Sujet: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 10:36
Leandre Ridgway-Knight
« Que toute loi soit claire, uniforme et précise : L'interpréter, c'est presque toujours la corrompre. » Voltaire
Dernière édition par Leandre Ridgway-Knight le Jeu 3 Sep - 15:24, édité 1 fois
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 10:38
|| Identité du personnage ||
SURNAME : Ridgway-Knight FIRST NAME : Leandre Aaron SEX : M DATE OF BIRTH : 11.09.1973 PLACE OF BIRTH : Sacramento (California)
#016558 : Leandre Ridgway-Knight. Loading...
« A seulement trente cinq ans, Leandre a déjà représenté la Loi et l'Ordre sous plus de vingt insignes différents. Combattif, performant et juste, il fût pressenti pour intégrer la FBI Academy à l'âge de vingt sept ans, offre qu'il déclina. Quoi que cette opportunité fût réitérée trois fois sur une période de cinq ans, il conserva les rangs auxquels il avait été affecté. [...] Ayant travaillé en collaboration avec le S.W.A.T., la C.I.A. et le Pentagone pour des besoins d'anti-terrorisme, ses performances les plus spectaculaires furent néamoins répertoriées entre la ville de Sacramento et de Portland. Durant ses détachements pour le service anti-drogues ou la répression du crime organisé, il fût appelé à investir les villes de New-York, Chicago, Atlanta, Phoenix, Detroit et Los Angeles. Haut représentant de la réussite policière sur l'activité criminelle, Leandre est un élément d'une rare efficacité n'ayant pas encore été mené au sommet de son potentiel concret. [...] Son dossier est encore en attente d'une réponse de sa part au sujet d'une intégration à la base de Quantico, base du FBI. »
Commander Gerard O'Fearley ● Brigade Criminelle de Portland
« L'agent, et lieutenant, Ridgway-Knight, est à lui seul une arme de destruction massive. [...] Incontrôlable, anarchiste, arrogante et orgueilleux, il est le type même de l'électron libre policier, un justicier absolument indépendant, sans lois ni limites, et donc particulièrement dangereux, pour lui-même comme pour autrui. Sujet à des crises de violence à partance d'une patience restreinte et d'un tempérament colérique, il s'agit d'un élément inadmissible dans un service, quel qu'il soit, sous la bannière étoilée. Déjà passible, et passé, devant des cours de justice, martiale comprise, l'agent Ridgway-Knight n'est, en soi, pas qualifié pour représenté la Loi ou l'Ordre dans aucune ville des États-Unis ou d'ailleurs. [...] Destructeur et aux pratiques peu conventionnelles, voire carrément illégales, il ne peut être qu'une honte pour la nation qu'il prétend défendre. Quelles qu'aient été ses qualités premières, dont l'existence seule laisse planer un doute, il n'est à ce jour rien de moins qu'un énième criminel laissé aux rues. »
Captain Julian McKwell ● Brigade Criminelle, Service Anti-Gangs de Detroit
« Leandre Ridgway-Knight est, à ce jour, l'un des représentants policiers les plus controversés de son service. Après une étude psychologique approfondi, l'on remarque néanmoins que cette situation inconfortable ne fait que décupler sa motivation et son efficacité. Autant l'on peut attendre d'un psychotique narcissique qu'il se caractérise par son discours désinvolte et méprisant à l'égard de l'avis d'autrui, autant le Lt. Ridgway-Knight se définit comme un opportuniste et un justicier. [...] S'il explique son attitude par une nécessité, la plus étonnante découverte à faire sur sa personnalité et son comportement reste la manière dont il définit sa violence : la violence n'est pas une fin, c'est un moyen. [...] Leandre n'a rien d'un individu perturbé, malade psychologiquement parlant ou déviant. Sa singularité, et sa dangerosité, s'applique là où il a décidé de résorber un problème que les moyens habituels n'ont pu réduire à néant. Quoi qu'il doive nécessairement exister, quelque part, un élément perturbateur ayant réussi à faire de lui un être violent, et gratuit bien des fois, son refus parfait et soigné d'en discuter, et de ne pas même en mentionner l'existence, fait de lui un individu intelligent, mais surtout rationnel. [...] Psychologiquement parlant, Leandre est capable, et même disposé, à exercer sa fonction de représentant de l'Ordre. »
Doctor Ellen Callaghan ● Expert Psychiatre
« Leandre n'est pas quelqu'un de mauvais, mais quelqu'un ayant la ferme conviction que le Mal et le Bien n'ont plus de raison d'être dans le monde de chaos qu'il voit grandir et mourir au jour le jour. Trempé depuis l'enfance dans un univers d'insécurité, de gratuité et d'anarchie, il est particulièrement convaincu que le seul moyen de répondre au Mal, c'est par ses propres armes. [...] Il se caractérise souvent comme le trop peu d'audacieux capables de voir la vérité en face, principalement bâtie sur la nécessité de réagir au surplus de violence envahissant les rues. Leandre est véritablement quelqu'un de dévoué à la cause qu'il défend, de juste, et de prêt à se sacrifier pour un semblant de sécurité et de justice supplémentaire, mais il outre-passe ses droits et n'hésite pas à se compromettre pour parvenir à ses fins. [...] Il pense sauvegarder son intégrité en restant encore et toujours fidèle à lui-même, en défiant une hiérarchie prétendument corrompue et en constatant sa place dans plusieurs services policiers différents sans jamais avoir été dégradé ; Leandre ne pense pas être un héros, au contraire, il pense être l'un des derniers policiers de son pays à exercer correctement son métier, au mépris même, s'il le faut, des conventions qui consistent, dixit lui-même, à attendre de voir son partenaire se faire descendre pour obtenir le droit de risposter... vainement. [...] Beaucoup ont témoigné de ses faits de violence, d'autres encore de ses faits de réussite, mais que l'on soit d'accord ou non avec ses pratiques, il faut, au moins, lui reconnaître que son efficacité, étendue à toute une unité, est particulièrement bénéfique au secteur sur lequel il opère. »
Agent Addison Ridgway-Knight, née Beckett ● Liaison Los Angeles-Washington
Dernière édition par Leandre Ridgway-Knight le Jeu 3 Sep - 10:43, édité 3 fois
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 10:39
« Ayant été affranchis du péché, Vous êtes devenus esclaves de la justice. » Épître de Paul aux Romains
Le blanc aseptisé de la salle d’interrogatoire commençait à lui donner la nausée. Comme chaque fois que son environnement se convertissait à l’immaculé, Leandre sentait défaillir tant sa volonté que sa superbe. Cette couleur, sombre en son cœur, faisait rejaillir des souvenirs insoutenables qu’il aurait préféré s’ôter d’une main ensanglantée plutôt que de les subir encore, et encore, jusqu’à ce que mort s’en suive. En se massant les tempes, il revint aux profondeurs abyssales de sa réalité puisque les menottes entravant ses poignets continuèrent de lui lacérer la peau, déjà rouge vif. « Putain. » Quelques fois, ses absences semblaient lui porter un lourd préjudice, mais, présentement, la seule chose qu’il parvenait à oublier, et grand bien lui faisait, n’était que le fait d’être, encore une fois, passé de l’autre côté des barreaux, d’être, encore une fois, le criminel, l’accusé, le parjure et l’injure à l’insigne qu’il portait. Mais les sermons, toujours, ne l’effrayaient pas, et la seule chose qui l’obsédait encore alors était de savoir s’il serait rentré chez lui pour le coucher du soleil, ou pour son lever. La porte, qu’il avait déjà noté blindée rien qu’au bruit grinçant, s’ouvrit et laissa pénétrer une silhouette qu’il supposa féminine à ses contours subtils et presque lascifs. Mais surtout familiers. S’il ne pouvait voir la nature réelle de son visiteur, c’était à cause du projecteur que le sergent l’ayant conduit ici avait braqué sur son visage. Néanmoins, la démarche était caractéristique, la respiration irrégulière, et cette ombre si coutumière, si prévisible. Même s’il s’était laissé envahir d’un doute quelques secondes, sa certitude vint beaucoup plus rapidement encore. « Addison. »
Elle tira la chaise devant elle et s’installa en face de Leandre. Ses doigts fins et soignés approchèrent de l’interrupteur et éteignirent le projecteur. Cette nouvelle luminosité, accommodée au blanc, lui fût plus douloureux encore. Néanmoins, au bout de quelques instants, sa rétine parvint à distinguer formes et couleurs, en dehors d’un petit point blanc en son centre. Et il distingua aisément le visage d’Addison. Le visage de sa femme. « Quelque part, tu as respecté ta parole, Leandre… ce n’est pas au parloir que nous nous retrouvons. » En dépits du ton ironique dont elle usa sans réellement le laisser entendre, Leandre eut un petit sourire, entre suffisance et réel amusement. « J’ai connu des passibles de peine capitale pour moins que cela. » Sa voix était grave, son visage fermé, mais la manière dont elle abordait la question, sans véritable crainte, angoisse ou tristesse, affirma à Leandre qu’il n’avait pas à s’inquiéter du fond plus que de la forme de son propos. « Surtout en passant sous la juridiction fédérale. Il y a des formes de suicide beaucoup plus rapides et beaucoup moins dangereuses pour la vie d’autrui. » Voyant qu’il se bornait à ne pas répondre, elle poussa sur la table un dossier papier. Elle l’ouvrit, tourna quelques pages, dont deux où figuraient des portraits de Leandre, et retira une seule et unique feuille qu’elle fit glisser entre ses doigts. Son regard en parcourut les lignes, mais il savait qu’elle connaissait déjà, par cœur, chaque mot ainsi transcrit noir sur blanc. Pourtant, il l’écouta. « Séquestration, tortures… » Leandre ne souriait plus depuis longtemps, et il intervint même. « Je ne l’ai pas séquestré. » Cela dit, Addison ne manqua pas non plus de répartie prompte et subversive : « Parce que tu crois vraiment que c’est le chef d’accusation le plus grave ? » La manière dont elle avait soudainement haussé la voix et le fait qu’elle se soit imperceptiblement levée de sa chaise trahissait un état proche de la colère, mais surtout fondu avec la déception. Elle s’inquiétait pour lui également, elle n’avait jamais cessé de s’inquiéter.
Après cet élan, elle le fixa en toute neutralité, ce qu’il lui rendit. Le silence régna un très long moment. Et cet instant, Leandre ne le passa pas à sonder Addison, mais à la détailler. Son visage, la manière dont elle était coiffée - les cheveux relâchés, les vêtements qu’elle portait, le badge de visiteur sur sa veste, et surtout la bague qu’elle portait à son annulaire gauche, anneau d’or, qu’elle glissa sous la table en surprenant son regard. Elle était toujours aussi belle, elle était toujours aussi sienne, et pourtant.
« Ils considèrent que si je m’en occupe, il y aurait conflit d’intérêts. » Leandre releva le visage afin de croiser le regard d’Addison. « Il y a conflit d’intérêts. » Elle sembla le dévisager un long moment après cela, comme s’il avait tenté de la provoquer en parlant de la sorte. Elle finit par prendre sur elle, et fit glisser la feuille qu’elle avait en mains sur la table, jusqu’à ce que Leandre puisse la prendre de lui-même. Pourtant, la raison pour laquelle il agit de la sorte fût seulement que, dans cette réaction, il put effleurer la main d’Addison alors qu’elle lui remettait cette page. Elle releva la tête pour heurter son regard, mais ne se déroba pas. Ce fût lui qui rompit leur lien en baissant les yeux sur le rapport de police, qui spécifiait la manière dont il avait obtenu des informations compromettantes au sujet d’un groupe néo-nazis et de leurs pratiques dans la banlieue de Seattle. Il fût perturbé dans sa lecture par le bruit de la chaise raclant le sol. Il observa finalement Addison se relever et le fixer de son regard d’ambre, innocent mais incendiaire, absolument déroutant pour son cœur d’homme aimant. Il ne dit rien, pas plus qu’elle, mais Addison se permit de faire le tour de la table, de s’approcher de lui, et de venir déposer un baiser à la commissure des lèvres de Leandre. Il ferma les yeux, savoura, comme elle, cet instant volé d’Éternité. Mais quand elle tenta de se redresser, il la retint au poignet, se redressa légèrement mais suffisamment pour l’embrasser de sa bouche contre la sienne, savourant ce goût raffiné et presque oublié de sa langue sur ses lèvres.
Leur échange fût interrompu par l’entrée d’un nouvel homme, potentiellement agent lui aussi. Addison se réserva au silence, comme prise pour une faute, mais Leandre pressa son poignet, comme un signe de tendresse qu’eux seuls pourraient comprendre. Conflit d’intérêts, il y avait, si bien qu’elle n’avait rien à perdre à l’embrasser de la sorte. Ou plutôt l’inverse. Cependant, cette entrée suffit à la jeune femme pour se défaire de l’étreinte de Leandre et se diriger vers la porte. Quand elle la referma, ce fût le visage de Leandre qui changea du tout au tour ; autant semblait-il serein, et presque vulnérable, quelques secondes avant, autant son regard exprima soudainement la volonté d’un soldat à l’approcha du combat quand il se retourna vers son nouvel interlocuteur fédéral.
« Avez-vous un lien de parenté avec le criminel, et tueur en série, Gary Ridgway* ? » Arquant un sourcil, Leandre fût à la fois surpris et curieux d’une telle question. Mais l’indicible se témoigna dans son regard, dont les pupilles se rétractèrent soudainement. Déposant ses mains, lourdement harnachées, sur la table, il répondit avec neutralité : « Oui, ça se pourrait. » Cette réponse n’aurait convenu à aucun policier, comme à aucun agent, et ce fût sans surprise que la question tombera comme un couperet. « Avez-vous, oui ou non, un lien de parenté avec Gary Leon Ridgway ? » Leandre n’avait aucune envie d’en discuter. Absolument aucune envie. « Oui. » Et il ne fût pas au bout de ses peines, sans comprendre où devaient les mener ces questions. « Pouvez-vous spécifier la nature de ce lien ? » Dévisageant un instant son interlocuteur, celui-ci ne semblait pas le moins du monde heurté par une telle attention et une telle intensité. Il patienta. Par défi, mais également par intégrité, Leandre lui donna satisfaction. « Je l’ignore. Ma mère aurait été l’amante de Thomas Edward Ridgway, le frère cadet de Gary Ridgway. Mais les troubles histoires de cette famille rendent indiscernables la manière par laquelle j’ai été enfanté… et surtout par lequel de ces enfants de salaud. » En complétant sa réponse, Leandre s’était avancé sur la table, comme se préparant soudainement à bondir ; et ses mains appuyées sur le bord de la table n’en furent que plus révélatrices d’un dégoût ayant déteint jusqu’à devenir de la haine. L’agent se contenta de l’observer, l’œil neutre.
« Vous avez été élevé dans un orphelinat à Sacramento. Vous aviez pourtant connaissance de l’existence de vos deux parents. » Leandre répartit sereinement. « Non. » Mais l’agent ne le laissa pas se reposer tranquillement sur ce genre de réponses aisées. « Alors comment avez-vous obtenu l’identité de Ridgway-Knight ? » Contrairement à ce que l’on disait, les réponses les plus révélatrices n’étaient pas aussi simples qu’une confirmation ou une négation ; les explications étaient les plus précieuses, sans même parler des argumentaires virant au plaidoyer. « Ma mère m’a abandonné peu après ma naissance en prétextant n’avoir pas les moyens de m’élever seule. Et les dossiers de l’orphelinat spécifiait donc son nom, Amanda Knight. Pour mon père, je ne l’ai appris que bien plus tard, des années même. Quand on m’a prélevé de l’ADN et qu’on l’a croisé aux fichiers fédéraux, je suis parvenu à 90% de correspondance avec le tristement célèbre Gary Ridgway**. Depuis lors, je porte le nom de celui qui est ou mon père ou mon oncle***. »
L’entretien dura en son sens un long moment. L’agent chercha à savoir si c’était cette connivence avec un tueur en série qui l’avait poussé à devenir policier, si c’était le désespoir de ne pouvoir arrêter ce genre de monstres qui l’avait poussé à utiliser des pratiques aussi barbares que la torture dans un cadre policier. Il poursuivit sur son enfance, sur de potentiels sévices qu’il aurait subis à l’orphelinat, des traumatismes, des expériences, et cita nombre des fugues qu’en effet Leandre réalisa au cours de ces années. Des semaines dans la rue, des mois, sans aides aucune, de nulle part. En remontant jusqu’à l’adolescence, ils retracèrent ensemble les violences, la drogue, et cette volonté pourtant insubmersible de s’en sortir. Son entrée dans l’armée, son entrée à l’école de police, la brigade de la délinquance, criminelle, le S.W.AT., ses refus d’entrer au F.B.I, y compris sa relation avec l’agent Addison Ridgway-Knight, et si Leandre répondait de si bon gré c’était seulement parce qu’ils savaient que tout cela était déjà inscrit sur son dossier, notamment son dossier fédéral, et que l’agent en question n’ignorait rien de ces faits. Il le testait, tout au plus. Et Leandre n’était pas un être menteur, surtout quand c’était aussi vain que présentement.
« Quelle est la nature de votre relation avec l’agent Addison Ridgway-Knight ? » Leandre se fixa sur lui pendant quelques secondes, un sourire incertain sur le bord des lèvres. « Vous voulez dire, est-ce que je la baise ? » L’agent montra un signe de malaise, absolument furtif mais néanmoins présent. En effet, si Leandre s’était montré calme, coopératif et surtout courtois jusque là, cela semblait fini. C’était simplement le fait d’avoir le sentiment d’être pris pour un naïf qui le fit parler de la sorte, trop conscient que tout était déjà connu des fédéraux. « Quelle en est la nature ? » Inspirant, Leandre répondit docilement cette fois. « Nous sommes mariés. » L’agent acquiesça étrangement de la tête avant de reprendre : « Précisez. » Quoi qu’une réplique cinglante brûla ses lèvres, Leandre se maîtrisa et poursuivit. « Nous nous connaissons depuis six ans. Nous sommes mariés depuis deux. Séparés depuis un. » La répartie fût prévisible et bien sentie. « Aucun divorce ? » Mais Leandre ne se démonta pas. « Aucun. » D’ailleurs, il sembla parvenir au bout de sa patience, légendairement inexistante. « Et je doute que la fréquence à laquelle nous nous fréquentons influence les raisons pour lesquelles je suis potentiellement condamnables devant une cour de justice ? » L’agent crut que Leandre avait fini, tenta de rétorquer, mais fût coupé dans son élan. « Si vous cherchez à évaluer le degré auquel je puis être heureux quand l’on considère la composition de ma famille, choisie ou imposée, vous apprendrez que je suis sûrement l’un d’être ayant le plus de raisons d’être malheureux. Mais l’on s’en moque, et vous le premier. Alors que cherche la CIA ?… qu’on en finisse, et qu’elle cesse de m’emmerder. »
Se levant de son siège, l’agent tourna le dos à Leandre et rejoignit la porte. Inutile de dire que Leandre eut un accès de colère qu’il eut bien du mal à contenir. Ses poings s’abattirent sur la table en fer, mais ce fût la douleur des menottes lacérant ses poignets qui se fit le plus ressentir. Il grimaça à peine et fixa un moment son regard sur la vitre miroir. Il inspira profondément, et tâcha de se rasséréner, mais que les fédéraux aient toujours eu cette faculté à faire perdre du temps vainement l’avait toujours exaspéré. Ou peut être n’avait-il pas voulu l’adopter, tout simplement. Quoi qu’il en soit, il fallu probablement une heure et demi de plus pour qu’il ait de nouveau de la visite.
* En dépits de cette référence réaliste au tueur en série Gary Ridgway, le personnage de Leandre est une œuvre de pure fiction. ** Gary Ridgway fût arrêté en 2001, et confondu par preuves ADN. *** Ce qui n’est pas explicité par le personnage de Leandre ici est qu’il a choisi de corréler le nom de Ridgway à celui de Knight sans y être obligé. La raison n’est pas dévoilée cependant.
Dernière édition par Leandre Ridgway-Knight le Jeu 3 Sep - 15:22, édité 4 fois
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 10:40
« Leandre. » Cette voix familière et féminine perça le silence et Leandre s’aperçut qu’il s’était endormi. Un comble. On connaissait peu de présumés coupables capables de s’endormir en pleine phase d’interrogatoire. Relevant la tête et se massant rapidement le front, il se redressa afin de discerner le visage d’Addison. Elle avait son air typiquement professionnel, et cela ne fût pas complètement pour lui déplaire. Néanmoins, elle le troqua quelques instants seulement pour disséminer une remarque qui eut le don de les faire sourire tous les deux : « Je ne sais pas si tu me baisais avant, mais maintenant il est certain que ça n’arrivera plus. » Elle secoua vaguement la tête dans son sourire si magnifique, et vint s’asseoir. Le dossier avait disparu. Elle déposa une pochette de couleur rouge sur la table, qu’elle ouvrit et dont elle sortit un nombre de clichés pour le moins conséquents. Pour autant qu’il sache, aucun de ces visages ne lui dit rien et ce fût la raison pour laquelle il releva la tête et croisa le regard d’Addison, afin de l’interroger en silence.
« Quand était-ce la dernière fois que tu t’es rendu à New York ? » La scrutant avec méfiance, Leandre ne répondit que du bout des lèvres : « Facilement sept ou huit ans. » Elle arqua un sourcil et il sentit que sa répartie n’allait pas lui plaire. « Six ans et demi, en fait. » Ravalant sa question, il préféra ne pas savoir d’abord comment elle le savait et ensuite pourquoi elle lui avait posé la question alors qu’elle avait visiblement tous les éléments. Le plus agaçant était qu’elle se comportait comme tous les agents fédéraux, comportement qu’il avait en horreur. « Ce sont tous des criminels de plus ou moins grande ampleur ; tu as des voleurs, des violeurs, des trafiquants, des assassins, et beaucoup d’autres activités illégales en tout genre. Bref, tu as le tout New York. » Ne cernant pas bien où elle voulait en venir, il lui demanda des explications, ce qu’elle lui fournit quelques secondes ensuite en lui précisant qu’il n’aurait eu qu’à attendre un peu pour qu’elle lui dise tout ce qu’il avait à savoir. Elle lui expliqua donc que l’entretien qu’il venait de passer avec l’agent Elliot Sienfield, nom dont il venait seulement de prendre connaissance, n’était destiné qu’à éviter une enquête interne et à passer outre les difficultés administratives qui devaient engager des poursuites. Ce n’était pas la première fois que les fédéraux passaient outre ses manières absolument condamnables, mais cela révéla surtout à Leandre que l’on attendait de lui qu’il continue à appliquer ses méthodes pour le compte d’intérêts fédéraux, si ce n’est gouvernementaux. D’ailleurs, pour lui parler de New York depuis Los Angeles, c’était qu’il n’était pas juste question d’une petite mutation. Leandre se montra attentif, quoi que suspicieux.
« Je n’approuve pas, et mes supérieurs n’approuvent pas non plus, tes méthodes barbares, draconiennes et surtout inhumaines, mais les résultats sont là… si Los Angeles ne peut être débarrassée du crime, tu en as réduit près de dix pourcents rien que dans le milieu de la drogue et de la prostitution. » Cela sonna comme un compliment, mais Leandre n’attendait pas de médailles pour la manière dont il agissait. Du point de vue de la Loi, il était un criminel comme un autre, de son point de vue, il agissait avec les rares moyens qu’il possédait encore. Les résultats parlaient, en effet, d’eux-mêmes, qu’importe qu’il faille prendre en compte que ces dix pourcents du crime dans ces domaines comptaient des dizaines ou des centaines d’individus emprisonnés, ou tués. « La CIA ne l’admettre jamais mais tes pratiques sont les mêmes que les leurs, à la différence que tu ne t’en caches pas. Du coup, ils veulent exploiter la fibre du policier anti-héros. Mais tu connais les risques. » Pour avoir déjà travaillé, « pour » et surtout en collaboration avec des agences fédérales, plus spécialement le FBI que la CIA, ou la NSA, Leandre savait qu’il pouvait être éliminé à tout moment. C’était un risque, et il le prenait. Il acquiesça donc. « Je serai la liaison entre ton équipe et Langley. » Leandre l’interrompit. « Mon équipe ? » Elle soupira à demi. « Oui. En tant que lieutenant, tu es habilité à diriger des hommes et… tu connais les résultats. » Leandre préféra ne pas relever, et surtout ne pas révéler qu’il n’entendait pas agir comme l’espérait la CIA. « Et tu disais que tu assurerais la liaison ? Mais ils acceptent vraiment qu’on travaille ensemble ? » Elle le toisa, l’œil hautain. « Est-ce que ça te pose un problème ? » Il haussa les épaules dans un sourire vaguement malicieux. « Maintenant non, mais quand j’aurais vraiment envie de t’embrasser, ou pire, de te faire l’amour, ça en deviendra sûrement un. » Elle se racla la gorge en rétorquant. « Nous sommes séparés. » Il eut un nouveau sourire malicieux. « On n'embrasse pas un type comme tu l'as fait quand on a vraiment rompu avec lui. » Elle plissa légèrement les yeux, réprouvant ce qu’il venait de dire mais ne rétorqua rien. Son attitude fût soudainement celle d’une femme plus triste et déçue, celle d’une femme contrariée. Ils savaient tous les deux pourquoi.
« Bon, agent Ridgway-Knight, vous m’enlevez ses menottes ou le premier test de la CIA c’est comment être un bon McGyver ? » Elle ne sourit absolument pas, mais Leandre savait pourtant que l’effet recherché était là. « Allez, Addison… » Soudainement, ce fût elle qui eut un sourire malicieux et, entrant dans son jeu, et sans prêter attention à la caméra disposé au coin de la salle, elle fit le tour de la table, écarta doucement Leandre de celle-ci et vint se mettre à cheval sur ses genoux, face contre lui. Ce fût en glissant son index et son majeur collés dans le creux de son cou jusqu’à l’ouverture de sa chemise, qu’elle dévoila l’objet de sa malice. « N’est-ce pas vous, agent Ridgway-Knight, qui vous disiez capable de me faire l’amour en toutes circonstances… y compris pieds et poings liés ? » La phrase décochée, elle eut l’effet du monde dans les entrailles de Leandre qui déglutit difficilement. Lui eut un regard pour le miroir en face pour finalement revenir croiser le regard d’Addison. « J’ai dû le dire, oui. » L’admettre fût soudainement facteur d’adrénaline, et ce ne fût seulement que lorsqu’il tendit les lèvres vers la gorge d’Addison, qu’il en sentit la pression retomber. Elle glissa, en effet, son index sur ses lèvres, et se releva dans un sourire plus suffisant et victorieux cette fois que malicieux et taquin. « Eh bien, sachez que vous étiez trop sûr de vous… »
|| En savoir plus ? ||
Définition de l'Enfer pour le personnage : Le problème de l'Enfer, pour Leandre, c'est qu'il a la sensation d'y être né et donc d'y avoir toujours vécu. Il est difficile d'imaginer pouvoir lui ôter davantage encore que ce qui lui a déjà été pris ; il n'a peur ni de la mort, ni de la souffrance, ni même de la prison, et n'a tendances à craindre rien ni personne tout bonnement parce qu'il n'a rien à perdre. En réalité, Leandre est un individu profondément malheureux qui ne possède rien que son devoir, et peut être est-ce le seul moyen que de l'atteindre, lui ôter son job, sa fonction, sa capacité à réagir. Mais là encore, ce n'est pas certain... car même quand, à la fin de son service, il est censé laisser son insigne et son arme de côté, il ne cesse jamais de jouer au représentant de l'Ordre, et de la Justice. Dans ces conditions, on peut toujours supposer que l'Enfer serait pour lui de véritablement lui enlever toute chance de réagir d'une manière, quelle qu'elle soit, de le tenir enfermé et sans possibilité d'agir, d'exister, pour la cause qu'il défend... car l'impuissance, ou son sentiment, reste sa plus grande faiblesse. L'Enfer, pour lui, ce serait peut être cela. Ou, au moins, son semblant.
Définition du Paradis pour le personnage : Refusant catégoriquement, et en bloc, le bonheur sous toutes ses formes, Leandre n'a aucune croyance en le Paradis ou en quelque chose s'y approchant. Au-delà même de Dieu, il croit véritablement à un monde meilleur, alternatif, dans un avenir proche ou lointain, mais pas auquel il pourrait appartenir. Il a le véritable sentiment que tout ce qu'il fait, il le fait pour autrui, l'aidant à construire un monde différent, à résorber ce qui doit l'être, à, finalement, donner un avenir aux personnes qui viendront avec lui, aussi longtemps et aussi bien qu'il le pourra. Leandre n'a jamais apprécié les plaisirs simples de la vie, et n'en connaît pas véritablement le goût ; il a toujours eu pour lui la regrettable faculté de détruire ce qui pourrait composer son bonheur, ou une parcelle de celui-ci. Comme il le répète suffisamment, le bonheur, s'il existe, appartient à ceux qui y croient suffisamment pour le conquérir.
Groupe : L'Autorité
Taux de criminalité et pourquoi : En théorie, Leandre n'est pas un criminel, bien au contraire. Si son taux de criminalité peut flirter avec les 10/100, ce serait bien pour des petits faits d'excès de vitesse, de coups et blessures légers ou d'insultes à agent, et encore. Dans les faits, il atteint aisément les 72, 78/100, pour des raisons de :
Insubordination, Refus d'Obtempérer, Mise en Danger de la Vie d'Autrui, Non-Assistance à Personne en Danger, Homicides Involontaires, Coups et Blessures, Violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner, Actes de barbarie (tortures), Homicide Volontaires, Homicides Volontaires avec Préméditation.
Tous ces chefs d'accusation prennent pour victimes, sans exception, des criminels avérés ou potentiels, relâchés ou sortis de prison, en tentatives de fuite ou pris sur le fait... autant de circonstances dont il se sert pour donner raison à son comportement. En outre, la majeure partie de ces délits ou crimes s'est déroulée sans témoins, ou n'a pas mis au jour suffisamment de preuves pour le condamner. Pour le reste, les services judiciaires ou fédéraux ont fermé les yeux. A noter que ces faits sont décomptés non-officiellement, dans le cadre de son dossier fédéral et parfaitement connus, donc, des services tels que la NSA, la CIA... ou même le FBI.
Dernière édition par Leandre Ridgway-Knight le Jeu 3 Sep - 15:23, édité 2 fois
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 10:40
|| Le joueur et le hors-jeu ||
Pseudo : Nyacure. Age : Multi-centenaires, minimum (syndical). Votre avis sur New York, The Dark Side : Autant je n'accroche pas au design (ça doit être le marron, ça ), autant l'ambiance et le contexte même du forum me plaisent tout à fait. Sans compter que pour développer un personnage comme Leandre, il ne me fallait pas d'un forum d'âmes trop sensibles. Reste à juger de la mentalité des joueurs, et ce sera parfait. Où avez-vous connu le forum ? Un ami d'un ami d'un ami d'un ennemi d'un ami m'a dit que... et moi, je crois les "on dit". Niveau de RP : Ma fiche doit pouvoir en témoigner, je pense, sinon cette variante n'a pas grand intérêt. Exemple de RP : Comme dit ci-dessus, il n'y a qu'ainsi que vous pourrez juger dans la mesure où je n'ai pas remis le RP depuis longtemps ; je n'ai donc aucun exemple sous la main dont vous pourrez vous servir pour m'admettre ou me refuser. Si cela pose véritablement un problème, je peux toujours me soumettre à un test mais, encore une fois, ma fiche devrait faire l'affaire (pour juger, j'entends). Connexion : 7/7 Code du règlement :
Spoiler:
OK by Wii
Avez vous signé le règlement ? : Une fois cette fiche postée, j'irai peut être. Oui, vous avez bien lu, peut être. Célébrité sur l'avatar :Edward Norton, l'incomparable. Multicompte : Aucun qui soit déclaré.
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 11:24
Bienvenue !
Norton, je salue ce plus qu'excellent choix d'avatar, cet acteur est absolument grandiose !
Le code est bon, j'édite
Et si tu signes pas le règlement, on te validera pas
Bref, bon courage pour la suite de ta fiche, très bon choix de musique (je connaissais la musique, mais je savais pas que c'était les Stones, à l'origine Oô En même temps j'écoute pas les Stones --" Aurais-tu trouvé le moyen de me faire écouter ? )
Et pour l'exemple de RP, puisque tu n'en as pas, tu peux toujours écrire un RP avec Leandre que tu utiliseras sur le forum =)
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 11:51
Norton ... Je t'épouse dès que t'es validé !
Bon courage pour la fin de ta fiche j'édite ton code Mister
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 12:03
Bienvenue ^^
Si même la police devient michante, on est plus en sécurité nulle part ! :(
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 12:30
Sa majesté Systol te souhaite la bienvenue sur le forum et - faute de te remercier - te signale qu'elle apprécie dors et déjà ta présence sur le forum =)
* Ta gueule Cash, ta gueule ! *
Très bon début de fiche en tout cas. Avatars, chanson (LV tu sors, Paint it Black c'est un incontournable putain !), choix de présentation ... J'attends de voir la suite.
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 12:38
Maiiiis-euh ! Je connaissais la chanson, mais pas l'artiste de base ! Je savais que c'était pas une voix féminine, à la base, et après, j'ai su que c'était les Stones T___T" (Du coup depuis tout à l'heure j'écoute tout un live des Stones, et j'me rends compte que j'connais quasiment toutes les chansons, mais que je savais pas que c'était des Stones --" Faut que je refasse ma culture musicale >____<")
J'ai hâte de voir ce perso en RP en tous cas, je sens que Leandre va mettre du pep's au Dark Side 8)
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 12:40
Pour ma part je vais serrer les fesses =) Le principal défaut des forces de l'ordre du forum était d'avoir trop de respect pour les lois et des scrupules. On a pas ce problème ici à ce que je vois ...
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 13:02
Il déchire ton perso <33
Bienvenue !!
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 15:25
J'apprécie particulièrement tous ces petits commentaires... en dehors de la grande partie qui consiste à déterminer si Louis-Valentin est, oui ou non, un boulet de renom élevé au grain. Merci à tous, et j'espère que le personnage vous sierra dans sa totalité puisque je viens d'achever sa présentation.
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 15:35
Nianiania, j'suis pas un bouleeeeeeeet XD
*OUT*
Bref, je vais m'atteler à la lecture de ta fiche, et si tout est bon, je te valide En attendant, si c'est pas d'jà fait, tu peux signer le règlement
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 16:19
Moi j'dis... le validez pas, il est trop dangereux On a déjà l'autre Anarchiste sur le dos, n'en rajoutons pas une couche :paix:
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 16:31
Raphael J. Hammond a écrit:
En attendant, si c'est pas d'jà fait, tu peux signer le règlement
Je me disais aussi que j'avais - volontairement - oublié quelque chose. ...je commence déjà à ne pas respecter les règles, mouha.
Pacey C. Kant a écrit:
Moi j'dis... le validez pas, il est trop dangereux On a déjà l'autre Anarchiste sur le dos, n'en rajoutons pas une couche :paix:
Leandre n'est pas dangereux... il est un peu hors-la-loi, un peu partisan de la loi du Talion, un peu "Réglons le mal par le mal", un peu aussi "Un poing vaut mieux que deux tu l'auras" , mais dangereux !... c'est un euphémisme, ça. 8)
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Sujet: Re: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes Jeu 3 Sep - 16:48
Waw, respect, j'ai rarement lu une fiche aussi bien ! Personnage des plus intéressants, vraiment, et un superbe style d'écriture !
Alez, zou, le jeu t'ouvre ses portes, tu peux aller tuer Cash =D XD *OUT*
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Sujet: Leandre Ridgway-Knight • Any Heroes 
Jeu 3 Sep - 10:36
), autant l'ambiance et le contexte même du forum me plaisent tout à fait. Sans compter que pour développer un personnage comme Leandre, il ne me fallait pas d'un forum d'âmes trop sensibles. Reste à juger de la mentalité des joueurs, et ce sera parfait. 
!
, mais dangereux !... c'est un euphémisme, ça. 8)
