| Sujet: Grant • Adam Joshua Grant ? No... it's not me . [ Underco . ] Sam 19 Fév - 0:06 | |
Feat "Steven STRAIT"
(c) Barda Doll |
▬ Nom ; Grant ▬ Prénom(s) ; Adam Joshua ▬ Surnom(s) ;Le Cambrioleur . ▬ Âge ; 28 ans ▬ Nationalité ; Anglais ▬ Groupe ; Les hors-la-loi: I don't care ! ▬ Statut et activité dans la vie ; Cambrioleur. Mais pas un simple cambrioleur. Non, certainement pas. Il est un cambrioleur professionnel. Surtout avec les femmes. Il se fait une fausse identité, drague une femme, a une relation avec elle... lui cambriole ses objets de valeurs et disparaît dans l'obscurité de l'inconnu. ▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuel
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▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; You Don't Know - Eminem, 50 Cent, Cashis et Lloyd Banks .
▬ Histoire ; (40 lignes minimum)
BLABLABLA ▬ Relations ;
Adam est tout d'abord un cambrioleur. Il n'a pas beaucoup de vraies relations. Il aime les femmes tenaces et les hommes qui savent se montrer fort. Les faibles l'irritent et les gens qui s'ouvrent trop facilement l'agace. Il a besoin de personnes à la personnalité forte, des gens qui savent s'affirmer. Les gens faibles ne lui servent qu'à manipuler un peu plus, comme ses victimes: toutes des femmes faibles et naïves... pour la plupart. Grant choisis avec autant de soins ses amis que ses victimes. ▬ Physique ;
▬ Caractère ; (20 lignes minimum)
BLABLABLA ▬ La plus grande honte du personnage ; La seule fois où il a failli gâcher une mission et se faire repérer. La seule fois ou tout a failli être détruit. À cause de lui. Lors d'une mission où il s'était fait une fausse identité et qu'il avait séduit une femme riche... Adam en était tomber amoureux. Fou amoureux, comme si c'était l'amour de sa vie. Il l'aimait profondément. Et au moment de la cambrioler et de la tuer s'il le fallait... il a hésiter, n'a presque pas été capable. Il s'est contenté d'enfermer la femme en question dans son placard, de la séquestré un peu pour qu'elle reste inconsciente quelques heures... et ensuite, seulement après ça, Grant a put lui cambrioler ses affaires... sans un dernier regard désespéré vers la porte de placard où était enfermée la femme en question. Une honte pour le Cambrioleur. Ça le hante chaque jour, ça envahit ses rêves. Il vit avec cela, sans jamais arrêter de penser à cela. À présent, l'homme tente par tous les moyens de ne plus jamais tomber amoureux de ses victimes, pour ne pas revivre une telle situation.
▬ Définition de l'enfer pour le personnage ;
Un monde sans femmes. Un monde sans objets de valeur. Un monde sans cambriolage. Un monde sans lois à défier. Un monde parfait. Voilà ce qui ferait vraiment très peur à Adam... ou l'Enfer selon Adam J. Grant. Un monde trop parfait, trop gentil... ça en serait désagréable. Grant a besoin d'adrénaline, de défier les lois et de femmes pour vivre. Sans tout cela, il n'est rien, la vie n'a aucun sens et aucun but. La perfection est inimaginable et indescriptible, la rendre possible mènerais la race humaine à un Enfer même sur la Terre. Malgré que l'on puisse facilement affirmer que l'Enfer existe déjà sur Terre. Mais bon, cela n'est comparé à l'existence possible et éventuelle qu'une perfection existe quelque part dans ce monde. Sans crimes, il n'y pas d'amusement. Sans amusement, il n'y a pas de motivations. Sans motivations, il n'y a pas de raison de vivre. Sans raisons de vivre, il n'y a plus d'humains. Sans humains... il n'y a plus de Terre. ▬ Définition du paradis pour le personnage ; Le Paradis serait un monde où le danger serait à chaque coin de rue. Le simple fait de tourner un coin de rue pourrait mener à la mort. Le monde ici est trop naïf et gentil pour Adam. Il aurait besoin de plus de meurtriers, de moins de gens faibles et inutiles. Un monde sans gentillesse, un monde sans naïveté. En fait, le Paradis pour Adam J. Grant... se serait l'Enfer au sens propre du terme .
▬ Point faible du personnage ; Son plus grand point faible est souvent les femmes. Certes, il les côtoient tous les jours, mais elles sont tout de même une faiblesse. Lors de ses missions ou lorsqu'il se créer une fausse vie pour cambrioler une femme fiche, certaines femmes l'accrochent plus que d'autres. Il lui est déjà arrivé, une seule fois, de tomber amoureux de la femme qu'il devait charmer pour sa mission. La séparation et le cambriolage fut dur, la mission la plus dure de toute sa vie. Mis à part les femmes... les enfants sont aussi une faiblesse. Quand il séduit une femme qui a un enfant, il est parfois dur pour lui de faire du mal à cet enfant, ce petit être inconscient des dangers du monde, qui vit une incompréhension sans nom en le voyant cambrioler les objets de sa mère. Des faiblesses bien trop fortes pour un homme comme Adam...
▬ Point fort du personnage ; Adam a un masque impassible qu'il arbore toujours sur son visage. Cela lui permet de cacher ses émotions et sentiments, d'être imprévisible. Ça lui apporte souvent des avantages, puisqu'il sait contrôler ses émotions lors des missions difficiles. Grant est habile, fort et athlétique, il n'a aucunes misères à cambrioler de gros objets, à faire des cascades dangereuses pour se sauver ou autre chose. C'est un point fort important dans le monde dans lequel il vit.
▬ Casier judiciaire ; Adam cambriole. Toujours. C'est son métier. Il s'attache faussement à une femme, a une relation avec elle, la manipule, en vient parfois jusqu'à vivre chez elle... et lui cambriole tout chez elle avant de disparaître dans la nuit. Voilà une petite liste de crimes qu'il commet que trop souvent:
- Cambriolages diverses: objets de valeurs, objets sans valeurs, etc... - Fausses identités ( En quantité industrielle ) - Quelques meurtres par-ci, par-là... ▬ Prénom ou pseudo ; Brayan ▬ Âge ; 16 ans ▬ Où avez-vous connu le forum ; Top 50 RPG ▬ Connexion ; 6j/7j ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK by Fitz ▬ Avez vous signé le règlement ; [x]OUI ; [] NON ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
La Nature est toute puissante. Se dressant fièrement, le Vieux Chêne en est la preuve. Malgré Apocalypse, feux de forêt, séismes, et autres horreurs, le Vieux Chêne tenait bon, et n’avait jamais semblé aussi fier. C’était une preuve du temps, immuable, qui grandissait et qui ne changeait jamais, si ce n’était qu’un tout petit peu. Récemment, beaucoup de choses avaient changé sur l’île. Pour Mordréd en tout cas. Il avait passé une nuit merveilleuse auprès de sa bien aimée, Eden, et, quelques jours plus tard, il avait fait quelque chose qu’il n’aurait jamais fait dans d’autres circonstances. Il avait cherché London, l’Hostile, l’avait provoquée. Il avait été chercher la bagarre, et il l’avait trouvée, mieux que quiconque. Il n’était pas construit comme un homme particulièrement violent ou barbare. Mais dans son esprit, la rage qui l’animait devait être suffisante pour punir celle qui avait blessé son Eden, sa belle, son ange et son amour. Mais il avait déchu. Il était tombé de son piédestal, de si haut ! Il était tombé, lorsque London le poussa dans les flammes du feu de camps. Il était tombé, face la première dans les douleurs de la brûlure et la morsure des griffes enflammées, dans la langue délicate du feu, l’élément le plus destructeur de l’île. Et tout ça, simplement parce qu’il n’eut pas été assez conscient de ses éléments. Comment il survécut à une telle expérience ? Parce qu’après l’avoir jeté au gouffre de la mort, London l’en avait tiré. Mais pas suffisamment vite pour que les dommages soient minimes. Depuis, Mordréd errait, incapable de se décider de se montrer, éhonté de son visage, de ses cheveux brûlés. Il avait abandonné Eden à elle, car il avait fait une erreur, et, l’image du rêve parfait qu’il avait eu avec elle s’était soudainement rompu. A ses yeux.
Cela devait faire quoi ? Deux mois ? Sa blessure avait plus ou moins cicatrisé, mais la plaie restait rouge et marquée. N’importe qui qui l’observerait verrait qu’il avait été brûlé. Mais il portait moins de stigmates qu’il ne l’aurait pensé. En effet, ses cheveux d’ébène avaient recouvert une partie de la blessure, et avaient repris une longueur à peu près acceptable. La plaie la plus brutale, la plus violente, la plus sanguinolente restait celle à la gorge. Il était brûlé de telle façon que, s’il était resté encore plus longtemps dans les flammes, il aurait probablement eu les cordes vocales à nu. Mais, ses mains, ses bras, portaient aussi des stigmates de brûlures. Son bronzage – certes, pas très marqué – faisait la différence entre la nouvelle peau, blanche comme les nuages, et sa peau non brûlée, légèrement plus foncée. Mais le fait d’être resté à l’écart durant une telle période lui flétrissait le cœur. Il ne voyait plus Eden, et il se mourrait se faisant. Il voulait la voir, il devait aller la voir. Mais il devrait lui faire face, lui montrer ce qu’il avait subit pour elle. Et il savait qu’elle l’interpréterait comme un acte têtu, et comme une preuve d’amour. Mais ce n’était pas ça qui le gênait. C’était le fait que London l’ait battu. Jusqu’à présent, il n’avait jamais été réellement dominé par les Hostiles. Roosevelt lui avait, certes, lacéré le bras de façon totalement barbare, mais c’était parce qu’il avait joué avec elle, et DONC il avait accepté le traitement barbare. Fenner était son ami, Azazel pareillement. Alors ? Et bien, London lui avait remis les pieds sur terre, et de quelle façon !
Dans ses yeux, le reflet du chêne brillait. Il était debout là depuis plusieurs heures, stoïque, parfaitement immobile. Le soleil était apparu derrière des nuages, mais s’était caché à nouveau, comme timide de révéler l’apparence de Mordréd. Ce fut à ce moment là que l’irlandais entendit des pas. Il ne se retourna pas, parce que le mouvement de sa tête lui faisait mal à la gorge, encore pas tout à fait cicatrisée. Mais surtout, parce qu’il était complètement perdu dans la contemplation de ce géant de verdure, comme une déité à part entière qui le toisait. Et il trouvait ça terriblement injuste. Il finit éventuellement par ôter ses yeux du chêne lorsqu’il vit la silhouette arriver dans son champ de vision. Et, lorsqu’il comprit que c’était Eden, il baissa le regard comme un enfant prêt à être puni. Comme il le faisait lorsqu’il avait déçu son père et qu’il attendait les coups de ceinture dans le dos. Il baissa la tête, et en faisant cela, esquissa une grimace de douleur. Plier le cou lui faisait mal à sa brûlure. Et, dans sa tête, en ce moment précis, le rêve d’une vie avec Eden vacillait en cendres. Incapable de se reconstruire. Ils avaient vécu tellement de choses. Et, pour une chose : ils avaient tous les deux souffert aux mains de London. Seulement, Eden le savait-elle ? Est-ce qu’un autre survivant lui avait expliqué POURQUOI Mordréd se tenait à l’écart ? Ou London s’en vantait-elle d’une façon ou d’une autre ? Etant resté en parfaite autarcie le temps de guérir un peu, Mordréd n’en savait absolument rien. Pour lui, Eden venait rompre définitivement. Et il l’acceptait pleinement. Il s’y soumettait. Sans broncher. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Steven Strait ▬ Multicompte(s) ; Nope . ▬ Un dernier truc à dire ? ; J'espère bien m'intégrer parmi vous =) !
Dernière édition par Adam J. Grant le Sam 19 Fév - 19:02, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: Grant • Adam Joshua Grant ? No... it's not me . [ Underco . ] Sam 19 Fév - 1:51 | |
Maiis, non, je suis pas torduuue ! Je suis juste différente ! Je proteste, ce sont des calomnies !
*se fait embarquer par les hommes en blanc avant de polluer la fiche* |
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