▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;

https://www.youtube.com/watch?v=e1D5DrG-Re0

▬ Histoire ;

21 janvier 1988. C'est ce jour-là que je suis venu au monde. Je suis né dans le Bronx, à New York. Je suis de cette classe sociale qui a du mal à vivre, qui trime jour et nuit pour réussir à survivre. Mes parents ont toujours été fabuleux. Malgré leur peu de moyens, ils ont toujours réussi à me combler de leur amour pour faire de moi quelqu'un de bien. Enfin ça, c'était il y a vingt-six ans. Les choses ont tellement évolué depuis. Si je revenais en ce temps, je ne reconnaîtrais même pas ma vie je crois.

Pendant mon enfance, mes parents ont essayés au maximum de me protéger du monde extérieur. Je vivais dans une cité, et qui dit cité dans le Bronx dit forcément problèmes. Et il y en avait un tas de problèmes chez moi. Il y en a toujours d'ailleurs, et quand je regarde ça maintenant, je me dis que mes parents faisaient bien de me protéger. Les sirènes de police retentissaient presque toutes les heures que ce soit pour gérer des bagarres, arrêter des dealers, ou même mettre fin à des guerres de gang. Il m'arrivait quand j'entendais du bruit d'ouvrir un peu mon volet et de regarder ce qu'il se passait en bas de mon immeuble. Ce sont des images qui ont marqué mon enfance.

Au fil des années, je sentais que j'étais de plus en plus attiré par le monde extérieur. Je ne sortais de chez moi que pour aller à l'école quasiment. Et sur ce point, on peut dire que j'étais intelligent. Premier de ma classe sans problème. Je partageais une passion avec mon père : le basket. Sport quasiment élevé au rang de religion dans ce pays, et encore plus ici, dans le Bronx. Pour mon onzième anniversaire, mes parents m'avaient d'ailleurs offert un maillot des New York Knicks. Il s'agissait du maillot de Patrick Ewing, superstar des Knicks de l'époque. Même s'il est trop petit pour moi à présent, je l'ai toujours gardé.

À mon entrée au collège, mes parents se sentirent obligés de me laisser sortir avec mes amis. Tant que je respectais quelques règles qui se résumaient à rentrer avant 20h, ne pas quitter le quartier, et ne pas chercher d'ennuis auprès des plus grands, j'avais le droit de sortir. J'enfilais alors mon maillot de Pat Ewing et rejoignais le playground. On dit que les meilleurs joueurs de basket sont les plus intelligents. En l'occurrence, j'étais vraiment bon. Bien sur je ne jouerais jamais à un niveau plus élevé que ce playground, mais ça me suffisait déjà amplement.

C'est au lycée que ma vie a basculé. Du jour au lendemain, sans prévenir. Je rentrais d'une journée de cours fatigante, et entrant dans l'appartement, je retrouvais ma mère en larme, prise par des sanglots qui ne voulaient cesser. Il me bien fallu une heure avant qu'elle me crache le morceau et me dise qu'elle venait de recevoir un coup de fil. Les autorités venaient de lui apprendre que mon père était mort. Selon la version officielle, il était à la tête d'un énorme réseau de trafic de drogue de New York et avait été tué par un agent en tentant de prendre la fuite. Tout cela n'était pas clair dans ma tête. Si mon père était un trafiquant, pourquoi vivions-nous dans un appartement aussi délabré, avec les moyens que je connaissais. Et pourtant, les autorités étaient claires. Elles avaient des preuves.

Un mois plus tard, je me décidais enfin à ranger les affaires de mon père dans des cartons. Ma mère n'avait pas la force de le faire. Elle ne se rendait même plus au travail. Elle avait sûrement été licenciée depuis. Je triais alors les tiroirs du bureau de mon père et tombais sur un carnet. Je l'ouvrais pour y lire son contenu. Cela ressemblait à un journal dans lequel il marquait les événements importants qui marquaient sa vie. La première date inscrite dans ce carnet était le 21 janvier 1999.

« Nous avons offert un maillot des Knicks à Samuel. Il est fou de joie et ne le quitte plus. La magie existe encore dans ses yeux. J'aimerais qu'elle ne s'éteigne jamais »

J'avais pris conscience à ce moment-là que l'amour que me portait mon père était encore plus grand que je n'aurais jamais pu l'imaginer. Il me manquait tellement. Mais ce que je découvrais ensuite était encore plus important.

« 14 Novembre 2005 : Je les sens de plus en plus proches de moi. J'ai l'impression d'être épié à chaque coin de rue.
19 Novembre 2005 : J'ai reçu un courrier menaçant au travail. Il me demandait de les rejoindre sous peine d'être assassiné.
3 Décembre 2005 : Je deviens parano. Chaque personne autour de moi me semble suspecte. »

Tout était clair à présent. Mon père n'avait jamais été à la tête de ce réseau, il en avait été la victime. On lui avait fait porter le chapeau. Je sortais alors le plus rapidement possible avec le fameux carnet pour me rendre au poste de police le plus proche. On me présenta le commissaire qui c'était chargé de l'enquête. J'étais plein d'espoir. Certes, mon père ne reviendrait pas, mais sa mémoire ne serait plus associée à tout ça. Mais mes espoirs retombèrent bien vite.

« - ça fait 1 mois que ton père est mort et tu ne trouves ça que maintenant ? Avoue plutôt que c'est toi qui l'as écrit pour te sentir mieux. Allez avoue
- Mais enfin ... Ce n'est pas vrai. Mon père est innocent !
- Il ne reviendra pas gamin, c'est fini, arrête d'essayer de le disculper pour rien. »

J'avais insisté un moment, mais en était arrivé à la conclusion que la parole d'une ados n'avait aucun poids, alors même que j'apportais une preuve sur l'innocence de mon père. Je ne comprenais même pas comment légalement, il se refusait à étudier le carnet que je lui présentais. Ce que je n'ai jamais su et que je ne saurais sans doute jamais, c'est que ce commissaire n'était pas blanc comme neige dans cette affaire. Il faisait partie de ce groupe qui avait fait porter le chapeau à mon père et n'avait aucun intérêt à ce que mon père soit disculper.

Je rentrais alors chez moi, à la fois triste et énervé de voir que la police ne faisait rien. L'agent qui avait tiré sur mon père n'avait écopé de rien. On lui avait presque donné une médaille pour service rendu ! Le commissaire m'avait traité comme un gamin refusant d'étudier ma preuve. Mais pour qui se prenait-il ?! N'étaient-ils pas censés faire respecter la loi, mettre en prison les vrais criminels et disculper les innocents ? En passant dans une ruelle proche de chez moi, je passais alors devant une voiture de police. Un peu plus loin, pris de colère, je me saisissais d'un pavé et le lançais de toutes mes forces sur le parre-brise arrière de la voiture. Je suis resté là, quelques secondes. Je haïssais la police. Je ne me mis à courir que quand les flics sortirent de la voiture. Je me mis à courir aussi vite que possible et gagnait même du terrain quand je finis par me retrouver dans un cul-de-sac. Je me rappellerai à tout jamais de cette arrestation. Plaqué contre le mur, les mains dans le dos menottées. Une voiture de police arrivant et l'agent me faisant entrer à l'arrière de la voiture.

Mon comportement changea radicalement ensuite. Je traînais beaucoup plus que ce soit dans ma cité, mais aussi dans le Bronx. Il m'arrivait d'aller faire un tour à Manhattan, et même à Brooklyn ou dans le Queens. J'avais cette envie de connaître cette ville même immense comme ma poche. Bien sur, c'était impossible, mais je voulais connaître un minimum le monde qui m'entourait. J'avais continué mes études et en sortie de lycée, j'avais même réussis à décrocher une bourse pour une grande école d'audiovisuel. J'avais toujours rêvé de pouvoir filmer les matchs des knicks, d'être aux premières loges des rencontres. Mon passé ne devait pas influencer mon avenir. À l'âge de 20 ans, j'étais déjà technicien de l'image. Je me mis alors à enchaîner les petits boulots, sur des tournages un peu partout. Je passais notamment beaucoup de temps à Central Park lieu que les réalisateurs affectionnaient particulièrement. Cela me permettait de mettre pas mal d'argent de côté, et de veiller à ce que ma mère s'en sorte.

Cela dura trois longues années, jusqu'à ce que ma mère décède, renversées par une voiture proche de chez nous. Les souvenirs de mon père revinrent à la surface telle une gifle sur mon visage. J'espérerais que cette fois-ci, les détectives ferraient leur travail et retrouveraient le pourri qui avait pu faire ça. Après plusieurs semaines d'enquête, celle-ci fut classée sans suite. Ne pas retrouver le coupable dans une ville de cette envergure était presque normal, mais après ce qui était arrivé à mon père, je ne pouvais me résigner à me dire qu'encore une fois, le travail n'avait pas été fait. Le jour où l'on m'annonçait ça par téléphone j'avais été pris d'une telle colère que je m'étais rendu au commissariat et m'étais mis à cogner sur tout ceux qui se mettaient en travers de mon chemin. Je n'avais pas été loin avec mon physique de crevette et était resté en garde à vue un long moment. On me laissa alors repartir une fois que j'étais calmé. Du moins, une fois qu'ils le pensaient, car ma haine contre l'autorité commençait seulement à grandir en moi.

Je me devais d'être plus réfléchi pour agir et leur faire payer. Je me mis à travailler d'arrache pied pour mettre de côté le plus d'argent possible, préférant même être payé en liquide, n'hésitant pas à travailler au black. Je m'étais inscrit dans un club de tir où j'avais ma propre arme. Deux ans plus tard, aux cinq ans du meurtre de mon père. Je plaquais tout pour m'embarquer dans une nouvelle vie. Mon nouvel objectif était de rendre fou les forces de l'ordre et la justice qui de mon point de vue était totalement corrompue et ne faisait pas leur travail. Et pour cela, je n'hésiterais pas à tuer. Ils avaient bien tué mon père alors qu'il était innocent ...

En associant mon intelligence, la maîtrise de l'arme à feu que j'avais acquit, mes connaissances en matière de vidéosurveillance et ma haine envers ma cible, je devenais de plus en plus fort. Cela avait commencé par des casses de pare-brises comme je l'avais déjà
fais par le passé, puis des casses directement dans des postes de police. Ma connaissance du quartier me permettait à présent de fuir beaucoup plus facilement. Jusqu'au jour où je fis une erreur et me trouvai à nouveau dans un cul-de-sac, un policier à mes trousses. Sans réfléchir, je sortais mon arme et la pointais sur l'agent.

«- On se calme, ne fais rien d'idiot !
- Vous vous êtes dit ça quand vous avez tiré sur mon père ?
- S'il te plait, j'ai un enfant, il a besoin de moi !
- Moi aussi j'avais besoin d'un père. »

On se rappelle de toutes nos premières fois. Je me rappelle parfaitement de la première fois que j'ai tiré à bout portant sur un homme. Mon doigt sur la gâchette, la balle se logeant de le crâne de ma victime qui tombait alors par terre et se retrouvait dans une mare de sang, le bruit sourd de la détonation. La porte était alors ouverte à de nombreux autres meurtres. Et pour montrer ma colère, j'avais pris pour habitude de signer mon œuvre avec le sang de mes victimes. Mon surnom ? Small Guard. Au début, je voulais signer SG, mes initiales. Je m'étais alors rendu compte qu'il serait alors un peu trop facile de me retrouver. Je m'étais alors rendu compte que SG voulait également dire Small Guard, mon poste de prédilection au basket. Le genre de joueur qui peut tout faire tout seul sur un terrain, comme moi dans la vie. Il m'arrivait aussi à présent de mettre le feu à des bâtiments, en particulier des commissariats. Au début, seulement lorsque je savais que la vie d'un innocent n'était pas en danger. Et puis, la folie et le pouvoir c'était emparé de mon corps. S'il fallait tuer un innocent pour toucher un agent de police, alors je n'avais plus aucun scrupule à le faire. Les incendies que j'allumais pouvais être des bâtiments remplis d'innocents, si les forces de l'ordre s'y trouvaient, ça ne faisait plus aucune différence pour moi. Combattre les autorités n'avait plus aucun prix ...

▬ Relations ;

J'ai du mal à nouer de vraies relations. Depuis que mes parents m'ont quitté, j'ai même cessé de rejoindre mes amis sur le playground de chez moi. Je dirais que les principales relations que j'ai sont des nuits sans lendemains. Je traîne dans un bar, rencontre une fille, nous passons la nuit ensembles et le lendemain elle n'est plus là, et heureusement. Je suis quelqu'un qui agit en solo. Il m'est bien sur arrivé d'avoir quelques relations un peu plus sérieuses, mais j'ai toujours fini par casser de mon plein gré pour me concentrer sur mes objectifs. Sans doute la peur de créer un véritable lien avec quelqu'un. Je préfère alors rester distant avec tout le monde.

▬ Physique ;

Loin du physique de rêve et du stéréotype de l'homme parfait, je suis un jeune homme qui ne manque pas de charme pour autant. Petit puisque je fais 1m71 seulement, aux allures d'intello avec mes cheveux bouclés châtains, je fais craquer les filles grâce à mon joli sourire et mes yeux bleu-gris. Même si mon physique assez atypique semble plaire aux filles, il n'en est  pas de même pour moi. J'ai souvent été complexé par ma petite taille. Il était d'ailleurs assez paradoxal de me voir avec le maillot de Patrick Ewing, « big men » de NBA, alors que j'ai toujours eu ce physique de crevette. D'un point de vue style vestimentaire, je suis quelqu'un qui aime s'habiller avec une certaine classe. Jean et chemise sont mes meilleurs amis. Les lunettes de soleil s'invitent facilement également.

▬ Caractère ;

Mon caractère a beaucoup évolué depuis la mort de mon père, passant par plusieurs stades. Aujourd'hui, plusieurs grands traits me caractérisent. Le premier d'entre eux et celui qui saute le plus rapidement aux yeux est ma froideur. Cette distance que je mets avec les gens se ressent dès les premiers mots. Je ne le contrôle pas vraiment, c'est assez naturel. J'agis facilement sur des coups de tête. Ça, ce n'est pas nouveau, en témoigne mon pavé envoyé dans le pare-brise de la voiture de flic. Cela va avec mon impulsivité et mon peu de patiences. Mon intelligence m'a permis de devenir quelqu'un de dangereux, qui arrive rapidement et facilement à voir où il veut aller et ce qu'il a à faire. J'ai ce petit rire sarcastique que j'aime laisser entendre quand la situation est en ma faveur et que je me sens puissant. En fait, lui aussi est assez naturel. Il faut aussi savoir une chose sur moi. Quand je veux quelque chose, en général, je l'ai. Je ne suis pas du genre à baisser les bras et je suis près à de nombreux sacrifices pour arriver à mes fins. Vous avez dit diabolique ?

Mais sous tous ces airs de grand méchant se cache des traits de caractère bien plus profonds. Avant que ma vie ne bascule, j'étais quelqu'un de bien, qui croyait dur comme fer en la justice. Dans ma tête, il y avait le bien et le mal, et faire partie de cette seconde catégorie me semblait invraisemblable. Je savais donner au moins autant que je ne recevais. Oui, j'étais quelqu'un de très généreux, doux et gentil, qui n'aurait pas fait de mal à une mouche. Même si je sais très bien que je ne redeviendrai jamais cette personne aux yeux de tous, je ne désespère pas de trouver quelqu'un qui saura trouver l'envie de percer cette carapace que je me suis forgée au fil des années, telle une protection contre ce monde un peu fou qui nous entoure.

Le petit garçon très sociable d'il y a vingt ans n'est plus. Il a été remplacé par ce somptueux mélange qui fait de moi la personne que je suis aujourd'hui. Même si cela peut paraître un peu dingue, j'aime ma vie de solitaire, et c'est sans doute ce qui fait que je n'arrive pas à avoir de réelles relations. Je pense que j'ai un peu peur de perdre cette liberté qui m'est si chère.

▬ La plus grande honte du personnage ;

Cela s'est passé lors d'un de mes innombrables meurtres, dans une ruelle sombre de Brooklyn. Je venais de tirer à bout portant sur un agent de police, une femme même pour être précis. J'étais accroupi près du corps et venais de plonger mes doigts dans le sang de ma victime pour signer mes initiales sur la veste de la jeune femme. C'est alors que j'ai senti un regard sur moi. Je relevais alors les yeux et voyais, à quelques mètres, un enfant d'une dizaine d'années me regarder, puis partir en courant. Je n'ai jamais su ce que ce gamin faisait dans la rue à une heure aussi tardive, et je n'en ai parlé à personne tant j'ai honte d'avoir montré ce côté-là de moi à un enfant dont la magie brillait encore au fond des yeux.

▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;

Je crois que me faire arrêter et être jeté en prison serrait pour moi bien plus douloureux que de mourir. Cela reviendrait à dire que mon ennemi a gagné, et donc que de mon côté, j'ai perdu. Si je mourais aussi bien sur, sauf que dans ce cas-là, je ne serrais pas encore en vie pour le voir chaque jour. Passer le reste de mes jours en prisons sous les yeux des gardiens me ferrait forcément péter un plomb.

▬ Définition du paradis pour le personnage ;

Le paradis ? Ce serrait simplement de retrouver ma vie d'avant. Celle où mes parents étaient encore en vie, ou j'étais un passionné de basket, et en particulier des Knicks, et que je me rendais au playground de mon quartier tous les soirs pour voir mes amis. Ma vie où tenir une camera me procurait un plaisir fou, et que je pouvais partager ces moments avec les deux êtres les plus chers à ma vie.

▬ Point faible du personnage ;

Bien qu'attaché à cette partie de moi, ma solitude est mon gros point faible, surtout avec mon physique de crevette. J'ai beau être quelqu'un d'intelligent, il est difficile pour un seul homme de faire face à une armada de policier. C'est pour cette raison que je ne tue en général que quand je suis face à un effectif réduit de policier, et que la pyromanie est quelque chose de courant chez moi, puisque cela me permet de pouvoir anticiper ma fuite. Mais je le sais très bien. Je ne suis jamais à l'abri face à un adversaire intelligent qui arriverait à me coincer avec des renforts.

▬ Point fort du personnage ;

Mon intelligence, sans nul doute. C'est cette faculté qui me permet de pouvoir préparer mes coups et de ne toujours pas avoir été pris par la milice alors que je suis seul et freluquet. C'est ce qui me permet d'anticiper les conséquences de mes actes et d'agir en fonction de cela. C'est pour moi une arme bien plus dangereuse qu'une arme à feu, car utilisée a bon escient, elle peut faire des massacres.

▬ Casier judiciaire ;

Officiellement:
- Atteinte aux forces de l'ordre (casse de pare-brise arrière d'une voiture de police).
- Coup et blessure contre les forces de l'ordre.
Officieusement (sous le pseudonyme "Small Guard").
- Une vingtaine de meurtres, tous contre les autorités.
- Une dizaine d'incendies criminel avec la mort d'innocents dans le lot.

▬ Prénom ou pseudo ; Sonia
▬ Âge ; 20 ans
▬ Où avez-vous connu le forum ; Par Elisabeth Latiolais !
▬ Connexion ; 3/7. ça dépends vraiment des semaines ...
▬ Code du règlement ;

Spoiler:

▬ Exemple de RP ;

Spoiler:

▬ Célébrité sur l'avatar ; Jesse Eisenberg
▬ Multicompte(s) ; /
▬ Un dernier truc à dire ? ; Huuuuuuum ... Je sens qu'on va bien s'éclater ?