| Sujet: [EN COURS] Where Is My Mind. Mer 13 Fév - 23:43 | |
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Bordel insondable. Sous mon crâne c'est l'anarchie. Le désordre complet où se mêlent multiple personnalités. La solitude se dissout, rongée par l'acide de ces voix. Perdu dans les abysses de mon cortex, je ne me souviens plus de qui je suis. La vérité s'entremêle, s’emmêle avec le mensonge et déforme la logique d'un monde utopique. Elles disent que je suis Clyde Portugas Hellz. Que j'ai eu 38 ans le mois dernier, à cette même date. Il paraît que je suis né d'un père et d'une mère, quelque part en Irlande. Ce n'est que simple supposition, à l'époque, elles n'étaient pas là pour le voir. Quant à mes désirs sexuels, ils dépendent de qui je suis. Peu importe, un trou c'est un trou. Personnellement, mon côté masochiste pencherait en faveur des hommes. Tout est relatif cela dit. Mon royaume est l'enfer puant des rues dégueulasses de la grosse pomme. Je m'y lave. J'y pisse. J'y mange. J'y bosse en tendant ma main espérant quelques dollars pour me payer une dose. En manque il m'arrive de faire absolument n'importe quoi pour offrir à ma veine l'aiguille de ses fantasmes.
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ; (L'utilisation d'un lecteur exportable n'est pas obligatoire, vous pouvez aussi nous citer le nom de l'artiste et celui de la chanson qui, selon vous, conviendrait bien à votre personnage.)
BLABLABLA ▬ Histoire ; (En 1,200 mots minimum, pensez à ce que le caractère de votre personnage ressorte dans le récit, qu'il ne s'agisse pas d'une histoire qui ne nous apprend rien sur la façon d'être actuelle du perso.)
BLABLABLA Wanna know more ? ▬ La plus grande honte du personnage ; (En 60 mots minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
BLABLABLA ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
BLABLABLA ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
BLABLABLA ▬ Point faible du personnage ; (En 60 mots minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
BLABLABLA ▬ Point fort du personnage ; (En 60 mots minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
BLABLABLA ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.)
BLABLABLA Behind the screen... ▬ Prénom ou pseudo ; Emeline. Chupa-Chups. ▬ Âge ; 21 ans. ▬ Où avez-vous connu le forum ; J'sais plus trop. ▬ Connexion ; 7/7 ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
Cherchez l'ensemble de 3 mots qui ne sont pas à leur place dans les phrases du règlement. Cette épreuve ne devrait s'avérer longue et fastidieuse que pour les tricheurs qui n'ont pas lu attentivement ... :p ▬ Avez vous signé le règlement ; []OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Feu contre glace. Voilà à quoi se résume notre guerre. Les deux parties s'affrontent dans une guerre veine. Sans victoire. Ni défaite. Lorsque l'un gagne un peu de terrain, l'autre s'empresse de grignoter cette avantage pour en faire sien. Dans un perpétuel combat. Je ne me souviens même plus de quand tout ça a commencé. Certainement le jour même où mon regard de braise à transpercer ses pupilles gelées dans un éternel masque de froideur. Où pour la première fois que nos corps se sont entrechoqués dans une union parfaite et destructrice pour ne faire qu'une seule et même personne à deux visages. Radicalement opposées et pourtant, complémentaires. Rien ne lie pourtant c'est deux éléments contraires. Mais qui au final, s'assemblent en une seule et même nature: L'eau. Nous sommes un océan perdu aux abîmes sombres. Les profondeurs de notre monde sont insondables et imprévisibles. Un tourbillon ne vous prévient pas avant de vous emporter avec lui. Et ce, même si vous savez que le ciel qui s’obscurcit, que les vagues s'agitent. La tempête est là, mais malgré tout, vous luttez toujours pour votre survie. Toujours garder la tête hors de l'eau. Sauf qu'en ce moment, à force de la garder en dessous, j'allais pas tarder à voir des branchies se dessiner sur mon torse.
Le bout de ses doigts qui se perdent dans mes cheveux bruns me donnent le sensation de se perdre aussi dans mon âme. Comme s'il était capable de la toucher aussi nettement que ma chevelure. D'un toucher délicat. Pur. Doux. Une chaleur agréable émane de mon corps, caresse le sien tant elle est immense. Si large, que la pièce devient soudainement lourde. Même dans le noir, lumières éteintes, je vois clairement chacun de ses traits parfaits. Des moindres détails de ses tatouages pour les avoir contemplés des milliers de fois. Je dessine ses courbes pour les avoirs parcourus pendant de longues années d'errance. Il n'avait jamais était aussi beau et désirable que ce soir là. Mon corps entier s'enflamme au moindre effleurement. Se cambre lorsque ses lèvres se posent contre mon épiderme sensible à son souffle. Un appel à s'écorcher les ailes sans se poser aucune question. Il n'était plus question de sexe, de remords ou de haine. Mais simplement de nous. Les barrières se dissipent. Disparaissent. Elles n'avaient jamais réellement existé. On se l'était nous même imaginé. Crée pour rendre cet instant si éphémère, unique et précieux. Je ferme les yeux, blotti contre son torse. Les pulsations de mon cœur se calment, rassurés. Posés. Le silence s'était imposé, non pas comme une gêne, mais comme une évidence. Simplement pour mettre en avant, ô combien, ça pouvait être bon de se retrouver. Nos langues ne se délient pas, certes, mais c'est notre corps entier qui parle pour elles. Par une respiration. Un regard. Un geste. Un simple battement de cœur fébrile. Je pénètre dans son crâne au moment même où il en fait de même. Au creux de ce qui fait de nous des êtres humains. Nos sentiments. Je le laisse violer la moindre de mes pensées sans aucune restriction. De mes craintes à mon amour pour lui. Tout y passe. Totalement. Entièrement nu devant lui. « Calme toi. » Docile, j'encercle mes jambes autour de son bassin, n'autorisant même pas l'air de nous séparer de cette un union. Je ne pense plus au reste. Sa peau contre la mienne absorbe toute trace de pensées négatives. Tout comme les positives. Il n'y a que l'instant présent. Pas même les futurs minutes qui vont s'écouler. Tout est flou. Mais si limpide. Deux contraires qui deviennent nuances. Alors que mon poids tombe lourdement sur les draps, j'ai plutôt l'impression de tomber sur un lit de coton. Sur un nuage vaporeux mais qui fait rebondir légèrement mon corps délicatement. Mes jambes s'écartent légèrement, mes bras aussi, pour mieux l'accueillir contre moi.
« Déteste moi. » Un sourire indescriptible illumine mon visage. Un petit tas de sentiments fumants, qui au final, me donne un air de quelqu'un totalement perdu dans un monde heureux. Bercé dans ses propres illusions. Dans une bulle hermétique. Comme un jardin secret. Une vérité que je refusais encore de dévoiler à mon mari. Une part resté secrète. Mais bien vite dissipée lorsqu'il la brise de ses lèvres interdites. J'y goûte sans aucune pudeur. Les apprends encore une fois par cœur. Sans jamais me lasser de cette poésie dont le final diffère à chaque fois, et me fait ressentir une nouvelle vague de chaleur. Tandis que ma langue s'accroche obstinément à la sienne, il finit par s'y détacher pour parcourir ma peau. Sous ma poitrine qu'il dévore de sa bouche, ses dents, sa langue, ses doigts, mon cœur palpite ardemment. Après une longue période de silence, la passion la submerge. Inattendue. Exquise. Insatiable. Mes reins se creusent sous l'envie impérieuse que mon bas ventre fait remonter en mon être. Un besoin urgent. Une envie si pressante, que douloureuse, de le sentir entièrement en moi. « Déteste moi. » Sans même réfléchir, je brise mon mutisme d'une voix suppliante que me procure ses caresses et d'une fatalité sûre d'elle que mon cerveau accepte de décrypter en cet instant. « Jamais. Jamais. Jamais... » Ma voix s’amenuise au fil des mots répétés inlassablement, jusqu'à se perdre dans les méandres d'un murmure sourd. Alors qu'il descend plus bas sans même que je ne m'en suis rendu compte, je sens ses mains sur mon sexe déjà attentif. Toujours attentif au moindre touché. Voir même regard qu'il me lance. Surpris, je manque de peu de lui lâcher quelque chose comme : Si t'es pas certain de toi, c'est pas grave. Avant d'enfermer cette phrase dans ma gorge aussitôt. Et si encore une fois, il faisait marche arrière en me laissant sur une frustration insoutenable ? Si sous mon nez, ce rail de coke parfait se faisait la malle ? Je serais incapable de me retenir. Surtout pas après ça. Et merde. Le doute insinue encore. Véritable poison qui fait remonter avec lui la jalousie et la possession. Je redeviens animal. Seulement quelques minutes. Au contact de sa bouche contre mon sexe, tout s'écroule. Comme un vieux bâtiment à l'abandon qu'on détruit pour un reconstruire un plus solide. Les murs moisis tombent avec un soulagement qu'on attendait depuis longtemps. Tant pis s'il devait s'arrêter maintenant. S'il en était pas encore capable, je ferais avec. Du moment qu'il était avec moi. « Oh putain, Jack ! C'est bon ! » Mon ton si expressif termine par achever toute angoisse, ne laissant place qu'au plaisir de sa salive chaude qui parcours mon intimité si durcit par la plaisir. Elle est tellement tendue que si mon mari retire ses lèvres à ce moment là, elle deviendra qu'une source de souffrance et de frustration. Mon corps à l'agonie se cambre. Le plaisir grimpe tellement rapidement, que j'ai du mal à le freiner. C'était comme si j'étais un puceau qui, après des années à attendre, venait enfin de se faire tailler sa première pipe. Parfaite. Jouissive. Démesurée. Je découvre sa gorge serrée avec une sensualité, une luxure absolue. Le plaisir à l'état brut. Réel. Destructeur. Passionné. Mes doigts empoignent fermement les draps tandis que des mes lèvres ne retiennent plus des gémissement. Ou des cris. « Encore. T'arrête pas ! » La seule chose qui me retient de crier à en faire exploser tout ce qui se trouve en verre dans le périmètre de l'appartement, c'est ma gorge nouée sous ses vas et viens langoureux. J'ai l'impression d'avoir des orgasmes les uns après les autres sans pour autant éjaculer. Je m'interdisait de le faire. Même si l'envie était pressant. Je voulais le sentir en moi. Entièrement. Qu'il me pénètre encore et encore. Mon corps se relâche enfin lorsqu'il décolle sa bouche. La route de ses lèvres jusqu'aux miennes me paraît atrocement longue, si bien que, je me sens obligé de l'aider à remonter pour y goûter plus vite. Sa queue caresse la mienne dans un mouvement de bassin érotique qui ne fait qu'accentuer mon désir. Alors que je pense celui-ci à son maximum. Implorant. Il ne cesse pourtant encore de prendre de l'altitude. Tout comme moi qui me retrouver à des milliers de mètres en hauteur. Je peine à respirer normalement. La seule différence est que le sommet où je me trouve est fait de lave en fusion. Je transpire. Mon corps suinte d'un désir intense. Jack qui ne cesse que d'alimenter le feu sans le laisser s'embraser. Contenu dans un minuscule bocal étouffant. Mon regard s'accroche au sien pour y deviner la moindre émotion qui l'abrite. Je fond. Littéralement. Je meurs sans relâche. La mort n'a jamais été aussi bille et attrayante. J'en encore envie de cesser de respirer avant même d'avoir repris une dose d'air. « Tu veux toujours de moi ? » Aucun battement de son cœur ne m'échappe. De son rythme à la mélodie qu'il chante. De son timbre. De sa voix. De son irrégularité si délicate. Mon bassin se lèvre pour se frotter une ultime fois au sien tandis que je lui lance un regard à l'agonie. « Prends-moi. J'en peux plus là. J'vais crever si t'attends encore une seconde de plus. Merde Jack. Je t'en supplie. » Je ne me rends même plus compte de ce que je dis. Dans un état second. C'est pas limite si je le regarde comme si il était prêt à me torturer et que je le suppliais de m'achever maintenant.
Trop impatient pour attendre qu'il se décide. Ou peut-être pour ne pas lui donner l'occasion de reculer que j'écarte un peu plus jambes. Mes mains se posent sur ses fesses, tandis que je soulève mon bassin encore un peu. Et je l'attire lentement en moi d'une pression impérieuse contre ses cuisses. Sans la moindre difficulté malgré l'absence de lubrifiant, son sexe se retrouve plongé profondément en moi. Naturellement. Sans forcer. J'explose. J'implose. Mes ongles s'enfoncent dans sa peau avec violence. Mon corps était une bombe à retardement. Le décompte venait d'afficher zéro. Il s'arrêtait. Tout comme le temps. Ma bouche vient chercher la sienne dans un baiser d'abord tendre, mais qui devient vite tout aussi violent qu'il n'est passionné. Pendant un moment qui me semble être une éternité, mon mari ne bouge pas. Immobile entre mes cuisses. Alors que je mets fin à ce baiser, mon bassin réclame sa dose. Il se soulève, se contracte pour le sentir aller et venir contre lui. Fiévreusement, j'entame des vas et viens urgents. Pressants. Tellement désirés qu'ils sont une jouissance à eux seuls. Entièrement à lui, mon corps se cambre pour le sentir toujours plus profond. Mes dent s'accrochent, mordillent, ses lèvres, son cou, ses lobes. Ma langue parcours son épiderme avec délice. Aucun tabou, pendant ces trop courtes minutes où j'explore des positions. Des endroits de l'appartement. Des objets. Des caresses. Des baisers. Des mots. Ils s'échappent avant même que j'en comprenne le sens. Ou seulement bien après. Tout comme, à quatre pattes, il me pénètre de nouveau, enchaînant des coups de reins. Je ne retiens pas un : « Plus vite. DEFONCE-MOI. » entre deux gémissements. Comme un ordre qu'il y aille plus vite et plus fort. Jusqu'à ce qu'il s'épuise de fatigue. Qu'il soit incapable de tenir debout après ça. Qu'il nourrisse mon appétit de lui, pourtant insatiable.
Mes lèvres se glissent au creux de son cou pour accompagner son orgasme. Sa bouche est volontairement laissée de côté pour entendre le moindre son de celle-ci alors que je le sens venir en moi comme une fatalité. Un faible je t'aime, et je me fais violence pour me détacher de lui. Nous redevenons deux personnes distinctes.
Je me relaisse tomber entre les draps humides de transpiration. Sur le côté, ma tête sur ma main, j'observe mon mari dans la pénombre. Écoute son souffle haletant. Regarde sa poitrine se calmer lentement. Du bout des doigts, je parcours son visage, puis son cou, et son torse. Pour le simple plaisir d'un toucher fragile. De le sentir tout de même proche. Mon cerveau se reconnecte. A mesure qu'il retrouve ses facultés, je brise le silence. « C'était une femme ? » Ma voix est loin d'être froide. Ni énervée. Simplement remplie d'une profonde tristesse et d’amertume. Même après ça, Jack n'allait pas y échapper. « T'as mis une capote ? » L’interrogatoire continu avant même qu'il est eu le temps de répondre. Sans réellement attendre un réponse. Je les connaissaient déjà. Douloureusement. Je vais même jusqu'à l'embrasser pour lui montrer que cette fois-ci ce n'était pas de la haine que je voulais. Non, mais une discussion de couple normal. Mettre les choses au point. « Pourquoi t'as voulu un enfant avec elle ? » D'ailleurs je me rends compte que Jasper hurle. Certainement depuis des heures. J'en avais oublié sa présence. Je serre les dents et fini par me lever pour enfiler un boxer. « Va le nourrir. Il va crever de faim. Ensuite, si tu peux prendre une douche froide. J'aimerais bien que tu te souvienne le lendemain. » Comme quoi, c'est pas une partie de baiser, aussi magique soit-elle qui effacera d'un coup de baguette magique. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Johnny Depp. ▬ Multicompte(s) ; Non. ▬ Un dernier truc à dire ? ; BLABLABLA
Dernière édition par Clyde P. Hellz le Jeu 14 Fév - 12:50, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: [EN COURS] Where Is My Mind. Mer 13 Fév - 23:56 | |
Bienvenue parmi nous N'hésite pas à t'adresser au staff si tu as des questions et c'est en effet un excellent choix d'avatar que tu nous as fait là ! <3 |
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| Sujet: Re: [EN COURS] Where Is My Mind. Jeu 14 Fév - 0:30 | |
Oh, DEPP. Quel délicieux choix d'avatar Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche! |
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| Sujet: Re: [EN COURS] Where Is My Mind. Jeu 14 Fév - 7:33 | |
Mon dieu, ça va être tellement, tellement étrange (mais du coup je ne peux que saluer le choix d'avatar ) Bienvenue. |
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Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
| Sujet: Re: [EN COURS] Where Is My Mind. Jeu 14 Fév - 11:13 | |
Bienvenue à NY ! Bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: [EN COURS] Where Is My Mind. Jeu 14 Fév - 12:29 | |
J'ai joué cet avatar ici pendant plus de deux ans, tu sais, la vieille nostalgie. J'ai pas l'habitude encore -> (MAIS. Très curieuse de voir ce que nous réserve ton personnage ) |
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| Sujet: Re: [EN COURS] Where Is My Mind. Jeu 14 Fév - 12:31 | |
Hahahaha. Ça va te faire étrange en effet. J'espère ne pas trop approcher du personnage que tu as pu faire. Même si je vois Depp dans un style de personnage spécifique -> |
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| Sujet: Re: [EN COURS] Where Is My Mind. Jeu 14 Fév - 12:33 | |
Bah, on a une gueule de torturé ou on ne l'a pas. |
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| Sujet: Re: [EN COURS] Where Is My Mind. Jeu 14 Fév - 15:51 | |
- Aidan C. Caulfield a écrit:
- Mon dieu, ça va être tellement, tellement étrange (mais du coup je ne peux que saluer le choix d'avatar )
+10 Et bienvenue chez les fous m'sieur ! |
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