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| | Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] | |
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| Sujet: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 3:35 | |
Feat "Alyson Hannigan"
(c) Fox |
Je m’appelle Juliet, Eva, Kronenberg (celui qui me demande où est mon Roméo s’en prend une). On me surnomme la plupart du temps Ju’; mais quand je dis « on », ce sont mes amis; donc ne vous permettez pas cette fantaisie. Je suis née à San Francisco, un 24 avril 1975 (j'ai donc... Je vous laisse faire le calcul… 35 ans, oui, c’est ça), d’un père policier et d’une mère prof de français. Je suis divorcée, et pas prête à me remarier. Dans la vie, mis à part fumer des cigares, boire du rhum, et dormir avec mon flingue, je fais également partie de la grande famille du théâtre; je suis dramaturge, metteur en scène, et comédienne. Je suis ce que l’on pourrait appeler une « hétérosexuelle au chômage »; il est très rare que des hommes passent dans mon lit. Et des femmes… Bah encore moins.
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▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; (L'utilisation d'un lecteur exportable n'est pas obligatoire, vous pouvez aussi nous citer le nom de l'artiste et celui de la chanson qui, selon vous, conviendrait bien à votre personnage.)
Living Loving Maid (She's Just A Woman) - Led Zeppelin Your Times Is Gonna Come - Led Zeppelin Black Country Woman - Led Zeppelin
▬ Relations ; (5 lignes minimum - Relations amoureuses, amicales, sexuelles ; Ce qui lui plait chez les autres, ce qui ne lui plait pas chez les autres ... Ceci est une approche de la façon dont votre personnage se comporte avec autrui.)
Contrairement à ce que l’on peut croire, je ne suis pas qu’une grande gueule provocatrice; je n’entretiens pas que des relations conflictuelles avec les gens. Avec les personnes qui méritent mon affection, mes amis, et quelques membres de ma famille, je suis une femme tout à fait charmante; il ne faut pas se fier aux apparences. J’ai d’ailleurs tendance à être assez protectrice avec ces personnes là. Mais ce n’est pas pour autant que je ne suis pas franche. Gentille ne veut pas dire que je vais me la fermer. Seulement, avec eux, j’essaie de prendre des pincettes. Les personnes avec lesquelles j’ai les relations les plus compliquées sont les hommes. Je ne dirais pas que je suis misandre, mais presque. J’ai toujours eu des problèmes avec les hommes, et ai toujours eu du mal à leur faire confiance. Et cela a commencé avec mon père, un enfoiré de première, et le premier homme qui m’a déçue. Mon mariage raté n’a fait que renforcer l’opinion que j’avais de la gent masculine. C’est pourquoi il est très rare que j’ai des aventures avec des hommes; ceux qui trouvent grâce à mes yeux sont très rares. ▬ Physique ; (5 lignes minimum)
Petite. Rousse. Ce sont les adjectifs qui me définissent le mieux. Du haut de mon mètre soixante, je ne dépasse pas grand monde (à part peut-être les enfants…). Mais ma petite taille ne m’a jamais posé problème, bien au contraire. Je dirais même qu’elle a des avantages. Être petite, c’est avoir le privilège de pouvoir se faire discrète beaucoup plus facilement. Et cela m’est bien souvent utile, croyez-moi. Le seul inconvénient est mes cheveux roux, qui se repèrent assez facilement. Lorsque je suis entrée par effraction dans un laboratoire pour libérer des animaux, la police a réussi à me repérer à cause de mes cheveux, alors que je pensais être bien cachée… Et de manière générale, lorsque l’on me repère, c’est à cause de mes cheveux; car les vêtements que je porte ne sont, de manière générale, ni trop voyants, ni trop extravagants. Je ne vois pas l’intérêt de me prendre la tête lorsque je m’habille; je ne suis pas une adolescente superficielle et puérile, qu’on se le dise. C’est pourquoi je ne suis jamais surchargée de bijoux non plus. Je suis provocatrice, oui, mais seulement dans mes paroles et la manière dont je peux me comporter; pas dans mes vêtements.
▬ Caractère ; (20 lignes minimum)
Grande gueule. C’est la première chose que vous remarquerez chez moi, et la première que l’on vous dira. Lorsqu’il faut gueuler, je suis toujours la première à l’ouvrir. Je suis franche, je n’hésite jamais à dire ce que je pense, et peu importe si ça ne plaît pas aux gens. Dès que quelque chose me déplaît, que j’ai une réflexion à faire, je ne prends pas de pincettes et je le dis; je n’épargne personne, à part les personnes auxquelles je tiens; et encore… C’est de là que les gens en déduisent que je suis méchante; non, je ne suis pas méchante, j’ai juste une grande gueule. Et une grande gueule extrêmement têtue; voire bornée. Lorsque j’ai décidé quelque chose, il est impossible de me faire changer d’avis. Je resterai toujours sur mes positions, sur mon avis, et le soutiendrai mordicus. Cet entêtement fait que lorsque je me plonge dans quelque chose, je vais jusqu’au bout; je suis prête à tout pour défendre mes idéaux et les personnes que j’aime. Je suis passionnée, et je me jette à corps perdu dans tout ce que j’entreprends; les combats que je mène, en faveur des femmes, des homosexuels, des animaux, je les mène jusqu’au bout. C’est ce qui m’a valu tous les délits qui sont répertoriés dans mon casier judiciaire; il m’est arrivé d’enfreindre la loi de très nombreuses fois pour les causes que je défends; que ce soit dans, ou en dehors de mes pièces. Je suis assez provocatrice dans ces moments là. Il m’est arrivé de poser nue, ou de manifester dans la même tenue pour m’élever contre la fourrure, ou les maltraitances envers les animaux. Mais contrairement à ce que l’on pourrait penser, je ne suis pas sanguine pour un sou, j’ai toujours beaucoup de sang froid. Idéaliste et grande gueule, oui, mais il faut mettre le paquet pour me faire sortir de mes gonds. Mais je ne suis pas lente ni molle pour autant; je suis vive, et n’aime pas me reposer sur mes lauriers, ni être passive, sans rien faire. Les gens amorphes, mous, lâches, m’agacent au plus haut point. Mais ne vous fiez pas aux apparences, car je peux tout à fait être aimable. Si vous ne me donnez pas de raison de l’ouvrir, je serai tout ce qu’il y a de plus charmante. Je suis quelqu'un de très rieur, j’aime rire, j’aime l’humour (hey non, je ne suis pas une garce froide !). Je suis également très spontanée, j’aime surprendre mes amis, leur faire des surprises. J’aime parfois agir sur des coups de tête, décider de sortir à la dernière minute, débarquer chez mes amis à l’improviste… Je suis aussi très indépendante, je n’aime pas avoir à déprendre de quelqu'un et aime vivre seule. Je n’aime pas l’idée d’être dépendante d’une personne pour pouvoir faire une chose, et c’est pour cela que j’ai très peu de relations (et parce que je ne fais pas confiance aux hommes). Mais je suis très fidèle aux personnes que j’aime, mes amis, ma mère, et je suis extrêmement protectrice envers elles; même un peu trop, et cela peut avoir tendance à les agacer.
▬ La plus grande honte du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Plus qu’une honte, il s’agit plutôt d’un secret; une chose que je n’ai jamais révélée à personne, et dont je ne parlerai jamais. Il y a quelques années, lorsque j’étais mariée, j’ai fait une fausse couche. Mon ex mari ne l’a jamais su. J’étais enceinte d’un mois lorsque l’accident s’est produit; je n’avais pas encore parlé de ma grossesse à mon ex mari. J’ai perdu l’enfant alors qu’il n’était pas là; il était parti pour quelques jours. J’ai très mal vécu cette perte, et n’ai jamais réussi à en parler. Je me suis renfermée sur moi-même pendant quelques temps après cela, le délaissant. Il m’a reproché d’être égoïste, de ne penser qu’à moi, de n’avoir aucune considération pour lui; c’est ce qui a causé notre divorce. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
Perdre ma mère; elle seule m’a toujours soutenue, contre vents et marées. Elle tenait tête à mon père et me défendait lorsqu’il piquait une crise. Elle n’a jamais été choquée par ce que j’ai pu faire, dans ma carrière ou dans ma vie. Elle a toujours compris mes intentions, et m’a toujours soutenu dans tout ce que je faisais. Je crois que je ne supporterais pas de la perdre. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Existe-t-il seulement un Paradis ? Je me pose la question… Mais je pense que pour moi ce serait que les droits de chacun soient enfin respectés; femmes, homosexuels, minorités… Même si je sais que cela n’arrivera jamais, que le monde ne sera jamais utopique. Mais je ne perds pas espoir pour autant. Idéaliste ? Juste un peu. ▬ Point faible du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
Je dirais que mon plus grand point faible est mon entourage; les gens que j’aime. Et plus particulièrement, ma mère. Comme je l’ai dit, je suis très protectrice. Et bien que j’ai beaucoup de sang froid, j’ai tendance à le perdre si l’on s’en prend à quelqu'un que j’aime; cela me met hors de moi, plus que n’importe quoi. J’ai également une sainte horreur des araignées; j’ai une phobie de ces bestioles. Elles peuvent faire deux millimètres, je serai toujours autant paralysée face à elles.
▬ Point fort du personnage ; (En deux-trois lignes minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
Ma grande gueule, ma franchise. Même si elle m’a souvent causé des problèmes, je n’ai jamais regretté ce que j’ai dit ou fait. Dès que quelque chose me déplaît ou m’agace, je n’hésite pas à l’ouvrir. Et cela m’a été utile pour arriver là où j’en suis. Si je n’avais pas provoqué autant de scandales ni autant de controverses, ma carrière en serait toujours au même point. C’est-à-dire nulle part. ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel.)
- Propos diffamatoires - Troubles à l’ordre public - Exhibitionnisme - Entrée par effraction dans un laboratoire de cosmétiques (pour relâcher des animaux) - Outrage à agents de police - Tapage nocturne et diurne - Dégradation de biens publics - Excès de vitesse - Consommation de marijuana
▬ Prénom ou pseudo ; Je suis une douceur au chocolat et au lait ▬ Âge ; L’âge de boire partout. ▬ Où avez-vous connu le forum ; Je l’ai croisé en soirée. Il est venu me faire de l’œil, alors je l’ai suivi; parce qu’il est super sexy quand même. ▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 200/7 *sbaf* ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK by Mimil' (c'toi la geek !) ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Alaina n'avait rien oublié; rien. Et même si elle l'avait voulu, son corps se serait chargé de le lui rappeler. Elle n'avait rien oublié de ce matin il y a une semaine, où elle s'était réveillée en pleine campagne, dans un coin complètement paumé, à des centaines de kilomètres de New York. Elle n'avait rien oublié de la douleur qu'elle avait ressenti lorsqu'elle s'était réveillée. Elle n'avait pas oublié ce mal de tête fulgurant, ces ecchymoses violacées présentes sur une bonne partie de son corps, ces profondes entailles, ni encore moins cette affreuse douleur qui lui avait transpercé le bas ventre lorsqu'elle avait essayé de se lever. Comment oublier de telles choses ? Une pareille douleur physique vous marque tellement qu'elle ne peut que laisser une trace indélébile dans votre mémoire. Aussi loin qu'elle s'en souvienne, Alaina n'avait jamais eu aussi mal. Pas même à l'époque où elle était en hôpital psychiatrique. Ni pendant les très nombreuses bagarres qu'elle avait pu avoir. Elle avait eu mal, certes, mais la douleur ne se concentrait qu'à un endroit en particulier, les entailles n'étaient pas assez profondes ou les poings ne frappaient pas assez fort, et d'ordre général elle était toujours assez maligne pour éviter les coups. Toujours est-il qu'à chaque fois, la douleur était localisée. Alors que ce matin là, c'était son corps entier qui était douloureux. Sa tête semblait être prise dans un étau, ses membres avaient dû recevoir tellement de coups qu'ils étaient affreusement douloureux, de profondes entailles lui zébraient la peau, et pire que tout, la douleur infligée à ses organes génitaux était insoutenable. Prenez toutes ces douleurs séparément, il doit être possible de les supporter; mais réunissez-les, et elles seront quasiment insoutenables. Rajoutez-y en plus une sérieuse gueule de bois, une faim qui vous brûle l'estomac, un état de manque pointant le bout de son nez, et vous passerez la pire journée de toute votre vie. Alaina ne comprenait pas comment elle avait pu se faire avoir; c'était bien la première fois. Jamais, ô grand jamais, il ne lui était arrivé pareille mésaventure. Elle en avait vu des dealers de mes deux, ou bien des criminels hardis, venir chercher la merde; mais elle avait toujours réussi à s'en débarrasser. Et la plupart d'entre eux n'étaient jamais bien malins, ni bien préparés. Cela était donc presque un jeu d'enfant à chaque fois pour contrer leurs plans et s'en débarrasser. Seulement les criminels qui s'en étaient pris à elle cette fois-ci semblaient d'une autre trempe, et semblaient également avoir bien préparé leur coup. Comment avait-elle fait pour tomber dans leur piège ? Elle ne pouvait le dire; les souvenirs qu'elle avait gardé de cette soirée étaient tous plus flous les uns que les autres. Seules quelques bribes lui étaient revenues; pour ainsi dire des flashs. Elle se souvenait avoir reçu des coups; elle revoyait des poings lui heurter le visage et les bras. Elle revoyait un long couteau, probablement celui qui lui avait fait les profondes entailles qu'elle avait sur son corps. Elle entendait des voix. Mais elle ne se souvenait ni de son viol, ni des noms de ses agresseurs, ni de la manière dont ils avaient réussi à l'attraper. Cela restait un mystère pour elle... L'avaient-ils drogué ? Très bonne question. Quoique réflexion faite, elle devait déjà être bien défoncée lorsqu'ils l'avaient embarqué... Mais la plupart du temps elle se rappelait de ce qu'elle faisait, lors de ses virées nocturnes. Tout cela restait donc bien mystérieux... Mais elle espérait bientôt trouver la réponse à ses questions.
L'arme valsa, tombant sur le sol dans un fracas métallique. L'homme qui la tenait quelques secondes plus tôt se retrouva plaqué contre le mur, un couteau sur la gorge. Il essayait de repousser son agresseur, mais celui-ci avait réussi à le coincer contre le mur, et ne semblait pas décidé à le lâcher. Il appuyait légèrement sur la gorge de sa victime, laissant perler quelques gouttes de sang. « Tu vas répondre à ma question ?! » Éructa Alaina, le visage déformé par la colère. « Mais j'en sais rien je vous dit ! » La criminelle appuya un peu plus le couteau sur sa gorge, lui crachant ses paroles au visage. « Arrête de te foutre de ma gueule ! » L'homme semblait complètement paniqué, et lâcha un petit couinement lorsque la jeune femme enfonça un peu plus son couteau. « Mais non j'vous jure, je les connais pas ces types moi ! » Alaina colla son visage contre le sien, lui attrapant le menton de sa main libre. « Et comment puis-je savoir que tu me dis la vérité ? » Dans un sursaut de bravoure, l'homme tenta de se rebeller contre son agresseur. « Parce que t'es en train de m'enfoncer un couteau dans la gorge, salope ! » Le couteau s'ôta de la gorge de l'homme avec vitesse déconcertante, avant de violemment s'enfoncer dans son abdomen, lui arrachant un hoquet de surprise. Alaina recula, un rictus sur les lèvres. L'homme regarda le couteau, puis la regarda, un filet de sang coulant le long de son menton, avant de s'effondrer sur le sol, prit de convulsions. Une lueur sadique dans le regard, Alaina émit un petit rire. Elle attrapa son sac, posé sur le sol, avant de l'ouvrir, en sortant un mouchoir afin de nettoyer son couteau, tout en regardant sa victime agoniser. Ceci fait, elle replia son canif, le rangeant dans son sac qu'elle passa en bandoulière, avant de s'accroupir près de l'homme effondré sur le sol. Elle lui adressa un sourire mauvais. « A bientôt; même si je ne pense pas qu'on se reverra... » Elle éclata de rire et se releva, jetant le mouchoir au sol. L'homme venait de rendre son dernier soupir lorsque la porte claqua derrière la canadienne. Encore un abruti de plus qui ne savait rien; Alaina n'avait rencontré que ça. Tous ces soi-disant informateurs, en mesure de lui fournir les renseignements qu'elle attendait, n'avaient pas été capables de lui donner le nom de ses agresseurs. Elle n'avait rien obtenu; rien. Nada, niente, nothing. Dites-le dans la langue que vous voudrez. Toujours est-il qu'Alaina en était au même point; elle n'avait rien appris de nouveau. Elle n'avait pas quitté la case départ, n'avait avancé d'aucune case. Et c'était frustrant et énervant à l'extrême pour la jeune femme, qui avait du mal à garder son sang froid. Enervée comme pas deux, elle donna un violent coup de pied dans une poubelle qui se trouvait à proximité. « Putain ! » Elle se passa une main dans les cheveux, tentant de maîtriser sa colère. Calme toi Alaina, calme toi... Prenant de grandes inspirations et expirations, elle ouvrit son sac, en sortant un paquet de cigarettes et un briquet. Elle sortit une clope avant de l'allumer, et de remettre le paquet et le zippo dans son sac. Aspirant une bouffée bienfaisante du tabac, elle s'adossa contre un mur. Qu'allait-elle faire maintenant ? Elle avait l'impression que tout ce qu'elle entreprenait pour découvrir la vérité finissait constamment dans un mur. Combien de personnes allait-elle encore devoir interroger ? Combien de fois allait-elle encore devoir se salir les mains ? Elle commençait à saturer, et n'allait pas tarder à perdre patience si tout ce petit jeu continuait. Ses agresseurs semblaient avoir brouillé les pistes à la perfection, et elle avait l'impression qu'elle ne réussirait jamais à les attraper. Combien de temps cela allait-il encore lui prendre afin de les retrouver ?
La clope se retrouva au sol, avant d'être écrasée par le talon de la chaussure d'Alaina. La jeune femme, à présent et de nouveau (presque) sereine, reprit sa marche dans les ruelles de Chinatown. Bien qu'elle soit déjà à quelques rues de l'entrepôt où elle avait laissé l'homme pour mort, elle préférait s'éloigner plus, par mesure de sécurité; on ne sait jamais, après tout. Il ne fallait jamais tenter le diable comme on dit. Elle marchait depuis une dizaine de minutes environ lorsqu'elle arriva aux abords d'un bar qu'elle connaissait bien. Enfin, c'était plutôt le propriétaire des lieux et ses acolytes qu'elle connaissait bien; elle avait fait affaire avec eux plusieurs fois, et ils s'étaient avérés être de très bons clients. Les russes étaient toujours pleins aux as, c'était un détail à ne pas négliger. Faire affaire avec ces gens là était toujours très fructueux. On en revenait toujours avec une somme prête à faire pâlir n'importe quel pauvre dealer de New York. Plus elle se rapprochait du bar, et plus il lui semblait entendre des voix provenir de ses alentours. Elle s'arrêta de marcher, scrutant le bâtiment dans la semi obscurité. Elle cherchait depuis plusieurs secondes lorsqu'elle aperçut deux hommes contre un des murs du bar, l'un visiblement énervé, pointant une arme sur l'autre. Elle sourit, s'avançant vers eux; il lui semblait avoir reconnu l'homme tenant le revolver. Elle s'arrêta quelques mètres seulement derrière eux, souriant. « Alors Ivanov, on est énervé ? » Le dénommé Ivanov se retourna, offrant un visage dévasté par la colère, où se peignait maintenant de la surprise. « Milk ? Qu'est-ce que tu fous là ?! » Alaina lui adressa un sourire narquois. « En quoi ça te regarde ? » Le russe lui lança un regard noir. « Commence pas à faire ta maligne, c'est pas le moment. » Alaina éclata de rire. « Sinon quoi ? Tu ne vas tout de même pas me... » Elle s'arrêta en plein milieu de sa phrase, ayant reconnu l'homme que Ivanov tenait en joue. Sidney O'Connor. Cela faisait des mois qu'elle ne l'avait pas vu; que faisait-il à Chinatown ? En compagnie d'un criminel, qui plus est. Alaina lui adressa un immense sourire. « Tiens, tiens... » Ivanov passa son regard de l'un à l'autre, intrigué. « Tu le connais ? » Alaina répondit à sa question sans lâcher l'agent spécial des yeux, continuant de sourire. « Lui et moi sommes de grands amis. » « Alors tu vas pouvoir répondre à ma question. Monsieur Whise prétend qu'il est écrivain; mais moi je pense que ce n'est qu'un sale flic. » Alaina éclata de rire, plantant son regard dans le sien. « Un flic ? Non, je ne crois pas. Je le saurais sinon. » Ivanov lui lança un regard noir, parlant d'une voix d'où pointait la colère. « Ne te fou pas de ma gueule Milk ! Comment je sais que je peux te faire confiance ? » Alaina lui adressa un sourire glacial. « Parce que je n'irais jamais couvrir un flic, espèce d'abruti. Tu crois vraiment que j'ai que ça à faire ?! Et puis tu ferais mieux de changer de ton, sinon je peux t'assurer que ton patron ne recevra plus rien de moi; et je n'hésiterais pas à balancer ton nom. » Satisfaite de sa réponse, elle lui adressa un sourire narquois. Le russe sembla plongé dans une intense réflexion pendant plusieurs secondes, avant de finalement lâcher O'Connor, sentant probablement qu'il serait mieux pour lui de ne pas mettre son patron en colère. Il lança à la jeune femme un regard noir, avant de repartir vers le bar d'un pas lourd. Alaina reporta son attention sur l'agent spécial, lui adressant un large sourire.
« Ne me remercie surtout pas O'Connor, ça risquerait de t'écorcher la bouche. »
La jeune femme éclata de rire, s'adossant contre le mur à côté de lui. Voilà une rencontre à laquelle elle ne s'attendait pas. La soirée promettait d'être... Délicieuse.
▬ Célébrité sur l'avatar ; Alyson Hannigan ♥ ▬ Multicompte(s) ; Tout le staff, et c'est Lilah qui m'a annoncé la bonne nouvelle <3 ▬ Un dernier truc à dire ? ; Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises que ce personnage ne sera ni une psychopathe, ni une dépressive.
Dernière édition par Juliet E. Kronenberg le Mer 30 Mar - 22:18, édité 5 fois |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 3:36 | |
▬ Histoire ;Give’em Hope Une pièce en un acte et sept personnages. Personnages :Juliet Kronenberg, auteur, comédienne, metteur en scènePapa Kronenberg, policier, et père de JulietMaman Kronenberg, professeur de français, et mère de JulietJean-Pierre Miquel, administrateur de la Comédie-FrançaiseLe Mari, mari de JulietPeter le chien, chien de JulietLa Radio, poste de radio de JulietScène première Juliet, Papa, et Maman Kronenberg. La scène se passe à San Francisco, en 1993. Les personnages sont dans ce qui semble être un salon. Par une fenêtre, dans le fond, on aperçoit le Golden Gate Bridge dans le lointain. Des valises sont posées sur le sol, près de la porte. Deux personnages, Juliet et Papa, sont debout, visiblement énervés. Juliet, jeune femme rousse de dix huit ans seulement, se tient dos au mur, face à son père, qui lui crie dessus. Maman est assise sur un canapé à côté d’eux, et semble anxieuse.Papa (énervé) - Ca fait dix-huit ans que je te nourris, que je te loge, et voilà comment tu me remercies ?! En te tirant ?! Juliet - Je t’en prie, arrête, ne vas pas me faire croire que ça te fend le cœur !! Qu’est-ce que t’en as à foutre ?! Papa - Parle moi sur un autre ton Juliet ! Juliet - Je te parle comme je veux, tu n’as aucun ordre à me donner ! Tu ne t’es jamais préoccupé de moi pendant dix-huit ans, et voilà que subitement, tu me piques une crise parce que je veux aller étudier en France ? Mais laisse moi rire ! Papa - Tu te tires pour aller jouer les saltimbanques, je crois que ça me concerne !! Juliet - Non, ça ne te concerne pas; je fais ce que je veux de ma vie ! Papa - Tu me déçois Juliet, profondément… Tu n’as toujours été qu’une source d’ennuis et de déceptions. Tous ces problèmes que tu nous as apporté… Toutes tes manifestations, tes nuits au poste… Tu me fais honte Juliet. Juliet - Je te fais honte parce que je me bats pour ce qui est juste ? Mais c’est plutôt moi qui devrais avoir honte de toi ! Qui a voté Dan White en 1977 ? Pas moi ! Qui a tapé sur des homosexuels pendant les manifestations ? Encore pas moi ! Qui va se prendre une cuite plusieurs fois par semaine avec ses collègues ? Certainement pas moi ! Papa semble bouillir de rage. On voit qu’il essaie de se contrôler. Maman est bouche bée, et ne semble pas pouvoir parler.Papa - Tu ne partira pas Juliet. Ma décision est prise. Juliet (un sourire sarcastique sur le visage) - Oooh que si, je vais partir. Bien sûr que si. J’ai passé le concours du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, j’ai été accepté, et je compte bien y aller. Les premiers mois sont déjà payés, j’ai trouvé un appartement, et j’ai mes billets d’avion. Tu ne m’empêchera pas de partir. Juliet s’approche de la porte, saisissant les bagages. Elle échange un sourire triste avec Maman, et hoche la tête, avant d’ouvrir la porte.Papa - Juliet, si tu sors d’ici… Juliet (le coupant) - Adieu, Henry. Elle sort. Noir.Scène deux Juliet, Jean-Pierre Miquel. La scène se passe à Paris, en 1999. Les personnages sont dans le bureau de Jean-Pierre, à la Comédie-Française. Jean-Pierre est assis à son bureau, fumant une cigarette. Juliet, dans un fauteuil, face à lui. Ils semblent légèrement énervés.Jean-Pierre (tirant sur sa cigarette) - Depuis six ans que je suis ici Juliet, depuis six ans, je n’avais jamais eu affaire à quelqu'un comme toi; jamais. Tu es la comédienne la plus… Butée, et fouteuse de merde que je n’ai jamais vu. Juliet (sarcastique) - Dois-je le prendre comme un compliment ? Jean-Pierre (un sourire en coin) - Prends le comme tu veux. Juliet - Alors je le prends comme un compliment. Jean-Pierre - Ca ne me fait pas rire, Juliet. Tu ne te rends compte de l’image que tu donnes ? De l’image que tu nous donnes ? Juliet (vexée) - Je n’ai pas bien conscience, non. Jean-Pierre - Tu es… Désagréable avec les metteurs en scène, désagréable avec tes collègues… Tu fais des scandales dès que tu le peux, tu fous le bordel quand tu manifestes, tu te fais arrêter… Non mais sérieusement, tu pensais vraiment qu’on te garderait avec tout ça ? Quelle image donnes-tu au Théâtre Français ? Juliet - Alors ce n’est que ça qui t’importe ? L’image que je donne ? Je ne parle pas au nom du théâtre, mais du mien. Je n’ai jamais impliqué la Comédie-Française dedans; jamais. Je ne vois pas ce qui te dérange. Jean-Pierre (soufflant) - On ne peut plus te garder Juliet; ce n’est pas possible. Tu es une bonne comédienne, une très bonne même, mais on ne peut plus continuer comme ça; ce n’est plus possible. Juliet (sarcastique) - Très bien. Mets moi donc à la retraire Jean-Pierre. Ne t’en fais pas, je trouverai mieux ailleurs. Elle se lève, met son sac sur son épaule, et après un dernier sourire à Jean-Pierre, elle sort. Noir.Scène trois Juliet, le Mari, la Radio. New York, 2002. Juliet et le Mari sont assis autour d’une table, dans un appartement de style très New Yorkais. La table est dressée, ils sont en train de dîner. Sur un coin de la table est posée une radio, de laquelle on peut entendre s’élever une voix féminine.La Radio - Scandale hier à Broadway, où était jouée la première de Anéantis, pièce de Sarah Kane, mise en scène par Juliet Kronenberg. On avait déjà pu constater le goût de Madame Kronenberg pour les mises en scène spectaculaires, et hors du commun, mais elle semble avoir dépassé ses limites avec cette mise en scène. Elle nous offre une mise en scène d’une rare violence, crue, reprenant mots pour mots les actions de la pièce, sans passer par l’allégorie ou la métaphore. Il est certain que cette mise en scène restera dans les mémoires, et que Madame Kronenberg fera parler d’elle pendant un certain temps encore. Juliet a un sourire amusé, avant d‘éteindre la radio.Le Mari - Ca te fait rire ? Juliet - Oui, beaucoup. C’est incroyable que les gens soient encore si puritains à notre époque. Le Mari - Mets toi à leur place aussi; c’est vrai que cette pièce était assez… Singulière. Juliet (riant) - Je n’ai pas inventé la singularité de cette pièce. Elle était comme ça avant que je la monte. Mais ce que les gens ne comprennent pas, c’est le message que cette pièce fait passer. Le Mari - Parce qu’il y a un message ? Juliet (sérieuse) - Bien sûr, qu’il y a un message. Tant de violence, ce n’est pas gratuit, ni juste pour le plaisir. Tu sais ce que Sarah Kane dénonçait dans cette pièce ? Les violences conjugales, et la guerre en Bosnie Herzégovine. Le Mari - A travers…Ces horreurs, elle dénonce ça ? Juliet - Hey oui. On ne croirait pas, n’est-ce pas ? Le Mari (un sourire) - Pas vraiment… Noir.Scène quatre Juliet, seule. Quelques mois plus tard. Toujours le même appartement, mais nous sommes cette fois-ci dans le salon. Juliet est seule, assise sur le canapé, en train de lire. Sur une table basse, en face du canapé, est posé un verre d’eau. Juliet se penche pour l’attraper, et boire une gorgée. Elle le repose, se penchant de nouveau. Elle est soudain prise de violentes douleurs à l’abdomen, qui la font se plier en deux.Juliet - Aaah, mais qu’est-ce que… ? Elle est de nouveau pliée en deux, le visage déformé par une grimace. Elle s’agrippe à la table basse. Elle penche la tête, et aperçoit une tâche sombre sur le canapé. Ses yeux s’écarquillent de stupeur. Son pantalon et le tissu recouvrant le canapé sont imbibés de sang. Elle pousse un cri.Juliet - Nan ! Le bébé ! Elle est prise d’une crise de sanglots, et se laisse aller contre le canapé, la tête entre les mains. Noir.Scène cinq Juliet, le Mari. Deux mois après la fausse couche de Juliet. Elle et le Mari sont dans le salon. Juliet est assise, lui est debout. Ils sont tous les deux énervés.Le Mari - C’était une erreur; une erreur… On n’aurait jamais dû se marier Juliet, jamais. Si j’avais su… Juliet (sarcastique) - Si tu avais su ? Hey bien quoi ? Tu m’aurais jeté ? Le Mari - J’en sais rien… Juliet - Oh mais si, tu le sais très bien ! Le Mari - Non, Juliet. Arrête de toujours te comporter comme si tu savais tout sur tout. Juliet émet un petit rire.Le Mari - Qu’est-ce qui te fait rire ? Juliet - Toi. Tu te comportes comme si… Tu ne me connaissais pas. A t’entendre, tu me découvres. Tu savais très bien qui j’étais avant de m’épouser. Le Mari - Je pensais le savoir, mais je me suis trompé. Juliet - Ah bon, tu t’es trompé ? Et qui croyais-tu que j’étais alors ? La voisine ? (Elle rit.)Le Mari - Mais putain Juliet, arrête ! Tu es… Juliet - Je suis ? Le Mari - Exécrable ! Il faut toujours que tu… Envenimes les choses. Juliet (étonnée) - Que j’envenime les choses ? Parce que j’ai fait une blague ? Le Mari pousse un soupir et lui jette un regard noir.Juliet - Ce n’est pas moi qui aie déclenché cette dispute, je te le rappelle. Le Mari - Arrête de faire comme si de rien n’était; ça couvait depuis longtemps, tu le sais bien. Juliet - Ah bon ? Et pourquoi ? Le Mari (explosant) - Parce que tu es insupportable Juliet, merde ! Tu es insupportable, égoïste, égocentrique ! Juliet - Arrête. Arrête. Tu sais que c’est faux. Le Mari - Mais bien sûr que non ! Tu ne penses qu’à toi Juliet, admet-le !! Juliet - Non, je n’admettrai rien, puisque c’est faux ! Le Mari - Et tu es de mauvaise foi en plus ! Depuis qu’on est mariés, tu n’as jamais eu aucune considération pour moi ! Toujours à te préoccuper de toi, et seulement de toi. De ta petite personne, et de ta si précieuse carrière… Et c’est devenu de pire en pire ces deux derniers mois. C’est limite si tu m’adresses encore la parole ! Juliet (des larmes dans les yeux) - Arrête. Tu ne sais pas. Tu ne sais rien. Le Mari - Je ne sais pas quoi ?! Juliet ne répond rien. Quelques minutes passent, pendant lesquelles ils ne disent rien. Juliet fixe le vide, pendant que le Mari s’assoit sur un fauteuil, en face du canapé.Juliet - Tu as raison. Tu ne sais rien de moi. Et tu ne me comprends pas; tu ne me comprendra jamais. Maintenant, je comprends pourquoi ma mère a divorcé. On aurait jamais dû se marier; jamais. Elle se lève, avant de disparaître par une porte, côté cour. Noir.Scène six. Juliet, la Radio, Peter le chien.
New York, 2005. Juliet est assise sur une chaise, les jambes croisées sur la table en face d’elle. Elle fume un cigare. A ses pieds, un chien, Peter. Sur la table est posée la Radio, de laquelle s’élève une voix masculine.La Radio - Nouveau scandale dans le monde du théâtre hier. L’auteur, comédienne et metteur en scène, Juliet Kronenberg, ne semble plus avoir de limites. Elle a une fois de plus créé la controverse, avec sa nouvelle création, Hope. La violence des propos tenus par les personnages de la pièce, ainsi que celle de la mise en scène, et la crudité des mots, ont choqué la majeure partie du public. Mademoiselle Kronenberg semble aller de plus en plus loin dans la démesure et la violence. Rappelons que sa précédente pièce avait été censurée pour cause de propos diffamatoires, et qu’elle avait été interdite de représentations pendant plusieurs mois. La jeune femme ne cesse de créer des scandales et des controverses, que ce soit en dehors, ou dans le monde du théâtre. Jusqu’où ira-t-elle avec sa prochaine pièce ? Affaire à suivre. Juliet éteint la Radio, en émettant un petit rire.Juliet (à Peter) - Tu as vu mon gros, je créé des scandales. (Elle relève la tête, fixant un point sur le mur) Jamais ils ne comprendront ce que je fais. Jamais ils ne comprendront les messages que j’essaie de faire passer. Il n’est ni question de violence, ni de démesure; mais d’activisme. Jamais ils ne comprendront. Jamais. Noir.
Dernière édition par Juliet E. Kronenberg le Mer 30 Mar - 22:08, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 3:39 | |
Re-re-bienvenue ma poule ! Alyson, ça pète <3 j'valide ton code, tu connais le blabla, et ENFIN un personnage "normal" pour toi :p |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 3:39 | |
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| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 3:42 | |
"Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises que ce personnage ne sera ni une psychopathe, ni une dépressive." C'est promis ? Rerebienvenue sur le forum ! Bonne continuation pour ta fiche ! Et au dodo ! |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 3:44 | |
Merci vous deux <3 Je vous fait des léchouilles pour la peine J'ai pas dit qu'elle serait normale, juste qu'elle ne serait ni psychopathe ni dépressive... Oui ma femme ! Merci <3 |
| | | | | | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 3:49 | |
Je ne peux pas jouer quelqu'un de normal; c'est biologiquement et psychologiquement impossible You're my daddy *sbaf*Merci pour ce chaleureux re re re bienvenue mon détective |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 10:47 | |
Raaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah, ma théâtreuse! Re-re-bienvenue, Dumby |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 11:42 | |
Re-bienvenue et bonne continuation *attention je vais être vulgaire* PUTAIN ALYSON HANNIGAN !!!!!!!!!!! = très très bon choix (a) |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 12:14 | |
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| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 12:29 | |
Dumby => T'as vu, je t'avais promis que ce serait une théâtreuse ♥ Paige => J'excuse ta vulgarité, puisque je suis d'accord avec toi *sbaf* Zézé => Vouiiiiiii, les rousses au pouvoir Merci à vous trois ! <3 |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 13:00 | |
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| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 13:04 | |
Merci ma Biche <3 |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 18:12 | |
- Juliet E. Kronenberg a écrit:
- Je jure solennellement
que mes intentions sont mauvaises que ce personnage ne sera ni une psychopathe, ni une dépressive. * S'étouffe * Rebienvenue, jolie plante Milky ! |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 19:31 | |
Pourquoi t'étouffes-tu Grant ? C'est vrai, Juliet ne sera ni une psychopathe, ni une dépressive Mais merci, tarte aux brocolis <3 |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 20:07 | |
Ma douce <3
Re-bienvenue, bonne chance pour ce qui te reste à écrire de ce personnage qui promet ! (même si la meilleure c'est Jane ) |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 20:17 | |
Mon tendre <3 Merci ! La fiche ne va pas tarder à être terminée ( ) |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 20:30 | |
Qu'est-ce que le pauvre Jean Pierre Miquel fait dans ton histoire? |
| | | | | | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 22:15 | |
Merci mon Panda Et voilà, fiche finie ! Je n'attends plus que votre divine parole, cher staff ! |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] Mer 30 Mar - 23:14 | |
Bon bah c'est moi qui m'y colle -sbaff- Je reviens pour un rapport.
EDIT : Juliet. Juliet c'est une chieuse, une grande gueule, qui laisse sa carapace qu'elle s'est bâtit contre les hommes, contre les critiques et contre le reste du monde tout cours, prendre le dessus. Pour le meilleur comme le pire. Amoureuse des scandales, ayant une méfiance envers les hommes et pourtant c'est ce qui l'a entouré le plus dans sa vie, car hormis la présence transparente de sa mère, il n'y a pas de femme dans cette histoire (ou pièce d'ailleurs). Un père, un metteur en scène et un mari qui ne la comprennent pas, son seul réel compagnon masculin est finalement son chien, qui, ma foi semble tout à fait lui convenir. Bien que l'affection envers ses proches n'est pas évidente dans la pièce on le devine ou tu nous en fait par un peu avant dans ta fiche. On ne doute pour autant de son engagement réel qu'elle défend et que personne ne semble comprendre et bien elle les emmerdes, ne vaut-il pas mieux vivre seule que mal accompagnée comme ils disent ?
Bref, je n'ai rien d'autre à dire, je crois que tout le monde appréciera la présentation originale de ton histoire qui marche plutôt bien avec ton personnage, pour ne pas dire totalement raccord. Je n'ai pas vu de fautes qui m'ont sauté aux yeux ou s'il manquait des mots. Donc c'est all good tu es validée, mon double au féminin (ce qui fait de toi mon contraire) xD. Un membre de l'administration viendra te mettre ton rang et ta couleur.
Enjoy ! =) |
| | | | Sujet: Re: Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] | |
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| | | | Juliet E. Kronenberg ▬ Je ne suis pas méchante, j'ai juste une grande gueule. [TERMINÉE] | |
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