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 Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)

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MessageSujet: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 13:10

Feat "David MORRISSEY"
Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) Nvuses
(c) white rabbit


      Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) Identitycard

    Owain Dafydd Lewis, ce Gallois a grandi à Cardiff. Fils unique, il a toujours rêvé de faire cavalier solitaire. Aujourd'hui âgé de 46 ans, son casier judiciaire le propulse sans conteste dans les hors-la-loi. Marié et père d'une fille de 24 ans, c'est un homme qui a toujours préféré les femmes. Éternel époux infidèle, il s'est calmé depuis quelques années. En effet, il est un peu trop occupé à échapper aux forces de l'ordre. Dans la vie, il est propriétaire de plusieurs business. Celui qui se fait désormais appeler Owen Chandler Ithell dirige deux casinos, deux clubs de strip-tease ainsi qu'un magasin qui vend des alcools et des cigares. New Yorkais depuis maintenant quinze ans, il gagne bien sa vie. Et cela pas uniquement grâce à ses activités légales. Il trempe dans de nombreuses affaires louches. Vous cherchez de la compagnie pour enterrer votre vie de garçon ou bien un sosie de Elvis Presley pour réaliser vos fantasmes ? Owen et ses relations feront le nécessaire pour vous aider à réaliser vos rêves ! En échange de quelques liasses de billets, cela va de soi.

Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) Wannaknowmore

Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
ELVIS COSTELLO brilliant mistake

Histoire ;
Pour comprendre l'histoire qui va vous être contée, il faut d'abord faire connaissance avec les personnages. Pas de panique, ils ne sont que deux. Aucun risque donc de les confondre. Le premier est notre homme. Une armoire normande de presque deux mètres avec un petit bidon amassé au fil des années, de larges favoris descendant jusqu'à ses joues et des yeux bleus cruels. Il n'est pas méchant, juste un peu con. Face à lui se trouve un autre homme assez âgé. Respecté de tous et aussi adulé que Maradona l'est en Argentine, tout le monde a entendu parler de lui mais tout le monde souhaite également retarder le plus possible sa rencontre avec lui. Le décor étant planté, laissons la parole aux principaux concernés : Owen Chandler Ithell et Saint Pierre.


J'aime déjà pas cet endroit : c'est tout blanc et pas accueillant. On voit des Cupidons virevolter partout. C'est dégueulant de niaiserie et ça me fait déjà presque regretter de ne pas être allé frapper directement à la porte de Satan. Bon, après tout j'ai une chance sur deux d'être accepté ici. On va bien voir ce que ça va donner. Tout de blanc vêtu, j'avance vers l'homme. Et non, je vous arrête tout de suite : je ne me suis pas habillé en blanc pour pouvoir me fondre dans la masse. C'est juste qu'avant de venir ici, on m'a transformé en bonhomme Michelin – Dieu bénisse ma femme. Je m'éclaircis la gorge et approche de l'homme tant respecté. Il me regarde de la tête aux pieds puis lève les yeux au ciel – on peut utiliser cette expression au paradis ou bien elle perd tout son sens, ici ?
- T'es en retard., qu'il me dit. Je fronce les sourcils.
- Pardon ?
- Ça va, c'était une blague. T'as la copie de ton casier ?
Vous voyez, ça commence mal : il sait déjà que j'ai des choses à me reprocher. Il paraît que c'est la spécialité de Saint Pierre : deviner qui a fait le mal, qui a fait le bien. Bref, je ne perds pas de temps et lui tends le papier. Il le lit en diagonale et relève les yeux vers moi.
- C'est long comme une liste de cadeaux pour le Père Noël ! Je fronce encore une fois.
- Vous avez quelque chose contre lui ?
- Conflit de barbe longue.
Croyant à une nouvelle blague, je ris – nerveusement, il faut le préciser – en lui faisant remarquer que c'était amusant. Agacé, il me dévisage. Je ravale ma salive si vite que j'ai l'impression d'avaler ma langue par la même occasion. Ne jamais essayer de faire rire Saint Pierre : ça peut vite se retourner contre vous. Il me regarde encore quelques instants, je joins mes mains devant moi puis il pose son index sur la première ligne.
- T'as mis le feu à une mob' ?
- Euh, ouais, mais j'étais jeune.
- Ça t'excuse pas pour autant.
- Je sais. Bon diou, il vient déjà de me casser en une phrase. Je relève la tête : je ne dois pas perdre la face, pas déjà. Colonne d'air, on respire.
- Explique-toi., demande-t-il en s'appuyant sur le petit comptoir situé à côté du portail d'entrée. Le mouvement fait un peu basculer le meuble et le stylo qui était posé dessus tombe. Instinctivement, je baisse les yeux pour constater qu'il n'est pas par terre. Il a traversé le nuage sur lequel on flotte. Quand on voit ça, faut pas s'étonner qu'on se prenne des météorites et autres trucs étranges sur le coin de la gueule.
- J'étais gamin, un p'tit con m'avait fait une mauvaise blague. Je me suis vengé en fichant le feu à sa mobylette. En y repensant, je regrette qu'il était pas dessus au moment où j'ai jeté le zippo dessus.
Il met sa bouche en coin. Un léger rictus se fraie un chemin sur ses rides et je me dis que ce n'est pas ça qui m'empêchera de rejoindre ses rangs. Enfin, pas de précipitation, la route est encore longue.
- Ça va avec la destruction de biens publics ? demande-t-il tout en se grattant l'oreille. Il m'a pris de court et je ne sais quoi dire. Bouche bée, j'articule difficilement :
- Hum, non. Ça c'est quand j'ai pété un câble à l'hôpital. Il plisse les yeux en me regardant et j'interprète cela comme une invitation à donner plus de détails. C'était le jour de la naissance de ma fille. Le médecin, une gonzesse, voulait absolument que je coupe le cordon. C'est franchement con comme idée, de vouloir impliquer le père dans l'acte de la venue au monde. Ma femme venait de donner naissance à ce rôti écœurant, j'avais tout sauf envie de mettre mes doigts dessus ! Je me suis un peu emporté et plutôt que de lui taper dessus, je m'en suis pris au mobilier de la salle d'attente. Manque de pot y'avait un flic dans le coin, je me suis fait arrêté. Je palpe mes fringues au niveau des poches, à la recherche de mon paquet de cigarettes mais je me rappelle vite que je n'ai rien sur moi. Shit.
- J'imagine que ça va avec la ligne « trouble à l'ordre public »
- Non, ça c'était le jour de mon mariage. J'avais vingt-cinq ans. L'époque où tout allait encore à peu près bien. Me voyant ainsi nostalgique, il soupire. J'imagine que je ne suis pas le premier – ni le dernier – à regretter ses actes condamnables qui se pointe aux portes du Paradis.
- D'ailleurs vous pouvez ajouter ça... Puis-je ? Je lui demande en m'approchant de lui. Je parcours rapidement la liste du regard et pointe la onzième ligne.
- Ivresse sur la voie public ?
- Qui ne se bourre pas la gueule le jour de son mariage ?!
- Donc tu t'es fait coffré le jour de ton mariage et celui de la naissance de ta fille ?
- Ça fait des souvenirs. Et des trucs à raconter ! La preuve. dis-je en souriant. Il hoche lentement la tête, comme si je venais de lui exposer une théorie à laquelle il n'avait encore jamais pensé. Pourtant il n'est pas dur d'imaginer que beaucoup ont tenté de mentir pour pouvoir être acceptés au paradis. Pour le moment, il n'a pas encore montré de signe de réticence. Oui, mais le plus dur reste à venir.
- T'aimes ta femme ?
- Oui, bien sûr que j'aime ma femme. Pourquoi cette question ?
- Sans doute parce que j'en suis à « violence verbale et conjugale ». Bordel, rien ne lui échappe à ce vieux fou.
- Euh, ce n'était rien de grave.
- Si c'est inscrit dans ton casier, si, ça l'est. Explique. Il va vraiment falloir que je lui donne les détails sur tout ce qui est écrit sur ce papier ? Bon dieu, je suis fichu.
- Après que notre fille soit née, ma femme a commencé à déprimer. Elle devenait insupportable et un jour où j'avais trop bu, elle a piqué une crise et s'est ramassé un aller et retour sur les joues. J'peux vous assurer qu'après elle a jamais osé s'énerver une seule fois devant moi !
- Il n'y a pas de quoi être fier. Paf, Owen, dans tes dents. Dis quelque chose, rattrape le coup !
- Ouais enfin je tiens à préciser que j'suis fier d'aucun de tous ces trucs. Je pointe du doigt la liste qu'il a entre les mains. Saint Pierre prend un autre crayon, sorti d'une de ses grandes poches et gribouille sur la feuille. Je ne comprends qu'un peu plus tard qu'il raye au fur et à mesure ce qu'on a passé en revue.
- Honnêtement, je n'aime pas ce qui reste à expliquer. Ça risque d'être difficile, mon gars.
- Je veux quand même essayer ! Il a un instant d'hésitation ; il me regarde de nouveau longuement avant de hausser les épaules. Finalement, il repose son index fripé sur la liste.
- Coups et blessure sur agent fédéral ? Tu sais mon vieux, quoiqu'on en dise, ces mecs-là sont sur Terre pour faire le bien. Involontairement, je m'énerve un peu.
- Hey ! Cet enfoiré voulait me faire une fouille au corps direct dans mon casino, aux yeux des clients ! Je lui ai rappelé que j'avais droit à un minimum de respect !
- Arrête ton char Edouard, tu m'impressionnes pas. Je peux lui faire bouffer sa barbe ? Pourquoi il t'en voulait ?
- On m'avait balancé. Les flics cherchaient des armes planquées dans mon casino.
- Et ?
- Et... Ils n'avaient pas tort... Il soupire.
- Bravo.
- Oh ça va, hein. Par dessus son épaule, je vois John Lennon qui me pointe du doigt en ricanant. Je m'apprête à faire part de mon étonnement à Saint Pierre mais le chanteur s'est déjà évaporé.
- Ils ont trouvé quoi ?
- Des faux pétards. J'ai jamais pris le risque de cacher de vrais flingues. Dans une ville comme New York, c'est trop risqué.
- Parce qu'ailleurs ça l'est pas ? Punaise, ce vieux barbu a vraiment l'art de poser la question qui ne faut pas. Mâchouillant nerveusement l'intérieur de ma joue, je finis par concéder :
- Au pays de Galles j'ai fait trois mois de taule parce que j'avais caché un flingue dans ma bagnole. J'avais pas de permis, rien du tout. Je m'étais fait choper pour excès de vitesse. Je vis qu'il continuait de griffonner sur la liste mais je ne laissai pas déstabiliser. Je sais que c'est pas malin.
- J'te le fais pas dire. Rappelle-moi ce que tu faisais sur Terre ?
- J'étais patron de deux casinos et de deux club de strip-tease. Et j'avais un magasin de cigares et d'alcools, aussi.
- Tout pour mener à la débauche. Le proxénétisme, c'était avant ?
- Non, c'était il y a cinq ou six ans. Je me suis fait arrêter par les flics, encore. J'ai été jugé pour harcèlement sexuel alors que bon, la gamine était consentante... Me regardez pas comme ça, elle était majeure. Bon, j'avoue avoir forcé un peu...
- Le harcèlement moral, ça allait de paire avec ?
- On peut rien vous cacher ! ironisai-je.
- Continue.
- Ce n'était rien de très sérieux. J'ai pas violé cette pute, si c'est ce que vous voulez savoir. Elle créchait dans un appart' miteux que je louais. Alors des fois, quand elle avait pas assez fait le tapin, je lui demandais qu'elle me paie en nature. Cette conne est allée dire aux flics que je la harcelais. Je le vois tordre le nez ; je sens qu'il commence à s'impatienter. Soudain, il regarde par dessus mon épaule. Craignant qu'il ne me le reproche, je n'ose pas me retourner pour voir ce qui attire son attention.
- Dépêche-toi, y'en a qui font la queue derrière. C'est donc ça : ça se bouscule aux portes du paradis. Comme quoi, tout existe. Voyons voir ce qui nous reste... parle-moi de ta tentative de meurtre. Surpris qu'il aborde le sujet comme s'il me demandait une description de ma chambre d'enfant ou un bilan météo du week-end, j'ai une longue hésitation. À vrai dire j'ai rarement eu à mettre des mots là-dessus et je ne sais comment m'y prendre pour ne pas dire ce qui me serait fatal. Gêné, je commence par lui expliquer que cela s'est passé il y a six ans. L'année de mes quarante ans, je ne suis pas près de l'oublier. Bref, les faits : cela s'est passé en prison. Un de mes camarades de cellule avait jugé amusant de me voler la seule photo de ma fille que j'avais pu prendre avec moi avant mon arrestation pour blanchiment d'argent – grâce à un pactole amassé dans divers trafics de drogues et d'objets de contrefaçon, j'avais pu financer la moitié de la rénovation de mon second casino. Pour en revenir à la tentative de meurtre : le mec de ma cellule est allé trop loin en mimant se branler devant la photo de ma fille. Je l'ai attrapé par le col et j'ai frappé sa tête contre le mur jusqu'à ce qu'on m'empêche d'aller plus loin. Il avait la tête en sang et bien sûr, il s'était évanoui mais je ne l'avais pas lâché. Les autres co-détenus ont eu peur de moi et on plaidé en sa faveur. J'ai donc été condamné au tribunal de la prison à une peine de six ans d'emprisonnement. Heureusement, grâce à des relations que j'ai su faire marcher et des avocats en béton armé, j'ai été libéré au bout de six mois. Après ce long monologue, le vieillard bâille. Il s'excuse, précisant que dans son métier, les vacances n'existent pas. Je le pardonne.
- T'as peur de rien., me fait-il remarquer en rayant encore sur sa liste. Je secoue la tête.
- Vous êtes bien placé pour dire ça.
- Il ne se passait jamais rien d'illégal dans tes business ?
- Et bien j'organisais des tournois de roulette russe dans les sous-sols d'un des clubs. C'était pour divertir les clients. Certains avaient du mal de se contenter des gonzesses. Il leur fallait une dose d'adrénaline pour égayer leurs soirées. J'suis bien content d'avoir gardé ce lieu secret jusqu'à ma mort : la police l'a jamais découvert. Sourire fier sur les lèvres, j'oublie un instant que je ferais mieux de ne pas trop me la raconter.
- Comment t'as commencé à t'attirer des emmerdes ?
- Quand j'avais à peu près seize ans et que j'ai commencé à fumer des cigares arrangés. Plus tard, j'ai testé un peu tout : la marie-jeanne, le LSD, la cocaïne, les champi... Il me coupe la parole.
- Ça va, ça va, n'en jette plus : j'ai compris. Je grimace. Puis, il passe du coq au dinosaure : Pourquoi t'as changé de nom ?
- Parce que le mien sonnait trop exotique pour pouvoir me faire un nom aux States.
- Donc ça n'a rien à voir avec la falsification de papiers d'identité ?
- Ah, non. Ça c'était pour un ami qui voulait fuir le Mexique vers l'Europe. Il avait besoin d'un coup de main mais il s'est fait prendre. Par chance il m'a jamais balancé.
- Ouais, tu parles d'une chance. Il lève les yeux vers je-ne-sais-où puis se gratte machinalement la joue. Je crois que je commence à l'ennuyer et que je vais devoir aller trouver l'asile politique ailleurs. La fin de la liste n'est plus très loin et je doute que ce qui reste puisse me « sauver ». Je déglutis avec difficulté. Il fronce. Je ne suis pas surpris : je sais exactement ce qu'il vient de lire. Désormais, il a l'air gêné. Comme si tout ce que je lui ai dit jusqu'à présent lui était passé au dessus et que là, enfin, il trouvait quelque chose de choquant. Je réfléchissais déjà à une manière légère d'aborder le sujet.
- Je lis bien « meurtre maquillé en suicide, non-condamné pour manque de preuves ? »
- J'avais espéré que celui-là n'y figurerait pas, c'est assez récent. Non, faire de l'humour n'était pas une bonne idée. Je le vois s'impatienter ; il tapote avec ses ongles sur la surface en plastique du comptoir. Je dois réagir, et vite. Là encore y'avait une prostituée dans l'histoire. Elle comptait me balancer aux flics et tout faire capoter mes plans. Les tournois, le proxénétisme, les trafics. Tout, elle voulait tout dire. Alors je l'ai tué. Et avant que vous le demandiez, non, je ne suis pas fier de ça. Tenez, pour vous prouver que je ne mens pas, voici un extrait du procès. Ça date de l'année dernière. J'ai tout écrit pour garder un souvenir. Pardonnez mon écriture pas très lisible. Je lui tends un feuillet froissé, maculé de tâches de café et d'encre.

Citation :
Le juge se tourne vers la Défense. L'avocat a un sourire large jusqu'aux oreilles. Maître Desmond arque un sourcil. Puis, il oriente la tête vers la partie gauche de la salle. Il ordonne à l'homme le plus proche de se lever. Ce dernier, plutôt beau gosse et sûr de lui, se lève en réajustant le nœud de sa cravate. Sa belle gueule attire l'attention de l'audience féminine. Je l'observe, un rictus aux lèvres. Son nez tordu et ses grands yeux ne jouent pourtant pas en sa faveur. Il ne semble pas manquer d'assurance. Le juge s'impatiente.

Je répète ma question, docteur McGooken : l'autopsie a-t-elle révélé des traces de lutte ?

Le pantin au nez pas droit fronce. Il ouvre la bouche pour la refermer, coupé dans son élan par une voix venue de derrière lui.

T'en fais pas, Owen, on est tous avec toi ! C'te pute n'a eu que ce qu'elle méritait !

L'homme est rapidement maitrisé et tout de suite évacué par les flics présents dans la salle d'audience. J'aime ce soutien. Le juge martèle nerveusement sur son bureau, réclamant le silence. Confiant, je fais comme si je n'étais pas la cause de ce débordement. Son Altesse Suprême recommence à exiger le silence tandis que l'agitation a gagné une grande partie du public présent aujourd'hui. Après un moment de flottement, le juge menace de foutre tout le monde dehors si le silence n'est pas fait immédiatement. L'assemblée se calme, le guignol en costume tente de se souvenir où la conversation s'est arrêtée. Je jubile.

Non, votre Honneur, l'autopsie du corps n'a relevé aucune trace de coup, ni de lutte. Les examens toxico-sanguins n'ont rien donné. La morgue a conclu que la victime s'était suicidée.
Vous en êtes sûr ?
Oui, votre Honneur.

Les avocats s'offrent des regards totalement opposés : l'un est glacial, l'autre est moqueur. Le légiste se rassoit, lentement. Soit il est dégoûté, soit il a des hémorroïdes. Il soupire une fois complètement assis. J'opte pour les morpions.

Bien, merci messieurs. C'est maintenant au tour des jurés de se concerter et de rendre leur verdict. Rendez-vous ici dans deux heures.
Dans cent-vingt-deux minutes je serai libre.

Après sa lecture, Saint Pierre hésite. Il regarde de nouveau derrière moi. Cette nouvelle manie qu'il a m'énerve déjà. Il acquiesce, très, très lentement. Je sens que c'est tout bon : on a passé en revue mon casier, il n'a rien dit de très encourageant certes, mais il ne me semble pas fermé à l'idée de m'accepter dans son grand jardin. Et bien non. Je suis renvoyé à cause du dernier délit qu'on me reproche. Je l'avais oublié celui-là : je tâcherai de m'en souvenir, à l'avenir. Je vais avoir tellement de temps à tuer.



Le récit de monsieur Ithell s'achève ici. C'est donc chez Satan qu'il posa ses valises. Après avoir troqué son beau costume blanc contre une combinaison SM, le voilà arpentant les allées et de l'Enfer. Évidemment, vous êtes toutes et tous en train de vous demander quel crime effroyable Saint Pierre ne lui a pas pardonné. Rageant quand on sait qu'il était vraiment à ça d'être accepté au paradis. Après tout monsieur Ithell n'avait pas eu une fin heureuse : il avait été abattu de sang-froid, à bout portant, dans le bureau du casino si cher à son cœur. Il n'avait même pas eu le temps de dire une dernière fois à sa fille et à sa femme qu'il les aimait profondément. S'il avait toujours été infidèle, ce n'était jamais pour faire du mal à son épouse. Sa fille avait toujours été et restera sa plus grande fierté. Ayant quitté la planète Terre dans des circonstances aussi terribles, on l'aurait volontiers vu se faire une place au paradis. Il en avait tellement ramé pour en arriver où il était avant sa mort : après avoir dirigé des tas de petites affaires peu fructueuses, il s'était construit un empire. Son nom commençait à gagner en popularité dans la Grosse Pomme. Son rêve était qu'un jour, il franchisse les frontières et qu'on entende parler de lui jusque dans son pays natal, le pays de Galles. Il avait acquis tout ceci à la sueur de son front. Même s'il n'avait pas toujours fait preuve de galanterie et qu'il avait fait de nombreux coups en douce, ce n'était pas quelqu'un qui avait voulu le mal sur terre. Alors que s'est-il passé pour qu'on lui refuse l'accès ? À l'heure actuelle, il se le demande encore. Et alors, ce dernier crime, qu'en était-il ? Stationnement interdit.

THE END

La plus grande honte du personnage ;
Qu'on se le dise bien : Owen Ithell n'a honte de rien. Pourtant, en regardant son passé, il y aurait de quoi rapidement défaillir de malêtre. Pour remonter à la plus grande honte dont il veut bien se souvenir, il faut aller jusqu'à l'époque où il n'était encore que Owain Lewis, un enfant turbulent et un peu bébête à qui on faisait gober pas mal de choses. Il faut vraiment faire un long saut en arrière, pour être à l'époque où il avait six ou sept ans, peut-être huit. (à vrai dire ça n'a pas d'importance) Un petit plaisantin s'était amusé à lui faire croire que le Kama Sutra était une montagne. Owain en avait vaguement entendu parler. Bien évidemment, il confondait avec le Kilimandjaro ; les deux commençant par un "K", il s'était emmêlé les pinceaux. Assez rêveur et un peu trop optimiste à cette époque, il était allé rapporter fièrement à sa Maîtresse que quand il serait grand, il visiterait le Kama Sutra. Outrée, l'institutrice le punit sévèrement pour cette impertinence déplacée. Lorsque Owain apprit enfin ce qu'était le Kama Sutra, il a incendié la mobylette du camarade plaisantin. On ne plaisante pas avec cet homme.

Définition de l'enfer pour le personnage ;
L'enfer ne serait que le point d'arrivée d'une descente douloureuse vers les abysses diaboliques. Pour que Owen sente qu'il a vraiment touché le fond, il faudrait d'abord qu'il perde sa fille. Ou pire encore, qu'elle le renie complètement, ce serait encore plus insupportable pour lui. Si la prison ne l'effraie pas, il serait démoli si le petit empire qu'il s'est construit venait à s'écrouler. Toutefois, Ithell ne connaîtrait pas l'enfer : s'il venait à perdre sa famille et ses biens, il se tirerait une balle dans la tête, sans avoir la main tremblante.

Définition du paradis pour le personnage ;
Pouvoir remonter trente ans en arrière afin d'éviter toutes les conneries qu'il a fait. Généralement, quand on commence à tremper dans les magouilles, tout s'enchaine très vite et il devient alors très difficile de s'en sortir. Owen ne regrette pas d'avoir eu sa fille, elle serait le seul élément qu'il n'effacerait pas de sa vie si tout était à refaire. S'il avait le pouvoir de remonter dans le temps, il prendrait certainement un peu plus de temps pour réfléchir avant de se lancer corps et âme dans un projet comme celui qu'il avait en venant aux États-Unis. Vivre son rêve sans toutes les emmerdes judiciaires serait son paradis.

Point faible du personnage ;
Malgré tout, sa fille reste son point faible. Prenons par exemple un éventuel cas d'enlèvement contre rançon : il aura beau massacrer la moitié de la population à mains nues, cela ne lui rendra pas sa fille. Elle est à la fois sa plus belle et fierté et sa plus grande inquiétude. Il se fait un sang d'encre à chaque fois qu'il peut lui arriver le moindre pépin. (qu'il soit grave ou pas) Mais n'est-ce pas là la plus grande anxiété de tous parents ?

Point fort du personnage ;
Pas évident de ne souligner qu'un seul point. Ithell n'est pas quelqu'un d'exceptionnellement intriguant mais disons que sa capacité à savoir faire marcher ses relations est assez hors-normes. Il est convaincu que tout existe. Aussi vous pouvez lui filer 100 dollars en échange d'une sex-tape de Paris Hilton, il vous fournira les images avant que vous n'ayez eu le temps de vous imaginer le contenu de la vidéo, dans vos rêves les plus pervers. Contre une somme d'argent plus importante, il peut vous obtenir une arme, des faux papiers, de la drogue, un Visa pour à peu près n'importe quel pays etc. Il n'y a pas une chose qui peut lui résister.

Casier judiciaire ;
Incendie d'une mobylette.
Excès de vitesse.
Consommations de cocaïne, de LSD et de Marijuana.
Blanchiment d'argent.
Proxénétisme.
Recel.
Destruction de biens publics.
Violence verbale et conjugale.
Stationnements interdits.
Falsification de papiers d'identité.
Ivresse sur la voie public.
Troubles à l'ordre public.
Contrefaçon.
Possession d'armes illégale.
Harcèlements sexuel et moral.
Coups et blessures sur agent fédéral.
Organisateur de tournoi de roulette russe illégaux.
Tentative de meurtre.
Meurtre maquillé en suicide. (non condamné pour manque de preuves)

Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) Behindthescreen

Prénom ou pseudo ; n.m. - Arbre de la famille des oléacées qui produit des olives.
Âge ; vingt-et-un ans.
Où avez-vous connu le forum ; Étiqueté à l'orteil de Nico de la Rocha.
Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 7/7
Code du règlement ;
Spoiler:
Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement)
Exemple de RP ;
Spoiler:
Célébrité sur l'avatar ; David Morrissey
Multicompte(s) ; Accord du staff.
Un dernier truc à dire ? ; Un David peut en cacher un autre.


Dernière édition par Owen C. Ithell le Mer 6 Avr - 0:17, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 13:19

    Re-bienvenue mon gars ! I love you
    Tu connais la chanson, le staff est à la droite de d.ieu et le flood à la gauche du docteur.
    Ton code est bon of course et bon courage pour ta nouvelle fiche qui promet =)
    (ps : si mon message te fait chier, il y a une petite croix fait pour ou l'équivalent -sbaff-)
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 13:22

Bienvenue et bonne continuation calin
Mdrr un David peut en cacher un autre x)
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 13:36

    re - Bienvenue !
    Bon courage pour cette fiche : D
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 14:53

Re bienvenue leche leche leche
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 14:56

Ahah, je me suis dit "yen a un qui sera content de voir cet avatar pris !", et bien en fait, c'est toi. x)

Re bienvenue <3
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 15:15

Re-bienvenue mon Lapin leche
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 16:17

Tu m'as caché des choses mon lapin, je suis vexée... Pour la peine je te souhaite pas la bienvenue avec Jane What a Face

Bon, j'arrête de dire des conneries, re-bienvenue bien sûr, et bon courage pour cette fifiche ! Je te fais tout plein de bisous I love you leche
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 17:39

Je me suis dit la même chose qu'Aby.
Re-bienvenue!
Je ne connais David Morissey que de Doctor Who du coup mais ça fait plaisir de le voir, quand même Smile
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 18:06

    J'ai à peine vu la tronche de Morrissey que j'ai su que c'était toi What a Face don't stop me noooow, i'm having such a good tiiiime -ZBAAF-
    Re-bienvenue mon Lapin I love you J'ai hâte de voir ce que tu nous réserves !

    EDIT:
    Citation :
    ▬ Où avez-vous connu le forum ; Étiqueté à l'orteil de Nico de la Rocha.
    calin
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 18:42

    Morrissey <3
    je te plote avec beaucoup de fan-attitude (VIVAAAAA BLAAAAACKPOOOOOOL) et j'te souhaite une bon courage pour cette nouvelle fiche mon canard !
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 20:05

Bienvenuuee parmi nous Very Happy Bonne chance pour ta fichee I love you
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 21:02

WAI MON LAPIIIIIN ♥ x')

Re-bienvenue Lapinou, bon courage pour ta fiche & le reste ! Le début de fiche est déjà très fortement alléchant en tous cas <3

Et n'oublie pas, le Staff est à ton entière disposition (a) :p
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeLun 4 Avr - 22:05

Bienvenue à toi et bonne chance pour ta fiche :cabaret:
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeMer 6 Avr - 0:15

Merci beaucoup pour l'accueil les amis ! Very Happy
Voilà, je pense avoir terminé : navré du petit délire, j'étais totalement sobre en écrivant ce bout d'histoire, légèrement inspirée par les Conversations avec Dieu de Neale-Donald Walsch...
Je suis prêt à modifier si ce n'est pas convainquant Very Happy
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeMer 6 Avr - 0:49

Je vais lire ça de suite monsieur Jaja ♥
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeMer 6 Avr - 0:51

Merci ! Very Happy Et bon courage ! *pan*
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitimeMer 6 Avr - 1:08

Je suis sur le c*l.
Sérieusement, cette fiche est vraiment GENIALE !! J'adoooore la forme que tu lui as donné. C'est super originale et fluide. Elle se dévore avec facilité. Mieux, le suspens sur ce dernier crime égaye la curiosité et pousse à suivre ce nouveau personnage de très près. Vraiment je suis fan !!! Hannn et j'adore comme tu as pu recaser Jarvis au tribunal. C'est une super clin d'œil. Vraiment, j'aime, j'aime, j'aime !! Ce personnage est haut en couleur et à mon avis on ne risque pas de s'ennuyer avec !! Bref tu l'auras sans doute compris mais je te VALIDE avec un immense plaisir ♥
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MessageSujet: Re: Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE)   Owen Chandler Ithell : He thought he was the king of America where they pour Coca Cola just like vintage wine (DONE) I_icon_minitime

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