-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeJeu 28 Mai - 1:07



LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Headerrrlewis

Lewis Cutting
~ On ne peut combattre le mal que par un autre mal. ~



    || Identité du personnage ||


~ Un homme célibataire, perdu parmi ses new-yorkais, parmi ses immeubles, parmi son atmosphère fantomatique, un prédateur qui suit sa proie, le bon qui se fait asséner par le mauvais. Pacte d’un Éden rafraichissant ou pacte de l’Enfer brûlant? Il va vous dire son prénom ; il s’appelle Lewis. (Mais ce n’est pas vrai ; son vrai nom est Vincent.) Il va vous dire qu’il est Anglais. (Encore faux ! Il est Français.) Il vit partout et nulle part à la fois. Vous trouverez qu’il est bien habillé mais ses vêtements sont malpropres, tâchés, troués. C’est un détective privé, et pour lui, il n’y a pas de bien et pas de mal. Il a peut-être déjà été amoureux mais il ne s’en souvient plus ; progressivement, il se réinvite lui-même aux nuits d’alcool, à l’engourdissement d’une quelconque soirée où il pourra se cacher d’un statut plus pathétique pour ne ressentir qu’un doux souvenir le lendemain. Il conclut des ententes avec Yahvé, les trafiques avec Lucifer : trouver son clan auprès de Lewis, ce n’est qu’un pari que vous prenez avec un inconnu. Vous ne savez pas grand-chose de lui, à part sa fausse identité. La vérité sur les autres par contre, vous la retrouverez grâce à cet être imperméable de vie ou de mort, qui évite votre regard mais vous examine en même temps, qui vous aime et qui vous haïs, qui vous plait et qui vous fait vomir… Le contraste d’une photographie noir et blanc qu’il a prit, qui n’a plus une ombre grise, qui vous laisse perplexe ; c’est lui, Lewis Cutting.


    || En savoir plus ? ||


~ Il aurait pu être né n’importe où, n’importe quand. Juste avant la Première Guerre Mondiale auprès de parents fortunés de l’empire austro-hongrois, dont son père serait mort dans un attentat à Sarajevo. Le destin n’a pas voulu qu’il soit élevé par sa mère seulement. Ça aurait pu être pendant la Crise, sous l’empire des Ford qui écrivaient déjà des manuscrits antisémitismes, ou encore pendant la crise des missiles, ou il aurait été un descendant de la lignée du Che, n’étant que le simple fruit d’une aventure d’un soir avec une concubine sud-américaine ; ça aurait pu être n’importe quoi, sa naissance.

Dans une fin de soirée mémorable –celle du mariage heureux d’une secrétaire et d’un journaliste- Madame Deschamps pleurait devant la caméra que son mari pointait vers elle, dont la pellicule sensible enregistrait ses larmes à travers l’infinité, contre un bout de papier lustré. Une simple photographie, qui témoignait bien mieux qu’un papier signé ou que deux bagues bêtement échangées devant l’autel, qui perdura dans le temps. Un souvenir bien lointain, maintenant. C’était ce portait modestement encadré qu’il y avait de posé sur cette commode d’hôpital, cet été de l’année 1975. Sylvie et Marcel étaient recueillis peut-être moins passionnés que quelques années auparavant mais toujours aussi bons amis, devant un berceau portant l’étiquette de Vincent. Ces petites mains potelés, encerclés d’un ruban allaient plus tard tenir un flingue, et plus tard, des objets plus tranchants, plus toxiques. Ces yeux d’un azur si pur allaient croiser quelques homicides, les malheurs d’un monde contemporain plongé dans la désise. Cette silhouette, son corps allait devenir un prolongement artificiel, intemporel d’une foule invisible, d’une horde de fantômes cherchant la vérité dans l’anonymat, derrière le mystère.

Réservé, ce bambin vécut une des enfances des plus banales qui soit. Quoique ses parents se divorcèrent alors qu’il n’était qu’un enfant, Vincent fut envoyé dans un orphelinat aux allures campagnardes et mormones dans une banlieue de Paris, modeste, sous prétexte que des parents divorcés, ce ne serait pas bon pour cette enfant à la sensibilité accrue, aux gestes fins et aux paroles singulières. Pas nécessairement très doué à l’école, il passait plutôt inaperçu, tant chez ses professeurs que ses camarades de classe. Et c’est ainsi que ce bâtit -sans qu’il ne veuille ou ne l’imagine vraiment- son chemin de vie, entre l’irréalité d’une foule aveugle et le mystère qui attirait ce brin d’homme, ce goût qu’il développa pour combattre la mal par le mal, avec comme prétexte la prétention d’un monde meilleur. Deschamps fut appelé dans la brigade anticriminelle de la République Française quant il fût à peine âgé de vingt ans, après ses études. Cultivant de plus en plus ce culte d’immoralité qui l’entourait, on pouvait le remarquer grâce à son allure décalé, moyenâgeux mais à la fois avant-gardiste, aux allures d’un homme perdu dans le 21ème siècle. Cheveux blonds foncés aux reflets châtains, lunettes perchés sur sa tête, odeur de nicotine enrobant son être aux fringues usés, expression fataliste ou impassible, esprit défaitiste, silhouette promettant l’agilité et la furtivité, capable de donner la mort mais inspirant un sentiment aussi futile que la vie dans son regard bleu, l’autodérision s’expire de ce corps sans trop d’attaches. C’est comme ça qu’on le reconnaissait, qu’on se souvient de lui,

Aujourd’hui, Vincent Deschamps est enterré –littéralement !-. Il est enterré dans un cimetière proche du quartier général, en plein cœur de Paris, la Tour Eiffel veillant sur son âme. En effet, après quelques années de service dans la police française, l’Européen se tailla une place parmi l’élite, encouragé par une volonté plus ou moins floue de venger un monde placide et celle de pouvoir se faufiler partout, des documents top-secrets à celle de pouvoir de camoufler chez un ennemi d’état, de s’infiltrer dans sa vie, silencieusement, sans prévenir. Il s’infiltra parmi un gang, une fois, avec une collègue. Rien de bien différent des autres fois ; le jeune homme avait presque l’habitude. Capable de mimer ses sentiments, de s’inventer des identités différentes, de pouvoir camoufler son existence morne derrière un autre personnage, c’était pour ça qu’il vivait si bien de son travail.

Sur le point de boucler une affaire de prostitution et de réseaux de came pour un forfait qui lui avait coûté quelques mois de réalité, il avait peut-être abusé de son rôle ; consommateur d’héroïne, appréciant sa position avec les connaissances auquel il s’était fait ami, prenant rapidement les mauvais plis d’un gangster malfamé, Vincent se fit piéger par la police elle-même, menant à la mort de plusieurs de ses coéquipiers. Et pris au piège, il simula sa propre mort, grâce à un suicide auquel tout le monde cru, même ses amis proches, même ses parents. Une disparition d’un homme brisé, quelques balles perdues et son sang qui coulait sur sa table de chevet dans son appartement, il s’était créé cet homme désolé, délaissé par la vie, qui ne respirait que pour ses propres envies, son propre Monde.

Vincent, c’était ce nom gravé sur cette pierre tombale minable, que l’État avait donné à cet homme qui voulait du bien sur la terre, qu’il n’avait pas connu en train de profiter du mal, de la mort sous ses yeux, pétillants de curiosité. Ayant prévu son exil avec une mallette contenant l’argent accumulé durant ses années pathétiques, à travailler sous la couverture d’un bon sans ambition –ce qu’il était toujours-, il découvrit la frivolité de l’aventure, l’adrénaline de tant de distance, de tant de mystère gardé pour lui seul. C’était délicieux, s’enfuir loin, redécouvrir avec la plus grande corruption et la plus grande discrétion cette vie d’agent d’infiltration dangereux, qui se faisait passer pour un ex-tolard. Insensible, il l’était peut-être devenu. Il se cachait, de toute manière : personne ne le voyait, et c’est à peine s’il lui restait un conscience.

Peut-être était-il réellement mort à 26 ans dans cette tragique disparition, où tout le monde avait imaginé son scénario. Quelqu’un l’avait menacé de se tuer, ou sinon, il avait trouvé sa vie tellement sans sens qu’il avait décidé de s’enlever la vie lui-même après une soirée qu’il aurait noyé dans l’alcool. En réalité, le jeune homme avait tellement apprécié cette vie invisible des innocents et des assaillants, à l’abri de tous, reclus dans son individualité, qu’il le dégustait maintenant, 24 heures sur 24. Dilapidant au bout de longs mois de captivité sa fortune amassée en territoire français (inutile de vous dire qu’il avait quitté la vieille Europe depuis longtemps, vu les chances de se faire piéger à son propre jeu !), Deschamps se retrouva dans une situation financière peu enviable, parcourant un brin de terre libre afin d’y passer inaperçu, de retrouver une certaine stabilité dans le chaos qu’il venait d’installer.

Oh, et ai-je vraiment répété Vincent Deschamps, comme dans cette acronyme de cet homme devenu encore plus blasé, qui fuit sans cesse sa réalité d’ex-gendarme haut gradé ? Non, bien sûr que non. Ce gaillard à l’air légèrement blafard, à la même couleur de cheveux, à la silhouette maintenant devenue osseuse et presque pathétique malgré le charme qui en dégage toujours, ces billes vitreuses azur, cette silhouette au loin, qui vous espionne, c’est Lewis Cutting. Il est britannique. Il vient de Londres, c’est ce qu’il va vous dire. Et il est détective. Ne vous inquiétez pas, il a conservé sa grâce juvénile, mais les années de captivité ont laissés chez lui des habitudes paresseuses, presque antisociales et animales. Des cernes maquillent son visage d’homme dans la trentaine, tandis que tout autour de lui semble avoir été arrêté dans le temps, derrière sa coiffure nonchalante, aux cheveux attriqués à une mode étrangère, lointaine, à son code vestimentaire très conservateur, vieillot mais également encore vivant de vigueur. La dépression et l’ennui ont gagné cet homme sans valeurs, sans principes ; alors, le rhum envahit ses soirées maussades, quelques drogues douces agrément sa vie sans artifices et les cigarettes jouant le rôle de ses seuls contacts plus humains, qu’il ne peut se passer comme si elles jouaient le rôle de femmes embrasés, aux lèvres brûlantes. Lewis, c’est un solitaire, perdu dans la Grande Pomme, qui s’est installé comme un inconnu, qui n’a pas d’habitudes, qui a déjà perdu sa vie, qui n’a plus rien à perdre. C’est un fantôme qui passe, un voyeur qui vous immortalise contre la pellicule de ce second œil, afin de montrer à votre mari jaloux que vous le tromper avec un jeune amant ; une personne qui s’infiltre dans votre vie ; qui sépare de vos paroles les vérités ; qui ne vit que pour des réponses ; qui suit d’autres ; qui survit grâce à son métier de détective, de son incongruité, de sa galanterie, de sa tendresse et de son esprit dérouté à travers Manhattan qu’il arpente comme un ange dans le désert sur les plates-bandes du Malin, ou sinon comme un voleur dans les banques d’un Dieu profiteur. Il s’allie de quelques gangs, se fait amis avec quelques rares personnes ; et, lorsqu’on croit le connaître sous sa fausse identité –totalement plausible- on se taille son statut d'antagoniste ou de partenaire. Cutting, cet homme d’expérience âgé de 34 ans, tire du meilleur de ses connaissances, intelligent, arrivant au compromis des plus intéressants avec les gens qu’il rencontre, autant avec ces petits dealeurs qu’il surveille et autrement avec ses russes pour lequel un mafioso lui a glissé une liasse de billets dans sa poche droite. Et le détective privé arrive à ses fins, peu importe le prix, si ce n’est que de se faire passer, l’histoire d’une soirée, pour un homme sans pitié, avec des intentions cruelles. Tout ce qui lui reste, à Lewis, c’est le souvenir d’une passé dans l’anonymat entre le mal et le bien, son impulsivité dans sa prudence qu’il a calculé, il peut être frivole, ardent, sans pitié comme une flamme qui éclaire le bout de son visage de fumeur alors qu’il peut être doux comme un fin papier de cigarette, cachant ses atouts derrière une délectable fenêtre.

POURSUIVRE
ICI.


Dernière édition par Lewis Cutting le Mar 2 Juin - 3:14, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeJeu 28 Mai - 1:17

BIENV'NUE =D
Merci pour ton inscription ma grande Wink
Bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de la lire ^^

Bon choix de prénom (on se demande qui te l'a conseillé (a)) et excellent choix d'avatar ! =D
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeJeu 28 Mai - 4:44

James Dean :O C'était donc vrai !
Bienvenue.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeJeu 28 Mai - 8:07

Jackouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiillle <3 * tousse * Lewiiiiiiiiiiiiiis x)

Bienvenue sur NY-TDS :vole: !!!
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeJeu 28 Mai - 9:24

Chouette *______________*
Bienvenue !! calin
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeJeu 28 Mai - 9:34

Bienvenue
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeJeu 28 Mai - 12:49

Cala Baltimore a écrit:
James Dean :O C'était donc vrai !
Bienvenue.

Pourquoi j'aurais menti ? x)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeJeu 28 Mai - 13:41

    JAMES FUCKING DEAAAAAAAAAN!
    Il y a un bon dieu sur terre *________*
    Bienvenuuue
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeJeu 28 Mai - 17:21

bienvenue parmi nous
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeVen 29 Mai - 0:51

Merci les sushis =)
(Tant qu'à prendre des âmes connues comme James Dean, autant se faire passer pour la déesse superficielle..)

Salut Evie =DD
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeVen 29 Mai - 22:38

Bienvenue !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeLun 1 Juin - 23:41

    Bienvenue & bonne chance pour ta fiche, dieu !

    vas-tu me reconnaître? je te défis de deviner sans regarder ma fiche ! Quoique que si tu trouvais pas, ce serait pas bien grave, honey, x.X.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeMar 2 Juin - 0:06

Ma prophète Marie-Madeleine?

Izold? (Pour m'appeller comme ça =O) Vu que ça t'plait le old school et les beaux dépravés que je choisis en perso.
Sinon, je sais pas qui peut fantasmer autant sur moi, sauf peut-être une gentille fille qui envahit ma boîte de messages. =)

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeMar 2 Juin - 3:12

(SUITE!)

Affectionnant la photo pour son statut d’immortalisation et de surveillance efficace, il y découvre des effets pervers, animaux, qui suivent ses instincts. Ainsi, rares sont les fois où vous le verrai escorté que d’autre chose que d’un appareil photo traînant sous le bras, à moins que ce ne soit une arme. Car ça a beau être un détective privé –qui ne tient pas autant à la vie qu’il a l’air-, c’est aussi un fraudeur prudent, un bandit avisé, un vagabond qui trouve son abri n’importe où, avec ses suspects, ses amis, ses amants, ses amours, ses dépravés. Entre ses envies et ses sentiments, la frontière du mal et du bien se délimite, sans que Lewis ne s’en sépare vraiment, se justifiant par son statut d’enquêteur neurasthénique, de menteur et de cachotier doté d’une capacité incroyable à une mémoire tactile et visuelle sans limite. Sa vie sociale se résumant à récolter des informations sans précédant, ce dit Britannique captive certains, parle, négocie, menace, dans la même optique qui s’énumèrent tout au loin de sa piètre existence, devenue translucide, artificielle, d’un poète perdu dans ses mots, d’un artiste maladroit s’enfermant dans sa chambre noire –que Lewis habite longuement dans son minuscule appartement aux allures dépravés, au bois pourri, aux clichés qui hantent ses murs-, tandis qu’il suit les gens qui l’intriguent, l’attirent, l’émoient. Autrefois, Vincent –cet homme compréhensif, sans autre vie que celui de flic occupé, préoccupé plus par ses meurtriers que ses victimes accumulées, presque sensible, romantique sans pour autant jamais avoir exploré le cœur de ses amies, juste poli, juste innocent- c’était lui ; maintenant, il était cet homme sans couverture, qui lui servait de parfait protagoniste, dans ce livre aux milliers de chapitres, où il n’y avait pas d’héros. Fascinant quelque uns, soupçonné par d’autres, le photographe ne vit par pour être aimé ; peut-être qu’il ne sait même pas pourquoi il continue de respirer ce air pollué par la nicotine, d’ailleurs. Tapis dans les limbes d’un monde de corridors individuels infinis, il attend une proie, ou sinon de ce faire victime, juste pour ne trouver que quelques vérités. Et puisque l’Européen n’a jamais connu l’Amour, il reste davantage libre dans cette vie sans attaches, les vices l’attirant, le faisant davantage sombrer dans une fiction asexué, aseptisé, infinie et indescriptiblement délicieuse. Légèrement pudique, il ne vit pas vraiment du sexe ; il vit de la fantaisie, silencieuse, et simple, ne demandant que d’un corps et que d’une paire de lèvres pour y insuffler sa respiration désespérée, ses mains cicatrisés de ses années à s’enfuir de la Vieille Métropole, son corps meurtri par le manque de temps pour trouver la nourriture, le logis qu’il lui fallait, toujours faible, affaibli mais conservant et retrouvant lentement sa vigueur de flic aux idéaux pathétiques, aux membres sculptés par le peu d’ambition qu’il lui restait. C’est le mystère qui l’attire avant tout, chez les femmes, chez les hommes, autant qu’il peut en distinguer dans les pupilles des Autres et que certains trouvent inébranlable chez cet homme trentenaire qu’est Lewis. Mais, voyez-vous, ce terrain trop peu exploré par certains vous prouvera l’intérêt à ce détective à cacher sa vie, sa vie sentimentale, son cœur qui battait, ce terrain miné, âpre, rude, ce lit habité quelques fois après deux âmes fusionnant, par intérêt ou par plaisir. Alors, à moins que vous n,aimiez le délire, les mensonges, les vérités dans les secrets, les yeux brillants dans l’obscurité, l’humour noyé dans l’alcool, n’y laisser pas votre peau, vous valez sûrement mieux qu’un homme sans éthique, à la politique ouverte tant sur ses amis que ses ennemis.

Réaliste, pessimiste, vous le verrez scotché dans un bar, attendant la sortie de cet inconnu, titubant un peu dans sa destinée alcoolique, un peu droguée pour oublier sa miséricorde. Avec son accent qui se dérobera le matin, sa voix douce qui glissera contre votre aura pour effleurer votre lobe, imperceptible, il trouvera ce qu’il voudra en vous, vous appréciera à ce que vous valez à ces yeux injectés de sang fatigués de vie, ces pupilles miroitant votre âme, encerclés de cernes matures, cobalt brillants de curiosité. Logique et rusé il le sera, le restera, et il ne mentionnera pas sa double vie, son cercueil vide, son identité, ce Vincent Deschamps, ni même le pourquoi de sa dépression dans le mausolée du Diable, son air maussade, ironique. Armé d’un revolver volé pendant sa disparition vers la terre libre, promise, tel que le représentait les U.S.A. quand il était dans sa vingtaine, il se défend des préjugés, de quelque personne dérangeante aussi grâce à cette lame tranchante qui traine dans sa poche arrière de son jean puant la ville, ses égouts, ses rues et la pourriture des Hot-dogs d’un New York commercialisé, capitalisé, criminalisé.

Observateur, sensible à son environnement, détectant les différences entre les mensonges préprogrammés et les secrets avoués, Lewis, c’est un homme persévérant, qui va jusqu’au sang pour régler ses problèmes, même s’il est souvent perçu comme un autre horrible garçon sans but, psychopathe, à l’esprit chaotique et pur. Parce que, presque sans remords, il s’élance dans la nuit, indéfiniment, ses pulsions le guettant. Néanmoins, sa conscience ne le suit plus… Il la perdu depuis trop longtemps, après avoir savouré le mal dans l’amour, la douleur dans le travail, la calamité envahissant sa vie. Et il recherche toujours la vérité, le charitable dans l’affliction, l’ennemi dans l’ami, enfouit dans une ville inconnue, lui étant lui-même étranger, enterré sous dix pieds de terre, en France, la lucidité égaré derrière sa violence évoluant derrière sa tendresse de gentilhomme, d’homme poli.


~ Définition de l'enfer pour le personnage : Un endroit sans débauche, où il ne pourrait que s’obliger à la créer, habitué au malheur, à son rôle qui traîne souvent entre le rôle de la victime et de l’agresseur, quelque chose qui lui rappelait son ancienne existence, trop morne, trop honnête.

~ Définition du paradis pour le personnage : C’est un endroit qui lui propose l’anonymat, la solitude qu’il a besoin, qui lui offre la possibilité de vivre une vie de psychopathe, de voyeur, d’un pervers non-affirmé, d’un homme discret, silencieux, qui n’ose pas dire ses envies mais qui les suit, obstinément. C’est New York, son paradis. Ou c’est dans sa mort, qu’il l’a trouvé.

~ Taux de criminalité et pourquoi : J'dirais 55/100, vu l'attitude qu'il adopte vis-à-vis les gens qu'il doit suivre, avec qui une fantaisie se lit souvent, vu ses méthodes convainquantes et charmantes de se lier aux leaders des gangs et à la discrétion qu'il privilégie tout en continuant sans remords son rôle de délivrer la vérité des mensonges de quelques personnes.


    || Le joueur et le hors-jeu ||


~ Prénom/Pseudo : C'est trop facile. =)
~ Age : 17.
~ Votre avis sur New York, The Dark Side : Ça pue les mafieux à plein nez, c'est charmant.
~ Où avez-vous connu le forum ? Par Ezounette, via DYL.
~ Niveau de RP : Environ une page sur word ou plus. Tout dépends.
~ Exemple de RP :
Spoiler:
~ Connexion : 3/7. Sinon, j'me connecte à chaque jour. =)
~ Code du règlement :
Spoiler:
~ Célébrité sur l'avatar : James Dean!
~ Multicompte : Non.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitimeMar 2 Juin - 18:43

Bonne fiche ^.^
Qui est d'ailleurs validée ! =D
Bon jeu, j't'ajoute à ton groupe, j'te fixe ton taux de criminalité (que j'abaisse à 50 parce que ton perso est vraiment entre deux).
Amuse-toi bien ! =DDDD (Et réfléchis d'avance à notre lien ^.^)

Pour ton groupe, au fait, j't'ajoute aux autorités, si ça te va pas, MP moi x)
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. Empty
MessageSujet: Re: LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.   LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS. I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

LEWIS CUTTING / BEF0RE Y0U SLIP INT0 UNC0NSCI0USNESS.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Lisa Lewis } U.C.
» Frank Matthew Lewis (terminé)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
New York - The Dark Side :: Archives présentations-