| Sujet: [en cours] Natalia ▬ j'rêve de prendre un flingue et de gueuler :« ET MAINTENANT CA VA CHIER ! » Dim 3 Mar - 8:46 | |
Identity Card Feat "Kristen Bell"(c) Schizophrenic |
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Once upon a time... ▬ Une chanson pour commencer cette présentation ? ;
Pourquoi pas Stronger de Kanye West.
▬ Histoire ;
- Spoiler:
enfance
Tout commença le 5 janvier 1986 autrement dit ma naissance. Un jour banal et comme les autres dans la ville de San Diego. Ce jour-là, le temps était plutôt plaisant par rapport à la normale : doux et agréable. Je n'ai jamais vraiment su si j'étais voulue de la part de mes parents, mais je peux vous dire qu'ils avaient très peur de mon arrivée. Peur, parce qu'ils ne savaient pas à quoi s'attendre lorsque l'on met un bébé au monde. Il est vrai qu'à ce moment-là, ils n'ont pas vraiment réfléchis aux conséquences de leurs actes. C'est ça quand on est jeune. Ma mère avait 17 ans et mon père 19 ans. Ces âges ne sont pas conseillés pour être parent je vous l'accorde. Ces deux jeunes américains se sont rencontrés au lycée. Ça était le coup de foudre dès le début, comme on dit. Par la suite, ma mère tomba enceinte, lors des fêtes. C'est seulement au bout de trois semaines qu'elle s'en est rendu compte. Ils ne me voyaient pas comme une erreur, mais comme un défi et ils ne le savaient pas encore, mais j'étais leur premier et dernier enfant. Une fois ma venue au monde c'est ce qu'il ont pu constater ; la venue d'un bébé change effectivement beaucoup de choses dans un jeune couple. Alors il fallait agir et vite. C'est décidé ma mère arrête ses études pour s'occuper de moi. Mon père la suit. Étant devenu responsable de sa famille, il n'a pas traîner à trouver un job. Mais il n'a fait qu'être embauché par mon grand-père ce qui est tout à fait normal. Et ainsi, il a pu avoir un salaire convenable pour subvenir à nos besoins. Ils étaient peut-être jeunes, mais ils ont vite appris à être mature et adulte. Après ça, tout c'est fait très vite ; ils ont emménagés ensemble, ils se sont mariés et ont su à peu près remonter la pente. Cela a était assez facile, parce que leurs parents ont étaient compréhensifs et les ont aidés. En ce qui me concerne, je ne pense pas leurs avoir causés de soucis. Je n'étais qu'une gamine stable à cette époque. J'aurais aimé que ça dure, par contre.
adolescence
Vous savez ce que c'est quand on est adolescente ? C'est là où on se rebelle, là où on a les hormones qui travaillent et là où on s'imagine vraiment de tout et de n'importe quoi. Et bien voilà le genre d'ado que j'étais, mais en bien pire... J'étais la sale gosse qui sombrait dans la délinquance. Mais cela ne tenait rien qu'à moi, parce que du côté de mes parents, tout allait à merveille ! Pour ainsi dire, mon père succédait à l'entreprise de mon grand-père devenant ainsi, l'un des plus grands et jeunes PDG de la ville et pour ma mère, elle avait trouvé un emploi honnête dans une banque. J'avais des parents friqués, mais moi ce qui m'intéressait, c'était d'être la fille la plus populaire du collège et pour y arriver, j'étais prête à tout. On me disait de voler un jeu vidéo, je le faisais. On me disait de braquer une vieille pour avoir son sac à main, je le faisais. Et à chaque fois que je me faisais choper, je finissais au commissariat. Je me souviens que ma réplique était : « Je m'en fous de ce que vous pouvez me dire, mes parents vont arriver dans pas longtemps de toute façon. ». Mes parents arrangeaient mes bêtises en continu et ce pendant des années. Mon père a pensé à un moment à m'envoyer en pension, le temps de me calmer. Mais ma mère ne voulait pas me voir partir. Malgré tout ce que je pouvais lui faire subir, elle m'aimait. Leur couple a commencé à en compatir. Vers mes 15 ans, mon père en a eu marre. Il a alors commencé à me frapper pour me faire comprendre mes actes. Et quand je dis "frapper", je pèse mes mots. En fait ça dépendait de son humeur. Des fois c'était de simples bonnes claques à de gros coups de poings. Au fond il avait peur pour sa réputation surtout. Malgré les coups que je recevais de sa part, j'avais cette voix au fond de moi qui me disais de continuer. J'étais plus moi-même. À vrai dire, je ne sais pas ce que je devenais. Quoi qu'il en soit, c'est ce que j'ai décidé de faire. À cette période, j'étais lycéenne. Mais là j'étais une des lycéenne les plus populaires du bahut. J'étais enfin ce que je voulais depuis toujours. Je me souviens qu'un fameux soir, je voulais faire quelque chose de grand. Alors, avec trois de mes amis, j'ai attendu la nuit pour pouvoir taguer les murs du lycée. Un bel et grand tag apparaissait sur un de ses murs. Mais juste après ça, j'ai commencé à regretter. Je pensais à ce que mon père allait me faire et, j'en ai eu peur. Je voulais fuguer pour ne pas l'affronter, mais c'est ma mère qui me préoccupait le plus à cet instant parce que je savais qu'elle allait prendre ma défense. En effet, pendant ces derniers mois, elle a commencé à intervenir et à se mettre entre nous. Je n'étais pas du tout un ange, mais elle en avait assez. Mais pourquoi elle faisait ça ? Pourquoi elle prenait tous ces risques pour moi ? Parce que j'étais sa fille, elle disait. Donc elle se faisait frapper à ma place. Sauf qu'elle, dès la première gifle, elle eu le courage de se plaindre et de porter plainte. Elle a commencé à avouer tout ce qu'il nous avait fait ces dernières années et elle profita pour divorcer. Tout allait en sa faveur et mon père en pris alors pour trois ans de prison. Quel soulagement pour nous. Mais quelque part au fond de moi, je me sentais coupable. Ma conscience commença à me jouer des tours, mais ma mère était là. Elle disait que ce n'était pas de ma faute. Qu'il avait changé bien avant. Elle était si convaincante que j'ai finis par la croire et à passer à autre chose. Ma mère avait une soeur bourgeoise qui habitait quelque part à New York. Son mari, étant dans la marine, était quasi absent ce qui lui laissa une villa vide. Et proposa donc à ma mère de nous héberger le temps qu'on voulait. Qu'est-ce que je l'adorais ! Une vraie crème cette femme ! C'était une occasion de faire le point et de commencer une nouvelle vie pour nous. Et ça me permettait pour moi de passer du bon côté.
près-adulte
Heureusement que j'avais à mes côtés quand même. Elle qui m'a toujours soutenu et aidé dans ces moments difficiles. On arrive à New York. J'étais toute contente de savoir que j'allais y vivre. C'est New York quoi ! Pour une gamine de 15 ans, c'est un rêve qui se réalise ! Une fois arrivées à bon port, ma tante nous accueille à bras ouvert. J'avais l'impression d'être dans un autre monde. Nous étions passées d'un extrème à l'autre. Une fois près de ma tante, nous avons su nous faire une nouvelle vie. J'allais à un nouveau lycée, j'avais de nouveaux amis. Et ce changement de vie m'a permis également de changer ma vision des choses. L'envie de faire des conneries autour de moi m'était passée, j'ai envie de dire. Et je me suis jurée à cet instant précis, que plus tard, j'aurais un boulot honnête. Que je serais quelqu'un de bien. Et avec mon passé, j'ai voulu faire des études pour un travail important que j'ai toujours admiré. Je savais ce que je voulais faire. Je voulais devenir flic. Ma mère était si fière que je me promettais un tel avenir. Je m'en suis donc donnée les moyens et j'ai travaillé comme une folle pour y arriver. C'est vrai, j'ai toujours aimé faire respecter les choses. Tout allait pour le mieux jusqu'à l'incarcération de mon père touchait à sa fin. Qu'est-ce que je flippais. J'avais peur qu'il vienne à New York pour recommencer. Mais ma mère, encore une fois, confirma mes doutes en me disant qu'il ne savait pas où nous nous trouvions. Puis il n'avait pas le droit de nous approcher. Elle s'était reconstruite notamment avec une nouvelle personne tout à fait adorable dans sa vie. Elle avait enfin reprit goût à l'amour. Qu'est-ce que je pouvais être contente pour elle. À mes 21 ans j'étais majeur. Mais j'avais fini mon parcours scolaire comme prévu pour rentrer à l'école de police. Cette période m'a était riche en émotions, je dois l'avouer. J'ai pu rencontrer des personnes formidables. J'ai aussi eu ma première vraie histoire sérieuse. C'est normal en même temps. C'est une période clé pour chaque flic. Les années ont filées et les grades aussi. J'étais un bon élément parce que j'aimais ce que je faisais. J'avais l'esprit tranquille parce que mon père était bien sorti de ma vie. Cinq années ont passées et j'ai pris de l'assurance, de la maturité et du caractère. Je suis fière de ce que je suis devenue.
▬ Relations ;
Natalia apprécie les personnes qui ont la même vision des choses qu'elle. Puis surtout elle aime cotoyer les personnes vraies, authentiques. Car elle déteste les superficiels, les faux-culs, etc.. Donc c'est ce à quoi ses proches s'en tiennent avec elle s'ils veulent bien s'entendre avec. Il est vrai qu'il faut être bête pour avoir la belle italienne comme ennemie ! Concernant ses histoires de coeur, c'est pareil, ce n'est pas compliqué. Il faut être clair avec elle dès le début, parce qu'elle n'aime pas qu'on se fiche d'elle. Du genre femme fatale, elle n'hésite pas à se rebeller pour se faire comprendre même si c'est avec un homme ! La jeune femme a du caractère et n'hésite pas à le faire savoir dans tous les cas.
▬ Physique ;
Elle, son physique, elle en prend le plus grand soin. Pas dans le sens à mettre ses atouts plus qu'en valeur ou de passer dix heures dans la salle de bain le matin, mais plutôt à garder la ligne en mangeant sain ou à se défouler dans une salle de gym et d'ailleurs ça se voit ! D'une allure sportive, la jeune italienne a un corps légèrement musclé de façon à avoir un galbe de rêve. Car il est vrai que Natalia a toujours voulu avoir ce physique et s'est donné les moyens d'y arriver ! Maintenant elle peut vivre sans complexe de son corps, ce qui n'a pas toujours été le cas..
▬ Caractère ;
- Spoiler:
Natalia n'est ni méchante, ni violente mais ce qu'on peut apprécier chez elle, c'est sa franchise. N'étant pas du genre à tourner autour du pot quand il s'agit de dire la vérité ou sa façon de penser à quelqu'un elle ne cherche pas, elle y va franco. Pas question d'arrogance ou autres avec elle, c'est juste que la jeune italienne ne se laisse pas marcher sur les pieds. Sinon on lui dit assez souvent qu'elle a un grand sens de l'humour. C'est vrai qu'elle a toujours eu ce côté joyeux que tout le monde aime. Et c'est tellement évident que quand les personnes qui la connaissent bien la voient calme et sérieuse, ils lui reprochent d'être trop pensive ou d'être de mauvaise humeur alors que c'est faux ! Ouverte et sociable, Natalia aime apprendre de nouvelles choses. Elle qui trouve ça très intéressant et enrichissant de découvrir de nouveaux horizons et de se lancer dans l'inconnu. S'intégrer dans un nouveau univers est quelque chose d'inné pour elle étant de nature diplomate. Pour être honnête, elle n'est pas du genre à se prendre la tête pour rien. La vie est bien trop courte pour ça. Mais quand la jeune femme est énervée ou stressée, elle est très nerveuse. Agressive et odieuse. Ça ne lui ressemble pas du tout, mais disons que c'est sur le coup, ça ne se contrôle pas. Peut-être est-ce à cause de son passé ? Parfois quand l'envie se fait ressentir, Natalia veut absolument contrôler quelque chose, avoir du pouvoir sur les autres pour dire souvent ce que les autres doivent faire. C'est ce besoin constant de vouloir toujours "gagner". Puis pour ne rien gâcher, la belle blonde est une vraie têtue qui veut toujours avoir le dernier mot même si elle sait quand elle a faux. Au fond elle a horreur d'avouer sa faute en fait. Ce n'est pas par arrogance, mais elle n'y arrive pas tout simplement. Obstinée, Natalia est prête à tout pour avoir ce qu'elle veut. N'aimant pas échouer dans ses projets surtout quand ça lui tient à coeur.
▬ La plus grande honte du personnage ; (En 60 mots minimum - La chose dont il n'est pas fier, le secret qu'il se garde bien de révéler aux autres, la tâche crasseuse qui lui souille la conscience ...)
BLABLABLA ▬ Définition de l'enfer pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui ferait horriblement peur, ou qu'il haïrait)
BLABLABLA ▬ Définition du paradis pour le personnage ; (En 60 mots minimum - Ce qui lui procurerait la plus grande joie)
BLABLABLA ▬ Point faible du personnage ; (En 60 mots minimum - Son talon d'Achille, sa faiblesse, son point sensible [On vous le répète, même Chuck Norris a un point faible ^^])
BLABLABLA ▬ Point fort du personnage ; (En 60 mots minimum - Son atout majeur, son " petit plus ", ce qu'il fait ou ce qu'il a de mieux, bref, le domaine ou le point sur lequel il n'a strictement rien a envier à personne.)
BLABLABLA ▬ Casier judiciaire ; (Merci de répertorier ici les crimes déjà commis par votre personnage, qu'il fasse partie des autorités ou non et que les crimes soient officiels ou non. Ceci nous permettra de juger de votre rang de criminel. Plus d'infos ici.)
BLABLABLA
Behind the screen...
▬ Prénom ; Sonia. ▬ Âge ; J'sais pas ▬ Où avez-vous connu le forum ; Pfiiou ! Je ne sais plus vraiment.. ça fait un bout de temps que je connais NYTD (: ▬ Connexion ; 5-6/7. ▬ Code du règlement ;
- Spoiler:
OK par Anja ▬ Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; [] NON (Cliquez ICI pour signer le règlement) ▬ Exemple de RP ;
- Spoiler:
Et hop, dernière plainte écrite de la journée terminée, Ivan raccompagne la jeune femme d'humeur plutôt morose aux portes du commissariat. Victime d'harcèlement de son ex petit-ami, Ivan se montre compatissant et à l'écoute pour ainsi rassurer au mieux la plaignante. Elle le remercie puis lui tourne le dos, le jeune policier la fixe en montrant involontairement un signe de fatigue. En effet il vient de terminer une grosse journée. Il se mit alors à jeter un coup d'oeil à sa montre, il est temps de rentrer. Ça lui donne comme un espèce de coup de fouet alors il s'active pour aller au vestiaire afin d'enlever son traditionnel uniforme. Pendant qu'il boutonne sa chemise, il pense. Mais que très vaguement, il pense à tout et à rien. Peut-être est-ce un coup de bad', un coup de.. blues ? Il ressent juste un sentiment de lassitude, comme si il manquait un peu de piquant dans sa vie. Pourtant il ne lui manquait rien ; quelques vrais amis, une famille aimante et un boulot plutôt excitant. Ce qu'il le titille néanmoins c'est qu'il a l'impression de vivre la même journée, en boucle.
Mais finit de rêvasser Ivan n'est pas du genre à se morfondre ! Il referme avec enthousiasme la porte de son casier et quitte le vestiaire pour saluer les quelques collègues qui restent de garde. Même que l'un d'entres eux, inquiet, lui lance soudainement un "ça va toi ? t'as pas l'air au top." mais Ivan qui garde toujours le sourire en toute circonstance lui rétorque que oui ça, qu'il est juste un peu crevé d'un air rassurant. Parce que pour lui il n'avait pas vraiment d'excuse pour se plaindre. Tous les jours, il rencontre des personnes qui eux, ont vraiment de quoi se plaindre. Dernière poignée de main serrée et le jeune russe se retrouve dehors. L'atmosphère plutôt fraîche d'un mois de février le réveille soudainement. Il ressent le besoin de nicotine. Il sort alors son paquet de cigarette et en saisit une pour ainsi l'allumer et en inspirer une grande bouffée tout en faisant quelque pas vers le parking du commissariat. Mais s'arrête aussitôt. Il n'avait tout simplement aucune envie de rentrer chez lui. Il fit alors demi-tour et décide finalement qu'il allait décompresser et aller boire un verre dans un bar qui se situe à quelques rues au-dessus. Il s'apprête à traverser mais voit que le feu passe au rouge. Il attend alors avec quelques personnes le temps qu'il passe au vert.. Sauf une jeune demoiselle. Tellement intriguée par ce qu'elle fait avec son portable, qu'elle ne le remarque pas.
Tout ce passe très vite. Pas le temps de réfléchir. Ivan est interpellé par le bruit du moteur d'une voiture qui roule en leur direction. Ivan ne perd pas une seconde de plus, à vrai dire c'est plutôt un reflex, il jette brusquement sa cigarette et décide d'aller secourir la jeune femme pour éviter un drame. C'est en courant à vive allure qu'il la bouscule brutalement de façon à ce qu'elle fasse marche arrière. La belle brune ne comprend pas du tout ce qu'il se passe et pourquoi Ivan s'est jeté sur elle. Mais ses idées fut chamboulées surtout à cause du klaxon intempestif de la fameuse voiture. Le conducteur ralentit pour voir si tout va bien puis repart. Quelques personnes qui se tiennent à l'écart sont surprises de ce qui vient de se passer, par rapport à l'attitude du chauffard mais aussi celle d'Ivan. La situation est plutôt ironique puisqu'ils se retrouvent tous les deux par terre. Mais le jeune flic se relève dans la seconde qui suit puis relève à son tour la fille qu'il vient de sauver tout en lui disant :
« dites donc mademoiselle, faut regarder où vous allez hein.. ».. « vous allez bien ? ». Elle est surtout encore sur le choc et met du temps à lui répondre. C'est dingue, il suffisait de quelques secondes où tout bascule, pour prouver encore une fois à Ivan qu'il aime les devises de son métier : servir et protéger. Surtout si c'est pour une jeune femme qu'il trouvait plutôt mignonne. ▬ Célébrité sur l'avatar ; Kristen Bell. ▬ Multicompte(s) ; Non. ▬ Un dernier truc à dire ? ; J'vous aime déjà tous bande de pop-corns grillés !
Dernière édition par Natalia Di Fabiazo le Mar 5 Mar - 19:01, édité 9 fois |
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Reine des GlacesGott weiss ich will kein Engel sein MESSAGES : 14152
POINTS : 451
AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
TAG LINE : « Having a vagina doesn't stop me from believing that my balls are bigger than yours. »
PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club
| Sujet: Re: [en cours] Natalia ▬ j'rêve de prendre un flingue et de gueuler :« ET MAINTENANT CA VA CHIER ! » Dim 3 Mar - 13:03 | |
Bienvenue à New-York ! Bon courage pour la fiche |
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AVATAR : Eva Green
CRÉDIT(S) : Fatal†Error
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| Sujet: Re: [en cours] Natalia ▬ j'rêve de prendre un flingue et de gueuler :« ET MAINTENANT CA VA CHIER ! » Lun 18 Mar - 9:57 | |
Pas de nouvelles, j'archive. |
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