BIENVENUE !
Merci de ton inscription !
Bon courage pour ta fiche.

L'avatar de Nicole Kidman est pris, mais la joueuse n'a pas posté un message depuis plus de 15 jours, donc c'est avec plaisir que je (qu'on ?) te le laisse (:

EDIT : Qu'on te laisse cet avatar, donc (:

Bienvenue sur NY-TDS Judith <3

Bienvenue !!!

Bienvenue

Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
(Que NOUS te laissons cet avatar, c'est vrai que ça sonne bien ^^)

Je n'ai pas la place, donc je post ici !

~ Si la perfection existait, nul doute que Judith en serait un bon exemple. Cette belle blonde a toutes les qualités d'une femme idéale. Elle est cultivée, apprécie grandement la lecture, l'art et le chant. Musicienne hors pair, elle joue de divers instruments comme le violon, le piano et la guitare. Elle parle plusieurs langues couramment, sans aucun accent, ce qui lui permet de voyager énormément. Judith est une jeune femme très intelligente et diplomate. Ce qui ne l'empêche pas d'être franche et de dire toujours ce qu'elle pense. La franchise est bien une qualité même si elle peut se transformer en défaut pour celui qui ne sait pas l'utiliser... Heureusement ce n'est pas le cas de Judith, qui sait tout de même faire preuve de délicatesse.
Oui, un mot qui lui va comme un gant : la délicatesse ! Fine et frêle, elle a l'air si délicate, si fragile. Mais détrompez-vous, c'est une femme de caractère. Elle est très serviable, aimant aider les autres mais n'est pas non plus idiote. Elle sent lorsqu'on tente de profiter de sa gentillesse et dans ce cas là, mieux vaut ne pas l'offenser. Elle a un sens aigu de la justice et rien ne la révolte davantage qu'un manquement au Droit. Judith est foncièrement honnête, répugnant les violences et dépravations auxquels se livrent particulièrement certains de la ville. C'est une femme fidèle, aussi bien en amour qu'en amitié. Son amitié, elle ne la donne plus à présent qu'avec méfiance, due à son nouveau statut de danseuse légère mais elle reste quelqu'un de très sociable.
Son statut l'effraie énormément et elle préférerait grandement n'être pas au contact des milieux peu recommandables. Elle n'aime pas ce sentiment d'être une proie observée et désirée. Mais elle assume tout de même ce statut, avec angoisse. Elle ne reniera pas ses convictions et son objectif reste de pouvoir s'élever au dessus de sa condition.
Les goûts de Judith sont tout ce qui a de plus éclectique et raffiné. Un attrait indéniable pour la culture l'habite. Tous les types de culture. Judith est une voyageuse, elle aime découvrir de nouveaux peuples, de nouvelles manières de vivre et d'être. La lecture a sa préférence, elle ne reste pas un jour sans lire un nouveau livre. Une sorte d'échappatoire depuis qu'elle est enfant.
Elle aime beaucoup la danse, que ce soit classique, jazz ou folklorique. Elle est assez habile à cet exercice. Le chant n'a pas de secret pour elle, dans plusieurs langues bien sûr. Un goût pour le romantisme et la mélancolie mais sans en faire des éléments centraux de son existence. Elle regrette uniquement que ce monde ne soit pas plus tolérant...
Judith est indéniablement d'une élégance sans conteste. Appréciant le noir ou bien le blanc, elle ne choisit aucune tenue provocante ou trop dénudée en dehors de son travail. Les longues robes à la grecque ont sa préférence. Elle semble alors sortir d'un conte mythologique. Une chevelure relevée laissant tomber quelques boucles complète la tenue. Elle ne dédaigne pas non plus les tenues plus modernes, jean et t-shirt mais toujours élégante !

Son Histoire :


En dehors de l'enfance
et de l'oubli,
il n'y a que la grâce
qui puisse vous consoler d'exister.

Sydney, Australie, 1979 : Naître, c'est recevoir tout un univers en cadeau.

Depuis 1901, l'Australie était devenue un état indépendant, s'affranchissant de l'influence britannique. Mais les liens entre les deux pays étaient restés étroits. Aussi, lorsque la Grande-Bretagne entra en guerre, l'Australie envoya-t-elle des soldats à son aide. La Guerre se termina, une autre suivit. Puis la Guerre Froide... C'est durant ce conflit froid et immobile que Judith vit le jour. Nul berceau ne l'accueillit, nul soie pour la draper, uniquement la misère noire d'une famille de proscrits. KJudith, petite chose braillarde et rose ne pouvait savoir quel serait alors son destin. Petit bébé fragile, elle était frêle et maigrichonne. Son père était un bagnard envoyé en Australie avec les rebus de la société anglaise. Sa mère, tombée amoureuse de cet homme, l'avait aidé à s'échapper et ils vivaient maintenant ensemble, reclus dans une misère plus grande que jamais.
Que la vie paraît fragile ! Judith contracta maladie sur maladie mais le destin semblait l'épargner à chaque fois, comme un sursis temporaire... Le bébé était entouré par l'amour de ses parents qui l'élevèrent du mieux qu'ils purent... Son père était un homme violent et irascible. Judith en garde un mauvais souvenir. Le jour de ses quatre ans, la petite fille jouait dans le coin de la baraque qui lui servait de chambre lorsqu'elle entendit des cris et des hurlements. Curieuse, elle s'approcha doucement de la "chambre" de ses parents et découvrit sa mère, au sol, une marque rouge sur le visage et son père, passablement ivre, l'abreuvant d'injures. Depuis ce jour, la petite fille évitait de plus en plus son père, trouvant toujours un moyen pour déjouer la vigilence de ses parents et de traîner dehors.
La guerre froide venait de s'engager dans le réchauffement entre les deux blocs, et le peuple, un temps heureux de ce répis, replongea dans sa torpeur, dans sa misère. KJudith ne rentrait chez elle qu'avec angoisse et tension. Elle ne se sentait pas bien chez elle. A 8 ans, elle préférait courir les rues de la ville, vivant milles expériences passionantes en compagnie de la bande de garçon vauriens qu'elle appréciait beaucoup. Elle était la seule fille parmi eux et une sorte de reine qui régnait incontestablement sur les jeunes garçons. Elle se comportait d'ailleurs en parfait petit mec, chiquant et tentant même de fumer. Judith semblait déjà précoce et cherchait le frisson du danger. Elle n'avait jamais autant ri que lorsqu'il préparait de mauvais coups et qu'ils les mettaient en place.
Le temps défilait et à 11 ans, elle était presque autonome, trouvant de l'argent en chantant dans les rues, en apitoyant les passants ou pire, en leur faisant les poches. Ce qui était bien plus drôle, vous en conviendrez ! Plusieurs fois, elle faillit se faire prendre mais sa vitesse, et son agilité lui permettait de se glisser dans la foule et de disparaître avant que la maréchaussée ne mete la main sur elle.
C'est dans cette petite bande qu'elle fit la connaissance d'un garçon nommé Ethan. Charmeur, un peu dans la lune, elle le remarqua tout de suite et en fit son bras droit. Bien sûr, ce n'était pas ses qualités de pickpocket qui lui touchait le coeur mais elle n'osa guère lui avouer son attirance. Les années passèrent donc, la bande devenant de plus en plus hardie. Ils eurent même le projet de braquer une fameuse banque de la ville mais renoncèrent en prétextant que trop d'argent tue l'argent. Une manière élégante de ne pas perdre la face.


L'âge d'or était l'âge où l'or
ne régnait pas.

Australie, 1994 : L'enfance est un papillon qui se hâte de brûler ses blanches ailes aux flammes de la jeunesse.

Judith venait de fêter ses 15 ans. Elle était devenue une belle plante, sans conteste et les garçons de sa bande commençaient à lui lancer des coups d'oeil plus qu'équivoque. Mais un seul garçon pouvait se vanter d'avoir obtenu son coeur. Ethan. Elle avait finalement fait le premier pas et un soir, après une journée fort productive question vol à l'étalage, elle avait entraîné Ethan dans une ruelle sombre à l'écart des autres pour l'embrasser. Le jeune homme n'avait pas eu l'air de refuser, bien au contraire et lui avait annoncé qu'il l'aimait depuis le jour où il l'avait rencontré. A partir de ce moment, ils ne se quittèrent plus, si on apercevait Judith, c'était qu'Ethan n'était pas loin et vice versa. Judith avait trouvé l'homme de sa vie. Elle ignorait qu'il ne le resterait pas longtemps...
Le contexte n'était cependant pas brillant. Dans les années 1990, l'Australie était en pleine Dépression et la misère était encore plus noire. La bande de vauriens se dispersa comme une volée de moineaux et Judith partit en compagnie d'Ethan, continuant leurs mauvais coups. Judith aimait l'adrénaline, la peur, mais pas le sentiment de traquer puis, d'être traquée. Cependant, pour survivre, elle n'avait pas le choix. Aussi entraîna-t-elle Ethan dans ces jeux sans fin. Ils continuèrent à voler par ci par là les portefeuilles. Cela leur permettait de vivre. La crise dura jusqu'à la fin des années 390. En 1999, Judith fêta ses 20 ans en compagnie d'Ethan. Ils ne liaient pas à grand monde durant leurs péripéties. Et, cherchant de plus en plus à augmenter la difficulté, Judith décida de passer à l'échelon supérieur. Elle attirait les hommes dans des endroits déserts et Ethan s'occupait de les mettre hors de combat pour leur voler ce qu'ils possédaient. Judith ne se doutait pas que ce stratège serait à l'origine de sa perte...


Comme tout ce qui compte
dans la vie, un beau voyage
est une oeuvre d'art.

Australie, 1999 : Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage.

Cette petite technique marcha relativement bien. Le tout était de ne pas se faire prendre. Et surtout de disparaître rapidement une fois le méfait effectué. Le petit truc auquel avait pensé Judith était de porter toujours un loup, façon de ne pas dévoiler son visage. Ethan lui avait déjà fait part de son agacement à ce que d'autres hommes lui tournent autour mais elle l'avait assuré de son entière fidélité et il avait laissé passer les choses. Il insista cependant pour partir de Sydney et aller à Darwin afin de laisser les gens oublier. Judith approuva et ils allèrent s'installer à Darwin.
Un soir, la jeune femme attira dans ses filets un homme mystérieux. On arrivait guère à voir son visage dans l'obscurité. Elle l'aguicha et l'homme la suivit dans la ruelle sombre où Ethan attendait. Mais, avec une vivacité surprenante, l'homme lui glissa dans la main une carte, indiquant une adresse à Miami, lui proposant de venir travailler là-bas. Ethan surgit à ce moment et le mystérieux inconnu s'éclipsa, laissant la jeune femme perplexe. Au bout de quelques jours, elle annonça à Ethan qu'elle comptait partir. Voir Miami, le rêve ! Mais Ethan ne comprit pas cela. Une violente dispute éclata et il la pressa de choisir entre lui et le voyage.
Elle fit ses adieux Ethan. Judith était désespérée. Mais elle se libérait de cette société, de cette misère espérait-elle. Elle avait fait son choix. Son coeur n'avait jamais battu si vite. Elle mit une journée entière pour faire le voyage et finalement les terres d'Amérique s'étirèrent devant ses yeux. Elle était subjuguée, émerveillée par tant de beauté.
Son arrivée à Miami fut littéralement un conte de fée pour elle. Elle n'en croyait pas ses yeux. Oui, c'est sûr, elle allait se réveiller. Mais c'était bien la réalité qui s'étirait devant ses yeux. Elle prit une petite chambre dans le centre et partit le lendemain en expédition pour découvrir la faune citadine.
Judith trouva un petit emploi de serveuse dans une boîte de nuit. Ses compétences étaient requises et elle donna le meilleur d'elle-même pour son travail. Elle se fit bon nombre de relations, dans divers milieux cultivés qu'elle fréquentait en dehors. Elle défendait son terrain, bec et ongles et avait réussi à acquérir le respect des autres hommes. Sa douceur, son élocution et sa répartie charmait son entourage.

Désolée pour le double post... Voila la fin de l'histoire !



Aimer, c'est trouver
sa richesse hors de soi.

New York, 2002 : Aimer, c'est savourer, au bras d'un être cher, La quantité de ciel que Dieu mit dans la chair...

Judith continuait à parcourir la ville. Elle s'installa provisoirement à la périphérie. La ville lui plaisait, elle était dynamique, beaucoup de choses s'y passaient sur le plan intellectuel. Judith y fit une rencontre qui allait changer sa vie et pas uniquement cela. Bien plus. Elle changea d'établissement et fut employée dans une boîte de strip tease, en tant que serveuse. Le patron lui souhaita la bienvenue. Vergil Phoenix. Bel homme, le regard charmeur, le verbe éloquent, ils s'entendirent immédiatement. Ils s'entendirent tellement bien qu'au bout de quelques semaines, on ne voyait pas l'un sans l'autre.
Judith sentait un sentiment étrange lui pointer le coeur. Un soir, il l'invita à boire un verre. La soirée promettait d'être agréable. Et elle le fut. Ils discutèrent de tout et de rien, de sujets futiles et philosophiques. Puis, Vergil la raccompagna chez elle. Et sur le pas de sa porte, dans la nuit douce et fraiche, il lui vola un baiser. Un dernier sourire échangé et Judith refermait la porte sur celui qui faisait battre son coeur.
Ils décidèrent de se mettre ensemble. Les mois passaient, et Judith était tout ce qu'il y a de plus heureuse. Un travail passionnant, un petit ami doux et un pays somptueux. Que demander de plus ? Les fiançailles suivirent et bientôt le mot mariage fut avancé. Judith avait l'impression que tout allait trop vite. Mais elle s'était lancé dans cette relation et elle aimait Vergil sincérement. Alors se marier, pourquoi pas ? Le mariage n'aurait jamais lieu...


L'absence est le plus
grand de tous les maux.

Miami, 2003 : On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.

Judith ne sut que bien plus tard les raisons du drame... Vergil et elle avaient organisés le mariage, restaient quelques détails à régler. Notamment la date. Judith devait voir Vergil le lendemain chez lui. A l'heure dite, elle fut devant sa porte. Mais elle eut beau sonner, taper à la porte, personne ne lui répondit. Elle fouina dans son sac et dénicha un trousseau qu'elle avait. Elle ouvrit la porte. Et resta sans voix.
La pièce était vide. Comme toutes les autres d'ailleurs. Aucune affaire, si ce n'est les meubles. Comme si personne ne s'était jamais installé dans cette maison. Judith sentit les larmes lui monter aux yeux et s'enfuit. Elle envoya divers avis de recherche mais aucune n'aboutit. Elle refusa de se laisser aller aux pensées qui la traversaient, à savoir quitter ce pays. Elle venait de perdre l'homme qu'elle aimait, elle ne voulait pas perdre le pays qu'elle chérissait par dessus tout.
A partir de ce moment, ce fut la descente aux enfers pour Judith. Elle resta un an à se lamenter, refusant de sortir, n'étant plus que l'ombre d'elle-même. Elle ne pouvait pas adresser la parole à une personne sans éclater en sanglots. Cela dura une année entière. Jusqu'au jour où l'inconcevable se produisit...


Rien ne se perd,
rien ne se crée,
tout se transforme...

New York, 2005 : Celui qui se transforme en bête se délivre de la souffrance d'être un Homme.

Une nuit d'insomnie. Une de plus. Une nuit à repenser à lui. A son visage. A son sourire. A lui. Judith restait inerte et amorphe sur son canapé. Elle était même indifférente au monde qui l'entourait. La guerre était sur le point d'éclater dans les pays arabes après 2001, l'Amérique envoyait des soldats et cela paraissait si peu important pour elle... Un seul être vous manque et... vous connaissez la suite.
Elle en était là de ses pensées lorsque soudain un sursaut suivi d'un frisson la saisit. Le téléphone sonnait. Elle décrocha, ignorant pourquoi. Une voix masculine résonna dans le combiné :

- Miss Scarletti ?

- Oui

- J'ai un emploi pour vous.

- Comment ?

- Un emploi mieux payé. Faites moi confiance.

Elle ne comprenait pas. Elle finit par accepter et rencontra ce mystérieux inconnu.
Ce ne fut que bien plus tard qu'elle comprit. Par des rencontres de hasard, son patron avait prit des contacts et avait parlé d'elle à ses amis dans le milieu. Et à présent, un patron de boîte de strip tease de New York voulait l'engager comme danseuse. Elle n'avait plus rien à perdre, elle accepta...


Quand la loi redevient
celle de la jungle, c'est un honneur
que d'être déclaré hors-la-loi.

New York, actuellement : Ce n'est pas la révolte en elle-même qui est noble, mais ce qu'elle exige.

Finalement, Judith apprit à jongler avec la loi, à passer la frontière de la légalité. Elle apprit en un mot à survivre. En espérant qu'un jour, elle pourrait sortir de ces bas-fonds où elle était tombée...

Aloooors...
Pour moi (quasi) tout est bon. La seule chose qui me gêne un peu, c'est le choix du groupe : Judith est hors-la-loi malgré elle, elle ne fait que survivre, et à part comme tu dis, quelques recels, et autres transactions pas très légales, elle n'est pas hors-la-loi.
Personnellement, je la mettrais plutôt dans les cityzen, d'autant plus qu'elle ne fait pas l'apologie de la violence, elle ne fait vraiment que survivre. Je veux dire, elle fait pas des choses pas très légales par plaisir ou par vengence, et ça -on m'excuse le terme- la fait chier de faire ça. Donc pour moi, c'est une Cityzen. Reste à voir si tu veux vraiment la mettre dans les hors-la-loi, mais ça me paraît pas logique, si tu veux.

Deuxième chose -qui ne me gêne cependant pas-, c'est le lien avec Vergil (Vergil de son prénom, Phoenix c'est son nom ). Moi je suis d'accord, mais comme c'est un personnage inventé par un membre, il faut lui demander son avis. C'est Trish Phoenix. Je te conseille de lui envoyer un MP.

Sinon, tout est nickel pour moi
Quand tout ça sera réglé, on te validera =)
J'ai édité le code du règlement, il était bon

Pour le groupe, pas de problèmes pour Citizen !

Je vais envoyer un mp à la miss !

J'attends la réponse de Trish, et si elle est d'accord, c'est bon, et dans le cas contraire, tu n'auras qu'à changer le nom de Vergil pour en faire un inconnu, et dans ce cas, garder la même histoire [x

Bienvenue !

Merci beaucoup !

Bon, voilà, j'ai eu une idée, et voilà ce que je te propose : Trish/Jackie est absente pour le moment, donc t'auras pas ta réponse tout de suite, et ça nous embête de te faire patienter. Donc de là, deux solutions :

Ou t'attends le début de semaine prochaine pour avoir la réponse de Trish,
Ou tu changes le nom (ou plutôt son prénom) du personnage, et tu pourras toujours créer le PV de ce personnage par la suite. Et dans ce cas, je te valide tout de suite. C'est comme tu veux

bienvenue parmi nous

Ayé, j'ai eu des nouvelles de Trish ! J'ai modifié mon histoire pour que ça colle avec son perso vacant !

+1!
Je donne mon accord! xD ( Mais tu n'auras jamais la bénédiction de la fille! xD )

Présentation validée =D
Fiche intéressante
Bon jeu =)