nom : burton prénom : aanor jesabel surnoms : black angel âge : vingt-deux ans nationalité : américaine groupe: hors la loi statut et activité dans la vie: célibataire & maquerelle de luxe orientation sexuelle: bisexuelle
Dernière édition par Aanor J. Svensson le Sam 22 Aoû - 23:19, édité 2 fois
« c'est à cet instant alors que ce profilait l'heure fatidique, que j'ai réellement cesser de m'ennuyer »
« Encore une journée qui entre dans les rouages de la routine. Encore et toujours. Je suis là, me demandant comment est-ce que tout cela à put arriver en si peu de temps. Je n'est que vingt-trois ans, pourtant j'ai comme l'impression d'avoir vécu déjà toute ma vie. Il me semble qu'elle peut s'arrêter là. Il n'y a rien de plus à dire, rien de plus à faire, je crois. Je ne fais pas parti de ces gens qui écriront un jour leurs autobiographies alors à quoi bon vivre plus longtemps. J'ai pas la prétention de dire que j'ai tout vu et tout fait mais, pourtant ça me semble si approprié à ce moment précis. Aujourd'hui comme tous les autres jours, des gens vont se lever, prendre leurs cafés, ce doucher et partir au boulot. D'autres flemmards resteront vautrés au lit avec l'envie de se rendormir. D'autres encore, feront leurs petits joggings et iront se fendre la gueule au bistrot du coin avec des potes. Et il y a ceux qui comme moi, resterons chez eux tout simplement. Sauf qu'ils ne se pencheront peut t'être pas au-dessus d'une feuille de papier pour écrire, cette idée ne leur effleura probablement pas l'esprit ou au pire, ci-cela arrive, ils opteront pour leurs bel ordinateurs, ne voulant peut t'être pas usé de l'encre, tout ça bien sûr pour se faire passer pour de foutus écolo' à la con. Pathétique. A tous ces abrutis j'ai envie de leur dire que la vie est trop courte pour être ainsi gâché, ils n'ont pas idée de la chance qu'ils ont d'être vivants. Leur dire aussi qu'au lieu de se la couler douce ils devraient témoigner à leurs familles tous l'amour qu'ils ont pour eux, ils devraient aussi écrire à leurs amis qu'ils n'ont pas vus depuis longtemps, ont ne sais pas de quoi sera fait demain. On peut crever à tout instant, je le sais. On vit dans un monde vaste, dur et pleins d'imprévus, il suffit de cligner des yeux pour manquer le moment essentiel. Le moment qui aurait pu tout changer. Profitons. Profitons de pouvoir écouter la splendeur des Stones pendant des heures, le volume mis à fond, quitte à nous en crever les tympans et à en faire chier les voisins. Profitons de pouvoir sniffer de la coque' haut de gamme dans notre studio pourrit, frôlant pour même quelques heures le nirvana. Profitons de tout ce qu'on a pu manquer et qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue. Profitons, car demain est un autre jour. » Mémoire écrite par Aanor J. Burton le 21/08/09
Dernière édition par Aanor J. Svensson le Dim 23 Aoû - 2:07, édité 3 fois
« elle rit à la Mort et nargue la Débauche, ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche, dans ses jeux destructeurs a pourtant respecté, de ce corps ferme et droit la rude majesté. »
« Elle rit à la Mort et nargue la Débauche, ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche, dans ses jeux destructeurs a pourtant respecté, de ce corps ferme et droit la rude majesté. » dis-je sur un ton froid et sec, traduisant mon état d'esprit. Menotté a un radiateur je regardais d'un air sombre mes bourreau. Lui essuyant avec une serviette jaunie le sang sur mon front, elle tordant mes doigts à chaque paroles prononcées. Le chemisier déchirés par les coups qu'on m'avait donné, la respiration lente et haletante, je vivais peut t'être mes derniers instants. Je ne ressentais rien pourtant, si ce n'est un profond dégout pour ceux qui depuis deux bonnes heures s'amusaient à souiller mon corps, tentant de me faire souffrir en vain. Les doigts qu'on m'avait cassés, les brûlures sur mes poignets et mon nez cassé ni ferait rien, je ne souffrais pas, j'avais autre chose en tête. Le frère qui m'avais était confié il y a cinq ans maintenant ainsi que, ...sa perte. A cause d'une bande de fumier l'enfant qui avait était mon sang n'était plus. Rien ne m'atteindrais car je savais qu'il était perdu et rien n'était plus douloureux que ça. « Pas très coopérative la chienne. Bon, tu va nous dire où est Adriel ou bien je te jure que tu va y passé, ma patience à des limites. » Un rire sournois sortit de ma bouche et elle siffla de rage. Son visage s'approcha du mien et sa main rageuse s'empara de mon menton, me forçant à la regarder dans les yeux. Je restais de marbre, repensant au dit Adriel. Adriel, mon aimé et également l'enflure qui m'avais abandonné à mon sort. La pourriture. Malgré cela je ne dirais jamais rien sur son départ, étant donné que moi-même je n'avais aucune idée de l'endroit où il était partit. Bien entendu ces abrutis refusaient de me croire. « Ainsi donc je vais mourir pour avoir dit la vérité une seule fois dans ma vie, quelle injustice ! » soufflais-je avec difficultés, le sang envahissant ma bouche. Ses yeux bleu semblaient vouloir me transpercer le crâne et je ne flanchais pas, lui souriant même par pure provocation. Ses longs ongles pénétrèrent alors ma peau, ne déclenchant que mes frissons. Ses yeux injectés de sang continuait de me fixer, cherchant le moindre signe de faiblesse dans mon regard. Son équipier lui, jeta la serviette maculée de sang plus loin et s'éloigna à grand pas, sans doute peut enclin à la voir mutilé mon visage. Un filet de sang coula à nouveaux, traçant une nouvelle piste rougeâtre dans mon cou. « Fait pas l'innocente je te prie. J'en connais beaucoup qui serait ravie de te voir morte, salope. Tu ne mérite pas de vivre, pas plus que ton enfoiré de fiancé. » Sa main me lâche enfin et pourtant elle ne semble pas décider a me laisser en paix. Ses paroles résonne encore dans ma tête, me donnant presque la migraine. Elle n'a pas totalement tord dans cette histoire, après tout c'est moi qui est saccagé son appart' et voler un peu plus d'un million dans son coffre personnel, normal qu'elle veuille se venger, cependant vouloir tuer mon ancien copain n'est pas une très bonne idée, je me vengerais à mon tour après. De toute façon il allait bien falloir qu'elle paye pour ses actes, non d'un chien cette conne m'avais pétés des doigts ! Y n'y avait pas que ça en plus et je doutais que sa barbarie s'arrête là, ce qui rajoutait d'autres trucs sur la listes des choses que je lui ferais regretté une fois sortie de ce merdier. J'aurais pu lui donner un endroit bidon où aurait put aller Adriel mais, elle m'aurais pas cru, elle n'était certainement pas si bête qu'elle en avait l'air. Je jetais un coup d'œil près de la poche de son jean et elle rit. Un sourire triomphant étira ses lèvres et elle sortit de sa poche l'objet qui m'intéressai : les clefs de mes menottes. Agitant l'objet sous mon nez pour me provoquer, un éclat victorieux apparut dans ses yeux. « Tu veut ça ? Dans ce cas va falloir être plus gentille. » J'eu envie de la frapper et je dois dire que si mes mains avaient étaient libres je lui en aurait collé une bonne. A la place je crachais mon dégout sur son visage. Cela parut l'amuser et elle s'essuya la joue sans ciller. « Charmant. » souffla t-elle tandis que progressivement elle se remettait debout. La pointe de son talon haut rencontra une nouvelle fois mes côtes et cette fois je retiens un cri de douleur. Hazel Beatrix Handson, c'était son nom. Elle était d'origine mexicaine et avait un physique plutôt avantageux: blonde aux yeux clairs avec un corps à la limite du mannequin pro'. C'était une des mes très anciennes amie, ça ne la plus était lorsqu'elle ma surprise avec son petit ami. Il était beau, très riche et malheureux, ma faute ? J'avais simplement voulu être gentille - et surtout lui piquer son fric mais ce n'est qu'un détail -. Elle marchait rageusement, ses talons claquants sur le sol poussiéreux de l'appartement. Je me vidais peu à peu de mon sang avec en tête le seul souvenir des mois où il avait vécu avec moi. Enzo, on l'avait nommé ainsi. Je l'avais perdu un soir où j'avais décidé de sortir au cinéma avec Adriel, une bande de salop nous avaient mis la main dessus. J'avais était battue, laissé pour morte dans une ruelle tandis que lui s'en était aller pour sauver sa peau. Enzo lui avait était tué d'une balle dans la tête, sous mes yeux alors qu'ils m'infligeais les pires douleurs. C'était sa faute à lui, à Adriel, je lui en voulais et l'aimais en même temps. Nos agresseurs ne feraient pas fait long feu, après cinq mois dans le coma je m'étais juré de les retrouvés et de les torturés un par un afin de leurs faire regretter leurs gestes, ils mourront. Tant pis, tant mieux.
Dernière édition par Aanor J. Svensson le Dim 23 Aoû - 2:06, édité 1 fois
Naon, naon, t'as pas besoin de changer de nom ! Svensson est le nom d'un PV, mais y a aucun problème, tu peux le prendre ! =D (Ca amène à une possibilité de lien familial aussi si tu veux x))
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Sujet: « beautiful lie » underco 
Sam 22 Aoû - 1:39
