| Sujet: Bitch please.. [TERMINEE] Ven 18 Juil - 15:44 | |
Identity Card
Feat "Ashley Benson"(c) Faith |
▬ Nom ; Hume▬ Prénom(s) ; Dixie, Lorreen▬ Surnom(s) ; D-X▬ Âge ; 25 ans▬ Nationalité ; Américaine▬ Groupe ; Cityzens▬ Statut et activité dans la vie ; Bimbo, star de la télé-réalité.▬ Orientation sexuelle ; Ça veut dire quoi ?
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Pussycat Dolls - When i grow up
When I grow up, I wanna be famous I wanna be a star, I wanna be in movies When I grow up, I wanna see the world Drive nice cars, I wanna have groupies
▬ Histoire ;
Interview de The Oprah Winfrey show 06/07/2014.
Messieurs Dames, pour notre moment « What’s the Buzz ? » je vais vous demandez de bien vous accrocher à votre siège que vous soyez sur ce plateau ou derrière votre écran car nous allons recevoir maintenant l’une des personnalités les plus en vogue du moment, celle qui attire toutes les attentions de ce début d’été, j’ai nommé : Dixie Hume !
De nombreux applaudissements et sifflets se font entendre tandis que Dixie fait son apparition sur le plateau. Chaussée de stilettos blanc laqué et simplement vêtue d’un short noir à paillettes rehaussé d’un top laissant plein champ sur son ventre hâlé, la bimbo annonce clairement la couleur : Elle est la pour faire sa promotion. Pour preuve ce logo d’une bouche outrageusement rose glossy exhalant une bulle de chewing-gum sur son tee-shirt, emblème de sa marque : Titty Sprinkles.
Oprah: Quelle entrée en matière Dixie ! Vous ne passez décidément pas inaperçue.
Dixie : C’est moi ! sourit-elle bêtement en haussant les épaules. Vous vous attendiez à autre chose Oprah ?
Peu ou prou n’auraient oser jeter ce regard empli de désinvolture à l’animatrice intouchable qu’est Oprah Winfrey. Cette dernière s’en amuse faute de pouvoir exprimer sa surprise aux dizaines de millions d’américains qui regardent son émission. Elle adresse donc un regard malicieux à la bimbo, celle-ci trop occupée à se décider si elle préfère croiser sa jambe gauche sur la droite ou l’inverse. Dilemme.
Oprah: Aucunement. Sourire. D’ailleurs revenons sur cette ascension fulgurante, comment avez-vous vécu votre sortie du Real TV-Show qui vous a consacré ?
Dixie : Comme une énorme vague que je me serai prise dans la tronche ! Imite t’elle en ramenant vivement sa main au visage. Ca a été brutal c’est clair, tous ces inconnus qui crient votre nom, vous réclame votre culotte ou vous insulte c’était impressionnant. Enfin surtout les cris parce que le reste, eh bien, ce n’est pas nouveau. Précise t-elle d’un rire cristallin.
Oprah : Rires. Ah Dixie, ce naturel déconcertant, vous pensez que c’est ça votre arme secrète dans le monde du show-biz réputé sans merci ?
Dixie : Il semblerait que ma grande bouche plaise effectivement. Ses lèvres se fendent d’une moue coquine. Les « people » comme vous les appeler ont un pet au casque, ils aiment quand un énergumène ou une folle joint leur bande vous savez, alors ils ont juste dû me trouver à ma place dans leur monde. Et s’ils ne l’avaient pas fait, j’aurai défoncé deux, trois portes disons.
Oprah: Dixie Lorreen Hume, vingt-cinq ans et tant de punch ! Votre aplomb en intrigue plus d’un, vous pouvez nous en dire plus dessus Dixie ?
Dixie : Quand vous n’avez rien à perdre, vous avez tout à gagner. C’est ce que j’ai entendu dans les chiottes du Cielo hier, la nana avait pas l’air bien fraîche mais j’ai aimé la phrase.
Oprah: Quand vous dîtes « rien à perdre », vous voulez parler de votre famille ? J’ai reçu votre oncle ici il y a deux ans, il était plutôt muet vous concernant.
Dixie : Je ne vois pas en quoi ma famille concerne ma marque de vêtements. Vous, si ?
Oprah : C’était une bonne opportunité d’en parler, vos fans s’interrogent.
Dixie : Y a pas grand-chose à dire pourtant. Des faux-culs, des balais dans le cul, faut croire qu’ils avaient un problème avec le fait que je montre le mien à tout le pays. S’esclaffe t’elle pour masquer sa gêne. Vraiment, les Hume, je leur pisse à la raie.
Oprah : Vous auriez préféré qu’ils vous soutiennent plus jeune ? Votre directrice de lycée nous a dit que votre dossier scolaire avait été l’objet de nombreuses disputes dans son bureau.
Dixie : Et elle vous a dit qu’elle m’a proposé un plan à trois avec son mari alors que j’avais 17 piges ? Elle a dû oublier de le mentionner cette pute. Marrant comme les adultes oublient vite ce qui les arrange. Mes parents ont toujours préféré mon adorable frère Jake, le fils prodigue comme ils disent, alors l'aval de mes vieux je me la carre là où vous pensez.
Oprah : sourire gêné. En parlant d’adultes, vous avez aussi pensé à eux lorsque vous avez créée Titty Sprinkles, votre nouvelle marque de vêtements ?
Dixie : Les jeunes adultes alors. Hormis le noir et le blanc pour faire classe, les adultes ne sont pas très créatifs alors que ma collection, elle, vous en fera voir de toutes les couleurs. Des indémodables comme le jean et des touches plus audacieuses comme des logos disons..épicés pour ne pas passer inaperçue. Amateurs de cuir vous ne serez pas déçus non plus. Clin d’œil. Titty Sprinkles, littéralement c'est clairement un mode de pensée, la libération de tous vos vices cachés.
Oprah : Il y a peu, Jenne Lombardo, gourou de la mode à New York, déclarait que votre enthousiasme était irrésistible. Vous pensez qu’il résistera également au déluge de critiques qui s’annonce du côté des associations chrétiennes sur votre collection jugée outrageuse pour la plupart ?
Dixie : Si ces gens savaient s’habiller, ça se saurait , non ? S’ils veulent se servir de moi pour mieux gérer leurs frustrations, je leur donne mon corps pas de soucis. Faites plein de bêtises avec. Dit-elle en aguichant la caméra. Depuis quand vouloir se démarquer est un crime ? Qu’ils aillent se faire foutre tiens ! Et pour bien leur faire passer le message, je vais à mon tour me servir de vous Oprah.
Sous les regards stupéfaits de l’audience, Dixie ôte sans retenue son short et son top, les balance au public aux yeux effarés et adresse un doigt d’honneur bien senti au même cameraman.
Dixie : Plus on me censura, plus je ferai parler de moi, avis à mes détracteurs !
La sulfureuse blonde quitte ainsi le plateau, cul nul, non sans envoyer quelques baisers, depuis la paume de sa main, à son public adoré. Celui qu’elle ne veut pas laisser tomber.
Wanna know more ?
▬ Relations ;
Ni pour ni contre, bien au contraire ! Enfin.. tout ceci à une condition tout de même : Il ne faut pas lui voler la vedette. Pas novice pour un sou, Dixie sait reconnaître l’odeur du sang lorsqu’on cherche à lui faire perdre ses moyens ou à lui faire de l’ombre et à cet instant il faudrait mieux que votre truffe soit hors de frontières de la ville. Hormis cela vous pouvez être un vieux hippie super cool ou bien un étudiant coincé pour deux, la bimbo saura rendre cette relation IN. Tout est bon pour faire sa promotion, vous l’avez donc compris chers new-yorkais. Véritable électron, Dixie ne s’arrête que pour mieux repartir, vous auriez intérêt à suivre la distance si vous voulez voler plus près du soleil Ladies & Gentleman.
▬ Physique ; L’habit ne fait pas le moine. En plus de ne pas comprendre un traître mot de cet adage, la sulfureuse Dixie en est de surcroît l’exemple contraire. Elle veut sa part du gâteau dans ce monde de paillettes qui lui tend les bras et elle le fait bien comprendre à qui la croise. Sa chevelure blond cendré et ses yeux félins n’en finissent plus d’aguicher les célébrités mariés ou non mais ce sont surtout ses tenues, rarement innocentes, qui en font la favorite des médias. Elle ose, provoque, défie, indigne que ce soit dans des robes affriolantes ou en exhibant des accessoires dont le seul but est celui de choquer. Dixie se veut la nouvelle fiancée explosive de l’Amérique et elle compte bien utiliser sa silhouette pour charmer les plus réticents.
▬ Caractère ; Adulée, décriée, harcelée, photographiée, imitée, Dixie vit pour l’image qu’elle renvoie aux autres au point de ne plus se reconnaître dans le miroir. Trop longtemps ignorée par ses parents et visiblement marquée par cet abandon, la starlette a trouvé le bon filon pour ne plus subir le même sort. Encore et encore. On peut lui administrer tous les noms d’oiseaux que l’on veut, Dixie sait mener son petit monde en bateau et elle a réussi à atteindre un taux de popularité encore jamais atteint pour une playmate aux Etats-Unis. Quand on l’attaque sur sa désinvolture et la mauvaise image qu’elle donne aux jeunes, la bimbo réplique d’un revers de main que le seul pouvant la juger n’est que Dieu (évidemment !). Curieuse mais surtout déterminée, Dixie ne se contente pas d’attendre que les choses lui tombent dans le bec malgré son apparente ingénuité. Sans pour autant être une businesswoman confirmée, elle a appris les rouages de la jet-set et la solitude qui l’accompagne. Car il est là le drame de sa vie et celui de pleins d’autres célébrités : Être interviewée par des centaines de gens, entourée de milliers, suivie sur internet par des millions et finir seule une fois rentrée à l’hôtel ou chez soi. Cependant elle n’est pas dupe : Se vendre comme un objet résulte à en devenir un, voilà le prix de sa célébrité. Mais ne vous inquiétez donc pas ! : En attendant le suicide par overdose qui consacre tout artiste au sommet, Dixie compte bien profiter de cette effervescence et de sa jeunesse. La bimbo rêve de devenir la future fiancée de l’Amérique, incarnant le rêve américain de devenir qui l’on veut tant que Dieu lui en donnera les moyens. Car en-dessous de son caractère impulsif et sulfureux, Dixie est une fervente croyante. Beaucoup d’associations protestantes et catholiques se sont d’ailleurs révolté de la voir en couverture de magazine, rentrant à l’église comme elle rentrerait dans un bordel. Malgré l’effusion de menaces de mort de ceux-ci, elle n’a pas changé ses bonnes habitudes du dimanche matin et elle a toujours su conservé une relation particulière avec le père Patrick qui la connaît depuis longtemps. Les voies de Dieu sont impénétrables ne sont-elles pas impénétrables après tout ? C'est du moins ce qu'elle préfère se dire pour s'enivrer d'insouciance lors des jours pluvieux où il n'y a pas grand monde pour apprécier un peu de sa compagnie. Ces jours où elle se sent profondément meurtrie, déchirée entre sa rage de conquérir la Terre entière et ce souhait cruel de s'autodétruire pour ressentir de réelles émotions. Même les plus grandes actrices se perdent à leur propre jeu dit-on derrière la caméra.
▬ La plus grande honte du personnage ; La première fois qu’elle a dû faire une fellation pour gravir l’échelon social. A peine majeure, l’envie de croquer le monde, le besoin d’emmerder ses parents aussi.. il en a fallu peu pour que le directeur de casting qui l’a révélée ne lui fasse comprendre que le chemin vers la célébrité passe par la case « faveurs ». Cinq minutes à fermer les yeux sous sa ceinture défaite et l’affaire était pliée pour le pire et le meilleur. Depuis ce moment sa propre estime d’elle-même n’est plus qu’un lointain souvenir amer dans la bouche (si je puis me permettre).
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; Le simple fait de créer une relation un tant soit peu authentique avec quelqun relève du parcours du combattant pour Dixie. Laissée pour compte par ses parents qui ne voyaient que peu de promesses futures en elle, le coup de grâce fut porté le jour de son renvoi de l'école où ses parents lui confessèrent sans détour qu'à choisir entre elle et le néant, ils auraient préféré ne pas avoir d'enfant du tout. Malgré les conseils de son psy qu'elle a arrêté de suivre depuis peu, la bimbo réalise qu'il lui reste encore beaucoup de chemin à faire avant de redonner son affection à quelqun. Car si trahison il en découle, Dixie pourrait facilement laisser tomber le strass des paillettes pour le côté plus sombre de New York..
▬ Définition du paradis pour le personnage ;
Pourquoi ne pas commencer par lui donner sa propre étoile sur le Hollywood walk of Fame ? La consécration pour Dixie a un goût de légende et elle a des airs de Marylin Monroe et de Jackie Kennedy. La bimbo souhaite en effet marquer les esprits par sa plastique généreuse et son extravagance mais quelque chose lui dit qu’une ascension sociale dans des cercles plus respectés lui assurerait une longévité certaine plus près des étoiles. Elle veut montrer à sa très chère et méprisante famille qu'elle a réussi malgré leurs langues de putes. De là à se rendre à Harvard pour redorer son image il ne faudrait pas exagérer cependant Dixie est loin d’être étrangère aux petites faveurs entre amis et surtout nouveaux amis.. A bon entendeur.
▬ Point faible du personnage ;
Mentionner à Dixie la pauvresse des relations qu’elle entretient avec sa famille devrait suffire à la taquiner quelque peu. Le divorce a été entamé il y a plus de cinq ans et le petit monde de l’Upper East Side est assez bien renseigné pour vous dire que la réconciliation n’est pas dans les plans de chacun. Voyez, Dixie représente aux yeux de sa famille la pomme pourrie sur l’arbre généalogique des Hume qui a vu naître nombre de députés, militaires de carrière comme son père et autres professions prestigieuses qui ne souhaitent en aucun cas tremper dans les affaires de la bimbo. Dixie se consume peu à peu à cause de ce déni, de ce besoin constant de reconnaissance à leurs yeux, de cette fierté qu’ils ne lui donneront sûrement jamais.
▬ Point fort du personnage ;
Cran ou culot, laissez les journaux appeler cela comme ils le souhaitent, la p’tite en tout cas en déborde. Méfiez-vous donc de son sourire éclatant car celui-ci n’a pour seul but que celui de vous mordre au cou et de vous laisser vider de votre sang. L’image est forte mais la détermination de Dixie l’est tout autant chers New-Yorkais. La Grosse Pomme c’est elle qui y croquera à pleines dents consciente que c’est parce qu’elle n’a rien à perdre qu’elle a tout à gagner. La sulfureuse Dixie se nourrit du mépris de ses compatriotes pour gravir les échelons de la célébrité et devenir une icône pour tous ces jeunes à qui l’on ferme les portes du succès car ils ont refusé les codes et les normes de la société américaine bien-pensante.
▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.)
- Insultes à agent - Tapage nocturne - Troubles sur la voie publique - Tentative de corruption sur agent des forces de l'ordre - Coups et blessures sur les personnes de Trish Helmet, Sean Maxwell et Blythe Van Werden.
Behind the screen...
▬ Prénom ou pseudo ; M. ▬ Âge ; 24 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Ancienne membre ▬ Connexion ; 5/7 ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
Ca correspond particulièrement bien à l’ambiance du forum -> Je suis d'accord et je valide le code ! Erwan. ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Sa main ne cessait de voguer sur le visage brut mais si tendre à la fois de Lewis, une caresse salvatrice qui se perdait dans le temps, intemporelle et éternelle, dans cette rue malfamée . Les traits de son sauveur semblaient tiraillés par une indéchiffrable douleur et une vague d'interrogations que ne comprenaient pas la jeune femme . Pire encore .. le coeur de l' ukrainienne souffrait incommensurablement chaque fois que ses iris percevaient le gouffre dans ceux de la personne en face d'elle . Encore choquée par l'état second dû à son agression , Wynona était presque paralysée , le corps torturé par le dureté des pavés sur lesquels elle était couchée . Elle voulait lui exprimer son mal-être, réussir à entrouvrir ses lèvres chastes pour lui dire à quel point son coeur était malade de ressentir autant de tristesse enfouie venant d'un homme si pur à ses yeux . Son souffle s'arrêtait pourtant à chaque fois qu'elle essayait une tentative mais aucun son ne sortait ..rien.. le néant face à l'Univers ..
L'appel, la voix de Lewis résonnait encore dans l'esprit de l'ukrainienne tandis qu'elle essayait péniblement de comprendre les bribes de phrases qu'il venait de lui échanger . Cette invitation à le suivre fut accueillie par un soulagement visible comme si l'antre du paradis ne lui était plus fermée et Lewis s'en trouvait être le portier à cet instant . Les phallanges de la jeune femme se resserrèrent un peu plus sur les pomettes de cire de Lewis comme pour retenir chaque trait de cet homme si particulier à ses yeux . Quelques étoiles vinrent peindre les pupilles de Wynona à mesure qu'elle lui offrait sa candeur , son sourire enfantin et les quelques caresses dénuées de luxure avec lesquelles elle modelait à sa guise le visage de son ange .
Entrelacées leurs mains glacées se rechauffaient mutuellement combattant ensemble , luttant comme une seule âme pour vaincre ce froid, cette vie , cette dureté boursoufflée qui n'avait de cesse de ravager ceux qui se trouvaient sur son passage . Les palpitations du coeur de l'Ukrainienne se faisaient plus calmes, bercées , charmées par l'aura enivrante mais rassurante que dégageait l'anglais dans chacun de ses gestes protecteurs . Pendant un instant qui ne dura que quelques fragments de seconde Wynona decella une lueur qui lui était inconnue dans les yeux de Lewis , une sorte d'étincelle, humainement lubrique , indecryptable pour la jeune femme-enfant cependant ..
La silhouette de Wii se fit naturellement relevée par la force souffreteuse du motard, les jambes frêles prêtes à craquer au moindre faux pas, se tenant pourtant sans rage contre le corps de Lewis détenteur de son enveloppe charnelle . Il la traîna avec précaution ,presque par peur de lui froisser la moindre de ses ailes , jusqu'à sa moto aux couleurs rutilantes , qui pourtant, n'effrayèrent pas Wynona , très ,trop ? confiante dans la personne de Lewis . Chaque pas la rapprochant de leur univers fantasmagorique était délicieux, presque divin de son inconnu . C'était si naturel pour elle de le suivre, de joindre ses pas aux siens dans une mélodie silencieuse et pourtant si significative , d'être simplement là où il serait cette nuit ..
<< Tu me feras voler dis ? >> lui demanda t'elle dans un murmure cristallin << Oh oui fais-moi voler s'il te plaît .. >> rajouta t-elle un sourire pétillant aux lèvres malgré les évènements précédents .
Une empreinte d'innocence teintait la douce voix de Wynona, désireuse de s'envoler pour le pays imaginaire une fois de plus . Lewis n'avait rien d'un Peter Pan aux premiers abords pourtant à cet instant la jeune femme désirait juste s'accrocher à lui pour qu'il l'emmène où bon lui semblerait ce soir, dans ce brouillard nocturne, cette brume onirique .. Ce dernier l'enjoint à monter sur sa bécane pour débuter ce voyage aux milles et une promesses , aux milles et un abandon au monde réel et Wynona enjambea avec grâce ce cheval de fer en se tenant lascivement contre le dos froissé de Lewis . L'aventure pouvait commencer ..jusqu'où s'achèverait -elle ?
Alors qu'une fumée destructrice s'échappait de la moto, le froid glacial de New-York s'insinuait dangeureusement dans les veines de la jeune femme à la peau diaphane . Les doigts de la belle auraient pu être violacés ou bien rougis qu'elle ne l'aurait pas réalisé bien trop absorbée par la sphère ensorcelante qui l'attendait au bout et qui n'attendait qu'une chose : L'accueillir en son sein .. Sa poitrine chaste cependant brûlait sous les gouttes de pluies tranchantes et glacées s'échappant du ciel , Wynona se glissa tout en contorsions contre le torse de Lewis le dos meurtri contre les manettes de sa moto brisant ainsi toute distance, se murant silencieusement contre l'enveloppe charnelle et l'âme de son partenaire éphémère .
Muette mais possédée, Wynona suivait aveuglement Lewis dans la tanière, dans le lieu qui abriterait leurs songes les plus délicieux, leurs histoires exquises sortant de leur imagination débordante et débordée . L'ombre de l'ukrainienne dansait avec candeur autour de celle de Lewis préférant,elle, restée de marbre ..tanpis elle continuerait encore et encore sans se lasser .. Une fois la porte boisée ouverte, un souffle se sauva discrètement des lèvres rosées de Wynona émerveillée par la simplicité de cet endroit . Cette dernière laissa sa main engourdie caresser avec interêt les murs de la pièce pauvre en éclairage mais riche de sentiments, d'humanité enfouie.. Oui ce carcan si dur d'apparence trouvait grâce aux yeux de la femme-enfant tout comme celui qui l'habitait quelques minutes auparavant dans cette ruelle sordide .
Sans attirer l'attention de Lewis , Wynona fit vagabonder ses pupillles sur les centaines de clichés qui peignaient le sol et les murs de la batisse mais elle fut irrepressiblement prise à la gorge par une force inconnue, un mal sournois qui ne la lâchait plus . Etrangement ses cordes vocales refusèrent de s'exprimer, comme emprisonnées par des lianes perfides préférant laisser les iris de l'ukrainienne se charger de sa douleur . Une larme scintillante, puis deux vinrent chatouiller les joues de poupées de Wynona alors qu'elle constatait amèrement le manque de vie de ces photos . Toutes figées .. toutes enfermées dans un jeu d'ombre et de lumières où l'obscurité finissait par l'emporter . Ces natures mortes effrayèrent la jeune femme qui se réfugia dans les bras de Lewis sans lui demander la permission , pour lui dérober une étreinte protectrice, une cachette à ses peurs les plus profondes ..
Tremblante, elle agrippa violemment ses doigts sur les côtes de l'anglais et sa peur manqua de les lui broyer car malgré son apparence chétive Wynona recellait bien des mystères peut-être trop horribles pour des oreilles humaines . La respiration saccadée elle remarqua la cigarette pendant aux lèvres crispées de Lewis et son premier reflexe fut de l'arracher à celles-ci avant qu'elle ne le consume, l' Ukrainienne refusait catégoriquement de laisser un quelconque poison avoir raison de lui, surtout pas de lui .. La bataille entre le Mal et le Bien est toujours rude dans n'importe quel conte mais Wynona , au delà de se considérer comme un symbole de pureté était un symbole de pureté qui se devait de se sacrifier pour sauver les âmes perdues . Son sacrifice ne se fit pas attendre et sereinement elle logea un baiser glacé sur la comissure des lèvres de Lewis , les yeux mi-clos et l'âme en éveil ..
<< Tu n'as pas le droit de mourir avant moi vieux fou .. >> lâcha t-elle dans un sourire amusé .. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Ashley Benson ▬ Multicompte(s) ; Si oui, merci de nous dire de quel membre du staff vous avez eu l'accord de création de ce multi-compte. ▬ Un dernier truc à dire ? ; Slut up with Titty Sprinkles ! >[/justify]
Dernière édition par Dixie L. Hume le Sam 2 Aoû - 20:11, édité 22 fois |
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