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 [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)

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MessageSujet: [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)   [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) I_icon_minitimeDim 31 Mar - 0:37



Identity Card
Feat "Jerry Fu"
[TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) 179271AVatarfiche
(c) JST


    Nom ; Tan
    Prénom(s) ; Jing
    Surnom(s) ; Le Chintok (des collègues légèrement racistes), la Tarlouze (des collègues légèrement homophobes), l’Emmerdeur (les supérieurs hiérarchiques), mon mignon (la vieille secrétaire bizarre du service d’enregistrement des pièces à conviction), beauté (son ex-pas trop-ex-un peu ex-ça dépend des jours-copain), mon lapin (sa maman), fils (son papa), le client à l’écharpe (la caissière de Wall Mart qui est amoureuse de lui), demi-portion (sa grande sœur)
    Âge ; 25 ans
    Nationalité ; Américaine
    Groupe ; L’Autorité
    Statut et activité dans la vie ; Agent spécial du Federal Bureau of Investigation, National Security Branch, Counterterrorism Division, Operations Branch II, Domestic Terrorism Section. Bienvenue dans le labyrinthe des organigrammes. En gros, il s’occupe des gens qui font exploser des choses et des assassinats commandités. Vaste programme.
    Orientation sexuelle ; Homosexuel



Once upon a time...


Une chanson pour commencer cette présentation ? ;

Histoire ;
Il était une fois, dans une petite maison des banlieues confortables de Washington D.C., un petit enfant sino-américain, assis devant le poste de télévision, qui bataillait pour la télécommande avec sa grande sœur. La grande sœur avait douze ans et elle voulait regarder le dernier épisode de la dernière série des sœurs Olsen, le petit garçon avait huit ans et il voulait regarder les informations. Quel étrange petit garçon, me direz-vous ! Mais c’est qu’aux informations, il y a toujours des crimes. Et les crimes, Jing aimait cela.

D’ailleurs, quand il serait grand, il serait détective privé. Il mettrait l’un de ces chapeaux dont il ignorait encore le nom, il aurait un grand manteau, il fumerait le cigare. Il avait déjà essayé de fumer une cigarette, il avait failli s’étouffer en toussant, mais c’était promis, il allait réessayer, avec Jared, son meilleur ami, celui à qui il roulait des patins dans le terrain vague pour « s’amuser ». Bref, il serait détective privé et Jared serait son bras droit, ou son informateur, enfin, il ne savait pas trop bien, mais c’était certain, ils seraient amis pour la vie.

Jing avait beaucoup d’imagination. Depuis tout petit peu, il racontait des histoires, des histoires un peu sordides, sans doute. Il faut dire qu’il paraissait perpétuellement persuadé que les voisins du quartier nourrissaient de sombres desseins criminels et il suffisait que Mrs. Jenkins partît rendre visite à sa sœur dans le Connecticut pour que Jing espionnât Mr. Jenkins, qui sûrement avait découpé sa femme en morceaux avant d’en transporter nuitamment les tronçons dans quelque champ éloigné.

Quand plus tard il eut l’autorisation d’aller jouer un peu tout seul dans la rue, Jing ne tarda pas à dégotter une lampe torche, une loupe et un calepin et il se fit un devoir de se faufiler dans tous les jardins pour examiner les traces de pas, au grand désespoir des voisins, qui quelque angélique que fût leur patience, commençaient à trouver que le zèle policier du dernier-né des Tan nuisait quelque peu à leur vie privée. Régulièrement, Jing était réprimandé ; donc, il paraît bouder et lire Sherlock Holmes.

Au début de l’adolescence, Jing comprit qu’il ne suffisait pas d’apprendre à fumer pour devenir détective privé mais qu’il fallait des diplômes pour traquer les malfrats. Il se décida donc à étudier à l’école. Ce ne fut pas toujours une mince affaire, d’abord parce qu’il passait le plus clair de son temps le nez levé à regarder par la fenêtre, soit le ciel, soit la classe des troisièmes qui s’entrainaient en cours de sport ; ensuite parce que son intelligence paraissait constamment employée à trouver des réponses aux questions qu’on ne lui posait pas en ignorant celles qu’on lui posait.

Mais enfin, il ne s’en tirait pas trop mal. Ce n’était certes pas le cas de Jared, qui sombrait lentement mais sûrement, et Jing ne disait pas seulement cela parce que son meilleur ami refusait désormais de fricoter dans les terrains vagues (en tout cas, avec lui), mais aussi parce que Jared, de toute évidence, n’était pas une lumière. Jing noua de nouvelles amitiés mais personne ne semblait très intéressé par ses activités de terrain vague et l’adolescent finit par se demander si ce n’était pas lui qui avait un problème.

Il essaya sans succès de s’intéresser aux fesses de la cheerleader, au déhanché de Rihanna et aux magazines que ses amis feuilletaient dans les vestiaires (plutôt qu’à ses amis dans les vestiaires), mais sans grand succès et, craignant de creuser trop avant sa différence, il se replia sagement sur des distractions plus populaires : le baseball, les séries télévisées, le bowling, les tueurs en série, etc.

Quand il comprit qu’être détective privé, ça impliquait surtout de photographier de futurs ex-maris en train de donner des pourboires un peu suspects à d’accortes serveuses, il se mit à songer à une carrière plus stimulante et, alors qu’il entrait au lycée, il arrêta son choix sur le F.B.I., vaste programme il le savait bien, mais il aurait le temps, après sa scolarité secondaire, de préciser un peu plus son projet.

Tout cela impliquait d’entrer dans une université, une bonne si possible, et d’être en forme. Jing se consacra plus activement au sport qu’il ne l’avait fait jusque là, prit le parti d’arrêter de rêvasser pendant les cours et garda à l’esprit son objectif. Cette détermination ne suffisait certes pas à l’empêcher de se perdre en béate contemplation devant les publicités pour parfums où de jeunes hommes harmonieusement photoshopés vantaient les mérites de telle ou telle marque et, de guerre lasse, le lycéen se rendit à l’évidence : ce n’était pas demain la veille qu’il se marierait à l’église.

Jing prit donc son courage à deux mains et fit son coming-out à ses parents, pour recevoir la très perturbante réponse que voilà : « mais mon lapin, on est déjà au courant ». Après quoi son père lui demanda de bien vouloir rempoter les bégonias, parce qu’il avait mal au dos. Désemparé, l’adolescent se demanda comment ses parents pouvaient avoir deviné avant lui-même et il se mit à s’observer scrupuleusement, guettant les signes de gay-attitude : une inclinaison trop prononcée du poignet, une démarche trop féminine, une passion secrète pour David Bowie. C’était parce qu’il aimait cuisiner, peut-être ? Mais pourtant, il bricolait, aussi…

Plongé en pleine crise identitaire abondamment nourrie par l’homophobie ambiante, Jing ne se soucia pas trop de mettre son coming-out en pratique avec tel ou tel camarade de classe, si bien que ses résultats scolaires furent brillants, faute de distraction. Il intégra donc l’université et, une fois devant l’évidence qu’il ne servait à rien de se torturer, que son poignet s’inclinait de manière très banale et que mieux valait savoir cuisiner que de manger des Knacky à longueur de journée, il connut une vie beaucoup plus stable.

Ses études de criminologie furent ainsi moins austères que ne l’avaient été ses années de lycée. Ses rêves d’enfant s’étaient mués en vocation et la carrière qu’il avait songé à embrasser lui paraissait de plus en plus en certaine. Aux nouvelles de Conan Doyle se substituèrent les analyses de cas bien réels, aux histoires de détectives le syllabus du cours de psychologie de la délinquance et, au terme des quatre années de son bachelor, Jing réussit avec brio les tests de recrutement du F.B.I.

L’époque de sa formation au sein du Bureau ne fut pas de tout repos. Se heurtant ponctuellement au racisme et plus fréquemment encore à l’homophobie, quelque soin qu’il prît à demeurer discret sur le chapitre de sa vie privée, le jeune homme eut l’impression de devoir faire ses preuves beaucoup plus souvent que n’importe quelle autre recrue ; ce persistant sentiment d’injustice acheva de développer chez lui un esprit frondeur et, plutôt que de songer à gravir les échelons du Bureau, il se décida à se consacrer aux affaires qui embarrasseraient tout le monde.

Une fois nommé Agent Spécial, il fut attaché pendant quelques semaines à la cybercriminalité avant d’être affecté de manière permanente au contre-terrorisme. D’abord basé à Washington, il a été récemment muté à l’antenne new-yorkaise.

Wanna know more ?

Relations ;
Ouvert d’esprit (un peu trop au goût de ses supérieurs), prompt à nouer une conversation, Jing multiplie les connaissances. Il se lie plus aisément avec les personnes issues de la classe populaire ou de la classe moyenne comme lui et se sent toujours étranger à ceux qui parlent trop bien et qui respectent des convenances qui lui paraissent désuètes. Jing préfère le franc-parler à la langue de bois et n’est pas très l’aise dans les compagnies trop élégantes. Tâchant autant que possible de conserver une vie en dehors du travail, la plupart de ses amis proches n’ont rien à voir avec le Bureau : anciens camarades de lycée ou d’université pour la plupart, ils partagent avec lui un certain progressisme politique ou une passion pour le sport, les jeux vidéos ou les histoires.

Côté cœur, rien de bien fantastique. Jing est très loin de multiplier les conquêtes et si parfois il songe à fréquenter des bars pour draguer, sa timidité reprend bien vite le déçu. Se laissant aborder plutôt que l’inverse, la plupart du temps, il a eu malgré tout quelques petits amis, quelques béguins, mais jamais de prince charmant. Pour l’heure, ça ne le perturbe pas trop : il se sent encore jeune et puis, de toute façon, il ne cherche pas l’homme parfait. Il finira bien, se dit-il, par trouver chaussure à son pied.

Physique ;
S’il avait vécu dans la Chine de ses grands-parents, Jing se serait indubitablement distingué par sa stature : du haut de son mètre quatre-vingt sept, il ne mérite en rien le surnom de « demi-portion » dont sa sœur l’a affublé. S’il s’est consciencieusement entraîné pour être certain d’intégrer le Bureau et si, de toute façon, le sport est l’une de ses grandes passions, sa carrure n’est cependant pas celle d’un haltérophile ou d’un footballeur américain : doué d’une musculature fine, plus souple et réactive que réellement puissante, parmi les jeunes recrues de son âge au Bureau, il dégage plutôt une impression de fragilité.

Sans doute ses traits asiatiques jouent-ils encore un rôle de cette image. Ses cheveux et ses yeux sont noirs, bien entendu. Son visage imberbe est bien plus délicat que celui d’un Caucasien et, aux yeux de bien des Américains, il conserve quelque chose de juvénile ou bien de féminin. Contrairement à ses inquiétudes d’adolescent cependant, Jing n’a pas grand-chose de féminin : démarche assurée, style vestimentaire urbain ou sportif, il est un garçon comme les autres, pas du tout maniéré et très loin du stéréotype qu’il avait lui-même craint d’incarner.

Caractère ;
De l’enfant qu’il a été, Jing conserve un tempérament à la fois rêveur et actif qui rythme son existence. Souvent perdu dans ses pensées, le jeune homme est riche en idées farfelues, en rêves un peu fous et en suggestions inattendues. Séduit pour tous les objets culturels qui savent raconter des histoires, qu’il s’agisse de livres, de films, de jeux vidéos ou de comics, il échafaude perpétuellement des hypothèses saugrenues sur le monde qui l’entoure, au risque de fatiguer les personnalités plus calmes avec son esprit constamment en ébullition.

Mais Jing n’est pas du genre à rester sagement à rêver. Rêver est une activité de l’esprit et le jeune homme a constamment besoin de s’affairer. Incapable de rester en place, de faire la grasse matinée ou de se poser tout simplement devant la télévision, il est constamment en vadrouille, en train de faire du sport, de rendre visite à un ennemi, de réparer ceci ou cela, ou, et c’est le plus fréquent, de travailler sur un dossier. Un observateur perspicace déduirait sans doute que cette fébrilité naturelle cache une certaine angoisse de la solitude et Jing ne craint rien tant que se retrouver face à ses pensées, à ses complexes et à ses doutes ; peu porté à l’introspection, le jeune homme pousse les problèmes sous le tapis et s’occupe d’autre chose.

Au travail, Jing se distingue par une intégrité loin d’être rigide. Il est au-dessus de tout soupçon mais n’est pas prêt à respecter les règles quand elles lui paraissent servir plutôt les intérêts des puissants que la justice et la vérité. Remuant volontiers les affaires limites aux implications politiques, l’agent n’est effrayé ni par le blâme, ni par les menaces sur sa carrière ; cette dévotion frondeuse à la justice lui a attiré certes des intimités sur le Capitole et dans la hiérarchie, mais aussi de solides alliés, qui partagent ses exigences morales et n’hésitent pas le mettre à l’abri des velléités les plus vindicatives.

Mais le sens de la morale de Jing est à double tranchant et, souvent, le jeune homme est un peu trop dur avec lui-même. Hanté par ses échecs passés, tant professionnels que personnels, Jing n’est pas toujours à l’abri des moments de découragement et de culpabilisation. Honteux d’avoir longtemps refoulé son homosexualité ou de n’avoir pas toujours réagi vivement à des remarques racistes, il a l’impression diffuse d’être un lâche, non pas sur le terrain, mais dans l’existence de tous les jours et de ne pas être à la hauteur des espoirs que d’autres placent en lui.

Jing se reproche beaucoup de choses et à le voir agir parfois, on a l’impression qu’il essaye de prendre tout le poids du monde sur ses épaules. Infatigable en apparence, solide comme un roc devant ses collègues ou les simples connaissances, pour ses amis proches et sa famille, il paraît souvent au bord de l’épuisement et sur le point de s’effondrer. Mais tous les bons conseils n’y font rien et Jing s’obstine à s’écraser sous les responsabilités et à se fixer pour soi-même des exigences impossibles à satisfaire.

La plus grande honte du personnage ;
Jared, son flirt d’enfance. Au fil du temps, Jing s’est éloigné de lui et, pendant son adolescence, il s’est senti supérieur à lui : plus intelligent, plus ambitieux. Jared a eu des problèmes, il a fini par faire de petits délits et connaître la prison. Jing se sent effroyablement coupable du mépris élitiste qui s’est emparé de lui à un moment de son existence et d’avoir abandonné cet ami si proche à son sort. Ce fut une leçon douloureuse mais bien apprise, qui lui a enseigné une plus grande humilité.

Définition de l'enfer pour le personnage ;
Un meeting du Parti Républicain. Plus sérieusement, ce que Jing craint par dessus tout, c’est la faute professionnelle, l’attentat qui aurait pu être évité s’il avait plus ou mieux travaillé, l’assassinat rendu possible par sa négligence. Ses collègues expérimentés ont beau lui dire qu’on ne peut pas tout résoudre ni tout prévenir, le jeune homme est encore obnubilé par cette angoisse de nouvelle recrue, qui peut-être lui passera avec le temps.

Définition du paradis pour le personnage ;
Terminer un Zelda sans mourir une seule fois ou enchainer les home run dans un match de baseball. À vrai dire, Jing songe assez peu à son propre bonheur. Sans doute, au fond, ses désirs sont-ils assez banals : la reconnaissance professionnelle, un compagnon stable, un certain confort de vie. Mais en fin de compte, il n’en sait trop rien et il préfère ne pas trop sonder la vague insatisfaction qui hante parfois son existence.

Point faible du personnage ;
Dans la vie de tous les jours, Jing a tendance à accorder sa confiance un peu trop spontanément. Tout se passe comme si son travail épuisait sa capacité à la méfiance et à la prudence dans les relations. Quand il quitte le Bureau, Jing fait parfois figure d’agneau qui se jette dans la gueule du loup : entre les beaux gosses et leurs beaux discours, les filles faussement fragiles et les vendeurs faussement honnêtes, le jeune homme est régulièrement victime d’une certaine naïveté.

Point fort du personnage ;
Jing comprend et assimile vite. Il n’a pas toujours l’esprit très méthodique et, souvent, ses manières de penser sont très personnelles et difficilement explicables, mais il assimile rapidement les nouvelles connaissances et les nouveaux objectifs, dans les petites comme les grandes choses de la vie : il s’adapte fort bien aux nouvelles affaires et est expert en bricolage, littéralement et métaphoriquement.

Casier judiciaire ; Blanc comme neige

Behind the screen...


Prénom ou pseudo ; JST.
Âge ; 24 ans
Où avez-vous connu le forum ; Topsite
Connexion ; 6/7
Code du règlement ;
Spoiler:
Avez vous signé le règlement ; [X]OUI ; []
Exemple de RP ;
Spoiler:


Célébrité sur l'avatar ; Jerry Fu
Multicompte(s) ; Premier compte.
Un dernier truc à dire ? ; Nope

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MessageSujet: Re: [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)   [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) I_icon_minitimeDim 31 Mar - 0:40

Bienvenue mister ! :cabaret:
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MessageSujet: Re: [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)   [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) I_icon_minitimeDim 31 Mar - 3:10

Chouette tag line! Bienvenue parmi nous Wink
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MessageSujet: Re: [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)   [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) I_icon_minitimeDim 31 Mar - 10:26

Bienvenue ! Amuse toi bien par ici I love you
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MessageSujet: Re: [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)   [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) I_icon_minitimeDim 31 Mar - 10:32

Bienvenue ! (:
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MessageSujet: Re: [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)   [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) I_icon_minitimeDim 31 Mar - 12:11

welc'home à ny Smile
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MessageSujet: Re: [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)   [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) I_icon_minitimeDim 31 Mar - 12:27

Bienvenue sur TDS!
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Anja Malkovski
Reine des Glaces
Gott weiss ich will kein Engel sein

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PROFESSION : Propriétaire des agences d'escorte Malkovski / Maquerelle de Luxe - Propriétaire par héritage du Fight Club


Feuille de personnage
ÂGE DU PERSONNAGE: 35 ans
CASIER JUDICIAIRE:
RANG DE CRIMINALITÉ: CRIMINEL
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MessageSujet: Re: [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)   [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) I_icon_minitimeDim 31 Mar - 13:02

Bienvenue sur le forum !
J'ai validé ton code règlement et je me charge de lire ta fiche Wink
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https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5603-terminee-anja-malkovski-you-re-gonna-wish-you-never-had-met-me#448670 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5612-anja-malkovski-as-cold-as-ice#449254 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t5611-anja-malkovski-better-not-stand-in-my-way#449243 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t6045-anja-malkovski-there-s-a-devil-laying-by-your-side#497519 https://ny-thedarkside.forumactif.org/t6037-agence-malkovski-pour
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MessageSujet: Re: [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep)   [TERMINÉE] Jing Tan — Ain't no such things as halfway crooks (Mobb Deep) I_icon_minitimeDim 31 Mar - 13:37

Eh bien c'est une fiche très sympathique que voilà ! J'aime beaucoup ta plume, je te valide avec plaisir. Autant te dire que tu ne vas pas t'ennuyer avec les psychopathes terroristes qu'on a ici :main:

Un admin te mettra bientôt ta couleur et ton rang de criminalité.

Bon jeu parmi nous ! Very Happy
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