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 That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx

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Alexei J. Ivanov


Alexei J. Ivanov


MESSAGES : 324
POINTS : 160
AVATAR : Olga Kurylenko
CRÉDIT(S) : Moa
PROFESSION : Médecin légiste, commissariat du Queens.


Feuille de personnage
ÂGE DU PERSONNAGE: 29 ans
CASIER JUDICIAIRE:
RANG DE CRIMINALITÉ: DÉLINQUANT
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MessageSujet: That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx   That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx I_icon_minitimeDim 22 Fév - 21:44

Identity Card


Feat "Olga Kurylenko"
(c) Copyright
Nom Alvarez - Ivanov
Prénom(s) Alexei Judith
Surnom(s) Alex, quoi de plus banal.
Âge 29 ans.
Nationalité Americano-russe.
Groupe Cityzen, jolie cityzen. Plus pour longtemps.
Célébrité sur l'avatar Olga Kurylenko.
Statut et activité dans la vie Alexei est veuve. Son mari est mort il y’a six mois pile aujourd’hui. Lui, et sa fille. Elle va reprendre son boulot de légiste alors qu’elle a terminé ses études il y a un an à peine.
Orientation sexuelle Hétérosexuelle jusque-là.

Once upon a time...


Une chanson pour commencer cette présentation

« They say I'm too young to love you, I don't know what I need
They think I don't understand, the Freedomland of the seventies
I think I'm too cool to know ya, you say I'm like the ice I freeze
I'm churning out novels like, Beat poetry on Amphetamines. »
Brooklyn Baby ©️ Lana del Rey
Histoire


1er Août 2009 – dans le jardin des parents Ivanov.


« Je lève mon verre à ma future femme. Joyeux anniversaire chérie. »

L’assemblée rit et je regarde mon mari avec un air de gamine rougissante. Quand je le regarde comme ça, si jeune et si beau à la fois, je craque encore. Il n’a pas fini de faire le malin, et ses amigos de son gang lui tapent dans le dos, une bande de machos rigolos.  Je suis née sur les terres d’Amérique il y’a vingt-deux ans de cela. Mes parents, des russes influents, ont fui le pays avant ma naissance pour se retrouver en bonne compagnie à Brooklyn. J’ai toujours vécu ici, parce que c’est le quartier des russes et que mon père, même s’il ne faisait pas partie des clans ici, s’est vu offrir leur aide. Et il n’a pas refusé. Je n’ai jamais vécu dans la misère, je peux faire de bonnes études et concrétiser mon rêve de devenir médecin légiste. Je connais Andrès depuis mes dix-huit ans. J’ai toujours été une tête à l’école et peut-être que son côté bad boy et crâneur m’a faite faiblir. Moi qui n’était qu’une tête d’ampoule russe. Si je n’avais pas sauté de classe, je ne l’aurais jamais connu. Et ma vie aurait été toute différente.
Bien que nos débuts ont été difficiles, je ne sais pas ce qui l’a poussé à changer, et très vite nous sommes devenus inséparables. La russe et l’espagnol. Andrès est un homme de compassion, et la grandeur de son cœur est égale à sa fierté. J’avais réussi à charmer le garçon turbulent qui trainait, le fils insupportable mais charmeur.

Aujourd’hui, je suis en passe de devenir sa femme et nous fêtons mon anniversaire. Bien sur, nous avons réuni nos deux familles et étrangement, rien ne fait défaut à ce tableau. Tout le monde se tient bien et l’ambiance familiale me ravit, même les membres de Calaveras se tiennent bien. Je ne suis pas toujours d’accord à ce qu’il fasse parti de ce gang, mais il faut dire que leurs sourires craquants et leurs attentions envers moi ne me laissent pas de glace. Je ne pourrais pas le changer, car Andrès fait parti de ce club depuis ses quinze ans, et qu’il s’est forgé avec. Ce que j’ai du faire pour l’aider parfois est un maigre sacrifice à ma droiture pour le garder avec moi. Je vais pour me rasseoir sous le regard doucereux de ma mère mais mon futur mari m’interrompt d’un geste de la main.

« Et bien Alex, on a pas finit, t’as pas un truc à dire ?
- Euh… »

Une prise de paniquer me vient à la gorge. Je déteste quand il fait ça et qu’il me met au pied du mur, parce que ce n’était pas prévu. Si ce soir je ne bois que de la grenadine, c’est pour une unique raison. Je porte en moi la consécration de notre amour, et je vais donner naissance. Dans six mois nous aurons la famille qu’il nous plaisait d’imaginer il y’a quatre ans, lorsque nous rêvions d’un avenir ensemble. Il me regarde avec ce sourire taquin, il sait très bien que ce qu’il fait me met mal à l’aise. Je m’éclaircis la gorge et tente de pallier à ma gêne, tous les regards sont tournés vers moi et Andrès me rejoint, un sourire aux lèvres, un verre de whisky dans sa main tatouée.

« Et bien…
- Nous ne sommes pas réunis que pour l’anniversaire d’Alex. Nous allons agrandir la famille les amis. Alexei est enceinte d’un Alvarez ! »

Un instant de choc pour tout le monde, y compris pour moi qui blanchis. Impatient, content comme un chiot, il m’attrape par la taille et m’embrasse sur la joue. Ma mère se lève, les yeux exorbités et me regarde, les mains sur les joues.

« Je vais être mamie ? »

Et avant que je réponde, l’assemblée me couvre de cris et de bisous. Nos deux familles seront réunies dans un seul être et elles semblent le prendre avec bonheur. Le mien ne peut pas être au plus haut, et des larmes inondent bientôt mon visage, lovée dans les bras de mon père qui lui est incapable d’exprimer ses sentiments. Sa fille grandit. Personne ne fait la remarque sur mon jeune âge et celui de mon futur mari. Peu importe. Personne et pas même les Calaveras ne pourront nous séparer maintenant.


Juin 2013 – dans la maison Alvarez-Ivanov.

« Putain, tu m’avais dis une DERNIÈRE fois Andrès. Je fais de la médecine légale, merde, je joue ma place, on joue notre foyer, l’avenir de notre gamine, tu t’en fous ? Tout c’qu’on est en train de bâtir ! Tu m’avais dis que tu voulais t’en sortir ! je veux pas d’ce mec chez moi putain… »

Je suis furieuse, les larmes sont au bord de mes lèvres mais mes poings serrés arrivent à les contenir. Je regarde Andrès qui me fixe avec douleur. Il sait que j’ai raison. Mais je sais très bien que bientôt sa fierté sera plus forte que sa honte et qu’il me claquera de la fermer. Puis il reviendra me rassurer, qu’on s’en sortira, qu’il va se tirer de ce gang, que plus personne ne sera tué et que notre famille ne craindra rien. C’est une énième dispute entre nous qui fait hurler le chien, un berger allemand qu’Andrès m’a offert à la naissance de Luz.

« Arrête de crier Alex por favor, elle va réveiller la petite.
- Tu te fous de moi là… c’est tout c’que tu me dis ?
- J’peux pas laisser un frère dans la merde tu comprends ça ? Juste cette nuit et il se casse.
- Si on se fait chopper, putain, je t’en voudrais toute notre vie. On a un enfant Andrès.
- JE SAIS. »

Une tête châtain clair apparaît dans l’encadrement de la porte de cuisine, et la tête ensommeillée de Lucìa apparaît, visiblement effrayée par les cris que nous poussons. La chienne se place à côté de ma gamine, qui attrape son poil surement plus par réflexe qu’autre chose. Je pousse un long soupir et pose ma main sur mon front, reprenant mes esprits une minute. Elle a arrêté d’aboyer, mais il est tard, et ma fille n’a pas besoin d’en entendre plus. Son regard oscille entre son père et moi et elle ne dit pas un mot. Luz est une enfant plutôt silencieuse, très sage. Je m’approche d’elle et la saisit pour la poser sur ma hanche, caressant la tête du chien au passage. Je jette un regard de haine au mec dans l’entrée et tend un index accusateur vers Andrès.

« Pas de bordel. C’est la dernière fois. Et je vais chez ta sœur avec la petite.
- Alex… s’il te plait.
- On reparlera de ça plus tard. »

Un quart d’heure plus tard, mon sac et celui de Luz sont prêts. Ma colère commence à redescendre mais de savoir qu’une fois encore Andrès aide le club pour un truc crapuleux me rend dingue. Il ne s’agit plus que de lui et moi maintenant, mais également de notre enfant. Quoi qu’il nous arrive lui retomberait dessus. Nous avons changés, nous avons grandis. Les responsabilités ne sont plus les mêmes. J’ai l’habitude d’être celle qui a les épaules dans notre couple, la tête froide, le roc stable. Mais je ne lui permettrais pas de mettre en péril la sécurité de Luz, même si je l’aime plus que tout. Je passe par la cuisine, le nouveau venu s’écarte pour me laisser la place, je lui jette un regard qui en dit long sur ma façon de penser ses manières et dépose un baiser sec sur la joue de mon époux. Luz vient l’embrasser à son tour, il l’attrape par la taille et la serre contre lui. Je laisse sortir la chienne dans le jardin, récupère ma fille et file rapidement jusque la voiture. Ma belle-sœur n’habite pas loin d’ici et nous y arrivons en peu de temps.

« Je suis désolée s’arriver si tard Xiomara. »

Ma belle-sœur m’invite à entrer et Luz ne se fait pas prier pour courir dans les bras de sa tante.

Septembre 2015 — En voiture.

« Yo te daré… te daré mi hermosa ! Te daré una cosa… »

Papa chante, maman aussi maintenant qu’elle parle un peu d’espagnol. Maman, c’est moi, Alexei, Luz suit la comptine qu’elle a apprise à l’école. Andrès tient à ce qu’elle apprenne l’espagnol, moi je lui parle en russe. Il rêve grand pour notre enfant, il veut qu’elle soit aussi belle et intelligente que moi, mais aussi rusée que lui. Il veut qu’elle réussisse dans sa vie, que nous ayons de l’argent pour qu’elle puisse suivre ses études. Nous sommes en route, de retour chez nous après un séjour sur mes vacances. J’ai finis mes études et je suis officiellement médecin légiste, et tout va bien. Andrès a presque atteint le but qu’il s’est donné il y a cinq ans de cela, c’est-à-dire sortir des Calaveras, parce que nous n’avons plus besoin de ça pour sortir et que nous refusons de laisser notre fille côtoyer ce monde. J’aime la fraternité ses amis, la force et la vigueur de leur solidarité. Mais ça devient trop dur, trop noir, trop violent. Nous ne sommes plus que deux.

Pour l’instant tout est ok, rien ne vient tâcher cette semaine de vacances et pour une fois, Andrès n’a pas décroché son portable. Je lui jette un regard amusé alors qu’il s’amuse à mimer les notes comme un maestro pour faire rire la gamine aux éclats. Bien sur, ça marche, parce que son père est un clown et il me tire un sourire avec son regard charmeur. Plus tard mon cher monsieur nous devrons discuter plus amplement. Pour l’instant je jette un regard à Luz, six ans maintenant. Le temps passe si vite et cela m’effraie, je commence à ressentir et à comprendre les mêmes angoisses que ma mère avaient alors à l’âge où elle m’a eue. Le crépuscule s’éteint peu à peu et je souris à ma fille une demi-seconde à travers le rétroviseur.

Une demi-seconde. C’est ce qu’il m’a fallu pour tout foirer. Une putain de demi-seconde j’ai vu les yeux verts, celle d’après, mes yeux ont étés aveuglés par des phares postés droit devant.

Un cri.
Un choc.
Trou noir.

« ALEXEIII ! »

Ø

J’ouvre les yeux. L’odeur d’essence et celle de sang se mêlent, alors que je retrouve petit à petit mon odorat. Je ne comprends pas tout de suite ce qu’il se passe, n’entends rien, un putain de bourdonnement résonne dans mes oreilles, accompagné d’un mal de crâne qui me harasse. Je tousse et mes poumons se brulent. Une petite voix semble m’alarmer et je me redresse, percutant petit à petit la situation dans laquelle je me retrouve. La voiture. Andrès. LUZ.
La panique me percute de plein fouet et je reprends conscience de mon corps entier en même temps que mon ouïe se ré-ouvre à la perspective d’un monde environnant. La petite voix que je prenais pour celle de mon esprit est en fait celle de ma fille, qui pleure derrière moi. Putain. Un accident. C’est ça. Je me retourne et une vive douleur se propage dans toute ma jambe, me filant la nausée immédiatement et regarde mon mari. Aucun souffle de vie, rien ne l’anime. Son visage tuméfié git contre la vitre et son corps est désarticulé, dans une position inhumaine. Le sang encombre son visage endormi pour toujours.

« Oh… non… non mon dieu… »

Je pose une main sur son épaule et le secoue doucement, puis plus fort. Je me raccroche à quoi au juste ? Je ne sais pas. Comme s’il allait se réveiller dans l’instant. Mais la voix de Luz revient à mes oreilles une nouvelle fois et mon regard sur pose sur elle. Son joli visage est tuméfié, souillé par ce sang qui ne doit pas couler. Une violente envie de vomir se glisse dans ma gorge mais mes larmes sont plus fortes encore et glissent sur mon visage.

« Shht.. shtt ma puce, ça va aller, je vais te sortir de là ok ? Regarde moi. »

Je pose une main sur sa joue et commence à réfléchir, mais mes pensées sont embrumées, rien de cohérent ne me parvient et je lutte. Quoi faire, se détacher d’abord. A ma plus grande surprise ma ceinture se détache sans souci, la voiture est compressée et mes jambes sont coincées par le tableau de bord. J’ai chaud, et je tremble à la fois. Mais quand je remarque qu’une flamme lèche le capot défoncé et s’approche du pare-brise, la panique me force à extraire mes jambes de la. L’une d’elle est blessée gravement, je le sens bien. Mais ma panique est plus forte, et je me retourne pour essayer de sortir ma fille. La ceinture de Luz est coincée et je n’arrive pas à la défaire comme ça. Je ne peux pas la tirer, au risque de lui briser quelque chose, une branche d’arbre traverse la voiture et l’a évitée de peu. Je dois la sortir de là au plus vite parce que la voiture va exploser. Je ne sais pas quoi faire, Luz pleure et j’arrive de moins en moins à réfléchir.

« Ne bouge pas chérie, je vais te sortir, ne bouge pas, shh… »

Je dois sortir. Avec difficulté, je m’extrais de la voiture et, en trainant la patte, j’atteins la portière arrière droite. La vitre n’est pas cassée et je maudis les dieux. J’entends ma fille qui m’appelle, je la vois avec son doudou là qui attend que je lui ouvre. Je sens le feu se propager et je force, tire la portière, frappe dans la vitre, hurle. Il n’y a personne, je suis seule. Luz m’appelle sans arrêt, effrayée, et je n’arrive pas à ouvrir la porte. Il faut que je trouve quelque chose pour casser la vitre. Je dois tout faire pour la sortir de là. Je tremble et regarde autour de moi et j’aperçois une espèce de gros bout de bois et décide d’aller le chercher. Le feu s’est propagé et ma fille crève de chaud, je n’ai plus beaucoup de temps.

Je n’ai même pas assez de temps.
Une seconde, je me retourne. La deuxième, un bruit sourd et les pleurs de ma fille s’éteignent. Mon corps est projeté par une souffle incroyable. Plus rien.

Ø

Abre los ojos.

Premier geste, premier réflexe : panique.

« LUZ ! Lucìa !! »

Je ne comprends rien à ce qu’il se passe, une lumière me brule les yeux et je les referme vite. Des douleurs se répandent un peu partout dans sous ma peau, j’ai froid et je ne sais pas où je suis. Je ne reconnais pas cette odeur de sang et de feu, ni même celle d’essence. Celle de l’antiseptique, que je connais si bien par contre me brûle les sinus et j’ai l’impression d’étouffer un instant. Bientôt je sens des pressions contre moi et une voix familière sans pour autant la reconnaître dans un premier temps. On me force à me résoudre à une position qui ne me paraît pas naturelle alors je me débat et puis, bientôt, une sensation désagréable : on me pique.

Je ne comprends pas tout de suite ce qu’il se passe mais rapidement mon corps se détend et je me sens presque planer, la douleur est occultée par la morphine. Ma peau est chaude, mes yeux brûlent alors je les ferme et lorsque je les ouvre à nouveau, demandant à voir ma fille, comprenant enfin où je suis, je tombe sur le visage défait de ma mère. Sa main froide se pose sur mon visage, elle passe un mouchoir sur son visage pour pallier à ses larmes.

J’appelle ma fille et alors les larmes de ma mère redoublent.

« Non, non… non. »

Je refuse de voir la vérité. On a rien besoin de me dire, ma mère n’a pas besoin d’ouvrir la bouche pour que je comprenne le sens de ses larmes. Elle n’est pas heureuse de me voir réveillée. Elle pleure la perte de sa petite fille. Le choc est si grand que je me sens disparaître dans les ténèbres.

Février 2016 – Dans la maison de la famille Alvarez-Ivanov.

Quelque chose en moi s’est brisé ce jour-là. Cela fait aujourd’hui six mois que j’ai vécu l’accident qui a couté la vie à Andrès et Lucìa. Six mois que je vis dans cette maison, aussi vide que moi, dans laquelle je hurle et pleure et où personne ne me répond, pas même ma chienne. Rien. Seul l’écho de ma douleur est là. Je suis assez lâche pour céder aux antidépresseurs, je suis toute seule et je ne veux rien d’autre. Je n’ai pas essayé de faire face, j’ai échoué ici, je ne travaille pas, et si je me suis décidée à reprendre mon boulot c’est pour oublier. Pour oublier que je suis devenue maniaque et à moitié folle, que mes crises de colères, toute seule, sont pénibles à vivre. Pour oublier que j’ai mal, et essayé de mettre de côté ma culpabilité. Si je veux travailler c’est pour tenter d’atténuer la colère qui vibre sous ma peau. Contre moi, contre les dieux, contre le monde. Je passe par la chambre de ma fille, encore intacte. Je n’ai rien touché. Je suis incapable de faire mon deuil, parce qu’un meurtrier ne fait pas ce genre de chose. Je ne m’autorise pas à laisser aller cette peine.
On me dira que c’est la vie qui a voulu ça, qu’elle n’est pas toujours juste. Je répondrais la vie n’a rien à voir là-dedans, ni la malchance. J’essaie encore de comprendre quelle a été mon erreur, que s’est-il passé dans la demi-seconde qui a suffit à tout souffler autour de moi, comme si je me trouvais dans la maison de paille, soumise au grand vent de la mort.

J’ai arrêté de voir tout ceux que je connaissais. Je n’ai plus d’équilibre, plus rien à quoi me raccrocher. Mais je suis là. Ma carte de légiste à la main. Mon badge.

« Alexei Alvarez ».

Celle que je ne serais plus jamais. Je me regarde dans la glace, clipe le badge sur ma chemise, attrape une gélule de médicament et retrousse mes cheveux en une queue de cheval imparfaite. Ma lèvre tremble et je décide de ne pas rester là, ne pas craquer, ne pas pleurer. J’accroche mon masque de froideur sur le visage, attrape mon poing américain, et finit par sortir, affronter le froid de février. Plus rien ne sera pareil désormais.

Wanna know more ?








Caractère



On peut clairement faire la distinction entre ce que j’étais, et ce que je suis. Deux Alexei, complètement différentes. Six mois plus tôt je sentais la vie à l’intérieur de moi. J’aimais rire, profiter de la vie, ma passion m’habitait par ce que, oui j’ai toujours voulu être médecin légiste et que ma détermination, voir mon obstination, m’ont permis de franchir tous les obstacles posés sur ma route. Je suis intelligente, et je travaillais d’arrache-pied. Patiente, endurante, clairement impliquée dans chacun des jours qui composaient ma vie presque parfaite. Quand j’y repense il se peut que j’ai involontairement recrée le tableau de la famille parfaite, malgré quelques ombres : mariage – enfant – chien, il ne manquait plus que le monospace. Il me semble aujourd’hui que la Alexei d’avant avait quelque chose de plus grand, de plus noble. Ouverte, présente, dynamique. La famille est ce qui m’a toujours motivé. Ma fille me rendait meilleure, je travaillais dur pour être la personne qui allait l’inspirer durant sa croissance. Notre situation n’était pas non plus la plus belle, mais nous étions bien et l’Alexei d’avant savait mener les choses, équilibrée, elle menait la barque.

Aujourd’hui, le vide a remplacé la vie qui battait dans mon cœur. La noirceur fait partie de mon quotidien, la platitude et le calme se sont infiltrés dans mes veines. Il me semble être calme, placide, lisse. Je suis devenue froide, sarcastique, et pas le moins du monde intéressé à ce qui se passe en dehors de mon travail. Impliquée dans ce dernier, je suis précise, efficace, analytique. On ne pourra pas me reprocher d’être négligente. Je suis bornée, et presque perfectionniste ce qui fait que je ne laisserais jamais un détail au hasard.
La dynamique qui m’animait avant toute cette merde a laissé place au silence, et je reste bloquée dans un infini mutisme. Rester seule dans cette maison ne m’a pas permit clairement d’aller mieux. Je n’ai jamais ruminé autant. Et en plus de ça j’ai développé un sens du rangement et de l’ordre qui tient de la maniaquerie. Je ne supporte plus un brin de désordre, et mon côté méticuleux s’est développé de manière maladive. D’un autre côté, ce silence éternel cache une réelle angoisse, et une colère que je n’arrive pas à apaiser. Au lieu d’effacer cette rage, de l’étouffer, je l’entretiens inconsciemment me repassant les images de cet accident, m’efforçant dans le miroir de cibler précisément tout ce que je hais chez moi. Cette colère me pousse à des colères incontrôlables, et je sens bien que c’est plus fort que moi. Je ne la contrôle pas. Je sais que quelque chose s’est brisé dans ma tête, et laisse passer toute la fureur que je peux contenir. Parfois j’ai peur de débloquer parce qu’entre ma monomanie du rangement et les colères infondées que je pique, il n’y a rien de vivant. Je vacille entre ces deux extrêmes, incapable de me contrôler, entre la glace et le feu, entre le marteau et l’enclume.
Physique

Alexei a plutôt été gâtée par la vie. En tout cas physiquement parlant. Elle a toujours été très belle, athlétique, et elle a travaillé pour ça, plutôt sportive dès sa jeunesse. Elle a hérité sa beauté de sa russe de mère, immigrée ici avec son père alors qu’Alexei n’était pas encore née. De grandes jambes, de longs bras, un corps fuselé et plutôt mince, la légiste n’a jamais dépassé la taille 38 pour 1m76. Elle aurait presque pu faire mannequin si ses pas ne l’avaient pas guidée en médecine. Jusqu’à il y a six mois encore elle pratiquait le sport, un jogging dès qu’elle le pouvait, avec son chien, pour garder sa ligne, toujours plaire à son mari et simplement apprécier ce qu’elle voit dans le miroir. Elle est donc plutôt musclée sans que ça ait développé vraiment ses épaules et ses cuisses, l’ensemble de sa morphologie semble assez bien équilibrée. Son teint plutôt ensoleillé ne rappelle pas toujours les plaines blanches de sa mère-patrie la Russie, mais dans ses yeux clairs on peut distinguer les larges étendues glacées. Ce sont peut-être ses yeux verts qui ont charmé Andrès, son mari. Ou peut-être la douceur de ses mains faites pour glisser sur les corps pâles, envahis par la mort. Bien des gens loueront la beauté d’Alexei, ceux qui la connaissent vraiment parleront de l’intelligence et de la douleur qui se cache dans ses yeux.
Relations

Aujourd’hui, Alexei est une huitre, fermée à toute expérience relationnelle. Si vous l’aviez connue quelques mois plutôt, vous auriez rencontré une femme dynamique, charmante, drôle et même taquine sur les bords. Alexei a perdu la vie en même temps que son mari et sa fille. Plus aucune passion ne l’habite, aucun éclat de vie. Elle ne vit que pour ses patients (et non pas clients) et c’est d’ailleurs bienheureux qu’ils ne lui répondent pas. Ses relations sont donc actuellement à sens unique, à part discuter avec les membres des hôpitaux, son chien et ses cadavres, Alexei ne discute qu’avec elle-même. Quelque chose débloque, dans sa tête, depuis que le visage de sa fille mutilé hante ses nuits. La peur et le mutisme font partie de son quotidien et il n’est pas rare de se faire envoyer balader et, quand elle est bavarde : se prendre une petite réflexion bien sarcastique. Affronter les barrières qu’elle a posé entre elle et le monde, c’est pas une partie de plaisir, et elle s’arrangera toujours pour vous mettre des bâtons dans les roues.
La brune reste cependant attentive si on arrive à capter son attention. Si on ne lui cherche pas trop d’ennuis, il se peut qu’elle soit plus douce qu’amère, mais c’est rare. La colère la ronge et parfois elle n’arrive pas à faire le pas. Après la mort de ses deux êtres aimés, elle a cessé toute relation avec ses amis actuels. Même sa mère n’arrive plus à lui tirer un mot. Seul son père sait peut-être entendre la voix franche de sa fille alors qu’elle se mure derrière un océan de glace. En bref il ne sera pas facile de nouer des liens extra-professionnels avec Alexei, elle ne va plus vers le monde depuis qu’un chauffard lui a retiré les deux amours de sa vie.
Définition du paradis pour le personnage

Le paradis pour Alexei, présentement, ce serait de retrouver sa fille, son mari. Les deux lui manquent avec affront, et la nuit elle les retrouve mais dans d’innombrables cauchemars. Même si parfois Andrès lui a mené la vie dure, si elle a du cautionner des choses que sa propre mère a du faire pour son mari, c’est-à-dire mentir à la justice, elle donnerait n’importe quoi pour le retrouver. La chair de sa chair à disparu et son paradis, c’était elle, sa petite fille, et c’est dans son regard qu’elle trouvait ce qu’on qualifie d’Eden. Aujourd’hui elle n’en voit plus une trace et se contente de vivre son enfer avec épuisement.
Point faible du personnage

Des points faibles, Alexei peut les compter et sa main suffit. Parler de sa fille, émettre un commentaire sur elle ou sa vie d’avant avec son mari est un mot de trop et elle peut très vite partir dans d’incroyables colères. Parce que c’est ça, la faille : la rage. C’est ce qui la bouffe et qu’elle essaie de faire disparaître sans succès. Si vous voulez l’énerver, il faut également jouer sur le côté maniaque qu’elle développe presque sans s’en rendre compte. Changez son réveil de dix minutes, bousculez le rangement de ses dossiers, entachez sa précision et vous la verrez à nouveau se lancer dans ses élans caractériels. Sa relation avec deux gangs différents russe par ses parents, espagnol par son mari décédée, est également un point d’ancrage pour celui qui voudrait enquêter sur elle.
Point fort du personnage

Alexei a une vive intelligence,  un esprit d’analyse critique assez développé et une mémoire d’éléphant. Son côté scientifique et précis fait de cette femme un élément rapide et efficace, qui frappe fort et juste. Sa détermination fait qu’elle ne laissera jamais un détail au hasard. Elle a plus de points faibles que de points forts ces derniers temps parce qu’elle se laisse submerger par la peine et les antidépresseurs. Elle peut néanmoins se vanter d’avoir eu de brillantes études et d’exercer le métier qu’elle a, apriori, toujours voulu faire. Encore faut-il qu’elle s’y remette.
La plus grande honte du personnage

Sa plus grande honte aura d’avoir été au volant de la voiture qui a tué Andrès et Luz, de n’avoir su éviter la bagnole d’en face et d’être la responsable de la mort de son homme et son enfant. Si aujourd’hui elle consomme un peu plus d’anti-dépresseurs c’est bien à cause de ça. Jusque là elle avait vécu une vie simple, à croire que la vie l’avait trop gâtée jusque-là puisqu’elle est condamnée à porter ce fardeau jusque la fin de sa vie désormais.
Casier judiciaire

Officiellement — Rien, blanche comme neige.
Officieusement — réception de malfrat, complicité : reliée familialement à des associations de malfaiteurs. Passes de drogues. Dissimulation de preuves. Bien sûr contre son gré.
BLABLABLA


Behind the screen...


Prénom ou pseudo Hanne, ou Bonnie. Ouais ouais.
Âge 21 baby.
Où avez-vous connu le forum Je cherchais un autre forum où m’éclater et paf. Et Erika m’a soudoyé.
Connexion Une note ? 100% canon *out*, non je sais pas 5/7 maybe. Don’t really know.
Code du règlement
Spoiler:
Exemple de RP Bout de rp d'une ancienne ébauche d'une Alexis sur un forum qui a coulé très, trop rapidement. Je vous laisse juger.  Lovelove
Spoiler:
Célébrité sur l'avatar Olga Kurylenko. C’est pas moi c’est Erika !
Multicompte(s) Nop !
Un dernier truc à dire ? J’ai lâchement craqué… Miw. Venez dans mon harem !


Dernière édition par Alexei J. Ivanov le Mar 24 Fév - 16:26, édité 6 fois
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Erika Stojanović
Admin - I don't cross the line
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MessageSujet: Re: That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx   That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx I_icon_minitimeDim 22 Fév - 21:52

Azy on dirait que j'ai soudoyé Mère Thérésa dit comme ça :big:

Bon beh bienvenue hein! Si t'as des questions, tu te débrouilles.
Contente de vous revoir en tout cas :viens:
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MessageSujet: Re: That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx   That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx I_icon_minitimeDim 22 Fév - 21:53

Bienvenue par ici alors !
En espérant que tu t'amuses. Smile

Bon courage pour ta fiche. Smile
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Alexei J. Ivanov


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Mais je SUIS Mère Thérésa ! *out*

Merci à toutes les deux !
J'espère aussi Lovelove
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Erika a bien choisi ...pour une fois Razz

Bienvenue officiellement ici! Amuse toi bien parmi nous.
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Ahaha "pour une fois ?" :big:
Merci *bave* Lovelove
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Bienvenue ! o/ sacrée Erika Razz
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Merci ! Very Happy
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Bienvenue sur TDS, bon courage pour ta fiche ^^
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MessageSujet: Re: That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx   That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx I_icon_minitimeDim 22 Fév - 22:59

Oh trop chouuuuu *fond* Il nous faudra un lien *passe déjà commande*

Bienvenue ♥ (même si on c'est déjà vu)
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MessageSujet: Re: That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx   That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx I_icon_minitimeLun 23 Fév - 0:08

Merci Anja ! Lovelove
Avec plaisir mademoiselle la blanche colombe hahaha, et merci !

Je suis pas trop fière de ce début de fiche, c'est franchement pas fameux mais bon… plus que le caractère, l'histoire et le test rp ! Comment ça c'est énorme *out*

*s'en retourne dans son harem*  :bave:

EDIT : j'aurais des questions à poser à propos des gangs, je ne sais pas trop à qui m'adresser. Je n'ai pas cru voir un gang d'espagnols ( auquel appartenait son mari ). Elle aime se compliquer la vie. Bref, à qui dois-je m'adresser les roudoudous ? Lovelove :pyra:
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MessageSujet: Re: That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx   That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx I_icon_minitimeLun 23 Fév - 1:46

J'aime bien les harems :biais:

Pour ce qui est des gangs, à ce que je sache, il n'y en a aucun gang d'espagnol sur le forum. Donc, tu peux toujours poser des questions, mais je pense que tu peux être assez libre sur ce que tu veux faire.

Bienvenue sur le forum et bonne continuation pour ta fiche ! :crétin: :étoile:
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Superrrrrr !!! merci Lovelove Je me remets en route What a Face
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MessageSujet: Re: That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx   That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx I_icon_minitimeLun 23 Fév - 22:45

TERMINÉ YEAH ! *out*
DANS MON HAREM NOW What a Face

Bon sans déconner, c'est pas génial, j'ai trop la honte ! Mais bon c'est fait je me rattraperais en RP si j'ai le droit :3 A plus les chatons, si vous avez besoin je suis disponible au 3615bonnasse *out*

/me retourne dans son harem

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MessageSujet: Re: That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx   That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx I_icon_minitimeMar 24 Fév - 2:28

That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx Tumblr_mgg75dAwGW1rkl2tuo1_500
Bravo !

Tu es une future victime de la Fatalité

Son harem, c'est pour changer ses idées ?
Pauvre Alexis, en espérant que tout s'arrange pour elle et pour le mieux. Bien que je n'aime pas du tout son "citoyenne" pour le moment What a Face
Bon jeu :crétin:

En tant que nouvelle victime potentielle, tu peux maintenant faire ta fiche de liens, de sujets, recenser ton métier, comprendre le système de points, voter pour le forum, lire les frappes pour te mettre dans le bain, et te rendre sur cette page où d'autres liens pourront t'être utiles.

Bon jeu parmi nous et n'oublie pas : Personne n'est maître de son destin !

Fatalité
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MessageSujet: Re: That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx   That old saying, how you always hurt the one you love, well, it works both ways. — Alx I_icon_minitimeMar 24 Fév - 12:02

Merciiii What a Face
Bien sur que c'est pour se changer les idées et si tu veux je t'offre une place What a Face *out*
Merci pour cette validation hyper rapide O.O

Lovelove
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