Joe Gillian ; « les promesses de l’ombre »

Joe Gillian
~ Tag line (= un petit slogan -si vous en avez envie-) ~

|| Identité du personnage ||

Nom :

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Surnom :

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Statut et activité dans la vie :

Orientation sexuelle :

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Histoire :

BORN TO BAD

Dans la vie, y'a deux catégories de personnes, celles qui ont un destin tout tracé, qui naissent en sachant pertinemment comment finiront leur vie.
Et y'a les autres...

Les autre c'est ceux qui naissent, vivent et meurent sans jamais savoir précisément ce qui va leur tomber sur le coin de la gueule dans dix minutes, qui vivent sans attendre les choses, mais en allant les chercher, et ça, que ce soit de bonnes ou de mauvaises choses.

Joe est né dans la première catégorie, tétine en argent, couffin de velours, biberon en or. Une mère célibataire, qu'on ne voyait jamais bosser, mais qui avait de quoi vivre dans un des apparts huppés des beaux immeubles de Manhattan. Il’ était promis à un bel avenir, probablement avocat, ou médecin, du moins c'est ce qu'affirmait la maternelle, puis l'école primaire où il passa ses jeunes années. Un futur glorieux, et probablement très opulent...

Tout commence sept mois avant la naissance du divin enfant. Zara Hoover , mariée à Frank Gillian, était une jeune femme dont la carrière d'actrice débutait, le couple s'était marié dans la joie dans la belle ville de Los Angeles, deux ans plus tôt. Mais Frank était un foutu jaloux, de ceux qui supportent assez mal la proximité de sa femme et des autres hommes, et le métier d'actrice le rendait plus fou encore quand il voyait les scènes de baisers langoureux que sa femme jouait. Bien vite, l'histoire idyllique tourna au cauchemar pour Zara, qui devint une femme battue. Elle se ferma à son mari, qui devint plus furieux encore, et qui plusieurs fois décida de consommer son mariage par le force. De l'un de ces viols fut conçu notre cher Joe.
Mais nous voilà donc deux mois après la fécondation, et Zara ne supporte plus les accès de rage de son mari, et craint pour son enfant. Elle décide donc de se réfugier chez une amie, inconnue de Frank, et d'entamer une procédure de divorce. Celle-ci faites, la future mère, entamant son troisième mois, quitte la ville des anges, ne laissant aucune adresse, ni aucun numéro de téléphone. Ses pas la conduisirent bien malgré elle à New-York, ville qu'elle ne connaissait pas, et qui lui sembla le refuge idéal...

Si elle avait su.

Six mois plus tard naissait Joe, en plein centre-ville, dans un appartement plutôt miteux. Il ne passa qu'une seule année dans cet appartement, car sa mère eut rapidement du succès dans son métier. Elle n’était pas devenue la grande actrice qu’elle convoitait être, mais une femme fatale aux services des riches, et nombreux frustrés qui peuplaient la ville du vice.
Les années passèrent, et eut droit à la plus jolie maternelle de la ville, soi-disant, avec les meilleurs professeurs. En réalité, n'étaient bien lotit dans les établissements scolaires que les natifs de la ville Américaine, ceux dont les familles étaient les descendantes des colons, implantées à New-York depuis des lustres. Un sacré ramassis de congénitaux, cruels et violents envers tous ceux qui n'étaient pas de la même origine. Ici par de discrimination raciale ou religieuse, uniquement sur l'origine du quartier. Bien entendu, tous ceux qui ne composaient pas l’élite devenaient les souffres douleur, et Joe ne fit pas exception. Ce furent ses premières activités physiques, les passages à tabac (oui, nous sommes toujours en maternelle).

Le petit Gillian grandit dans cette atmosphère de xénophobie, il s'endurcit, devint violent face à des camarades immoraux, et des professeurs qui semblaient dans le coup. Il devint plus fort que les enfants de son âge, et renversa la tendance en tabassant les autres, la terreur des bacs à sables était née, et à défaut de le respecter, on le craignait. Son entrée au collège marqua un tournant dans sa vie, avec la connaissance de Jamal, petit black aussi bien bâti que lui, quoique moins grand, et qui avait suivit le même parcours. Son père avait reçu une promotion quand il était tout petit et toute la famille avait rapidement émigrée à New-York. Lui aussi avait connu la persécution. Joe et Jamal s'entendirent immédiatement. Attirant l'attention des adolescents plus âgés, ils furent souvent sollicités pour intégrer des bandes, phénomène relativement courant à cet âge, où le plus cher désir est de rejoindre un groupe. Ils durent supporter de nombreuses épreuves dégradantes et humiliantes, pourtant sans jamais se dégonfler, pour essuyer toujours un refus, devant des gosses hilares de les avoir ainsi abuser. Malgré tout, les deux amis continuaient de relever les défis, avec l'espoir qu'une bande finirait par les accepter.

Puis vint un jour où une des bandes les plus reconnues du quartier leur fit passer toute une série d'épreuve, qu'ils réussirent toutes. Vint alors la dernière épreuve. Un seul des deux pouvait intégrer la bande, et pour cela le chef leur expliqua qu'ils devaient passer tour à tour devant un conseil de guerre, pour endurer l'ultime étape. Jamal fut le premier.
Il est important maintenant de souligner que cette bande était la plus reconnue, surtout parce qu'elle était la plus cruelle, et qu'elle avait déjà perpétré des actes de tortures sur des gamins. Bien sûr, cela les deux jeunes ne le savait pas, comme il ne savaient pas que le chef de la bande était un enculé de raciste, tout comme son père et son grand-père avant lui.
Bientôt les cris déchirant de Jamal résonnèrent dans les couloirs de la vieille usine désaffectée où avait lieu l'ultime épreuve, Joe attendait derrière la porte de la pièce où se déroulait les choses. Il mit quelques minutes de trop avant de céder à sa bonne conscience, et de fracasser la porte pour secourir son compagnon. La vision d'horreur q'il eut à cet instant ne le quitte plus, encore aujourd'hui. Jamal était attaché sur une chaise, le visage en sang, on lui avait brisé les doigts, et entaillé le torse, tellement profondément à certains endroits qu'il était possible de voir l'intérieur. Jamal ne bougeait pratiquement plus, et ses cris étaient plus faibles. Joe grava dans sa mémoire le sourire sadique qui illuminait le visage du chef de la bande. Puis tout devint blanc. Il ne put jamais dire combien de temps dura ce moment d'inconscience. Quand il revint à lui, il était à genoux, penché sur les entrailles du chef de la bande, dont le ventre était ouverte en deux jusqu'au plexus. Tous les autres adolescent avaient été sauvagement battus, plus aucun ne respirait. Il résista à l'évanouissement qu'il sentait venir, et leva les yeux sur Jamal, qui fixait un point dans le vide, ses yeux vitreux indiquait clairement que sa vie s'était évanouie.

Joe n'avait que 14 ans à l'époque, et ce fût le début de la fin pour lui.

Il quitta l'usine, sans se retourner, passa un coup de fil anonyme à la police, et prit une longue douche, il brûla ses vêtements dans une poubelle et alla se coucher. Il n'eut étrangement aucun mal à dormir, malgré les cauchemars, et les flashs de la scène qui repassaient en boucle. Sa mère n'apprit la nouvelle que le lendemain, quand un policier vint poser des questions à Joe sur Jamal et ce qu'il avait pu faire les heures précédents sa mort. Personne ne pouvait suspecter un garçon de 14 ans, certes costaud, et relativement grand pour son âge. Le meurtre des adolescents avait été qualifié de "barbarie" et on mettait aussi sur le dos de l'assassin la mort de Jamal. Profondément choquée par la mort du petit, et craignant pour la santé mentale de son fils, Zara décida d'arrêter de travailler.
Quant à Joe, il ne retourna que très rarement à l'école, passant le plus clair de son temps à faire l'école buissonnière, arpentant les rues. Il devint aigri et agressif, et ne fit plus jamais confiance à personne...

OUT OF CONTROL

Et les années passèrent. Et Joe grandit, encore, et encore, et encore. Ses fréquentation du milieu scolaires diminuèrent, a tel point qu'il fut officiellement renvoyé du collège la dernière année. Même s'il n'y mettait plus les pieds depuis plusieurs mois déjà. Il avait alors seize ans, en plein âge bête. Il avait commencé à rejeter les attentions de sa mère, quand elle lui avait appris qu'elle devait reprendre son travail. Il fallait dire que Zara, malgré la quarantaine approchante, était encore une belle plante, complètement épanouie. Les pressions de ses anciens clients l'avaient finalement décidé à se remettre au turbin, et comme il fallait bien payer le loyer hors de prix du superbe appartement où ils vivaient, elle n'avait pas hésité très longtemps. Joe passait ses journées à errer dans la ville, où assis sur les marches de pierre devant son immeuble, à fumer des clopes, ou des pétards. Quand il s'ennuyait trop, il braquait un sac à main, une serviette ou un attaché-case, rackettait les jeunes sortant du collège, ou menaçait les passant.
Pour passer le temps il se battait, souvent avec des mecs plus âgés que lui, et plus nombreux, il les provoquaient, donnait le premier coup s'il le fallait. Ces bastons lui permettaient de tenir la forme, et de se muscler, il en retira quelques bleus et des poings en béton. C'est notamment après une brillante démonstration de violence dans une ruelle sordide, alors que la nuit était déjà bien avancée, qu'il fut abordé par un petit mec, au profil de fouine, et au regard vicelard. Il s'appelait Vince Martoni, bookmaker à la botte de la Mafia, qui organisait notamment des combats illégaux. Vince proposa au jeune Gillian une jolie somme d'argent en récompense, si celui-ci acceptait de se battre. Voyant là un moyen pour briser la routine, et surtout pour éviter à sa mère de continuer à se vendre, Joe ne prit pas vraiment le temps d'y réfléchir, et accepta.

Son premier combat eu lieu deux jours plus tard, et faillit également être son dernier. Vince avait omis de mentionner que les combats étaient à mort, et Joe eut quelques scrupules à en finir avec son adversaire, alors que celui-ci ne tenait plus vraiment debout. C'est d'ailleurs parce que ce dernier eut la mauvaise idée de profiter de son hésitation pour tenter de lui planter une couteau dans le ventre, qu'il mit fin au combat en lui brisant la nuque, plus par réflexe défensif que par réelle envie de tuer. Néanmoins, Joe venait de faire son premier pas dans les sphères du meurtre, et face à la coquette somme d'argent qu'il eut en retour, et qu'on lui promit pour chaque combat qu'il remporterait, il n'eut aucun mal à plonger totalement dans la violence meurtrière.
Les premiers combats étaient généralement contre des clodos pas très frais, que Vince ramassait dans les rues en leur promettant de les sortir de la misère. Ils déchantaient rapidement une fois en face de Joe, et finissaient par rendre l'âme, dans une mare de sang. L'argent s'accumulait, la réputation aussi. Zara, bien que surprise par ces revenus suspects décida de ne pas juger son fils, étant elle-même plutôt mal placée. Suivant le souhait de Joe elle décida de cesser définitivement son travail, ce qui provoqua la colère de certains clients.
Pendant ce temps, il continua à se battre, contre des adversaires de plus en plus forts, de plus en plus entraînés. Bientôt, les combats devinrent rudes, et le petit’ricain ne compta plus ses séjours à l'hôpital pour des côtes brisés, ou des arcades ouvertes. C’est de là que lui vient son surnom de tête de brique. Mais peu lui importait, tant qu'il restait en vie pour profiter de son argent, tout allait bien. Avec la réputation vinrent les fréquentations. Les combats se faisaient désormais dans des club privés, où l'argent s'accompagnait de filles et d'alcool. Joe semblait imbattable. Et lui même commençait à le croire.

Un soir pourtant, alors qu'il rentrait à son appartement, il eut la mauvaise surprise de trouver Vince penché sur le cadavre de sa mère, avec un calibre encore fumant dans la main, il était accompagné de deux malabars, de même taille et de même constitution que Joe, une prévention contre toute tentative. Il y eut un combat, mais Gillian, trop déconcentré par la vision de sa mère, finit par être maîtrisé. Et Vince lui expliqua très clairement qu'il allait continuer à combattre pour lui sans faire d'histoire, sinon c'était une balle dans la nuque, comme sa mère. Il lui expliqua aussi pourquoi elle était morte.
Parmi les clients de Zara, se trouvait un homme influent de la Mafia, de ceux qui détestent qu'on leur dise non. Il n'avait pas supporter de ne plus avoir à disposition sa pute préférée, et avait décidé que s'il ne pouvait plus l'avoir, personne ne l'aurait, jamais. Vince travaillait pour lui, il avait donc exécuté les ordres.
Quand les Mafieux furent partis, Joe appela la police, encore un fois, un appel anonyme. Il pris quelques affaires, le temps que la police arrive, et disparut dans la nuit. Il loua une chambre dans un motel du centre-ville, sous un nom d'emprunt, et apprit le lendemain aux infos, qu'il était suspecté du meurtre de sa mère.

Dans la vie, y'a deux catégories de personnes, celles qui ont un destin tout tracé, qui naissent en sachant pertinemment comment finiront leur vie.
Et y'a les autres...
Assurément, Joe Gillian fait parti des autres.

Relations :

En parfait misanthrope, il est vrai que Joe a un peu de mal à se tisser des liens sociaux. Nan, en fait, il en chie grave. Envoyant chier le moindre gus qui tente de faire copain-copain, Gillian s’en bat royal de voir sa côte de popularité aussi risible. Bon n’allez pas croire qu’il refuse catégoriquement de parler aux êtres humains. Ca ne vas pas jusque là. D’ailleurs, il trouve ça toujours distrayant de se mettre une cuite avec le premier ivrogne venu, parler cul et football US, pour ensuite se réveiller la gueule sur le trottoir. Mais ses rapports humains ne vont généralement pas plus loin. Quant aux femmes, les relations se résument en un seul mot : le sexe. Le sexe bien cash, sans préliminaire, sans douceur. Pas le temps pour ces conneries, juge-t-il. Il faut dire que Joe est régulièrement trop raide pour s’attarder une seule seconde aux caresses. Bref, que vous dire de plus … Hormis que Joe est un véritable déchet de la société. Mais personne n’est irrécupérable, ’y paraît …

Physique :

Aussi épais que haut, Joe est fait de muscles, de ses muscles naturels qui laissent entendre qu'une confrontation directe serait un pur suicide pour quiconque n'aurait pas le même gabarit. Il faut dire qu'avec des paluches de la taille de petites rames, les claques peuvent vite devenir mauvaises pour la santé. Un grand gaillard, nerveux, arborant de ses solides épaules un charisme naturel, qui intimide bien vite le gibier, en règle général. Son visage, quant à lui, n’en reste pas moins intriguant. Son crâne aussi dégarni que la lune, surplombe une paire d'yeux ébènes très profond coincée dans de profondes orbites, lui donnant un air exagérément inquiétant, les caractéristiques communes d'un visage aux traits tirés par les années de combats dans cette ville de merde. Une gueule qui laisse rarement de marbre. Une putain d’gueule qu’on oublie jamais.
Malgré le fait qu'il ait largement dépassé la post-adolescence, le jeune homme n'a pas délaissé un style vestimentaire décontracté, s'affichant habituellement vêtu d'une simple tenue tee-shirt noir, jean, mitaines noires, une tenue légère, mais qu'il ne changerait pour rien au monde , et ce, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige...

Caractère :

Joe est un personnage tout en contraste. Véritable fanatique de théâtre, il soigne ses apparitions comme personne. Il se plaît à sortir de bons mots, de belles phrases, quelles que soient les circonstances. Cependant, il n’en est pas pour autant à la recherche de contacts avec les gens. Il lui arrive d’être courtois lorsqu’il joue son rôle mais prenez le à n’importe quel instant et il vous enverra chier sévère. Il aime parfois se retrouver en groupe autour d’une table, une chope de bière à la main à parler de tout et de rien, surtout de rien d’ailleurs, mais il conserve en fond une âme solitaire. Deux possibilités si vous le croisez. Premièrement, il reste de glace et ne vous laisse en aucun cas approcher. Deuxièmement, il vous laisse arriver tranquillement, lentement puis, de son humour des plus cyniques, il vous renvoie encore plus loin que vous n’étiez avant, plus bas que terre, parmi les cadavres et les âmes en peine.
Pourtant, inexplicablement, pour peu qu’il trouve quelqu’un digne d’intérêt, alors il se révélera comme quelqu’un ayant un bon fond. Il est possible d’être son ami, oui, simplement, il faut savoir avoir à faire à son cynisme et ses remarques. Et puis, dans l’fond, c’est pas un mauvais bougre. Bon, certes il est auto-destructeur et trouve un certain plaisir à détruire les autres par la simple force de ses mots, et surtout de ses poings, okay il pourrait passer la nuit à parler avec vous pour mieux vous faire les poches à la sortie du bar et repartir au volant de votre caisse, d’accord, mais, si on fait abstraction de ça, il est sympa comme type.

Définition de l'enfer pour le personnage :

L'enfer, Gillian l'a déjà connu. Il n'a jamais connu son père, a perdu son meilleure ami, puis sa mère, et s'est retrouvé malgré lui à atomisé des mecs pour sentir l'odeur des billets. Au jour d'aujourd'hui, il ne voit vraiment pas ce qui pourrait lui arriver de pire, hormis perdre la vie. Et encore ...

Définition du paradis pour le personnage :

Paradoxalement, le paradis, pour lui, ce serait de continuer cette routine éternellement. Tabasser, se faire tabasser, saigner, faire saigner, être payé, boire jusqu'à être complètement torché. Gillian n'aime et ne sait faire que ça. Une pauvre type vous dîtes ? Ouais, sûrement. Même si au fond, Joe aspire profondément à un avenir plus prometteur ...

Taux de criminalité et pourquoi :

Disons 70/100 ... Malgré quelques vols à l'étalages, Joe n'est pas du genre a braquer, a voler, ou même à trafiquer. Bien que par nécessité, il n'hésitera pas un seul instant. Nan, si Gillian est bien connu par les forces de police, c'est surtout pour son extrême tendance à vouloir détruire tout ce qu'il l'entoure. A commencer par les êtres humains. Prodige dans le combat de rue, Joe ne compte plus ses victimes. Trop nombreuses sont celles qui ne séjournent plus en paix ...

|| Le joueur et le hors-jeu ||

Prénom/Pseudo :

Age :

Votre avis sur New York, The Dark Side :

Où avez-vous connu le forum ?

Niveau de RP :

Allez ; disons une quarantaine en moyenne.

Exemple de RP :

Spoiler:

SCARLETT ; « Tu es pitoyable ! »
SOLAL ; « … Pardon ? » Fis-je, surpris, tout en relevant mollement la tête vers le haut.

SCARLETT ; « Tu ne devrais pas te laisser faire ! Regarde dans quel état tu es … »
SOLAL ; « Qu’est-ce que ça peux bien te foutre ? J’ai pas besoin de ta compassion, gamine … »

SCARLETT ; « J’espère te recroiser dans de meilleures conditions ! »

SCARLETT ; « Ce n’est pas vraiment ce que j’appel de meilleures conditions ! »
SOLAL ; « Ca tu l’as dis … » Murmure-je, presque pour moi-même.

SOLAL ; « Tu ne t’es jamais demander si cette ville était vraiment faîtes pour toi ? … Tu ne devrais pas rester là, j’ai pas envie d’avoir de problèmes … » Dis-je, un fin rictus aux lèvres. Arrogant et méprisable, tels étaient les deux mots qui décrivaient le mieux mon attitude …

[/u] ici.

Connexion :

4/7 environ.

Code du règlement :

Spoiler:

Avez vous signé le règlement ? :

Célébrité sur l'avatar :

Multicompte :

Re-BIENVENUE =)
Merci de ta ré-inscription, et à nouveau bon courage pour ta fiche Wink

Bienvenue ici ^^

Bienvenue ^^

Aussi coriace qu'une mauvaise herbe hein ? =)
Re bienvenue alors et bon courage pour la suite de ta fiche.

Bienvenue sur le forum *__*

Re bienvenue

Joe le taxiii il va pas partouuut ! Il marche pas au soda !

* sort *

Welcome on NY-TDS :vole:

Plus que deux jours pour finir cette fiche...

Tête de brique ?
Fan de Snatch ? ... Bienvenue et je t'aime déjà !

Yep, un film grandiose. =)

Désolé pour le retard, par ailleurs. La fiche sera terminée dans l'aprèm'. Wink

JASON STATHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAMMM

* fait une syncope *

Mais j'me disais bien que j'avais d'jà vu ce type quelque part ! MAIS OUI, C'est bien Snatch ! =DDDD Excellent film, c'est sûr ^^

Pas de souci pour la fiche, si tu as besoin d'un délai, n'hésite pas à demander Wink

J'pense avoir fini. =)

J'vais voir ça de suite Wink

En attendant, va signer le règlement, please (:

Tout est bon !

Quel personnage, ce Joe ! (Et quelle fiche assez triste, aussi :/ XD)

Bref, tout est nickel ; présentation validée =D
Allez, zou, va jouer et amuse-toi !

Bienvenue

Sujet: Re: Joe Gillian ; « les promesses de l’ombre »

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Joe Gillian ; « les promesses de l’ombre »

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