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| | Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 18:26 | |
Evan Wales"Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles." || Identité du personnage || Voilà ma carte (notez que je fais la gueule dessus.). Le jour où je vous la foutrais sous le nez, vous aurez touché le fond. Félicitation, et bienvenue dans mon monde ! Je crois, (enfin non, j’en suis certain), qu’il est inutile de me présenter, l’essentiel qu’il y a à apprendre sur moi est résumé sur cette carte. Le reste ne vous sera d’aucune utilité, du moins, pas là où vous risquez de finir. Pour ceux que ça intéresse quand même, j’ai 24 ans, mais je doute que quelqu’un s’en préoccupe, ou alors c’est un idiot. Pour les aveugles dans la salle, étant donné qu’ils n’ont pas vu ma si jolie carte, qui est même plastifié (c’est très classe), je suis flic, non en fait j’étais, ensuite j’ai arrêté, et puis j’ai repris. Mon boulot ? Chasser les mecs qui ont pas les couilles de faire leur sale boulot seuls… Le crime organisé… la mafia, si on veut. Mais ça fait bien longtemps que j’ai perdu la foi dans le métier, qui me sert maintenant à assouvir une vengeance personnelle, sous couvert du statut d’agent du FBI. Comme j’ai la vague impression que je suis en train de résumé la longue histoire que je me qui sué à écrire plus bas, je vais arrêter là de suite. Oh ? Et je suis pas gay, sait-on jamais, je ne veux pas que certains se fassent de faux espoirs. En tout cas, inutile de vous dire que si vous n’avez pas appris beaucoup sur moi ici, ce n’est pas ce qui va suivre qui vous éclairera plus. Pourquoi ? Parce que moi, on m’apprend pas sur une fiche d’état civile. Faut me voir en vrai, pour saisir le personnage ! Le rapport psychologique des services de police judiciaire de New York, m'avait présenté comme un homme souffrant d'une légère tendance à la mégalomanie, doublé d'une forte tendance à l'exagération, surtout lorsqu'il s’agissait de mes capacités qui, en sommes, étaient tout à fait banales. Soulignant le fait que, ma personnalité assez forte avait été altérée suite à l'accident, on me congédia gentiment, m'assurant que lorsque j'irai mieux je retrouverai mon poste, sans doute. Je trouvais ça injuste à l'époque, je crois que dorénavant je comprends mieux qu'un flic en colère est une personne dangereuse. Mais ce qui me restait davantage en travers de la gorge, alors que je préparais soigneusement le petit carton qui constituait l'ensemble de mes affaires, c'était qu'on osait traiter la mort de Rachel d'"accidentelle." J'étais jeune, quoique d'un point de vu strictement objectif, je n'avais que 3 ans de moins. Mais il ne me fallut que quelques mois pour constater que tant sur le plan moral que dans mes actes, j'avais changé. Je me revoyais, là, tout juste sortit de l'académie, dans mon petit bureau au central de la police judiciaire de New York, pensant pouvoir changer le monde. Quelle connerie... Mais à 22 ans, un flingue dans le revers de sa veste, accompagné d'une jolie blonde on pense pouvoir se transformer en super héro prêt à sauver l'humanité. Pire, on a peur de rien, et on se pense invincibles. Alors, en bon justicier de la loi, je pensais, que même les plus vils pouvaient être excusés. La vérité, c'est que ces hommes là ne méritent pas de vivre. L'expérience vous apprendra qu'il vaut mieux m'avoir comme ami que comme ennemi. Si certains petits bandits de bas étages n'ont pas encore tout à fait saisit, les plus expérimentés comprirent bien vite. D'abord parce que j'arrive toujours à mes fins, mais également parce que je n'ai pas peur de me détourner du droit chemin, quand le cœur m'en dit. En plus, j'ai comme qui dirait un petit compte à régler, avec certains. Ne serait-ce que par vengeance, car j'ai bien envie de leur faire payer cher à ces pourritures, qui n’avaient pas hésité à descendre Rachel. Rachel ? C'était ma collègue et ma rivale de toujours (pour qui j'avoue, je ne ressentais pas que de la jalousie), qui me dépassait sans cesse dans tout ce qu'elle faisait. On avait fait nos classes ensemble, à l'université de New York, elle en ressortit première de la promo, et moi second. Toujours dans l'objectif de me battre à plates coutures, elle avait postulé au même poste que le miens, au FBI. Le résultat ne se fit pas attendre, elle eu le poste, et moi, je finis par intégrer ma première équipe, en compagnie de deux autres flics bien mieux payés que moi. En un an et demi, j’avais prouvé, que je valais bien mieux que les autres, et continuais à voir souvent Rachel, pour qui mon admiration et mon léger faible pour elle ne faisait qu’accroitre. J’appris en outre qu’on lui confia une mission d’infiltration au sein de la mafia Russe de New York. Sans doute parce son physique de grand blonde aux yeux clairs collait bien au stéréotype. J’aurais pu être à sa place. Non, en réalité, s’aurait dû être moi. C’est ce que je me répétais inlassablement quand, 6 mois plus tard, on retrouva son cadavre, déposé dans une caisse devant la porte des locaux du FBI, gravement mutilé. Il n’y a pas de doute, en l’espace d’un quart de seconde, j’avais changé. Pas seulement parce que mon habituel sourire benêt, et l’ardeur que je mettais à draguer toutes filles dans mon champ de vision s’étaient soudainement transformé en un mec maussade, agressif et implacable, mais aussi parce que je mis à détester soudainement tout ce qui m’entourait. Et à ce moment là, je perdis à peu près tout ce que j’avais amassé jusque là, ma copine, mon job, mon humour. Je n’étais plus qu’un grand type de 23 ans, brun, cheveux court, plus communément appelé Evan Wales. Je n’étais plus rien. L’idée que s’aurait pu être moi et pas elle ne me lâchait pas, et m’empêchait de fermer l’œil. Mes nuits devinrent donc longues, aussi longues que mes journées passées à me morfondre dans mon appartement devenu subitement sombre et sale. J’étais tout simplement inconsolable, et l’univers tout entier me débectait. S’aurait pu être moi ! Bordel !! Et le verre de whisky double que je venais de me préparer volait à travers la pièce, s’écrasant dans un fracas de verre brisé contre un mur. Je ne pouvais m’empêcher d’être obsédé par elle, par ses cheveux blond, par le fait que tout sa vie, elle m’aura finalement battu, et que jamais sur elle je ne pourrais prendre ma revanche. - "C’est la dernière fois que jte rends service mec. Va falloir que t’arrête tes conneries, maintenant. "Mike et lui avaient toujours été les meilleurs potes du monde, mais à ce moment là il ne pouvait que le trouver con. Il trouvait son métier con, sa nouvelle fiancé conne, sa maison, son chien, son bonheur con et merdique. Il servait à rien, son existence était minable et inutile, il finirait par mourir lui aussi, tôt ou tard, et tout le monde s’en branlerait. Verdict final, tu vies, tu crèves, c’est comme ça. On aura eu beau me conseiller des psychologues, psychanalystes, psychiatres, hypnotiseurs, n’importe quel charlatan, jamais je n’aurais mis un seul pied chez eux. C’est le temps, qui finit par guérir mes plaies, à force de volonté, j’avais réussis à m’extirper de chez moi, à aller voir ailleurs, à ressortir et peut-être même à trouver les gens plus si cons que ça. Pourtant quand mes collègues d’avant me demandèrent si j’étais près à reprendre le boulot, je répondis que non, et que de toute évidence ne n’y retournerait jamais. Car si je voulais viser les pourritures qui avaient tué Rachel, ce n’est pas dans cette petite unité de police de quartier que j’y arriverai. C’est le poste de Rachel, qu’il fallait que je récupère, ses dossiers, ses enquêtes, ses suspects. Rattraper mon retard me pris un an de plus, et je constatais qu’au bout de deux ans, la mort de Rachel avait toujours autant d’impact sur moi. Et que ma vie, entre coups d’un soir, faute de vraies relations, et entrainements pour le FBI, me convenait de plus en plus chaque jour. Le 11 août de la même année, j’intégrais le bureau de Rachel Woods, la "jeunette qui avait pas fait long feu", comme parfois le soulignait maladroitement certain, qui terminaient bien vite leur phrase, écrasé sous mon regard assassin, et mon envie subit de les mettre au sol à la force de mes poings. Je ne suis pas un surhomme, mais je suis étonnamment persévérant, et j’avais à présent eu de scrupules. En somme, j’étais à peu près prêt à tout. "Je vais jouer franco avec toi. Si tu veux la vérité, je m’en cogne de ce que tu sais. Mais je vais te torturer rien qu’un peu. Pour la rigolade..."~ Définition de l'enfer pour le personnage : "L'enfer, c'est peut-être simplement d'être obligé d'écouter vos grands-parents respirer quand ils mangent un sandwich. " L’enfer, je l’ai déjà connu, j’ai vu, et je suis repartis. L’enfer jlai vécut quand j’avais même pas le courage d’un gosse de 8 ans, assit là sur ce fauteuil minable, comme un paraplégique abandonné sur sa chaise roulante, aussi vulnérable qu’une fillette. L’enfer, j’lai vécut en voyant le corps de Rachel, découpé et entassé dans cette malle pleine de sang, ses yeux encore ouverts, montrant l’effroi et la douleur qu’elle avait vécut, peut-être à ma place. L’enfer, c’est de voir que même plus tard, je ne me fis pas à sa mort, et qu’elle continuait à dicter cette irrépressible envie de liquider les responsables. L’enfer, je l’ai vécut en me perdant moi même. Alors autant dire que mon enfer à moi est très personnel, et que j’en ai déjà une partie derrière moi. Alors ce qui m’attend après, ça ne me surprendra sans doute pas. ~ Définition du paradis pour le personnage : "Ciel (n.m) : Lieu de délices que l'on dit être le Paradis et d'où nous arrivent aussi la pluie, la foudre, la grêle et les bombes." Hahaha ! J’en ai foutrement rien à faire, du paradis. Quoi que jeune, j’avais dû vaguement y croire, pt’être le jour ou j’avais eu un gundam, à 8 ans, ou alors quand Betty Scoot, la plus belle pompom girl du lycée était sortit avec moi, au collège, où la première fois où j’ai couché avec elle, même. Honnêtement j’en sais rien, mais je trouve que si y’a un paradis quelque part, bah c’est pas chez moi alors. Enfin en tout cas, maintenant que le paradis est une notion qui est loin derrière moi, jme contente tout à fait du purgatoire, d’un bon verre de vin, et d’une jolie nana pas trop conne pour le partager avec moi. ~ Taux de criminalité et pourquoi : 0, je suis flic, non ? Moi mes délits n’ont rien de criminelles !
Dernière édition par Evan Wales le Ven 24 Juil - 1:06, édité 3 fois |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 18:26 | |
|| Le joueur et le hors-jeu ||
~ Prénom/Pseudo : Dieu. (Si si.) ~ Age : 20 ans ~ Votre avis sur New York, The Dark Side : Encore meilleurs que du Boursin. ~ Où avez-vous connu le forum ? Par Rokku, et DYL. ~ Niveau de RP : Chai paaaaas…… Vous vereeeez T_T’ ~ Exemple de RP : - Spoiler:
"Fuaaaah..."
3 heure de sommeil, c'est ce dont il avait eu droit cette nuit, alors qu'à 7h tapante son réveille sonna pour le tirer du lit. Foutu décalage horaire... C'est dans un bâillement bruyant qu'il commença sa journée, enfilant le premier jean qui lui passa sous la main, suivit d'une chemise blanche. Se frottant les yeux, comme pour se tirer de cet état comateux qui l'empêchait d'avoir les idées clairs.
Sa chambre dans les tons bruns (qu'il trouvait trop sombre d'ailleurs) était étonnamment vide, seule une valise traînait dans le coin de la pièce. Il n'avait pas déballé ses affaires, c'était psychologique tout simplement : Il n'arrivait pas à s'installer ici, à se faire sa place, il n'avait tout bonnement pas envie de se savoir ici pour 2 mois. Pourquoi ? Il avait mis pour la première fois les pieds à Miami deux jours auparavant depuis il n'était pas sortit. Il passait ses journées à lire des magazines américains ou japonais, essayant de comprendre cette langue qui lui paraissait bien étrange. Ca n'avait absolument rien à voir avec le japonais... On aurait dit une succession de petits zigouigoui avec parfois des plus grands que d'autres. Et il avait beau chercher, il ne leur trouvait aucune signification. Il avait la sensation d'être perdu ici, seul son manager provisoire et bien trop souvent absent savait parler sa langue, sinon, personne ne le comprenait, et vis versa.
La matinée était fraîche, pas étonnant puisqu'il avait plut toute la nuit, d'ailleurs le sol encore humide brillait sous les rayons naissants du soleil. Il n'y avait pas grand monde, normal il était tôt, trop tôt pour que les gens se soient risqués à mettre le nez dehors. Cachant son visage dans le haut col de son manteau hivernal, il constata quand même que l'hiver américain était moins rude que de là où il venait. Il traînait le pas, jetant un oeil mal réveillé vers tout ce qui méritait plus ou moins son attention. Il était totalement absent, déconnecté de ce qui l'entourait, manqua de se faire renverser deux fois, se prit une chaise de café terrasse... Lui et sa maudite insomnie de malheur... Pourquoi n'arrivait-il pas à dormir puisqu'il était aussi fatigué ? Pour finir, il alla se chercher un café, oui, un café ça le réveillerait un peu.
- "Avec une sucrette pour votre café ?"
"Eh... nonmarci."
C'est avec un gobelet munit d'un petit couvercle en plastique style tupperware que ****** quitta le café. S'asseoir pour boire sa tasse pendant 1/4 d'heure n'avait jamais été son truc, quitte à boire un café moins bon il préférait de loin être au grand "air" pollué que ce soit celui de Tokyo ou de Miami. Le nez en l'air, moyennement attentif, il défit le capot de son verre pour l'apporter à ses lèvres.
Ce matin il avait beaucoup à faire... Son premier jour de travail par exemple. Pénible, long, énervant comme toujours: être mannequin à Miami ne changeait pas des habitudes.
Ce n'est que dans les environs de 14h30 qu'il réussit à s'échapper, ne serait-ce parce qu'il mourrait de faim par exemple. Vous n'imaginez pas comme c'est long et pénible un shooting; on reste là, dans la même pose pendant des décennies, on doit bouger, mais attention pas trop ! Non mais plus ! Attends là tu souries trop, pas assez, ferme les yeux, ouvre les en fait... Allez on refait ça sous 3 autres angles et ce sera bon !
La première fois il n'avait pas vu le temps passer, la seconde un peu plus... Maintenant il manquait de tuer quelqu'un à chaque fin de séance. Mais il était sortit, ouf ouf ouf normalement il n'avait rien à faire jusqu'à demain même heure. Repensant à cette idée, il ne pu réprimer un petit sourire de satisfaction, alors que son portable sonnait d'une petite mélodie qui le laissait toujours mélancolique. Alors qu'il l'extirpait de sa poche de blouson, son regard se fit absent.
"Allo, Ca va Ko' ? Eh... Oui. T'es folle tu vas te ruiner..."
Discuter avec elle était devenu dur depuis quelques temps, pas que la distance joue la dedans, mais depuis qu'elle avait trouvé un copain à Osaka, il n'arrivait pas à faire comme si de rien n'était. C'est la vie.
Il n'avait pas vraiment envie de parler mais elle ne semblait pas comprendre, sans doute parce qu'il faisait comme si de rien était, comme toujours. Heureusement, ou malheureusement ça il n'était pas encore capable de le dire, quelqu'un vint l'extirper de cette douloureuses conversation. Vous savez ce que c'est d'être connu de quelqu'un que vous n'avez jamais vu ? C'est à la fois agréable et inquiétant.
- "Ano... Sumimasen, anata wa ****** desu, ne ?"
"..."
Il considéra un moment le type qui venait de lui parler... En japonais. Personne n'en croyait ses oreilles, d'où sortait-il celui là ? Les yeux ronds, sans trop de surprise mais plutôt de l'impétuosité dans le regard, il toisa quelques instant ce jeune homme qui venait de lui parler. Grand, japonais, accent américain, probablement riche, trop curieux. La question était aussi de savoir d'où il le connaissait... Il n'avait jamais fait de campagne aux USA, et même si au japon il restait connu (plus ou moins) il n'avait pas la sensation de remuer les foules outre pacifique. L'oreille toujours collée à son portable qui piaillait la voix de Kokoro, il l'éloigna un peu.
"Un moment steplait je te rapelle..."
Il referma le clapet de son téléphone, laissant son amie d'enfance seule au bout de la ligne, tournant le regard vers celui qui l'avait interrompu.
"Ouais c'est moi... "
Il ne se montrait pas bien éloquent, normal vu qu'il ne connaissait pas ce gars qui lui semblait à première vue suspect. La question était de savoir ce qu'un semi japonais américain foutait ici, ayant miraculeusement croisé son chemin, venait lui parler, le reconnaissait... L'appelait par ce foutu nom de merde que tout le monde lui attribuait. Il n'avait jamais aimé son nom de famille peut-être très beau pour un coréen, mais qui se révélait être féminin au Japon. Il avait détesté ce nom toute son enfance, son adolescence, et être adulte n'avait rien changé.
"Je peux savoir qui vous êtes ?"
Sa voix sèche montrait clairement qu'il était sur la défensive. Réaction typique des gens qui ont jadis subit des crasses... Après tout ce type là aurait très bien pu être un paparakyô (paparazzi) ou un journaliste de presse people naze à souhait. ****** avait apprit à ne plus faire confiance à personne hormis ses proches. Personne n'était sur, personne n'était parfait, on vivait dans un foutu monde d'égoïsme où c'est chacun pour soit. Vous êtes vous déjà réveillé et vu votre vie révélée au grand monde ? Quoi de plus insultant que de se rendre compte que plus personne n'est fiable ? Que certaines personnes n'hésitent pas à trahir pour quelques liasses de billets. Peut-être que c'était pour ça qu'il n'avait guère eu d'autres amis que Daki.
"Moi qui pensais qu'ici à plusieurs milliers de kilomètres de chez moi je serais peinard... Qu'est-ce que vous voulez ?" ~ Connexion : N’achetez pas Neuf télécom. ~ Code du règlement : - Spoiler:
OK. By LV. ~ Avez vous signé le règlement ? : Oui ~ Célébrité sur l'avatar : Johnathan truc Meyer. ~ Multicompte : Non.
Dernière édition par Evan Wales le Ven 24 Juil - 1:08, édité 4 fois |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 18:28 | |
Bienvenue jeune padawan. T'avises pas de me toucher le cul et va donc signer le réglement si ce n'est pas déjà fait =) Bon courage pour la suite de ta fiche, n'hésite pas à nous sonner si t'as un problème ou quand tu auras terminé. |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 18:29 | |
T'as trouvé un bien joli patronyme, finalement ! (Désolée, j'ai grave buggué quand tu m'as demandé de t'aider, je viens de récup' la connexion).
Comme j'te l'ai d'jà dit, très bon choix d'ava =) Et bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche, et merci de t'être inscrite !
(Tu es la 20e personne en provenance de DYL =D XD Sauras-tu reconnaître les 19 autres ? x)) |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 18:33 | |
LV, l'homme qui aurait pu animer les jeux télévisés avec ses intonations bourrées de suspens ... xD |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 18:34 | |
=='
J'recommence.
Bienvenue ! |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 18:34 | |
Bienvenue Evan
T'es qui sur DYL 0_o ? |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 18:35 | |
J'veux aussi savoir !!!
Bienvenue quand même et bonne chance !! |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 18:54 | |
Vous saurez pas !! Mwahahaha ! & Thank you all ! Mister Cash, je vais signer tout ça sans passer par la case fesses, juré. 19 à deviner ?? Mais..... Mais la flemme !! <---AAAAH ! J'adore ce smiley !!! Je vais bien. |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 19:01 | |
Si je leur dis ils le sauront (a) XD *OUT*
C'est simple, tu connais déjà moi et Dale/Cash/Axel. (Peut-être même Evie et Wynona, Lewis aussi).
XDDDDDD J'avoue que les smileys du fo' sont terribles, merci Barda x) |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 19:08 | |
Bah jle saurai au fur et à mesure, ça sera plus drôle ! Et Petit, tu fais ma fiche à ma place ? (<-- Pwahahahaha !!! XD) |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 19:19 | |
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche ! =)
Si tu t'es inscrit y a moins de deux mois sur DYL, nous ne nous connaissons certainement pas, x.X. |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 19:20 | |
Bienvenue =D Bonne chance pour ta fiche :o |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 19:21 | |
Pandore : Nan j'y suis depuis à peu près 1 ans. Alors pt'être que c'est plutôt moi qui te connais pas !
Warren : Thanks ! |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 19:24 | |
Ah bah moi j'y étais depuis environ 6 mois, >.>. |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 19:28 | |
T'as qu'à me dire qui tu es ? 8) |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 19:34 | |
Ah non c'est mort, j'suis toujours celle qui se fait griller, pas question que je révèle mon identité ! En plus tu risques d'être déçue |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 19:41 | |
*se sent soudain très seule*
Mais vous vennez tous de DYL !! Va falloir que j'aille y faire un tour moi...
Sinon, bienvenue à toi et que la force soit avec toi pour finir ta fiche !! |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 20:24 | |
Pandore : Je dois te connaître sans doute.
Bella : Héhéhé, DYL est une secte très ouverte. |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 20:39 | |
- Bella Von Sträten a écrit:
- *se sent soudain très seule*
Mais vous vennez tous de DYL !! Va falloir que j'aille y faire un tour moi... T'es pas la seule, je sais même pas c'est quel forum ==' |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 22:21 | |
Hé, Evan, Pandore tu la connais, son prénom commençait par un I... x))))
Et nan, j'ferai pas ta fiche à ta place x) |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 22:30 | |
Haaaaan ! Je sais !!! Mais si jme souviens bien elle y est plus sous I.... Ca m'avait d'ailleurs bien embêté ! |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 22:37 | |
Exactement x)
Bon, comme j't'ai donné un indice, j'en donne un à Panda (qui trouvera jamais, à tous les coups x)). Le prénom du perso d'Evan commence par un H. |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 22:52 | |
J'suis pas la I que tu crois que je suis, x).
*assomme LV avec une pelle pour avoir donné un indice, x.X*
H, oÔ...Ben non mais je vois pas.............. |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] Mer 22 Juil - 22:53 | |
Tu plaisantes ou quoi, je sais qui tu es, petite miss qui se mets toujours en invisible. x) Hahahaha ! |
| | | | Sujet: Re: Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] | |
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| | | | Faites gaffe à vos fesses, j'arrive ! [Evan Wales - 99,9%] | |
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