Sujet: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Ven 19 Juin - 18:55
Carte d'identité
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Salvatore Ferrà, descendant direct d’une grande famille Salvadorienne qu’il se doit d’honorer, un sang qu’il n’aurait jamais pu renier ; même avec la plus grande des volontés qui puisse être. Et, il s’est fait à l’idée, il a accepté son nom, il en a fait une force, un atout que la Mara – constituée des siens depuis bien des années, si ce n’est pas plus – n’a pas su ignorer en admirant son père, forcené voué à diriger. Et c’est ce qu’ils lui ont permis de faire, l’envoyant à Los Angeles avec les Perez, deuxième grande famille dotée d’une grande renommée. Salvatore aura fini par se voir grandir dans les grandes rues débauchées des Anges, goutant à la luxure de par ses parents, recherchant le confort avec la Gloire : parvenant finalement à avoir les deux. Ce ne sera qu’après bien des années, du haut de ses trente-huit ans, marié à Luna Perez, devenue Ferrà, père d'une petite fille de six ans, Mia, qu’on l’enverra à New-York pour représenter à la place d’un autre cette mafia qui a su faire de lui l’homme qu’il est désormais. Et c’est un rôle qu’il a pris à cœur en arrivant en plein dans la Grosse Pomme, prêt à la conquérir aussi certainement que son père avait pu le faire de l’autre côté du continent. Aussi, son nom va commencer à se répandre, silencieusement, la venue d’un nouvel air, un Empire voué à ne pas tomber, un Règne qu’il tiendra aussi longtemps que possible.
...avec plus de détails
Définition de l'enfer et du paradis pour le personnage
Ce qu’il craint le plus, contrairement aux apparences et aux mœurs des siens, c’est de voir sa fille entrer dans les rangs de la Mara, mafia qu’il représente à New-York de par son sang Salvadorien et le nom de famille respecté, là-bas, dans leur contré. Parce qu’il ne connait que trop ce qui pourrait l’attendre une fois le rite d’initiation passé, il connait l’avenir qui se réservera surement à sa petite âme pour l’avoir fait vivre – inconsciemment et connement – à sa femme et il ne souhaite pas cela pour elle, il ne lui souhaitera jamais au vu de l’expérience qu’il peut en avoir. Néanmoins, c’est un fait qu’il garde silencieux, profondément ancré en lui comme une promesse faite chaque soir, aux dernières lueurs du jour. Salvatore ne permettra jamais que sa petite Princesse subisse les affres de la voie choisie par Luna et sa propre personne. Alors, il compte faire au mieux pour l’en éloigner, pour la garder hors des horreurs que l’envers du décor offre à ceux qui choisissent de s’aventurer hors des règles, loin des lois. Il n’aspire qu’à cela, une vie saine, dénouée de tout mal pour la petite fille qui aura su lui faire prendre conscience d’une chose : le mal n’évince pas la bonté. Parce qu’elle est celle qui a su terminer de faire de lui celui qu’il est devenu au fur et à mesure, prise de conscience par prise de conscience. Et il souhaite par-dessus tout qu’elle reste ce qu’elle est à ses yeux, un joyau plein d’innocence et de vie, avide d’une sérénité qu’il lui apportera et, ce, quoi qu’il en coute. Salvatore veut la voir s’épanouir le plus loin possible des tranchées que lui et Luna ont choisi d’habiter ; un souhait qui dépasse tous ceux qui pourraient vagabonder dans son esprit.
Point faible et point fort du personnage
Il a le sang chaud, et c’est là ce qui pourrait le perdre si les circonstances le permettaient. Salvatore perd assez rapidement patience, ne sachant pas vraiment contrôler ses excès de colère, allant d’un extrême à un autre. Il est capable du pire mais lutte, en général, pour ne pas franchir des limites imposées par ses soins au fur et à mesure que les années s’écoulaient. Et c’est un point qu’il cache au mieux, également, dans l’espoir que rien ni personne ne puisse utiliser cela contre lui. Parce qu’il tient à son Règne, parce qu’il ne compromettra pas la place qu’on lui a attribué seulement par manque de sang-froid, simplement parce qu’il n’est pas toujours capable de dire les choses clairement, usant plutôt ses mains que sa voix. Mais son travail sur lui-même l’a rendu plus fort, plus sûr. De ces excès, il en a tiré une leçon et ça lui a permis, après quelques années, à avoir le contrôle sur beaucoup de ses dérapages, l’ayant mené vers un respect plus renforcé – de la part de ses hommes – qu’il n’aurait pu l’être dans un premier temps à son arrivée ici. Il est une bombe à retardement imprévisible, fait étant devenu une faiblesse comme une force, un paradoxe qui le conduira toujours plus loin et ils le savent, personne autour de lui ne l’ignore. C’est aussi la raison pour laquelle on ne s’en prend plus à lui, la raison pour laquelle personne ne s’aventure trop près de sa femme, de sa petite fille, de ce qui est cher à son cœur, de ce qui pourrait déclencher ce qu’il tente de garder au fond de lui, nourrissant cette pression chaque jour que Dieu fait, prêt à en user sur quiconque irait trop loin selon lui. Ils savent tous à quoi s’attendre sans pour autant savoir quand.
La plus grande honte du personnage
Son comportement d'antan reste sa plus grande honte, fait qu'il se refuse d'évoquer à qui que ce soit et ce, qu'importe la raison. Parce qu'il a pris conscience, en grandissant, qu'il n'avait été qu'un pauvre con, irrespectueux, paumé, arrogant et vaniteux, loin de se rendre compte de la chance qu'on avait pu lui offrir en le menant sur la route qu'il poursuit aujourd'hui. Et, chaque regard sur sa femme lui rappelle cela, les horreurs commises, les tromperies inutiles. Elles lui reviennent toutes en tête, sans cesse, comme dans l'espoir qu'il n'oublie pas tout ce qu'elle aura su endurer pour demeurer à ses côtés, aussi stupide qu'il puisse être. C'est ce qu'il cache au fond de lui, ce dont il ne veut pas se souvenir désormais, du haut de ses trente-huit ans, devenu père de famille, respectant et honorant son titre de mari. Salvatore regrette amèrement tous ses détours, toutes les larmes qu'il a probablement fait couler sur les joues pâles et parfaitement maquillées de sa Belle durant des années et des années, avant la naissance de leur petit miracle, de sa princesse d'aujourd'hui six ans. Il taira aussi longtemps que possible tous les soirs passés loin de sa Dame, ceux au cours desquels il lui arrivait de se perdre dans les méandres de vices tous plus osés les uns que les autres. Il fera tout ce qui est en son pouvoir pour ne plus y songer, ne plus y penser autant qu'il ne pourrait le faire lorsqu'il la regarde dormir, lorsqu'il la contemple, sereine, étendue tout contre lui, accroché à son corps comme si elle craignait, même assoupie, qu'il ne lui échappe. Fait qui lui rappelle ô combien il a de la chance de l'avoir encore à ses côtés malgré sa connerie, malgré son manque de maturité durant ses jeunes années, malgré les mains levées sur elle lorsque ses nerfs lâchaient et que l'alcool s'amusait, mêlé à son sang, dans ses veines. Il baissera toujours le regard si elle en revient à cette époque-ci, il cherchera à passer à autre chose malgré sa fierté et sa supériorité à tenir. Ce sont des souvenirs qui ne font que ternir sa conscience et il tient à redorer celle-ci ; mari exemplaire, père parfait. Salvatore, aujourd'hui, travaille pour parvenir à réparer toutes les plaies de sa Belle, sans effort parce qu'il aime à le faire, à la protéger, à l'aimer comme si rien de tout ceci ne s'était vraiment passé ; malheurs pourtant tremplins de ce qu'ils sont devenus.
Casier judiciaire
Officiellement ; — Bagarres, possessions de stupéfiants, agressions à arme blanche : dans l'état de Los Angeles. — Casier reporté à New-York.
Officieusement ; — Représentant d'un gang (la Mara) envoyé à New-York, prônant le trafique de drogues, le trafique d'armes, le proxénétisme parfois, etc. — La Mara est coupable de certains meurtres ; dont deux des mains de Salvatore à New-York, sans compter l'homme tué par initiation à Los Angeles sous les ordres de son père lorsqu'il n'avait que douze ans.
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Vous LILY Où avez-vous connu le forum ? J'y suis depuis bien des années. Connexion 7/7 Avez-vous signé le règlement? Oui. Exemple de RP
Spoiler:
Les secondes semblent durer des heures, les minutes n'étant plus que le tiers de ces dernières. Et toutes celles-ci ne sont plus que des éternités, un temps infiniment long qu'il ne comprend plus, qu'il ne retient même plus tant il est absorbé par ce qui se fait suite à son audace, suite à son courage, suite à ce baiser, cette envie qu'il aurait très certainement dû garder pour lui. Mais Jasper y répond, avec conviction, avec autant d'enclin qu'Aiden est capable d'offrir depuis que le contact s'est fait. Alors, il se laisse prendre au jeu. Ses pensées s'éteignent, toutes ses craintes s'estompent. Il en finit avec la peur, il termine d'aduler toutes les questions qu'il avait pu se poser avant même que l'instant ne s'impose à eux, avant que l'alcool ne s'impose à nouveau à ses songes comme pour les troubler plus qu'ils ne devraient l'être dans un premier temps. Il ne doit pas réfléchir, il ne doit rien se dire, seulement laisser faire, profiter de ce qu'on lui offre, de ce moment précieux qu'on lui tend sans aucune résistance, sans imposer de limite au jeune bibliothécaire qui, chaque fois un peu plus, y met une volonté certaine. Il veut voir au-delà de toute cette histoire, de cette répercussion, il veut doubler l'instant présent, aller toujours plus vite, toujours plus loin ; griller les étapes, se perdre vers des sentiers dont il ignore chaque recoin, davantage en connaissant la noirceur des abysses qui constituent l'âme du blond contre qui il se tient, sur qui il repose de tout son être avec satisfaction ; une espèce de sentiment victorieux logé aux côtés de son cœur. Il avait parfois pensé que ça arriverait, il se l'était dit plus d'une fois mais jamais, ô grand jamais, Aiden ne s'était dit que ce serait de cette manière-ci. Et il ne regrette pas, il ne regrette rien. En vérité, le jeune homme ne se concentre plus que sur les lèvres qu'il a à portée, sur cette langue qu'il caresse autant qu'il le peut, savourant la douceur dont elle est dotée, cette saveur à laquelle il avait tant rêvé. Aiden se laisse tomber dans son propre piège, fier et confiant, loin d'imaginer que ça pourrait se retourner contre lui, n'osant pas se dire que tout pourrait basculer, que ce monde n'est pas le sien et qu'il n'est maître de rien. Pourtant, sa conscience et sa raison se sont liées pour tenter de le rappeler à l'ordre. Il faut qu'il parvienne à les entendre, il faut qu'il puisse ne serait-ce que prendre en compte tous les risques auxquels il s'expose, le cœur désormais sur la main, les poumons privés d'air.
Ça l'avait finalement mené jusqu'au couloir de son cou, jusqu'à cette trachée qu'il s'était permis de caresser de ses lèvres, le plus délicatement possible, poussé aux portes d'une envie malsaine que sa respiration avait trahie dès lors qu'il avait rompu leur précédent baiser, cherchant à aller plus loin, bien décidé à s'aventurer au-delà de ce qu'il considère comme une banalité selon ses habitudes, selon ses propres mœurs, communes à aucune autre, issues de son propre esprit .C'est la raison pour laquelle il ne prend désormais en compte que ce qu'il veut, que ce qu'il désire, se fermant à toute possible réplique de la part de son partenaire, se faisant égoïste au possible parce que c'est ce qu'il peut être, parfois, lorsqu'un cas lui ouvre la porte vers quelques heures d'échappatoire à tout ce qu'il est, tout ce qu'il déclare être depuis que la débauche s'est faite son amie. Et ses mains se perdent donc, toujours plus, chaque seconde plus pressantes, plus avides du corps qui se tient sous elles. Aiden le réclame, un et entier. Parce qu'il l'a laissé goûter au plaisir de sa proximité, parce qu'il l'a laissé croire que tout pouvait être à portée de main, que tout lui serait donné à un moment ou un autre. Aiden s'est fait guidé aveuglement, il s'est laissé emporter par l'adrénaline offerte sur un plateau d'argent, insufflée en un baiser, en un souffle échangé. Mais tout se brise, tout s'émiette à l'instant même où ses espoirs se confirment. Jasper défait toute l'euphorie de l'autre blond, de celui qui le surplombait encore avant que sa voix ne s'invite dans l'espace qu'ils animaient jusqu'alors que silencieusement. « Arrête. » Il lui semble même que ce soit la deuxième fois que ces syllabes ne s'invitent dans l'appartement lorsque le pompier se redresse tant bien que mal sur ses coudes, ne laissant aucun autre choix à Aiden que de faire de même, se relevant sur ses genoux sans pour autant quitter sa position actuelle. Mais il lui échappe, son voisin se recule, allant heurter le mur un peu plus loin, s'enfermant entre ses genoux, entre ses bras tandis qu'Aiden se laisse tomber au sol, soupirant, ne cherchant pas à dire quoi que ce soit, ses actes parlant bien assez pour lui. Et ils restent un bon moment ainsi, Jasper dans son coin, Aiden au sol, étendu, silencieux, les yeux clos, le cœur lassé par ces montagnes russes. Car c'est à ne rien y comprendre en plus du caprice inutile qu'il se permet intérieurement quant au refus qu'on vient de lui servir sans qu'il ne puisse le contrer et continuer sur sa lancée. Il n'a main mise sur rien, sur aucune seconde de ces instants et ça l'énerve, ça le vexe aussi, surtout. « C’est pas contre toi. J’ai pas… J’en ai marre de faire ça. Ça m’fait pas sentir mieux. Ça m’aide pas à l’oublier… J’suis désolé… Si tu veux que j’parte. » Et ses mots se perdent dans le courant d'air que les fenêtres ouvertes permettent.
Aiden n'en dit rien, il ne réagit même pas, couché là, par terre, au cœur de toutes ces pages, de tous ces livres. Il est dans son élément, perdu dans les méandres de citations diverses et variées, loin de tout et de rien ; univers parallèle qu'est le sien, aussi débauché puisse-t-il être, aussi incompréhensible que tant d'horizons de son être. Il veut s'en foutre, il veut croire que ça ne l'atteint pas, il veut se persuader que ce n'est qu'une fausse note parmi tant d'autres mais, en vérité, il sait. Aiden ne peut nier que ça avait de l'importance à la manière dont son cœur s'était mis à battre. Parce que Jasper l'avait éloigné de ses maux, parce qu'il lui avait permis de fermer la porte jusqu'alors ouverte de son esprit, de ce qu'il est, de ce qu'il pourrait être s'il n'était pas aussi naïf, pas aussi stupide. Il lui avait permis de mettre Salvatore dans un coin poussiéreux de son esprit. Au fond, Jasper venant de lui donner une impression de liberté reprise aussitôt, enlevé après qu'un bon coup de pied se soit logé dans son derrière comme pour le pousser vers une réalité qu'il n'en a que trop peu à foutre. Il soupire à nouveau, se redressant sur ses deux pattes qui titubent quelques secondes, qui ne lui permette pas un équilibre des plus sûrs alors qu'il se dirige vers la cuisine, sans un mot, sans une phrase, éperdu dans des pensées qu'il ne contrôle plus parce que secoué, paralysé par ce qui vient de se jouer et de se terminer aussi rapidement que ça n'avait pu commencer. « Fais ce que tu veux, monsieur Jasper Dolan ; ou dieu sait quoi. » Lance-t-il enfin, revenant dans le séjour armé d'un bière qu'il ouvre déjà, bien décidé à la boire d'une traire, peut-être de deux puisque déjà bien saoul, assez pour ne plus avoir les idées bien claires ; si tant est qu'elles l'aient déjà été une fois depuis des années. Il aurait voulu cacher son mécontentement, ses traits vexés, creusés sur ses traits parce qu'il ne contrôle non plus seulement la situation mais également son propre être, lassé, fatigué d'avoir à espérer avant que tout ne soit réduit en cendre. « La prochaine fois, dis-moi avant que ça ne t’intéresse pas, ça m'évitera d'avoir l'air con. » Ajoute-t-il d'ailleurs, venant se poser sur le canapé dans lequel il se laisse tomber, attrapant l'un de ses bouquins en même temps qu'il ouvre et feint de lire, en vérité trop déçu de voir à quel point toutes ses envies avaient été vaines. Et il aurait dû s'en douter, Aiden aurait dû savoir que telle situation ne pourrait arriver, pas maintenant, pas entre eux deux en tout cas et c'est l'admettre qui le déprime davantage, qui l'amène à réagir de la sorte. Mélange de tristesse et de colère, plus envers lui qu'envers son voisin d'ailleurs. « Moi aussi, j'en ai marre de faire ça. Mais maintenant, je sais que j'avais raison. Tu es différent des autres et je crois savoir ce qui t'amène si souvent derrière ma porte. Je t'occupe, je te fais penser à autre chose tant que ça ne va pas trop loin. Tu m'as laissé penser que ce serait possible parce que c'était la seule manière de me maintenir à ton cul et tu le savais, tu l'as fait. En fait, je crois sincèrement que je ne suis rien pour toi. Rien qu'un passe-temps, qu'une activité hors du commun capable de changer les songes parce qu'il le faut, qu'un drogué assez con pour se faire prendre au piège par des croyances que tu avais bien vendues, je l'admets. » Souffle-t-il enfin, désireux de se faire entendre et de montrer l'idée qui réside désormais dans sa tête, bousculé par tous ses états-d'âmes, par tous les sentiments qui – uns à uns – viennent s'enfoncer dans son cœur comme pour accentuer les maux, raidir davantage la chute.
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Jon Bernthal ▬[i] Salvatore Ferrà[/i]
Multicompte(s) Oui, Kayla. Un dernier truc à dire ? Ca va chier ?
Dernière édition par Salvatore Ferrà le Mer 1 Juil - 10:37, édité 14 fois
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Ven 19 Juin - 18:55
Il était une fois...
Une chanson pour commencer cette présentation
Histoire
« Il n'y a rien qui aurait pu empêcher ça et vous le savez, tous. Parce que c'est la raison pour laquelle il vous a convié ici, c'est la raison pour laquelle il commençait à vous suivre depuis des semaines et des semaines et des semaines encore. Le mot tourne, les rumeurs sont passées et elles étaient vraies. Je suis là pour sa place, j'ai voulu quérir celle-ci dès lors qu'on m'en a parlé mais pas par avidité de pouvoir, non, seulement parce qu'il le fallait. Il y a des règles, des traditions, des faits qu'il faut connaître et rien de tout ceci n'a été respecté. Pas une fois, pas une seule foutue fois. Et on ne trahi pas ses frères. On les aide, on les aime, on fait tout ce qui est en notre pouvoir pour les protéger mais jamais, jamais on ne les vend de la sorte, pas parce qu'on estime qu'ils ne valent rien puisqu'on a pas forcément le bon sang dans les veines. Et c'est la raison pour laquelle aucun de vous n'a sorti son arme, la seule vraie raison pour laquelle je me tiens encore là, debout, le seul à avoir eu les couilles de faire ce qui aurait dû être fait depuis bien longtemps sans réfléchir à deux fois, bien avant qu'on ne m'envoie réparer les conneries d'un connard fini. Car, je suis là désormais, et les choses vont changer, le vent va tourner. Il est temps d'arrêter de croire que tout s'effondre, là-bas, de l'autre côté, il est temps de cesser de croire que nous sommes invincibles car nous ne le sommes pas, pas encore, pas sous le règne d’incompétent dans ce genre, persuadé que le pouvoir mène à la divinité. Il n'y a rien pour vous si vous cherchez à vous détacher de ceux qui vont ont sauvés la vie, à vous élever des autres en vous pensant meilleur, il n'y a rien de plus que ce qu'il a reçu là ! C'est la seule récompense que vous gagnerez, la seule que je serai en mesure de vous offrir si vous choisissez de suivre les songes erronés d'un homme en pleine démence que j'ai fini par délivré de sa propre connerie. Vous êtes ici, les uns comme les autres, parce que vos parents, si ce n'est pas plus anciens, on fait équipe pour s'en sortir, pour se faire entendre, pour se tenir le plus longtemps possible debout avec ceux ayant tenu durant le même chemin qu'eux. Il vous faut donc faire votre choix. Je n'aspire qu'à vous voir vivre, tous, tous autant que vous êtes, je veux seulement vous voir rentrer chez vous, un et entier, fier de parvenir à ancrer dans cette ville des repères qui auraient dû être notre depuis bien plus longtemps que cela. Évidemment que ce ne sera jamais notre pays, bien-sûr que rien ne sera jamais comme là-bas ou Los Angeles, il nous faudra sûrement des années avant de conquérir le titre que l'on nous a servi... Mais il faut qu'on puisse se battre pour ça, il faut qu'on puisse se dire que, derrière, d'autres sont prêts à nous soutenir parce que les idées sont les mêmes, parce que la loyauté ne s'estompe pas. Je ne suis ici que pour cela. Reprendre là où tout a basculé, en finir avec toutes ces salopes qui ne cherchent qu'à prendre notre place, celle qui aurait dû être la NOTRE avant qu'on ne la cède sous les ordres de traîtres, d'enfants de putes dans son style. Je n'ai fait que rendre service, prendre place parce que je sais, mes frères, qu'on ne tombera pas. Plus maintenant, pas tant que je déciderai de la manière dont se passe les choses. Et je ne suis pas le seul à savoir quelle devrait être notre rôle ici, dans ces rues. Il nous faut seulement conquérir, et si j'ai la prétention de venir m'imposer pour représenter les notre ici, c'est parce que je ne doute pas de la confiance que certains d'entre vous m'accorde déjà. »
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FLASHBACK __________________________________
20 septembre 1990, son père lui avait promis de faire partie de ceux qu'ils voient si régulièrement franchir la porte d'entrée de la grande demeure au cœur de laquelle il a commencé à vivre depuis leur départ du Salvador. Il lui a compté bon nombre d'histoires, bon nombre de souvenirs qu'il pouvait garder de la Mara, de cette énorme famille qu'il aime à protéger parce que c'est ce qu'ils sont, chacun d'entre eux, des protecteurs, des édifices à une loyauté sans pareille, élevés pour tenir contre la guerre civile qui s'était déclarée, là-bas, dans son pays d'origine. Celui auquel il pense, petit, ce soir-là, dans la voiture aux côtés de son géniteur. Et, malgré tout, il sait que ce ne sera pas aisé, il connaît tous les contes héroïques que ces hommes ont accomplis, il en connaît également les parties les plus sombres, le récit de ce qui l'attend dans la demi-heure à suivre. Un passage à tabac, l'acceptation de coup dans la gueule pour pouvoir faire partie des rangs, ce que son père attendait depuis bien longtemps. Petit Salvatore deviendra grand, et sa mère n'a rien dit. Elle s'est tue, c'est ce qu'elle a toujours fait, de toute manière. Alors il n'avait fait qu'acquiescer, qu'accepter de suivre cette route parce qu'il finirait, tôt ou tard, par la rejoindre ; ce que soit volontairement ou non. Mais ça reste le prix à payer pour tout, pour tout le monde, accepter de voir ses futurs frères vous noyer sous les coups. Il serre les dents, baissant la tête, ne disant rien comme de peur d'énerver le Seigneur qui, quant à lui, regarde au loin, impatient de contempler les murs de l'entrepôt au cœur duquel il se rende. C'est en le contemplant qu'il comprend, qu'il devine que la fierté qu'on pourrait avoir envers lui ne se fera que lorsqu'il réussi à s'élever, si possible aussi haut que l'homme qui, finalement, vient prendre sa main dans la sienne alors que la voiture s'arrête. « Tous ces hommes chercheront à être à tes pieds, un jour, mon fils. Souviens-toi seulement de ceci. » Avait-il dit avant qu'ils ne descendent, avant qu'ils ne rejoignent les autres, tous les regards posés sur lui, gamin d'à peine douze ans, d'ors et déjà confronté au monde périlleux de ceux qui l'entoure. Et, malgré la crainte qui s'élève jusqu'à son cœur, petit Ferrà garde la tête haute, habitué à jouer les arrogants, à se comporter comme un Roi parce que son père l'a persuadé qu'il l'était, depuis tout ce temps, depuis toutes ces années. Alors il marche, il s'avance vers le cercle qui l'attend, vers son père et l'arme qu'il tient, vers l'homme à genoux au milieu d'autres, les yeux bandés, priant pour sa vie, celle que le gamin doit lui enlever ; son père y avait tenu. Abattre un ennemi de la MS, accepter de se faire passer à tabac par ses futurs frères, ses futurs hommes pour un homme promis au pouvoir comme Salvatore ; il n'avait plus qu'à faire un pas, un dernier pas vers la destinée qu'on lui avait choisi, que son sang lui avait tracé. Et il l'avait fait, il n'avait pas bronché, rien refuser, tirer sans même s'en soucier. L'enfant avait obéit à l'homme qu'il respectait le plus, celui qu'il regardait encore et encore durant les treize longues secondes réglementaires de violence non calculée à l’initiation. Il était devenu l'un d'entre eux, il avait choisi sa voie, le seul chemin qu'il ne pourrait jamais prendre à moins de souhaiter à mourir. Et c'est un sort qu'il réservera, plus tard, à bon nombre de jeunes désœuvrés, cherchant un refuge, une famille, un moyen de s'en sortir après avoir compris que les études, que les lois ne les mèneront que vers une mort certainement plus rapide que celle promise à n'importe quelle âme qui vive sur cette Terre. Des gamins, comme lui au départ, ne cherchant qu'à rapporter davantage de revenus au foyer, qu'à épargner leurs parents de petits boulots longs et laborieux. C'est ce qu'elle était devenue, à Los Angeles, à New-York, dans d'autres états des États-Unis, gagnant en richesse grâce aux cartels de drogues mexicains, ayant pour but d'écouler la marchandise dans toutes les villes gagnées, faire de l'ombre aux marchés existants, usant de prix défiant n'importe quelle concurrence. Mais ils s'en tiennent à vendre ce qui se produit à l'étranger, s'investissant dans le trafic d'êtres humains de par le passage d'immigrés illégaux à la frontière américaine mais aussi dans de petits réseaux de prostitutions ; bien que ce ne soit pas leur objectif premier. Que de vices, d'horreurs et d'avarice mais rien ni personne ne pourrait blâmer ces gens, toutes ces personnes s'étant honorablement battu pour survivre sur une terre qu'ils ont finis par connaître, par apprivoiser, par s'approprier. Il fait partie des leurs et, avec le temps, Salvatore parviendra à en faire le but principal de sa vie : devenir l'un de ces édifices, se faire aussi grand que n'avait pu l'être son paternel dont le regard ne quitte pas le sien lorsque le gamin se relève, en sang mais fier, déterminé. Souvenir qui s'ancrera à jamais dans sa mémoire.
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FIN DU FLASHBACK __________________________________
Ils sont tous là, chacun représentant la Mara dans différent quartier de la ville, tous pourtant loyaux autrefois, tous, le regard braqué sur celui qui vient de parler, venu prendre la place de la figure à suivre, à honorer en ces rues. Il n'ajoute plus rien, Roi devant son peuple, le salvadorien attend, patiemment que quelque chose se passe mais aucun mot ne vient mettre un terme au pouvoir que s'octroie le silence. Il persiste, pesant, lourd de sens sur le discours qu'il laisse s'inscrire dans l'esprit de chaque personne présente, de chaque âme ayant pu l'écouter dès lors que le glas de son prédécesseur avait cessé de raisonner, écho du déclic de la gâchette qu'il s'était permis de caresser avant même que les supplications ne parviennent jusqu'à lui. Il n'avait eu le temps de ne rien dire, de ne rien faire que Salvatore en finissait déjà. Fils unique de l'une des familles les plus riches que la Mara, plus précisément branche issue directement du Salvador – terre quittée alors qu'il n'avait que six ans –, avait pu connaître jusqu'alors, envoyé à Los Angeles pour y régner en maîtres aux côtés des Perez, équivalent de leur maison, celles-ci liées depuis son plus jeune âge. Duo infernal qui s'était davantage unis pour mieux gouverner une fois les terres de Los Angeles gagnées, autant amicalement que par alliance lorsque le gamin – devenu adolescent – s'était vu marié, dès ses vingt-et-un ans, à la jeune demoiselle d'à peine dix-neuf ans que l'ami de son père lui avait présenté, sa fille en autre. Et, ce soir, elle se tenait là, à ses côtés, magnifique, flamboyante et pourtant aussi froide qu'une nuit de printemps frissonnant encore d'un hiver tenace. Fierté d'un petit con devenu homme, trophée qu'il vient contempler ne serait-ce que quelques secondes en s'attendant au pire de la part des hommes de celui qu'il venait d'abattre. Aussi, en y songeant, le trentenaire se tourne rapidement vers le cadavre traînant à ses pieds, le sang teintant le sol délavé de l’entrepôt dans lequel ils se tiennent, dépourvu de dignité, de tout ce qu'ils aurait dû avoir s'ils n'avaient pas eu à suivre ce dernier. Il en soupire, de dégoût plus que de regret, sentiment qu'il ne connaît pas, qu'il ne connaîtra sûrement jamais à la manière dont il se comporte, dont il agit. Il en revient à Luna, sa Belle, lorsqu'un mouvement se fait dans la foule, là, au milieu de tous ces hommes tournés vers lui comme s'il n'était plus qu'une cible, qu'un point rouge à atteindre et à détruire parce qu'il n'avait peut-être su leur montrer que son audace, faisant signe à sa Reine de ne rien dire, de ne rien faire, de ne pas céder. Il le laisse s'approcher, cet homme-là, il le laisse venir lui faire face, nettement plus petit que lui, bien moins costaud mais visiblement assez courageux. Ça l'amène d'ailleurs à lui offrir un regard agréable surpris alors qu'aucune phrase ne s'impose encore entre eux, seulement des regards, des suppositions silencieuses de la part des autres qui, à leur tour, attendent ne serait-ce qu'un geste, qu'un fait qui, enfin, voit le jour. La main du jeune homme se lève dans la direction de Ferrà, le regard croisant le sien pour ne plus s'en défaire, pas une seule seconde. Salvatore prend le temps, tout de même, d'agir, hésitant une demi-seconde avant de loger la sienne dans cette dernière, assurée, ferme, imposant sa supériorité tout de même évidente malgré l'égalité qu'il tient à assurer chez tous ces hommes présents mais aussi chez ceux qui manquent à l'appel parce que bien trop loin de la Grosse Pomme, ceux qui entendront parler de ses prouesses, déjà fier de pouvoir compter parmi eux son père et celui de la splendide déesse qui s'était quelque peu avancée comme dans l'espoir de pouvoir le protéger si quoi que ce soit d'autre s'était passé ; sûrement consciente, au fond d'elle, qu'il s'en serait sorti quoi qu'elle fasse. « Merci. » Lance-t-il finalement à l'attention du salvadorien, presque d'un ton plus solennel que n'aurait pu l'être celui de n'importe quel politicien au monde. C'est suite à cela que le fils Ferrà s'était permis une poignée plus affirmée, déposant également l'autre main sur celle de son interlocuteur, le remerciant également mais implicitement, compréhensible seulement par ses gestes jusqu'à ce qu'il ne le relâche. Aucun de ces hommes ne décident de partir, tous approuvent cette décision par des gestes de têtes, des mots glissés ici et là à l'attention du trentenaire qu'on remercie, qu'on promet de suivre ; ce dernier haussant fièrement les épaules, invitant sa Dame à le rejoindre, collée contre son torse, la main protectrice du représentant déposée contre sa taille qu'il tient, plus qu'il ne s'en rend compte. Une nouvelle erre commence et c'est ce qu'il contemple en déposant ses prunelles foncées sur tous les traits tournés vers lui en quête d'une nouvelle route à suivre, d'un nouveau but à atteindre : la reconnaissance, le pouvoir, la survie d'un peuple ayant su trouver une voie – bien que loin du légale – pour y parvenir et continuer à vivre, à vivre et à vivre, encore et toujours, éternellement jusqu'à ce que leur gloire ne se ternisse ; si tant est que ce soit réellement possible. Cette dernière idée n'est plus que l'espoir d'un fou, la démence d'immorales en quête d'utopie ; parce qu'ils restent les propriétaires de terres promises et au fond de lui, Salvatore a toujours su que l'on chercherait à leur reprendre, ce qu'il ne permettra pas, pas tant que son sang coulera encore dans ses veines, pas tant que son cœur battra pour ce qu'il croit être juste, ce qu'il considère comme devant être fait. On lui a dit de tenir ce rôle, il le fera aussi longtemps qu'il le peut... Jusqu'à ce qu'il n'en vienne à mourir, image de la splendeur d'un Roi qui aura su ne pas faire s'émietter la fierté des siens. Mais les années doivent passer, ce temps-là n'est pas encore venu, pas encore.
Dernière édition par Salvatore Ferrà le Mar 30 Juin - 22:14, édité 3 fois
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Sam 20 Juin - 10:51
Re bienvenue
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Sam 20 Juin - 11:24
Rebienvenue!
C'est original ton choix d'avatar ♥. Bonne rédaction de fiche.
Erika Stojanović
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Sam 20 Juin - 13:45
Re-bienvenue avec ton nouveau loulou miss, pareil curieuse de voir ce que vous préparez
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Sam 20 Juin - 15:40
Rebienvenue, bonne construction, etc
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Sam 20 Juin - 20:53
Merci les bichettes. J'espère que ça vous plaira !
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Lun 29 Juin - 12:37
Walking Dead ahah
Bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Mar 30 Juin - 15:35
Eh oui, je dois être la seule à l'avoir kiffé, ce pauvre doudou... En tout cas, merci.
J'ai terminé ma fiche, bonne lecture à la personne qui s'en chargera !
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Mar 30 Juin - 15:43
Oh non, je l'avais adoré aussi *.* Je m'occupe de toi !
Edit: Jolie fiche! L'idée est intéressante, un nouveau gang à New York, ça met l'eau à la bouche.
Néanmoins, il y a quelques points qui viennent à manquer. J'ai bien les origines et l'organisation de la Mara mais je n'ai pas leur implantation (Où sont-ils à New York? ). On a un petit découpage qui pourra t'être utile: http://www.ny-thedarkside.com/t290-territoires-mafieux-et-lieux-cles#9079 . J'ai bien compris que les Maras sont dans une situation délicate à New York, mais est-ce que l'on peut avoir les grands traits de leur background pour mieux saisir le gang? Saisir un peu plus leurs activités pour comprendre au genre de gang auquel on fait face?
Pour un nouveau gang, on a besoin d'en savoir plus, au moins pour faciliter le recrutement, plus tard, de quelques joueurs dans le gang. Je ne te demande évidemment pas une explication détaillée!
En tout cas, tu nous as fait un personnage qui promet. Le gang m'intéresse d'autant plus!!
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Mar 30 Juin - 22:16
Miss, je t'ai rajouté un Flashback pour l'explication du gang, j'espère que ça te suffira amplement.
Erika Stojanović
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Mer 1 Juil - 10:12
Salvatore Ferrà a écrit:
Jusqu'à ce qu'il n'en vienne à mourir, image de la splendeur d'un Roi
Roh tu cites le SDA
Invité
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Mer 1 Juil - 10:14
lol tu fais baver Erika.
Il reste juste un point rapide: le casier judiciaire. S'il a un casier à Los Angeles, il sera le même New York. Avec l'informatique, les données sont centralisées. N'oublie pas de changer aussi ton profil, du coup.
Mon prochain poste sera donc une validation \o/
Erika Stojanović
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Mer 1 Juil - 10:28
Ah ouais nan mais laisse tomber, cite le SDA pour moi et je réponds plus de rien
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Mer 1 Juil - 10:32
Ahah, je suis pareille Erika. C'est ma Bible ces putains de films. ** Je m'occupe de ça de suite.
EDIT : Voilà qui est fait. EDIT x2 :
Citation :
pourtant aussi froide qu'une nuit de printemps frissonnant encore d'un hiver tenace.
Dis-dons, Erika, tu n'as pas relevé celle-ci ? :(
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Sujet: Re: [TERMINÉE] Salvatore Ferrà Mer 1 Juil - 11:04
Bravo !
Tu es une future victime de la Fatalité
Tu vas en faire baver plus d'une, visiblement. Bienvenue à ce nouveau personnage.