Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser.
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Sujet: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Mer 22 Avr - 13:41
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Félix d'Horace. Né il y a 33 ans de cela, un doux printemps, dans une province française quelconque débarque enfin à New York où il compte bien oublier le caractère éxécrable de ses confrères européens. Souhaitant se faire oublier, La ville qui ne dort jamais lui semble être le parfait endroit lui qui répugne au sommeil. Hors-la-loi a mi temps, citoyen lambda l'autre temps, il jongle entre noms, apparences et prétendus emplois. Son seul vrai emploi est de s'inviter aux soirées les plus luxueuses afin de cibler ses prochaines victimes. Bourreau, oui, mais bourreau des coeurs. Gentes dames, veillez à vos délicieuses parures qu'elles soient d'or ou de soie. Messieurs, vérifiez vos poches je vous prie, il suffit de se laisser happer par son sourire pour finir détroussé. Mais vous pouvez toujours réclamer poliment, il se peut que par excès de confiance en lui il vous rende vos biens... Si vous lui en proposez une somme généreuse ou arriver à le charmer, à défaut que ce ne soit vous. Elancé avec son mètre 80, plutôt svelte, de fin muscles se dessinent sous ses vêtements de premier choix. Doté de son regard de chrysocales, vif, aiguisé qui semble vous pénétrer sans autorisation. Voilà le réel Félix, loin des postiches, des fausses barbes, des lentilles, du maquillage, de ses innombrables transformations physiques.
Once upon a time...
Histoire
Sur le toit d'un de ces hauts grattes ciel se voulant être toit du monde, connu de tous les amoureux de cinéma ayant retenu sa respiration lorsque les gigantesques mains velues d'un certain gorille, qu'on ne présente plus, se sont crispées autour de la fine taille de Fay Wray, un homme assit à une table élégamment présentée prenait son « breakfast ». Un service irréprochable en porcelaine, quelques fruits à l'allure onctueux et une tasse de café, dont s'échappait une fine fumée témoin de sa température, n'attendaient qu'à être appréciés par un palais habile et expérimenté. Propre sur lui, en costume d'un chic apparent, cet homme brun dans son trois pièces sur mesure tenait dans sa main un livre en apparence tout à fait normal. Blanc, sa première de couverture arborait une large écriture rouge, tout en faisant fi des ajouts purement esthétique, en français. « 10 criminels encore dans la nature ». Voila un autre de ces livres de criminologie qui se vendaient comme des petits pains dans les librairies faisant gouter au lecteur moyen un frisson enivrant, le laissant rêver à être détective. Divers criminels étaient mis à nus dans ce volume qui, pour chacun des cas, suivait exactement le même schéma. Il commençait par une brève biographie puis fureté dangereusement avec une analyse psychologique de l'enfance, se voulant une plaidoirie farfelue justifiant le passage à l'acte de ces marginaux. L'auteur (un certain criminologue et journaliste en vogue ces temps-ci) enchaînait ensuite sur les premiers coups des brigands ou même le seul coup d'éclat connus pour certains avant de conclure avec cynisme et dépit que les forces de l'ordre avaient échoués à son arrestation et qu'ils couraient encore dans la nature, tapis dans l'ombre, libres de recommencer, quand cela leurs chanteraient, leurs terribles méfaits.
Il l'ouvrit tout en arborant sur son visage un sourire narquois, laissant les pages défilées entre son pouce et son autre main. A priori, les différents prédateurs sexuels, tueurs et déséquilibrés présentés dans l'ouvrage ne l'intéressaient pas. Non, il cherchait un chapitre bien spécifique. Il s'arrêta, son oeil porta sur un titre assez tapageur ; « L'agent secret ou le fou qui tua et enterra toute sa famille ». Quelle infamie vraiment, comment pouvait-on faire tant de mal à son sang et sa chair ?Il recommença à faire écouler les pages le long de ses doigts fins jusqu'à stoppé net. Une étincelle de satisfaction jaillit dans ses yeux d'azur. Il porta à ses fines lèvres la tasse de café et en avala avec rapidité deux gorgées qui ne manquèrent pas de lui bruler légèrement le palais et la langue. Il tira ensuite de son veston bleu nuit un étui de cigarette argenté et porta à sa bouche une longue cigarette blanche sur laquelle on pouvait lire, estampillé d'une agréable typographie, elle même argentée, « Davidoff ». Il l'alluma sereinement, profita de quelques bouchées tout en parcourant de ses yeux avides le contenu du livre :
« Félix d'Horace, du vol à la prestidigitation... Au vol. »
Il allait continuer sa lecture mais une serveuse l'interrompit :
« Souhaitez vous un accompagnement Monsieur Bermond ? », dans un français plus que correcte
Levant ses yeux clairs sur la jeune fille brune aux joues rose, il lui sourit et répondit dans un parfait anglais que non, il avait tout dont il avait besoin, avant de la congédier en reposant ses yeux sur ce livre qui commençait vraiment à se faire désirer.
« Félix d'Horace est né en 1983 à Blois, d'une mère issue d'une ancienne famille d'aristocrates, mais déshéritée, et d'un père athlète d'une famille populaire. Le ménage ne dura pas longtemps, son père, Théodore, fut arrêté après divers vols alors que l'enfant n'était encore que nourrisson. Se sentant déshonorée, sa mère, divorça de son mari avant d'aller s'installer chez de proches parents, riches, tenanciers d'hôtels dans lesquelles elle exerça le métier de femme de chambre. Je tiens ces informations de ce même oncle, à qui Félix avouera derrière un de ses nombreux déguisement son malicieux forfait. Alors qu'il n'était âgé que de 8 ans et à fortiori dans une ambition de vengeance, il subtilisa à la famille -et d'une manière très ingénieuse- une parure d'une valeur inestimable tant par sa beauté que par sa valeur historique. La mère, malade à ce moment des faits, fut bien entendu suspectée, mais jamais confondue et renvoyé. Elle s'installa dans un village normand oû elle finit paisiblement sa vie grâce «aux dons» d'un mystérieux individu. Son fils lui, la quitta à l'âge de 12 ans. Ce premier succès criminel lui donna surement gout à la manipulation et au vol. En attendant, le capital que lui procura ce premier vol lui permit sans nuls doutes d'emprunter la voie qu'il lui plut. Il s'engagea auprès d'un magicien, illusionniste et pickpocket de scène bien connu -dont la demande de taire son nom sera respectée- et hérita de son maître bien des atouts. Très habile et ingénieux, il plut par sa discipline et sa vorace envie d'apprendre ne se laissant jamais aller à l'échec. Féru de films d'art martiaux, il jeta son dévolu sur l'Ai-ki-do et continua à pratiquer durant de nombreuses années. Il le quitta à 19 ans avec bien des cartes dans sa manche.
On retrouve Félix, presque-homme, à Paris. Là, il se fait arrêter plusieurs fois pour exercices interdit du Bonneteau sur la voie publique, vite relâché n'étant qu'un simple petit escroc. Son habileté lui permit en tout cas de faire main basse sur une belle somme, fomentant en secret ses futurs méfaits. Tout en détroussant riches touristes et bourgeois, faisant les poches avec dextérité, détroussant bijoux, montres, chèques, portefeuilles sans ne laisser trace, il s'exerce aux faux et usage de faux afin de se parfaire dans les escroqueries. Armé de faux diplômes et pièce d'identité il exerce durant 3 ans, à mi temps, un poste d'assistant à l'hopital du Sacré-Coeur, auprès du Docteur Mauter, dermatologue de son service. Ce qu'il apprendra lui servira grandement par la suite. Il enchaîne par la suite divers stages de maquilleur professionnel finissant par maitriser à la perfection le postiche... C'est par la suite que Félix deviendra le Félix qui a tant mouvementé l'Europe, en particulier la France.
Son premier gros coup est le cambriolage du coffre-fort d'un riche baron vivant en périphérie de la capitale. Après s'être employé à attirer les bonnes grâces de ce dernier par divers manipulations, il se fait engager comme homme de main et vécu parmi ses murs durant six mois, sous une fausse identité. Dormant dans la chambre située parfaitement au dessus du bureau du concerné, il troua discrètement le parquet afin de l'observer jour après jour, connaitre l'emplacement du coffre ainsi que son code. Il le détroussa de 80 fois mille euros avant de disparaitre comme il était apparu. De là, il s'imposa dans le monde très fermé du «haut-vol» avec ce charme et cette candeur qui lui était propre mais avec cette apparence qui changeait à chaque fois. Charmant comtesses, riches entrepreneur, avant de les détrousser avec autant d'aplomb, de culot que de finesse. Un voleur mystérieux se mit vite à défrayer la chronique reconnaissable à chaque fois par sa courtoisie et son coté «gentleman». Adulé par une partie de la plèbe, détesté par une autre, jouasse et bon enfant, Félix prit grand soin à provoquer, jouer et amuser magistrats et policiers. Sauf que même les meilleurs échouent, il se fit arrêter a 25 ans. Reconnu coupable de nombreux vols, cambriolage, recels, usurpation d'identités, faux et usages de faux ... Il fut condamné à six ans de prison devant un pelotons de juges écrasé par la presse et leurs railleries.
Ce fut sa première évasion. Il s'échappa de la prison de la Santé par un tour de maître que seul lui connait et comme il me confia à l'occasion d'une de notre que trop courtes entrevues « Aucuns verrous, aucun barreaux ni aucunes serrures ne peut résister à qui souhaite s'échapper». Maître de l'évasion et de la persuasion, une simple cellule n'aurait pu l'arrêter. De plus, l'enquête longue de dizaine d'années prouvera que contrairement à l'image du voleur solitaire qu'on s'était précipité de lui attribuer, Félix avait créé un réseau de connaissances et de partisans large, pouvant compter sur de nombreux soutiens. Effectivement très généreux, coursiers, greffiers, coiffeur, tenancier de bars, voyous, receleurs, femmes de joies, et personne lambda, tous semblaient l'apprécier au point de ne pouvoir refuser de prendre des risques à son égard. Il avait l'habitude de prendre part à de nombreuses expéditions et voyage, d'envoyer des cartes postales de ses nombreuses traversées à ses «ennemis». En Asie à chasser le tigre, en Amérique latine, en Afrique du Nord et dans tant d'autres contrées. Vite la fièvre prit le peuple, le signalant ici et là. En réalité, tout cela était vain. Félix n'apparaissait jamais sous la même forme. Parfois blond, parfois brun, parfois gros, parfois maigre. Parfois même boiteux ! Les apparences n'étaient que déguisement pour lui et les vols d'antiquités et d'oeuvres rares sont encore signalés ici et la, tous sont attribués à ce mystérieux personnage insaisissable -ou presque-, postant parfois de belles lettres aux journaux les plus populaires du pays. Encore une fois, coup d'éclat, il se fait arrêter à Varsovie, mais s'échappe du panier à salades lors d'un transfert. Il est repéré sur un ferry en pleine méditerranée, disparait dans le flot de vagues, ré apparait en Libye, côtoyant soirée mondaine et gratin aristocrates. Vraiment quel personnage surréaliste. Après de nombreux déboires avec les forces de l'ordre de nombreux pays, ayant une vingtaine de mandats d'arrêt à son nom (et surement le double sous ses prêtes noms), un jour tout s'arrêta. Je ne pourrais raconter la vie de ce brillant voleur qui a fait un point d'honneur à ne jamais user de violences. Victimes de ses vols, kidnapping ou même secrètement retenus jusqu'à rançon par de nombreux membres de ce qu'on appella «sa bande» (en réalité de simple partisans recrutés ici et là au gré des opportunités), tous témoignent d'une courtoisie, d'une finesse et d'une attention toute particulière à ce que ses victimes ne subissent aucun mal ni désagrément.
Aujourd’hui, Félix a disparu, vivant surement une retraite paisible avec la fortune amassé au gré de ses aventures. La narration de sa vie nécessiterait un ouvrage pour lui seul, mais quel travail cela devrait être. Au final, il ne laisse qu’un gout amer dans la bouche des détectives professionnel ou amateur, semblant etre une chimère, ne cherchant ni gloire ni fortune, simplement une vie trépidante avec la joie de vivre et la candeur d’un enfant.
Félix est aujourd’hui encore et toujours dans la nature, libre de continuer ses méfaits...»
L'homme referma le livre et porta à ses lèvres la tasse de café. Il humecta à peine le liquide noirâtre de ses papilles qu'il fit une amère grimace. Le café était devenu froid, imbuvable. Il reposa la tasse et sourit :
- «C'est qu'il s'est renseigné le vautour... Qu'il est loin de la vérité !»
Il parla à voix haute, pensant pourtant qu'il chuchotait dans son esprit. Il glissa sa main dans sa poche intérieur et enleva un portefeuille en cuir d'où il sortit un billet qu'il plaça sous le verre et se leva en direction de la sortie, satisfait de sa lecture.
- « Au plaisir de vous revoir Monsieur Bermond.»
Un sourire chaleureux, un mouvement de tête, puis l'homme disparut entre les deux portes métalliques de l'ascenseur qui descendait au rez de chaussé de cet immense bâtisse.
------------------- DERRIERE LE RIDEAU -------------------
La vie de pickpocket est plus simple que vous ne l'imaginez. N'importe quel voleur avec un tant soit peu d'entrainement peut couvrir des jours tranquilles, seulement, la différence se fait dans l'originalité déployée dans un véritable travail à temps plein. En ces termes la, Félix se distingua bien rapidement. Pendant que les autres se battaient pour une place afin d'y installer leur stand d'attrapes-nigauds, lui vadrouillait seul entre restaurants et bars, s'amusant à zyeuter les codes confidentiel au moment du paiement ou du retrait, puis subtilisait la carte par de malins procédés a leurs détenteurs avant de retirer le plafond possible et de finir la carte dans les boutiques. Revendant, gardant pour lui, il s'est vite fait un petit nom grâce à la revente de maroquineries de luxe. Souhaitant rapidement passer a de plus gros bénéfices moins le risque, il se pencha sur les escroqueries. Doué dans le façonnage de faux document, il se heurta rapidement face à la difficulté de tromper les professionnels du monde bancaire.N'abandonnant pas si facilement, c'est par l'intermédiaire d'une autre victime qu'il affûtera son procédé. Charmant la responsable comptable de la société Soguesti, il la persuada d'etre intéressé par un travail au sein de la dite entreprise, faisant lui-même des études en comptabilité. Petit à petit, se faisant accepter dans l'entourage de la dame, il lui subtilisa divers informations nécessaire à la fabrication de cheques de banque certifiés, avant d'orchestrer avec sa bande, le terrible cambriolage des locaux de la boite subtilisant ainsi plusieurs kilos de papiers et une imprimante. De là, la fabrication de faux-cheques sonnant vrai devint un véritable fléau en France. Petite fripouille sans envergures devenait de plus en plus importante dans le décor francophone. Multipliant délestage et travaillant à la confection de faux papiers, sa réussite dans ce domaine particulier ne cache aucun mystère. D'ailleurs, c'est ce modus operandi qu'il répétera tout au long de sa carrière. Se faisant une place grâce une fausse identité auprès de personnes susceptibles de l'informer, patient et sûr de ses multiples appuis administratifs tels les diplômes, bien que faux, et ses noms d'emprunts ainsi que ses nombreux associés prêt à l'affranchir ici et là en fonction des nouvelles opportunités. S'illustrant vite comme étant quelqu'un de sérieux et talentueux malgré son coté volage, bien des receleurs se disputeront sa dextérité. C'est de cette manière que le premier vol d'art eu lieu. Un certain Monsieur Guy, bien connu du milieu lui offrit son premier gros contrat et la réussite scella un avenir rentable pour eux. Un château sans grande sécurité à détrousser de son magnifique mobilier digne du siècle des lumières. C'est souvent par quelques astuces et revers de fortunes similaires que ce dernier laissera vide apparent chez ces fortunés héritiers.
Fomentant durant de longs mois, de reconnaissance d'abord ainsi que "d'insertion" dans le paysage des victimes, il mettait sur pied un plan occupant les futurs victimes ailleurs, après avoir prit connaissance des divers sécurités du domicile. Patient tel un loup, jonglant avec aisance entre ses diverses identités, il arrivait souvent que Félix joue quatre ou cinq personnages différent par semaine afin de s'installer délicatement à plusieurs endroit en même temps. Il lui arrivait parfois d'user de fausses alertes administrative pour pousser les propriétaires à déserter les lieux, en fonction de ce qu'il apprenait. Effrayant par de fausses lettres du Fisc, des policiers, ou même d'un pseudo-décès dans la famille annoncé par un -inexistant- notaire qui devait régler un héritage, il laissait désert les murs ciblés avant de tranquillement les vider avec son équipe.
Pour les musées, rien de bien glorieux. Visant d'abord les petits musées de province sans grande sécurité, il réussissait a faire engager un complice ou parfois même lui meme entre les murs de la bâtisse afin de conclure le repérage. Se faisant ainsi inviter tel le prédateur dans la bergerie, il emportait avec lui peintures et statues digne d’intérêt. Ce fut le cas pour de nombreux vols notamment en France. A l’étranger, contrairement à ce que la logique aurait pu penser, le personnel était souvent bien plus crédible. Se déguisant parfois en célèbre historien, archéologue, usant de faux papier au noms de différents musées pour "emprunter" une oeuvre bien spéciale en vue d'une prochaine exposition, Félix mit en mal l'administration des musées concernés. Son expertise en serrurerie obtenus durant ses années d’illusionniste qu'il ne cessa d'améliorer fit branle-bas des dernières sécurités pouvant être rencontrés.
Par pur gout du jeu, il lui ai souvent arrivé de voler un riche dignitaire avant de lui proposer le rachat de ses biens. L'orgeuil aristocrate oblige, plutot que de laissé le scandale faire bruit, bien des victimes ont préférés se rapproprier discrètement ce dont ils fut gracieusement allégés.
Profitant de la corruption et de la réputation de son nom grandissant, Félix fit en sorte de créer un réseau d'informations et de soutien plutôt conséquent, lui permettant ainsi de garder en permanence, ou presque, un coup d'avance sur les autorités et toujours un filon riche... en monnaie sonnante et trébuchante bien entendu.
Usant sans cesse de ses charmes, d'une maléfique ingéniosité et d'un brin de magie, chacun de ses coups laisse aux premières constatations un gout d'incompréhension. En réalité, à chaque fois que l'enquete le permit, la démystification des évènements parut enfantine. Plutôt que d'user d'explosifs pour forcer distributeurs de billets ou coffres comme ses confrères, Félix se servait de pinces hydraulique. Plutôt que de "voler" des passeports de personne lui ressemblant, il congelait les papiers afin de geler l'encre et relever délicatement le fil protecteur pour modifier textes et photo. Toujours au courant des derniers bijoux technologique en liaison avec son domaine, son arsenal se compose d'objets encore que trop méconnu par le grand public se croyant en sécurité derrière leurs grands murs de granit. Set de crochetage, Bump gun, brouilleurs pour les alarmes sans fils, ou même mousse expansive pour les sonneurs désuets qui courent encore les maisonnettes. Encre iridescente, papier filigrané, tampons administratifs subtilisés, gaufreur personnalisé... Il semble qu'à chaque problème Félix semble détenir une solution.
Ainsi, Félix se caractérise par un besoin de vie trépidante, cherchant sans cesse à jouer avec le frisson enivrant dont il dépend. Beaucoup de logique, un peu de charme, un zeste de mystère, un littéraire ne parlant seulement la langue du chiffre et voici pour vous d'Horace en chair et en os. Une rose dans le creux d'une main de velours pour ravir vos yeux, une autre, de main, s'invitant dans vos plus précieux coffrets pour l'amour de l'or.
Il semble que rien d'autre que le jeu et l’appât du gain ne motive notre bonhomme. Peut-être, cette fuite en avant, lui permettra d’espérer à de nouveaux horizons ou mettra, une bonne fois pour toute, fin à la folle cavale du gentleman cambrioleur.
Wanna know more ?
Définition de l'enfer pour le personnage
(En 50 mots minimum - Ce qu'il craint le plus, son pire cauchemar, l'horreur pour lui.)
L'enfer. La Géhenne. Feu destructeur et purificateur. Non, si Félix devait s'exercer à imaginer l'enfer, il ne verrait ni diablotins, ni feu, ni étang de sang et tables de tortures. Il n'y verrait que des murs, froids, des chaînes, des menottes, ou autres accessoires permettant d'obstruer mouvement. Pis encore ! Médicaments, camisoles chimique. Tout ce qui pourrait le priver de sa grande imagination, de sa réflexion, des méandres insaisissables de son esprit. Oui, l'enfer porte un nom bien différent que celui qu'enseigne la Bible. Une autre crainte est de perdre son indépendance, sa joie de vivre, son bon gout, tout cela disparaissant simplement par une lame furetant entre ses vertèbres, le laissant paraplégique. Oui, l'inactivité physique et mentale est sa plus grande crainte. Son Enfer, son Purgatoire. Plutot le néant donc, que de payer quelconque péchés.
Définition du paradis pour le personnage
Vous avez dit paradis ? Mais le voilà, le paradis ! Non ? Avec tout le respect que j'ai pour votre personne, je maintiens que vous vous trompez. C'est ici le paradis. N'est-ce pas le paradis lorsque le soleil vous caresse la nuque, que vous sentez bon l'eau de toilette (bon gout et non pas bon marché), que vous sirotez une pina colada tout en épluchant un livre de Dostoiesky (Crimes et châtiments de préférence). Le paradis, c'est ce frisson qui parcoure vos muscles tendus tandis que vos yeux écarquillés tentent de faire fi de toute l'adrénaline qui vous happe lorsque votre main leste la poche d'un bourgeois de sa liasse garnie et qu'il part en vous remerciant. Le frisson de l'envieux qui obtient l'objet de ses convoitises, de ses nuits grisées de réflexion. Oui, le voilà le paradis, le vrai. L'enivrement de la vie, de la joie. Le sentiment palpable d'existence.
Point faible du personnage
Aah les femmes ! Quelle création ! Quelle faiblesse, quel péché ! Il ne peut se résoudre à aller contre l'envie d'une belle dame aux yeux de biche. La froissée ? Plutôt SE froisser soit même et plus d'une fois. En apparence très sur de soi, Félix fait des pieds et des mains pour toujours tenir cette position de vainqueur, d'homme que rien ne peut écraser. Ce n'est qu'un reflet biaisé de la réalité. L'homme survit par un paradoxe peu commun. Prenant soin de ne jamais rien laisser au hasard, ni son apparence ni ses paroles, il vit de l'image truquée qu'il s'est fabriqué. Il est qui il interprète, se laissant facilement tomber dans les abysses de l'inconnu qui sommeil en lui, c'est sa face sombre. Tant qu'il est ce qu'il semble être, il maintient le controle. Loin des déguisements, des apparences fantasmatiques qu'on lui attribue il perd pied dans un gouffre sans fond de questions existentielles censés trouver réponse à l'adolescence. Enlevez lui ses armes et vous le trouverez tel un enfant un peu trop rêveur, livré aux ténèbres de l'inconnu, sacrifié à un monde trop réel dans lequel la mystification qui l'a mené si haut causera, probablement, sa chute.
Point fort du personnage
S'il y a bien une arme dont Félix ne doute pas, c'est son esprit. Machiavélique à souhait, doté d'une imagination débordante, il n'a confiance qu'en lui et en lui seul. Joueur d'échecs invétéré, comme sur plateau, il fait en sorte de prévoir chaque issus, chaque coup, chaque placement, imaginant largement sa vie comme un large plateau du dit jeu. Son esprit est son arme, une lame affuté, aiguisée à l'excès, la rendant pénétrante, glaciale lors de son exercice et pourtant décorée avec tant de juvénilité ! Intrépide et joueur, voila le fin mot, le point d'orgue de cette courte description, voila l'ennemi et l'ami, voila Félix d'Horace.
La plus grande honte du personnage
Malgré les apparences, qui par définition ne sont qu'apparences, a honte de son état. Honte de n'être qu'un voleur (rappelons que sa mere a haï son pere pour ce fait), de prendre aux autres avouant a demi mot qu'il est incapable de lui-même bâtir, construire. Cette même honte le pousse à ne jamais se présenter en tant que tel, s'inventant personnages, vies, passés, spécialités. Bien que son nom est devenu un passe-droit dans le gouffre criminel qui à avalé ce monde, il se garde bien de le révéler. Cette honte est poussée par une autre vilénie, un autre poids qu'il traine à ses pieds tels des chaînes voulant l'entrainer dans le fond. La perte de qui il est. A force de jouer des personnages, son lui, son loup intérieur (Kassdédi a Hermann), se meurt, ne trouvant vie et but que dans la vie d'être crées, de personnage fictif. Tel un adolescent en manque d'existence. La réalité, il l'a fuit déjà bien jeune et ce qui était auparavant un simple exercice de survie est devenu une mauvaise, très mauvaise habitude. La clandestinité à finit par écraser comme de la mauvaise herbe ses restes d'existence réel. Félix a disparu, l'autre Félix continue de vivre, traqué, fuyant sa réalité, se cachant derrière ses reves, exterminant les bribes de lucidité qui pouvait lui rester. Et qu'il s'en garde de parler en ces termes ! Livré à soi même dans un tel monde, une preuve de faiblesse, une faille, un grain aussi sableux que celui la peut foutre en l'air toute la machine. Heureusement l'homme a inventé la boisson. Que Dieu bénisse l'Ambroise et la vodka !
Casier judiciaire
* Cambriolage du coffre-fort du comte Ibert * Vol d'un Crédit Lyonnais à Paris * Cambriolage du chateau d'Armesnil, du Marquis, du Chateau de Volnic [...] * Vol de nombreuses peintures flammande du XVI e siècle au musée de Baden-Baden (dont La Princesse Sybille de Clèves), du musée de Lucernes [...] pour un total de 239 oeuvres subtilisés * Faux, usage de faux, usurpation d'identité * Emission de faux cheques, faux billets * Association de malfaiteur * Vol en bande organisé * Recel et vente d'objets volés * Kidnapping, sequestrations * Evasion a 3 reprises de maison d’arret. Lusnes, la Santé et de Varsovie. C’est subtilisé de nombreuses fois des forces de l’ordre, complice de deux évasions dont une d’un présumé complice à l’Ile de Ré [...]
Note : Aucun sang n’a jamais été versé.
Behind the screen...
Prénom ou pseudo Bgdu315975 Âge 22 ans Où avez-vous connu le forum Un top RP Connexion(Mettez-vous une note sur 7) 4/7 Code du règlement
Spoiler:
Bon par Harleen
Exemple de RP
Spoiler:
Allongé dans une modeste chambre de repos, loué pour quelques pièces il y a quelques jours, dans la capitale d'E., O., à moitié nu, regardait le plafond rêveur. On dit qu'il est bénéfique pour l'âme de se projeter et regarder le trajet accomplit, afin de savoir ce qu'il nous restait à faire... En réalité, O. n'avait plus d'idées. Dans un Japon en paix à demi mot, ou le prolétariat n'a d'interet que pour ses cultures et ses divertissements, et les praticiens qu'a leurs divertissements et leur guerres intestines d'influence, en cette période, à quoi pouvait bien servir un guerrier ? Il y a quelques années encore, la peur de la guerre était encore présente... Aujourd'hui, il semble n'en restait qu'un lointain souvenir et quelques craintes docilement murmurés dans la cour des nobles, pour savoir qui d'entre eux profitera de tel ou tel projet. Il semblerait que les semblables d'O. ne soient devenus que de simples décorations que les aristocrates secoués et affichés lorsque la peur d'une atteinte à leur sérénité se faisait sentir. En une telle période, à quoi pouvait bien servir O., pour qui seul le devoir de la lame importait ? Enfant, son seul but était de dépasser son défunt père et de suivre le code qu'il lui enseigna. Enfin accompli, à quoi pouvait bien lui servir sa lame ? Au final, les sacrifices endurés valaient-ils le coup ? Tout cela sera bientôt clair. Il sera bientôt fixé sur la nécessité de continuer sa vie ou bien y mettre un terme avant de sombrer dans la complaisance et la suffisance d'une vie de paysan dictée par des personnes ayant plus d'intêrets pour leurs bourses que pour leur honneur. Aujourd'hui, O. rencontrerait sa dame, celle la même qu'il servit à travers ses divers officiers avec loyauté, infailliblement et aveuglément. Si la rencontre d'aujourd'hui suffisait à redonner espoir à ce guerrier ayant perdu de vu son but, peut-être qu'alors il trouvera la force de se relever, malgré l'hypocrisie écrasante qui l'entourait depuis tant années.
Il se redressa, fatigué de subir jour après jour de telles pensées en se rappelant qu'il devait se préparer. Ne dérogeant pas à la règle, il se dirigea vers la bassine d'eau mise à sa disposition par le maître des lieux pour se nettoyer. L'eau, devenu froide après avoir reposée ainsi toute la nuit ici, le fit tressallir et le réveilla une bonne fois pour toutes. Il commença par ses mains, son visage et ses cheveux, avant de mouiller un tissu pour se nettoyer le reste de son corps. Une fois sec, il se dirigea vers les vêtements déjà choisis pour l'évènement et conservés avec soin. Il enfila un hakama, noir, ainsi qu'un haori de la même couleur, les deux étant fait de soie. En prenant garde à ne rien froisser, garder la coupe droite, répondant à chaques formalités que demande l'habillement, O. passa rapidement à sa coiffure. Ses longs cheveux, pouvant dans le sommeil s'emmêler, il ne pouvait se permettre de se présenter dehors et à la portée de la mort, sans n’ avoir fait passer un peigne dans sa chevelure. Il se coiffa, tira ses cheveux en arrière, noua comme à son habitude sa tresse avec un ruban de soie vert à l'effigie de son clan et était fin prêt à partir. Il prit son sabre, le mit à sa ceinture, se chaussa et quitta la chambre en direction de la salle principale de la petite auberge. Arrivé là, après quelques salutations formels, il demanda du thé et des Dangos. Bien qu'aujourd'hui le guerrier né dans les montagnes rencontrait une daimyo, il ne pouvait s'empêcher de grignoter quelques sucreries en chemin. Il dégusta le tout, paya son hôte et le remercia avec une inclinaison pour sa chaleureuse hospitalité des derniers jours. Il quitta définitivement l'auberge en direction du palais de Sa dame, le coeur serré et pourtant joyeux. Peut être avait il peur d'être déçu par ce chef, qu'il avait finalement beaucoup trop idéalisé, malgré son jeune âge.
Arrivé à l'entrée du château, les gardes le laissèrent passer après l'avoir interrogé sur son identité. Ayant traversé le pont qui menait à Sa dame, il admirait la vue et l'esthétisme des lieux. Etait-cela, une cour de noble ? Lui qui avait passé son enfance et sa jeunesse entre les jours de jeunes par manque de nourriture et les provisions peu garnies par les militaires ? Ce n'était pas étonnant, que l'aristocratie soit aussi oisive. S'appuyant sur le pont pour regarder l'eau claire et brillante, tel un feu d'artifice en pleine journée, grâce au reflet du soleil niché dans le cours de l'eau, il sourit. Au final, vivre près de tels beautés ne pouvait être reprocher à personne. Il fouilla dans sa poche et en ressortit quelques clous de girofles, glissé pour l'occasion à l'intérieur, pour ne pas avoir une haleine dérangeante face à elle. Il les croqua lentement en admirant le paysage si fidèle à cette terre qui l'a vu naître et se dirigea vers l'entrée.
On l'accueillit chaleureusement, il en fit de même sans pourtant laisser mot s'échapper d'entre ses lèvres. On lui demanda poliment de confier son arme, ce qu'il fit aussitôt mais à contre coeur. Là, une armée de conseiller et de proches de la cour se ruèrent sur lui, le dirigeant à travers les longs et magnifiques couloirs de la grande demeure. On l'assaillit de propos sur la tenue qu'il devrait avoir devant celle qu'il était venu voir, des règles de politesse à respecter, des multiples formes de retenues et d'affabilités à avoir devant elle. Il n'écoutait même pas, obnubilé par ce qu'il allait voir. En réalité, il n'avait jamais vu cette dame qui pourtant dirigeait sa contrée. Il n'avait jamais prit le temps de participer à une parade ou un festival ou l'on pouvait avoir l'honneur d'apercevoir Sa majesté, trop occupé à parfaire ses arts et ses lettres ou encore le maniement de son sabre.
Finalement on le fit s'assoir dans une salle décorée par de multiples blasons. Sa dame le rejoindrait ici pour le voir et soit le convier à sa protection, soit le renvoyer d'un simple regard d'où il vient. Et pourtant, O. ne ressentait aucun stress, simplement la peur de réaliser, qu'il avait tant de fois lever son sabre pour une personne qui ne le méritait peut être pas. Le moment de vérité approchait. Assit comme il est de coutume face au siège ou prendrait place E. S., il l'attendait patiemment.
Et on l'annonça :
- " Sa vénérable Dame, chef du clan E. "
Sans se faire attendre, il se prosterna en posant son front sur le sol d’ebène et entendit de légers pas traverser la salle..
(Laissé en état, j'ai pas prit la peine de corriger, remontant à quelques années déjà -keletempspassviteuh-) Célébrité sur l'avatar Jackson Rathbone Multicompte(s) // Un dernier truc à dire ? Je leve mon verre à Maurice LeBlanc et à Breitwieser !
Dernière édition par Félix D'Horace le Sam 25 Avr - 4:18, édité 5 fois
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Mer 22 Avr - 15:07
Amuse-toi bien parmi nous et au plaisir peut-être.
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Mer 22 Avr - 15:12
Et officiellement bienvenue à New York jeune homme ! Interdiction de t'approcher de ma villa ^^
Bon jeu !
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Mer 22 Avr - 15:59
@Igor : Merci, j'ai moi même prit la peine de lire quelques un de tes post, je te retourne le compliment tovarisht.
@Anja : Merci à toi. Heureusement, j'ai toujours droit de m'approcher de toi, m'voyez.
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Mer 22 Avr - 17:47
Je te souhaite la bienvenue, de manière plus officielle cette fois.
J'ai édité ton code de règlement, il est bon.
Est-ce que ta fiche est terminée? (Histoire que je m'occupe de toi comme il se doit )
Sinon, penses bien à éditer et remplir ta feuille personnage. Ca ira plus vite pour la validation de cette façon. =)
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Mer 22 Avr - 18:43
Fiche de personnage faite. Manque-t-il quelque chose d'autre, Harleen ?
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Mer 22 Avr - 19:35
Je vais lire ta fiche et je te dis ça!
EDIT: Très jolie fiche néanmoins, il y a bien un petit truc qui me chagrine. Tu racontes son histoire par le biais d'un livre. Seulement à la fin ton personnage laisse entendre que ce n'est pas la exactement la vérité. Du coup, ma question est : est-ce que l'histoire est la bonne? Parce que nous aurions besoin de connaitre sa vie et pas uniquement ce qu'en dit un spécialiste. On veut la vérité, la véritable histoire de monsieur D'Horace.
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Mer 22 Avr - 20:15
La plus grosse particularité de Félix c'est sa manie à tout mystifier, même ce qui n'a pas lieu d'etre. Une pathologie récurrente des prestidigitateur j'imagine. Je dirais que, c'est comme pour les médias, une majeure partie est vrai mais des raccourcis sont facilement usés laissant un vide à remplir. Ce vide se remplira par le Rp. Si j'enleve cette face mysterieuse, y a plus de Félix waiish
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Jeu 23 Avr - 1:01
Ne t'approche pas non plus, c'est pas mon argent, mais un héritage
Bienvenue sur le forum et bonne validation !
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Jeu 23 Avr - 1:02
Me revoilà.
Je comprend ton point de vue pour le côté mystérieux. Néanmoins, nous avons besoin de mieux connaître ton personnage. Pour le moment, ta fiche ne donne pas vraiment d'indications sur qui il est, comment il travail etc...
Du coup, nous souhaiterions des précisions pour nous assurer que le personnage reste logique. Il fait beaucoup de vols, beaucoup d'arnaques et finalement, on a l'impression que ça tombe un peu du ciel. Je ne doute pas que ton idée est construite et c'est pour ça qu'on se permet de te réclamer des précisions. Peut être peux-tu rajouter des réactions de ton personnage sur ce qu'il lit, qu'il se rappelle comment les choses ont réellement eut lieux etc... Une part de mystère est possible, cependant, ça fait un peu trop pour le moment.
Courage à toi, tu y es presque! \o/
Erika Stojanović
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Jeu 23 Avr - 7:45
Je te souhaite la bienvenue monsieur le voleur de haut vol
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Jeu 23 Avr - 18:21
Bienvenue !
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Sujet: Re: Félix d'Horace, pour vous trousser ou vous détrousser. Sam 25 Avr - 4:15
Rajout d'une partie, plus explicative, de l'histoire de Félix. "Derrière le rideau" afin de le faire légèrement tomber. Y a moins de magie, mais j'espère qu'Harleen sera satisfaite.