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 [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.

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MessageSujet: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 15 Mai - 0:43



Identity Card


Feat "Penelope CRUZ"
[TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  Mini_14051512402958181
(c) i.n



    Américaine d'origine mexicaine, Maria-Guadalupe Muñoz, c'est l'exemple parfait de la jeunesse issue de l'immigration qui est tombée dans le piège de la délinquance et de criminalité. La Mara Salvatrucha lui a tendu la main quand le système lui tournait le dos, un revolver aussi, puisque c'est la tradition. C'est comme ça qu'à seize ans, elle s'est retrouvée mère et meurtrière. Elle s'en souvient encore. Durant des années, Maria-Guadalupe a mené sa vie comme elle l'entendait, sans jamais se soucier de ses obligations familiales. Aujourd'hui, à quarante ans, on lui a juste demandé de ne plus trop se faire remarquer, de s'occuper de ses gosses. On lui a offert un salon de coiffure qui, même s'il porte son nom sur les papiers officiels, appartient à la Mara Salvatrucha. Le soul-sol leur sert à cacher certains de leurs stocks et aussi de laboratoire. Si la police tombe dessus, ça sera sûrement elle qui prendra pour tout le monde. Mais elle accepte, parce-que l'argent qu'elle touche chaque semaine grâce à eux lui permet de faire vivre convenablement ses enfants. Sauf que Maria est une femme pleine de rancœur qui n'oublie jamais toutes les fois où on la laissé tomber, où on la forcé à faire ce qu'elle ne voulait pas faire, les fois où son attachement au gang l'a mené à se retrouver à terre, la gueule en sang, en train de cracher ses propres dents. Elle n'oublie pas. Et eux aussi l'auront en travers de la gorge quand ils se rendront compte que la mexicaine et la pute italienne qui lui sert d'amant s'amusent à se faire de l'argent dans leurs dos.



Once upon a time...


Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Spoiler:

Histoire ;

Elle avait le crâne lourd et la bouche pâteuse des lendemains de soirée. Malgré l'heure avancée, sa chambre était toujours plongée dans le noir le plus total. C'était la dernière de ses filles, à peine âgée de cinq ans, qui s'était faufilée entre les draps de sa maman pour l'entourer de ses petits bras et déposer ses lèvres humides sur sa nuque. Un réveil tout en douceur. « Maman ? » Maria commençait à peine à entrouvrir les yeux encore couverts du maquillage de la veille. « Hey maman ! » La petite fille s'amusait avec les longs cheveux foncés de celle qui l'avait mise au monde. « Putain ! Dégage de cette chambre, je dors ! »  La femme poussa l'enfant hors du lit. Et bien qu'elle fut habituée à ce genre d'attention, cela lui faisait toujours autant de mal de ne pas recevoir un peu d'affection de la part de sa mère. Vexée, la gamine quitta le lit et se dépêcha d'aller tirer les rideaux de la chambre. « Gosse de merde ! » L'enfant préféra ignorer les dernières paroles de cette mauvaise mère et annonça sur un ton froid : « Y'a des gens pour toi. J'crois que c'est la police... » Lorsqu'elle lâcha cette bombe, elle espérait secrètement que les officiers l'embarqueraient. De toute manière, Maria-Guadalupe n'était jamais là pour s'occuper de ses filles et de ses fils. Elle pouvait bien aller pourrir en prison. Ou ne plus revenir. C'était le genre d'idée qui commençait à germer dans l'esprit d'une gamine de cinq ans. « T'es sûre ? Qu'est-ce qu'il t'ont dit ? » Demanda t-elle dans une voix plus douce, plus paniquée aussi, en cherchant de quoi se couvrir. « Ouais, c'est moi qui les ait appelé. Je leur ai dit que tu étais une trop mauvaise mère. Ils ont fait vite ... » La sale gosse esquiva de justesse la brosse à cheveux que Maria envoya et se précipita vers le salon, là où presque tous les enfants attendaient en compagnie des officiers de police. Personne ne parlait et la gamine avait rejoint les genoux de son grand frère. Pour le moment, la petite fille ne risquait rien, elle le savait. « María-Guadalupe Muñoz ? » La femme ne confirma pas son identité, mais les officiers savaient déjà que c'était bien elle qui se tenait devant eux. « Vous êtes en état d'arrestation pour trafic de stupéfiant. Vous avez le droit de garder le silence. Dans le cas contraire, tout ce que vous direz pourra être et sera utilisé contre vous devant un tribunal... » Pendant qu'on lui énonçait ses droits, tout en lui passant les menottes,  María-Guadalupe fixa chacun de ses enfants. Et son regard s'arrêta sur le visage de la plus petite qui culpabilisait déjà d'avoir tenu de tels propos à sa mère, quelques minutes plus tôt. Elle comprenait déjà, à l'expression sur son visage, qu'elle allait avoir très mal à son retour. Si jamais Guadalupe revenait. 

*****

Le simple fait d'avoir la MS13 tatouée sur le corps était une raison valable pour se faire agresser par les filles des autres groupes, des autres gangs ou de races différentes. Presque aussi pire que des hommes, toutes aussi violentes et haineuses. Certaines avaient le visage tatoué, d'autres le corps marqué par de multiples cicatrices dont personne ne tenait à connaître les origines. Elles trainaient toutes un bagage très lourd, celui de leur passé. Personne ne tenait véritablement à connaître leurs histoires et elles aussi ne tenaient pas spécialement à mettre des mots sur certains évènements de leurs vies. Non, ces femmes-là ne parlaient pas pour se délivrer de toute leur haine et de leur colère, elles allaient plutôt jouer des poings avec les autres. « Putain Maria, il t'est arrivé quoi encore ? » qu'il gueula dans son combiné une fois qu'elle eut attrapé le sien. Guadalupe haussa l'épaule qui pouvait encore le faire. « Encore une histoire à la con... Je me suis disputée avec une salope de nègresse et je me suis retrouvée en face de sa copine qui fait quatre fois sa taille. Cette hija de puta m'a broyé le bras... Ces putains de lesbiennes sont des foutues dégénérées. » Son épaule était coincée dans un bandage, ce qui faisait de Maria-Guadalupe, une des femmes les plus vulnérables de cette prison. Elle ne dormait même plus. Et même si d'autres soldats de la MS13 la supportait, Maria savait très bien qu'aucune ne prendrait un coup de tournevis dans le bide, à sa place. Surtout pas pour une histoire à la con. « Comment vont mes enfants ? » Le père de la dernière de ses filles haussa les épaules. « Je sais pas trop, je crois qu'ils s'amusent bien chez leur abuela. Tu dois sûrement leur manquer un peu...» Qu'il ajouta au dernier moment pour rassurer la mère. Mais cette dernière n'était pas dupe. « Pourquoi ils ne sont pas venus ? » Maria ne se souvenait même plus que ses enfants devaient aller à l'école, que c'était obligatoire et que leurs grands-parents insistaient pour ne pas qu'ils suivent l'exemple de leur mère indigne. « Et l'autre ? » L'autre sous-entendait son ainée, Dina. « Elle fait sa vie de son côté. J'sais pas trop c'qu'elle fait. J'suis pas son père. »  trouva t-il comme excuse pour ne pas s'étendre sur le sujet. Ce qui provoqua l'énervement de l'incarcérée. « Cabrón  ! Pourquoi t'es là si tu m'apportes pas de nouvelles ? »  Et l'homme répondit sans réfléchir : « D'habitude t'en as rien à foutre de tes gosses, alors me casse pas les couilles avec... »  Maria ne lui laissa même pas le temps de terminer. Elle jeta son combiné contre la vitre en plexiglas avant de se lever et rejoindre un des gardiens. « Reviens ! »  Mais la femme ne lui adressa qu'un doigt d'honneur en guise de réponse. Dieu merci, son séjour en prison arriva enfin à son terme. Maria-Guadalupe retrouva sa famille, sa maison, le plaisir de dormir dans un véritable lit. Et surtout, sur la table de son salon, un superbe cadeau empoisonné ; les clefs d'un salon de coiffure pour la remercier de sa loyauté, disaient-ils. Les juges n'étaient pas spécialement tendres avec les anciens taulards, surtout pas quand ces derniers étaient marqués à l'encre par la MS13 ou pire, quand ils acceptaient que le sous-sol de leur établissement serve de laboratoire pour les chimistes du gang ou de coffre-fort.

*****

Seulement deux coups de matraque avaient été suffisants ; un premier pour la déséquilibrer et un deuxième pour l'assommer. Ils avaient attendu dans le hall de son immeuble toute la nuit, histoire de ne pas la rater quand elle y rentrerait. Les deux hommes l'avaient trainé jusqu'à l'arrière de leur camionnette en ricanant, ils s'attendaient à une mexicaine beaucoup plus coriace que ça. Le temps de la bâillonner, de dissimuler son visage et ils prenaient déjà la route pour rejoindre la périphérie de la ville. Maria s'était réveillée dans une chambre aménagée pour l'occasion. On avait écarté l'unique lit pour pouvoir la ligoter sur une chaise posée au milieu de la pièce. Et avant de les voir arriver, la mexicaine avait déjà deviné la raison de sa venue dans cette chambre de motel peu ou mal fréquenté. Les types qui l'avait escorté jusqu'ici attendait à l'extérieur. Maria se disait déjà qu'elle n'y survivrait pas, que sa non-coopération finirait pas les agacer et que le tout se solderait par une balle entre les deux yeux et son corps enterré à la va-vite dans les alentours. Même si les gars de la Mara Salvatrucha lui avait répété que « Maria, si on te demande de le faire pour nous, c'est parce-que dans leur code à la con, y'a un truc qui dit qu''ils peuvent pas frapper les femmes. Dans le pire des cas, si jamais ils arrivent à te choper, ils pourront juste te menacer... Et puis, entre nous, toi aussi t'as bien envie de les enculer ces fils de chienne, non ? » Elle s'était méfiée de sa proposition, prétextant qu'elle n'avait pas le temps de jouer la pigeonne entre leur cliqua et un bouffon qui travaillait dans le casino des Italiens. Et à force d'insister, elle avait terminé par accepter. Elle faisait partie de ces latinos qui haïssaient viscéralement les italiens. Elle ne comptait même plus le nombre de morts dans les rues à cause d'affrontements, plus ou moins stupides, qui opposaient le bas de la hiérarchie de ces deux clans, sur des territoires qui n'appartenaient ni à la MS13, ni à la Cosa Nostra. Et finalement, après quelques mois à jouer les intermédiaires entre les cerveaux de la MS et l'employé du casino, ce dernier s'était fait attraper puis abattre. Personne n'avait prévenu la coiffeuse et encore moins qu'il était fort probable qu'entre ces deux moments, l'employé ait lâché son prénom et son nom en espérant éviter la mort pour sa bonne coopération. Résultat des comptes, Guadalupe allait peut-être terminer enterrée aux côtés du lâche. « Super. » Cracha t-elle en reconnaissant les costumes de grands tailleurs des pizzaïolos les plus célèbres de New-York. Ils se tenaient dans le cadre de la porte, la regardait de haut, elle la mexicaine qui jurait déjà dans sa langue d'origine. Et comme à son habitude, Maria n'avait pas trouvé d'autre solution que de jouer la provocation et la langue de bois. Toute l'heure où ils étaient restés assis devant elle, à lui poser des questions, à tenter de marchander, de la menacer ou de la manipuler, n'avait strictement servi à rien. Ils voulaient d'autres noms que le sien. Ils savaient qu'une femme ne pouvait pas avoir un rôle aussi important dans une cliqua, que le cerveau de l'opération était un autre. Maria-Guadalupe, hystérique et énervée, ne leur avait répondu que par des cris, des insultes et des gestes qui se voulaient brusque (ses poignets étaient attachés aux accoudoirs et ses chevilles aux pieds de la chaise). Finalement, après un long silence où la membre de la MS avait préféré détourner le regard plutôt que de les regarder, le chef et son sous-chef s'étaient levés en donnant des instructions bien précises ; ne pas frapper la femme, la garder en vie. Les deux hommes de mains avaient acquiescé puis verrouillé la porte derrière les deux princes. Si Maria se souvenait encore très bien de la douleur des poings qui s'étaient abattus sur son visage à chaque fois qu'elle avait refusé de répondre à une question ou qu'elle avait cherché à jouer à la plus maligne, elle ne se souvenait même plus du moment où Salvatore était apparu dans la pièce pour les descendre, pour la tirer de là. Pendant un moment, elle  avait eu un bourdonnement dans les oreilles, elle n'avait pas pu bouger, ni savoir si elle était morte ou toujours vivante... Sûrement vivante puisqu'elle sentait encore son corps douloureux. Maria s'en rappelait, maintenant. Salvatore avait pointé son arme sur ses deux collègues tout fiers d'avoir démoli le visage d'une femme. Deux détonations. Deux balles. Une pour chacun. Il ne les avait pas raté. Salvatore l'avait libéré, l'avait fait sortir de cette chambre de motel, l'avait éloigné des italiens, l'avait aidé à se cacher. Bien avant que la MS13 ne s'aperçoivent de sa disparition, Salvatore Maestriani lui avait sauvé la vie.

*****

« C'est vrai qu'on est pas seul contre les italiens si jamais ils décident de récupérer leur argent par n'importe quel moyen, mais demander l'aide des 'copains' va nous coûter cher en terme d'argent et de service à rendre. On l'aura forcément dans le cul au bout d'un moment, si ça vient pas de ces enculés de ritals, ça viendra des latinos et entre nous, ils seront pas plus tendre avec ceux qui osent leur faire perdre leur temps et peut-être même des hommes pour quelques millions. Ils ont une réputation, c'est pas les bons copains qui acceptent de rendre service sans contrepartie, vous êtes pas cons. On se fait les mêmes coups de pute entre nous... »  On pouvait sentir l'agacement dans sa voix. Si on les envoyait chier, encore une fois, elle se promettait intérieurement d'éclater son verre sur la gueule du premier qui commençait à parler et de tous les virer de son appartement. « Il a trahi les italiens, il a buté deux de ses anciens collègues plus ceux qui ont essayé de lui faire la peau, je suppose. Il a sûrement plus de raison que nous tous réunis de vouloir voir leurs cadavres balancés en petits morceaux à la décharge. Il connait l'emplacement des stocks d'armes et probablement encore beaucoup d'autres choses... A votre place, j'y réfléchirai à deux fois avant de cracher sur toutes ces informations. ». Les hommes se fixaient, échangeaient des mots dans un espagnol rapide que même Maria n'arrivait pas à comprendre. Ils parlaient tous en même temps et Salvatore et elle les regardaient en attendant la tombée du verdict. « Maria, tu dois être fatiguée, tu devrais aller te reposer un peu dans ta chambre. »  « Non, pourquoi ? »  Répliqua la femme, aussitôt. Mais l'homme en face d'elle semblait insister et pas décidé à aller plus loin dans la conversation tant qu'elle ne quittait pas la pièce. Et puisqu'on ne lui laissait pas vraiment le choix, Maria-Guadalupe se leva de sa chaise. « Je peux très bien rester et tout entendre. J'ai rien dit aux italiens, même après les coups. »  Mais non, son rôle dans cette histoire s'arrêtait là. C'était pour son bien qu'il lui disait. La mère ne supportait pas d'être relégué au rang de femme inutile au meilleur moment de la négociation. C'était toujours la même histoire qui se répétait ; on se servait d'elle pour les missions les plus pénibles et une fois qu'elle en revenait, on la remerciait et l'envoyait soit à la cuisine, soit dans sa chambre se reposer. Belle attention de la part de ceux qui n'avaient pas lever le petit doigt pour elle, pensa Maria en retirant la main qu'elle avait posé sur l'épaule de Salvatore en signe de soutien. Puisqu'on attendait qu'elle s'en aille pour reprendre les négociation, Guadalupe suivit le couloir pour rejoindre sa chambre qui se situait tout au bout. « Alors, pour toutes ces informations, tu attends quoi de notre part ? Et qu'est-ce qui nous dit que t'iras pas sucer la bite aux paddies, aux nègres ou aux poulets une fois que t'en auras terminé avec Maria, ou que t'essayeras pas de nous enculer ? Traitre un jour, traitre toujours, hum ? »  Qu'il termina dans un rire gras. Ce fut les dernières paroles que Maria put percevoir avant de refermer sa porte derrière elle. Cette question représentait la dernière chance pour Salvatore de convaincre la Mara. En attendant le verdict, Maria profita d'être seule pour se faire couler un bain. De très longues minutes plus tard, peut-être une demi-heure ou trois-quart d'heure, Salvatore poussa la porte de sa chambre. Maria l'attendait allongée sur son lit, habillée d'une robe de chambre en satin, un blunt coincée entre les lèvres. « Alors, le verdict ? »  « Ils me prennent à l'essai, on va dire. Ils veulent me tester. »  Déclara t-il en prenant place sur son lit. Dans un sens, elle pouvait le prendre comme une bonne nouvelle. Salvatore avait de nouveaux alliés, ou du moins, quelques ennemis en moins pour le moment. Les marchés passés avec les latinos valaient ce qu'ils valaient, parfois pas grand chose. Mais c'était au moins une solution temporaire qui lui permettrait de roder dans le coin sans prendre le risque de se faire égorger ou bien de trouver un moyen de définitivement se débarrasser des italiens, s'il en avait toujours l'envie. « On s'est hyper bien entendus quand ils ont enfin capté que j'étais dans la merde, et qu'ils pouvaient toucher le jackpot et m'enculer à sec. »  « Ils sont pas si cons que ça, finalement... » Qu'elle crut bon d'ajouter en roulant des yeux. Sûrement qu'ils allaient lui reprocher longtemps d'avoir accueilli un italien chez elle et de leur avoir présenté, d'autant plus qu'il s'agissait de l'italien qui avait abattu des hommes qu'ils connaissaient plus ou moins. Des amis d'ami ou des frères d'amis à d'autres frères. La mexicaine aimait penser que sa gueule encore bien marquée agissait comme un droit de veto, de toute manière. Peu importe ce qu'ils disaient, ils finiraient bien par se plier à ses quatre volontés. Ou pas.

Wanna know more ?


La plus grande honte du personnage ; Être tombée enceinte de Dina à l'âge de seize ans fut l’événement le plus honteux de toute son existence. Dans certaines familles, la tradition, pour être considérée comme une femme respectable, est d'abord de se marier avant d'avoir des rapports sexuels qui peuvent déboucher sur une grossesse. Se donner à un homme sans se protéger, apprendre la nouvelle quelques semaines plus tard, devoir le dire à ses parents, sont des souvenirs qu'elle préfère oublier. Mais Dina est toujours là pour lui rappeler, par sa seule présence, la déception dans le regard de ses parents, leur silence et la moquerie des autres.

Définition de l'enfer pour le personnage ; Se retrouver de nouveau en prison. Elle a peut-être supporté les cinq ans de sa vie éloignée de sa famille, enfermée, mais Maria ne conçoit pas de retourner dans ce lieu sordide, un jour. Et ce même si la plupart de ses agissements méritent d'être sévèrement punis. Elle ne supporterait pas le comportement de la plupart des femmes avec qui elle serait forcée de vivre, ni l'humiliation quotidienne et encore moins de ne pas voir ses enfants grandir et rater des étapes importantes de leurs vies.

Définition du paradis pour le personnage ; Lorsque l'on mène une vie comme la sienne, on apprend à se satisfaire de plaisirs simples. Une chambre, un blunt dans une main et la langue d'un homme expert entre ses cuisses. Ne pas avoir à se soucier des affaires de la MS13, ni de ses propres enfants, seulement de l’enchaînement des positions tout en profitant de l'air ambiant. Rien de plus.  

Point faible du personnage ; Ses parents, ses enfants. Faire du mal à Maria-Guadalupe, c'est d'abord s'en prendre violemment aux membres de sa famille. Malgré la vie qu'ils mènent, Maria n'imagine pas un de ses enfants quitter ce monde avant elle. Et si cela arrivait un jour, elle n'y survivrait probablement pas. Ils sont, à ses yeux, la seule chose qui ait réellement de l'importance. Même sa propre vie ne compte pas autant.

Point fort du personnage ; Son endurance, probablement. Maria est de ces femmes qui encaissent les coups mieux que certains hommes. Elle a grandi dans la rue, avec sa violence et parmi ces hommes qui cherchent constamment à prouver leur puissance. Ni eux, ni leurs remarques, encore moins leurs coups ont réussi à l'achever. Pas même les femmes vicieuses des prisons. Encore moins les images de corps calcinés, démembrés ou criblés de balles. Toutes ces choses sont devenues banales.

Casier judiciaire ;

- Association de malfaiteurs.
- Meurtre.
- Complicité de meurtres.
- Violences volontaires avec préméditation.
- Vente de stupéfiant. (Seul délit pour lequel elle a été incarcérée.)
- Consommation de stupéfiant.
- Vol / Racket.


Behind the screen...


Prénom ou pseudo ; I.N
Âge ; 19 ans.
Où avez-vous connu le forum ; Tout le monde connait ce forum. Mais c'est Nina qui m'a traîné ici.
Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 6/7
Code du règlement ;
Spoiler:
Exemple de RP ;
Spoiler:
Célébrité sur l'avatar ; Penelope Cruz.
Multicompte(s) ; Si oui, merci de nous dire de quel membre du staff vous avez eu l'accord de création de ce multi-compte.
Un dernier truc à dire ? ; C'est l'histoire d'un chien, sur une barque, qui pète, qui tombe à l'eau et qui se noie. C'était un Pékinois... #humourdefou.


Dernière édition par María-Guadalupe Muñoz le Mer 21 Mai - 23:37, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 15 Mai - 1:00

Je la connaissais pas cette blague Laughing

Bienvenue sur le forum & bonne continuation pour ta fiche super :étoile:
En cas de besoin, n'hésite pas à t'adresser à un membre du staff :eyes:
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 15 Mai - 2:05

Bienvenuuuuue !
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 15 Mai - 7:38

Oh ben si c'est Nina qui t'a traînée ici, on t'adopte ! cheers
Bienvenue mam'zelle :cabaret:
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Anja Malkovski
Reine des Glaces
Gott weiss ich will kein Engel sein

Anja Malkovski


MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club


Feuille de personnage
ÂGE DU PERSONNAGE: 35 ans
CASIER JUDICIAIRE:
RANG DE CRIMINALITÉ: CRIMINEL
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 15 Mai - 12:33

Ahah ton titre me fait penser à une chanson de Ricky Martin Arrow

En tout cas bienvenue ! Et bon courage pour ta fiche Smile
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https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5603-terminee-anja-malkovski-you-re-gonna-wish-you-never-had-met-me#448670 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5612-anja-malkovski-as-cold-as-ice#449254 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5611-anja-malkovski-better-not-stand-in-my-way#449243 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t6045-anja-malkovski-there-s-a-devil-laying-by-your-side#497519 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t6037-agence-malkovski-pour
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 15 Mai - 12:38

Bienvenue <3
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 15 Mai - 19:40

Bienvenue !!
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 15 Mai - 22:29

Bienvenue, miss Smile
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 15 Mai - 22:53

Merci pour vos messages  leche 
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeLun 19 Mai - 16:25

Welcome !

Ton code règlement est à présent validé.
Bonne continuation pour ta fiche Smile
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeMar 20 Mai - 21:10

Bienvenue parmi noooouuuus en espérant que tu te plaises ici ! Bonne chance pour ta fiche What a Face
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeMer 21 Mai - 23:38

Voilà, je pense avoir terminé ma fiche Smile
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 22 Mai - 0:38

Je m'occupe de la lire

edit : alors, un tout petit point.
Au début on comprend que Maria ne semble pas être très attachée à ses enfants. Puis, dans les points faibles, c'est indiqué qu'ils sont ses points faibles. Ce qui est assez contradictoire. Les cinq ans en prison l'ont changé ou bien son comportement ne va pas avec ce qu'elle ressent pour eux ?
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 22 Mai - 1:19

C'est vrai que c'est un comportement paradoxal, mais c'est le but  :biais: 
Le fait d'être une mauvaise mère, de mal traiter ses enfants, ne l'empêche pas de les aimer à sa manière, on va dire. Avec ce personnage, je pars un peu du principe qu'on peut pas totalement mettre de côté des enfants qu'on a mis au monde, qu'on a élevé comme on pouvait, même s'ils sont parfois "gênants" pour elle. Du coup, malgré la relation qu'elle entretient avec eux, si elle en perd un, forcément, c'est la fin de son monde.

Qui aime bien, châtie bien, comme on dit.
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitimeJeu 22 Mai - 1:24

[TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  Tumblr_mgg75dAwGW1rkl2tuo1_500
Bravo !

Tu es une future victime de la Fatalité

Parfait. C'était pour être sûre que c'était pas un changement/oubli en cours de route.
Qu'elle leur montre qu'elle sert juste pas à faire ce qu'ils veulent What a Face

En tant que nouvelle victime potentielle, tu peux maintenant faire ta fiche de liens, de sujets, recenser ton métier, comprendre le système de points, voter pour le forum, lire les frappes pour te mettre dans le bain, et te rendre sur cette page où d'autres liens pourront t'être utiles.

Bon jeu parmi nous et n'oublie pas : Personne n'est maître de son destin !

Fatalité
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MessageSujet: Re: [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.    [TERMINE] MARIA-GUADALUPE + Mi vida loca.  I_icon_minitime

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