~ Nom : Le même que mon père qui l'a eut du sien, Satô.
~ Prénom : Mashiro mais peu de monde m'appelle comme cela, c'est Shiro ou ... Bakemono
~ Âge : Quoi ? T'es vieux ! Pardon ? *sert les poings et les dents* J'ai 26 ans
~ Nationalité : Je viens tout droit du pays du Soleil Levant, japonais quoi !
~ Groupe : Il parait que je suis un Hors-la-Loi, je suis pourtant clean ... je crois.
~ Statut et activité dans la vie : Je suis célibataire et heureux. Sinon je m'occupe de jolies filles qui trainent la nuit sur les trottoirs, les protégés de mon Kumicho, je suis un kyodai gentil et obéissant.
~ Orientation sexuelle : Les mecs ? Euuh ... très peu pour moi. Ca sera une blonde pour moi ! Ou une brune ... j'hésite toujours, c'est comme la bière.

~ Histoire : Tout débute dans la ville de Kyoto, au Japon, ancienne capitale impériale du pays. Kawasa Takafumi et Uesugi Mariko sont deux jeunes à la dérive, issu de famille à difficulté tous deux sont trouvés, s'aiment à la vie à la mort et se soutiennent mutuellement face aux dures épreuves qu'ils doivent surmonter. Accumulant les petits boulots afin de payer l'appartement qu'ils ont décidés d'avoir en commun pour vivre l'un auprès de l'autre, les fin de mois sont serrés mais ils sont tous les deux et cela est l'essentiel. L'arrivée inopinée d'une nouvelle peu réjouissante bouleversera le quotidien uni des deux amants, Mariko est enceinte, comment cela a t'il pu arriver alors qu'ils se sont toujours protégés pour justement ne pas avoir ce genre de conséquence fâcheuse. La jeune femme ne sent nullement prête pour devenir mère, voyant que déjà à eux deux la vie n'est pas aisée alors une autre bouche à nourrir et à soigner n'est pas ce qui pourrait leur faciliter leur vie. Pourtant Takafumi n'est pas de son avis, et ne veut pas que sa compagne avorte et souhaite garder ce petit être qui n'a pas choisi d'être là. Mariko fera par amour le choix de suivre celui de son compagnon mais beaucoup à contre coeur, sachant que leur futur deviendra enfer.

~ 26 décembre 1982, la neige tombe à gros flocon sur la ville, Kyoto se voit entamer un dur hiver rigoureux rythmé par un vent froid glaçant les os. Et bien ce fut ce jour là, que l'enfant de Takafumi et Mariko décida de vouloir pointer son nez afin de connaitre la dure réalité de la vie. Le jeune femme manqua de peu de mettre au monde son fils à l'arrière du taxi qui emmenait le couple à l'hôpital, mais il put naitre au coeur des mains d'un médecin expert qui lui promettait une naissance assurée. Un magnifique bébé déjà fort et robuste, mais Mariko semble déjà se vidé de tout sentiment heureux, ne se réjouissant aucunement de sa venue sur Terre. Takafumi, lui, est comblé et accueille le petit Mashiro comme il se doit. Le retour à la maison se fait dans une atmosphère plutôt tendue, la jeune femme refuse de s'occuper du nourrisson, laissant cette responsabilité au père qui lui semble ravi de s'occuper de ces tâches. Mais au fil des mois des passe, rien ne change, Takafumi fatigue mais sachant que son fils serait sans soin si ce n'est pas lui qui s'en charge, il ne compte pas faiblir, mais tous les hommes ont des limites et Taka découvrira les siennes alors que Mashiro fêtera ses trois ans. A bout de force, il devra être hospitalisé, Mariko se réveillera alors et se rendra compte de son erreur de lui avoir laissé la totale charge de leur enfant. Durant le séjour à l'hôpital de son compagnon, elle tentera de s'occuper de son fils, frôlant parfois la catastrophe par certains gestes négligés. Son rôle de mère, elle n'arrive pas à le tenir, se retrouve très vite acculé de tache et finit généralement par tout laisser tomber, négligeant son petit garçon. Quand Taka rentrera enfin chez lui, il sera confronté à un appartement sans dessus dessous, un petit garçon baignant dans des vêtements sales. Sa compagne quand à elle, semble totalement descendu au plus bas de son moral, il découvre même des cachets étranges trainant de part et autre de l'appartement. Désespéré, il ne peut refaire autant d'effort, cela le tuerai, on lui a dit, alors, il décide de baisser les bras, c'est à partir de ce jour que Mashiro sera donc totalement livré à lui même enfin il sera tout de même nourri et changé (quand ces parents y ont pensé).
Les années passent mais n'évoluent nullement. Mashiro a commencé à aller à l'école, devant défier quotidiennement le regard des autres enfants à cause de son hygiène de vie marquant son visage. Pourtant, cela ne semble pas blesser l'enfant qui tente tout de même de sourire et d'être heureux. Il a beaucoup de difficulté avec ses leçons, ayant beaucoup de retard au niveau de la parole, mais le petit garçon s'accroche, il veut progresser et prouver aux autres qu'il est une personne intéressante. La directrice de l'école de Shiro, alerté par l'état de décrépitude dans lequel semble vivre Shiro, finira par contacter les service à l'enfance, ces derniers décideront de retirer Mashiro de son cocon familial quelques mois, le temps que ses parents reprennent quelque peu leurs esprits et faisant tout pour tenter de le récupérer. Il se souvient encore aujourd'hui de ces cris de souffrance et de ses pleurs qui ne chambouler pas le moins du monde ses parents assis sur leur précieux canapé. Effort qui ne perdureront pas et même qui finiront par causer un événement tragique qui bouleversera le futur du petit garçon. Alors qu'il venait de fêter ses sept ans, Mashiro devra être confronté à la perte douloureuse de sa mère. Cette dernière étant finalement devenue totalement accroc aux antidépresseurs, finira par en abuser et succombera d'une sur dose. Cette mort prématurée aurait des conséquences plus que dramatique pour Shiro, son père ne supportera ce départ, pensant que tout cela vient finalement de son choix d'avoir garder leur fils, il s'emplira de colère envers lui même mais également envers son fils, lui qui n'est nullement en cause de tout cela. Takafumi sombrera dans l'alcool et Mashiro continuera à s'élever et s'éduquer seul. Sa vie dégénérera vite, son père deviendra vite addict de comportement violent, n'hésitant plus à exprimer sa colère par des coups qu'il affligera à son fils, ce dernier restera pourtant avide d'espoir pour ce qui est de réussir sa vie personnel, restant toujours souriant et de bonne humeur malgré les bleus et les contusions qui apparaissent de plus en plus régulièrement. Mais personne ne semble sensible à ses efforts afin de rester le plus sociable possible, à l'école, il est continuellement pris comme bouc émissaire et souffre douleur, Mashiro sait que si il continue à rester impassible, un jour tout ceci aura sa peau. Il décidera d'entamer sa rébellion, beaucoup plus jeune que tout le monde, n'hésitant plus une seconde à cogner ceux qui le rebaisse et lui font du mal. Cette naissance d'acte de violence ne fera que s'agrandirent quand il s'apercevra que la peur inspire finalement le respect, et ne cessera jamais de la faire éprouver à un maximum de gens.
Mashiro se créera donc un monde en solitaire où tout ceux qui le croise n'exprime que crainte et frayeur. Durant ses années de collège, il commencera à cumuler les délits, mineurs certes mais sera souvent mis à pied du fait de son attitude violente envers les autres élèves. Manquant d'attention au sein de son foyer, il tentera tout de même d'en trouver à l'extérieur auprès de jeune qui comme lui ont connu une vie dur et les ont conduits à des attitudes rebelles. Shiro débutera sa vie dans la rues, côtoyant tout ce qu'un jeune garçon ne devra pas connaitre aussi jeune, sa vision des choses se détournera de la réalité et ne trouvera plus aucun intérêt à apporter quelconque compassion envers quoi et qui que ce soit, pour lui l'univers est un enfer où régnait en Satan est le seul espoir de s'en sortir vivant. Son niveau scolaire est quasiment inexistant, profitant des moments de cours pour faire régir sa terreur auprès de tous ou tout simplement trainer dans la cours afin ses nouveaux compagnons de galère. Dans ce domaine ci, il n'a aucun avenir et cela semble nullement le toucher, il est bien entendu voué à ne jamais aller à l'Université et se voir offrir des perspectives d'avenir au sein du monde du travail. Tout ce qu'il avait espérer étant enfant lui a totalement échappé, ne pas finir comme ses crétins de parents, il semble bien parti pour suivre le même chemin. Il finira par rentrée dans un lycée déchet, où les professeurs ne tentent même plus de faire respecter leur autorité de peur de finir à l'hôpital après avoir subi les châtiments des élèves qui ont fait de ce lieu scolaire un immense terrain de jeux. Pourtant Shiro se sent finalement bien, il s'est construit une réputation de guerrier, connu par la puissance de ses coups que personne ne veut subir hormis les masochistes qui subiront un triste sort, il est enfin respecté de tous, ou du moins de ce qu'il côtoie quotidiennement et cela lui suffit amplement. L'adolescence, période de la vie où les jeunes êtres de sexe masculin se voient attirer par les beautés des corps s'arrondissant de formes voluptueuses, Mashiro trouvera de nouveaux jeux, s'amuser avec le coeur des filles en les abusant et les brisant sans aucuns états d'âmes. Sa côte est loin d'être au plus bas pourtant, voyant quotidiennement des jeunes femmes battre des cils pour lui, son physique avantageux et sa personnalité de rebelle ne faisant que les attirer. Les filles deviendront pour lui de simples trainées, n'existant que pour son bon plaisir. Filles qui lui feront commettre un acte abominable, celui de causer la mort à l'un de ses pairs. Une mise à tabac qui aura pour conséquence de mettre fin à la vie d'un de ses camarades de lycée, pourtant il échappera de peu à la prison, personne ne sachant réellement si il s'agissait de lui ou du moins clouant soigneusement leur bouche afin de ne nullement subir la colère de Shiro. Les mauvaises graines ont pourtant un soupçon de chance de pouvoir avoir un avenir, si bien entendu, on fait passe des cotés honnêtes. Peu de temps, avant la fin de ses années de lycée, il retient l'attention d'un clan yakuza, certes très peu influant mais lui permettant de gagner sa vie et de continuer ses méfaits pour lesquels il y a autant pris goûts. Il sera qu'un membre de bas étages ce qui finira par le lasser mais on quitte pas un clan yakuza sur un coup de tête. De toutes les manières, la chance finit par lui ouvrir les bras quand un clan beaucoup plus influant décida de s'approprier le petit clan dont Mashiro est membre. Il finira par trouver son maitre, celui pour qui il portera le plus grand des respect, Keitaro Ishii, le kumicho du clan Ishii, pourquoi ce si grand intérêt ? Tout simplement parce qu'il le mérite et qu'en plus de cela, il lui offre l'occasion de jouer dans une autre cours, un espace plus vaste, le clan décide de déménager pour les Etats-Unis. Là-bas, il se verra acquitter d'un poste non négligeable, celui de maquereau pour le compte du Kumicho, il devra s'occuper de filles principalement d'immigré venue de toute l'Asie sans compter d'autres taches plus sales pour lesquelles il apporte également toute son attention.

~ Relations : Dans l'Univers de Mashiro, nous pouvons trouver ... lui et son nombril. Non, soyons sérieux. Bien entendu que Shiro possède des relations mais ces dernières sont principalement situées au sein de sa "Famille", ce sont ces personnes qui le côtoie le plus souvent, les autres ne font que sortir de sa vie tout aussi rapidement qu'ils sont rentrés. Ses seules réelles attaches, si nous pouvons les nommer comme telles sont donc les membres du clan Ishii. Au sommet de ses relations se situe Keitaro Ishii lui même, il est son grand patron et lui porte énormément de respect comme son rang l'exige mais également parce qu'il peut clairement se poster comme un exemple à suivre. Ses relations amoureuses sont éphémères, étant parfaitement incapable de garder le cœur d'une femme contre le sien qui semble être aussi dur et rigide qu'une pierre. Sa plus longue relation a dut peut être durer un mois et encore, il avoue être allé voir ailleurs. Sexuellement par contre, tout va bien pour lui, si il ne couche avec les premières venues lors de soirées arrosées et enfarinées, il peut compter sur les courbes voluptueuses des filles sous sa garde qui ne sont nullement rebuté de lui offrir gratuitement du plaisir.