| Sujet: Samuel • Veins full of whiskey and brain full of wine Jeu 6 Mai - 0:43 | |
Feat "Johnny DEPP"
(c) Ginsu |
_« Samuel Lewis GRANT »_
_____ This is who I am _____
Je suis un cliché, une répugnance association de toutes les idées préconçues qu’on ressert à outrance dans des mauvais feuilletons télévisés pour midinettes sous l’emprise de leurs hormones. J’écoute du Radiohead, lis du Baudelaire, joue du Chopin, me fais des lignes dans les chiottes et des filles dans les couloirs. Bref, je joue au parfait mouton rebelle tout en sachant que je ne suis qu’un pur produit du monde actuel. Consommation et commercialisation, la noirceur se vend si bien. Acteur, chanteur, artiste sans talent si ce n’est pour vous intoxiquer, exacerber vos fantasmes, me mettre votre fric dans les poches. Et surtout, être terriblement insatisfait. Samuel L. Grant, votre idole, enchanté. Ou pas.
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_____ Wanna know more ? _____
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Muse - Citizen Erased
▬ Histoire ; Je suis fasciné par la danse des volutes de fumée. Ma cigarette se consume, pas assez vite. Elle passe entre les mains, comme un rituel, comme ces verres qui s’accumulent sur la table d’ébène, les conversations qui s’effritent dans le vacarme ambiant, mon esprit qui s’enfuit. Les mots se perdent, enfants mort-nés de conversations vides de sens. Nouvelle bouffée, nouvelle gorgée. Le corps en feu, le cœur en berne, l’esprit en chute libre. Je suis oppressé, tiraillé de tous côtés, torturé, intoxiqué. Par moi, principalement. Et je me laisse faire, pire, j’en rajoute une couche, non content de me faire du mal. Les basses de la boîte de nuit cognent contre mes tempes, la nausée me prend à la gorge, l’angoisse s’empare de mes mains. Tout est insupportable, trop bruyant, agressif. J’ai envie de vomir, m’enfuir, hurler, m’effondrer. Je me contente d’un verre de vodka. Je suis ivre, je suis con. Je sais comment tout cela va terminer, et je n’en change pas moins de comportement. Trop tard. Ou peut-être trop tôt.
Je me souviens d’elle. Ses caresses, ses sourires, cette capacité qu’ont toutes les mères d’effacer vos soucis d’un simple regard. Et puis, ses larmes salées, son haleine rance de mauvais vin, ses comas prolongés où elle pouvait aussi bien frôler la mort que l’hystérie. Il était parti. Pas de préavis, une simple dispute comme je pouvais en entendre des centaines. Sauf que, cette fois, ce ne fut pas elle qui claqua la porte avec de grands airs. Il fit sa valise, annonça son désir de vivre avec elle. Une autre femme, d’autres enfants. Pour lui, une nouvelle vie, pour nous, tout un univers qui s’effondrait. On m’a demandé de choisir, je n’ai pas pu me résoudre à suivre un menteur. J’avais quatorze ans. Je pensais que tout allait continuer comme avant, que je ne serais qu’un gamin de plus à la liste de ceux dont les parents divorcent. Mais sans doute le goût âcre qui résidait au fond de ma gorge n’avait-il rien de commun avec celui des autres collégiens. La haine, de tous. Une de ces ridicules phases de rébellion adolescente qui ne s’est pourtant pas évanouie avec le temps. Et toujours son image, les propos incohérents qu’elle murmurait à longueur de journées, son visage constamment froissé, ses plaintes soupirées du bout des lèvres. Un fantôme.
Je me mords la lèvre inférieure, chassant les souvenirs, façon beaucoup trop aisée de me torturer. Je prends cet air stoïque que j’imite si bien, don partagé avec tous ceux qui se trouvent à ma table. Je suis entouré de fils de riches que je connais à peine, d’artistes qui me lancent des fleurs pour que je fasse de même, de gamines anorexiques dont le prénom s'efface de ma mémoire aussi vite que leurs apparats ne se retirent. La conversation est bien moins existante que les sourires hypocrites, seul nous intéresse l'alcool qui passe de main en main et le bonheur doucereux de se savoir au-dessus du peuple. Et pourtant, nous sommes les pires des meilleurs, ceux qui sont incapables de résister à l’appel du dégradant, toujours plus fort. Je tire ma cigarette jusqu'au filtre, grandes bouffées de nicotine, avant de l'écraser dans un cendrier, sans avoir ressentit le moindre plaisir. Mon âme se meurt bien plus vite que mon corps, j'ai oublié le rire autre que sarcastique, la joie autre que malsaine, les relations autres qu'intéressées. Je suis dégoûté, écœuré, blasé, gavé jusqu’à l’os, bourré à ne plus en pouvoir d’une vie qu’on pourrait qualifier de merveilleuse si seulement elle n’était pas aussi emmerdante. Je m’ennuie, constamment. Plus rien ne m’amuse. J’ai tout. Un claquement de doigts suffi. Trop de choses à ma portée, rien d’assez neuf que pour éveiller une quelconque once d’intérêt. La lassitude s’empare de mon corps, je me plonge dans les agréables abysses de la morosité, ferme les yeux, chassant la réalité. Fatigue. Las, pas assez que pour tout faire cesser. Le vide qui m’entoure m’étouffe, l’absurdité de la vie me donne tout autant envie de rire que de m’arracher les cheveux. Je suis instable, tout simplement parce que je n’ai aucune personnalité. Je m’adapte aux regards, ce qu’on attend de moi, je suis un produit, une image à vendre. Celle d’un artiste qui multiplie les frasques, parce qu’une star est forcément droguée, rebelle, inaccessible, tourmentée à un point inimaginable pour les pauvres mortels incultes qui l’adulent. Je profite sans vergogne de ma condition, après tout, c’est ce que je suis censé faire. En résumé, je suis ce qu’on appelle communément un bel enfoiré, mais un enfoiré qui range des Oscars dans ses placards et des billets de cent dans ses poches. Mais je ne suis surtout rien. Instable, insatiable, insignifiant.
La célébrité, tellement plaisant. La scène, les applaudissements, les larmes, les lunettes de soleil, les paparazzis, les interviews mille fois répétées, les lettres d’encouragement, les récompenses, les réalisateurs mégalomanes, les cadeaux hors de prix, les fans nymphomanes. L’ego qui devient surdimensionné, la satisfaction profonde et incroyable qui prend à la gorge. Juste avant l’angoisse et les terreurs nocturnes. C’était l’âge d’or. Je m’étais démené comme un fou pour en arriver là. On n’avait pas assez d’argent pour l’université, je refusais de lui demander la moindre aide. Ont commencé les petits boulots à la même vitesse que les répétitions dans le garage. On faisait des concerts sauvages la journée, je livrais mes pizzas au soir. J’avais un rêve, un but, gamin naïf, tête dans les nuages et pieds dix centimètres au-dessus du sol. Ce n’est pas arrivé. Je commençais à avoir du mal à payer les factures et le whisky de ma mère, l’enregistrement en studio n’avait rien donné. Je pense qu’on faisait plus de bruit que de véritable musique, à l’époque, avec nos lunettes fumées, vestes de cuir et autre chose que des cigarettes en bouche. Tout pour nous donner un style qu’on n’avait pas. Le chemin était tortueux, il prit un cours inattendu. Ce ne fut pas pour mes douteux talents musicaux que je fus choisi, mais pour mon visage. Mannequin aux séances photos qui finirent par se succéder, j’obtins ensuite mon premier rôle où la psychologie du personnage ne tenait qu’en deux mots : belle gueule. Les portes de la machinerie hollywoodienne m’étaient désormais grandes ouvertes. Je m’y engouffrai tête baissée, j’aurai dû prendre plus de précautions. On me vantait des qualités que je ne pensais pas posséder, le rôle hors caméras était beaucoup plus important que celui où mon dirigeait, on produisit un album où les musiques finales n’avaient rien à voir avec les maquettes que j’avais fourni, nouveau rôle à cumuler, gérer les bousculades, critiques, hystéries collectives, séances de presse, manifestations mondaines, concerts. Visage étalé en gros plan sur les magasines, titres racoleurs en option. Ma vie privée bancale affichée à la vue de tous, ma fatigue et mon angoisse que je tentais de confiner avec peine. Insomnies, cauchemars le reste du temps, la personnalité qui se fragmente, une carapace faite de toutes les drogues, sarcasmes, et imbécillités du monde. Je ne pouvais pas m’arrêter, j’étais devenu dépendant des bons comme des mauvais côtés de ma nouvelle célébrité, j’enviais le bonheur des autres tout en me complaisant dans mes frasques, remède à la vacuité croissante de mon existence.
Mon appartement est de celui qu’on n’habite pas réellement, mais qu’on préfère exhiber. Vide, froid, impersonnel, des objets pourtant uniques, faits à ma mesure, et qui ne semblent pas m’appartenir. La bouteille glisse entre mes doigts, son fracas ne m’alerte même pas, morceaux de verre et fond de champagne sur le tapis persan. Elle s’accroche à mes lèvres, son souffle heurté frôle ma peau. Désordre immense, mes pensées s’accélèrent, percutent mon crâne, jaillissent dans tous les sens. Tout est tellement simple. Nos vêtements tombent à terre, nos gestes se font fiévreux, empressés, on renverse tout sur notre passage. On se laisse sombrer dans un de ces besoins les plus primaires. Baisers violents et caresses voluptueuses, mes lèvres se promènent sur le corps d’une femme dont j’oublie déjà le prénom, et dont le visage s’effacera dans quelques jours à peine, cocaïne et vodka aidant. C’est sans doute la même chose de son côté, nous en sommes tous les deux conscients, c’est une sorte de service mutuel que l’on se rend, un pacte tacite. Une soirée magique, hallucinée, sens exacerbés par nos drogues et nos fantasmes, un lendemain douloureux dans des draps plus que froissés, mal de crâne épouvantable en prime. L’alcool l’empêchera de s’enfuir avant mon réveil, je lui hurlerai dessus pour qu’elle fiche le camp au plus vite, elle me haïra tout en espérant une nouvelle soirée d’ivresse. En attendant, elle est là pour ce à quoi elle sert : cadeau d’adieu à la ville des anges. Je retourne à New-York, ville de mon enfance et de ma jeunesse déstructurée. Une nouvelle série télévisée s'y tourne, prometteuse à souhait, m’offrant sur un plateau un rôle en or. Du moins, d’après mon agent, n’ayant pas encore jeté le moindre coup d’œil au script. Après tout, je pourrais le faire dans le jet. En sept heures de vol, on a largement le temps de dessouler. A condition de rester sobre durant cette période.
▬ La plus grande honte du personnage ;
Sans doute l'image se forme-t-elle dans votre esprit avant même que je ne formule un seul mot. Un tatouage honteux fait sous influence, un mariage express à Las Vegas, un corps alcoolisé retrouvé avec les SDF de Central Park, ou toutes autres conneries directement associées à mon personnage. Bien sûr, rien de faux dans ces clichés, mis à part le fait que je n'en ai pas honte. La vraie est bien plus subjective, discrète. C'est quand je regarde mon reflet dans les moments de lucidité, que j'entends la voix presque inaudible de ma mère au téléphone, quand j'aperçois le dégout, la haine ou la peine chez des connaissances que je fais semblant de détester. Cette honte, indicible et implacable. Pas de ce que je fais, mais de ce que je suis.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
L’Enfer, c’est l’ennui. Une vie déjà trop vécue, des expériences en série pour finir dans un état de lassitude insupportable. C’est être entouré tout en ayant l’impression d’être seul, être incapable d’écouter ce qu’on peut bien me raconter pour ne me focaliser que sur le brouhaha qui règne à l’intérieur de mon crâne, oublier les sensations autres qu'un trou béant dans la poitrine. Mais c'est sans doute mieux que l'angoisse de sortir, de lancer des sourires et tenir un rôle sans relief.
▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Le passé. Une époque où j’étais encore capable de ces crétins de rêves d’adolescent. Hm, plus sérieusement ? La poudre, l’acide, la beuh, la vitesse, le sexe, la destruction, la mort. En gros, tout ce qui est capable de mettre un peu de piment dans mon existence. Ou mon métier, tout simplement. Entrer dans la peau d’un personnage jusqu’à en oublier ma propre identité, laisser de côté ma pathétique vie pour en essayer de nouvelles. Ou me jeter à corps perdu dans ma musique solitaire. Malheureusement, la nuit tombée, il faut rendre le costume.
▬ Crimes déjà commis ;
• Détention et production de substances illicites - a déclaré ne pas être au courant que les champignons étaient hallucinogènes. • Insultes à des agents doublées de tentatives de corruption. • Dégradations volontaires (avec une nette préférence pour les hôtels Hilton). • Courses illégales de voitures, atteintes à la vie privée, ivresse sur la voie public, et autres petites choses sans grande importance.
_____ Behind the screen ? A player ! _____
▬ Prénom ou pseudo ; Ginsuuu ▬ Âge ; 17 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; PRD ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Certains jours, on se dit qu’on n’aurait jamais dû se lever. Celui-ci en faisait partie, il n’y avait aucun doute. Déjà, parce que j’avais la gueule de bois. Dure vie que celle d’un étudiant, les verres s’étaient enchaînés tandis que les cartes claquaient et les cigarettes s’échangeaient. J’avais gagné mille billets virtuels, mais un mal de tête bien réel. Le réveil sonne, je grogne, le coupe, tente en vain de me rendormir. Peine perdue quand une cacophonie vient vous vriller le crâne. J’enfouis mon visage sous les coussins, impression de tomber malgré le fait que je sois couché, envie impérieuse de retourner quelques heures en arrière pour m’empêcher de toucher à cette imbécile de bouteille, bien que le pluriel soit sans doute plus proche de la vérité. Nausée, je repousse les couvertures, pose pieds à terre. Je suis en boxer, à trébucher sur mes vêtements étalés à terre et chercher la porte de ma chambre. Tout tangue, je finis par trouver la poignée, ou plutôt m’y accrocher. Courage, plus qu’un couloir, un pommeau et une armoire, et je mettrai la main sur les médicaments salvateurs. À se demander pourquoi je ne les pose pas tout simplement sur ma table de chevet, mon colocataire n’en ayant pas la moindre utilité, préférant de loin son ordinateur que les beuveries et parties de cartes entre amis. Je pousse de tout mon poids sur la poignée, la porte s’ouvre en un grincement. Et c’est à ce moment précis qu’une déjà mauvaise journée prit la tournure de samedi véritablement pourri.
Sonnerie de téléphone, je me retourne sans comprendre, visage aussi ébouriffé que mes cheveux. Je regarde l’appareil noir, me sens incapable de faire un pas. Une minute passe en une seule seconde, le répondeur s’enclenche. Je crois que c’est véritablement lorsque j’ai reconnu sa voix que j’ai su que j’allais passer une très mauvaise journée. Il y a idée de gâcher un week-end en quelques phrases, elle en était tout à fait capable. Déjà, son soliloque se termine, je m’effondre à terre, partagé entre une envie de vomir pour cause de trop grand bruit et me rendormir pour échapper aux griffes de ma nouvelles tortionnaire, la bien nommée Jodie Anderson. Je dois avouer que je ne peux en vouloir qu'à moi-même quant à la tournure qu’a pris notre relation. Nous étions de simples connaissances, meilleur ami de son geek de frère oblige, jusqu’au jour où elle a découvert quel était mon véritable gagne-pain : le trafic de drogues. On pouvait se demander comment une fille telle que la blonde souriante allait réagir, je ne m’attendais certainement pas à ça. Le chantage. Qu’elle prévienne la police ou tente de tout oublier aurait été plus probable, les réactions de la demoiselle ne sont malheureusement pas aussi prévisibles que je ne le pensais. Alors me voici obligé de répondre au moindre de ses petits caprices, en échange de son silence. Autant dire que la situation est loin de m’enchanter, surtout quand le caprice en question est de l’accompagner une journée entière dans des boutiques de fringues alors que j’aurais nettement préféré me remettre de ma cuite devant un bouquin d’anat-physio. Pas le choix. Heureusement, le chevalier servant ne compte pas ravaler ses sarcasmes, ce serait trop facile. Alors je prépare mes futures railleries tandis que j’avale médicaments et petit-déjeuner.
Le cuir craque sous mes doigts, je ferme l’appartement à clé tandis que Sean doit être encore entrain de dormir après une nuit à frapper sur son clavier. J’ai rendez-vous avec sa sœur, si seulement il savait. Un rendez-vous bourré d’exigences, dont la première est de passer la prendre en voiture. Inutile de dire que je n’en ai pas. Le trafic de drogues, oui, ça paye, mais pas au point de rouler en cabriolet. Je réussis tant bien que mal à payer deux loyers et mes études, je ne suis pas non plus plein aux as. Cependant, j’ai une solution alternative presque plus satisfaisante. Un sourire se dessine sur mes lèvres tandis que je descends les escaliers à quatre quatre. Bruit de moteur, démarrage rapide, je jette un coup d’œil sur ma montre. La moto quitte le garage réservé aux étudiants, je rabaisse la visière du casque, démarre en trombe dans les rues de Dublin. Brève ivresse de la vitesse, je slalome entre les voitures pour finir ma course devant la demeure des Anderson, avec dix minutes de retard. De toute façon, que pourrait-elle bien faire ? Appeler les flics ? Je fais vrombir le moteur alors que le véhicule est à l’arrêt, lance à Jodie un de mes plus beaux sourires hypocrites.
« - J’espère que tu n’as pas peur d’abîmer ton brushing. »
Pour ponctuer mes paroles, je lui tends un casque de moto. Voyons voir si elle est du genre à être effrayée par un pareil moyen de transport, prête à prendre un bus bondé pour éviter le vent qui fouette la peau et les vêtements, surtout quand on est en petite tenue.
« - Oh, bien sûr, si ça ne te convient pas, je peux toujours faire demi-tour. Mais une dernière précision : même si tu portes une robe, la moto n’est pas comme le cheval, on n’y monte pas en amazone. Si tu tiens à la vie, évidemment. »
Nouveau sourire. Après tout, je ne vois pas pourquoi elle serait la seule à s'amuser.
▬ Connexion ; Entre 4 et 7 ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK par Dale ▬ Avez vous signé le règlement ; [x]OUI ; [] NON ▬ Célébrité sur l'avatar ; Johnny Depp ▬ Multicompte(s) ; Yep, Leah Davis. Petite baisse d'activité dernièrement pour cause de problèmes personnels, je jure-crache de bien gérer deux personnages x). ▬ Un dernier truc à dire ? ; Un peu hard pour moi, tu vois, j'veux dire y a des soirs, j'me couche, en général vers euh .. six heure du matin, tu vois, et .. j'pense au tiers monde, tout ça. J'arrive pas à m'endormir pendant un quart d'heure, tu vois.
Dernière édition par Samuel L. Grant le Sam 8 Mai - 19:03, édité 11 fois |
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