| Sujet: [EN COURS] nothing someone says before the word but really counts. Ven 22 Fév - 21:59 | |
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Cherchez sur son passeport, vous trouverez le prénom William plutôt que cette contraction en Will. Cependant, le jeune homme n'a jamais réellement apprécié son prénom et préfère le raccourcir. Richardson, nom de famille hérité de son père d'après la tradition civile, est très répandu dans les pays anglophones. Maintenant âgé de vingt sept ans, le jeune homme sert dans les rangs de la police de Manhattan depuis maintenant quatre ans. Homosexuel, il n'expose cependant pas cette information aux yeux du monde, surtout dans son service où les remarques déplacées iraient encore bon train ; il est également en couple depuis un certain temps. Sorte de blanche colombe dans le monde du crime, le jeune homme n'entre pas dans la catégorie des flics ripoux, sans pour autant être de ceux qui refuseraient loyalement de se faire graisser la patte ; disons juste qu'il n'a pas encore eu l'occasion de jouer au héros ou de fermer les yeux sur une enquête. Son casier est donc naturellement vide, si l'on ne compte pas un excès de vitesse commis pendant son adolescence. Adolescence passée sur la côte ouest, monde qu'il semble passer sous silence.
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Screamin' Jay Hawkins - I put a spell on you
Wanna know more ? ▬ La plus grande honte du personnage ;
BLABLA ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
D'un point de vue purement théologique, William ne croit absolument pas en l'enfer. Le grand débat chrétien, savoir si l'enfer est vide, si la miséricorde divine passe outre les crimes, ou si le choix a bel et bien lieu, et que la miséricorde est donnée sous condition, de façon aléatoire. Donc non, le jeune homme ne croit pas qu'un enfer puisse exister. Il ne fait pas non plus parti de ces gens qui balancent la phrase sans sens pour lui du « l'enfer est sur terre ». Will, malgré son boulot de flic, et les horreurs qu'il voit défiler toutes les semaines pense qu'il n'y a pas de grand malheur, toujours saupoudré de petites et grandes joies. Oui, on peut le traiter de doux rêveur, voire d'illuminé aveugle, chose que certains de ses collègues n'hésitent pas à dire en riant. Will pense qu'il y a une sorte d'ordre naturel dans le monde, que les choses suivent une courbe aléatoire, jonglant entre la dualité mal et bien, sans jamais rester coincée d'un côté ou de l'autre, il faut juste accepter les choses comme elles viennent. Il vit pour lui, pour aider les autres également, et dans cette optique, quand on essaye de tendre la main à droite et à gauche, on voit l'espoir, non l'enfer. Au moins, Will vit sans grande crainte, et s'en porte très bien, merci pour lui. ▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Encore une fois, d'un point de vue théologique, le jeune homme est convaincu de l'existence d'un au delà, d'un paradis, en bon chrétien. Il ne se pose même pas la question. D'un point de vue purement matériel, les choses du terrestre, la plus grande joie du personnage serait de mener une vie sans embûches, chose qu'il parvient plus ou moins à faire en ce moment. Son boulot de flic, son appartement dans Manhattan, et sûrement construire une famille. Certes, il n'y a aucune grande originalité à cela, il n'a jamais rêvé d'un avenir des plus brillants, à la lumière des projecteurs, son passé prouve également qu'il n'est pas du genre cupide à courir après l'argent. Il n'a jamais voulu être astronaute -ou peut être quand il était gosse-, star de cinéma ou une connasse de danseuse étoile. Will aime les plaisirs simples, ou mêmes futiles. Les brusques joies, celles du quotidiens. ▬ Point faible du personnage ;
Will a clairement un problème de gestion de sa colère. S'il y a bien une chose qu'il déteste par dessus tout, c'est de se retrouver au pied du mur, totalement incapable et inutile face à une situation qui lui tient à cœur -et comme tout lui tient à cœur rapidement, on est dans la merde-. Alors certes, tout le monde déteste se sentir face à une situation dans laquelle on se trouvera inutile, mais certains arrivent à passer l'éponge, à se détacher. William, lui, reste bloqué sur l'évènement, qui fait souvent grimper l'énervement, la colère. Son plus grand point faible serait donc sa trop grande nervosité, d'autant plus qu'il n'a encore trouvé aucun moyen de la détourner, de catalyseur. ▬ Point fort du personnage ;
Malgré le fait que William pense être l'homme le plus drôle au monde -ce qu'il n'est sûrement pas, mais il se marre à ses propres blagues, c'est déjà ça-, sa plus grande qualité serait sûrement sa capacité d'implication. William n'est pas un homme de demie mesure, il aime s'impliquer au maximum dans ce qu'il entreprend, surtout au niveau de son travail, ce qui fait de lui un bon flic, c'est un fait indéniable. Qualité que l'on pourrait qualifier de défaut également, son implication trop forte le pousse parfois à trop s'attacher. Quand par exemple l'année dernière son partenaire et lui ont du s'occuper d'une femme battue avec deux gosses à charge : William a gardé contact avec elle, demande régulièrement de ses nouvelles. Le point fort de William est donc le fait qu'il soit foncièrement humain. ▬ Casier judiciaire ;
crimes officiels : un excès de vitesse à ses seize ans. crimes officieux : dissimulation d'identité. Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; Raphaëlle. ▬ Âge ; Vingt et un ans. ▬ Où avez-vous connu le forum ; bazzart ▬ Connexion ; 5/7 ▬ Code du règlement ;
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OK par Anja ▬ Avez vous signé le règlement ; []OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Avant toute chose, partez du principe que je ne vous aime pas. Toutes mes paroles, jeux, ont un but bien précis. Chaque connaissance m'ouvre une porte vers une finalité qui vous paraitra vague, ou restera inconnue. De cette voisine vers laquelle je me penche quand elle s'occupe de ses rosiers pour lui indiquer quelques conseils sur ses fleurs, à ce jeune venu récupérer les bacs de pilules colorées et sans odeurs dans mon labo, et me rapporte des milliers chaque mois. Le flou, l'anecdotique n'est qu'une succession de moyens visant un résultat plus grand, visant un essor à but purement égoïste. Flatter l'ego à travers un cheminement méthodique. Il n'est jamais question de hasard, plus d'une fatalité. Immoral aux yeux d'un gouvernement branlant, vivant dans la peur d'un coup d'État, l'histoire à une fin, avance dans une marche chaotique. La science, elle, n'est que progrès. La seule avancée qui vaut le mérite d'être crue. Tout n'est qu'un assemblage chimique : nommer pariât ceux qui démentellent l'ordre fictif pour le faire avancer dans une autre direction est une aberration diplomatique. Mon travail n'est rien d'autre que de la masturbation mentale, jouir de la réussite, souiller ceux qui me sont inférieurs. L'arrivisme est la plus juste des tares. Le consommateur, lié à la paresse commune, le meilleur moyen de faire briller une élite. C'est une destruction créatrice. Des centaines d'imbéciles avalent mes pilules, se justifiant comme ils le peuvent pour soigner leur conscience ; et mes proches se remplissent le jour de leur chute. La formule de Danny était excellente, je l'ai sublimée. La H space devenant, au fil des calculs, plus addictive pour son consommateur. Piège bleu, rose, vert. Qu'importe, le résultat sera le même : une meute de fous, rendus malade d'une addiction à l'amour, la haine la passion, et qui en redemandent en suppliant le vendeur. La mécanique humaine est d'une simplicité absurde. Donner à un homme une porte pour atteindre le bonheur, il s'y engouffre quelqu'un sont les répercutions. Je n'ai pas foi en le genre humain, seulement en l'individualisme.
Dernière gorgée de café avalée, je lance un regard et sourire compatissant à Vivienne, posant doucement ma main sur son poing tremblant. « Il reviendra Vivienne, ce n'est pas la première fois qu'il disparaît. » Un hoquet de tristesse lui échappe, et la quinquagénaire se lève de sa chaise, attrapant les deux tasses vides pour les poser dans l'évier. « Peut être qu'une voiture l'a écrasé. J'ai entendu dire qu'un enfant c'était fait renverser dans Warrell Boulevard. » Léger sourire, je secoue la tête en signe négatif, me redressant à mon tour. « Écoutez, je ferai un nouveau tour dans le quartier ce soir, pour vérifier qu'il n'est pas perdu dans un jardin. » Le papier posé près de l'évier en main, je tapote légèrement sur l'épaule de la femme, agitant ensuite l'imprimé sous ses yeux. « Je vais l'afficher en face. Tenez moi au courant si jamais vous avez des nouvelles. » Le bon voisin. Madame Ginsberg et son histoire d'amour féline à gerber. Plus attachée à Fluffy son siamois, qu'à ses deux lycées de gosses. Pas étonnant que son mari soit parti vivre le grand amour à cent bornes d'ici. Vivienne me remercie, laissant de nouveau échapper un sanglot exagéré quand je passe la porte d'entrée pour traverser son allée. Trottoir d'en face, je colle l'avis de recherche sur un poteau, laissant échapper soupire en jetant un œil à la photographie grand format de l'animal obèse, faute d'une trop grande affection. Regard à ma montre, dans deux heures, je me rends à la pharmacie. Journée passée à rassurer la voisine venue frapper à ma porte en pleurs, et à coller des affiches de recherche dans tout le quartier. Machine arrière, je rentre chez moi, claquant la porte et balançant mes clés sur le meuble du téléphone. Direction la cuisine, je récupère mon paquet de marlboro, en glissant une entre mes lèvres. Briquet venant embraser le bout de la clope, je bascule légèrement la tête vers l'arrière, pour recracher la fumée en direction du plafond. « Par simple mesure de politesse, tu pourrais frapper. » J'avance d'un pas vers al table de la cuisine, pour récupérer mon cendrier, tournant finalement la tête vers Likka. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Paul Wesley ▬ Multicompte(s) ; Non ▬ Un dernier truc à dire ? ; BLABLABLA
Dernière édition par Will Richardson le Sam 23 Fév - 11:15, édité 14 fois |
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| Sujet: Re: [EN COURS] nothing someone says before the word but really counts. Ven 22 Fév - 22:00 | |
▬ Histoire ; (En 1,200 mots minimum, pensez à ce que le caractère de votre personnage ressorte dans le récit, qu'il ne s'agisse pas d'une histoire qui ne nous apprend rien sur la façon d'être actuelle du perso.)
BLABLABLA
Dernière édition par Will Richardson le Sam 23 Fév - 10:29, édité 1 fois |
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Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
| Sujet: Re: [EN COURS] nothing someone says before the word but really counts. Sam 23 Fév - 13:01 | |
Bienvenue ! J'ai validé ton code règlement, bon courage pour ce qu'il te reste à écrire |
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