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| | Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 12:29 | |
Feat "Diane KRUGER"
(c) CHERRYLIPS™ |
_« Bella VON STRÄTEN »_
_____ This is who I am _____
Bella Sträten est née en Europe, loin de la ville qu’elle habite maintenant. Le 24 janvier de 1986 le bout de chou vu le jour dans un climat de terreur et de pauvreté, la RDA n’était pas épargnée par les mauvaises conditions que l’URSS imposa à ses satellites. C’était avant que le mur tombe et que l’Allemagne finit par n’en former qu’une avec ses deux moitiés. Aujourd’hui elle a 24 ans, ne supportant pas les surnoms elle n’en a adopté aucun au grand amusement (ou dam ) de ses amies qui lui en attribuent quelques uns qu’elle renvoie dans l’oubli en les entendant. Son passeport indique la nationalité allemande, mais il suffit d’observer ses traits pour reconnaître ce peuple descendant des Vikings, ses longs cheveux blonds, sa peau porcelaine et ses grand yeux bleus paisibles la trahissent toujours. Héritage de ses géniteurs, elle pratique la même activité que sa mère, hôtesse de l’air, métier qui lui va comme un gant, car elle est incapable de rester au même endroit pendant une longue période, job qu’elle a quitté il y a quelques mois, avant de le rependre quand sa nouvelle vie commença. Elle est considérée étrangère à New York et ce statut lui convient parfaitement, Bella se considère elle-même comme une habitante du monde. Elle a toujours été attirée par les hommes, la virilité est une faiblesse chez elle cependant, elle n’est pas à l’abri des surprises car elle n’a jamais rien essayé avec les femmes, trop prude ou trop timide, elle préfère s’égarer sur des chemins que la société semble encadrer comme « respectables ».
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_____ Wanna know more ? _____
▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
▬ Histoire ;
} CHAPTER ONE : LE PASSE UN MAIGRE REFLET DU FUTUR. « Maman, maman, papa arrive ! » - Bella va te laver les mains il est l’heure de dîner ! - Mais maman, papa …- Je t’ai entendue chérie, va te laver les mains, tu verras papa après ! Allez dépêche-toi.La petite fille s’éloigna de la fenêtre du salon avec regret, sans lâcher de ses iris azuréens le taxi qui venait de se garer dans l’allée de la maison. Les taxis étaient comme les messagers de l’arrivée de ses parents, ces derniers partaient pour les quatre coins du monde via leur travail, se relayant pour garder l’enfant qu’ils refusaient de céder à une nourrice étrangère à leur amour. Cela faisait quelques jours que le fantôme de son géniteur flânait dans la maison, son absence pesante pour les deux femmes était taboue car si Bella était trop jeune pour s’en rendre compte, pour ça mère cela signifiait la fin de son mariage, en parler. Elle ne supportait pas leurs courtes retrouvailles, Bella s’en apercevait à chaque nouvelle séparation, le visage de sa mère la trahissait souvent, peut-être cela était dû au fait que la petite fille était une copie conforme de sa génitrice l’enfance en plus ? Néanmoins, Bella ne commentait pas car, la seule fois où elle avait osé prononcer ces mots perfides en question fragile, sa mère avait éclaté en sanglots mettant fin à toutes ses interrogations qu’elle tapit au fond de ses abysses. Quittant le salon pour rejoindre la cuisine en faisant un léger détour par la salle de main pour obéir à sa mère, il ornait sur les lèvres de la petite fille un sourire incommensurable, ses yeux pétillait de joie, comme à chaque fois qu’il revenait. Elle ne se lassait pas d’écouter ses récits de lieux inconnus, de personnes étrangères, confortablement assisse sur les genoux de son mentor, son père, celui qu’elle chérirait toujours, il lui octroyait un rêve sans fin, et malgré la distance, Bella l’aimait toujours autant. Papa était pilote, maman hôtesse de l’air, chez les Von Sträten le voyage était un héritage sanguin, gitans dans l’âme, ils ne se fixaient point longtemps quelque part. Comme des marins amarrés au port ils ne trouvaient aucune félicité a avoir les pieds sur terre, leurs se dénigreraient automatiquement, ainsi que la vie qu’ils laisseraient s’échapper. Bella fut incapable de ne pas suivre les pas de ses parents, volant de ville en ville, elle trouva son confort dans le métier d’hôtesse de l’air qu’elle exerçait avec une passion chevronnée. Bohème de nature elle délaissa l’Allemagne pour bâtir une vie dans d’autres contrées, Paris, Londres, Rome, Rio, des villes qu’elle connut par ses voyages qui l’intéressèrent par moment, avant que son attention fut égarée ailleurs. Finalement arrivée à l’aéroport de JFK du Bronx elle décida de s’installer à New York, cherchant un appartement à Manhattan, un tout meublé, comme à son habitude, il était inconcevable qu’elle traîne ses affaires personnelles d’un pays à un autre, seule sa garde-robe lui appartenait réellement, un mode de vie spartiate en quelque sorte. Ses cheveux couleurs blés qui couraient sur ses épaules frêles, cachaient son sublime regard océan qui pétillait d’astuce. Ses lèvres fines superbement dessinées sur une peau porcelaine, délicate et blanche, maquillées à souhait s’égaraient bien souvent contre les courbes viriles d’hommes qui n’appartenaient pas à sa vie. La beauté fatale et à la fois pure de Bella n’échappait pas aux réservoirs de testostérone, néanmoins incapable de se lier à ces inconnus, la jeune femme préférait courir derrière la liberté plutôt qu’une possible famille. Peu certaine de ne pas devenir comme sa mère et en souffrir autant, Bella ne cessait d’échapper à ses fortes mains qui n’avaient autre loisir que caresser ses courbes pendant un éphémère instant. Néanmoins, la Fortune n’épargne personne et prisonnière de son propre sort, elle poussa la porte du Morrison’s bar, signant à la fois sa propre fin et le début d’une nouvelle ère. } CHAPTER TWO : UN MONDE FAIT DE RÊVES, DE DELICES ET D’AMOUR.
Cher Journal, Ses lèvres, sa peau, sa respiration, son odeur. Tout en lui m’attirait, tel un chant de sirène auquel j’étais incapable de résister, mes boyaux se tordaient sous ce plaisir latent du venin que ses lèvres déversaient dans ma bouche avide de sa personne, mes cellules, mes pores tout appelait à lui, je n’en pouvais plus, étirer le plaisir au plus profond des abîmes de la patience était un de mes plus profonds plaisir, cela donnait des ailes à l’extase, néanmoins avec lui il suffisait de peu, ses doigts habiles savaient où me trouver mon talon d’Achille , tel un ancien amant qui connaissait son autre moitié pour l’avoir tant de fois explorée, il me faisait l’effet d’un feu d’artifice, intente et brillant… Cette nuit je n’étais pas prêt à l’oublier… elle me hanterait comme son le fantôme des remords qui ne tarderaient pas à quémander leur dû … Il est trop tard … je me suis égarée sans carte et sans chemin de retour. Dale Morrison m’a définitivement conquise, merde. Apportez moi les boulets, qu’on m’enchaîne, que je souffre pour faire tomber cette douleur intense qui m’effleure lorsque je sais que mon état de perdition s’approche…Je ne veux pas… je ne peux plus lutter, dérobant à mon donjon, il a pris mon cœur battant et loin de lui la vie me semble fade. Putain. Je suis perdue, que l’on m’aide, je n’en peux plus, je vais suffoquer, de l’air, Sors de ma tête … reviens. Enfer paradisiaque Extrait du journal de Bella Von SträtenUn bar comme les autres et pourtant la jeune femme ne pouvait s’empêcher de pousser la porte du M.B à chacun de ses retours de voyage. Les cockatils, le service y étaient particuliers, au point que le nom du bar se répande dans tout New York comme une traînée de poudre, Bella aimait passer de nombreuses heures assisse à l’une des tables en bois massif, un livre à la main malgré le brouhaha incessant qui rythmait les lieux. Une autre raison la poussait à revenir sans cesse sans qu’elle n’ose se l’avouer : Dale, le propriétaire. Son regard bleu l’avait conquise, son sourire bon enfant troublée et sa personnalité unique l’avait définitivement conquise. Cependant, trop fière pour y accorder une importance quelconque à ce douteux attachement, elle décida de continuer sa vie, ignorant ce petit cri silencieux qu’elle étouffait aux tréfonds de son âme. Néanmoins, les choses prirent une autre tournure sans qu’elle ait pu y être pour quoique cela soit, ils commencèrent à se fréquenter et l’amour se peignit bientôt dans leur cœur. FLASHBACK – La nuit était bien avancée, les volets à peine tirés laissaient entrevoir des rayons lunaires, qui sans gêne se glissaient sur le parquet de l’appartement silencieusement. Bella se retourna avec précaution de peur de l’éveiller, faisant face à celui avec qui elle partageait la couche, ses yeux ne purent s’empêcher de détailler ses traits paisibles. Les paupières closes, la bouche légèrement entrouverte, Dale avait une bouille d’enfant. Son souffle se perdait dans son oreiller blanc, tandis qu’il chevauchait des rêves dans une dimension onirique. Son buste à peine couvert par les draps blancs emmêlés, symbole de leur nuit agitée, se soulevait à intervalles réguliers, fort, musclé, forteresse d’un cœur bien caché. Le brun était touchant, fragile, accessible dans une telle position, s’empêchant de laisser ses doigts courir sur sa peau tendre, elle résista à l’envie de le toucher, encor et encore. Bella ne put empêcher son cœur de s’emballer en l’observant ainsi, voyeuse illégale, elle ne se lassait pas de le regarder avec ce calme olympien, les prunelles brillantes d’une affection attendrissante et démesurée. La courbe de ses lèvres embrassa superficiellement sa joue marquée par la trace d’un de ses bras, de peur de l’éveiller et briser ce parfait instant elle se dégagea du lit silencieusement. Ses pas glissèrent sur le bois froid, la menant jusqu’à la bordure des fenêtres, observatrice de l’intérieur. Sans gêne aucune de sa nudité, son regard se perdit sur les ruelles vidées d’une quelconque présence humaine, seuls quelques rares chats errants hantaient les lieux abandonnés. L’un d’entre eux attira particulièrement son attention, perché sur un mur il semblait vouloir atteindre un point qui était invisible à Bella de son point d’observation. Elle esquissa un sourire, en constant ses essais nuls et la conviction de la bête qui ne semblait pas vouloir abandonner. Amusée par le manège du chat, elle ne semblait pas avoir entendu Dale se lever et se glisser derrière elle. L’emprisonnant de ses bras, elle senti la symbiose de leur peau en contact et ne put s’empêcher de frissonner de plaisir. Le souffle du jeune homme vint s’égarer sur les délicates courbes de son cou, lui arrachant un léger rire. Il la savait sensible à certaines parties, et en profitait sans honte, le fourbe. Bella fit volte face pour le regarder, ancrant son regard attendri dans celui de Dale qui semblait aussi briller dans l’obscurité. Sans prononcer un mot, elle se pencha doucement en avant, ne le quittant pas des yeux, sa bouche cherchant la sienne dans cette semi-obscurité, le nez de la belle, effleura celui de l’autre, geste d’affection qui la trahissait sûrement, leurs lèvres se rejoignirent enfin et elle ferma les yeux pour se délecter de cet instant. Le cœur tambourinant dans sa cage thoracique, c’était comme si un feu d’artifice venait d’imploser dans ses entrailles, elle ne se lassait pas de son toucher, de sa peau, ses doigts mémorisaient ses traits tandis qu’il l’attirait vers le lit, pour qu’ils se perdent une fois encore, dans une merveilleuse volupté. Et dans l’attente interminable de ses songes, elle se laissait bercer par les vagues de l’amour qui les faisaient échouer sur des paradis déserts, laissant ainsi profiler sur des horizons distants, la cruelle réalité latente qui les observait dans les méandres de l’obscurité le bonheur parfait dans lequel ils flottèrent, sans bouée, sans marrée, sur la douce ondulation d’un océan charmé par leurs murmures échangés…Elle aurait souhaité que cela soit ainsi, que cet instant parfait où nos corps se rencontrèrent une nouvelle fois, s’allonge dans le temps, l’étirant encore et toujours, nous laissant haletants entre deux baisers échangés, goûtant à ce plaisir nouveau de nous laisser, enfin, aller, portés par des douceurs extrêmes qu’Aphrodite leur offrait sur un plateau d’argent. [Passage à la première personne pour qu’on puisse reconnaître Dale & Bella] A l’instar de mes croyances, un léger soupir de plaisir s’échappa de la commissure des lèvres de cet autre qui me semblait si étranger et pourtant si familier. Mon être tout entier semblait le connaître depuis des années, la texture de sa peau, son souffle léger m’étaient étrangement coutumiers malgré l’exploration de mes mains qui se laissaient égarer tantôt sur son dos musclé, tantôt sur ses fesses bombées, mes doigts réchauffés par la nouvelle activité que j’abritais, se perdaient dans des caresses éthérées, tandis que ma bouche toujours plus avide de son souffle savoureux glissait vers les méandres de sa gorge assoiffée. De cette suave bouche j’exigeai d’en n’entendre plus, le plaisir fulgurant qui me traversa à cette pensée là, donna une nouvelle impulsions à mes mouvements, plongé dans une apnée, je manquais d’air, aveugle derrière le rideau de mes paupières closes je ne voulais point observer ses traits, me remettre à mes seuls sens étaient à la fois délicieux et dangereux, à tout instant, je pouvais basculer et perdre le peu e contrôle qu’il me restait, la limite proche et aisée de franchir me narguait somptueusement, prisonnier de ses bras d’acier j’arrêtai de lutter le chant de la sirène avait était bien trop envoûtant pour que les murmures saillants de cette conscience trop responsable ne tombent face à l’ennemi convainquant. De mes doigts fins que je laissais courir sur ce buste, nous séparant brusquement de l’ardeur de nos bouches en feu. Je le voulais tout entier, je le voulais maintenant et pour toujours. Cette dernière pensée me submergea avant que je ne perdisse pied dans le superbe allé vers le septième ciel. DU BONHEUR A L’ÉTAT PUR. C’ÉTAIT BRUT, NATIF, VOLCANIQUE... QUEL PIED. C’ÉTAIT MIEUX QUE TOUT. MIEUX QUE LA DROGUE, MIEUX QUE L’HÉRO. MIEUX QUE LA DOPE, CRACK, JOINT, SHIT, SHOOT, SNIF, PET, MARIJANA, CANNABIS, BUVAR, LSD, EXTASIE. MIEUX QUE LE SEXE. MIEUX QUE LA FELLATION, 69, MASTURBATION OU KAMASOUTRA. MIEUX QUE LE BEURRE, ET L'ODEUR DES CACAHOUÈTES. MIEUX QUE LA TRILOGIE DE GEORGE LUCAS, UN AUTOGRAPHE DE NICOLE SHOW, LA FEMME DE MICKEY. MIEUX QUE LE DÉHANCHER DE JESSICA ALBA, MARYLIN, LA SCHTROUMPFETTE, LARA CROFT, NAOMIE CANDEL, LE GRIN DE BEAUTÉ DE CINDY CRAWFORD. MIEUX QUE JAMES ARMSTRONG SUR LA LIGNE, LE SPACE MONTAIN, LA RONDE DU PÈRE NOEL, LA TEINTURE DE BILL GATES, LA RÉSURRECTION DE NASARD, TOUTES LES PRISES DE TESTOSTÉRONE, LE COLLAGÈNE DANS LA POITRINE DE PAMELA ANDERSON.
MIEUX QUE LA LIBERTÉ. MIEUX QUE LA VIE. Je l'aimais d'un amour fou, d'un désir consumant et d'une ardeur mortelle. } CHAPTER THREE : LA DECHEANCE, ABCES MORTEL QUI NARGUE LA MORT SANS JAMAIS L’ATTEINDRE.
Le raz-de-marée du 23 Décembre 2009 fait imploser les rêves de la belle. Détruisant tout sur son passage, il lui enlève une de ses variables vitales. Comme si on lui avait arraché son cœur, emporté par la marée, Dale disparaît, personne ne sait où il est, on le dit mort, elle succombe. Plongée dans un cercle vicieux sans fin, elle est incapable de se lever de son lit, la vie ne scintille plus, respirer lui est torturant, vivre lui est impossible est une possibilité qui s’échoue dans le néant. Refusant de toucher à l’alimentation de sa survie, elle s’enferme sur elle-même, la douleur dans sa poitrine la fait se recroqueviller, les larmes creusent des lits sur ses joues amaigries, détruisant toute beauté de ses traits, Bella n’est qu’un méprisable reflet d’elle-même. Vivre le jour au jour devient un combat qu’elle est incapable de mener, luttant pour survivre à l’instant. Bella s’en fout de son boulot, de ses amies, des factures, le téléphone sonne dans le vide, accaparée par le mal qui la ronge, ses rêves se voient brisés par une fatalité trop cruelle, on lui a arraché un bout de sa vie, son existence s’est perdue en chemin, elle se noie doucement. Ses yeux sont éteints, la vie lui a filé entre les doigts et elle refuse de la rattraper, passant ses journées dans son lit, a moitié endormie, des cernes violettes profondément marquées trahissent ses nuits agitées, elle fuit les cauchemars où en impuissante observatrice, elle le voit se noyer, son visage submergé par la vague. La douleur martelait ses tempes, des larmes de tristesses montèrent aux yeux de l’allemande, les lèvres pincées, elle s’adossait à son lit et prit de longues inspirations, elle sentait sa cage thoracique secouée par les sanglots, elle avait beau serrer les poings cela été trop douloureux, c’était comme si on lui avait tranché un membre, la moitié de son cœur et que l’on l’avait laissée, abandonnée à elle-même mourir tandis que l’autre l’appelait sans cesse, revenant à elle-même à des milliers de kilomètres, cri silencieux qui ne serait jamais entendu mais qui laissait une marque profonde et la signature de son passage par la douleur, profonde et aigue que rien ne pouvait ternir tant que cet être se trouvait loin d’elle… Dale…le nom mourut sur ses lèvres tandis qu’une larme sinuait sa joue allait s’écraser contre le sol. Le néant, les abîmes que représentaient ses trippes, il suffisait de franchir un seul pas, de casser un vitrail comme l’a si bien fait Bella, elle n’oubliera jamais ce visage tordu pas la douleur, pas seulement physique, une douleur qui perversement ressemblait à la sienne, les rêves hantaient sa réalité. Une folie furieuse l’aurait sûrement saisie si on ne l’avait pas faîte internée. Enfermée entre quatre murs, une tenue blanche impersonnelle, Bella s’est renfermée sur un mutisme qu’elle méconnaissait. Sa douleur était atténuée par un réconfort artificiel des médicaments, à moitié droguée elle griffait la vie pour se laisser aller, se débattant contre la survie, elle criait à la mort qui refusait de la faucher. Elle sortit enfin de ce tourbillon infernal, payant un cher tribut. Ses sentiments furent envoyés dans une boîte qu’elle se refusait d’ouvrir, tournant le dos à un passé qu’elle s’obligea à oublier, insensible aux autres et à elle-même, elle perdit de son sourire, son allégresse naturelle incapable d’être exprimée, étouffée par un malheur contenu, quitta son visage qui était désormais un masque de froideur, ses paroles gelées dans le cynisme blessait son entourage et pour cause : Bella refusait les attaches. Vivant sa vie derrière un miroir du quel elle n’était plus qu’une passive observatrice, elle voyait évoluer cette femme qu’elle méconnaissait mais qui pourtant lui ressemblait comme deux gouttes d’eau, physiquement parlant car de son ancienne âme elle n’avait désormais plus rien. Refusant de reprendre contact avec son passée, elle fréquenta les mauvaises personnes, bu les mauvais alcools, prit les mauvaises substances qui ne la firent décoller que vers un ailleurs trop irréel, trop fugace. Elle se perdit dans des bras d’inconnus qui l’utilisèrent pour des fins moins notables, se damnant pour presque rien, elle devint une escort girl sans même s’en rendre compte. Vivant cette deuxième vie comme dans un rêve, sans jamais savoir distinguer la réalité, abrutie par les drogues diverses et variées. Si on lui demandait avec qui elle se trouvait la veille, Bella serait sûrement estomaquée, incapable de donner un nom ou même qu’un visage prenne forme dans ses souvenirs. Gueule de bois sur gueule de bois, elle guettait la mort avec une passivité inquiétante. Sans attaches, elle convenait parfaitement au rôle qu’on lui attribuait, ils en profitaient et elle ne se battait point, pitoyable. Puis un jour elle cru le voir. Incapable de bouger, elle freina automatiquement, croyant être sous l’emprise de sa folie qui ne l’avait pas totalement guidée, elle comprit qu’il était bien réel, puisque le miroir renvoyait une image, son reflet. Ce n’était pas possible. Dale vivant, ce foutu con n’avait même pas cherché à la retrouver, l’abandonnant dans l’ignorance. Elle voulu déchirer son visage, planter ses ongles dans sa peau clair pour le marquer comme elle-même avait été bafouée. Parallèlement, la glace fondit, le bonheur sortit, éclatant, les larmes perlèrent, mais cette fois, de joie. Bella fonça à sa rencontre, demandant des explication face à un visage qui lui était si familier et paraissait pourtant si étranger. Leur échange fut bref, douloureux car il ne se souvenait pas, pas de son visage, pas de son amour, ni même de son existence. Bella crut mourir à nouveau quand ces mots franchirent sa bouche, il semblait franc et son regard perdu, venait valider ses dires. Elle hésita un instant, son amour fleurissant à nouveau, elle ne souhaitait pas le perdre, elle voulait se battre pour sa mémoire, pour eux, encore. Si seulement c’était possible… Quelle ne fut pas sa surprise quand il lui demanda de dormir dans son canapé, trop heureuse de cette nouvelle chance elle ne put s’empêcher de sourire et lui donner le double des clés. Un nouveau départ, deux protagonistes, pareils mais piteusement différents, pour une histoire qui allait suivre des aléas qui les dépasseraient sûrement.
▬ La plus grande honte du personnage ;
Peut-être la fait d’avoir couché avec un criminel dangereux de la ville, certes elle était faible et il lui avait paru, à l’époque, une bonne idée d’entrer en Enfer par la porte principale. Aujourd’hui Stan’ est sûrement la honte qui la ronge quand son regard se pose sur Dale, pendant qu’elle batifolait avec un misérable être pour tenter de l’oublier, lui luttait pour sa vie. On ajoute à cela la déchéance qu’elle a subi après le raz-de-marée. L’internat à l’hôpital psychiatrique, les drogues, l’alcool, et le sexe, trop cliché.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; L’Enfer ça été de vivre en le pensant mort, celui qu’elle avait aimé hors de la raison, celle pour qui elle était prête à tout sacrifier. Le croire mort alors qu’ils n’étaient qu’aux prémices du bonheur l’avait tuée, elle n’attendait que la mort pour le rejoindre, trop faible pour s’y prendre elle-même, elle avait donné au temps toutes les armes pour l’achever. Vivre sans Dale, c’était vivre sans rêves, or on dit que c’est le rêve qui permet de vivre.
▬ Définition du paradis pour le personnage ; Un mariage, lui, des enfants, une maison remplie de rire. Voilà ce qu’elle veut, ou plutôt souhaite secrètement, elle est certaine qu’elle le veut avec Dale, des enfants, un mariage, elle le sent très profondément en elle-même. Des bonheurs simple pour une personne simple.
▬ Crimes déjà commis ;
Consommation de drogue
_____ Behind the screen ? A player ! _____
▬ Prénom ou pseudo ; Luso ▬ Âge ; Majeure dans toute l'Europe ▬ Où avez-vous connu le forum ; Euh .. pub je ne sais plus trop où et puis je suis retombée sur le fow aujourd'hui alors me voici. ▬ Exemple de RP ; Il date d'hier x) c'est du tout frais comme les sushis
- Spoiler:
“ Say whats your name , What are you drinking Think I know what are you thinking ”
Peur, crainte, contradiction. Des mots qui s’emballent, lancés au galop avec les sentiments qui frôlent avec fourberie les limites de l’acceptable. Eric n’était qu’un vampire, Joy la chef des POH, seul l’Ange la faisait perdre pied, douter de ses capacités quand ses yeux dangereux se posaient sur sa silhouette frêle, il était hors de question qu’il continue à lui insuffler une doucereuse frayeur. Joy comprit pourquoi, ses gestes et son regard la troublèrent tant, elle se sentait nue sans son arme, geste de négligence, dans l’empressement de ses pas, son esprit avait fait tomber les barrières de la sécurité. Bien trop fatiguée pour s’être attardée sur les détails de sa tenue, elle avait seulement pensé à dérober les clés restées accrochées à sa porte avant de claquer le battant en bois derrière elle. Terrible négligence qui la rendait si petite face à l’autre, cet étranger qui par un simple claquement de doigt pouvait faire rouler sa tête sur le comptoir. Un géant face à une fourmi, le combat était inégal …Heureusement pour elle, son instinct de chasseuse avait percé à jour sa faiblesse du moment, la blonde pouvait se jouer de sa soif, le faire perdre contenance mais risquer sa vie car elle n’avait absolument pas de quoi se défendre. Joy était à plat pour casser une des tables pour en faire un pieu, de plus elle risquait d’attirer les regards sur eux, malgré son exaspération envers les vampires ce n’était pas le moment pour que le restant de la ville sache de leur existence, la panique serait terriblement incontrôlable.
On joue. Elle l’évite, il la fixe, cherche son regard, elle se laisse faire, ou plutôt l’accueille avec méfiance, elle reboit, elle le fixe, il fuit. Un jeu incessant qui ne les mènerait nulle part d’autre que dans un cul de sac. Pourtant, sur son passage, il laisse quelques indices que Joy récolte pour remettre le puzzle en place, elle ne comprend pas ce qu’Eric lui veut, il pourrait être un cadeau empoissonné du Sire, un pion parmi tant d’autres dans le but de la renverser ou de l’effrayer… Joy a beau retourner les quelques éléments qu’elle a en main, elle n’arrive pas à mettre le doigt sur les convictions de ce vampire qui est à une distance déraisonnable de sa personne. Elle pourrait se lever et partir, or elle n’était pas dupe qu’il serait là dès qu’elle aurait fait volte-face pour s’en aller. Il fallait qu’il parte…maintenant.
« Je ne m’attendais pas à une réponse de ta part, ça aurait été beaucoup trop facile, et puis… ça ne te ressemble pas »
Sourire, poli, voilà tout ce qu’il obtint alors qu’elle cacha ses traits déchirés de doute derrière son verre, qu’elle termina trop tôt à son goût. L’alcool afflua dans son sang comme un délicieux venin qui se repends doucement, elle le sentait sillonner dans ses veines, dégageant une chaleur anormale de son corps, la jeune femme le sentait brûler tout sur son passage et vibrait en parfaite harmonie avec ce fielleux supplice qui finirait par briser les chaînes qui la retenait à la convenance, à la froideur, à la distance. Néanmoins, le goût amène de la déception teinta son goût, son voisin charmant était-il, physiquement parlant, n’était pas celui avec qui elle voulait partager une telle euphorie qui n’allait pas tarder à grandir si elle continuait d’étancher sa soif comme une sauvage. Un soupir agacé s’échappa des courbes de ses lèvres provocantes, elle finit par se résigner de sa condition, Nyl ne viendrait pas… sûrement occupé à traquer un dernier monstre, son portable resté sur sa table de nuit, elle ne pouvait pas le joindre… il ne restait qu’Eric. Apparemment ce n’était pas un mauvais début vu le regard envieux de certaines femmes, il ne semblait pas les voir, c’était curieux pour un vampire qui se plaisait d’user de ces moments pour étancher le feu de leur soif, or …il était concentré sur… Joy détourna les yeux et croisa ses prunelles qui ne se détachaient pas d’elle. Merde.
« Je ne cherches rien, tu te trompes, et je ne perds pas mon temps…»
Joy failli souffler « le temps c’est de l’argent » mais l'être de nuit aurait balayé sa remarque d’un geste de main agacé, les vampires se souciaient peu de l’argent, ils se souciaient guère d’autre chose que leur propre existence et d’assouvir leur faim en fin de compte. Peu convaincue par sa réponse, elle recula en le voyant s'approcher malicieusement, il la fit se rassoir à sa place et brisa, encore, la distance. Bloquée par son voisin elle ne pouvait que se laisser faire, elle détesta sa condition de proie. Son regard était pénétrant, sa bouche murmurait des mots qui se perdaient dans les voluptés du son, elle les comprit néanmoins sans pour autant être certaine de tout avoir saisi. Son regard, sa peau, sa présence, elle aurait pu réduire en cendres la distance qui les séparaient, et pendant un instant elle se sentit troublée, au plus profond de son âme par un sentiment qui lui était étranger mais dont le remuement dérangeant l’obligeait à l’étouffer. Elle sentit cette vague de chaleur bientôt apaisée par son contact froid qui la frôla frauduleusement, contact qui la perdit un instant encore avant de la tirer vers la réalité. Elle eut juste le temps d’entendre « autre verre » avant d’hocher la tête et briser le contact qui les avait lié.
Puis ce fut le chaos. La colère se souleva, brisant ses digues, la révolte collera son teint invisible dans l’obscurité, ses muscles se contractèrent et un dégoût profond se lova dans son cœur lui coupant la respiration, l’empêchant juste à ce moment, de la faire vivre. La culpabilité déchira son antre et les larmes lui montèrent aux yeux, subitement sans qu’elle n’ait pu le prévoir. Elle se détourna au bon moment avant que ses yeux inquisiteurs puissent être témoins de sa faiblesse. Par réflexe elle fit claquer son zippo sur un fin rouleau de tabac qu’elle sortit du paquet abandonné sur le comptoir, paquet qui lui appartenait désormais puisqu’elle l’avait illicitement emprunté. Le tabac s’infiltra dans ses narines apaisant la douleur de la trahison, la fumée étouffa cette cupide culpabilité qui la narguait encore, des années après, le vice refoula ses larmes qui n’eurent pas le loisir de ruisseler et l’indifférence reprit place dans ses membres révoltés. Elle enferma dans la boîte de pandore tous les sentiments égarés, Joy ne souhaitait pas penser à la mort de ses frères maintenant, ni, à leur honte à son égard, le regard de son grand frère s’effaça quand un nouveau verre se matérialisa devant ses yeux assombris. Elle fuma encore en silence, abandonnée à sa bulle, déchirée encore de la décision fatale qu’elle allait prendre. Puis, elle écrasa le mégot, rejetant le dernier souffle de fumée indécemment elle se retourna vers Eric. Elle jouerait, elle gagnerait, c’était décidé.
« Tu ne penses pas que je vais finir ivre et totalement dévouée n’est-ce pas ? » dit-elle en rompant le silence dans lequel elle le savait plongés. Son regard se déroba envers les yeux de son compagnon d’infortune, regard inquisiteur, même si elle ne souhaitait pas connaître la réponse.
« Très bien puisque tu es en ma compagnie et que tu as fini de me saouler, tu me tiendras compagnie sur la piste non ? Au pire je trouverai de la compagnie ailleurs, je n’ai pas l’air aussi révulsante que ça… »
Défi, jeu, provocation, elle le poussait à ses limites, testant lascivement jusqu’où il irait pour sa cupide curiosité, et Joy avait beaucoup plus d’atouts quand elle désarçonnait, en les guidant en terrain inconnu. Elle se leva d’un bond et poussa son verre vers lui, il en restait les ¾, elle avait été prudente cette fois, boire, danser, le faire tomber dans la piètre condition humaine… Flanchera-t-il, elle ne l’attendit pas pour se perdre dans la foule, au gré du rythme, déjà emportée vers d’autres voluptés, en apparence cependant.
▬ Connexion ; tous les jours selon l'humeur sinon 4/7 ▬ Code du règlement ; OK par Dale ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON ▬ Célébrité sur l'avatar ; Diane Kruger ▬ Multicompte(s) ; Un seul suffira ▬ Un dernier truc à dire ? ; BLABLABLA
Dernière édition par Bella Von Sträten le Dim 9 Mai - 19:27, édité 11 fois |
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| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 12:34 | |
* Arrive mains dans les poches et air de chien battu en se disant qu'il connait se visage ... * Bal ... Bil ... Belle ... BELLA * Exécute une petite macaréna pour célébrer l'inscription (profitez, c'est rare) * Bonjour et bienvenue sur le forum ! J'espère que tu te plairas ici et ta rappelle que je suis à ton entière disposition en cas de besoin, de question, d'aide, de prêt d'argent, de babysitting etc. x) En attendant merci d'avoir choisi ce Pv cher à mon coeur, bon courage pour ta fiche et je valide ton code règlement (oui oui, bourré ^^) |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 12:38 | |
Bah alors Dale, t'as besoin d'un orthophoniste ? xDD
Bienvenue ici Bella ! J'aime aussi beaucoup ce PV, j'espère qu'il t'ira comme un gant !
Bon courage pour cette fiche ^^. |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 12:43 | |
*Le regarde sans ciller, va-t-il la reconnaître ? roulement de tambours xD*
*Le regarde amusée et se dit qu'il bouge bien ses hanches pour un garçon .... quoiqu'elle aurait dû se douter avec les galipettes du soir* Plein de surprises cet homme !
Hey hey ^^ Bah écoute merci beaucoup, on verra bien l'évolution sur le fow, mais j'espère oui, il a l'air super =D. Entière disposition tu dis ? Je note mdr ... fais gaffe ça pourrait bien se retourner contre toi cet esprit mère thérésien...
Mais je t'en prie, merci à toi d'avoir fais cette puce... oui pour moi c'est une puce elle est trop gentille è_é même si elle a batifolé avec de méchants garçons xD. Nan sérieux j'ai flashé sur le pv, son côté déchiré ... même son côté gentil pour te dire, bravo en tout cas d'avoir fais des PV intéressants '_' c'est rare en ce moment de trouver des persos "profonds" ou plutôt pas stéréotypés quoi èé"
HEY ^^ Merci bien Nina, on verra bien, mais j'espère l'avoir bien cernée ^^. Si tu l'aimes bien il nous faudra un lien alors après la phase validation, s'il validation il y a ^^ ! Lui en veut pas attends, il a craqué devant sa petite femme chérie *sors loin* |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 12:46 | |
Bellaaaaaaaaa ! Un excellent PV, c'est un très bon choix !
Bienvenue à toi, bon courage pour ta fiche !
Mèrethérésienne, Barda ???!!! Ahem... *raclement de gorge*
Ahahah, c'est pas rare, ça fait deux fois aujourd'hui la macarena, la première c'était avec un chameau ! *se marre* |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 12:55 | |
HA TU VOIS, TU VOIS ! Y'a quelqu'un dans le bas monde qui me trouve amical et serviable ! * V de la Victoire à Bella * <3 (Ouais mais j'ai plus de clope, le Camel est à la poubelle, alors faudra repasser pour le chameau ) |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 12:59 | |
Emilian ; Je vois que la jolie allemande fait l'unanimité x]
Merci bien ^^ pas besoin de courage, j'adore le perso' ça devrait aller tout seul, comme du gâteau à la crème ! Ben ... mdr on a toujours droit de rêver hein x)
Erf, il devient zoophile avec mon absence où quoi O.o ... *essaye d'imaginer un chameau et Dale mais les résultats sont piètres *
Dale ;
MDR Dale se fait malmené à ce que je vois xD ! vas-y révolte-toi! xD *Prend son V et va l'accrocher à son armoire * Fais gaffe hein tu m'achètes pas, je pars du principe que c'est un cadeau innocent et plein de bonne volonté *siffle* |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 13:10 | |
Et ce l'est, qu'est ce que tu vas t'imaginer là ? x) * S'interdit tout regard concupiscent *
(Oh oui, on me maltraite, on me ment, on me fait du mal T_T)
* Sort sa pancarte de l'éternelle victime avec les néons rose et la musique triste * |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 14:48 | |
*joue du violon et se marre* |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 15:55 | |
Dale > je te trouve amical moi ! par contre beaucoup moins bavard et enthousiaste qu'ici. (les femmes ont cet effet sur les hommes je crois -louche vers son sujet avec gwyneth où sidney aligne déjà plus de phrase que dans certain sujet sans compter celui de marco bien sûr...-)
sinon, Bella, bienvenue parmi nous. content de voir que la copine du pauvre dale est de nouveau au RDV. bon courage pour la fin de cette fiche et en espérant te croiser. |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 17:30 | |
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| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 17:31 | |
Moi aussi je t'aime beaucoup Sid, mais j'suis désolé, t'as pas de longue jambe comme Bella 8D |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 18:10 | |
Ooooo Je plussoie le choix de l'avatar
Bienvenue Miss ^^ |
| | | | | | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 18:49 | |
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| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Sam 8 Mai - 19:09 | |
Bienvenue =D
Troisième ou quatrième Bella que je vois ici x) |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Dim 9 Mai - 16:26 | |
Bienvenue à toi =D Je sais pas ce qu'il en est de la fidélité au pv mais en tout cas j'aime ce que t'as écris.
Rah Diane :aime: |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Dim 9 Mai - 19:29 | |
Merci à tous ^^! Mdr je tâcherai de ne pas me faire éjecter du post maudit ROH merci Alex <3 ! Bon j'ai fini... putain ma fin qu'est-ce que c'est nul mais j'ai dû bâclé parce que je n'avais pas d'autre choix è_é je me rattraperais... Ah courage pour lire ... me suis laissée un peu débordée parfois *siffle* |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Dim 9 Mai - 20:04 | |
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| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Dim 9 Mai - 20:18 | |
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| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini Dim 9 Mai - 20:35 | |
Dis le encore =D
C'est parfait ! Super fiche hein, j'ai tout aimé ! Je te valide et te souhaite un bon jeu parmi nous <3 |
| | | | Sujet: Re: Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini | |
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| | | | Princesse damnée dont la mémoire est une blessure à vif { 100% fini | |
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