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| | Arisztid G.E « human slander. » | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 2:45 | |
Arisztid Gèma Ebner. ~ Il devrait y avoir un bouton sur la télévision pour augmenter le volume d'intelligence. Il y en a un où on peut lire "lumière" mais ça ne fonctionne pas. ~ [Buell Gallagher] || Identité du personnage ||
~ « Arisztid Gèma Juszua Ebner. Mais on me surnomme le plus souvent Ari, ou bien Tid. Mes prénoms viennent de l’origine de ma mère, hongroise. Quant à mon père, russe. Mais je soupçonne mes grands-parents d’avoir fuit un quelconque pays scandinave. Je ne sais pas exactement lequel, on ne parle jamais du passé, ni pourquoi d’ailleurs... mais cela, on peut aisément le deviner compte tenu de leur travail qu'ils ont légués à leur fils. Âgé de 21 ans, majeur et vacciné, je fais partie de la jeunesse vigoureuse du monde, bien que je sois un étranger de New York, ville dans laquelle je suis venu étudier la psychologie, et plus précisément la criminologie. L’homme est fascinant, son comportement, son évolution, sa vision des choses. Je pense que de loin, New York est la meilleure ville pour en savoir plus. Outre cela, je ne connais pas encore très bien la ville, mais malgré cela, je parle parfaitement l’anglais, et je me débrouille, dira-t-on. Du côté de mes relations... je suis disons libre comme l’air. Certains trouvent que je suis trop compliqué, que j’intéresse beaucoup de filles. Est-ce un crime que de recherché une fille égale à moi-même ? Pour le moment, il n’y a que des filles dites faciles. J’estime qu’elles n’en valent pas la peine. Enfin je dis fille mais ... Il m'est arrivé de gouter aux délices interdits, les hommes. Mes journées ? Lorsque je ne les passe pas en cours, c’est un café à la main, assis sur un banc à observer le comportement contradictoire et crédule de l’homme et de son environnement. Non, en vérité, j’accumule les petits boulots, je bosse parfois comme homme de ménage par-ci par-là, parfois barman, d’autres fois vendeurs. Rien de bien sérieux. Disons que je profite de ma jeunesse en me tuant à la tâche. » ~
|| Le joueur et le hors-jeu ||
~ Prénom/Pseudo : Iymen/ Cocoon ~ Age : 17 ans et des brouettes ~ Votre avis sur New York, The Dark Side : Très positif, puisque je me suis inscrite. Non sérieusement, cela fait un temps que je tourne autour, sans jamais vraiment me décider. Et puis un beau soir, je me suis mise à écrire une pseudo histoire, et à avoir des idées. Et puis bah me voila. Depuis le temps que je cherche un forum qui dure aussi, c'est de plus en plus rare. T.T ~ Où avez-vous connu le forum ? Bah il est en top sur Bazzart & UL 8D. Donc assez incontournable. ~ Niveau de RP : Au minimum, vraiment minimum, 1 page word. Mais j'aime ni me fier aux pages, ni aux lignes, ni au nombres de mots. En vérité, je suis un peu mon partenaire de rp. Si je vois que c'est un petit joueur, eh bien je joue petit. (.x Mais en général, c'est du bon niveau. ~ Exemple de RP : - Spoiler:
« Dans le bleu de l'absinthe » && Nathanaël Winston . Kees Shepperds
Que pouvait-il donc bien faire d’autre ? Par un vendredi soir, rien de bien mieux que ce qu’il savait le mieux faire. La fête. Trainer avec ses amis habituels, certainement pas Eliane. Elle n’aimait pas boire, où du moins, cela lui était fortement déconseillé. Il n’avait pas une nette image de la dernière fois qu’il l’avait vu boire, mais cela ne s’était pas bien terminé. Mais qu’importe. Il comptait bien fêter la fin de la semaine, et comme chaque fin de semaine, tout un weekend de fêtes, de sexe, d’alcool, et de drogue. Oui, exactement sa vie depuis qu’il avait l’âge de 14 ans. Ou peut-être avant ? Oh et puis zut, il s’en fichait. Pour lui, c’était la vie, voila tout. Il en profitait, et assumait totalement sa dépendance. Bien qu’elle n’en soit pas réellement une. Du moins, tout dépendait de la drogue en fait. Il aimait planer, mais rarement. Il préférait de loin simplement les joints, les cigarettes, mais non la drogue à forte dose, ou très rarement. Non, il favorisait l’alcool. La bonne vodka pure, ou bien la tequila, bien que cela ne soit pas aussi fort. Mais en tout cas, il aimait cet état. Il le cherchait, l’apprivoisait. Cet état de plénitude, ce moment où il se sentait invincible. Oui, ces instants chers à ses yeux. Et cela, personne ne le comprenait. Et à vrai dire, il ne voulait pas le faire comprendre. A quoi bon ? Il n’avait aucune envie d’entendre et réentendre le même discours. Ce discours qui révèle la crédulité de certains. Il n’était pas con, mais se gardait de le dire, n’étant pas le genre à péter les plombs pour un rien. Pour un discours comme un autre, en soit. Oui, il était peut-être du genre un peu trop pacifiste. Néanmoins, il valait mieux ne pas nier son côté rétif, indocile. Qu’importe, il apparaissait tellement peu, parce qu’il savait se faire entendre, sans doute. Grâce à son charisme, son naturel, attirant. Il le savait. Pourtant, il ne cherchait pas à en jouer, bien qu’il ne fût pas idiot, loin de là. Mais c’est peut-être tout simplement parce qu’il ne se réjouissait pas du malheur des autres ? D’ailleurs il n’en était pas non plus dépité. Indifférent. Oui, voila, il avait une parfaite indifférence envers autrui. Sauf les personnes le concernant directement. Oui, cela était une autre histoire. Il était certainement plus...Avenant ? Oui, certainement. Non. Peut-être. Qu’en savait-il ? Lorsque quelqu’un avait besoin de lui, il était là. Si cette personne le vaut, seulement. Mais généralement, il le faisait. Par simple bonne action, pour se donner bonne conscience. Quel égoïsme me direz-vous. Mais l’homme n’est-il pas égoïste par nature ? Kees représente simplement parfaitement cette idée. Oui, cette idée de l’homme égoïste et libre à la fois. Un hippie plutôt rock’n’roll et plus moderne, aussi, peut-être.
Et voila le Volstead. Non pas le côté café, mais le bar. A cette heure-ci, pas mal de monde. Tant mieux. Il allait peut-être se trouver quelqu’un pour le reste de la soirée. Il espérait juste ne pas y rencontrer des tronches connues. Un de ces gosses de riches par exemple. Oui, ces personnes prétentieuses. Il était peut-être hypocrite, mais il n’y pouvait rien. Cette force invisible en lui, le criait, le lui arrachait de l’âme. Le crachait à son visage avec une telle force qu’il la gardait en lui. Il était préférable. Combien de fois avait-il entamé une dispute avec eux ? Oh, plusieurs. Il ne savait pas, bon nombres. Lorsqu’il avait besoin de se défouler, il ne manquait pas d’aller leur rendre disons..Une visite de « courtoisie ». Ce qu’il détestait en eux, c’était cette hypocrisie, une maladie, vraiment, qu’ils se refilaient tous autant qu’ils étaient. Oui, il haïssait l’hypocrisie, parce qu’il était du genre à dire franchement les choses, d’un ton posé d’abord. Bien qu’il fût conscient que parfois, il était bien hypocrite envers eux. Mais ils ne méritaient que cela, après tout.
Entrer dans cet endroit sombre, lumières chatoyantes, ça sentait l’alcool, les filles, surtout. Qui allait être sa petite proie ce soir. Un sourire vint effleurer ses lèvres rosées. Hm. Qu’elle jolie jeune femme allait-elle avoir la chance de partager son lit cette nuit ? A la recherche de la parfaite inconnue. Ou une connue, pourquoi pas ? Mais ce qui était contraignant avec celles qu’il connaissait, pour la plupart, elles étaient déjà casées. Il s’en voulait parfois de jouer l’amant aimant...Mais qu’y pouvait-il si leurs copains n’étaient pas assez entreprenants ? Il aimait à redécouvrir les corps de chacune, ces courbes délicieuses, ses lèvres enivrantes. Il se sentit frissonner, tandis que certaines venaient déjà vers lui, lui faisant de beaux sourires, les jolis yeux. Lui ne leur attachait aucune importance, aucune ne l’intéressait. Pour l’instant. Oh la serveuse semble vraiment pas mal, pour une serveuse. Oui, parce que le plus souvent, il trouvait qu’elles ne faisaient pas assez féminines. « Hey Kees ça fait bien longtemps. » « Oh Kaitlinn.. » « C’est que tu ne nous rends plus visite à l’Aquarelle. » « Ouais, je sais. Le temps me manque. J'irais plus tard, certainement. On s'y retrouvera, peut-être. » « Certainement pas, j’ai ma proie pour ce soir moi. A plus tard mon petit Kiss. » Kees éclata de rire en regardant l’homme qui accompagnait Kait’. Décidément, il ne savait pas dans quoi il se fourrait, ce pauvre mec. Un plan à trois. Kees y avait eu droit, à sa toute première rencontre avec Kait’. Cela lui avait laissé un certain goût...Sucré. Oui, il avait aimé. Mais sans plus. Il préférait avoir les rennes du jeu, et entre deux filles... Bof. Il détourna rapidement le regard du « couple » et balaya le bar du regard. Décidément, ce soir, il n’y aurait pas de proie ici. Et comme l’avait si bien suggérée Kait’, l’Aquarelle, pourquoi pas ? Ce bar gay qu’il adorait, il aimait tout la dedans. Pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt bon sang ? Cette ambiance vraiment spéciale, ce goût pour les bonnes choses. Il sortit rapidement du Volstead et se dirigea vers l’Aquarelle. Il se trouvait à seulement quelques mètres, et semblait bien discret. Pourtant, l’intérieur était soft, et il grouillait de mecs très...Attirants. Bon, Kees n’en était pas spécialement adepte, mais il y allait un maximum pour l’atmosphère très cool, très libre. Et puis il n’hésitait pas à mater, après tout, tous ces mecs étaient plutôt...à croquer. Oui, il avait déjà eu des expériences sexuelles avec des mecs, il n’en avait aucune honte et était plutôt fier de pouvoir tenter de nouvelles choses, à chaque fois. Il ne se considérait pas homosexuel, ni totalement hétérosexuel. Plutôt entre les deux oui, il n’aimait pas le mot bisexuel. Être entre les deux. Cela ne voulait rien dire. Lui avait juste les plaisirs qu’il faut. Oui, il aimait ces différentes formes de désir, de plaisir, de communion. De fusion aussi. Il entra alors, et dés lors, il sentit un tout autre univers. Il fit certains signes de têtes, des demi-sourires par-ci, par-là. On le connaissait pour n’être pas facile à avoir. Oui, parce que avec les hommes, il était différent. Il cherchait réellement la personne qu’il fallait. Qui pourrait l’emmener ailleurs, vagabonder en d’autres contrées. Et ils étaient bien rares, il se devait de l’avouer. Il se dirigea tel un automate vers le bar. Il y avait certains mecs qu’il ne voulait pas forcément voir... Parce qu’ils lui collaient au cul tel des sangsues. Il leur avait accordé seulement un regard et ils n’hésitaient pas à venir le voir régulièrement. Bon, qui allait le dépanner ce soir pour qu’il les rejette gentiment ? Son regard balaya une nouvelle fois la grande salle, jonchée de mecs se cherchant du regard, d’autres s’embrassant, d’autres se cherchant, flirtant. Et puis son regard s’arrêta net sur une personne qui semblait être...Totalement décalée de ce tableau. Oui, cette personne n’avait apparemment rien à faire ici. Oh, elle allait peut-être pouvoir le sauver ce soir, qui sait ? Le sauver d’une bande de mec qui le voulait dans son lit, quel honneur ! Il s’en approcha d’un pas rapide, un sourire amusé aux lèvres. « Nathanaël. » Son prénom sortit dans un souffle quelque peu non étonné, un souffle qui se voulait bien désirable, et perceptible que par le blondinet. Il était sûr et certain, et il le lisait dans son regard, qu’il n’était ici que par pur hasard. Il ne le savait pas homosexuel. Oh, voila une autre raison de l’embêter, comme il se sentait tant obligé de le faire. Oui, parce qu’il avait cette irrésistible tentation de vouloir toujours lui parler, surtout pour sortir des conneries, certes, mais enfin. Lui parler. Simplement. Il laissa son regard se plonger dans le sien, un sourire, que dis-je, un demi-sourire amusé accroché aux lèvres. Cette nuit se présentait bien plus croustillante... Qu’il ne l’avait pensé. Il sortit son paquet de cigarette, en mit une entre ses lèvre et l’alluma, rangeant son paquet, il laissa la fumé s’échappait au travers de ses lèvres, la laissant effleurer le visage angélique du jeune homme. Angélique, en apparence. ~ Connexion : 7/7, je suis en vacances. Mais lorsque je partirais, je préviendrais. Et puis cela dépendra de mon intégration au sein du forum surtout. ~ Code du règlement : - Spoiler:
OK. Par Evie ~ Avez vous signé le règlement ? : Oui chef ! ~ Célébrité sur l'avatar : Taylor Fuchs ~ Multicompte : Non
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| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 2:45 | |
~ Définition de l'enfer pour le personnage : « L’enfer, c’est les autres. » Phrase souvent mal jugée du célèbre Sartre, mal comprise par de simples esprits. Pourtant, Arisztid la prendra au sens propre. Pour lui, l’enfer, c’est les hommes, ceux qui l’entourent, ceux qui ont fait de ce monde une boucherie vivante. La fascination et l’horreur à la fois qu’il porte à sa propre race lui fait souvent peur. Il se fait peur. Ses jugements parfois, si ce n’est tout le temps, dur, son air méprisant, qu’on croit souvent pourtant prétentieux. Mais si seulement son enfer personnellement pouvait s’arrêter là. Il va bien au-delà de la simple pensée humaine. Ses ressenties par rapport aux mondes, ses appréhensions, la réalité des choses, les actes barbares d’autrui, l’innocence humaine perdue à jamais, la pureté des choses salies, voila l’enfer. L’enfer se trouve sur terre. Et ce sont les hommes, eux-mêmes. Peut-être est-ce pour cela qu’il refuse de s’attacher, pour éviter d’entrer dans l’habituel, dans cette souffrance suffocante de se dire qu’on est comme tout le monde. La peur du bonheur, la peur d’être heureux en se liant à une quelconque personne dont il finirait par se lasser, avec laquelle il ne finirait même pas ses jours. L’enfer, ce sont ces relations avec autrui, celles qui procurent un abondant de choses impitoyables. Ce ne serait pas fidèle à lui-même que de trouver l’enfer redoutable, abominable. « Ciel : lieu de délices que l'on dit être le Paradis et d'où nous arrivent aussi la pluie, la foudre, la grêle et les bombes. » [Albert Brie] ~ Définition du paradis pour le personnage : Le paradis... quel endroit. Endroit si bien imaginé, si clair, si fin, si parfait, si désiré. Dérisoire. Y a-t-il réellement un paradis ? Aucune chance. Y a-t-il une quelconque chose qui pourrait réellement lui redonner un grand sourire, une joie infinie ? Non, aucune chance, la encore. Rien ne pourrait jamais défaire cet air blasé. Où peut-être s’il se retrouve seul sur une île, exilé ?! Peut-être, qui sait. La mort ou un châtiment pour briser tout les hommes, une bonne fois pour toute, lui y compris. Oui, une guerre apocalyptique où il n’y aurait aucun survivant. Cette vision pessimiste ne lui allait pourtant pas. Non, la seule joie qu’il ait, c’est de voir s’activer certains hommes pour bouger le monde. Sauf qu’il est déjà trop tard, selon lui. ~ Taux de criminalité et pourquoi : 0/100. Il n’a jamais commis aucun délit, si ce n’est celui de mépriser les hommes. Non, il n’a jamais fait de mal à une moche, malgré les affaires louches dans lesquelles son père est impliqué, et puis toutes sa famille depuis déjà des décennies. Lui semble être le seul immunisé, ne travaillant ni avec la justice, qu’il juge trop incompétente, ni avec son père. Faire du mal aux autres n’était pas un loisir pour lui, ni les défendre, d’ailleurs. Puisque à un moment ou un autre, ils finiront poussières.
« Oh merde, oh merde, on est dans la merde. » « Ta gueule Beever. Prends le sac. A mon signal tu passes. » Le coup de feu retentit, la grande baie vitrée se brisa. Des éclats de lumières, des petits bouts de verres brisés. Combien de temps allait-il falloir pour tous les réunir ? Arisztid préféra ne pas le savoir. Il pleurait au préalable sur son sort, et tout ce temps qu’il allait lui falloir... C’est fou ce que sa vie était passionnante. Il avait l’art et la manière de se retrouver dans des situations vraiment ambigües, compliquée, mais surtout criminelles. Décidément, même à New York, cela le poursuivait. Il regarda la scène, qu’il trouva un tantinet burlesque. Si la femme à côté de lui ne tremblait pas et ne pleurait pas comme une femmelette –remarque, c’en était une, dans bon- il aurait certainement rit de la situation. Ce qui aurait été contraire à son état habituel, lui si calme, placide, froid et distant. Il détourna son regard vert du tireur pour le porter sur l’appelé « Beever ». Celui-ci ressemblait tait pour trait au blaireau de base. D’ailleurs, celui qui faisait office de chef n’avait pas meilleure allure. Il se prenait vraiment pour... Ah non, ils étaient vraiment ridicules. Prendre une petite banque comme ça en otage. De plus, ils n’étaient vraiment pas intelligents. Un holdup, ça ce travail. Eux avaient certainement passés pas plus de deux nuits sur l’affaire, pensant que ce serait aussi simple qu’un claquement de doigts. Eh non, c’est bien plus difficile et plus subtile.
Arisztid baissa les bras. Il commençait à vraiment se lasser, et de plus, lever les bras comme ça, en l’air, comme s’il était arrêté... Non, pas devant ces connards. Celui qui tenait l’arme la dirigea dare-dare vers lui, un air menaçant. « Relève-les. Dépêche. » Fit-il d’une voix grave qu’il voulut méchante. Néanmoins, Ari’ connaissant ce genre de con, remarqua cette pointe d’hésitation et de peur. D’un air détendu, il bailla avant de rétorquer : « J’ai mal aux bras. Bras levés ou bien baissés, ça change quoi tant que vous voyez mes mains ? Vous allez tirer si vous voyez un truc suspect ? Je suis homme de ménage, ce n’est pas mon balais qui va vous défoncer la tronche. Et puis franchement, votre ami là, il crève de trouille. Vous devriez faire vite, j’ai cours moi, en plus je vais devoir nettoyer. Vous auriez pu être plus propre. C’est chiant, vraiment. En tout cas, faites en bon usage, de ce pognon. Allez, vous devriez y aller là, la police se ramène. » Ari fit tourner son épaule quelques instants. Il avait vraiment mal, ce n’était pas facile de rester quand même une heure bras en l’air. « Hey toi, ta gueule. Je t’ai demandé ton avis d’abord ?! Beever, passes par la fenêtre et démarre la voiture, j’arrive. » Le chef se tourna donc vers Ari, son arme toujours vers lui, il s’en approcha, laissant quelque centimètres entre eux seulement. La différence de taille, au sens propre du mot, était flagrante. L’autre devait mesurer 1m65 à tout casser, incomparable aux 1m88 d’Arisztid. Ce dernier releva son regard froid, fixant le bandit. « Ta tête me revient pas. Mets-toi à genoux, mains derrière la tête. » Il secoua le flingue devant le visage d’Aris, dont les traits se durcirent, mais un demi-sourire fin vint se dessiner sur son visage. « Saviez-vous qu’il y avait des choses à ne pas faire ? » Il ne laissa pas le temps au voleur de rétorquer que la main d’Aris vint tenir durement son poignet, le lui faisant basculer, lâchant ainsi son arme, l’homme poussa un cri de douleur. « Comme me pointer un flingue en pleine gueule. » Il le lâcha, les sirènes étaient la depuis déjà pas mal de temps. Aris les avait ignorées délibérément. De toute façon, le temps de venir les délivrer, si le voleur avait eu le cran, il aurait déjà descendu toutes les personnes présentes et aurait pris la fuite depuis belle lurette. Oui, en somme, d’après Arisztid, les flics ne servent à rien d’autre qu’à embellir l’image de la justice soi-disant suprême qui au final, ne sert à rien d’autre qu’à mal juger et tuer lorsque la personne devient un fardeau. Oui, dans le genre j’aime me démener pour penser du bien de la société conformiste du monde, Aris était de loin le mieux placé.
Il passa une main dans ses cheveux, soupirant. L’inspecteur en chef se ramenait vers lui déjà. Il sentait qu’il allait passer une bonne moitié de la soirée dans un trou à rat appelé commissariat, pour témoignage et tout le toutim. « Ah comme on se retrouve Mr Ebner. » L’inspecteur déposa une main chaleureuse sur son épaule, qui ne se voulait pas forcément amicale au vu de son sourire narquois. Depuis le temps qu’il voulait l’envoyer au trou celui-là aussi. Il avait hâte d’en finir avec tout cela. Mais cela s’annonçait plus long que prévu. « Ouais, comme on se retrouve. A quand le témoignage ? » Aris fit un geste repoussant de l’épaule, le regard sombre vers son interlocuteur. Combien de bières prenait-il chaque dimanche en regardant le dernier match ? Il pariait pour 10 au moins. C’est ce qu’ils appellent sans doute « décompresser ». **** « Ma très chère, C’est pour donc te donner de ses nouvelles que je t’écris. Ton fils semble se porter à merveille, toujours aussi hautain, prétentieux, pensant que les autres sont des merdes à ses pieds. Parfois je le regarde, et je me dis qu’il est le portrait craché de son père. Sauf que lui, contrairement à son géniteur, il a choisi la voie diplomate. Il est bien plus futé qu’il en a l’air, et tout porte à croire qu’il a hérité cela de toi, chère sœur. Ce qui me turlupine encore vois-tu, c’est que toi, une fille si intelligente et bonne vivante, tu te sois éprise d’un homme tel que Lorenzo, le pire fripon que la terre n’ai jamais portée. Et regardez ce à quoi vous donnez naissance, ce jeune homme paradoxal, qui se cherche encore à son âge. C’est vraiment nul. Bon, lorsque tu recevras cet e-mail, je serais sans doute en train de l’interroger. Heureusement que les flics ne savent pas qu’il est mon neveu. D’ailleurs, quand comptes-tu le lui apprendre ? Il y a trop de mystères qui planent autour de votre famille. Et tu sais aussi bien que moi que le FBI recherche activement le réseau de Lorenzo. Lorsqu’ils apprendront que son fils se trouve à New York, cela risque de le nuire, et il plongera malgré lui dans les affaires de son père. Et c’est ce qu’il ne veut pas. Il sait que je te connais, et que je connais son père. Je pense qu’il m’a déjà vu quelque part, mais il n’arrive pas vraiment à cerner la chose. Il ne fait pas de lien familial entre toi et moi. Bien heureusement hein ? Tu imagines, il a une partie de sa famille dans la police, et l’autre partie chez la mafia. Il déteste, il hait de tout son être, les deux parties. Mais je me demande de quel côté il finira, car sans nul doute, il aura un choix à faire dans très peu de temps. J’espère avoir très rapidement de tes nouvelles. Ne me blâme pas, je tente simplement de te sauver, toi et tes progénitures, du Mal dans lequel tu as succombée.
Ton frère, J. Mallory.
Ps : Comment va la petite Nelly ? Mieux que son frère à son âge j’espère. » **** Mallory se cala en fixant le portrait craché du mec qui avait sali l’image de sa sœur. Ce salopard avait réussi à avoir son cœur, son si joli cœur fin et simplet. Et voila son fils juste en face de lui, aujourd’hui, encore une fois. Mallory soupira, passa une main dans ses cheveux crasseux, il ne s’était pas lavé depuis deux jours à cause de cette satané affaire. Il cligna des yeux rapidement. Un tic qui lui avait valu certaines moqueries à l’école primaire. Et aujourd’hui encore, certains cons en riaient. « Bon, es-tu décidé à nous dire la vérité aujourd’hui ? » « Mais quelle vérité bordel ? Je vous ai déjà tout raconté. » « Non, tu sais très bien de qui je parle. » « Non vous voyez, je ne vois vraiment pas de qui vous voulez parler. Soyez plus explicite je vous pris, j’ai du mal à comprendre le fonctionnement des humains. Même les animaux sont plus ouverts d’esprit. » On lisait un certain sarcasme dans ses propos. Arisztid savait très bien de quelle personne voulait parler Mallory. Il l’aimait bien cet inspecteur, mais vraiment, s’il comptait dorer sa place au sein de la police avec les informations qu’il pourrait lui soutirer, il se grattait. De plus, tout cela lui semblait si flou. Mallory connaissait ses parents, il l’avait déjà vu quelque part, chez lui, mais rien n’y fait, il ne savait pas dans quelles circonstances, ni le comment du pourquoi. Du haut de ses 21 ans, il n’avait jamais ni vu, ni entendu, que son père s’était fait prendre. Il avait bien vu des arrestations, des petits oncles arrêtés pour un petit vol de rien du tout. Mais jamais pour le trafique de son père. « Bon, écoute. Toi et moi, on se connait depuis assez longtemps non ? Hein ? Bon, reprends-moi l’histoire de ce holdup où tu as joué au preux chevalier. » Mallory se reprit. Non, il n’allait pas commencer par le père du petit. Après tout, c’était un humain comme un autre, il aurait besoin de temps, il devait se lier à lui, pour mieux l’apprivoiser, le traquer, devenir son ami pour pouvoir mieux le surprendre, sournoisement et intelligemment. « Bah je passais la serpillère comme tout les Lundis matin. Y avait pas beaucoup de monde, donc ça va. Et puis les deux blaireaux sont rentrés avec leurs attirails de bon petit voleurs, flingues et toute la clique. Sans oublier les masques bien sûr. Et puis bon, ça va, y avait pas beaucoup de monde. Pratiquement que des femmes, allez savoir pourquoi. Bon ensuite, ils nous ont réuni tous du côté droit de la banque, et nous ont donc dit : main en l’air, c’est un braquage. Ils ont ensuite demandé à la réceptionniste de leur mettre tout le fric dans un sac poubelle noir, et puis ils sont passés parmi les personnes présentes pour une ‘petite’ donation de chacun. Et ensuite, il s’est mis face à la grande baie vitrée et il fit éclater la vitre. Ça m’a fait chier, encore un truc à nettoyer. Et puis là, j’ai baissé les bras. J’avais mal. Le gigolo qui tenait l’arme s’est ramené, a pointé son flingue, intention de me descendre peut-être, chais pas, j’ai pas aimé, je lui ai rendu son dû. Voila l’affaire. » A la fin de son récit, dit d’un ton calme et sans émotion aucune, il bailla. C’était fatiguant de dire la même chose plusieurs fois de suite. Il leva son regard vers Mallory.
Dernière édition par Arisztid G. Ebner le Ven 17 Juil - 20:07, édité 5 fois |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 2:45 | |
« Alors t’es en train de me dire que tu lui as brisé pratiquement le poignet simplement parce qu’il avait pointé un flingue sur toi ? » « Écoutez, certains n’aiment pas le fromage, d’autres les cerises... Bah moi, j’aime pas qu’on pointe un flingue sur moi. Mon intention n’était pas de sauver une quelconque minette, ni de les impressionner. J’en en ai rien à foutre de leur vies, non franchement, s’il avait tuée la moindre femme présente, j’aurais pas réagi. » « Comment t’expliques ça ? » Mallory avait bondi de sa chaise, commençant à s’énerver. Décidément, ce jeune homme avait le portrait craché de son père, un je m’en foutiste de première, égocentrique, sans cœur, sans foi ni loi. Il commença à faire les 100 pas derrière son fauteuil. « Expliquer quoi bordel ? » La voix de Arisztid se faisait de plus en plus lente, il avait un mal de crane de chien. « J’ai mal au crane. Je vous ai tout dit. Vous voulez quoi au juste ? Que je vous chie de l’or ou quoi ? » La fatigue ne semblait pas l’aider à être plus polie. « Expliquer cet état, le fait que tu n’ai aucune compassion envers ton prochain. Aucune pitié, le fait de ne penser qu’à toi, depuis tout petit déjà, tu n’en faisais qu’à ta tête. T’en as pas marre de prendre les gens de haut hein ?! De tous les écraser, les piétiner, de les prendre pour de la merde ?! » Il se tue soudainement, voyant l’air consterné de la personne concernée. Il en avait peut-être un peu trop dit. « De un, si je les prends de haut, c’est qu’ils le méritent. De deux, vous ne me connaissez pas, inspecteur Mallory, ou plutôt, cher oncle ? » Un sourire narquois se dessina sur les lèvres rosées de Arisztid. On le prenait vraiment pour un con. Il était sans nul doute qu’à cet instant précis, Mallory tombait des nus. « Alors... » « Évidemment. T’as travaillé pour mon père un certain temps. J’ai certains souvenirs, et puis des images, des mots, c’est comme un gigantesque puzzle qui commence à se mettre en place de lui-même. » Ou l’art de bluffer. Apparemment, il avait tapé dans le juste. Heureusement qu’il avait un instinct de béton en qui il avait une totale confiance. Maintenant, il ne lui restait plus qu’à travailler sa mère, histoire d’en savoir plus. « Bon, ce n’est pas que j’aime pas ta compagnie mon cher, mais j’ai autre chose à foutre. Comme gagner ma croute ? Allez, à une prochaine surement. » Il se leva, repoussant sa chaise et sorti de la pièce, laissant Mallory ruminer tout seul, dans le doute encore des dernières paroles du jeune homme. Il l’avait peut-être un peu trop sous-estimé. Avait-il dit « mon oncle » parce qu’il le prenait pour un des travailleurs de son père, donc un mafieux caché, ou bien parce qu’il savait réellement qu’il était le frère de sa mère ? C’est dans le doute qu’il s’assit sur sa chaise, les bras croisés, l’air pensif.
**** - Spoiler:
« Allo ? Tid ? C’est toi ? » « Passe-moi maman, Nelly. » « Oh Tiiiid tu m’as manqué ! Dis, c’est quand que je pourrais venir à New York hein ? Tu me manques, allez, dis-moi quand hein ? » « Majeur et vaccinée. Passe-moi maman. » « Rho t’es trop pas drôle. Franchement, j’ai 18 ans quand même. Je connais déjà pas mal de trucs sur la vie. Et puis j’ai même obtenue un petit job comme serveuse au bar de papa. » « Si t’as envie de finir pute dansante avec une barre entre les jambes devant des connards en costards, c’est ton problème, file-moi maman maintenant. » Il se cala contre la vitre de la cabine. Il venait de sortir du commissariat, et une discussion avec sa mère s’imposait. Il entendit sa sœur lâcher le combiner et appeler leur mère, qui arriva au galop d’ailleurs. « Oh mon dieu, je rêve ou c’est mon fils qui m’appelle ? » « Non non tu rêves pas, c’est moi. » « Oh comment vas-tu mon chéri ? New York c’est bien ? Tu manges bien ? D’après la mère de Luis, il y fait très froid, Pense à te couvrir bien comme il faut hein. » « Ta gueule, arrête de jouer aux mères préventives, je t’appelle d’une cabine, c’est pas sur écoute. Alors venons en aux choses sérieuses veux-tu ? Le vieux, il a employé un Mallory par le passé hein ? » Malgré la distance qui les séparait, attentif au souffle de sa mère, Aris’ pressentit qu’elle s’affaissait. Il se tue, attendit. Après quelques instants de silences qui lui semblèrent éternelles, il eut le plaisir de réentendre sa voix. « Eh bien oui. Il me semble que tu l’as déjà vu à New York non ? Il y travail maintenant. » « Tiens donc. Chez les flics, qui plus est. Tu ne trouves pas ça bizarre ? Allez, dis-moi qui il est. » « Eh bien c’est un homme... » « Ça j’avais cru le remarquer. Ne me dis pas que t’as couchée avec. » « Non, non voyons. Je n’ai jamais trompée ton père. Il a toujours été le seul dans mon cœur, ce, depuis le premier jour où on se vit. Et puis non, plus beau, plus merveilleux que lui, on ne trouve pas. Il est si bien fait. Bah, il te ressemble, bon, tu as hérité de mon regard hongrois et de ma grande taille m’enfin. » « Oui bon, détourne pas le sujet veux-tu ? Je sais que dans le genre sophiste, t’es la meilleure, mais là, non. Vraiment maman. Dis-le-moi. » « Non. » « Allez, fais le pour moi, ton fils quoi. » « Non, tu sais qu’en plus, tu me dois quelque chose. » « Oh merde non, pas encore. Je t’ai dit que c’était fini, qu’il n’y avait pas de raison particulière. » « Ne me prends pas pour une conne mon chéri, on ne fait pas la gueule à son père sur un coup de tête, et un père ne craint pas les appels de son fils de cette façon. Qu’as-tu fait à ton père pour qu’il ait autant de sueurs froides rien qu’en pensant à toi ? Que lui as-tu dit ? » « ça ne regarde que nous. » « Bien, ce qu’était l’inspecteur Mallory fait partie du passé, il n’est pas à ressasser. » « Mais pour qui tu me prends ? A chaque fois c’est la même histoire avec toi, tu ne penses qu’à toi, qu’à ce que tu veux savoir. » « Non, je cherche juste à comprendre le fonctionnement de ton cerveau. Tu ressembles vraiment à ton père. » « Non, je ne ressemble pas à ce connard. » « Je te prie d’éviter d’insulter mon mari de connard, qui est ton père, au passage. » « Ah oui, super le père qui encule son bras droit par derrière hein. Qui trompe sa femme de cette manière. C’est magnifique. A quand l’adoption ? » Un silence s’ensuivit suite à cette déclaration tranchante, dite pourtant d’un ton calme mais quelque peu froid et vibrant de rage. La tension au bout du fil était palpable, mais contraire à toute attente, ce fut un rire qui sortit de fond de la gorge de sa mère. Il attendit, fulminant, qu’elle se soit calmée. « Non mais... houlà. Toi et ton père me prenez pour une conne ? Je le savais qu’il avait une relation avec Alfonso. Et puis entre nous, je n’ai pas toujours été une petite sainte hein. On a tous eu des égarements dans la vie. » « Heu... Ah ouais, cool le couple libertin, vraiment cool. Je me demande comment vous faites pour tenir hein. Pourquoi vous divorcez pas? Et puis de toute manière, si c’était seulement pour cela que je lui en voulais...» « Mais malgré ça, ton père et moi nous aimons, sinon, on ne vous aurez jamais eu hein. Vous êtes nos copies conformes, vous êtes magnifiques. Vous êtes le fruit de notre amour. » « Tu sais quoi ? Vous êtes vraiment des putains de connards. Pourquoi dieu suis-je tombé sur une telle famille. Surtout qu’à ma connaissance, vous n’avez jamais rien fait pour nous montrer un quelconque amour. » « Oh conneries. Tu as déjà oublié les vacances en Sicile, dans cet hôtel 5 étoiles, magnifique, vue directe sur la plage, bronzage, des pâtés de sables, tu avais 8 ans tout de même... » « Ah oui, la fois où tu as menacée de te jeter du 14éme étage de la chambre parce qu’on ne voulait pas te chanter la souris verte en français ? Quel beau souvenir. Un moment magnifique. » « Il n’empêche que vous ne l’avez pas chantés ! Heureusement que les hommes de ton père m’ont empêchés de le faire. » « Ah oui, surtout, heureusement qu’ils t’avaient empêchés de jeter Nelly à ta place. » « Rôh tu gardes que des mauvais souvenirs ! » « Ah j’en ai un autre aussi. La fois où tu m’as passé un flingue et tu m’as demandé de presser le bouton quand papa serait devant moi. J’avais 10 ans. » « Tu l’avais pas raté d’ailleurs, que c’était drôle ! » « Très drôle oui. Bon je vais te laisser. Un boulot qui m’attend. » « Quel genre de boulot ?» « En quoi ça te regarde ? » « Je suis ta mère. » « Et je suis majeur. » « C’est nul comme réplique ça par contre. Parce que quoi que tu dises, j’ai souffert 9 mois, et quoique tu fasses je resterais ta mère pour l’éternité. » « Merci de me le rappeler, comme si je ne l’avais pas assez entendu par le passé. » Finit-il par marmonner, avant de raccrocher sec. Avoir parlé avec sa mère l’avait mis de mauvais poil.
****
Dernière édition par Arisztid G. Ebner le Sam 18 Juil - 17:44, édité 3 fois |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 2:48 | |
Bienvenue sur le forum jeune padawan et merci pour ton inscription. Le staff est là pour t'aider si tu rencontres des problèmes durant l'élaboration de ta fiche, n'hésite donc pas à faire signe. Bon courage =) |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 2:52 | |
Bienvenue sur NY-TDS Riri ! Nan pck c'est un supplice pour les zygomatiques de prononcer ton prénom xD
Bon courage pour la suite de ta présentation et joli avatar soit dit en passant ! |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 6:20 | |
Bienvenue Titi !
A croire que des surnoms tu en auras une varitiée et une multiplicité x) |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 8:47 | |
- Joshua N. Logan a écrit:
- Bienvenue Titi !
A croire que des surnoms tu en auras une varitiée et une multiplicité x) Bien dit "Jo'" xD Bienvenue Arisztid ! 8) (le premier homme courageux a avoir écrit le nom en entier..) Bon courage pour ta fiche ! x) |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 9:11 | |
Je rêve ou lui aussi a les dents du bonheur ? *copaaaaaain !* XD *OUT*
Bienvenue, bon courage pour ta fiche ! Et merci pour ton inscription ! |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 9:36 | |
Il se sent moins seul LV :O
Sinon, Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche =)
Bel avatar aussi *__* |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 11:22 | |
Bienvenue Aris...Arist.....Arisztid !^^ Bonne chance pour ta fiche, en attendant je vais m'entrainer à prononcer ton nom ! >,< |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 11:45 | |
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 12:19 | |
Bienvenue! (oh Taylor...) |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 12:51 | |
- Eliott M. Petit a écrit:
Bien dit : Jo' NOOOOOOOOOOOOONNNNNNNN j'aime pas Jo' x) Ua ou Joshua Uu Merci. |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 15:40 | |
|
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 17:07 | |
Oui oui, je permets, tout le monde m'appelle LV, moi y compris XD Et pourtant, dans mes RPs, j'écris toujours "Louis-Valentin"... XD Sans faire copier-coller même ! XD Haaaaaaan, génial, un monsieur dents du bonheur 2 ! XD Louis Prades (mon avatar) est parfait physiquement, seul défaut, ses dents T.T" Mais bizarrement, ça lui va bien <3 Je dois avouer que ça va bien à ton monsieur aussi |
| | | | | | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 18:33 | |
*Câline* Ah ouais ? Bah moi mannequins parlant j'en connais pas des masses >_________<" XD C'est tout récent... ^^" Ooooh, Ash Qui a été détrôné il y a peu par Louis P. dans mon top des mecs les plus beaux sur Terre. Il était le premier, et je suis tombée sur certaines photos de Louis qui m'ont fait changer d'avis x) Tu m'as l'air d'avoir d'excellents goûts aussi x) Il nous faudra un lien pour célébrer une alliance de goûts géniaux XD Bah désolée, mais Taylor, bien qu'étant sacrément beau, me plaît bien moins que Louis, Ash ou Mathias XD Et Stas aussi, j'l'aime biiien *Fait semblant d'avoir peur pour faire plaisir à Arisztid* |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 20:01 | |
Ah non mais on est d'accord sur le fait que Mathias reste et restera à jamais en 1er place des mecs les plus sexe au monde. Sur ce point, je ne conteste pas. Mais bon, en ce moment pour moi c'est Taylor, et celui qui ne sera, ô grand jamais détrôné, c'est bien Ole S. (qu'on voit partout maintenant é.è c'est désolant.) Bon après y a des classiques comme Mat Gordon ! (& sa pub 1 million - paco rabanne, alors lui, huuu. ) et puis bien évidemment Eugen Bauder. Un incontournable chez les mannequins. Tu sais que je pourrais continuer encore longtemps dans cette voie là, dans ce monde d'êtres divinement orgasmiques? Mais je m'arrête là, je vais passer pour une floodeuse. *Comment ça, c'est trop tard?* ('x
Stas pas mal pas mal, je trouve qu'il n'a pas de cou, j'ai du mal. xD Je préfère Nicolas Bemberg *Q*
C'cool je fais peur. 8) Si j'ai pas la classe.
*Retourne à sa fiche qui n'avance pas des masses.*
Pour le lien, pas de problème *Q* |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Mar 7 Juil - 21:58 | |
*en mode "je suis fan des models et ça on le sait"*
OH PUTAIN MAIS C'EST PAS TAYLOR FUCHS ?????????????????????????? MON PREMIER PERSO MASCULIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN !!!!! Que de bons souvenirs, un briseur de coeurs cruel & sans pitié amoureux de sa sœur jumelle, à l'âme torturée, poète noir & musicien passionné de blues, de soul et autre jazz qui s'abime dans la débauche, l'alcool....ENFIN BREF !!!! Je pensais que personne ne le connaissait, *---------------------------*.
Mais alors Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche ! EXCELLENT choix d'avatar bien sûr ! Je kiffe sa bouche et ses yeux bleus ! |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Dim 12 Juil - 21:20 | |
- Arisztid G. Ebner a écrit:
Ah non mais on est d'accord sur le fait que Mathias reste et restera à jamais en 1er place des mecs les plus sexe au monde. Sur ce point, je ne conteste pas. Mais bon, en ce moment pour moi c'est Taylor, et celui qui ne sera, ô grand jamais détrôné, c'est bien Ole S. (qu'on voit partout maintenant é.è c'est désolant.) Bon après y a des classiques comme Mat Gordon ! (& sa pub 1 million - paco rabanne, alors lui, huuu. ) et puis bien évidemment Eugen Bauder. Un incontournable chez les mannequins. Tu sais que je pourrais continuer encore longtemps dans cette voie là, dans ce monde d'êtres divinement orgasmiques? Mais je m'arrête là, je vais passer pour une floodeuse. *Comment ça, c'est trop tard?* ('x
Stas pas mal pas mal, je trouve qu'il n'a pas de cou, j'ai du mal. xD Je préfère Nicolas Bemberg *Q*
C'cool je fais peur. 8) Si j'ai pas la classe.
*Retourne à sa fiche qui n'avance pas des masses.*
Pour le lien, pas de problème *Q* J'avais pas vu ton post, sorry --" Non, Mathias est 3e après Louis et Ash XD Mais bon, c'vrai qu'il est carrément canon, quoi... Taylor, j'adore Ole, j'aime pas DU TOUT XD Désolée, mais je le trouve pas beau, il ne me plaît pas du tout >________<" Mat Gordon. Putain, je connaissais pas, et OMFG ! Pas mal du tout, bordeeeeeel ! Eugen j'aime assez, mais sans plus. Y en a un que j'overkeef mais dont je connais pas le nom XD Faudrait qu'j'te montre une photo, que tu me dises si tu connais ou non. Nicolas Bemberg. Connaissais pas non plus, mais j'aime pas trop. J'aime beaucoup, dans le même genre qu'Ash, Cole Mohr Surtout quand il a un p'tit peu d'barbe, MIAAAAAAAM Et Kevin Flamme, 4e homme le plus sex' de ce monde (Pandore, si tu lis ça, Kevin est derrière Louis, Ash et Mathias réunis XD). Y en a un autre que j'aime bien mais j'me souviens plus d'son nom XD Bref ^^ N'oublie pas de nous tenir au jus quand tu as fini ta fiche (très prometteuse...) |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Lun 13 Juil - 18:00 | |
- Arisztid G. Ebner a écrit:
- Joshua = Allez, toi ce sera : Jojo. 8D Parce que Jo' c'est trop commun... Bon Jojo c'est pas mieux m'enfin.
NON ! J'aime pas Jojo ! Toi tu vas t'en prendre une si tu continue comme ça :lol!: |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Jeu 16 Juil - 16:20 | |
Pandore • UH très intéressant dis-moi Dans le genre torturé, je pense que je fais pas mieux Non mais Taylor quoi, si, tout le monde le connais, mais personne ne le prend é_è Pasqu'ils sont nuls les gens, ils préfèrent genre RobP et autre crédulité. Merci
LV • C'est bien la première fois qu'une personne relègue ML à la 3éme place. ('x Je note ! Ole n'a pas beaucoup de photos, c'est cela qui est désolant é_è Et je déteste la groupitisation (non ça n'existe pas, mais j'aime inventer des mots 8) ). M'enfin. C'est la mode, ça passera. Kevin F. j'ai du mal par contre. EURK. Ah Cole Mohr, je me suis toujours dit qu'un jour, je le jouerais. Ce jour n'est pas encore arrivé, mais il arrivera, sûr.
Oui, fais moi donc voir cette photo
Pour la fiche oui, j'avance un petit peu, j'ai eu un contre temps (x Le reste est sous word, j'ai pas tout postée. Je dois ajouter 2/3 parties encore.
Jojo • Tente toujours. |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Jeu 16 Juil - 18:48 | |
XD Bah écoute, j'y peux rien, hein ^^" Mathias passe après Louis et Ash Ah non, Ole, c'est comme Jethro Cave, je supporte pas XD Flamme, j'overkeef sa p'tite bouille d'ange Cooooole En fait, j'ai trouvé qui c'est, il s'agit d'Owen Steuart Très peu de photos, mais je l'aime beaucoup ! Tout comme Danny Beauchamp et Lars Burmeister (dont je ne connaissais pas les noms trois jours avant, mais dont je connaissais les têtes XD). Pas de souci (: |
| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Jeu 16 Juil - 21:30 | |
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| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » Jeu 16 Juil - 22:06 | |
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| | | | Sujet: Re: Arisztid G.E « human slander. » | |
|
| | | | Arisztid G.E « human slander. » | |
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