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| | I'll be there || Devon Summers {U.C} | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: I'll be there || Devon Summers {U.C} Sam 25 Avr - 14:52 | |
Petite information vite-fait : je me suis permise de modifier la présentation par défaut de la fiche, j'espère que ça ne dérangera pas (:. Toutes les informations demandées seront indiquées en revanche, pas de souci la dessus ! Devon Kiah Summers Qui suis-je ? Je suis le diable incarné. Je suis l’ombre de cette cité. Je suis l’être qui vous réduira tous en cendre. Lorsqu’un nouveau jour se lève, pauvres inconscients, c’est une nouvelle nuit qui va s’abattre sur votre crâne. Vous me direz sans doute : mais qui est ce garçon pour pouvoir affirmer de telles monstruosités ? Cela n’est pas bien difficile à deviner… Imprégnez-vous de mon identité, car, messieurs-dames, croyez-moi, vous en entendrez bientôt parler.
On m’a autrefois donné le nom de ‘Devon’. ‘Devon Kiah Summers’ pour être plus précis. Ma chère mère aura sans doute voulu rendre hommage à mon ordure de père en me nommant ainsi. Mais enfin… Quoiqu’il en soit, aujourd’hui, je me présente à vous. 22 ans ornent mon existence de jeune Américain. D’origines Anglaises et Françaises, on reconnaît sans trop de difficulté dans quelle classe de personnes je me situe. Et ce, depuis mon plus jeune âge mes chers amis. Tueur à gage, voleur, je me livre au service de quelques belles âmes afin d’effectuer un travail correct et par-dessus tout appliqué. Plus connu dans ce pays sous le nom de ‘hors la loi’, je me cache dans l’ombre et effectue mes péchés sous ma couverture d’étudiant en médecine. Si l’on devait alors résumer mes quelques principaux traits d’identité, je suppose que l’on pourrait sans trop de difficulté en dresser une liste.
Américain – 22 ans – Hors la loi – Tueur à gage – Étudiant en médecine – Hétérosexuel
« The Whole Wide World Is Mine »
~ Prénom/Pseudo : Kiah :p. ~ Age : 16 ballais. ~ Votre avis sur New York, The Dark Side : HaHa je l'aime (L). ~ Où avez-vous connu le forum ? Partenariat. ~ Niveau de RP : En comptant par pages sur word, je dirais 2 pages en moyenne. 3 à 4 lorsque je suis vraiment inspirée. ~ Exemple de RP : - Spoiler:
Le soleil se couchait avec une lenteur infinie au loin. Déposant quelque voile sombre sur la grande ville. New York. Quelques étoiles tâchant cette toile d’encre et un sourire étirant les lèvres de celui qui assistait à ce beau spectacle. Un verre contenant un liquide doré à la main et il porta d’un geste lent et gracieux l’alcool à ses lèvres. Admirant un royaume sur lequel il imposait sa force, son caractère, et sa petite personne… pardon, grande personne. Le regard ambre vrillant chaque petit coin lumineux de la cité, Angel contemplait en silence sa plus grande fierté. Parfois, quelques cris résonnaient. Parfois encore, un oiseau venait troubler le calme du ciel. Mais s’il restait bien une chose que personne n’aurait pu venir enchevêtrer présentement, c’était bien l’esprit du garçon blond. Etrangement posé et calme, il inspirait et expirait chaque bouffée comme si jamais il n’avait connu le souci habituel et constant du poids de la vie sur lui. Une gorgée. Puis deux. Et il reposa adroitement son verre sur le petit meuble boisé près de lui. Près de cette grande baie vitrée. Depuis combien de temps régnait-il ainsi sur cet univers insignifiant ? Cela devait bien faire quelques millénaires qu’il avait été prédestiné. Depuis toujours, le monde avait accueilli l’être que le détruirait. Jamais pourtant il ne s’en était douté. Jamais. Et aujourd’hui, le Dieu écrasait. Dans le creux de sa paume se tenait chaque petit pion qui forme cette planète. Hommes, animaux, plantes, éléments naturels, tout y passait. Sans nulle exception. Avec l’aide précieuse de cette femme, Faith, Angel était enfin parvenu à assoiffé partiellement son désir brûlant de vengeance. A ceux qui lui ont tout prit, il leur apporterait désormais une réponse sanglante et sans pitié. Ne jamais sous-estimer le pouvoir que peut avoir l’amour sur des êtres vivants. Pour preuve : ce dernier sentiment aura suffit à un adolescent à devenir le nouveau Dieu. Plus fort que le précédent. Plus rusé que tous. Désormais, il faisait face à un tout. Son combat contre le monde. Se présentant comme la pire menace qu’ait jamais connue la société. Cette chose, pleine de défauts. Rousseau, un jour, l’aura dit : « L’Homme nait bon par nature, c’est la société qui le rend mauvais. ». Ce n’est pas faux. C’est même vrai. Très vrai. Une vérité que n’ont jamais acceptée les gens. Préférant ignorer celle-ci plutôt que de se l’admettre. Et il suffit d’entrevoir le résultat : par la faute de cette fichue société, sa propre arme s’est retournée contre elle. Elle se consume. Face à cette douzaine de Dieux, tous plus puissants les uns que les autres, elle doit bien s’avouer vaincue. Dépassée par les événements. Et je dirais : c’est bien fait. De cette chose minable sur lesquels les humains ont tout basé, ils se rendent seulement compte de leur erreur. La guerre. L’argent. Les politiciens et hommes d’affaire qui ne cherchent qu’à s’enrichir. Les religieux qui n’ont d’yeux que pour les quelques crétins imaginaires auxquels ils croient. Et les voilà : ces dieux. Déception, ce ne sont certainement pas le genre de croyances auquelles l’on avait pensé, n’est-ce pas ? Dommage. Il est désormais trop tard. Dans ce monde plein de pourriture, Angel lui-même et d’autres extermineront ce qui se doit d’être exterminé. Ils tueront, sans pitié. Débarrassant l’univers de vermines. Seul leur but compte : au fond, l’intention de ces chers démons n’est pas si mauvaise : ils ne veulent qu’apporter un peu et débarrasser la Terre des insectes polluant. Quitte à tout devoir recommencer, l’univers à bien besoin d’une large gamme de trie. Et ce n’est certainement pas notre beau blond qui vous dira le contraire.
L’homme poussa un large soupire. Accompagnant son geste divin d’un étirement. Tel un félin inoffensif, il détendit chacun de ses membres, soufflant face aux quelques crampes l’ayant soudainement paralysées. Angel détacha enfin son attention de la baie, tournant les talons, l’esprit pensif. Son emploie du temps en ce qui concernait cette soirée ? Il l’ignorait. Peut-être une visite chez quelques proches. Une réunion privée avec ses fideles alliés ? Quoique… Au diable le travail ! Le blond afficha un air assuré alors que d’un geste nonchalant de la main, il ordonnait à sa veste de venir se poser entre ses doigts agiles. Voilà comment ce cher Summers quitta les lieux de ce bar de sa démarche souple et vive. Traînant le long des somptueux couloirs de cette pourriture d’établissement pour arrivé jusqu’aux ruelles. A peine le museau sorti au dehors que le garçon se remit à sourire. D’un claquement de doigt, il ordonna à Mademoiselle cigarette et à Monsieur briquet de venir se loger dans chacune de ses mains. L’instant suivant, il inhalait lentement le tabac de sa drogue matérielle. Une fumée blanche filtrait doucement de ses lèvres alors que ses pas s’enfonçaient dans l’allée s’offrant à lui. L’ombre d’un homme rongé par la vengeance et qui s’efface au couché du soleil.
Les temps devenaient si sombres. A chaque regard croisé, l’on pouvait sans véritable don y dénicher quelques traces de peur, de crainte, voir de haine. Les Hommes deviennent faibles – quoique dans un certain sens, ils l’aient toujours été -. Face à une nouvelle menace, l’espèce humaine ne semble guère savoir comment réagir. Se cacher ou se battre ? Tuer ou servir ? Des questions subtiles qui ne manquent pas d’assaillir les pauvres concernés. Comment donc allaient-ils pouvoir survivre ? Ces enfants de la nature, laissés seuls et déconcertés face à ces nouveaux ennemis ? Un sourire malsain étira les lèvres du jeune blond. Il se fondit avec lenteur dans l’obscurité de l’endroit, dégageant avec contenance une trace blanche de nuage sur son passage. S’il ignorait bien avec qui il allait passer sa soirée, il savait désormais où elle se déroulerait : il était l’heure de rentrer après tout. Une petite visite dans son cher et luxueux appartement. Pensée qui lui arracha un léger rire alors qu’il passait telle un félin devant une boutique de bijoux ayant fait faillite. Dire que c’était en ce lieu qu’il avait osé lui offrir l’un des nombreux diamants qu’Elle possède. Angel leva les yeux au ciel. En valait-Elle la peine au moins ? La lumière de la fidélité semblait ne plus guère briller désormais. Il était bien entendu clair que ni l’un, ni l’autre n’aurait pu revenir sur les événements. Si Angel pouvait dicter au feu de prendre à tel ou tel endroit, il ne pouvait contrôler et ordonner aux flammes de l’amour d’incendier le cœur de celle qu’autrefois il a aimé. Ou tout du moins… pas comme il l’aurait voulu.
Un éclair traversa ses prunelles. Le goût avarié de cette pourriture de jalousie revenant soudainement se plaire à le harceler, une fois encore. La drogue qu’il tenait du bout des lèvres termina sa course au sol. Le bout rouge de la cigarette rependant ses cendres fumantes autour de son mégot. Un juron siffla de ses lèvres. Sa démarche se fit dès lors plus poussée. Impétueuse et assurée. Le regard brûlant d’une lueur ardente dont il tentait bien de se contenir. Il fallait qu’il en soit certain. Il fallait qu’il sache. Qu’il connaisse l’origine de ces absences nocturnes. Une pointe de vérité dans ce tissu mensonger. Qu’il franchisse enfin ce rempart de secrets. Le poing serré, les lèvres pincées, le divin garçon parvint enfin jusqu’à son domaine d’habitation : le Plazza. Gravissant avec conviction les marches. Les unes après les autres. Se hissant à la hauteur de sa réussite par ses propres moyens. Comment ? Comment s’était-il laissé ainsi dominé par cette femme ? Sa femme. Certes, cela ne sa manifestait que par son infidélité. Mais en avait-elle seulement le droit ? De ce couple qui règne sur cet empire, il n’en reste aujourd’hui que haine, jalousie et désirs dévorants. Insatisfaits. N’était-il donc pas encore trop tard pour soigner cette plaie ouverte ? Quoiqu’il en fût, la cicatrice resterait à jamais présente. Quelque soit l’ultime combat que se livreraient ces deux amants : que ce soit en se trompant comme en s’aimant. Comment pouvait-il seulement accepter cette vérité ? A trop songer à ce qu’on ne peut obtenir, on finit par les convoiter avant de faire l’erreur de se les approprier. Sara. Elle avait été est reste cette erreur. Ce problème. Cette source illogique dans le calcul de ses sentiments déjà instables. Alors bien sûr, Angel savait encore faire la part des choses. D’un côté cette épouse pour qui il voue un amour bien complexe. De l’autre, Sara. Cette perle qu’il ne pouvait que frôler du bout des doigts. Un dieu qui ne peut obtenir ce qu’il désir. Voilà bien l’unique chose qui lui reste bien interdit.
Et puis la porte d’entrée s’ouvrit à lui sans qu’il n’eût même à y toucher la poignée d’or. L’appartement, plongé dans une pénombre des plus totales. Le lieu divin éclairé par quelques rayons provenant des lueurs de cet empire enjoint. Et pas un son. Juste les caresses du silence qui veut se faire maître. Elle n’était pas là. Qu’aurait-elle fait ici de toute façon ? Summers inspira doucement. Laissant ses iris s’habituer à la noirceur de la suite. Presque calme. Son souffle se fit régulier et contenu. Il s’avança. Longeant de sa silhouette discrète le salon. Atteignant enfin cette baie convoitée. Regard posé sur une fourmilière. Juste de simples insectes. Comment si ces pauvres mortels pouvaient seulement leur être préjudiciables. Le dieu laissa un fin sourire étirer la courbe de ses fines lèvres. Expression malsaine pour un ange déchu de l’enfer. Et le blond fumeur mit un point final à cette divagation mentale intempestive. Se reconnectant vivement au monde présent. Quelle soirée bizarre. Pleine de surprises inattendues. Le sourire triomphant s’accentua doucement. Avant de finalement disparaître pour de bon. Des paupières venant couvrir ses yeux et il huma avec délicatesse le parfum qu’elle portait ce soir. Un mélange exquis tel qu’elle seule savait les porter. Et pourtant, cette trace inconnue restait. Trahissant un arôme inconnu sur sa peau. Emporté par les vagues de ce qu’il avait osé profiter à inhaler, Angel ne bougea ni ne parla durant de longues secondes. De l’amour, ce sentiment pervers dont le jeune homme s’était toujours joué royalement jusqu’à sa rencontre avec elle. Avec Faith. Prenant plaisir autrefois à briser le cœur de celles qui s’accrochaient à son bras pour l’empêcher de partir au petit matin sans rose rouge sur la table de nuit. Aujourd’hui pourtant, il se serait trituré le cœur avec une paire de ciseaux, le résultat obtenu n’aurait pas été très différent. Et ce sentiment de jalousie devait se dissipé. Il devait être détruit. A jamais enfouis. Il fit se détourna gracieusement de la vue de sa citée.
Juste devant lui, dressée sur sa haute silhouette : son épouse. Ou tout du moins, ce qu’il restait. Et bien que sa haine refoulée surpasse son désir, Angel devait bien s’avouer cette cruelle vérité. Tout chez cette déesse l’attirait irrémédiablement : l’expression à la fois sévère et passionné de son visage, sa résistance et la force de ce caractère qui ne veut se laisser dominer, ce physique enivrant … Faith le savait, bien sûr, et en jouait énormément pour le pousser à bout. Abusant sur cette manie vulgaire qu’est de tromper et de profiter. Et ils savaient pourtant l’un et l’autre que, fatalement, à un moment donné chacun en aurait marre de ce petit jeu.
Sans qu’il ne puisse même lui laisser le temps de parler, de bouger, Angel revint à elle. S’approchant de l’objet de sa convoitise et de sa jalousie. Entrant sans permission dans ce havre de dominance et de divinité qu’était la proximité de la déesse. Il la contourna. L’expression stoïque et indomptable. Ne laissant émaner de lui qu’un infime sourire plein de mystères. Y dévoilant cette peur de perdre quelque chose. Y dévoilant cette envie irrésistible et pourtant contrôlée de régner. Y dévoilant une amertume contenue. Comme si chacun de ces sentiments ne devait être lu. Comme si jamais il ne devrait les lui montrer explicitement. Le jeune homme prit alors doucement place derrière sa compagne. Laissant ses bras s’enrouler autour de ses hanches dans une étreinte presque tendre, presque passionnée. Ses lèvres, elles, se posèrent entre son cou et son oreille. Son murmure se traduit en une caresse délicate de son souffle sur sa peau.
« Où es-tu allée ce soir Amour ? » ~ Connexion : 3j/7 en moyenne. ~ Code du règlement : - Spoiler:
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Dernière édition par Devon K. Summers le Ven 1 Mai - 12:16, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Sam 25 Avr - 14:52 | |
Sincèrement. Je pense que vous vous foutrez un peu de ma naissance. A quoi cela vous avance de connaître mon passé ? Hum ? Éventuellement, je pourrais vous résumer en quelques lignes ce qui a façonné ma vie, mais à vrai dire, je n’en ai pas véritablement l’envie. Peut-être devrais-je dans ce cas m’extirper. Filer, à toute allure. Sans me retourner pour croiser vos regards interloqués. Non. Ca m’est égal. Je me fiche de vos mensonges et j’aime voir vos visages choqués. N’est-ce pas pour cela que je suis né après tout ? Pour vous pourrir la vie sans que vous n’ayez plus jamais l’envie de l’apprécier à sa juste valeur ? Alors mes chers amis, je vous déconseille fortement de parcourir les quelques lignes qui vont suivre. Je doute qu’elles ne plaisent aux âmes qui, comme moi, aiment à voir des visages terrifiés devant soi. Quel plaisir. Ma drogue en quelque sorte. Je ne vis plus que pour ces cris d’effrois que vous, citoyens effarés, m’adressé lorsque je ressors mon précieux ami. J’abuse de ce que le Seigneur vous aura offert. Je vous vole. Je vous tue. Et je jouis secrètement de votre mort une fois votre sentence exécutée. Vous vous interrogerez alors sans doute sur l’origine de ce démon que je suis ? Soit… Revenons en donc quelques années auparavant…
Day & Night
Il faisait nuit. Et j’avais tellement froid. Je n’ai plus les idées très claires. A vrai dire, je ne saurais dire où je me trouvais. Mes bras fins entouraient doucement ma propre taille. Comme cherchant désespérément à réchauffer mon pauvre corps exposé à l’air glacial de l’hiver. Vêtu simplement d’une chemise qui partait en lambeaux. D’un Jean foncé et complètement défoncé. Bref. Pas la grande joie ni le grand luxe ce soir. Déjà à 11 ans j’avais adopté cette habitude de ma bourrer des premiers trucs qui me tombaient sous la main… Et ce n’était pas forcément les meilleurs. Rien que les cachets que m’avait donné cette femme tout à l’heure. Qu’est-ce qu’ils pouvaient me faire tourner la tête. A croire qu’on m’avait frappé au niveau des tempes. Yeux à moitié ouvert, je parcourais à pas lents et incertains les routes désertes de ma citée. Les frissons m’assaillaient. J’allais crever. Mes petites dents s’entrechoquaient sans cesse, traduisant le fait que mon sang devenait aussi congelé que les eaux de L’Antarctique. Rien qu’à cet instant, je rêvais de pouvoir serrer dans mes bras quelque chose d’un peu plus chaud. A peine plus chaud. Bon sang ! Ou même avaler un bol d’eau brûlante. Je n’sais même pas si j’aurais pu me rendre compte de quoique ce soit si on m’offrait quelque chose à grignoter. Même du poison m’aurait bien plu sur le coup. Bon… Il fallait toutefois bien me l’avouer : j’étais habitué à vivre dans de telles conditions. Cela faisait bien 5 ans que j’avais été livré à moi-même. Mes camarades : des dealers, violeurs et autres vermines de la ville. J’étais leur petit protégé en un sens… Mais enfin… Je me devais bien aussi d’obéir aux lois qu’ils me fixaient. Et cette femme… Qu’est-ce qu’elle pouvait me faire peur. Avec ses manières… Et rien que ce qu’elle m’offrait ! Mais enfin. J’avais pas à me plaindre après tout : ses cigarettes étaient tellement exquises. Et elle tellement belle. Si jolie que la savoir prostituée m’avais choqué – même si ce terme me restait encore inconnu, tout ce don j’étais certain, c’était que cette désignation n’avait rien de bien avantageux -. Elle restait une sorte de mère pour moi. Une seconde maman. Ou la première plutôt… Elle au moins m’aimait, même si parfois ses ressentiments m’effrayaient un peu… J’étais inconscient.
Un bruissement au loin attira mon attention. Un craquement sonore. Je frissonnai doucement, laissant un gémissement filtrer de mes lèvres entrouvertes. Sourcils froncés, sceptique mais pas effrayé le moins du monde, je découvrais cette femme. Ma mère adoptive. Maîtresse de mes pensées. Elle ne devait pas avoir plus de 17 ans. Et pourtant, elle me fascinait déjà. Ses longs cheveux bruns tombant avec grâce sur ses épaules. Couverte d’une robe simple et noire. Je restais sur place. M’effondrant doucement à genoux alors qu’elle s’approchait à pas lents vers ma frêle silhouette. Pétrifié par le froid. Mon regard douloureux et pourtant soulagé d’enfin recroiser sa route. La femme s’agenouilla près de moi. Le visage doux et le sourire aux lèvres. Sa main caressa ma joue frigorifiée. Mes yeux se fermèrent. Bon sang, que c’était bon d’enfin sentir quelque chose de chaud contre moi.
La femme :: « Devon… Que t’est-il arrivé mon petit protégé ? Pauvre garçon. Viens dans mes bras. » Je souriais doucement avant de m’effondrer lamentablement dans ses bras protecteurs. L’esprit embrumé et pour apaisé. Je sentais ses bras supporter mon poids de plume pour me soulever. Après quoi, je dois avouer ne plus me souvenir de grand-chose, sombrant dans l’inconscience.
Dernière édition par Devon K. Summers le Ven 1 Mai - 13:29, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Sam 25 Avr - 14:52 | |
+1 un autre |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Sam 25 Avr - 19:39 | |
Bienvenue sur le forum, merci pour cette inscription et surtout bon courage pour la suite de ta fiche. Bon début, j'accepte le changement dans la présentation, c'est l'exception qui fait la règle. |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Sam 25 Avr - 20:23 | |
BIENVENUE ! Merci pour ton inscription =) Bon courage pour la rédaction de ta fiche |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Dim 26 Avr - 16:09 | |
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche!^^ |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Ven 1 Mai - 11:59 | |
Merci beaucoup (a). J'ai débuté l'histoire. Tout ça devrait être terminé ce soir je pense. Demain au pire. |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Ven 1 Mai - 12:08 | |
De toutes façons t'as encore une semaine et un jour pour l'écrire, donc pas de problèmes si tu la finis demain x) |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Mar 5 Mai - 19:59 | |
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| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Ven 8 Mai - 9:57 | |
Bientôt deux semaines, il faut penser à terminer ta fiche |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Sam 9 Mai - 10:35 | |
Putain la boulette, j'avais complètement zappé ma fiche ici --" Hum, final j'pense pas jouer avec ce perso' x) Vous pourrez supprimer mon compte. Entre temps j'en ai créer un autre pour un forum, donc bon. Quitte à jouer ici, autant jouer avec le bon personnage ;p Hein ma Laitière ? (a)
J'reviens viiiite xD |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} Sam 9 Mai - 11:03 | |
C'est Nick qui va pouvoir récupérer son Gaspard x)
Bref, je supprime ton compte, pas de souci ^^" Reviens-nous viiiite mon p'tit Yaglourt =) <3333 |
| | | | Sujet: Re: I'll be there || Devon Summers {U.C} | |
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| | | | I'll be there || Devon Summers {U.C} | |
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