvert d'hématome et le portefeuille familial en poche: c'était une question de survie; soit elle fuyait, soit elle mourrait. Des mains de son père ou peut-être des siennes, fatiguée de cette enfance martyre.

La Nouvelle-Orléans était une ville immense, et la jeune fille vida bientôt ses maigres économies en essayant de sortir de ce bourbier en évitant l'argent facilement gagné: elle était bien trop jeune pour se prostituer dans la rue sans alerter les services de l'enfance et aurait préféré mourir plutôt que de subir à nouveau des attouchements non désirés. En voyant plus loin, elle contracta même une phobie aigüe du contact humain. Il n'y a finalement pas grand chose à faire pour une jeune fugueuse qui ne souhaite pas être retrouvée: Toussaint se retrouve dans le monde interlope de la nuit, à servir de petites mains au receleur du coin. Dehors, elle sait bien que sa famille doit la chercher; elle a vu les avis de recherche mais n'ose pas s'aventurer hors du vieux centre de la ville... après tout n'est-elle encore qu'une enfant. Alors elle essaye de se déplacer chaque nuit, de donner des faux noms, de brûler tout ses papiers... mais la précaution des adolescents n'est pas la prudence des adultes confirmés et finalement elle est retrouvé trois semaines après sa fugue, et elle pense que l'enfer va recommencer... pourtant son père se contente de continuer à la battre comme plâtre et elle évite une nouvelle vagues d'abus, sans savoir pourquoi.

Mais c'était déjà plus supportable; pourtant elle avait bien l'impression de ne jamais pouvoir s'échapper de cette prison: son père menaçait sans cesse sa mère et tout de monde devait composer pour esquiver les services de l'enfance. Tout cela cessa brutalement sans que son père ne fut jamais inquiété: il se tua dans un accident de voiture lorsque Toussaint eut seize ans, et mère comme fille en semblèrent bien tristement soulagées; même si c'était tragique, leur bourreau était mort. Pourtant la jeune fille ne guérira jamais vraiment de ce que lui avait fait subir son père et malgré une suite de vie des plus calmes, il était évident que la noire resterait marquée à vie. Elle fut bon élève, discrète et effacée et sa mère déménagea avec elle dans le quartier Treme, chez sa grand-mère, Ma' Mouton, une vielle femme tenant une herboristerie. La fréquentation de Ma' permit à Toussaint de se recentrer et de retrouver une vie saine.

Pourtant certains individus ont certains choses qui continueront à leur coller à la peau: décrochant une bourse durant ses études, Toussaint se montrait une élève assidue et désireuse de s'élever socialement, pour ne plus jamais être une proie de la société, une victime de quelqu'un. Elle s'engagea dans des études universitaires remarquablement brillantes en économies et management et avec quelques camarades racheta les fonds d'une vieille entreprise d'import-export. Tout semblait se profiler le plus honnêtement du monde mais Toussaint n'eut pas confiance en ses collaborateurs: elle fit grimper l'entreprise tout en récupérant les parts jusqu'à en devenir l'actionnaire principal pour en garder tout le contrôle. Les années passèrent et consolidèrent l’efficacité et la réputation de son entreprise, absorbant ses concurrents mais réduisant de plus en plus les parts de ses autres actionnaires. Il ne lui fallut que trois ans pour posséder plus de soixante-quinze pour cent de la boite, régnant dessus comme un tyran alors qu'elle n'avait pas encore vingt quinze ans.

La noire avait toujours eut autant le sens des affaire que celui du risque et lorsqu'elle commit sa première fraude à l'assurance, ce fut avec brio qu'elle recommença pour sauver son entreprise et racheter un autre fond de commerce pour l'agrandir. L'argent frauduleusement gagné lui assura de se remettre sur pied et bientôt la voilà tenter d'aller plus loin: devenir le géant du transport, le titan de l'exportation et de l'importation. Pour ce faire, elle chercha à changer son entreprise honorable en une créature tentaculaire, absorbant ses concurrents de manière souvent peu honnête: avec quelques faux documents, par de l’espionnage d'entreprise ou du chantage, elle fit couler son concurrent le plus direct, récupérant ses fonds pour nourrir l'ogre de son ambition. Tous avaient remarqué que Lascelle avait changé: elle était devenue un requin de la finance, une control freak qui voyait l'argent comme un moyen de défense.

Vingt années de ce régime avaient propulsé Toussaint dans l'illégalité: avec l’absorption d'autres entreprises tient née une véritable corporation qui la rendit extrêmement riche, et elle se fraya un passage dans toutes les soirées en vogues de la ville, tentant d'être proche avec les différents maires, soudoyant à tour de bras, appuyant certains agents de police ripoux. Bientôt l'argent comme les relations devinrent son meilleur bouclier contre ses ennemis: des entrepreneurs rivaux, jaloux de tout poil et autres. Et quitte à se salir les mains, autant se jeter dans la merde: elle engagea des hommes à son service pour faire les basses besognes, secouer les petits actionnaires, menacer les mauvais payeurs... le nom de Lascelle voyagea jusqu'à New York, dans les quartiers les plus huppés, dans les grandes soirées... autant pour la médiatisation de sa fortune que pour des secrets bien plus sombres... et des ennemis, toujours des ennemis: elle en voyait partout depuis le jour où on l'avait enlevée et torturée. Cet évènement marqua chez elle le début de ses crises de paranoïa, d'autant plus qu'elle aurait pu ébruiter autant les malversations financières de Toussaint tout comme ses "amitiés" avec la Bravta, la "Mafia Rouge".

En effet la mafia russe n'était pas du genre à aimer à se laisser entourlouper. Toussaint ayant travaillé pour eux dans une histoire de financement obscur de fond pour acheter des armes, elle tenta d'obtenir une plus grande part qu'elle ne l'avait désiré à la base, exhibant un sordide secret pour essayer de faire du chantage à son employeur qui n'apprécia pas la plaisanterie de la noire. Elle se fit enlever un soir alors qu'elle rentrait seule d'un bal de charité et subi plusieurs semaines de séquestration au main d'une des mafia les plus violentes du monde, pour "lui faire passer l'envie de faire des farces", selon son ancien employeur. Souvent, elle pensa qu'ils allaient la tuer après s'être amusé d'elle; ils lui firent vivre un véritable enfer: ongles retournés, brûlures à l'acide. Elle fut réveillée toute les deux heures pour déranger ses cycles de sommeil, affamée des jours durant et lorsqu'on consulta son dossier social pour découvrir son passé (à savoir le comportement violent de son père, des mains courantes sans suite pour maltraitance...) obtenu grâce à l'aide d'un flic ripou, un des mafieux suggéra de la violer pour imprimer la leçon encore plus profondément dans sa chair. Suite à ce traitement, ses cheveux se mirent à blanchir prématurément, petit à petit, pour devenir totalement blancs au jour d'aujourd'hui; elle ne fut plus jamais la même, sombrant définitivement dans la paranoïa.

Pourtant ils ne la tuèrent pas: Toussaint n'était à la fois qu'un exemple marquant et un bon investissement. Il serait dommage de tuer la vache qui fourni le lait, après tout. Elle fut obligée de verser des pots de vin importants aux autorités en place, afin d'éviter d'ébruiter ses propres affaires: il n'y avait rien à faire; si elle cherchait à faire tomber ses agresseurs, elle tomberait avec eux et en était bien consciente. La mafia rouge la tenait à présent par la gorge et ils la terrifiaient. Pourtant elle continua de travailler avec eux, sous la crainte et la menace: elle avait subi le plus horrible exemple qui soit et avait croisé plus fort qu'elle, c'était la loi du plus fort dans le milieu où elle évoluait, et elle le savait. Elle savait aussi qu'il l'avaient à l’œil, à présent... mais elle préférait ça à la police qui viendrait fouiner dans ses affaires douteuses. Après tout n'y avait-il eu aucun mort. Elle prétexta une agression raciste et donna des descriptions vagues mais surtout beaucoup d'argent: on  ne retrouva jamais ses tortionnaires. L'affaire lui laisse encore un gout amer dans la bouche mais la vengeance n'est pas envisageable: Toussaint reste une femme prudente et son audace lui avait couté trop cher pour qu'elle remette le couvert. Alors la vie devait reprendre son cour, même si l'angoisse augmenta de jour en jour. Elle restait la financière de tout ceux qui cherchent de l'argent qui ne serviraient pas les choses les plus louables qui soient.

A quarante ans, miss Lascelle était effectivement devenue la "banquière du crime" de New York, investissant son argent pour fournir de l'aide à quelques organisations mafieuses et gangs qui en échange lui offraient services et encore plus d'argent pour se cacher encore mieux de tout ses ennemis, certains réels, d'autres imaginaires. Elle n'était qu'une femme aigrie et paranoïaque, obsédée par l'argent. Et pendant qu'elle se trouve à quelques réceptions au bras d'une femme dont elle a déjà oublié le nom, ses hommes s'occupent de faire faire un "malencontreux accident" à cet employé qui avait osé la menacer de révéler ce qu'il venait de découvrir... pour l'instant les affaire vont bien et elle peut continuer à mener son train de vie de dynamique quadragénaire millionnaire mais l'âge la rattrapant, elle songe à une future retraite à Monaco, loin de ses ennemis. Mais pour ce faire, il lui faut quelqu'un pour reprendre ses affaires... et la vieille lionne n'est pas sûre de vouloir lâcher son os trop rapidement.

Pourtant, il y a trois ans Toussaint adopte un jeune garçon de quinze ans, Maximillian, pour en faire son fils et son successeur. Malgré tout, elle le laisse dans le flou durant ces années, refusant de lui parler de ses activités; peu présente car toujours prise soit par le travail, par ses voyages, ses diners d'affaires ou ses rendez-vous galants, Toussaint surveille d'un œil lointain ce jeune cheval de course sur lequel elle a misé...

▬ Relations ;

Les relations de Toussaint sont nombreuses et très diverses, mais dictées par un sens pratique d'une extrême froideur: elle classe les gens selon leur utilité et ne l'oublie jamais. Il est ainsi rare qu'elle se lie d'amitié avec quelqu'un sans une raison qui lui semble valable, mais sait se montrer engageante et chaleureuse en général: elle ne manque ni de conversation ni de charme: elle est une compagnie agréable et facile. En outre elle dispose de nombres de conquêtes féminines et son carnet d'adresse sait s'enrichir de nouvelles belles femmes à courtiser, mais avec lesquelles elle ne passe jamais "le pas".

▬ Physique ;

Toussaint est une beauté noire au visage typiquement africain, la bouche lippue, le corps sans un once de graisse et les yeux d'un noir de jais. Elle mesure un bon mètre quatre-vingt cinq pour une allure sportive, les cheveux prématurément gris suite à un épisode particulièrement difficile durant ses débuts dans sa carrière criminelle. Ses yeux sont d'une couleur difficile à définir, entre le gris acier et le noir et si sa taille n'étonne guère en raison d'une lointain ascendance probablement congolaise ou sénégalaise, cette dernière impose souvent son physique d'une manière particulièrement efficace: Toussaint est grande et massive, les épaules très larges et les jambes comme interminables. Elle est fort peu mobile, plutôt raide et droite ce qui lui confère un air facilement sinistre ou intimidant qu'elle se plait à entretenir en ne portant que des vêtements noirs bien coupés de hauts couturiers.

Complexée par nombres d'estafilades et de profondes cicatrices qui ne disparaitront jamais, Toussaint se vêt de manière pudique et sobre, toujours en tailleurs-pantalon et chemise noirs, sans ostentation tout en étant très chic; elle affectionne les pulls à col roulés et les gants de cuir avec des costumes masculins sans aucune coquetterie ni féminité. Vous ne la verrez en effet jamais en jupe ou en robe: son physique marqué la complexe bien trop pour qu'elle accepte le fait d'être encore une femme; ainsi, Toussaint a développé une pudeur extrême, une sorte de barrière mentale entre elle et les autres par le biais d’une garde-robe qui dissimule ce qui la rend honteuse. Des brulures de cigarettes, certains même de chalumeau, des os mal ressoudés; à la main gauche, il lui manque l'annulaire et sa main gauche a globalement du mal à serrer les objets, ayant beaucoup moins de force que l'autre main. Les coups donnés ont laissé sur sa chairs des empreintes, creux et bosses, cicatrices boursouflées dans le dos, sur le ventre et les cuisses. La marque la plus impressionnante de torture est sur son dos: il s'agit de multiples brulures à l'acide qui ne guériront probablement jamais totalement.

Son sourire a quelque chose de celui des politiciens qui sourient par habitude, bien qu'emprunt d'une véritable douceur. Mais qu'on ne s'y trompe pas: notre femme ne sourit que par habitude, ou par besoin: sourire n'est qu'un Sésame pour elle, qui ouvre certaines portes. Elle essaye de se faire physiquement dure comme le roc, soignant sa toilette dans le détail, détestant être mal apprêtée: l'apparence, pour elle, renseigne toujours sur l'état d'esprit de la personne qui la porte; aussi essaye-t-elle se se montrer le plus sobre et le plus neutre possible.

▬ Caractère ;

Toussaint a un côté individualiste extrêmement prononcé. En effet, son esprit d'entreprise, son dynamisme, sa capacité de voir loin et large s'accommodent mal des entraves à sa liberté d'action. Elle adore les responsabilités, mais refuse d'être prise en charge : elle n'aspire qu'à s'assumer elle-même quitte à pécher parfois par un orgueil exagéré. Ses rapports avec l'autorité sont toujours plus ou moins tendus et son attitude parfois frondeuse fait dire qu'elle manque parfois de tact. Mais en revanche, lorsqu'elle est elle-même investie d'une autorité, la femme souhaite que les autres prennent celle-ci dûment en compte. S'il lui arrive parfois de céder à des colères fracassantes, du moins n'y a-t-il pas de réelles manifestations d'hostilité. Cependant, enthousiaste à l'extrême et désireuse de réussir, elle est toutefois suffisamment consciente de ses chances de succès, douée de la capacité de s'adapter aux circonstances et de les utiliser comme tremplin.

Mais ce qui défini le plus cette étrange femme noir est qu'elle est animée par une puissante passion. Mais cette passion n'est pas brute et débordante : c'est plutôt un feu qui couve sous la cendre, qui dégage plus de chaleur que de flamme. Elle se traduit par le goût du risque, le désir d'abolir les contraintes qui lui sont imposées. Toussaint est séduisante, agréable dans les contacts humains, où elle se montre ouverte, communicative et compréhensive. Et pourtant cela n'est qu'une façade. En réalité, Toussaint est une femme froide; le feu et la glace, pour tout dire. La colère la plus homérique couve chez elle sous la couche de la glace la plus polaire et ses rares élans sont en général autant de rappel de ce dont elle est capable de faire: à peu près tout pour arriver à ses fins. Obsédée par sa survie personnelle, elle est égocentrique et paranoïaque, fruit de sa longue expérience dans le monde du crime. La peur exerce également sur elle une fascination peu commune, et elle aime à la distiller aux autres lorsqu'elle se sent agressée ou pour renforcer ses appuis. Ainsi, si elle peut sembler charmante et souriante, elle est parfois sombre et tyrannique, par simple plaisir d'intimider des pairs.

Pourtant Toussaint est ingénieuse, et elle a pour coutume de dire que ce qu'elle veut, elle obtient toujours. Orgueilleuse et méthodique, la femme est l'image même de la femme d'affaire ayant plongé dans les malversations financières pour nourrir l'ogre insatiable de son ambition, et elle est prête à tout autant pour ses projets que sa survie. Il lui arrive pourtant d'avoir de la considération et de l'affection pour les autres, mais son côté paranoïaque reprend souvent le dessus, lui faisant préférer la solitude par prudence exagérée. Elle est séduisante, agréable dans les contacts humains, où elle se montre ouverte, communicative et compréhensive. Gaie et enthousiaste, elle peut cependant se révéler assez impatiente, mais sait parfaitement user de son charme et de son sens de la persuasion pour arriver à ses fins. Toussaint apprécie d'être le centre d'attraction, autour d'une table ou entre amis, et sait se montrer une hôtesse agréable et charmante, volontiers badine et malicieuse. Cependant, force est d'avouer qu'elle a tout de l'attention whore.

▬ La plus grande honte du personnage ;

Toussaint n'aime pas la faiblesse, principalement morale; ses multiples expériences de vie ont fait d'elle une femme orgueilleuse à l'extrême qui refuse de montrer ce qu'elle ressent. Aussi pour elle la plus grande honte qu'elle pourrait subir serait d'exprimer un jour des sentiments poussés pour quelqu'un mais d'être rejetée: s'imaginer afficher un intérêt pour une femme, ou peut-être un homme sans que ce soit réciproque blesserait profondément sa vanité et elle aurait honte d'avoir montré "de la faiblesse". Plus trivialement, elle a honte de son corps, ou plutôt des traces des sévices subis sur ce dernier, qu'elle refuse de montrer: c'est un fardeau qu'elle veut porter seule.

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;

Son enfance, tout simplement: des années d'abus sexuels de la part de son père... c'est ça, l'Enfer. Par développement, le sexe est également l'enfer pour Toussaint: tout ce qui s'y rapport la terrifie au plus haut point, bien plus que toute autre chose. C'est la souvenance de la perversion de son père qui la hante le plus, encore aujourd'hui, et s'imaginer revivre ces moments serait pour elle la pire des choses: elle associe n'importe quel rapport sexuel à ses souffrances aux mains de son père, n'ayant jamais consulté pour ce fait. Alors l'Enfer, c'est le sexe: le sien et celui des autres. Elle en a une peur panique.

▬ Définition du paradis pour le personnage ;

Une retraite dans un paradis fiscal, peut-être à Monaco ou dans le Liechtenstein; Toussaint est en effet quelqu'un de bien pragmatique, qui n'a aucune fantaisie particulière: pour elle le paradis doit se trouver sur Terre, et est forcément lié à la richesse, toute obsédée par l'argent et le confort qu'elle est. Ainsi s'imaginer continuer à mener son train de vie de millionnaire à l'ombre en se mettant loin de tout les ennemis qu'elle s'imagine lui suffit; elle n'a aucune aspiration post-mortem, aucun rêve particulier mis à part celui de parvenir à mener une fin de vie plus tranquille que son commencement. Comme évoqué, Toussaint est quelqu'un de très terre-à-terre...

▬ Point faible du personnage ;

Indubitablement, son orgueil: en effet Toussaint a tendance à refuser toute aide extérieur et à rapidement avoir des bleus à l'ego. Lorsqu'elle est mise au pied du mur, la noire montre alors sa véritable personnalité, brutale et froide, sombrant dans l'autorité tyrannique: en effet son besoin d'affirmer sa dominance est la pièce charnière de son caractère, dénotant d'un clair complexe datant d'il y a loin dans son passé: il faut que tout reste toujours sous son contrôle et dès que les choses lui échappent, Toussaint a tendance à perdre son calme. Un autre point faible est sa peur phobique d'être touchée: le contact humain la dégoûte et elle préfère garder ses distances physiques avec les autres: si elle accepte parfois de tapoter mollement sur une épaule, se faire ne serait-ce que frôler du bout des doigts la révulse; il y a bien longtemps que Toussaint ne voit plus que le contact humain comme une douleur ou une tentative de domination.

▬ Point fort du personnage ;

Toussaint a du charme, il serait difficile de le nier: il n'est rien de plus facile pour elle que de capturer l'attention, l’intérêt et le cœur de son auditoire. Elle a la parole facile, sait rebondir sur les conversations des autres et se mettre en avant; un petit quelque chose d'indéfinissable dans les intonations de sa voix, dans ses attitudes. Ce n'est pas tant qu’elle est belle: la noire ne l'est pas. C'est qu'elle a du charisme et de l'audace de se forger les armes nécessaires a ses entreprises. En outre, elle dirait sans se vanter qu'elle sait y faire principalement avec les femmes, puisque les hommes ne sont pas sa tasse de thé.

▬ Casier judiciaire ;

Délit d'initié
Fraude à l'assurance
Corruption de fonctionnaires
Association de malfaiteurs
Faux et usage de faux.

▬ Prénom ou pseudo ; Basterd.
▬ Âge ; 30 ans tout rond.
▬ Où avez-vous connu le forum ; Par un partenariat.
▬ Connexion ; 5/7.
▬ Code du règlement ;

Spoiler:

▬ Exemple de RP ;

Spoiler:

▬ Célébrité sur l'avatar ; Halle Berry.
▬ Multicompte(s) ; Non.
▬ Un dernier truc à dire ? ; R.A.S.