| Sujet: [TERMINEE] Dominika Markovitch Ven 26 Juil - 12:58 | |
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Dominika Markovitch – 28 ans – Americano-russe – Fille unique du patron de la mafia russe – Criminelle en fuite sous couverture après avoir vidé les comptes de son père et participé à de nombreux cambriolages et car jacking pour lesquels elle ne sera jamais poursuivie, cependant – Change d’identité comme de chemise – A épousé un riche homme d’affaires pour avoir une couverture et n’a fait que lui mentir depuis le jour de leur rencontre – Joue les parfaites petites femmes au foyer – Maman d’un petit garçon et fait croire à l’homme qu’elle a épousé que c’est son fils, alors que c’est l’enfant de John Hood – A toujours une ou plusieurs armes sur elle, pour se défendre au cas où – A appris les sports de combats et d’autodéfense depuis son enfance – N’hésite pas à se défendre si elle doit le faire, et encore moins à utiliser une arme – Déteste la vie qu’elle mène et voudrait partir loin ( ou recommencer les cambriolages et autres )
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; (L'utilisation d'un lecteur exportable n'est pas obligatoire, vous pouvez aussi nous citer le nom de l'artiste et celui de la chanson qui, selon vous, conviendrait bien à votre personnage.)
Never too late - three days grace
BLABLABLA ▬ Histoire ; (En 1,200 mots minimum, pensez à ce que le caractère de votre personnage ressorte dans le récit, qu'il ne s'agisse pas d'une histoire qui ne nous apprend rien sur la façon d'être actuelle du perso.)
Je m’appelle Dominika Markovitch je suis américaine, d’origine russe, et âgée de tout juste 28 ans. Vue de l’extérieur, j’ai tout de la parfaite femme au foyer issue d’une bonne famille, mais la vérité est toute autre. Du jour au lendemain j’ai été contrainte de changer de vie, et de faire en sorte que mon passé disparaisse. La vérité c’est que je suis la fille unique de Nicolaï Markovitch, le parrain de la mafia russe. Après avoir épousé ma mère, ils partirent pour New-York, eux et leurs hommes de mains, où ils firent leurs « affaires » avec les contacts qu’ils avaient déjà sur place. Moi, je ne m’en étais jamais vraiment préoccupée, et pour tout dire je m’en fichais. Du moment que je pouvais dépenser des sommes folles d’argent où je voulais, le reste m’importait peu, et je n’avais que faire de la manière dont mon compte en banque pouvait être rempli. J’avais été éduquée comme si tout m’étais permis, et que tout le monde était à mes ordres. Parfois, souvent même, j’avais l’impression d’être invincible, principalement parce que j’étais toujours entourée de gardes du corps. Mon père avait néanmoins tout fait pour que je sache me défendre au cas où j’en aurais besoin un jour, et ainsi tout y passa. Maniement des armes, sports de combat, d’autodéfense… Le fait que j’ai été entrainée depuis toute petite me permis d’acquérir un excellent niveau. J’étais devenue redoutable et c’était ce que mon père voulait. Cependant, il ne se doutait pas que je pourrais me servir de tout ça contre son intérêt.
Tout commença quand je rencontrais un certain John Hood, l’un des nouveaux larbins de mon père. Il devait avoir vingt ans à cette époque, et moi dix-sept, et j’étais bien loin de me douter qu’un jour je lui devrais quelque chose. Je ne savais pas trop comment il s’était retrouvé là, à entre embauché dans l’équipe, et je me dis qu’il avait du impressionner d’une façon ou d’une autre. Ou alors il devait de l’argent, ce qui était possible aussi. Quoi qu’il en soit, ça m’importait peu. Comme tout le reste qui concernait les affaires de mon père, je m’en foutais complètement. Après tout, ce n’était qu’un nouveau pion de mon père qui ne servirait à rien d’autre qu’à prendre à la place de tout le monde. Parce que je me doutais bien qu’il ne comptait pas l’embaucher pour être l’un de ses principaux hommes de main. Il était trop jeune et certainement trop peu expérimenté pour ça. Les hommes les proches de lui étaient des tueurs, froids et sans scrupules. Et aussi doué que ce jeune pouvait être, il ne devait pas être grand chose aux yeux des autres. C’était comme ça : pour protéger les gros, les petits trinquaient toujours. Au départ, je ne m’étais pas préoccupée de lui, mais plus les mois passaient, et plus il m’intriguait. Je n’étais pas vraiment du genre à être ouverte, bien au contraire. Tous ces gens n’étaient rien pour moi, ils n’étaient là que pour faire ce que mon père leur demandait de faire et c’était tout. Alors pourquoi aurais-je cherché à fréquenter l’un d’entre eux, à plus forte raison s’il était question de l’une des recrues qui se trouvaient au bas de l’échelle ? Mais quand John me fit parvenir une note, me demandant de le rejoindre, un soir, je ne compris pas vraiment pourquoi, mais j’acceptais.
Evidemment, il était tout à fait hors de question que quelqu’un apprenne que je l’avais vu, que ce soit mes parents ou même les autres membres du personnel. Franchement, je pouvais avoir qui je voulais, alors pourquoi j’allais le rejoindre lui ? Je n’en avais aucune idée, mais ce que je savais, c’est que je voulais le rejoindre. C’est pourquoi je fis en sorte de semer mes gardes du corps pour le retrouver. Il était là, à m’attendre, et il semblait aussi surpris que moi que je me trouve devant lui. Tout ça continua, et bien que je ne comprenais pas vraiment comment j’en arrivais là, nous sortîmes ensemble, en cachette, et tout ça dura des mois. Petit à petit, et bien que je ne me sois jamais vraiment posé la question de savoir ce que je ressentais pour lui, nous étions devenus de plus en plus proches, au point d’être même devenus tous deux associés, en quelques sortes. Il m’avait emmenée avec lui quand il faisait des braquages, et en fait, ça me plaisait vraiment. On formait un duo d’exception, parfait et inégalable. Les grandes galeries d’Art, les bijouteries et les banques y passaient, et c’était à chaque fois un succès. Je ne me serais jamais doutée que la façon dont mon père m’avait entraînée me servirait, mais dans le fond je savais que j’étais faite pour ça, pour les vols et les braquages. Dans le fond, c’était mon monde.
Seulement, tout cela ne dura pas. Après quelques mois de relations et de cambriolages – on en arrivait à des sommes monumentales – mon père appris ce qui se passait. Je me doutais bien qu’il devait me faire suivre, par d’autres personnes que par mes gardes du corps, mais je n’en avais jamais vraiment eu la preuve. C’est la seule explication que je trouvais pour lui permettre d’être au courant pour John et moi. J’avais toujours pris soin d’être discrète, alors comment aurait-il pu l’apprendre ? Il ordonna à John de quitter la ville, mais ce dernier n’en fit rien, et il mis au point un plan qui consistait à voler l’argent de la mafia. J’étais tellement en colère contre mon père que je ne réfléchis pas une seule seconde, et j’acceptais de le seconder. On partirait ensuite pour aller je ne sais où et mener la belle vie, tous les deux. Evidemment, encore une fois le cambriolage se déroula sans encombre et nous partîmes le plus vite possible. Mais on fut pris dans une course poursuite. La cible, c’était nous, et ceux qui nous poursuivaient, c’était la police. Jamais je n’aurais pensé être dans cette situation mais c’était bien le cas. On était partis trop tard, ou alors notre plan était juste irréalisable. Mais alors que je me voyais déjà, menottes aux poignets dans une combinaison orange fluo, John décida de se rendre. Lui, tout seul, et sans moi. Je protestais bien sûr, il était hors de question qu’il se rende sans moi, mais il insista et ma raison l’emporta également. Je m’enfuis alors avec l’argent, sans me retourner, et je n’eu plus jamais de nouvelles de lui. J’appris simplement qu’il avait eu une peine de dix ans de prison à purger.
Je me cachais alors pendant plusieurs jours, j’utilisais les faux papiers que John avait fait faire pour moi par un ami à lui – j’avais peur que mon père ne me retrouve si j’utilisais ceux qu’il avait fait faire pour moi – et je volais des voitures que j’abandonnais après seulement quelques heures, pour ne pas me faire avoir. Quand John est allé en prison – pour moi – j’ai compris qu’il fallait que j’efface tout de mon passé, que je me fasse discrète et que rien ne vienne jamais à se savoir. J’ai alors changé de nom définitivement et d’identité. Ironie du sort, j’étais restée à New-York. Mon père avait des hommes partout, mais la ville était bien assez grande pour que je m’y cache. Après quelques semaines, quand je me dis que la situation commençait à se tasser, je décidais de me faire passer pour une autre. Je changeais mon nom alors, régulièrement, jusqu’à ce que je commence à fréquenter de riches hommes d’affaires new-yorkais. Je n’avais pas besoin d’eux pour vivre, mais je voulais avant tout avoir une couverture. Je finis par en épouser l’un d’eux. J’étais encore jeune quand John a été arrêté, et je me suis alors faite passée pour une étudiante tout ce qu’il y a de plus banale, mais néanmoins en échange scolaire avec une université étrangère. Et le jour où j’ai appris que j’étais enceinte, j’ai sauté sur l’occasion pour ne plus le lâcher. Le bébé n’était pas de lui en réalité, mais de John. Je le savais depuis le départ mais évidemment je l’ai jamais dis. Il avait assez confiance en moi pour me croire sur parole, alors j’en ai profité. Et c’est là qu’il m’a demandée en mariage. Comment refuser ? J’avais tout fait pour qu’il m’épouse, parce que je voulais qu’il me serve de couverture, et là c’était chose faite. Ce pauvre homme ne sait rien de tout ça. Il pense avoir épousé une femme qui l’aime et qui est heureuse de partager sa vie, et qu’il a aussi un fils merveilleux. Mais tout ça n’est qu’un mensonge. Je haïssais la vie que je menais.
Wanna know more ? ▬ La plus grande honte du personnage ; (En 60 mots minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
Je ne saurais vraiment dire si j’ai vraiment eu honte de quelque chose, dans ma courte vie. Je n’ai pas été élevée dans l’idée de me sentir coupable de quoi que ce soit, au contraire. Il n’y avait pas réellement de fait marquant ou quoi que ce soit qui représente une gêne pour moi. Cependant, je devais reconnaître que je me sentais extrêmement mal depuis que j’avais laissé John se faire arrêter à ma place. J’avais l’impression de l’avoir complètement abandonnée, alors que j’avais toujours eu les moyens de faire quelque chose. Est-ce que c’était ça, la honte ? Je ne saurais le dire. ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
C’est simple, c’est ce que je vivais depuis des années. J’avais fuis mon ancienne vie et maintenant je me cachais de tout et de tout le monde. Mon identité n’était plus la même, et je ne pouvais me permettre de me lier à personne. La seule chose que j’avais faite – et c’était pour me protéger – c’était d’épouser un riche homme d’affaires. Il me servait de couverture, en quelques sortes, parce que comme je portais son nom, personne ne viendrait me chercher. J’étais donc loin de l’avoir épousé par amour, je n’étais avec lui que pour nous cacher, moi et mon fils. La seule chose qui pourrait m’arriver de pire, ce serait de ne plus revoir mon fils. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
Je ne demanda pas grand chose, juste d’être tranquille. Cela faisait maintenant des années que je vivais la peur au ventre. J’avais peur que mon père me retrouve et que je doive retourner à ma vie d’avant. Je me doutais bien qu’il ne ferait pas dans le sentimentalisme. J’étais sa fille unique, alors peut-être ne serait-il pas trop sévère pour moi, mais je savais qu’il s’en prendrait à John. Encore plus que ce qu’il avait déjà dû faire. Je voulais que John soit à mes côté, et que l’on parte loin, lui et moi, et avec notre fils. ▬ Point faible du personnage ; (En 60 mots minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
Je ne tolèrerais jamais que quiconque ose toucher mon fils. Et si c’était le cas, je n’hésiterais pas à faire le nécessaire pour que la personne en question le regrette amèrement. Il était tout pour moi depuis des années, et jamais je ne supporterais d’être séparée de lui. Et puis il y a John. Pour lui aussi j’aurais fais n’importe quoi, quand j’étais plus jeune, et peut-être – certainement, même – que, si nous nous revoyons un jour, ce sera encore le cas… ▬ Point fort du personnage ; (En 60 mots minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
Je suis froide, très froide. Calculatrice et manipulatrice hors pair, je fais toujours tout pour arriver à mes fins, et j’y parviens à chaque fois. Je ne laisse jamais rien au hasard, et j’étudie toujours toutes les possibilités de sorte que je me sorte toujours au mieux de toutes les situations dans lesquelles je me trouve. Je sais aussi parfaitement me défendre, que ce soit à mains nues ou avec une arme, et je n’ai pas peur de me battre. ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.)
– Vols à mains armées dans des galeries d’Art, des bijouteries renommées, des banques et chez des riches particuliers – Complicité et association de malfaiteurs – Usurpation d’identité à répétition – Délit de fuite – Détention d’armes – Car jacking
Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; A. ▬ Âge ; 21 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Par John L. Hood ▬ Connexion ; (Mettez-vous une note sur 7) 5/7 ▬ Code du règlement ;
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OK par Anja ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ;
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Comment en étais-je arrivé là ? Quand je repensais à ce qu’était devenue ma vie, je me demandais pourquoi j’avais laissé les choses se faire. J’aurais dû partir, quitter la ville et ne plus jamais revenir, tout simplement. Et je savais que c’était très certainement ce que John aurait voulu pour moi. Je me souviens de cette nuit, quand il s’est laissé attraper pour moi. Il voulait que je parte loin avec l’argent et c’est vrai que j’avais hésité à le faire. Mais finalement, après m’être cachée pendant quelques semaines, j’avais bien compris que je ne pourrais pas, pas sans lui du moins. Et puis pour aller où ? Dans une ville perdue à l’autre bout du pays ? Très peu pour moi. Alors j’avais décidé de revenir, et de tout recommencer, comme si de rien n’était. J’avais alors pris contact avec Chin, un mec que John connaissait et qui se chargeait de tout ce qui était faux papiers et compagnie. C’était toujours John qui prenait contact avec lui, en général. Je ne perdis pas de temps et lui demandais des faux papiers, encore une fois, plusieurs cartes différentes au cas où, et tout ça dura des années. Je ne le voyais pas souvent, juste quand j’avais besoin d’une couverture. J’avais peut-être finis par épouser un homme d’affaire, ce qui me permettait d’être à l’abri, mais je ne voulais pas prendre de risque. Voilà pourquoi les rares fois où je sortais de Manhattan, j’en profitais pour utiliser une fausse identité.
Il était presque vingt-trois heures ce soir-là, et je regardais encore une fois les buildings de la ville au travers des grandes baies vitrées du salon. J’étais seule, comme toujours. Je n’irais pas jusqu’à dire que la compagnie de mon mari me manquait – ce qui serait totalement faux, je préférais d’ailleurs souvent ne pas le voir – mais j’étais tellement seule… « Le petit est au lit, Madame ». La nouvelle nourrice venait d’entrée et elle me fit presque sursauter. J’étais tellement perdue dans mes pensées que je ne l’avais même pas entendue entrer. Elle s’occupait de mon fils mais je n’avais pas pris la peine de retenir son nom. Je me tournais alors rapidement vers elle, et je hochais la tête. Elle partit bien vite ensuite, me laissant de nouveau seule. Laissant s’échapper un soupir, je me levais pour me servir un verre de Whisky, un service en cristal était posé sur une table en bois. J’attrapais mon verre après m’être servie et je me dirigeais ensuite vers les baies vitrées, et je finissais mon verre d’un seul trait. Ce que je pouvais détester la vie que je menais… Tout ça me donnait presque envie de recommencer les cambriolages, mais seule il n’en était même pas question. Et puis, il y avait mon fils aussi. Je devais surtout penser à lui. Je soupirais une nouvelle fois, puis je me servis un autre verre.
▬ Célébrité sur l'avatar ; Scarlett Johansson ▬ Multicompte(s) ; Non ▬ Un dernier truc à dire ? ; BLABLABLA
Dernière édition par Dominika Markovitch le Sam 27 Juil - 14:56, édité 2 fois |
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