| Sujet: Ayame Ford [Aow j'ai terminé] Ven 30 Avr - 21:01 | |
Feat "Ai OTSUKA"
(c) Unknow |
_« Ayame FORD »_
_____ This is who I am _____
▬ Nom ;Ford ▬ Prénom(s) ; Ayame ▬ Surnom(s) ; Aya ; Yaya ▬ Âge ; 17 ans ▬ Nationalité ; Australienne [Origines Irlandaise et Japonaise] ▬ Groupe ; Etudiant ▬ Statut et activité dans la vie ; Franchement? Dans la vie, Ayame ne fait que bosser au Lycée, aspirer à de grandes études dans les langues et la littérature. Un Job ? Quand on à la chance d'habiter chez des amis de ses parents qui sont plutôt riche, on ne prend pas de métier. Sinon ce qu'elle fait ? Hm. Rien. ▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuel
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_____ Wanna know more ? _____
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
- Spoiler:
▬ Histoire ; (25 lignes minimum)
I.How I meet your mother.
-Dis Papa, comment t'es tombé amoureux de maman? -C'est une longue histoire ma chérie tu sais. -Allez raconte moi...S'il te plait. -Bon, c'était en...
C'était il y a 18 ans. Ils avaient alors 20 ans à cette époque. Yuùi, sa mère, d'origine japonaise, était infirmière dans un hopîtal et Dorian, son père, était le fils du directeur. Le père de Dorian voulait que celui-ci lui succède, mais il refusa l'offre de son père lui expliquant que son but dans la vie, n'était de devenir Directeur d'un hopital mais bien pianiste. La discution plutôt mouvementé fit des écos dans tout l'hopital jusqu'au service de Nana. Celle-ci, curieuse, partit écouter à la porte du bureau de directeur. Erreur, ou pas. La porte s'ouvrit, faisant tomber Nana. Heureusement pour elle, ce ne fut pas le directeur en personne mais son fils. Leurs regards se croisèrent, il lui tendit la main sourire aux lèvres. Quelques temps après, elle posa sa démition sur le bureau en tecque du directeur et s'en suivit une belle histoire d'amour. À la naissance de leur fille, ils achetèrent un vieux bar, abandonnat leurs rêves de pianiste et de chirurgienne.
II.We're sorry.
-Montrez moi ma fille! -Nous sommes désolé mais... -Montrez moi ma fille! -Nous ne pouvons pas pour l'instant, il y a eu quelques complications lors de l'accouchement et...
On commence la vie avec quoi? Des problèmes. L'enfant avait mal réagit, son coeur en avait subit les conséquences. Pendant plusieurs jours, l'on attendit le donneur, anxieuse, la mère pleurait. Le père, lui, aurait voulu que tout aille bien et en vain, il essayait de consoler Nana. Enfin, l'opération pu avoir lieu. Un nouveau coeur, la vie, la vraie. La mère, ancienne infirmière, savait combien il était rare qu'un nouvel organe ne soit pas rejeté par le corps d'un nourisson. Un fois l'implantation réussit, le corps commença à rejeter le coeur mais fut vite stoppé par les médicaments injectés. Ayame. Elle s'appellerait Ayame. Elle serait malade et sous traitement toute sa vie mais elle s'appellerait Ayame et aurait une vie. Ils emmènagèrent au dessus du bar qu'ils avaient acheté et commença alors la vie. La vraie.
III.And the Chilhood come.
-C'est quoi ça Yaya? -C'est ma cicatrice elle m'a dit ma maman. -Bah c'est moche! -Et puis d'abord c'est toi qu'est moche, nah!
Ha l'enfance...et quelle enfance dites-moi. Ayame suivit le cursus scolaire comme tous les enfants mal grè son handicap. Les adultes sachant combien la petite rousse était fragile, la surveillaient toujours et lui donnaient ses comprimés lorsqu'elle était encore trop petite pour les prendre elle même ou encore y penser de son propre chef. Un bisou magique ne pouvait pas soigner ses blessures, sa blessure. Même si le dit "bisou magique" fut le plus puissant médicament du monde. Une drogue douce dont on ne pouvait déjà plus se passer à chaque égratignure. En bref, son enfance fut un amats de surveillance, de joie et de bonne humeur. Car oui, même si l'on se moquait de sa cicatrice, on l'aimait bien Ayame.
IV. I love you. I either.
-Eh Ayame! -Oui? -Tu sors avec nous ce soir? -Beh...Ouais pourquoi pas. -Emmènes ton maillot, on va à la plage. -Oh, euh, je viens de me souvenir qu'on recevait ce soir à la maison. Désolé, une prochaine fois alors. -Hein? Mais... Mentir. Mentir pour survivre. Cacher la vérité et continuer à être vue comme on le veut. Adolescence. Studieuse, Ayame n'avait aucun problème à l'école, plutôt ouverte aux autres, elle avait beaucoup d'amis autour d'elle et elle y tenait. Aucun d'entre eux ne savaient qu'elle était sous traitement ni qu'elle était malade. Elle ne pratiquait que rarement le sport avec comme excuse envers ses amis "Mon docteur m'interdit de faire du sport, j'ai un problème au dos". Les histoires d'amours furent bien rare voir quasi inexistante. Elle connut néanmoins un certain "Paul". Son correspondant Français avec qui elle sortit 1 ans et demi puis, lorsqu'il apprit qu'elle allait partir étudier en Amérique, il décida de mettre fin à leur relation. Les parents d'ayame l'envoyèrent inquiets à New-York, priant pour que rien le lui arrive en chemin et dans le futur. Ils garderaient tout de même contact avec leur fille. Dorian et Nana se demandèrent au moment de dire au revoir à Ayame si ses crises hebdomadaire finiraient par se calmer.
V.Goodbye my lover, goodbye my friend.
-Tu fais bien attention à toi hein? -Oui Papa ne t'inquiètes pas... -Et sois mignone et polie avec Marc et Jenny. -Maman...Je ne suis plus une enfant. -Je t'aime... L'aéroport. Endroit infesté de touriste et baigné dans des adieux parfois touchants et parfois ridicules. Un soupire, un dernier baiser, un dernier au revoir et l'avion décole. Elle était partie et des heures après, elle touchait le sol américain pour la 4ème fois. Pourquoi la 4ème ? Marc et Jenny Holms étaient de vieux amis d'enfance de ses parents. Des Anglais partis habiter à New-York pour y trouver Gloire et Fortune. Ce qui était fait. Marc, gérant d'une grande entreprise d'armement militaire, ancien colonel et Jenny, photographe de grand magazine. Lorsqu'elle était arrivée, le couple l'avait prise dans leurs bras. L'ayant vu grandir de la naissance à ses 12 ans. Pourquoi ? Ils partirent en Amérique lorsqu'elle avait douze ans, là, ses parents et elle partaient en Amérique une fois par ans et le couple Holms, eux aussi, venaient une semaine par ans. New-York n'était donc pas nouveau pour Ayame qui redécouvrit sa chambre. Les Holms vivaient dans un des nombreux apartements luxueux de New-York, ils avaient aménagé la chambre d'ami afin que Ayame ne se sente pas de trop.
▬ Relations ;
Etant très amicale, Ayame a toujours eu beaucoup d'amis. Fille ou garçon, elle en a toujours eu beaucoup. Elle garde de bon souvenir de toutes ses années scolaire en particulier la dernière du collège et la première du lycée. Pourquoi? L'amour. Ô l'amour. Quel désastre. Ce type là, Paul, correspondant français, il est venu, il l'a vu, il est tomber. De haut. Il est tomber amoureux. De même pour elle. Premier baiser, premier vrai petit ami, première fois aussi. Bref. Le désastre hein? Niveau familial, c'est la bonne fille qui râle dès qu'on lui demande de faire quelque chose, mais la fille qui aime. Oh oui. Elle aime. Trop peut-être. Sa mère et son père comptent beaucoup trop à ses yeux et, d'un naturel colérique, elle serait capable de tout si jamais, ô grand jamais, on les insultait.
▬ Physique ;
Lorsque l'on aperçoit Ayame, l'on pourrait se demander " C'est quoi ça ?". Effectivement, elle n'a pas vraiment l'air d'être une Lycéenne. L'air plus jeune qu'elle ne l'est, elle est constament obligée de montrer qu'elle a bien 17 ans et non 15. Elle tient sa taille de naine par sa mère, japonaise dont elle tient presque tout d'ailleurs. Du haut de son 1m53, elle se fond dans la masse sans jamais pouvoir en sortir sa tête. Ses yeux noir, elle les tient une nouvelle fois de sa mère. Sa tignasse rousse provient non pas de sa mère mais de son grand père paternel. Ses petites lèvres soulignent un visage rond à la peau légèrement hallé. Les longs cils que possède Ayame viennent de son père et la forme de ses oreilles aussi...Plutôt mince, elle mange pourtant à sa faim, aussi petite soit-elle. Ses cheveux coupés généralement assez court, il lui arrive parfois de les laisser pousser pour ensuite les recouper à la même taille que précédement. En gros, elle tourne en rond avec ses cheveux roux qui lui arrive parfois de teindre en brun. Ce que vous ne verrez pas, par contre, c'est sa cicatrice. Cette marque entre ses seins, verticale, témoins constant de son handicap.
Niveau vestimentaire, Ayame ne se fait pas prier lorsqu'elle voit quelque chose d'inédit, de vif ou de "mignon", elle l'achète. Effectivement, Aya' aime se mettre en avant et être vue par les autres. Pas forcément pour amasser gloire etc, non. Non. Prouver qu'elle est là et que oui, elle est vivante. "Youhou je suis là" Habitué aux chaussures plates il sera rare, très rare de la voir en talon et en décolté aussi. Pas garçon manqué, elle portera parfois des robes simples. Oui, simple. Enfin un peu de simplicité, niveau robe, elle reste classique. Niveau maillot ? Elle n'a pas de maillot. Enfin si, elle se baigne chez ls Holms l'été. Quoi ? Dans un appartement ? Mais non, voyons, dans leur villa près de Miami. Riche, ils étaient riche oui, mais ils étaient vieux.
▬ Caractère ;
Il arrive parfois que vous rencontriez une personne de ce genre. Une personne maladroite à qui il n'arrive que des crasses mais qui chaque fois, sans réfléchir, se relève et continue à avancer avec le sourire. Une de ces personnes attachante par son histoire et par sa volonté de vivre. Ce genre d'être tellement naïf et idiot par son comportement et dont vous pensez qu'il n'ira pas très loin dans sa vie sans votre aide à vous. Faux. Erreur. Ayame n'est pas idiote. Elle a certes conservé son âme d'enfant, elle n'en ai pas moins aussi intelligente que la plus part d'entre vous. Elle ne vous demandera pas votre aide, fonçant tête baissé dans les ennuis. Aucune notion du danger vous dites? Ma foi, c'est un fait. Egoiste, elle ne vous proposera pas son aide non plus. Sauf si vous lui êtes cher ou si, simplement, elle vous aime bien. Tête en l'air, elle ne manquera pas de vous faire languir sur un banc alors qu'elle, est encore couchée et a complétement oublié votre rendez-vous. Bornée, Ayame continuera ce qu'elle a commencé coute que coute. "Ne jamais baisser les bras". Attachant une très grande importance à ses amis, elle ne les laisserait tomber pour rien au monde. Même pas vous. Ne sachant pas vraiment se maquiller, ou du moins, ne trouvant pas l'interet de se barbouiller de graisse de baleine, elle préfère rester naturelle et ne soulever son regard que par quelques artifices tel que le crayon noir et le mascara. Anxieuse, elle s'inquiètera pour un rien. Malade, elle ne fera pas de gros efforts sportif. Courir ? Oubliez. Ayame est quelqu'un de maniaque, voulant a tout prix que tout soit comme il faut, comme ceci, comme cela. Bref, maniaque. Sa chambre c'est comme Ikea, c'est rangé et on a pas le droit de toucher. C'est aussi quelqu'un de calme et posé lorsqu'elle est fatiguée, comme tout le monde à vrai dire mais le problème c'est que, son cœur s'emballant rapidement, elle se fatigue trop vite, c'est pour cela qu'elle est dispensée de sport du moment qu'elle ne se sente pas en forme ou que le sport en question est trop « dangereux » pour elle. Elle prend un malin plaisir à se faire dispenser lorsqu'elle n'a tout simplement pas envie de faire du sport sur le moment. Elle déteste qu'on la sous estime et n'en fait qu'à sa tête, prenant le risque de faire un arrêt. Ayame est quelqu'un de très impulsif et colérique, elle ne se laissera jamais faire. Si vous ne lui plaisait pas, elle vous ignorera ce qui dans la plus part des cas est très probable. Lorsqu'elle vous accordera la permission d'être son ami, elle fera tout pour vous rendre heureux mais jamais au grand jamais elle ne vous dira qu'elle est malade. C'est quelque chose qui l'effraie. Peur. Elle a peur du jugement des autres c'est pour cela qu'il est presque impossible de fouiller dans ses poches, dans sa chambre ou bien de voir sa cicatrice. Toujours souriante, elle est heureuse de vivre et vit au jour le jour ne réfléchissant pas à l'impact de ses actes. Fidèle en amitié comme en amour elle ne vous laissera jamais tomber ou bien vous l'aurez cherché. Elle pardonne très facilement au gens mais lorsqu'il s'agit de son secret, elle ne l'oubliera pas. Un mot de trop et c'est terminé. Ayame est quelqu'un de très studieux et est attentive en classe, autant être là pour quelque chose. Elle ne mentira jamais, même si elle vous aime (ou pas) elle ne vous cachera pas la vérité. Sa vérité. La seule chose qui déroge à cela c'est son « secret ». Il ne sera pas rare de la voir à la plage ou au port, en bref près de la mer profiter du beau temps. Car, ayant hérité d'une peau très blanche, il lui est difficile de cacher son état lorsqu'elle ne va pas bien. C'est quand elle quittera la classe sans un mot, lorsqu'elle vous laissera tomber silencieuse, qu'elle se sentira mal. Professeurs, personnels de l'université et famille sont donc les seuls à savoir. Elle ne vous demandera jamais de l'aide, se refusant d'être dépendante de quelqu'un. Courageuse, elle fait face aux problèmes sans hésiter, peut-être est-elle simplement trop sûre d'elle? D'un naturel enjoué, elle aimera participer à toutes sortes de fête ou sorties entre amis, se changer les idées, c'est quelque chose dont elle raffole, tout comme les sucreries qu'elle a toujours sur elle. Elle aime se poser sur l'herbe et profiter du calme que peut offrir un parc lorsque celui-ci est vide.
▬ La plus grande honte du personnage ; Ormis sa "maladie", Ayame n'a jamais vraiment eu honte. Oh, si, peut-etre. Lorsque ses parents avient eu la superbe idée d'inviter la moitié du lycée pour sa fête d'anniversaire et qu'elle, elle était mode-Off. Donc, ni coiffée, ni maquillée ni rien d'ailleurs.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; Guerre&Violence&Maladie. Hm. Quoi d'autres ? Que sa petite maman et osn grand papa finissent broyés dans un escalator et qu'elle finisse ses jours sur une barque en plein milieu de l'océan. En gros, 2012.
▬ Définition du paradis pour le personnage ; Couleur&Fleu-fleur&Amour&Paix&Bonbons. Bienvenue dans le monde des bisounours, tout est rose tout est mangeable. Les méchants finissent dans la mousse qui sert à faire des dirigeable (8) Texte par moi, evidemment. x) non sans blague, quelques chose de bien.
▬ Crimes déjà commis ; La dernière fois qu'elle est allé au poste, c'était pour dire qu'elle s'était faite voler son porte-feuille. En gros, aucun crime.
_____ Behind the screen ? A player ! _____
▬ Prénom ou pseudo ; Yuko. ▬ Âge ; 15 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Une amie :] ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
« La fatigue engendre les plus séduisantes grimaces. » Jacques Rigaut Écrits. Enfin, il avait l'air plus détendu, plus a l'aise avec elle. Visiblement, il n'aimait pas sa famille, hormis Loan. Elle ne la connaissait pas mais avec la façon dont il parlait d'elle, elle ne pouvait être que gentille. Aaron venait donc du Texas, le pays de Sandy dans bob l'éponge -vive les références-, Joyce non plus n'aimait pas les chevaux, ils étaient trop grands, trop forts, trop lourds. Mais ils avaient l'air tellement libre, même enfermé dans un enclos de je ne sais combien de mètre carré, il semblait aussi libre que le vent. Elle laissa Aaron dans sa contemplation du plafond et regarda ses DVD, ils n'avaient pas vraiment grand chose a faire et, même s'il semblait plus a l'aide, il ne l'était pas encore totalement, un film serait peut-être bienvenu dans ces moments là. Elle fouilla et sortis beaucoup, beaucoup de DVD sans trouver son bonheur, lorsqu'une pochette tomba de l'étagère, un film, certes, mais un film d'horreur. Il semblait intéresser Aaron, elle lui proposa alors.
-Euhm...ça te tente ?
Elle n'eut même pas le courage de regarder le titre, la pochette était assez effrayante comme ça et pourtant elle paraissait sûre d'elle. Elle alluma la TV et le lecteur DVD par la même occasion. Elle mit en route le film et avant qu'il ne commence, pendant les « pubs » elle sauta par dessus le canapé sans tomber, ce qui était un exploit.
-Film rime avec pop-corn et couvertures, je reviens, mets toi à l'aise j'arrive!
Elle fila dans la cuisine, mit le paquet de pop-corn dans le micro-onde et le programma puis traversa le salon pour prendre sa couette et la traina avec peine sur le canapé, elle sentait encore Joyce même si elle était propre de l'avant-veille. La jetant sur Aaron elle partit dans la cuisine où l'odeur du pop-corn se faisait déjà sentir. C'était prêt. Elle prit avec précaution le paquet gonflé, se brulant les doigts, elle versa le tout dans un gros saladier et, le portant dans le salon, les doigts dans la bouche, elle s'assise près d'Aaron, mettant le saladier entre les deux, sur la couette. Elle se glissa sous celle-ci et le film commença. Films d'horreurs, elle en avait...peur. Comme presque tout le monde d'ailleurs. A peine la première scène « flippante » passée , elle mit une poignée de pop-corn dans sa bouche, fermant les yeux a demi, curieuse de voir ce qu'elle aurait manqué si elle les avait fermé, ce qu'elle regrettait toujours, d'avoir regardé. Par moment, lorsque, gourmande, elle plongeait sa main dans le saladier, concentré sur le film, sa main touché celle d'Aaron et la faisait sursauté, manquant de faire tomber le bol. Et elle riait. Elle riait de sa bêtise. Alors que la musique qui faisait battre votre cœur a cent a l'heure, elle chuchota a Aaron, comme s'ils étaient dans un cinéma. Ce qui y ressemblait, les rideaux tirés, même s'ils n'étaient pas opaque le ciel était noir, de nouveau. Un éclair éclaira pendant un instant l'appartement, Joyce sursauta comme jamais et cria même un peu. Elle tira la couverture et se réfugia à l'intérieur, attrapant la première chose qu'elle toucha. Cette chose était chaude et...vivante ? Elle lâcha prise et regarda ce qu'elle avait attrapa d'un œil qui se voulait effrayant. Le bras d'Aaron était vivant. C'était normal mais quand même, lors d'un orage toucher quelque chose de vivant sans l'avoir voulu c'est...ça fait peur hein. Elle leva la tête un instant, et au moment ou sa tête émergé de la couverture, l'orage répondit a l'éclair. Merde, le film était intéressant, du moins, ce qu'elle avait vu. Une fois que l'opéra de l'orage cessé un instant elle se remise comme auparavant. Coussin. Aaron. Le bol. Joyce. Coussin. Coussin. Coussin. Un peu rapide niveau coussin ? Non, du tout. Elle lui en donnerait un volontiers si il lui en demandait un. Ou il pouvait se pencher pour le prendre, elle n'était pas radine, elle ne pense pas a tout.
-Oui je sais, avoir peur de l'orage a 18 ans c'est complètement débile et immature. Mais voilà. J'ai peur. Plus qu'avec ce foutu DVD là! Non mais les gens qui font des films d'horreurs je suis sûre c'est des gros psychopathe. Et vas-y que je te tranche le bras et puis viens là que je te viole. Non mais quand même.
Rien qu'en disant cela, elle en avait la chaire de poule. Elle savait que « guérir » d'un viol était dure. Elle connaissait une victime de viol mais elle préféra ne pas revenir a ce sujet. Se concentrant au maximum sur le film qui touchait bientôt à sa fin, ce qui signifiait que la scène la plus hard allait bientôt arriver, elle prit un coussin et essaya de étouffer avec. Puis, derrière l'épais oreiller, elle dit a Aaron.
-Je veux pas regarder, ça fait trop peur.
Même si elle disait cela, elle baissa juste un peu le coussin pour voir la moitié de l'écran, ce qui lui suffirait amplement pour faire des cauchemars pendant une semaine. « Contre la peur, un seul remède: Le courage. » Louis Pauwels L'apprentissage de la sérénité.
▬ Connexion ; 6/7 ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK par Cash ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON ▬ Célébrité sur l'avatar ; Ai Otsuka ▬ Multicompte(s) ; Non ▬ Un dernier truc à dire ? ; °^° NYEHEH
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