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| | Joshua N. Logan - THE come back ! | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Joshua N. Logan - THE come back ! Mar 30 Juin - 17:21 | |
Joshua Nathanaël Logan ~ Don't wanna be all by myself ~ Je pense que mon histoire se résume à quatre ou cinq mésaventures, toutes aussi grotesques les unes que les autres. Aujourd'hui, j'ai 18 ans, bientôt 19, je vis dans un appartement à Manhattan, seul, grâce à ma belle-mère qui pour une histoire de laxatif, promit de payer l'appartement jusqu'à temps que je puisse me le permettre.
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Tout a commencé dès ma naissance. A l'accouchement donc. Je n'ai pas vu le jour dans une chambre d'hôpital comme tous les rejetons. Moi, j'ai carrément eu le droit à une banque victime d'un hold-up. Maman bazardait un tas d'injures en espagnol aux bandits qui visiblement ignoraient la signification de ces insultes. Ces derniers manquaient cruellement de confiance en eux : ils perdaient clairement leur sang-froid au moindre obstacle. Ils ne laissaient donc personne s'échapper de la banque, même pas la femme enceinte. Je fis donc ma première apparition entouré d'argents et d'armes. Par chance, - et c'est sûrement la seule fois où je pourrais employer ce mot - une chirurgienne spécialisée dans la pédiatrie se trouvait dans cette galère elle aussi. Alors, ma naissance put se faire sans complication. En tout cas, pas pour moi. Par contre, ma mère, elle, est morte à partir de cet instant. Pour sûr, je regrette de ne pas la connaître, mais malgré ça, je parviens à parler librement de sa mort. Oh, mais attendez, ceci n'est qu'un début, puisque j'ai décidé de vous raconter la vérité sur Joshua N. Logan, toute la vérité.
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Neuf mois plus tard. Mon père m'avait découvert un don particulier en ce qui concernait mon aptitude à faire craquer les filles. En effet, je devais seulement me tordre de rire - chose qui m'était plutôt aisée à l'époque - et une foule de groupies enragées et frénétiques se pointaient comme de vulgaires salopes pour m'étouffer en montrant leurs visages exaltés. Ainsi, papa trouvait en moi la force dont il puisait l'énergie pour sortir et faire de nouvelles rencontres. C'est dans ce contexte qu'il aborda cette Précieuse, cette pauvre conne, ringarde avant l'âge qui se métamorphosera plus tard en une vieille peau emmerdeuse tendance tyrannique. Avec du recul, beaucoup de recul, je me dis que c'est sûrement parce que Précieuse se comportait différemment de ces autres pétasses, que mon cher et tendre père finit par l'épouser. Mais revenons-en au faîte. Mon père eut donc l'heureuse idée d'accoster cette pouffiasse dans un bus. Après avoir longuement conversé avec elle, il décida de descendre au même arrêt que la demoiselle et c'est seulement une fois le car reparti qu'il constata que moi, j'étais toujours à l'intérieur.
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Lorsque j'avais deux ans, je me sentais toujours surpuissant. Chose que n'appréciait pas la grognasse qui me servait de belle-mère. C'est à cet âge qu'ils décidèrent de se marier. La guerre était donc lancée. Inconsciemment, je révélais des pouvoirs incroyables et comme toutes personnes présentent à ce mariage, je me devais de leur faire un cadeau. Le cadeau le plus naturel qui soit. Alors, lorsque tout le monde était à table, le soir venu, et que personne ne s'occupait de moi, je rampai sous la table d'honneur tout en esquivant les jambes et les pieds qui se dressaient en travers de mon chemin. Par la suite, je pus me faufiler derrière la mariée. Me tenant derrière elle, je n'avais qu'une seule arme sur moi. Avantageusement pour moi, la musique et les danseuses qui faisaient face au couple marié cachait ma présence de tout bruit pouvant émettre de mon petit corps. Alors, je dégainai mon pistolet et arrosa la robe de la mariée qui traînait à terre de mon petit tuyeau. Maintenant que nous formions une 'famille', je me devais montrer de l'affection à ma belle-mère.
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Dès mes 8 ans, je me découvris une passion pour tout ce qui était analyse et exploration. Je ne sais pas, j'avais l'impression d'être plus intelligent qu'un autre gamin de mon âge. Je ne faisais rien comme les autres : pendant qu'ils jouaient au foot, je m'apercevais que moi, je préférais de loin jouer avec les mains. Ainsi, déjà à cette époque, je me prédestinais à devenir volleyeur. Mais il n'y a pas que ça. Tout le monde se rendait à l'école, que ce soit la primaire, le collège, ou autres, à pied, en voiture ou en transport en commun. Apparement, j'étais le seul ici à me déplacer en roller. Je trouve ça beaucoup plus sympa de se déplacer ainsi. Enfin, ces rollers ont été source de problèmes et de mésaventures et je ne sais pourquoi mais je suis persuadé que vous me croyez. A l'école, la professeur répartissait des tâches à chaque élève, la mienne consistait à m'occuper de ses phasmes. Pile ce qu'il me fallait : un peu de responsabilité. Alors, une fois, quand c'était l'heure de la récréation, je me dirigeais vers les toilettes pour nettoyer le bocal dans lequel se trouvait ces bouts de bois vivants. J'étais fier de ce poste à responsabilité. Jusqu'au moment où de je ne sais où, un chien est arrivé en courant et en aboyant vers moi. La clôture qui séparait l'école de la maison voisine comportait une faille. Bref, pris de panique, l'instinct me fis prendre une de ses bestioles et le lancer dans le sens inverses d'où le chien arrivait. tout en criant ' Vas chercher ! '.
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Un jour, je devais avoir 16 ou 17 ans, mon père décida de renforcer nos liens en nous emmenant dans un parc aquatique. Chose qui me réjouit puisqu'il s'avère que j'adore l'eau ! Quand j'étais petit, j'aimais courir tout nu autour de la piscine de mon voisin et je me jettais dedans - chose complètement conne étant donné qu'à l'époque, je ne savais pas nager - et c'est ce qui força mon père à me faire suivre des cours de natation avant même d'avoir atteint l'âge requis. C'est donc en nageur confirmé que je me pointais là-bas. Au début, j'essayais une une simple piscine. Alors, je plongeai dedans. Mais, je me rendis vite compte que mon maillot de bain avait disparu, entraîné par la force du courant. Quand j'ai voulu le chercher, j'aperçu deux, trois gamins courir vers une autre piscine, le maillot de bain à la main, je me mis donc à les pourchasser à poil, tout en évitant d'enfreindre les règles de la bienséance et en cachant mon pénis de l'une de mes mains. Mais ça ne s'arrête pas là. Mon père voulait tenter l'aventure pour une fois, - comme si être marié à Précieuse ne suffisait pas - donc on se dirigeait vers l'un de ses toboggans de la mort. Après une bonne demi-heure de queue, nous arrivions enfin en haut, devant le toboggan attendant le signal d'un mec. Une fois le signal lancé, je me projettai à l'aide d'une barre de fer sur le tobogan pour gagner en vitesse. Mais c'était sans compter sur ce morceau en plastique qui s'accrocha à mon gmaillot de bain et me le déchira ; je n'ai jamais autant souffert.
Dernière édition par Nick Logan le Mer 1 Juil - 9:52, édité 39 fois |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mar 30 Juin - 17:21 | |
Définition de l'enfer pour le personnage : Vous savez pour moi, la vie est un enfer au quotidien. Il n'y a qu'à voir mon histoire. Les actions quotidiennes de tout le monde se révèlent être un véritable défi pour moi ! Par exemple, traverser une route, je sais que j'ai toujours une chance sur quatre de me faire écraser. Chose qui n'est encore jamais arrivée, mais ça m'arrivera tôt ou tard.
Définition du paradis pour le personnage : L'amour, oh l'amour ! Quand on a l'amour, on a tout ! Pourquoi j'y aurais pas le droit moi ? Bon c'est vrai que j'ai beaucoup d'expériences bizarres, que je suis légèrement folle dingue et que je suis nul dans les relations humaines mais...
Taux de criminalité et pourquoi : 5. Pense être quelqu'un de moral, ayant un savoir-vivre même mais possède également des pulsions meurtrières en guise de représailles ou d'antipathies. A cela s'ajoute ma malchance qui serait capable de tourner au drame. 5 me parais être un bon chiffre dans ces circonstances. || Le joueur et le hors-jeu || ~ Prénom/Pseudo : Nico Age : 17 ans bientôt 18 Votre avis sur New York, The Dark Side : A chier Où avez-vous connu le forum ? On a été choisi pour faire un karaoké tous les deux et c'est parti de là. Niveau de RP :15 min, mais je compte m'améliorer et faire beaucoup plus ! Exemple de RP : - Spoiler:
Chaque jour est unique hein ? Enfin, c’est ce que mon père, Rick Logan, nous rabâchait, à mes frères et moi, si souvent. Néanmoins, d’après son raisonnement, certains jours demeurent plus inoubliables que d’autres. Par exemple, son mariage avec maman ou encore la naissance de mon frère Tyler (né en 89). Quoi qu’il en soit, la journée la plus mémorable résidera celle de ma naissance par le fait qu’elle est aussi celle de mon frère jumeau, Ryan, mais particulièrement parce qu’elle marquera la fin de vie de ma mère… En m’exprimant ainsi je vous parais probablement indifférent mais estimez bien que ce n’est pas le cas. Je souhaite simplement ne pas atteindre le mélodrame en reconnaissant ne jamais avoir connu ma mère d’autant plus que ce n’est pas dans mes habitudes de me lamenter. De même que mon père qui, en refoulant ses pas dans la maison (nous vivions dans un quartier résidentiel de Miami), déclarait que l’on apportera beaucoup de gaieté à notre foyer en souvenir d’Ashley. Maman méritait bien qu’on lui accorde son dernier vœu : être heureux. Ainsi, avec mon père et Tyler, on consentait à être épanoui et radieux à l’instar de la belle famille américaine que rien n’arrête. Isolé, mon jumeau, Ryan, ne se montrait pas de cet avis. Sans comprendre les motifs qui le poussaient à agir ainsi, il semblait nous considérer comme ses ennemis, des adversaires qu’il troquerait volontiers contre une nouvelle vie. Ce soulèvement entreprit dès que l’on existait sous forme de nourrisson.
Bébé, il n’abandonnait jamais l’idée de brailler, chose que je ne façonnais sous aucun prétexte tant qu’il ne me côtoyait pas. Auprès de tous, je m’affichais comme l’enfant agréable et délicat. Mes railleries ne lassaient jamais, c’est même à se tâter sur le fait que mon entourage émergeait en tout lieu dans l’espoir d’ouïr le petit Nick se tordre de rire. Pour autant, aussitôt que ma moitié m’abordait, les motivations à m’importuner devenaient indomptables. En ce temps-là, on percevait déjà l’influence et l’autorité qu’il aurait sur moi et dont il abusera à l’avenir. Il y a donc plus d’une dizaine d’années, je pleurnichais à la moindre vacherie que Ryan provoquait et c’est qu’en plus il en était fier. Tous les moyens constituaient une bonne finalité pour m’ébranler : détruire un objet et me montrer du doigt comme si je représentais le coupable idéal, me voler mes appartenances et parfois même il n’hésitait pas à me cogner. Concevant que ses crasses aboutissaient à une émotion plaisante pour lui, Ryan me donnait le statut de victime d’injustice pour les années à venir. Défavorablement pour lui, l’entrée au collège perturba notre relation bourreau/bouc-émissaire, avantageusement pour lui, je n’ai jamais été rancunier. Gagnant en grade social, ces quatre années d’études furent source de révélations pour moi : je remarquais que je n’étais plus le tourmenté de mon frère mais au contraire son protégé et surtout j’admettais secrètement avoir des attirances physiques et morales pour les garçons.
Ces quatre ans coulèrent promptement. Je quittais le collège avec un niveau scolaire dans la norme, j’étais sur entouré et physiquement classé dans la catégorie : mignon. A mon entrée au lycée je fus immédiatement répertorié dans le groupe ‘populaire’. Encore aujourd’hui, je ne peux dire si c’était un bien ou un mal. Ce qui me créait un ennui, c’était de voir Ryan solitaire. Mais même avec cette soif d’être délaissé, il s’attirait l’amitié de quelques-uns. Quant à Tyler, il restait fidèle à lui-même : déconneur et guitariste. De son côté, mon père comprenait que ses fils commençaient lentement à grandir et à devenir des jeunes hommes. Il semblait vouloir nous couver et c’est pour ça que tous les vendredi soirs, il nous imposait une sortie entre mecs. C’est uniquement pendant ma seconde année que je déterminais qu’il était temps de dire : « je suis gay ». Comme j’en avais conscience, personne ne me tourna le dos. Au rebours, je m’attirais la sympathie de nouveaux visages. Donc, pour résumer : j’avais, une santé irréprochable, un bon dossier scolaire, une famille soudée (malgré Ryan qui occasionnait toujours de graves ennuis) et des amis sur qui je pouvais compter. A ce tableau, une seule tâche noire résidait : l’amour. Non pas que les occasions manquaient, mais j’imaginais toujours une excuse brusque pour me dépêtrer de ce sentiment décrit généralement comme le plus fort qui règne sur le monde. A ce sujet, je préfère me taire.
J’entamais donc ma dernière année comme lycéen (du moins je priais pour). Je me prédestinais à être acteur : c’était mon rêve. Au fait, je ne l’ai pas dit avant, mais j’ai toujours eu un faible pour le volley et j’exerçais ce sport dès que l’occasion m’en était donné (en sport et en club). Voici donc aussi ce qui fit grimper ma côte de popularité. Sans oublier Tyler qui jouait maintenant dans un groupe de Rock et qui commençait les tournées. Les examens de fins d’années approchaient rapidement, beaucoup trop. Je réussis à décrocher une place comme étudiant au conservatoire des arts dramatiques de New-York. Ma vie se fabriquait peu à peu telle que je la voulais. Ayant obtenu les félicitations comme mention à mes épreuves, je n’avais plus qu’à fêter tout ça ! Avec mon petit groupe, on tranchait alors pour partir un week-end dans une location écartée de toute agglomération (il n’y avait plus un individu à 8km à la ronde) dont le paysage nous offrait un lac dans lequel se promettait de bonne baignade. A six dans un véhicule semblable à un pick-up (j’m’y connais pas super bien en voiture), ces deux jours risquaient d’être inoubliables. Effectivement ces minis-vacances le furent mais certainement pas comme je l’aurais souhaité. A notre arrivée, l’homme qui louait la maison nous attendait, les clefs à la main. Il nous fit visiter la maison et nous mis en garde : un fugitif rôdait dans les parages. Nous chargeant d’un fusil, il nous laissa sans la moindre inquiétude…
La première soirée se déroula sans surprise : l’alcool et la drogue coulaient à flot. Je ne m’inquiétais pas, la maison se trouvait à quelques pas. Nous étions assis sur une construction en bois suspendu au-dessus du lac. Pleins de questions retentissaient dans ma tête et face à ma détresse, l’un de mes potes (le dernier qui était sobre) me rassura. La nuit fut courte et le lendemain matin, les gueules de bois étaient bidonnantes. La seconde journée tout était calme. L’unique couple de ce voyage s’accordaient un pique-nique romantique en tête-à-tête dans les bois cette nuit là. Je ne voyais pas ça comme une excellente idée, mes angoisses de la veille refaisant surface. Qualifié de trouillard à ce moment, ma pensée n’avait aucune valeur. A quatre dans la maison, les autres reprogrammaient la même émission que la veillée. L’un de mes proches, totalement décalé de la vie réelle, s’était démuni de tout vêtement et courait nue autour du baraquement. Après quelques secondes de calme, un dernier quitta la maison à sa recherche, nous abandonnant avec un clin d’œil dont je ne comprenais la signification. A deux dans la bâtisse, le stresse m’envahissait. Le garçon avec lequel j’étais ne cessait de m’apaiser encore une fois. Il effleurait ma cuisse avec l’un de ses doigts : la conséquence ne se fit pas attendre. Après quelques mots percutants, il abdiqua sa séduction. Je montais alors à l’étage prendre une douche, histoire de me changer les idées.
Je ne sais combien de temps je suis resté sous l’eau. Immanquablement, je sentis de nouveau le bien-être. Je me vêtis d’un simple boxer lorsque j’aperçus à l’aide du miroir le reflet d’une ombre en mouvement sous le bas de la porte. Guidé par une pulsion de curiosité, j’ouvris cette dernière. Au moment même où je jetais un coup d’œil dans le couloir, la porte de ma chambre se referma comme si tout avait été calculé. Me dirigeant vers mon habitation, j’exclamais dans le couloir l’émoi que j’éprouvais face à cette situation. C’est seulement lorsque j’ouvris la porte que la dernière présence amicale demeurant dans la maison se fit entendre : elle venait du rez-de-chaussée. A cet instant mon cœur cessa de battre, je voulus hurler lorsqu’une main vint paralyser l’élocution. Par chance, je parvins à mordre intensément la chaire de l’agresseur qui gueula. Sans réfléchir j’accourus au rez-de-chaussée expliquant avec frayeur ce qu’il venait de se produire. Mon ami, bien plus courageux et robuste que moi, se précipita au premier étage. De mon côté, je m’armais du fusil aliéner par le fermier. Sans scrupule, j’heurtais plusieurs fois violemment le manche de la carabine sur la tête de l’agresseur qui perdit connaissance. Pendant que je veillais sur lui en pointant le flingue sur son corps, mon ami prévenait les secours. A son retour, il l’attacha fermement sur une chaise. Je maintenais toujours le fusil dans la même position…
C’est uniquement une fois dans le commissariat que je me sentais en sécurité. Un homme en uniforme sollicitait ma version de l’histoire. Après avoir tout détailler, je rejoignais l’autre survivant de ce film d’horreur dans une salle d'interrogatoire. Le prenant dans mes bras, je devais le quitter même si le cœur m’en défendait. Mon père, accompagné de mes deux frères, m’y récupérèrent. Une fois dans la voiture, le sommeil me persécutait et je m’autorisais un repos. L’étouffement du moteur fut le bruit déclencheur de mon réveil. Je fus surpris de voir avec quelle précipitation ma mésaventure cédait la place à une simple information télévisuelle précisant bien au passage les quatre crimes qui s’y sont déroulés. Je tentais de simuler ma douleur à travers un visage impassible sous le regard navré et pénible de mon paternel. Je n’ai jamais reparlé de cette histoire à qui que ce soit. Quelques semaines plus tard venait enfin mon déménagement. J’étais en route pour les quelques 1 277 miles qui me séparaient de New-York City. C’est pour moi l’occasion de recommencer une nouvelle vie, de ne plus affronter le regard des parents meurtris, de ne plus voir la peine dans les yeux de mon père et de ne plus entendre les échos à mon sujet. Je sais que je ne peux pas oublier le passé, c’est pourquoi je le mets simplement de côté. Je dois vous laisser, j’ai encore des cartons à rangés mais attention : New-York City me voilà ! Connexion : 7/7 Code du règlement : - Spoiler:
OK. By LV. Avez vous signé le règlement ? : Oui, deux fois :banane: Célébrité sur l'avatar : Mitch Hewer Multicompte : Non
Dernière édition par Nick Logan le Mer 1 Juil - 10:07, édité 30 fois |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mar 30 Juin - 17:24 | |
Re-bienvenue (C'toi l'petit c*n d'abord ! XD) Ca fait plaisir de savoir que tu restes parmi nous (: |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mar 30 Juin - 17:24 | |
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| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mar 30 Juin - 17:30 | |
Merci ! Moi aussi, j'ai pas de regrets, j'avais juste besoin de tout recommencer. Je sais pas pourquoi... Vous savez les pulsions... |
| | | | | | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mar 30 Juin - 17:36 | |
C'est parce que je tiens de ma mère Mais non, le plus important c'est de rester jeune dans ta tête. Je me hâte de faire cette fiche (de la faire bien), je pense la finir ce soir. Ca fait tellement longtemps que j'ai pas rédigé, j'ai hâte ! En espérant que l'imagination soi de mise... Etant donné que c'est un peu mon point faible. :vole: |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mer 1 Juil - 1:11 | |
Hummm, je le connais ce petit bonhomme xD Re-bienvenue ^^ |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mer 1 Juil - 1:21 | |
Ah ouais ? Merci. |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mer 1 Juil - 1:23 | |
Et ouais xD mais stop flood, MP si tu le souhaite ^^ |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mer 1 Juil - 1:43 | |
Ton début de fiche est absolument trop kiffant XD J'suis morte de rire XD |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mer 1 Juil - 8:48 | |
Ah ! C'est le but recherché, merci de me le dire, ça fait super plaisir ! J'ai finis ! |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! Mer 1 Juil - 14:28 | |
J'ai été morte de rire du début à la fin XDDDDDDD Un cas, ce Josh, un cas XD
J'te valide, mais je descends ton taux de criminalité à 5. 19 c'est bien trop haut ! Donc voilà ^^"
Bref, fiche validée, re-bon jeu ! =) |
| | | | Sujet: Re: Joshua N. Logan - THE come back ! | |
|
| | | | Joshua N. Logan - THE come back ! | |
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